l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 28 Déc - 12:14 | | | Un jour, le diable s’est pointé dans mes rêves. Il m’a chuchoté des mots doux dans l’oreille pour me tenter de le rejoindre. Je ne savais pas vraiment pourquoi il penserait que j’acceptais mais depuis, je dormais mal. Bien sûr, je plaisante. Oui, bien sûr mais il fallait avouer qu’en ce moment, je n’étais pas toujours de bonne humeur. Je me sentais… je ne sais pas. Fatiguée ? Oui, dans tous les bons sens car c’était juste les enfants, le café et savoir que bientôt, j’allais reprendre à la caserne comme un brave petit pompier. Je n’étais pas pressée. Non. J’étais effrayée pour une raison que je ne comprenais pas vraiment. J’avais envie de fuir certaines responsabilités ces jours-ci. Pas celle de maman… non mais fuir le boulot, fuir les pompiers et juste m’enfouir dans mon esprit pour aller dans ce rôle de maman qui m’inspirait bien plus de confiance. Je me sentais juste vidée. Rentrer pour voir Nora sourire était bien mieux qu’autre chose. Passer un moment avec mon mari aussi était relaxant. Je ne réfléchissais plus une fois contre Aiden, les yeux fermés. J’avais besoin de vacances, j’avais besoin de me relaxer mais je n’en avais pas l’occasion. J’offrais un sourire assez timide à Grace alors que je me levais de ma chaise en allant vers Nora qui levait les bras assise par terre. Apple était sûrement avec Aiden ou avec Lenaelle. Je ne savais pas vraiment. Je n’en savais rien du tout. « Parfois je rêverais tellement de m’enfouir avec mon mari et mes enfants pour me reposer enfin aller en vacances mais c’est presque du luxe avec le café ! », disais-je alors en riant doucement et même si ça me faisait rire, c’était tellement mais tellement vrai. Je secouais doucement la tête en passant une main dans mes cheveux avant de lui offrir un nouveau sourire. Nora dans l’autre main posée sur mes hanches se contentait d’attraper une mèche de mes cheveux avec délicatesse. Elle souriait en passant ses mains dans mes cheveux, terminant par un « wouah » comme si c’était la chose formidable de ses rêves. Elle sautillait sur place en regardant Grace. « Tata ! », disait-elle en tendant les bras vers elle. Elle sautait comme pour aller de bras en bras mais je la retenais sinon ça serait de bras à sol pour l’instant. « Tata… », je riais doucement. Elle savait faire des phrases mais elle était dans sa période flemme. Elle évitait un peu de parler comme si elle avait tout appris ou comme si elle avait compris qu’on pouvait le comprendre. Je levais les yeux en souriant. « Dis plus vite, Tata, je peux aller dans tes bras ! », disais-je en ayant imitée sa voix fluette qu’elle a en général. Elle tournait un regard un peu noir vers moi en secouant la tête et elle retournait son regard vers Grace. « Bon d’accord… », soufflais-je en la tendant à Grace tandis que mon téléphone sonnait gentiment sur l’îlot centrale de ma cuisine. J’allais le chercher en checkant rapidement si je n’avais pas d’autres notifications avant de décrocher. Au fil des mots, je passais de plusieurs émotions : d’abord la surprise et l’incompréhension quand j’apprenais que c’était l’hôpital qui me contactait. Je me demandais ensuite ce qui se passait. Je devenais blanche, perdant un peu le contrôle de mon corps alors que je tentais en vain d’attraper mon verre de vin pour en boire une gorgée mais je semblais avoir plus de mal qu’autres choses. Dylan ronchonnait dans son parc, laissant quelques cris d’ennuis se faire entendre. Je tournais rapidement mon regard vers lui mais l’infirmière m’apprenait les faits. « Vos parents ont eus un accident, ils sont aux urgences mais… », je sentais mon cœur se serrer au « mais » mais je n’étais pas stupide. Je savais que Joan ne serait pas dans la voiture avec papa donc c’était Jane et papa. Oui, voilà. Je le savais et c’était normal. Alertée, je lançais un regard de panique vers Grace qui ne devait rien comprendre. Je pourrais même mettre le haut-parleur mais ce n’était pas une bonne idée. « Quel hôpital avez-vous dis ? », demandais-je alors qu’ils ne tardaient pas à me répondre. J’hochais la tête, c’était mon hôpital habituel et je connaissais le chemin par cœur. « J’arrive ! », disais-je avant de raccrocher. J’en savais plus. Je savais plus sur ce mais. Je ne voulais juste pas en parler. Je fermais doucement les yeux en relevant mon regard alors que je les ouvrais vers Grace. « Il faut qu’on aille à l’hôpital ! C’est… papa et maman ! », disais-je avant de regarder à nouveau mon téléphone pour contacter Lenaelle d’urgences. Elle était à côté donc c’était rapide. Une fois les enfants en bonne compagnie, direction l’hôpital. Sur la route, je prévenais Andrew et Kate car je savais que Kennedy n’était pas en ville en ce moment. Il était allé retrouver ses enfants qui faisait noël avec leur mère mais pas en ville. Sur le chemin, des débris d’un accident. Leur voiture dans un état assez pitoyable était bien reconnaissable. J’avais contournée au possible les lieux mais je me sentais mal. Je me sentais effrayée. Je savais que Jane était entre la vie et la mort mais je n’en savais pas plus pour notre père. Une fois à l’hôpital, je garais la voiture au plus proche de l’entrée. |
