l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 4 Jan - 18:17 | | | Lullaby, j'avais entendu son nom à travers la masse compacte de gens. Elle me certifia que personne n'avaient de nouvelles. Je fronçai les sourcils vraiment inquiet. Déjà que Leilah avait eu un accident il y a quelques jours voilà que c'était au tour du chef de famille et sa femme. Oui je sais on ne s'aimaient pas tellement mais de là lui en vouloir et lui souhaiter le pire il y avait une marge. Je remerciai simplement la jeune femme d'un signe de tête avant de poser ma main dans le dos de la rouquine. Que pouvais-je dire? Et surtout faire pour calmer l'angoisse et l'inquiétude de ma belle. Je me sentais un peu un chien dans un jeu de quille. Si on y pense, je ne connaissais que Holden et Leilah. Assez bizarre comme rencontre familiale. Je me vois mal faire le tour et dire "Hé bonjour, je suis le copain de votre tante" non pas trop le moment d'ailleurs.
Leilah un bébé flanquer dans les bras et tout ces gens silencieux me mettait les nerfs à vifs même si je tentais de rester calme. Un accident on pouvait en conclure n'importe quoi et même le pire. Je tentai vraiment de me faire rassurant pour ma belle mais comme tout le monde ici on espérait que tout irais bien. Des membres cassé et une bonne frousse tout simplement. Ce fut un jeune homme qui ramena le silence déjà tendu dans ce couloir trop étroit. Je poussai un soupir silencieux sachant que Holden était réveillé et puis bon même si on se présentaient tous dans la chambre on se ferait tous virer par les infirmières et le docteur. Derrière la rousse je posai mes mains sur ses épaules et les serrai doucement sous la nouvelle que Jane, ainsi c'Est ainsi que sa femme s'appelait, était encore au bloc. Ça irait bien, elle était entre bonnes mains. Je tentai au moins de m'en persuader.
Je fis un tour visuel sur cette famille éprouvée qui regardais Aiden avec espoir mais qui était aussi muet que moi. Je fini mon tour sur le jeune homme remarquant qu'il avait du sang au front. Je fronçai les sourcils et lui fit un signe discret pour lui signifier qu'il avait un truc à nettoyer. Pas de mot simplement un petit tapotement au front. |
| | | Andrew Jones et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administrateur d'amour
| mot doux de Andrew Jones ► un Lun 11 Jan - 23:36 | | | Une fois arrivés à l’hôpital avec Devon et Elliot, nous partons directement à la rencontre du reste de ma famille pour en savoir un peu plus. Lorsque j’arrive tout le monde est visiblement stressé par cette attente. Je finis par donner le bébé à ma sœur Lullaby, laissant par la même occasion Devon un peu seul pour le moment. Leilah arriva dans le moment et elle partit consoler ma petite sœur, je ne fis pas vraiment attention à ce qu’il se passe autour de mie, bien trop stressée par ce qui est en train de se dérouler à ce moment même, quelque part dans cet hôpital et le fait de n’avoir personne qui vient nous voir pour nous donner la moindre nouvelle... C’est horrible. C’est simple, les minutes deviennent des heures et les secondes des minutes C’est tout simplement horrible comme sensation. Je finis par rejoindre Devon, je lui reprends la main sans même réfléchir et je la sens venir se blottir contre moi. Je pose alors mon regard sur elle et je dépose un baiser sur le haut de sa tête. Un signe de remerciement pour être venue avec moi. Je suis en quelque sorte soulagé de la savoir ici avec moi. À ce moment un homme arriva en s’adressant à Leilah, je le regard d’un air interrogateur, c’est qui celui-là ? Ça va être le défiler ou quoi aujourd’hui ? Enfin je n’ai trop rien à dire pour le coup, mais Devon était avec moi lorsque j’ai reçu l’appel de Lula. Je ne prends même pas la peine de dire quoi que ce soit, je me tourne vers Lullaby lorsqu’elle nous annonce qu’elle part chercher un médecin. Je pose alors mon regard sur les distributeurs à café un peu plus