l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
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bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Caitlyn A. Hemingway et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! happy girls are the prettiest
| mot doux de Caitlyn A. Hemingway ► un Mer 20 Juil - 13:25 | | | Malgré les épreuves de la vie, on pouvait toujours compter sur la famille. Je pouvais compter sur mon frère, sur ma mère, sur mon beau-père, sur ma belle-sœur et sur mon neveu. J’étais chanceuse d’avoir cette famille qui m’entourait. L’épreuve que j’avais connue en début d’année avait été particulièrement difficile. Devoir faire le deuil de mon fils avait été déchirant. Mais aujourd’hui, je reconnaissais avoir trouver une stabilité. Je me sentais capable d’affronter sans crainte les jours suivant, et plus que cela sans culpabiliser. J’avais compris qu’être une bonne mère n’était pas de culpabiliser d’avoir cette chance de vivre, mais bien de vivre pour mon fils. Bien entendu, toujours j’aurais des questions en tête, me demandant ce qu’il serait devenu, comment il aurait grandi. Mais je n’aurais jamais de réponse alors j’essayais de les mettre de côté pour me reconstruire petit à petit.
Ma vie avait donc retrouvé un certain calme alors que je ne pouvais être que spectatrice de celle de mon frère et de ses péripéties. Je me demandais bien comment il avait réussi à se mettre dans cette situation et l’excuse de la perte de mémoire ne tenait pas à mon gout. Il fait chier quelque part et maintenant, il devait vivre avec. J’étais personnellement très proche de Cordélia même si avec mon deuil, je m’étais éloignée d’elle. Je n’avais jamais supporté l’ex de mon frère et j’étais donc naturellement team Cordy. Elle était pour moi, celle qui était faite pour lui et j’aimerais tellement qu’il soit aussi sur que moi je l’étais. Mais je savais que je ne pouvais pas lui demander cela. Alors j’essayais de me montrer comme un soutien, que cela soit pour mon jumeau ou bien pour sa femme.
J’avais décidé de donner rendez-vous à cette dernière pour une petite séance de jogging. Elle avait accepté et j’en étais bien heureuse. Cela faisait une éternité que nous nous étions pas retrouvé toutes les deux pour discuter un peu. Vêtue d’un ensemble de jogging, j’étais arrivée au pas de course après avoir garé ma voiture au parking non loin. J’aimais beaucoup ce parc. Au fond de moi, je m’imaginais avec le landau de mon fils, assise dans l’herbe et lui entrain de prendre le sein. J’aurais tellement aimé pouvoir vivre cela avec mon fils. Mais je devais accepter, je n’y arrivais pas toujours mais je m’améliorais. Arrivant au niveau de l’arbre sous lequel nous avions rendez-vous, je commençais doucement mes étirements à l’ombre. Il faisait une chaleur relativement difficile à supporter malgré l’heure tardive de ce début de soirée.
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| | | Cordelia S. Hemingway et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Cordelia S. Hemingway ► un Mer 27 Juil - 16:03 | | | Caitlyn & Cordelia
Il y avait un petit moment que je n’avais pas vu ma belle-soeur. Je savais qu’elle traversait une période difficile mais je savais aussi que parfois elle avait besoin d’être seule. D’autant plus que maintenant, il était difficile pour moi d’être sans Adam, mon bébé. Donc il est vrai qu’on avait réduit nos rencontres. Je la comprenais, même si je n’ai pas vécu son drame, mais en étant maman, je pouvais comprendre son ressenti. Si j’avais porté pendant neuf mois Adam et qu’à la naissance on me l’avait enlevé, je n’aurais jamais pu le supporter. Mais je dis ça, parce que, j’ai la chance de l’avoir avec moi alors que Caitlyn n’a pas pu connaitre cela. Mais je savais aussi que Caitlyn était quelqu’un de fort et qu’elle essayait de garder la tête