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| mot doux de Invité ► un Lun 28 Déc - 21:00 | | | La journée n’avait pas été géniale bien au contraire, elle avait commencé avec une chute de Leah dans les escaliers et une visite chez le médecin. C’était les vacances de Noël et je n’avais aucune envie d’aller aux urgences. Et puis elle avait surtout une grosse bosse, c’était ce que m’avait dit le médecin. Au moins, j’étais rassurée, nous étions rentrées et j’avais appelé ma mère pour lui dire que je préférais garder ma fille à la maison ce jour, et qu’elle puisse prévenir papa que Leah avait fait une chute et que je préférais rester auprès d’elle plutôt que d’aller à la radio. Il était tôt ce matin, encore pas loin de 9heures du matin. Leah m’aidait à faire un gâteau pour le midi pendant que Dylan était dans son atelier en train de peindre une nouvelle toile. La matinée se déroulait plutôt calmement pendant que je préparais mon gâteau jusqu’à ce que je me brûle le haut de la main. Vite, vite sous l’eau froide. Rien n’allait vraiment. Il ne manquait plus qu’un couteau taillant ma main et c’était la fin des haricots, je ne voyais plus autrement. Du côté de mes hormones, en plus, ce n’était pas le top. Je savais que je n’étais pas enceinte mais depuis un mois je ne cessais de pleurer pour un rien comme si je sentais que quelque chose n’allait pas dans ma vie. Je respirais un bon coup pendant que ma main était sous l’eau froide pendant plusieurs minutes. Une fois tout cela passait, je servais le déjeuner puis la vaisselle et enfin je m’affalais dans le canapé avec la petite puce et nous nous mettions devant un dessin animé. Pour la cinquième fois du mois je crois, je regardais à nouveau la Reine des Neiges avec Leah. La petite vêtue de la robe d’Elsa était déjà en train de s’endormir sur moi et je n’allais pas tarder à sombrer. La reine des Neiges, c’était un beau dessin animé je ne disais pas le contraire, même que je l’aimais bien mais… Trop c’était trop. Je m’endormais devant, par fatigue surement. Je me réveillais en sursaut quand j’entendis le téléphone. Leah avait déjà attrapé le téléphone et avait répondu. « Maman, c’est tata Laby. » dit-elle avec une voix triste. « Lullaby… Qu’est ce qu’il y a ? » Il n’était pas normal qu’elle m’appelle comme ça en plein milieu d’après-midi sans même un SMS avant, elle s’assurait toujours que je n’étais pas en train de faire autre chose. Les mots « hôpitaux » « maman », « papa. » Parlait-elle de Joan ? Peut-être ! Intérieurement j’espérais elle n’avait pas prononcé Jane, elle ne l’appelait plus maman depuis plus d’un an. Je n’avais pas entendu Jane, cela voulait-il dire ? Non. Encore une fois. Non, je ne pouvais pas encore perdre quelqu’un dans ma famille. La perte de Luke avait été particulièrement compliqué. Pour l’ensemble d’entre nous, même si c’était Joan je ne pouvais ne pas être insensible. Mon cœur ne fit qu’un tour. J’allais voir Dylan après avoir raccroché, lui demandant de s’occuper de Leah pendant l’après-midi. Et je pris la voiture, l’hôpital c’était toujours le même chemin. Je le prenais par habitude et je me laissais guider par l’instinct, je me garais devant l’hôpital. En environ quinze minutes, j’étais là. Je vis la voiture de Lullaby à quelques mètres de la mienne. Je me précipitais à l’intérieur de l’hôpital et je vis ma sœur, mes sœurs. Andrew ne devrait pas tarder, Kennedy était parti voir ses enfants. Le visage inquiet de Grace, cela voulait dire que ce n’était pas Joan. Je retenais les larmes, je ne pouvais pas pleurer, je ne pouvais pas. Je voulais juste en savoir plus. Mon regard. « Laby… » Mon visage, cela voulait dire ne m’annonce pas le pire, ne me dis pas ce que je ne veux pas entendre. Ne me dis pas ce que je ne peux pas entendre. Je respirais encore une fois, je me contenais, les infirmières courraient de partout dans quelques instants on nous dirait surement que toute l’inquiétude n’était que passagère. |
| | | Andrew Jones et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administrateur d'amour
| mot doux de Andrew Jones ► un Mar 29 Déc - 0:45 | | | Avec Devon nous avons prévu de passer un petit moment seul chez moi. Enfin, mon petit frère Elliot était lui aussi présent dans la maison mais, il était dans sa chambre en train de dormir à point fermé. Mes parents étaient partis je ne sais pas trop où et ma mère m’avait demandé de garder Elliot et comme vous l’avez compris, j’ai accepté. Ce n’est pas souvent qu’on me demande de garder mon petit frère, peut-être que mes parents ont peur que le petit soit dans le futur un geek comme son grand frère ! Bref, j’étais avec Devon dans le salon, nous profitons un peu de la tranquillité de la maison familiale pour regarder des films à la télévision. Ce n’est pas de ma faute, si j’essaie d’initier la demoiselle à mon petit monde de Geek, en lui fait regarder des films de super héros ! Et encore à la base je voulais mettre The Walking Dead mais, cela attendra une prochaine fois. « Tu veux quelques choses à boire ? » Je finis par me lever pour partir dans la cuisine et attraper deux canettes de soda puis je rejoins Devon dans le salon, je jette un coup d’œil à la télévision puis je dis avec un léger sourire : « On peut regarder autre chose si tu veux ? » On ne sait jamais de fois qu’elle n’apprécie pas tellement le film. Mais, à peine installer dans le canapé, mon téléphone portable ce mets à sonner. Je prends le téléphone en main, regarde qui m’appelle. Je fronce les sourcils en voyant le prénom de ma sœur, Lullaby. Pourquoi est-ce qu’elle m’appelle ? J’espère que ce n’est pas dans le but de garder l’un de ses enfants, j’ai déjà Elliot avec moi. Mais lorsque je décroche, elle m’apprend que les parents ont eu un accident de voiture et qu’il faut à tour pris se rendre à l’hôpital… Lorsque je raccroche, je ne dis rien et je regarde un moment la table basse. Je me tourne alors vers Devon et je lui dis « Il faut qu’on aille à l’hôpital. Mes parents ont eu un accident. » Je crois qu’à ce moment je ne réalise pas vraiment la chose. Je me lève et sans même prendre le temps de réfléchir, je vais dans la chambre de