Quand c'est pas l'une c'est l'autre - Caleb - Page 2
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Quand c'est pas l'une c'est l'autre - Caleb


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mot doux de Invité ► un Sam 1 Nov - 14:13
Pourquoi étais-je incapable de lui dire oui ? Pourquoi ? Franchement je me sentais vraiment idiote, car... Et bien je n'y arrivais pas. Je voulais être capable de m'engager sur ce terrain-là avec lui, mais je n'y parvenais pas. C'était impossible, je ne pouvais pas lui dire oui, pas maintenant, pas encore, pas ici ! Peut-être attendais-je de voir commet le mariage allait transformer ma soeur ou... Je n'en savais rien, je n'avais pas de raison fixe qui expliquait pourquoi je lui disais non alors que je l'aimais. Oui, car une chose était sûre, je l'aimais de tout mon coeur et je l'aimerais toujours. Alors pourquoi j'hésitais à celer son destin au mien ? Je n'en avais pas la moindre idée et je me sentais vraiment nulle. C'est que je tentais de lui expliquer en lui disant que je n'étais qu'une idiote. Il me donnait le bon dieu sans confession et j'étais incapable de saisir cette chance. Il me servait la lune et le paradis sur un plateau d'argent et qu'est-ce que je faisais ? Je déclinais son offre. J'étais idiote et pire que ça, j'étais une idiote cruelle, car je brisais son petit coeur en même temps. Je ne voulais pas, mais même si ce n'était pas fait exprès, c'était fait quand même et je ne pouvais rien y changer... Merde ! Je ne voulais pas le faire souffrir. Ca me tuait de le voir aussi triste, aussi malheureux... Et c'était de ma faute... Putain ! Je me foutrais des gifles ! Enfin... Je pleurais à la place, car je ne savais pas quoi faire d'autre. Le seul moyen que j'avais pour le réconforter serait de revenir sur ma décision, mais je ne pouvais pas, je n'y arrivais pas et ça me faisait chier. Mais je n'y pouvais rien... Mon dieu... J'étais une petite-amie lamentable... Le pire, c'est que j'allais me réconforter dans ses bras. Comme si en le touchant tout ça serait plus facile à vivre, mais c'était loin d'être le cas. J'espérais encore secrètement que j'allais me réveiller dans son lit. Ou même pas, sur la moquette de la chambre de Lullaby ça ne me dérangeait même plus !Mais je voulais que toute cette histoire soit un cauchemar, mais non... C'était la réalité... Je soupirais en passant la main sur mon visage pour essayer d'effacer les traces de larmes. En vous savez quoi ? Je continuais de m'enfoncer encore et encore, car j'essayais de changer de sujet... Je le complimentais comme si de rien ne s'était passé et je le découvrais pour la première fois dans son costume. Une tenue toute belle, toute propre, achetée exprès pour ce mariage. Et que porterait-il s'il s'agissait du notre ? Et moi ? Cette pensée me déprimait encore plus et je la chassais d'un coup de pied à l'intérieur de ma tête. Je me concentrais plutôt sur la chaleur familière de son torse contre la joue et même à travers le tissu j'entendais son coeur battre. Ah ? Il n'était peut-être pas si cassé que je le pensais... Ou pas... Je me faisais du souci pour lui. Je ne disais plus rien, ne sachant tout simplement pas quoi ajouter. J'avais dit tout ce que j'avais à lui dire, il était le seul capable de décider ce qui allait se passer maintenant. Peut-être allait-il m'abandonner là, car je lui avais fait trop mal ? Il pourrait, ce serait même complètement justifié. Mais non, il restait là... Il attrapait ensuite mon visage entre ses mains et me forçait à le regarder dans les yeux... Des yeux si tristes... Comme détruit de l'intérieur, il entamait son monologue et les larmes coulaient sur mes joues encore une fois. Mon dieu... Mais qu'avais-je fait ? Il m'aimait tellement... « Je suis désolée... Caleb tu n'imagines pas à quel point je m'en veux... » Tout ce qu'il venait de me dire c'était tellement... Vrai... Tellement nous... Tellement lui... Tellement beau. Il avait raison nous avions tout pour être ensemble alors