haute. Plus tôt dans la matinée j’avais d’ailleurs reçu un message de ma belle-soeur qui avait envie de me voir. J’étais très réjouie devant ce message. D’ailleurs j’avais de suite appelé ma grande soeur pour qu’elle puisse me garder Adam. En plus, Caitlyn me proposait d’aller faire un jogging. J’en avais tellement besoin en ce moment. Ma vie était un vrai yoyo et j’avais perdu un certain rythme. Adam me réveillait pratiquement toutes les nuits ces derniers temps. Il commençait à sortir les dents et les crises de pleurs surgissaient que la nuit. Du côté de Caleb, je le trouvais assez bizarre en ce moment. Très pris par son travail, je le sentais éloigné de nous. Mais comme je ne voulais pas l’envahir alors je le laissais faire même si je commençais à m’inquiéter. J’enfilais une petite tenue de sport, assez légère, parce qu’il faisait chaud et je commençais à me diriger vers l’endroit où m’attendait ma belle-soeur. Je la remarquais au moins, à notre arbre et je m’approchais d’elle. “Coucou ma beauté.” Je lui plaquais une longue bise sur sa joue. Caitlyn c’était ma belle-soeur d’amour, la jumelle de mon mari mais surtout c’était comme une meilleure amie. Elle m’avait soutenue dans de difficiles moments et surtout je savais qu’elle était avec moi et qu’elle n’avait jamais aimé Sedna. Une façon pour moi de me dire que finalement je n’étais pas follet que j’avais des raisons d’être jalouse. |
| | | Caitlyn A. Hemingway et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! happy girls are the prettiest
| mot doux de Caitlyn A. Hemingway ► un Dim 31 Juil - 11:22 | | | Pendant un moment, je me suis éloignée de Cordélia, je veux bien le reconnaître. La voir maman alors que je n’avais pas cette chance était une chose que j’avais eu beaucoup de difficulté à accepter et cela peu importe de qui il pouvait s’agir. J’avais créé un sentiment de jalousie envers mes amies et ma belle-sœur qui avaient pu vivre une grossesse sans le moindre problème et qui étaient à présent mamans. Cependant, j’avais passé ce cap. J’avais réussi à accepter la situation et me dire qu’à présent, je me devais de vivre pour le souvenir de mon fils. Je me sentais plus forte face à cela.
Une bonne séance de sport à l’air libre était sans doute ce qu’il y avait de mieux pour rattraper les derniers mois. Ma belle-sœur me manquait et les derniers comportements de Caleb qu’il avait pu me confier me faisait comprendre qu’elle était sans doute isolée. Il fallait briser se cercle et j’espérais au fond de moi que Caleb finisse par retourner vers sa famille. Je comptais lui en parler dès que j’aurais l’occasion d’attraper ce coup de vent. Cordy arriva tout en tenue de sport et me fit une grosse bise à laquelle je répondis de la même manière. Cela me faisait tellement plaisir de la voir surtout que je pouvais constater qu’elle avait totalement sa ligne d’avant bébé et je devais reconnaître que c’était impressionnant. Je connaissais des femmes qui ne s’en remettaient jamais physiquement.
« Comment tu vas ? » lui demandais-je alors tout en reprenant mon étirement. C’était sans doute une question très bateau mais elle était pour autant très sérieuse. Je voulais savoir comment la jeune femme allait. Cela faisait trop longtemps que nous n’avions pas parlé réellement et je voulais rattraper le retard et m’assurer d’être digne d’être sa belle-sœur et même sa meilleure amie. Attrapant mon pied, je relevais la jambe en arrière et je sentais le soulagement de mes muscles de se sentir aussi étirés. Bien entendu, par la suite, je finirais par avoir des courbatures, cela faisait trop longtemps que je n’avais pas couru, mais à cet instant précis, cela me faisait énormément de bien. « Cela fait longtemps qu’on a perdu cette habitude de courir, il va falloir corriger cela. » Faire du sport était aussi important physiquement que mentalement.
