Sedna L. Azarov-Ielineet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Institutrice — ❝ cupidon : Petits riens du tout mais tant pour moi ❝ post-it : « C'était une graine. Une petite chose. Un bout de nous deux. Un assemblement. Un rien. Qui devenait tout. Elle sera notre cœur. Notre fusionnement. » ❝ crédits : images tumblr etc. /avatar sweet disaster ❝ avatar : Troian Avery Bellisario ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Open ❝ autres comptes : Dawn O'connor ❝ Points : 3221 ❝ Messages : 309 ❝ depuis : 16/06/2014❝ mes sujets : ❥ avery. ❥ caleb ❥ ...
mot doux de Sedna L. Azarov-Ieline ► un Jeu 19 Juin - 14:31
please forgive me
please forgive me, i know not what i do Please forgive me don't deny me, this pain i'm going through please forgive me every word I say is true.
Comment ça marche les émotions ? Comment ça marche l'affection ? Je n'avais jamais rien compris. Mais je comprenais que j'avais raté ma vie en abandonnant Caleb et Reed. Je ne sais pas si on aurait pu être heureux, vivre à trois dans une même pièce tous les jours aurait pu déclencher un véritable Enfer. J'ai aimé Caleb, de toutes mes forces, de tout mon être, de tout ce que j'avais pu. Mais quand le reste est plus fort, c'est souvent le reste qu'on écoute. Reed était mon fils. ... Est. Il est mon fils. Il est si mignon, si gentil et si plein de vie. C'était tard pour me battre pour lui, mais je n'allais pas renoncer, jamais, jusqu'à mon dernier souffle de vie. Je souriais nerveusement lorsque Caleb me parla de lui. Il aimait tellement de choses. Il avait peur des araignées et des serpents ? ... Je crois que ça vient de moi. J'étais heureuse qu'il ait gardé des traces de moi quelque part en lui. J'avais envie d'éclater de joie en pleine réserve de café, mais je me retins en me mordant les lèvres. Rire aurait été un rien malvenu. Pourtant, lui ne se gênait pas.
Au fur et à mesure que Caleb me racontait, je sentais sur mes lèvres s'agrandir le sourire. Je devais avoir les yeux qui brillaient en entendant ça. Mais au fond d'eux, devait luire une lueur quelque peu triste et joyeuse. Triste de ne pas avoir découvert tout ça par moi-même. Triste de réaliser que ce que j'avais manqué. Et réaliser. C'est surtout ça qui fait mal. Joyeuse de constater qu'il était heureux, même sans moi. Un profond sentiment de regret m'envahissait, alors que dans mon être qui semblait s'être brisé quelques minutes plus tôt, surgissait quelque chose qui s'apparentait à de l'espoir. Je ne savais plus que penser. Peut-être que Reed finalement aurait pu grandir sans moi. Peut-être aussi que revenir dans sa vie aussi brutalement que je l'avais fait, l'avait déstabilisé. Ce que je ne voulais pas. A présent, il était tout ce qui importait pour moi. Il était le seul petit coeur que j'avais envie d'écouter battre toute la journée. Le seul être que j'aurais voulu serrer contre moi tout le temps, à chaque seconde qui passerait, à chaque caprice qui débuterait.