pourquoi je n'arrivais pas à lui dire oui. « Je t'aime, de tout mon coeur je t'aime... Tout. C'est ce que j'aime chez toi. Tout. De tes pieds parfois froids sous la couette à la pointe de tes cheveux que j'aime recoiffer, j'aime tout. J'aime quand tu râles à cause de l'odeur pourtant délicieuse du café le matin. J'aime quand tu complotes avec ton fils pour me faire avouer que je regarde tes fesses. J'aime quand tu penses que je ne t'entends pas chanter sous la douche alors que je suis parfois l'oreille collée à la porte de la salle de bain tellement j'aime entendre ta voix. J'aime quand parfois je te croise dans ton appartement en pleine nuit alors que j'allais juste aux toilettes et que tu fais ton somnambule. Même si ça parfois ça me fait peur... Et pas qu'un peu d'ailleurs... Mais ce n'est pas grave ! J'aime tout chez toi ! Même ta jambe de quatre millimètres plus grande que l'autre. » Je marquais une petite pause et lui souriais tristement. « Monsieur Hemingway, je tiens à vous comme je n'ai jamais tenu à personne. J'ai l'impression que si jamais tu venais à me quitter je ne pourrais pas survivre. Tu es ma vie, mon oxygène, ma drogue. Je ne sais pas ce que je deviendrais sans toi. Et ça me fait flipper. Tu n'imagines pas à quel point j'ai peur de ne pas être à la hauteur avec ton fils. Comme j'ai peur de te décevoir en faisant quoi que ce soit. Et regarde ce que je viens de faire ! Je ne te mérite pas... » Je le lâchais en signe d'énervement et reculais un peu. Je me gonflais toute seule parce que je n'étais qu'une idiote. « Je t'aime tellement ! Et pourtant je suis incapable de te dire oui... Je me sens tellement mal, car je n'arrive pas à te rendre heureux... Je voudrais... Mais je... Je ne me sens pas prête pour ça, pas alors que je dois assister au mariage de ma demi-soeur. Je me sens aussi égoïste, car à cause de moi tu souffres et je... Je suis désolée ! Je t'aime ! Mais je n'arrive pas à prononcer ces trois putains de lettres. Comme une personne normale, je n'arrive pas à sauter de joie à cet instant, pourtant je voudrais... Mais je n'y parviens pas... Je t'aime, tu es tout pour moi Caleb, mais pas aujourd'hui... Je ne peux pas, pas maintenant. » Je me penchais vers lui et l'embrassais tendrement, en baiser mouillé par mes larmes, mais un baiser tout de même. « Je ne veux pas que tu t'imagines que je ne voudrais jamais devenir ta femme. Je veux passer ma vie avec toi, quand je m'imagine dans l'avenir c'est avec toi... Mais je suis incapable de passer ce cap maintenant. Bientôt j'espère... Je t'aime ! » Je prononçais ces trois derniers mots comme s'ils étaient capables de tout arranger... Mais c'était loin d'être le cas.
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mot doux de Invité ► un Lun 3 Nov - 5:32
Qu’est-ce que je devais faire ? Faisais-je le bon choix de partir dans un monologue alors que j’avais choisi le mutisme ? Dans le fond, c’était l’un ou l’autre avec moi depuis quelques minutes. Soit je ne disais rien ou alors je balançais une tonne de choses sans même prendre le temps de respirer. Devrais-je la laisser parler ? Sûrement. Ah oui, laissons-là parler. Je ne savais pas quoi dire d’autres que tout ça. C’était déjà beaucoup mais après ? Je n’en savais rien. Je ne savais rien du tout. Je me sentais tellement désarmé et ça m’énervait en quelques sortes. Mon côté insolent voulait se réveiller et ne pas l’écouter. C’était mieux, non ? Non mais si enfin non. Je n’en savais rien. Tellement rien. Je l’écoutais mais j’avais mal à mon point. Avait-elle vue qu’il était légèrement blessé et un peu rouge de sang ? Il n’était pas cassé mais ma peau griffée tout de même. Je ne voulais pas qu’elle le voit mais j’avais mal. Je l’écoutais parler mais je semblais tellement déconnecter. Mais punaise, pourquoi ? Pourquoi ne pas dire oui alors ? Ca me rendait tellement dingue. Oui, dingue. Je la laissais finir mais ça me mettait un peu hors de moi… malgré moi. J’inspirais un bon coup, je la laissais terminer. Elle