loin. C’est plus fort que moi, j’ai besoin d’un truc à boire. Peut-être pas un truc de chaud mais, un truc à boire pour détendre mes nerfs. « Viens, je vais prendre un truc à boire. J’ai besoin de boire. » Lui dis-je en essayant de garder mon calme. Je me tourne alors vers le reste de la famille et je dis : « Je reviens, vous voulez un truc à boire ?» On partit presque aussitôt avec Devon, et une fois un peu plus loin avec elle, je lui dis : « Je suis désolé de t’imposer cela. Mais, ta présence m’aide beaucoup... » Je mis une pièce dans le distributeur puis je pris une bouteille d’eau, oui je n’ai pas pris dans la machine de chaud. « Tu veux un truc ? » Demandai-je doucement à Devon.Je m’inquiète pour mes parents et ne rien savoir me tue. On finit par rejoindre le reste du groupe lorsqu’Aiden arrive dans le moment. « Salut Aiden. » Dis-je à mon beau frère, celui nous annonce alors que mon père est réveillé et que Lullaby est auprès de lui en ce moment. Quant à ma mère, celle-ci est au bloc est nous n’avons pas d’autre renseignement. Je baisse les yeux, un petit moment puis je dis « Merci pour les info Aiden. » Je suis sure que ca ira pour ma mère… Il le faut ! |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mar 12 Jan - 0:15 | | | Je ne pouvais vraiment pas accepter d'être dans un hôpital surtout quand cela devenait grave. Mes parents avaient eu un accident et on était au courant de rien du tout. Presque toute ma famille arrivèrent au fur et à mesure, cela me faisait penser à une fête organiser qu'à autre chose. La dernière chose que j'avais dites à mes parents étaient des méchancetés remplies d'ingratitudes. Ce n'était pas digne de moi. Après, la mort de Luke je m'étais promise de ne pas refaire les mêmes erreurs et je n'ai pas su tenir parole. Ma grande sœur m'avait convaincu de rentrer et de m'installer avec tous le monde, je ne voulais parler à personne. Si,c'était dur pour nombreuses personnes qui se trouvaient dans ce couloir qui ressemblait de plus en plus au couloir de la mort, parler avec eux de la vie en générale me semblait être encore pire que l'attente. J'avais besoin d'air et surtout qu'on nous dise ce qui se passe avec maman et papa. Quelques minutes qui semblait être de très longues minutes, on venait nous annoncer que papa était en salle de réveil et maman toujours au bloc. Pendant que mon frère était parti se chercher à boire au distributeur, presque que tous le monde avaient envie daller au chevet de papa. Je ne voulais pas y aller et quelque chose me dit qu'il ne voudra pas de moi près de lui. Il peut compter sur sa fille préférée llulaby et sa petite princesse restera dans cette salle d'attente. Je me dirige vers le fond du couloir et tout d'un coup; je m'arrête devant une porte de chambre qui porte le numéro 123. Je me souviendrais de ce numéro toute ma vie, c'est là qu'on m'a dit que je ne pourrais plus jamais danser comme avant. Je fond en larmes en silence pour ne pas paraître égoïste devant tous le monde et ce n'était pas le moment. Mon père a été le premier à venir me secourir et me rendre visite à l'hôpital et comment je le remercie ? En lui faisant vivre un enger sur terre. Je ne suis pas digne d'être une Jones ! Je n'ai rien fait pour mériter d'être ici ! Je ne veux pas être cette fille ; celle qui déteste tous le monde et qui se blâme pour toutes ces erreurs passées. Je sors mon téléphone et je regarde si, je n'ai pas de message. Je reviens près des autres qui affichaient tous un visage d'inquiétude au sujet de ma mère. J'aperçois au fond du couloir une chapelle et soudain une idée me traversa. Je me lève sans rien dire à personne, après tout personne ne se rendra compte de mon absence. En rentrant dans cette chapelle ; je viens m'installer au premier rang et je me mets à demander deux trois choses au seigneurs. Je ne suis pas croyante ,mais pour aujourd'hui cela suffira. je sais que tu n'a pas l'habitude de m'entendre ,mais aujourd'hui c'est un jour assez spéciale ...mes parents sont à l'hôpital. Merci d'avoir permis à mon père de se réveiller et je voudrais que tu fasse la même chose pour maman. Perdre ma mère serait la pire des punitions pour cette famille qui a tant perdu....tu ma prise mon frère et je t'en voudrais toute ma vie ! Mais, si tu prends ma mère je ne pourrais plus jamais être moi, alors je t'en prie ne me l'enlève pas ! dis-je en,pleurant. |