« Il a l'air d'être un enfant génial. » Je disais il a l'air... Je savais qu'il l'était. Je me repris aussitôt en ajoutant. « Il est génial. » Je ne le connaissais pas vraiment bien, contrairement à Caleb. Mais je savais qu'il ne pouvait qu'être quelqu'un de bien, s'il ne tenait pas de moi. Caleb l'aurait bien élevé. Hein Caleb ? Tu l'as aimé à chaque minute de sa vie... Par réflexe, je baissais la tête, dissimulant un frisson. Mais aussitôt je me redressais, le fixant avec des yeux attendris. ( J'étais attendrie par Reed , pas par Caleb, je précise des fois que. )
Un moment, je me perdais, dans mes pensées et dans le vide. J'étais fière de notre fils, je crois même que c'était une des premières fois malheureusement où je ressentais autant de fierté. J'aurais voulu être pour Reed une héroïne, être forte et sage, comme une femme pour qui on se bat. J'aurais voulu être pour Caleb un soutien moral, quelqu'un sans peur aucune, sans appréhension jamais, sans frayeur dans les yeux. Je n'avais pas vu souvent Reed. C'était triste, mais c'était une faute que j'avais commise sans que personne ne me force. Pourtant à chaque rencontre avec lui, je me sentais complète, comme si ce bout de moi que j'avais l'air d'avoir perdu, se remettait en place doucement, et lorsque d'un geste tendre qu'il n'appréciait pas spécialement pour l'instant, je prenais ses mains dans les miennes pour y déposer comme je lui disais 'Des bisous qui brillent aussi fort que la lune dans la nuit, qui te feront des bisous au coeur.' j'avais cette sensation nouvelle d'être apaisée et d'une tristesse qui s'éloigne, qui se dissout, qui se noie dans les yeux d'un petit garçon qui a déjà tout pour lui. J'avais envie de lui dire 'Tu as des pouvoirs magiques Reed. Tu sais déjà effacer la peine des autres. Juste parce que tu les regardes. Juste parce que tu existes.' En tout cas, c'était ainsi pour moi. C'était bien la première fois où je n'avais plus envie d'abandonner. Plus jamais. Reed m'avait fait changer. Il m'avait changée tout court. Il avait vraiment des pouvoirs.
« Tu l'aimes beaucoup. C'est ce qui compte. » Je souriais toujours, cherchant le courage pour continuer à me montrer forte. J'avais envie de dire que moi aussi je l'aimais beaucoup, mais je savais qu'il risquait de me dire que cet amour trop fort était prématuré. Peut-être n'avais-je pas le droit de l'aimer autant alors que je ne le connaissais pas et que j'avais abandonné son coeur deux mois après son premier battement. Un soupir à nouveau de ma part. Au fond, je continuais malgré tout à penser, qu'on a toujours le droit d'aimer. Surtout lorsque... Lorsqu'il s'agit de mon enfant. De notre enfant. Mais Caleb n'avait pas tord. Il ne s'agissait pas de Notre Enfant.
« Je n'aurais pas dû manquer à sa vie. Je n'aurais pas dû manquer tout ça. » Et surtout... « Je crois qu'il n'a manqué de rien pourtant. Je vois que tu as veillé sur lui, à chaque seconde. » Je pourrais te dire merci, mais c'est ton fils aussi. Tu as été le seul à l'assumer, et ça n'avait pas dû être simple pour toi. Ni pour lui. Mais il est devenu si extra ordinaire qu'il n'y'aurait presque rien à regretter. Si j'étais restée près de lui, peut-être que je lui aurais transmis mon goût du défilement et de la lâcheté.