mon petit frère qui dort encore. Je le réveille doucement pour pouvoir l’habiller puis, je descends rejoindre Devon. Lorsque mon regard se pose sur elle, je lui dis doucement : « Devon, j’aimerais bien que tu viennes avec Elliot et moi. Je… Je ne sais pas ce qui se passe là-haut… Et je préfère que tu viennes. » Au fond de moi, j’avais ce pressentiment qu’un truc ne va pas… C’est une étrange sensation qu’on essaye de mettre de côté. C’est donc en compagnie du Devon, que j’installe Elliot dans le siège que j’ai installé à l’arrière de ma voiture. Puis, je prends le volant pour partir en direction de l’hôpital. Pendant le trajet, je reste silencieux, je me concentre sur la route même si mon esprit à beaucoup de mal à se concentrer. Une fois arrivée au parking, je me gare pas très loin de la voiture de Kate. Je récupère Elliot à l’arrière de la voiture puis, je prends instinctivement la main du Devon dans celle que j’ai de libre pour entrer dans l’hôpital. Une fois que j’arrive vers mes sœurs, je regarde chacune d’entre elles. Je comprends rapidement qu’elles ne sont pas plus au courant de ce qui se passe. « Les filles... » Elliot se pencha pour me faire comprendre qu’il veut les bras de Grace, je lâche alors la main du Devon et le donne à ma petite sœur. Puis, je recule pour me remettre au côté de Devon. « Ou sont les parents ? Quelqu’un vous as dit quelque chose ? » J’essaie de rester calme mais, je ne me suis pas rendu compte que la vitesse des mots que je prononçais à ce moment montrer cette inquiétude. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mar 29 Déc - 3:25 | | | j'etais heureuse de passer voir ma grande sœur :oui, concrètement elle n'est que ma demi -sœur ,mais pour moi je ne vois pas les choses de cette façon là. Elle m'a soutenue après mon accident et elle m'a beaucoup aider à me sentir mieux. Ce n'étais pas du tout facile, j'en voulais à pas mal de monde et à juste titre. Mes parents et surtout toute ma famille ne supportaient plus de me voir déprimer et ils voulaient sans doute que je profite de la vie. La danse n'était pas une seule passion : c'était mon rêve. Passer du temps avec Lullaby me fait vraiment plaisir et voir les enfants. Quand,Nora ma vue elle a toute de suite voulu aller dans mes bras. J'ai toujours aimer les enfants. tata !Elle était si mignonne qu'on aurait envie de lui croquer ses petites joues. Je suis heureuse d'avoir une famille aussi nombreuse au moins on ne s'ennuie pas du tout. Nora vient enfin dans mes bras et cela me rend très heureuse, je joue avec elle pendant que ma sœur répond au téléphone qui s'est mis à sonner. Je n'ai rien compris à ce qui se passait ,mais j'avais reçue assez de mauvaise nouvelle pour les deviner. Quand ma sœur prononce le mot "Hopital " je commence à ne pas bien me sentir. Je pose la petite dans son parc pour ne pas lui transmettre ma peur et je m'approche de ma sœur tout doucement. Je n'arrive pas à prononcer aucun mot : j'espère que mes parents n'auront rien du tout. Un drame de plus chez les Jones et je suis bonne pour l'asile. Je suis ma sœur une fois que les enfants sont bien surveiller et dans la voiture c'est la panique dans ma tête. Je me tourne vers Llulaby quelques fois sans rien lui dire, arrive devant l'entrée de l'hôpital je suis bloquer et je n'ose pas y entrer. Elle s'arrête en me regardant. je ne peux pas. Je sens que si je passe cette porte, tout sera vrai, tu comprends ?dis-je très émue. J'ai passer beaucoup trop de fois cette porte :quand notre frère luke est décédée et je n'ai pas supporter. Son absence est très dur et j'y pense tous les jours. Perdre mes parents ? Non, c'est une idée que je ne pourrait pas supporter. Rien que d'y penser mon cœur se met à battre à toute allure. Je suis la petite dernière de la famille Jones et jai encore besoin de mes parents. La dernière fois que jai parler à mon père : je lui ai dit des choses tres blessantes et avec ma mere c'était encore pire. S'il vous plaît seigneur ne prenez pas mes parents : je ne veux pas assister a des funérailles et devoir me sentir coupable d'avoir été une méchante fille ingrate. |
| | | Devon R. Floyd et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Illusionniste dans un cirque ambulant, pickpocket et voyante, rien que ça ! Mais c'est ça la vie de bohème ♥ ❝ cupidon : En couple avec Andrew ♥ ❝ post-it : née à Santa Monica le 31 juillet 1994 ▬ a perdu sa famille à six ans ▬ possède le cœur de sa sœur jumelle ▬ a fuie sa première famille d'accueil ▬ elle n'a jamais été à l'école, elle a tout appris par elle-même en lisant des livres qu'elle volait ou en écoutant des cours sous la fenêtre d'une classe ▬ a grandi dans une famille qui forme un cirque ▬ n'a plus de souvenir de sa vie avant la mort de ses parents et sa sœur ▬ pour se nourrir, elle a apprit à voler et plus encore ▬ rêve de liberté ▬ il y a deux ans, elle a eut un accident de voiture qui a causer la mort de son copain. depuis, elle n'a jamais revue ses amis qui ont survécus ▬ elle a vu plus d'une centaine d'endroit aux états-unis ▬ elle fuit le cirque, en février, avec son frère de coeur ▬ arrivée à pasadena en croyant que c'était un hasard, et pourtant... ▬ adore le shopping dans des bazars ▬ a trouvé un chien, qu'elle a appelé Baloo ▬ raffole des cerises ▬ adore les choses simples ▬ ni connait rien à la technologie
MY ARTISTIC NAME IS COCO ☆