| | | Devon R. Floyd et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Illusionniste dans un cirque ambulant, pickpocket et voyante, rien que ça ! Mais c'est ça la vie de bohème ♥ ❝ cupidon : En couple avec Andrew ♥ ❝ post-it : née à Santa Monica le 31 juillet 1994 ▬ a perdu sa famille à six ans ▬ possède le cœur de sa sœur jumelle ▬ a fuie sa première famille d'accueil ▬ elle n'a jamais été à l'école, elle a tout appris par elle-même en lisant des livres qu'elle volait ou en écoutant des cours sous la fenêtre d'une classe ▬ a grandi dans une famille qui forme un cirque ▬ n'a plus de souvenir de sa vie avant la mort de ses parents et sa sœur ▬ pour se nourrir, elle a apprit à voler et plus encore ▬ rêve de liberté ▬ il y a deux ans, elle a eut un accident de voiture qui a causer la mort de son copain. depuis, elle n'a jamais revue ses amis qui ont survécus ▬ elle a vu plus d'une centaine d'endroit aux états-unis ▬ elle fuit le cirque, en février, avec son frère de coeur ▬ arrivée à pasadena en croyant que c'était un hasard, et pourtant... ▬ adore le shopping dans des bazars ▬ a trouvé un chien, qu'elle a appelé Baloo ▬ raffole des cerises ▬ adore les choses simples ▬ ni connait rien à la technologie
MY ARTISTIC NAME IS COCO ☆
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : avatar chounette / gif tumblr ❝ avatar : Katerina Graham ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demandez, je vous dirai ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par les fantômes de son passé. GRANT ▬ (g.gustin) le geek stéréotypé qui n'aime pas les étiquettes pré-faites. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman qui profite des plaisirs d'avoir un enfant, mais ignore ce qu'est la vie de parent à deux. ALVIN ▬ (m.bomer) l'homme a la vie rocambolesque et pire qu'un roman policier. JONAS ▬ (r.amell) le jeune adulte prêt à s'amuser, mais qui est aussi tendre qu'un bisounours. JAMIE ▬ (d.gillies) le rationaliste qui ne croit pas à l'imagination, sauf celle de ses propres mensonges. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui n'a pas peur de se briser un ongle et qui est fan des Red Sox.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3185 ❝ Messages : 1497 ❝ depuis : 21/06/2015 ❝ mes sujets : lenaëlle ▬ jared ▬ jones ▬ julian ▬ andrew ▬ andrew ▬ grace Closer you look less you'll see
| mot doux de Devon R. Floyd ► un Mar 12 Jan - 7:07 | | | Autant dire que je ne me sentais pas particulièrement à ma place parmi ces gens que je ne connaissais pas et que je découvrais dans un moment des moins adéquats. L’idée d’être allé au réveillon de Noël au lieu de m’introduire par la fenêtre de sa chambre une fois la nuit tomber, me semblait tout à coup une meilleure idée comme rencontre. Silencieuse, je restais à l’écart m’imposer n’était pas la meilleur chose à faire. Je n’avais pas envie qu’on me prenne en grippe ou qu’on me pointe du doigt, surtout que je continuais à me dire que j’étais l’intrus dans ce couloir. J’écoutais sans dire un mot, c’était une première pour moi d’attendre ainsi. Peut-être que ce l’était aussi pour eux comme chacun posait approximativement la même question. La brunette qui tenait Elliot semblait être l’aînée comme on s’adressait à elle. Son nom, je n’étais même pas sur si Andrew me l’avait déjà dit ou alors j’avais oublié. Reprenant la main d’Andrew, je me blottissais contre lui. Comment je pouvais lui redonner cette chose qui le sécuriserait ? Je n’avais pas de