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Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Dim 22 Juin - 9:34
nikkie & caleb
So if you're feeling lonely, don't
Parfois, l’on baisse les armes. On décide d’arrêter de se battre pour une trêve. Le nombre de minutes que je lui avais accordées pour me parler avait littéralement explosé et c’était le cas de le dire. J’avais dépassé le temps. Telle une petite fiole avec du sable donc j’avais totalement oublié le nom tellement je ne m’en préoccupais pas. Mais oui, je parlais de mon fils, notre fils mais je trouvais tellement plus logique de dire que c’était le mien car je m’étais battu pour lui, c’était une pure habitude. Pendant longtemps, je m’étais fait à l’idée que cela resterait le mien pour toujours et que cela resterait toujours le fils de Caleb et plus le fils de Nikki et Caleb mais bon. Je n’avais pas calculé qu’elle souhaiterait revenir dans sa vie. Je tentais d’être chaud enfin dans le sens où je me voulais réceptif et pas froid. J’avais senti qu’elle n’était pas apte à gérer ses émotions actuellement et qu’il faudrait que j’y mette du mien aussi mais étais-je dans une situation où c’était à moi de mettre du sel de mon côté ? Faire des efforts ? Je n’étais pas sûr à cette idée mais je le faisais tout de même. J’étais prête sûr qu’Avia me giflerait d’être stupide et gentil, là. Mais bon. Je ne pouvais pas faire preuve de rancune sans cesse sinon mon père aussi finirait dans une corbeille à fruit pour être distribué dans un zoo. Je l’entendais me dire qu’il était génial, je venais donc de parler de mon fils… avec tellement de tendresse, vraiment. J’étais parti dans mon discours digne d’un papa et cela me faisait un bien fou. Une fois tout dit, je la regardais, elle semblait dans le vague et mon portable vibrait, je recevais un message écrit sur celui-ci. C’était le numéro de l’école. Je leur avais demandé de toujours me prévenir avec des sms quand il y avait besoin. C’était dans mon dossier et surtout par ce que je ne regardais pas toujours mon portable. J’avais tendance à rater mes appels et surtout oublier de rappeler les personnes et même quand je voyais le numéro. J’avais toujours été un brin tête en l’air donc. Je l’entendais alors me dire que je l’aimais beaucoup et que c’était tout ce qui comptait, je souriais doucement en hochant la tête mais ne sachant trop pas comment faire alors que j’avais reçu un message qui me demandait d’aller à l’école pour passer prendre Reed qui apparemment était malade. Fausse alerte ? Je n’en savais rien car ils savaient parfois appeler pour tout et n’importe quoi. Moi, non mais la fille d’un de mes collègues, elle semblait être malade dès qu’elle toussait une seule fois alors qu’une toux ne nécessite pas à faire rentrer un enfant. Je penchais doucement la tête, l’écoutant alors continuer. Je ne pensais qu’à : comment je vais faire pour lui dire que je dois aller chercher notre fils ? Et allais-je lui proposer de venir ? J’y pensais un peu mais trop peu. J’inspirais doucement en entendant la suite, la regardant attentivement en soupirant. « Si, il a manqué de quelque chose… », disais-je en haussant les épaules. « Je ne suis pas toi, je ne peux pas te remplacer même si j’étais tout pour lui ! », disais-je aussitôt en haussant les épaules et répondant rapidement à mon sms pour prévenir que j’allais passer le prendre mais qu’il fallait aussi prévenir Reed que sa maman venait aussi. Je voulais qu’il se prépare à l’idée et je savais que son institutrice qui était une amie de lycée à cette époque connaissait brièvement la situation. « Reed est malade, je dois aller le chercher à l’école. », disais-je alors soudainement en relevant le regard vers elle aussitôt le message envoyé et mettant le portable dans ma poche, l’y glissant naturellement en soupirant légèrement, me passant une main dans la nuque. « Ecoutes… », disais-je en inspirant. « Je ne sais pas comment il réagira et peut-être même qu’il m’en voudra mais pas grave, il ne m’en voudra pas longtemps et je m’y ferais… mais si tu veux, tu peux venir avec moi ! », disais-je alors en me disant que mince, j’aurais peut-être dû lui demander avant de prévenir ? Je riais nerveusement. « Quoique en fait, tu n’as pas le choix car j’ai dit que je venais avec toi à son institutrice pour qu’elle l’y prépare donc si tu dis non,… », je riais nerveusement à nouveau. Je me disais que dans ce cas, serait-il déçu ? Ou heureux ? je ne voulais pas vraiment me rendre compte de sa réaction si elle refusait l’offre. Dans le fond, je n’allais pas lui proposer souvent et ça me tuait un peu de lui proposer, je n’avais pas encore confiance en elle. Je ne savais pas si je prenais la bonne décision et dans le fond, comment le savoir ? C’est tellement impossible de deviner.
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mot doux de Sedna L. Azarov-Ieline ► un Lun 23 Juin - 16:37
please forgive me
please forgive me, i know not what i do Please forgive me don't deny me, this pain i'm going through please forgive me every word I say is true.