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| | | Cordelia S. Hemingway et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Cordelia S. Hemingway ► un Mar 2 Aoû - 15:54 | | | Caitlyn & Cordelia
J’étais vraiment contente de retrouver ma petite blonde et je souris plus grandement quand Caitlyn me rendit mon baiser sur la joue. Malgré tout ce qui lui était arrivé, elle était toujours aussi radieuse. C’est vrai, je la trouvais magnifique et je retrouvais énormément de Caleb en elle. « Comment tu vas ? » La question banale mais très important parce que depuis le temps que je n’avais pas vu ma belle-soeur, j’avais beaucoup de choses à lui dire. J’allais surement me plaindre mais je devais lui parler de mes inquiétudes au sujet de Caleb. “Moi ça, va mais Caleb est très bizarre en ce moment et je ne sais pas ce qui cloche. Je crois que c’est cet article sur je ne sais même plus qui, le maire, je crois. Il n’arrive pas à écrire et ça déteint sur notre famille.” J’avais besoin de tout lui exposer clairement. Je savais que Caitlyn trouverait les mots pour me rassurer. C’était également volontaire de ne pas lui parler d’Adam. Je respectais son deuil par encore terminé et si elle souhaitait des nouvelles de mon bébé, j’attendrais qu’elle m’en demande. Et si elle ne m’en demandait pas, en tout cas, je ne le prendrais pas du tout mal. “Et toi, comment tu vas?” J’appréhendais toujours de poser cette question à ma belle-soeur mais c’était ce qu’on appelait la politesse et puis de toute façon j’étais sûre qu’elle aurait des choses à me dire. Tout en discutant avec elle, j’attrapais facilement chacune de mes jambes à la suite pour les étirer. Après ma grossesse, je m’étais tout de suite remise au sport. c’était important pour moi de retrouver mon corps d’avant bébé Adam et honnêtement j’étais fière du résultat. J’avais l’habitude de courir, mais généralement j’y allais seule, mais aujourd’hui, que Caitlyn soit avec moi me réjouissait encore plus pour faire du sport. Il fallait que je me vide l’esprit, plutôt tourmenté en ce moment, et c’était la meilleure solution. “Moi je suis souvent libre tu le sais, il suffit que tu me préviennes.” Bon il fallait que je fasse garder Adam, mais ça ce n'était pas un problème. Bien au contraire, ça m'habituerait mieux à l'avoir loin de moi. |
| | | Caitlyn A. Hemingway et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! happy girls are the prettiest
| mot doux de Caitlyn A. Hemingway ► un Dim 14 Aoû - 15:24 | | | Comment tu vas ? Est une question que j’ai très souvent entendu et pour laquelle, je refusais bien souvent de donner une réponse, il fut une époque. Il fallait dire que j’avais mis du temps à réaliser le deuil de mon enfant disparu en début d’année. A chaque fois que l’on me posait cette question, j’apportais une autre question afin de ne pas avoir à répondre à la question car il était bien évident que cela n’allait pas et je n’avais pas la force de mentir ou bien de dire que je ne tenais pas le choc. Mais cette période était passée. A présent, je me sentais capable de répondre à nouveau à cette question, je me sentais suffisamment forte pour savoir qu’il s’agit de la vérité cette fois-ci.
Cordélia avoua son inquiétude à propos des difficultés de mon frère dans l’écriture. Il était de ce que me disait ma belle sœur bloquée, en panne d’écriture. Il fallait dire que certains sujets étaient toujours moins intéressants ou bien plus inspirant. Tout était question de motivation pour réussir à passer outre un manque d’inspiration. Moi-même réalisant des scenarios chaque mois pour une série, je devais bien reconnaître que ce n’était pas facile. Certains personnages de la série ne m’inspiraient tout simplement pas alors que j’avais pour rôle de les mettre en avant.
Cordélia semblait inquiète pour sa vie de famille et je pouvais la comprendre. « Il va finir par se débloquer. » Je n’avais jamais vu Caleb baissé les bras, je refusais de croire que cela commencerait maintenant. « Tu arrives à gérer avec Adam ? » Si je m’étais préparais, inutilement, à élever un enfant seul, ce n’était pas le cas de Cordélia qui espérait sans doute le soutien de Caleb. Au vue de ce qu’elle me disait, je me doutais qu’il ne devait pas être très présent et ce n’était pas une chose facile.
Naturellement, la question me fut renvoyée et j’eu un sourire doux. Pour l’une des premières fois, il était naturel et absolument pas forcé. Comme quoi, ce genre de réaction ne s’oubli jamais. « Et bien, je dirais que le travail m’aide beaucoup et j’arrive à accepter l’idée de vivre heureuse pour Léo. » Je gardais le sourire fier de cette nouvelle philosophie qui m’aidait à tenir le coup. « De plus, la production a accepté que l’un des personnages invités portent son nom. » Là aussi, cette proposition m’avait fait vraiment chaud au corps.
Continuant mon étirement, je finissais par les épaules alors que la belle brune me disait que je ne devais pas hésiter si je voulais la voir plus souvent. Maintenant que j’avais retrouvé ma stabilité et l’envie de vivre, il était clair que c’était plus facilement pour moi de réaliser des projets ou de simple sortie. « Je n’hésiterais pas. » Buvant une gorgée d’eau, je plaçais ma gourde sur attaché à la hanche avant de resserrer ma queue de cheval. « Tu es prête ? »
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