mot et ça me rendait mal de ne pas savoir quoi dire, quoi faire. Bien que mes yeux fussent fermés, je laissais un faible sourire prendre place sur mes lèvres. Je resserrais mon étreinte sur son bras lorsque ses lèvres se posèrent sur mon front. Je n’ouvrais les yeux que lorsque j’entendais une voix d’homme, tournant mon regard vers celui-ci. Il ne semblait pas bienvenue ou du moins c’est-ce que la brune me fit ressentir après son arrivé. Elle n’avait pas fait de commentaire pour moi, elle m’avait simplement sourit, mais je savais que ma présence ne devait pas plaire à tous. J’étais là pour mon ami, mais peut-être que ça ne suffisait pas. Toutes leurs questions qui restaient encore sans réponses devenaient de plus en plus lourdes. Je regardais la brune s’éloigner, et sortait de mes pensées en entendant la voix d’Andrew. Mon regard se posait sur lui et je lui adressais un sourire. « D’accord. » Gardant ma main dans la sienne, je le suivais en direction du distributeur de boisson. Je m’arrêtais regardant la machine, avant de tourner mon regard vers lui. Écoutant ses mots, je me fichais bien de ce que les autres pouvaient penser de ma présence. Tout ce qui comptait à mes yeux c’était lui et s’il avait besoin de moi c’est ce que j’avais besoin de savoir pour vouloir rester ici. « Ce n’est pas grave, je resterai jusqu’à ce que tu ne veuilles plus de moi. » disais-je avec un sourire entre l’humour et la franchise. Libérant sa main, car l’accaparer tout le temps n’allait pas aider non plus. Je le regardais mettre la pièce, observant les diverses choix. « Euh… Je veux bien un jus. » Je regardais les saveurs. « Fanta. » concluais-je avant d’appuyer sur le bouton pour sélectionner mon choix et de prendre la bouteille qui tombait, récupérant la sienne au passage que je lui tendais. « Merci. » Revenant vers le groupe, je remarquais une nouvelle tête. J’allais ouvrir la bouteille lorsqu’il donna le bilan m’arrêtant dans mon geste, je portais mon regard sur tout le petit groupe, pinçant mes lèvres. Les minutes s’écoulèrent et le silence devenant un peu trop pesant suite à la nouvelle, je me surpris à parler : « Peut-être devrions-nous aller nous asseoir ? Ça ne sert à rien de rester dans le couloir. » Déjà qu’au nombre qu’on était on devait nuire dans le couloir, la salle d’attente me semblait une option plus tranquille. Je tournais mon regard vers Andrew, lui souriant avant de voir Grace s’éloigner. Je la suivais du regard, la voyant marcher dans le couloir jusqu’au bout. Peut-être avait-elle besoin d’être seule. Je restais un moment-là, à regarder la benjamine Jones, avant d’aller prendre place dans la salle d’attente. Prenant une chaise, je serrais la bouteille entre mes mains. Je remarquais à peine Grace qui revenait vers nous. Je jetais un bref coup d’œil à Andrew, mais une silhouette attirait d’avantage mon regard. Ce n’était pas Grace qui était partie, non, mais un homme plutôt amoché. « Vous êtes l’un des ambulanciers qui était sur les lieux de l’accident, n’est-ce pas ? Est-ce qu’elle va bien ? On n’a refusé de me dire si j’avais tué ce couple. » bafouait-il en regardant l’homme qui manquait cruellement de tact, mais le voir trembler ainsi on regardant celui à qui il s’adressait me faisait tout de même pitié. Sans réfléchir j’allais prendre une fois de plus la main d’Andrew. Personne n’avait besoin d’entendre cela, de savoir qui était la cause de tout ceci. Mais parfois, il y a des cons qui cherchent simplement le pardon. |