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : avatar chounette / gif tumblr ❝ avatar : Katerina Graham ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demandez, je vous dirai ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par les fantômes de son passé. GRANT ▬ (g.gustin) le geek stéréotypé qui n'aime pas les étiquettes pré-faites. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman qui profite des plaisirs d'avoir un enfant, mais ignore ce qu'est la vie de parent à deux. ALVIN ▬ (m.bomer) l'homme a la vie rocambolesque et pire qu'un roman policier. JONAS ▬ (r.amell) le jeune adulte prêt à s'amuser, mais qui est aussi tendre qu'un bisounours. JAMIE ▬ (d.gillies) le rationaliste qui ne croit pas à l'imagination, sauf celle de ses propres mensonges. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui n'a pas peur de se briser un ongle et qui est fan des Red Sox.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1497 ❝ depuis : 21/06/2015 ❝ mes sujets : lenaëlle ▬ jared ▬ jones ▬ julian ▬ andrew ▬ andrew ▬ grace Closer you look less you'll see
| mot doux de Devon R. Floyd ► un Mar 29 Déc - 5:03 | | | jones & l'intrus la famille s'est de pouvoir s'inquiéter pour les autres dans les pires des situations mais de perdre le contrôle par moment
Avec le cadeau que m’avait offert Andrew pour Noël c’était plus simple de se rejoindre. C’est ainsi que j’avais accepté de venir chez lui alors qu’il gardait son petit frère. Moi et les bébés… Je préférais ne pas trop y toucher, par chance il dormait dans sa chambre alors que nous étions dans le salon. Blotti contre mon ami, je regardais silencieuse la télévision. Je n’y comprenais pas grand-chose à ses histoires de héro, mais dans l’ensemble ça me plaisait bien. Surtout que la vue de ces hommes en costume était plus qu’intéressante. Surtout le châtain au costume patriotique. Mais passons. La tête appuyée sur l’épaule du brun, je la relevais pour le regarder. « Je veux bien, merci. » Comme toujours, je n’arrivais pas vraiment à m’imposer chez les gens. Je prenais simplement ce qu’on m’offrait sans poser de résistance. C’était déjà bien assez gentil ainsi, je n’allais pas faire ma difficile, surtout que j’étais loin de l’être. Me remettant droite, je continuais à regarder le film. Tournant la tête en le regardant revenir canette à la main. « Non, ça va. J’aime bien en fait, même si je ne comprends pas tout. » Je ne pouvais pas dire que c’était le genre de film que je suivais instantanément, mais il savait susciter mon intérêt. Je prenais la canette qu’il m’avait amenée, la tenant entre mes mains, mais étant trop captivé par les images, je ne pensais même pas à l’ouvrir. J’entendais alors une sonnerie, n’étant pas encore habitué, je ne prenais même pas la peine de regarder si c’était le mien. Par chance, ce n’était pas le cas. Du toute, à part Andrew et Jared personne ne possédait mon numéro. Et je ne pensais pas que mon hôte allait m’appeler, il avait sans doute d’autre chose à fouetter que de savoir où je me trouvais. Je n’écoutais pas les mots qu’échangeait Andrew, s’il en échangeait. Pour ce genre de chose, je n’étais jamais piqué par la curiosité. Ce n’est qu’en me tournant pour le regarder, simplement le regarder, que je réalisais qu’il observait la table basse devant nous. Fronçant les sourcils, j’entrouvrais la bouche pour parler, mais il me devançait. J’étais sans voix. L’hôpital. Ses parents. Accident. Je le regardais se lever et il montait à l’étage. Je restais un instant figé sur place, je n’aimais pas trop l’idée. Non pas de ne pas l’accompagner – s’il me demandait de venir, mais simplement de me retrouver une fois de plus dans un hôpital. À chaque fois que ça avait été le cas, un malheur s’en suivait. Secouant la tête, je déposais la canette sur la table basse, me levant à mon tour. Je fermais la télévision après avoir essayé plusieurs boutons de la télécommande. J’enfilais ma veste lorsqu’il redescendait avec Elliot, un sourire apparu sur mes lèvres. Je n’allais pas le laisser seul, je m’en sentais incapable. « Bien sûre que je viens. » disais-je comme une évidence, alors que j’ignorais même s’il me le proposerait lorsque j’avais décidé de mettre ma veste. Le suivant, je montais à l’avant côté passager. Aucun mot. Aucun son. Je n’osais pas parler, mais mon regard se posait tout de même sur lui. Je commençais à m’inquiéter, autant pour lui que pour sa famille. On arrivait finalement et je sortais de la voiture, prenant sa main je le suivais sans rien dire jusqu’à l’intérieur. Il semblait savoir où aller et je le laissais donc me guider. J’arrivais devant trois femmes, aussitôt je me sentais intimidé. Je connaissais la blonde pour avoir fait du jogging en sa compagnie et Grace. Un bref sourire à chacune d’elle, c’était tout ce que je pouvais faire. Je n’allais pas leur taper la causette à ce moment-ci. Gardant une certaine distance, je laissais la main d’Andrew m’échapper. Me pinçant la lèvre, je me demandais vraiment ce que je faisais ici. Mais je devais prendre sur moi, j’étais là pour lui. Il m’avait demandé de venir et j’avais accepté. Le voyant revenir près de moi, je le regardais laissant mes doigts retrouver les siens. De mon autre main libre, j’allais entourer son bras, avant de déposer mon front sur lui fermant les yeux. Je n’avais pas la moindre idée de comment réconforter quelqu’un, mais peut-être que ma simple présence serait suffisant. |