aimait autant de choses chez moi, elle m’aimait mais non. Mais non mais pourquoi ? Je soupirais doucement en la laissant terminer. Elle flippait mais de quoi ? « Je ne te demande pas d’être parfaite, Cordélia… Tu me mérites enfin… ça n’a rien à voir ! », disais-je en soupirant à nouveau. J’étais désarmer, vraiment. Je ne savais pas quoi faire ou comment m’exprimer. J’étais encore sous le coup d’une émotion masculine… Elle aussi s’énervait et ça m’énervait de l’énerver. Vivre les gens chelou à un mariage. Manquerait plus qu’une femme soit dans la limousine avec un témoin et ça serait le bouquet. Je soupirais doucement et je la laissais continuer et même m’embrasser mais je n’y participais pas vraiment. En fait, je n’en étais pas capable. Elle mettait encore plus le bazar dans ma tête. Je détournais doucement le regard, ses larmes me rendaient dingue. J’en perdais tout mon contrôle. Elle me disait encore qu’elle m’aimait et je me disais : ça je le sais… ce n’est pas ça que je veux entendre, c’est bien le problème. Mais dans le fond, j’étais égoïste et je le sentais. Je me sentais mal. Je me sentais mal d’être mal ce qui la rendait mal et j’étais juste moi aussi mal. « Je sais que tu m’aimes ou peut-être même que tu le veux enfin je veux bien essayer d’y croire mais… une seule fois ma suffit ! », disais-je alors à ce qu’elle venait de dire mais je me sentais con de le dire, je me sentais idiot. Je me sentais tout simplement horrible. Je devais avoir l’air d’un con ? J’avais l’impression de ne rien arranger et pourtant je l’aimais tellement. Je levais alors à nouveau mon poing et m’en prenant un peu plus fort au mur, ce pauvre mur. J’avais soudainement un peu plus mal… un peu trop ? Je grimaçais doucement à cette douleur et détournant le regard quelques secondes. Ce coup m’avait échappé. J’avais besoin d’évacuer. Un truc de mec. Les filles mangeaient de la glace et les hommes frappaient les murs. J’inspirais doucement en relevant le regard vers elle. « Désolé… c’est… », j’haussais doucement les épaules. « C’est parti tout seul ! », je soupirais doucement en voyant de par le côté que les invités arrivaient de plus en plus. « Je pense qu’on devrait y retourner, tu as une mariée à surveiller et j’ai… un gamin à retrouver ! », disais-je en soupirant doucement. « Je ne voulais pas ça, Cordélia. Je ne voulais pas te voir pleurer ou même… je ne voulais même pas que ça arrive maintenant, je n’avais pas l’intention de le faire aujourd’hui. Pas le jour du mariage de ta sœur, la commande n’était juste arrivée aujourd’hui. Je ne voulais pas le faire comme ça… pas que ça se passe ainsi. », commençais-je alors à dire en la regardant. « Je vais rester le temps de la cérémonie et je vais rentrer… je pense que c’est mieux ainsi, si ça va… mieux, je reviendrais peut-être enfin je ne sais pas… mais là, j’ai besoin d’être seul… », disais-je en soutenant son regard. « Tu n’as qu’à venir chez moi cette nuit enfin en rentrant ou comme tu veux ! », disais-je en mettant la main dans ma poche et sortant alors une clé de chez moi pour lui tendre. « Je voulais te l’offrir enfin ça c’était ce soir, avant… c’était juste autre chose, une étape. Je voulais voir comment ça se passerait avant de… sortir la bague. » Je la ressortais alors de ma poche également et haussant les épaules. « Je… », je devenais idiot et la fermait en remettant la bague dans ma poche. « Je ne sais pas, j’ai envie de dire que je devrais aller me faire rembourser ! », disais-je nerveusement en approchant et déposant un baiser sur ses lèvres avant d’aller effacer les larmes sous ses yeux. « Ne pleures pas, Cordélia, arrêtes de pleurer. On a besoin de toi en forme et mignonne comme toute avec un beau sourire en plus, je ne vais nul part, je vais juste à mon appartement et ça va passer... je suis un grand garçon donc... Souris-moi ! », lui demandais-je en tentant un faux sourire pour celle que j’aimais. Je me sentais con mais je voulais juste la voir sourire avant de partir.