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| mot doux de Invité ► un Mer 13 Jan - 20:35 | | | L’ainée, c’était un peu ce que j’étais sauf enfin non si on compte Joshua mais on n’est pas censé le savoir. Devoir être forte pour les autres, courageuses et surtout toujours prête à encourager, rassurer sans vraiment se concentrer sur nos propres émotions. C’était un peu le fardeau d’une ainée mais on vit avec, on grandit avec, on en prend l’habitude. Alors que j’attendais, là, perchée sur mes pieds devant le stand d’informations, je devenais folle. Je devenais totalement et littéralement folle. Derrière moi une troupe de personnes et certains même que je ne connaissais pas. Je ne voulais même pas savoir ce qu’ils faisaient là, mon esprit était tellement préoccupé à se dire : pourquoi amener des rencards à l’hôpital ? Je n’en savais rien. J’étais perdue. C’était comme si j’avais invité la paroisse mais je cherchais juste une excuse pour me calmer, pour éviter de penser à ce qui cloche. Le vrai problème. La présence de tout le monde à l’hôpital. L’accident. J’attendais sagement se docteur, levant le regard vers la porte à chaque entrée comme si je m’attendais à ce qu’il soit l’unique personne à se balader dans l’hôpital. Pourquoi il ? Ça peut être une femme aussi. Pourquoi pas ? Je n’en avais aucunes idées mais dans le fond ? On s’en balance réellement. C’est en regardant cette porte quand elle s’ouvrait que je voyais mon mari, rien de plus, ni de moins. Après tout, c’était normal. J’étais comme à l’affut d’une personne dont j’ignorais le physique. J’étais un peu… inerte même si je me sentais clairement plus soulagée. Je le regardais s’approcher mais j’allais directement me loger dans ses bras sans même répondre à ces trois lettres qui s’échappaient de ses lèvres, sans même me soucier de son portable qui devenait un hochet… pour bébé assez souvent quand il était loin de lui. Je dois bien amuser le bébé comme je peux. Il n’avait même pas eu besoin au final d’ouvrir totalement les bras que j’y étais déjà arrivée. Je m’y blottissais, je ne savais pas si j’allais dire un truc ou même si je devais dire un truc. Lui, il essayait mais il semblait couper. Je ne voulais pourtant pas vraiment parler, je voulais juste oublier les problèmes pendant deux secondes mais une voix arrivait à nos oreilles. Madame Jones ? Oui enfin presque. J’en avais oublié le docteur qui devait arriver. Aiden répondait pour moi enfin pour lui enfin pour moi… enfin c’est complexe sur le coup pour moi aussi mais il rectifiait. Non, il n’était pas moi. J’écoutais la jeune femme sans vraiment quitter les bras d’Aiden. Je ne savais pas vraiment quoi dire, quoi penser. Mon cerveau semblait s’éteindre. Je me sentais bêtement comme une automate et ça semble dingue. J’en perdais le contrôle à peu prés. J’étais l’ainée mais étais-je plus apte pour autant de gérer ça ? Tout le monde avait toujours semblé le croire pourtant j’étais celle qui avait accouchée sous la panique d’un appel à la mort de Luke ? Enfin non l’appel de la mort de Luke m’avait déclenché l’accouchement pour être plus précise. Oui, voilà. Flou, mes idées étaient floues. Mes pensées s’effaçaient au fil des secondes. Aller voir mon père ? J’en sentais déjà une boule dans le ventre mais je me sentais aussi égoïste d’y aller en première mais après tout ? C’était peut-être mieux ? Je ne savais pas dans quel état j’allais le trouver. Je fermais les yeux doucement. « Merci ! », disais-je simplement d’une voix fluette alors qu’elle me montrait simplement la direction de la chambre. Je regardais Aiden qui tournait son visage vers moi. Je me sentais observée comme jamais. Je me sentais comme un mannequin dans un magazine acheté par un adolescent enfin sans le côté « Il se fait plaisir » et le côté sexuel de la chose. Enfin soit, des pensées délirantes ça fait du bien ! « Ok ! », disais-je alors qu’il embrassait mon front. « Merci ! », rajoutais-je en le laissant partir mais retenant un peu sa main quelques secondes avant que nos mains soient trop éloignées. Un peu de courage ? J’en avais besoin. Je devais y aller même si je voulais être ce bébé qui avait besoin d’être rassuré et qui avait besoin de rester dans les bras d’Aiden. J’en avais besoin mais il s’éloignait. Je n’avais d’autres choix : y aller. J’en avais envie, oui mais j’étais pétrifiée. Des pas lents, des