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| mot doux de Invité ► un Mar 29 Déc - 10:26 | | | Trois jours à peine que Leilah est sortie de l’hôpital. Sa petite chambre monotone et son lit inconfortable ne lui manque absolument pas. Et puis, avoir la compagnie de Charlie chaque nuit est tellement agréable ! Plus elle passe de temps à ses côtés et plus elle a envie qu'il reste chez elle. Mais bon elle sait très bien que cela n'est que temporaire, le temps qu'elle aille mieux. Depuis plus de quarante huit heure déjà, plus aucun vertige, ce qui est fort agréable ! Affaler sur son canapé avec un mug de thé à la menthe et avec un petit cookie, Leilah regarde un épisode de Desperate Housewives, comme depuis deux jours déjà. Bien sur, elle a mis le nez dans ses dossiers au matin déjà. Mais finalement, le repos lui va bien, elle arrive enfin à se détendre un peu, à se couper du monde, du moins, surtout du boulot. La jeune femme allait se décider à prendre un bon bain quand son téléphone lui indique qu'elle a reçu un message. C'est sa nièce Lullaby. Son message n'a rien de rassurant, Holden et Jane sont à l’hôpital, ils ont eu accident. Ni une ni deux, Leilah se lève d'un seul bond et se précipite dans sa chambre pour attraper une petite veste et son sac à main. La rouquine allait quitter son loft quand elle pense à une petite chose. Elle doit prévenir Charlie. La jeune femme fait le tour de la pièce et voit sur la table de sa cuisine un bloc note. Elle attrape un stylo dans un tiroir et écrit un petit mot à Charlie lui indiquant qu'elle se trouve à l’hôpital, en précisant, bien sur, qu'il s'agit de son frère et de sa belle sœur. Leilah ferme à clé derrière elle et prend sa voiture pour filer à l’hôpital. Une fois arrivée, elle se rend à l'accueil pour demander où se trouve Holden et Jane. Le temps qu'elle arrive jusqu'au service en question, Leilah s'imagine des millions de choses, sans oublier tout ce que cette endroit lui rappelle. La séparation d'avec Emma, la mort de ses parents. Elle déteste cette hôpital depuis vingt ans déjà. Lorsqu'elle arrive aux portes du service, elle voit déjà plusieurs personnes qui attendent dans le couloir. Lullaby, Kate, Grace, Andrew, ainsi qu'une jeune femme qu'elle ne connaît pas. La rouquine ne sait pas quoi dire en les voyant tous là. Cela lui rappelant cette attente quand sa mère se trouvait dans une de ses chambres il y a quelques années. « hey...vous avez des nouvelles ? » Leilah voit alors sa petit nièce, Grace au bord des larmes, la petite princesse de la famille. Elle ne peut alors s'empêcher de se diriger vers elle pour l'a prendre dans ses bras. Leilah n'a même pas envie de savoir ce qu'il s'est passée pour le moment, elle a juste envie de savoir comment ils vont, de savoir qu'ils sont encore là.
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| | | Holden J. Jones et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: parce que papajones elle n'a pas encore son rang ♥
| mot doux de Holden J. Jones ► un Mar 29 Déc - 20:13 | | | Crash. Ça avait presque était arrogant de sa part. De croire qu’il était intouchable. Que la malchance qui avait semblé s’acharner sur sa famille ne le toucherait pas directement. Qu’il avait été condamné à observer impuissant la détresse des autres. Aujourd’hui, Holden était aux premières loges. Pas besoin qu’un officiel de l’armée vienne lui expliquer les conditions du décès, les condoléances sincères et les besoins administratifs. Non, Holden connaissait chacun des détails de l’action. Il se rappelait de la manière dont la journée avait commencé. Comme tant d’autres avant elle. Jane et lui avaient laissés Eliott avec son frère, leur donnant l’opportunité de passer un petit moment rien qu’à deux. Un luxe pour les parents d’un nouveau-né. Dire que la situation entre Holden et sa femme avait retrouvé son éclat d’antan serait mentir, mais ils avaient trouvé un terrain d’entendre. Autant dire que l’arrivée du bébé avait réussis à les distraire drastiquement des problèmes conjugaux qu’ils avaient. Les choses n’étaient certes pas parfaites, mais elles allaient bien. Holden et Jane en avait donc profité pour se balader un peu tous les deux. Rien de bien extravagant, juste un petit moment en tête à tête, le téléphone en silencieux et les responsabilités reléguées momentanément à d’autres. Ils en avaient tous les deux besoins. Et pourtant. Holden se disait de plus en plus qu’être occupé lui donnait l’opportunité rêvée pour ne pas penser à tout ce qui n’allait pas. Aux soucis Jane, aux tensions avec certains de ses enfants, à son frère qu’on lui avait de nouveau arraché, à Luke qui ne quittait jamais réellement ses pensées malgré qu’il ait accepté sa perte. Holden n’avait jamais été doué pour gérer émotionnellement les situations difficiles, préférant enfouir les choses jusqu’à ce qu’elles soient obligées de sortir par elles même. Le couple avait décidé d’aller flâner du côté de Los Angeles, faire un peu de shopping peut être, voir des vieux amis qui sait. Le tout s’était passé rapidement, dans un tourbillon de conversations sûres et remarques futiles. Un bon moment en somme. Ils étaient tous les deux d’humeur plaisante en entamant le chemin du retour. Holden était au volant, empruntant cette route qu’il avait emprunté des dizaines de fois auparavant. Rien n’aurait dû arriver, mais on a beau être la personne la plus prudente du monde, nous ne sommes pas responsables du comportement d’autrui. Si bien qu’Holden aurait pu retourner la chose dans son esprit un million de fois, il n’y a rien qu’il n’aurait pu faire pour éviter le chauffard qui grilla une priorité pour venir les percuter violemment par la droite. Holden se souvient très bien. Il se souvient de l’exclamation de stupeur et d’effroi de Jane – le dernier son qu’il l’entendra jamais prononcer – en voyant la voiture foncer vers eux. Puis l’anticipation, la manière dont ses muscles se sont tendus en attendant l’impact. Et enfin le choc. Il l’enregistra un bref instant, juste assez pour sentir son souffle se couper, ses membres protester dans une douleur insoutenable, avant que sa tête rencontre difficilement l’airbag et que l’inconscience le prenne. Puis plus rien. Lorsqu’il reprit connaissance, c’est le plafond