Je rêve de l'inconnu. Je rêve d'un meilleur Ailleurs, d'une bravoure inespérée, d'une force herculéenne. Mais je n'ai que moi, mon esprit divaguant, mon intérieur si fragile. Tout l'est tant. Je navigue entre deux rives. Moi j'arrose mes souvenirs, une pluie d'été salée dévale souvent mes joues blanches. Je ne suis qu'une fille qui crie, je ne suis qu'une fille en crise. Je souris, parce que ça fait bien, et que je suis jolie déguisée d'un bonheur factice. Mais je ne suis pas douée pour feindre la bonne humeur. Malgré tout, l'orage en moi se dissipe un peu. L'accalmie, une trêve, une pause.
J'ai un enfant, si parfait, si joyeux, le regard si près des étoiles. Je parie qu'il cherche la lune lui aussi, le soir lorsque les lumières s'éteignent. J'ai gardé cette habitude en moi. Cette chose qui brille en lui, est-ce que c'est ça l'espoir ? Est-ce que c'est ce que je vois quand je pose un oeil sur lui ? Je me prends à espérer. Doucement, j'espère. Doucement, je pense à lui. C'est comme quelque chose de puissant en moi, une sensation neuve d'avoir une pensée unique dans la tête. Une obsession. Un enfant c'est trop fort. Un enfant ça peut faire bouger les convictions qui paraissaient inamovibles. Tout est devenu clair, sensible, lumineux. Je vois tout nettement. Caleb me regarde, je le fixe aussi, j'ai un regard doux, je me veux calme et sereine. En réalité, je ne le suis qu'à moitié, ça c'est encore à changer.
Il avait appuyé là où ça fait mal. Il m'avait fait craquer. J'avais épuisé mon corps, j'avais puisé dans mes ressources de larmes les plus profondes, maintenant, je n'étais qu'un puits vide. J'étais moins triste, je n'avais plus la force d'être trop triste devant lui. Dans mon esprit, l'envie de me battre revenait. J'avais manqué à Reed, c'est une évidence, parce qu'on ne peut pas grandir sans mère, c'est un manque à combler, un vide immense, un ciel trop sombre, un bisou en moins sur le front la nuit.
« Je sais... Mais... Je suis là maintenant. Je suis là très tard. Trop tard. Mais je suis là. » Un long soupir m'échappa. Caleb baissa la tête, le temps de lire un SMS. Je détournai la tête, pour ne pas avoir l'air indiscrète ou je ne sais quoi d'autre. J'avais gardé des notions d'éducation tout de même. Il m'annonça que Reed était malade. Oh... Soudainement, une crainte m'envahissait. Ce n'était qu'une maladie, une grippe, un rhume, une gastro peut-être. Mais j'avais peur malgré moi. Mes yeux roulèrent comme des billes, je ne savais plus comment réagir. C'était incroyable, j'avais peur comme une mère. J'inspirais un grand coup juste avant qu'il ne me propose de l'accompagner. Mon coeur bondit dans ma poitrine. Je me surpris à sourire, ce qui n'avait rien de très surprenant.
« Si tu es d'accord. Je viens. » Il ajouta à cet instant le "J'ai déjà prévenu l'institutrice, donc si tu viens pas..." A mon tour, comme pour suivre le mouvement, je me mis à rire nerveusement. Je me relevais, (j'étais encore sur le congélateur.) rajustant mon sac en bandoulière sur mon épaule. J'allais lui emboîter le pas, le suivre sagement, jsuqu'à l'école de Reed. Juste avant de quitter la pièce, je m'arrêtais derrière lui, l'interpellant d'une voix faible. « Attends... » Je marquais une pause avant de continuer. « Rien. » Rien, je t'assure. J'avais juste... Peur. Mais c'était pas la première fois que je le voyais. Il avait du mal à m'accepter, je l'avais senti, je l'avais bien vu. Et j'en souffrais atrocement. Mais je devais tenter l'aventure du courage. Je devais être moins lâche. Cette fois je passais devant, ouvrant la porte de la réserve et lui tenant pour qu'il passe.
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