pas rapides par moment vitaminés par l’angoisse de le perdre et suivit par des pas plus lents devant la porte. Je mettais ma main fébrile et tremblante sur la poignée de la porte. J’avais presque envie de déposer un baiser sur la porte comme si c’était lui car ça serait plus rassurant que de le voir faible. Voir mon père faible ? Je l’avais vu pleurer, je l’avais vu pleins de choses mais j’avais toujours eue la sensation que c’était moi la petite chose fragile qu’il était l’un des rares à pouvoir voir. La petite chose pas toujours aussi forte qu’elle le laisse penser. Je fermais doucement les yeux en ouvrant la porte. Je la poussais tout naturellement et entrant dans cette chambre. Un pas lent, un pas qui me semblait durer une éternité mais la crainte de le regarder. La peur de regarder s’il était vraiment bien ou à moitié ou pas du tout. La crainte de le voir blessé gravement. La crainte que je savais possible comme ayant souvent été là dans les accidents au boulot. La crainte d’avoir souvent vu des visages dans un état qui pourrait choquer le blessé et les proches. J’avais horreur de vivre ça de l’être côté du miroir. Le fait que cela soit un métier sauvait souvent de plusieurs sensations comme celles-ci. Je rouvrais les yeux, relevant le regard vers lui et laissant échapper une larme d’émotion. Bébé fragile comme je vous le disais et c’était pourtant moi qui n’avait rien vécue dans l’accident qui pleurait. J’avais souvent été à sa place mais j’avais rarement été à cette place : celle du proche. J’avais été l’agressée, j’avais été l’accidentée au travail, j’avais été tellement de choses comme la maman qui mettait au monde mais j’avais rarement été celle qui s’inquiète sauf pour la mauvaise nouvelle directement. Et je ne disais toujours que mots, silencieuse comme une carpe. |
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| mot doux de Invité ► un Mer 13 Jan - 22:31 | | | Leilah ne sait pas vraiment ce qu'il se passe, enfin si, mais on ne leur dit pas tout. Bon dieu, qu'elle déteste les hôpitaux, les blouses blanches, cette odeur pesante, cet atmosphère suffocant. Et dire qu'elle a songé dans son adolescence à devenir médecin ! Toujours est-il qu'elle voudrait être n'importe où ailleurs ! A croire que le destin s'acharne sur leur famille à cause de ces engins à 4 roues, comme aurait dire son père ! La semaine dernière c'est elle qui est atterri dans une de ces chambres après s'être faite renversé. Aujourd'hui, son frère et sa belle sœur ont subit bien pire. Elle ne peut pas perdre Holden, ni Jane. Elle ne peut pas perdre un autre frère et être la dernière enfant du patriarche de la famille. Elle a besoin de son frère. Si d'ordinaire, elle ne le fait pas, aujourd'hui, Leilah prie, de toutes ses forces, cela fait tellement longtemps qu'elle ne sait même plus comment faire. Oui, presque honteux pour une fille de pasteur. Leilah a cessé de croire le jour où on lui a enlevé Emma il y a 20 ans. Un amas de Jones se forment dans le couloir, quand Charlie arrive, elle peut voir leur regard interrogateur, s'est vrai qu'elle ne l'a encore présenté à aucun membres de sa famille, sauf sa fille. « Charlie...non pas vraiment, on attends des nouvelles. » Le silence est pesant, mais c'est comme si, personne n'osaient rien dire. Adossée contre le mur, Leilah est tellement rassurée d'avoir Charlie à ses côtés, il a le don de réussir à l'apaiser par sa simple présence. Elle voudrait pouvoir faire quelques choses, dire à ses neveux et nièces que tout ira bien, qu'il ne faut pas avoir peur, qu'ils ne perdront pas encore à Jones. Mais ça, elle ne peut pas vraiment leur garantir, elle même à du mal à s'en persuader. Agrippé à la main de Charlie, sans rien dire de plus. Lui non plus ne peut pas lui promettre que tout ira bien, personne n'a se pouvoir, pas même leur dieu. C'est Lullaby qui va voir la première aux nouvelles, une vrai ainée, ça ne fait aucun doute!