blanc d’une chambre d’hôpital qui l’accueillit. Il lui fallut un certain temps pour se remémorer comment il était arrivé ici. Il aurait préféré ne pas y parvenir. Son corps semblait avoir été passé au mixeur, chaque mouvement impossiblement douloureux si bien qu’il cessa toute tentative. Il tenta d’articuler un mot mais seul un grognement s’échappa de ses lèvres. Il était en vie, évidemment. Si bien que son cerveau lui hurlait la seule question digne de poser : qu’en était-il de Jane ? Sa femme. Celle qui avait partagé sa vie pendant de nombreuses années. Celles qu’il avait aimé à en crever, comme jamais il n’avait aimé auparavant. Celles qui lui avait donné de merveilleux enfants. Où était-elle ? pensa-t-il frénétiquement en essayant de trouver de la main un interrupteur qui lui permettrait de notifier a une infirmière qu'il était conscient. Son esprit lui murmurait que Jane avait été du côté de l’impact et qu’elle avait dû subir le pire des dégâts, mais la conclusion logique de cette pensée était si insoutenable qu’Holden arrêta bien vite d’y penser. Il avait besoin de quelqu’un, de n’importe qui, pour lui dire que tout allait bien se passer. Que Jane récupérait dans une autre pièce, qu’elle était saine et sauve. Holden avait besoin qu’on lui dise que le destin n’était pas assez cruel pour lui enlever quelqu’un d’autre. |
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| mot doux de Invité ► un Mer 30 Déc - 5:35 | | | Trois jours que j'avais trouvé refuge auprès de Leilah prenant soin d'elle pour éviter qu'elle soit seule mais surtout qu'elle récupère. Avec mon équipe on avait conclu que je m'occuperais des quarts de jour c'est donc encore tôt ce matin que je quittai pour m'occuper du bar, des commandes et autre trucs pour maintenir le Blind à flot. Mes habitués était content de me voir si tôt et bien sûr ils s'en donnaient avec joie pour me tirer la pipe allant du " Elle t'a bien dressé Charlie" en passant par " On va lui demander son secret!" Bien sûr je riais de ceci car au moins le soir j'étais auprès d'elle. La journée passa rapidement et comme toujours j'étais content que mes clients soient aussi satisfait. De ce fait quand Drew entra pour me remplacer pour le quart de soir je pris la direction d'un resto pour prendre le petit plat qu'elle préférait le tout bien calé devant la télé à regarder des films. J'arrivai et fut surpris de voir la porte barrée mais je me dis qu'elle devait être couchée et qu'elle ne voulait pas être dérangée.
- Rouquine? J'ai été chercher des petits plats dont tu raffoles. On mangeras devant la télé bien peinard tu en pense quoi?
Pas de réponse. Je fronçai les sourcils et allai vers la chambre pour la découvrir déserte. Je fis le tour des pièces en l'appelant et là je vis la note sur le comptoir sans attendre je fonçai vers ma voiture attrapant ma veste et mes clés au passage. Direction l'hôpital à une vitesse folle pour courir ensuite à l’accueil leur demandant l'étage ou se trouvais Holden. Après être sorti de l'ascenseur je me dirigeai vers le dit étage et je pus voir là une masse compacte de Jones. C'est fou comment je n'avais pas analysé la portée de cette grande famille. Je fis un mince sourire et cherchai la chevelure de feu de Leilah.
Bien que Holden et moi-même ne nous aimions pas beaucoup il n'en reste pas moins que je ne lui souhaite pas de malheur. Il est aimé de ses proches et c'était visible. Tiens voilà la tête rousse de Leilah! Je fendit lentement la foule pour aller la rejoindre le coeur affolé de savoir ce qui c'était passé. Je la vis avec une jeune femme dans les bras la serrant tendrement contre elle. Je pouvais sentir la tension et l'inquiétude ici dans ce couloir trop étroit.
- Leilah... On sait ce qui se passe?
Je posai sur elle un regard inquiet avant de le remonter vers les neveux, les nièces et les enfants présents tout aussi tendus que le reste des gens. Je ne le connaissais pas tous mais malgré ceci je pouvais sentir l'amour de cette famille si unie, un contraste évident avec ma famille déchirée... |
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| mot doux de Invité ► un Dim 3 Jan - 0:02 | | | Quand elle me disait ne plus pouvoir marcher, je laissais un sourire triste s’afficher sur mon regard. J’avais dit des choses, pas assez, trop peu sûrement et je me disais que ce n’était peut-être pas la meilleure chose à faire au final. Je sentais l’inquiétude monter en moi tout de même. Non pas seulement pour nos parents mais pour nous aussi. Nous étions tout de même fragile et pas seulement à cause de la mort de Luke mais à cause de tellement de choses. Elle pour son accident, moi pour mon agression et j’en passe. Des choses qui nous ferons peut-être voir en horreur les hôpitaux. J’y allais pourtant d’un pas plus sûr… sans hésiter alors qu’elle n’y arrivait plus. Je prenais alors sa main, serrant mes doigts entre les siens et souriant. Un sourire qui se voulait rassurant même si je paniquais réellement. Oh oui. Mais c’était tout moi, courageuse, toujours là pour rassurer mais jamais là pour me rassurer moi-même. Pense ce que je te dis de penser pas ce que je pense… ? C’était un peu ce que je tentais de faire. « Calmes-toi ! Ne stresses pas sinon ça va sembler plus dur encore… », et c’était vrai mais pas appliqué de mon côté. Oh oui, je stressais. Je ne voulais pourtant pas lui mentir comme on pourrait le faire à un enfant. Non, j’ignorais moi-même si tout allait bien. Je l’ignorais oui. Je caressais son bras de mon autre main en la guidant vers l’entrée comme une sœur, comme une maman aussi. L’instinct prenait le dessus même si elle était loin d’être une enfant. Elle le restait pourtant encore pour nous. Une