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mot doux de Invité ► un Dim 9 Nov - 17:18
Qu'est-ce qu'il me prenait de lui dire tout ça... Pourquoi je me sentais obligée de lui faire un monologue à mon tour ? Je n'en avais pas la moindre idée... Je pense que j'essayais par là de me justifier de lui expliquer que même si je l'aimais, je ne pouvais pas accepter... Je me cherchais des excuses alors qu'au fond... J'étais juste impardonnable. Je n'aurais pas dû réagir de la sorte... Mais c'était trop tard pour me rattraper. J'essayais, mais à la place de remonter à la surface que m'enfonçais et continuais de creuser ma propre tombe sentimentale. Je devais lui faire plus mal qu'autre chose à lui dire que je l'aimais tellement... Et pourtant, j'étais incapable de lui dire oui. J'étais incapable d'unir mon destin au siens. Il essayait de me dire que ce n'était rien, juste des fiançailles, juste un symbole, mais je voyais cette bague comme un truc très important. Après tout si tout cela n'était pas aussi important que faisions-nous là ? Oui, car il ne fallait pas oublier qu'on était là pour assister au mirage de Lullaby et d'Aiden. Cette histoire m'avait presque sorti la cérémonie de la tête. Mon dieu... Qu'elle heure était-il ? Le moment n'allait bientôt plus tarder et il fallait que je rejoigne la mariée et les autres demoiselles d'honneur assez rapidement... Mais j'avais encore le temps... Du moins, je le pensais. J'attendais sa réaction en le regardant de mes yeux encore et toujours mouillés. Je n'arrivais pas à arrêter cette fontaine qui coulait par mes yeux. Mais il fallait que cela s'arrête, je ne pouvais pas retourner dans les festivités avec cette tête-là. Sa réponse me laissait dur le cul. Il ne me demandait pas d'être parfaite... Mais si je l'étais, je lui aurais dit. Il ne comprenait pas que j'avais un problème ? Que je débloquais sentimentalement et que je n'arrivais pas à franchir ce fichu pas avec lui ? Non, il ne comprenait pas. Et comment pourrait-il le faire ? J'étais tellement contradictoire que je lui disais que je l'aimais, mais que je lui disais non. Techniquement, c'est deux idées ne pouvaient pas coexister côte à côte. Et pourtant dans ma tête, elles étaient même étroitement liées... Ce n'était pas logique, je n'étais pas logique. Je le savais très bien, mais je ne pouvais absolument rien y changer. Je ne lui répondais pas, me contentant de le regarder dans les yeux. J'allais même l'embrasser doucement, car j'avais suffisamment dit de chose. Je parlais trop, je disais trop de bêtises. Et c'était d'ailleurs à cause de mes bêtises qu'on en était arrivé là... Je soupirais en reculant, aillant bien sentie qu'il n'était pas comme d'habitude. Là, il lâchait qu'une seule fois lui avait suffi et je me mordais les doigts d'avoir refusé. Cela voulait-il dire qu'il n'y aurait jamais de deuxièmes fois ? Qu'il n'essayerait jamais plus de m'épouser ? Que tout était bel et bien gâché pour toujours ? Non, mon dieu, non... Je ne voulais pas de ça. Je ne voulais pas que cela se passe ainsi... Je voulais juste qu'il attende, qu'il m'attende. Quoi ? Mais que je sois prête, parce que là, je n'étais clairement pas prête à devenir sa fiancée. Je le serais surement plus tard... Mais pas encore. Un jour, oui. Je pourrais le regarder, des étoiles dans les yeux et lui dire un grand oui. Mais pas aujourd'hui. Pas encore... C'est que je voulais qu'il comprenne, mais il n'en était visiblement pas disposé. Il s'excusait tout de même et je restais toujours muette. Ou du moins jusqu'à ce qu'il me dise que l'on devrait y aller. "Oui ! Tu as raison. Je devrais aller les retrouver." Je soupirais... Je ne voulais pas le quitter alors que nous étions dans cet état, mais nous n'avions pas trop le choix. Que faire d'autre ? Nous regarder dans le blanc des yeux encore des heures pour ne rien dire ? Non, ce n'était pas envisageable. Oui... Il n'avait pas l'intention que cela se passe comme ça. Et moi non plus, mais on ne pouvait pas retourner en arrière... Malheureusement. "Ok..." Je ne trouvais rien de mieux à dire, je ne voulais rien dire de plus. Si j'allais aller chez lui après ? Peut-être que oui... Peut-être que non... Je verrais à ce moment-là, mais pour l'heure, je le regardais partir et allais m'asseoir sur un banc non loin de là. Je posais mes fesses sur ce banc en pierre en faisant attention à ma robe puis je recommençais à pleurer. Il fallait que je vide toute l'eau de mon corps avec de retourner dans l'église, comme ça, j'étais certaine que je n'aurais pas de fuite.
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