fois à l’entrée, je voyais Kate arriver, son regard me disait tellement de choses à la fois. Je m’approchais doucement d’elle quand elle disait mon nom mais pas assez que pour lâcher Grace. « Il faut que j’aille voir un docteur ou qu’importe, trouver quelqu’un… », disais-je avant qu’Andrew arrive même en me mettant un bébé dans les bras qui semblait vouloir ceux de Grace mais arrivait dans les miens au final, je ne sais pas trop comment. Elliot. Mince, je laissais les miens à la maison pour éviter de leur transmettre ma peur et j’en avais un autre qui était dans le fond comme nous : ses parents étaient quelque part dans l’hôpital on ne sait pas dans quel état. Je le berçais doucement. Je remarquais seulement maintenant la présence de la jeune femme, je me contentais de lui esquisser un sourire sympathique, un peu de reconnaissance alors qu’elle semblait tenter de soutenir mon frère. Je m’en fichais de savoir qui elle était en ce moment. Oh oui, je m’en fichais tellement. Je tentais de le rassurer tant bien que mal. Les questions d’Andrew me semblaient comme un écho de mes pensées. Je laissais un sourire assez nerveux et vague se dessiner. Encore là à rassurer les autres. « Je vais aller voir mais détendez-vous, vous n’aiderez personne… », disais-je alors à mon frère et mes deux sœurs alors qu’Elliot faisait des bulles sans trop savoir ce qu’il se passe. Non pas du tout. Il ne comprenait pas mais il s’agitait tout de même. Après j’avais l’habitude de tenter de ne pas laisser mes émotions entraver l’humeur d’un bébé depuis Nora et Dylan. C’est la voix de Leilah qui me perturbait, je l’avais prévenue ? Comment était-elle arrivée ? Je ne m’en souvenais pas. Peut-être sous la précipitation. Peut-être que j’avais oubliée l’avoir fait ? Je n’en savais rien, c’était flou pour moi, cela se voyait à l’air sur mon visage mais mes neurones marchaient à moitié. Oui, à moitié. J’inspirais doucement en lui tendant alors Elliot (elle donne le bébé à Leilah) quand un homme arrivait derrière elle. Mon dieu mais c’était un vrai bazar. Je fronçais les sourcils. « Il y a vraiment tout le monde qui vient alors, j’aurais dû inviter la nounou et mon voisin ! », disais-je en laissant échapper un rire un peu nerveux mais c’était vrai, je commençais à me demander si les infirmiers n’allaient pas tous nous dire de sortir ! J’inspirais doucement en regardant cet homme de la même façon dont j’avais saluée Andrew. Certes je trouvais qu’on se faisait nombreux mais j’étais polie et reconnaissante tout de même. Je suis bien élevée. « On vient tous à peine d’arriver donc non pas de nouvelles mais je vais y aller… », disais-je avant de reculer. Je me retournais et laissais l’angoisse m’envahir sur le visage. Je laissais tout ce que je retenais m’échapper. J’attrapais mon portable pour répondre à un sms d’Aiden rapidement et j’allais vers l’accueil. « Bonjour, je suis la fille de Monsieur Jones, vous m’avez appelée ! », disais-je alors que je ne savais même pas si c’était elle mais c’était trop difficile de réfléchir. Ma voix était bien moins « sûre » et confiante que quand je leur parle. J’étais plus paniquée qu’on pourrait le croire. Les apparences. La jeune femme me regardait. « Ce n’est pas moi mais je vais appeler leur docteur ! », disait-elle alors qu’elle prenait le téléphone devant elle. Elle composait calmement le numéro ce qui me stressait. Je voulais qu’elle aille vite. L’appel durait peu de temps, elle raccrochait en m’offrant un sourire un peu triste. « Elle arrive dans quelques minutes ! », disait-elle alors qu’elle regardait le reste de la famille. « Vous pouvez aller dans la salle d’attente ou la cafétéria si vous voulez, je lui dirais ou vous êtes ! », je secouais la tête. « Non, je ne bouge pas ! », disais-je alors d’un ton assez radical. Je ne voulais pas bouger, non. Je n’étais peut-être pas encore prête à retourner dans la troupe de ma famille. Je n’étais pas prête encore à faire semblant. J’avais besoin de quelques minutes. Je glissais mes mains dans les poches de mon jeans, les y logeant bien au chaud en partant de mon talon à la pointe du pieds et j’inspirais un bon coup en fermant les yeux. |
| | | Aiden N. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné. ❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥ ❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava Tik Tok @gif tumblr ❝ avatar : Adam Levine ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : toujours dispo ♥ ❝ autres comptes : GRANT ▬ (g.gustin) le prodige de la musique, mais l’incompétent en relation. CARTER ▬ (a.kendrick) la jeune maladroite qui s'est retrouvée les deux pieds dans le plat à Vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du FBI accro à la caféine et une certaine chanson ! JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui aime trop la vie en arc-en-ciel. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté. JAMIE ▬ (d.gillies) le canadien qui cherche à garder son visa. GWEN ▬ (s.johansson) la philanthrope qui pense aux autres avant de penser à elle, jusqu'à aujourd'hui.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 3943 ❝ depuis : 22/07/2014 ❝ mes sujets : kylian ◮ jensen ◮ shana ◮ lullaby ◮ lullaby ◮ jones We loved with a love that was more than love – ✻ –
| mot doux de Aiden N. MacCallister ► un Dim 3 Jan - 1:36 | | | « C’est pas vrai ! » Étaient mes dernières paroles, alors que les débris de la voiture reposaient autour de moi, je ne trouvais qu’une seule chose à faire. Aider Jane. Qui l’aurait cru. J’entendais mon coéquipier dire que l’homme respirait toujours, j’en étais presque soulagé. Eh oui, j’avais beau ne pas porter le père de ma femme dans mon cœur, il restait toujours que je ne souhaitais pas son décès. Lullaby n’avait pas à subir un autre stresse comme celui-ci. « Aiden on doit l’amener à l’hôpital ! » Je relevais mon regard vers Kylian, sentant la sueur couler sur mon front. Pas le choix, je n’avais pas encore commencé les cours, et m’improviser docteur… Autant dire que je souhaitais sa mort. Installé à l’arrière de l’ambulance, je suis continuais avec un certain acharnement à panser ses plaies tout en regardant régulièrement son pouls. J’avais réussi à la réanimer avant de monter dans le véhicule, anxieux je restais à son chevet ne réalisant même pas que j’avais étendu sur mon front du sang après m’être essuyé la sueur qui perlait ma peau. J’étais décidément dans un drôle d’état, l’ambulance s’arrêtait et je sortais en vitesse pour rentrer dans l’hôpital, mon impatience et inquiétude se faisait sentir. « C’est bon on s’en occupe. » disait un urgentiste alors qu’il prenait la civière. Je relevais mon regard vers lui, pinçant mes lèvres. « Je peux vous accompagner c’est ma belle-mère ! » Je ne lui laissais pas tant le choix de sa réponse, bien décider à le suivre de toute manière. D’un signe de tête il acquiesçait et le suivait sans même me demander où se trouvait Holden, sans même penser que j’aurais pu envoyer un message texte à ma femme. J’abandonnais simplement Kylian à l’entrer sans même le regarder. Les minutes s’écoulèrent, alors que je me tenais devant la vitre de la salle d’opération. Mon cœur se serrait en regardant le cardiogramme, j’avais pu constater ses blessures, mais de là à savoir l’entendu des dégâts. Une main se déposait sur mon épaule, fermant les yeux je prenais une profonde respiration, avant de tourner la tête pour les rouvrir sur une infirmière. Depuis tout le temps où je faisais l’allé retour entre caserne et hôpital, j’avais appris à connaître certaine des infirmières. Elle me souriait, non pas ce genre de sourire rempli de joie et d’allégresse, mais plutôt un sourire compatissant. « Ça ne sert à rien que tu restes ici. J’ai vu Lullaby à l’accueil. » Je répondais d’un simple sourire sans vague sentiment, tournant la tête vers la salle où se trouvait Jane. Poussant un soupire, je remerciais tout de même l’infirmière et m’éloignant, je sortais mon portable pour envoyer un message texte à ma femme. Rien d’alarmant, aucun détail, simplement un : Je suis à l’hosto. Je n’avais pas attendu qu’elle me réponde pour prendre la direction de l’accueil. Déboutonnant ma chemise d’uniforme – pas de panique y’a un t-shirt en dessous, je roulais mes manche pour cacher la vue du sang qui s’y trouvait. Inutile de la faire paniquer alors que je n’en savais pas beaucoup plus qu’elle. Je n’avais toujours pas remarqué le sang sur mon front, toutefois. Sortant de la section bloc opératoire, je me dirigeais vers l’endroit où pourrait se trouver Lullaby. Mon regard ne se posait même pas sur la petite troupe Jones et compagnie, non je marchais directement vers elle, les laissant m’apercevoir ou non. De toute qu’est-ce que j’en avais à faire ! Parmi tous ces gens, c’est d’elle dont je me préoccupais réellement. « Hey. » disais-je doucement sans euphorie. Assurément, j’aurais préféré arriver tout joyeux jouant sur mon portable sans avoir la moindre idée de ce qui se passait. Mais c’était tout autre chose, je savais approximativement l’état dans lequel se trouvait Jane et Holden. Bon, Holden un peu moins, mais je savais qu’il était en meilleur condition que sa femme. Je tournais brièvement la tête pour finalement regarder les Jones qui se trouvait plus loin. Me mordant l’intérieur de la joue, je reportais mon regard vers Lulla. J’ouvrais mes bras, avant qu’elle vienne si blottir. Je la serrais contre moi, appuyant mon menton sur sa tête et caressant son dos. « Euh… J’étais avec… » commençais-je lorsqu’une femme vêtue d’un sarreau blanc arriva près de nous. « Vous êtes Madame Jones ? » demandait-elle, alors que j’ouvrais la bouche en disant « Oui. » Bonjour le changement de personnalité, après Lullaby avait toujours eu plus de couille que moi ! Donc bon, où est la différence ? Je relâchais Lullaby avant de l’étouffer dans mon étreinte. La doctoresse me jetait un regard incertain. « Je suis son époux. » confiais-je avant qu’elle ne pose une question, même si ça me semblait évident. Un ambulancier qui pelote – euh non réconforte, une visiteuse c’était assez too much ! La femme se raclait doucement la gorge, reprenant le court de ses pensées. « Eh bien, votre père vient de se réveiller et votre mère est toujours au bloc. Pour l’instant, je ne peux pas vous en dire plus sur son état. Mais si vous souhaiter aller voir Monsieur Jones, vous pouvez. » Elle lui indiquait la chambre d’Holden et je tournais la tête pour regarder ma brunette. Déposant un baiser sur sa joue et serrant un peu plus mon étreinte autour de sa taille, j’allais lui murmurer. « Vas-y, je vais prévenir les autres. » J’embrassais son front, et m’éloignant je me dirigeais vers Kate, Andrew et les autres – pour ne pas tous les nommer. « Salut. » commençais-je avant de porter mon regard sur chacun d’un – oui même la jeune fille agripper au bras d’Andrew. « Bon, je sais pas si je suis le mieux placer pour en parler… » Je me passais une main dans mes cheveux. « …Il semblerait qu’Holden soit réveillé. Lullaby est partie le voir. Avant que vous disiez quoique ce soit, ça ne sert à rien qu’on y aille tous, ils nous mettraient dehors. Pour Jane, tout ce qu’on sait c’est qu’elle est en bloc opératoire pour le moment. » Je n’avais pas le courage d’en dire plus, voir leur visage me donnait cette boule au ventre. |
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