Leilah déteste ça, ne pas savoir, attendre et par conséquent, imaginer toutes sortes de choses, et même choses plutôt improbable. Elle aimerait pouvoir aider, réconforter, mais finalement, elle reste là à attendre. Grace s'en va en pleure, Leilah ne l'a retient pas, elle a surement besoin d'être seule. Chacun gère se genre de situation comme il le peut, seul, accompagné, bien ou mal. Il n'y a pas de méthode, on fait juste du mieux que l'on peut pour gérer la pression. Puis Andrew s'éloigne à son tour avec cette fille, surement sa petite amie, ou peut être pas. C'est Jane qui lui raconte tout d'ordinaire, la vie de ses enfants, il faut qu'elle continue à le faire! Dans le cas présent, Leilah aimerait être une petite sourit pour aller voir ce qu'il se passe. Aiden arrive à son tour avec des informations complémentaires, Holden est réveillé, et Lulla se trouve auprès de lui. Les nouvelles sont assez peu rassurante dans le cas de Jane. Il faut que Jane aille bien ! Elle n'a même pas encore rencontré Emma ! Leilah lui a toujours promis que si elles étaient un jour réuni, elle serait la première personne à la voir. Un peu agacé, Leilah se redresse et tente de calmer son dernier petit neveu se trouvant dans ses bras, puis reviens auprès de Charlie. « Merci Aiden » Leilah sourit timidement, il semble être tiré d'affaires, elle ira le voir après, le plus important pour le moment, c'est qu'il voit ses enfants. Leilah s’assoit sur une des chaises dans le couloir, puis, prend la main de Charlie, sans s'en rendre compte, elle l'a lui sert, puis ferme les yeux comme pour s'empêcher de ne pas pleurer. « Tu n'es pas obligé de rester Charlie, ça va aller, quelqu'un me ramènera à la maison » Puis, elle lâche la main de Charlie pour essayer de calmer Elliot, le pauvre petit vient à peine de naitre et déjà ses parents ont un accident. Il faut qu'il reste en vie, Elliot a besoin d'eux, tous le monde a besoin d'eux. |
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| mot doux de Invité ► un Dim 17 Jan - 22:29 | | | L’enfer de l’endroit et de l’odeur qui en dégageait, quand je pense qu’en avril j’y étais restée un bon mois juste pour une erreur de ma part je ne savais pas trop comment cela avait été possible. Pour mon bien m’avait on dit plusieurs fois, oui certes mais pour mon bien j’aurai préféré être auprès de mon homme et de ma petite fille plutôt qu’ils viennent me voir tous les jours avec mes tuyaux tout comme ma mère. Cela m’apprendra bien évidemment à faire attention à moi-même et à mes proches, aujourd’hui cela avait apporté du bon dans mes relations mais je me souvenais bien de ce moment et de l’incompréhension dans le regard de Dylan et de ma mère, comme si j’avais souhaité cette situation. Aujourd’hui cela était complètement différent, c’était un accident… UN ACCIDENT. Mais un accident comment grave ? Est-ce que je pourrais encore prononcer maman et papa encore pour des années ? Je ne savais pas. 30 ans dans 9 mois, 30 ans… Je ne voulais pas perdre mes parents maintenant. 46 ans, elle avait, 46 ans c’est jeune encore, elle était devenue maman il y a à peine quelques mois encore elle respirait la joie de vivre. Et mon papa, tous les dimanches il était en pleine forme, pour dire à ses fidèles que l’amour avant le mariage c’était Satan qui tentait les jeunes. Toujours avec le sourire, toujours de manière à faire passer les messages de manière douce et bonne. Sans quiproquo sans ola, et sans préjugés. Je respirai un coup, et peut être que ce ne serait qu’une jambe cassée… Oui, allez, je me disais peut-être cela comme pour me rassurer, dans ma tête plus rien ne voulait comprendre, plus rien ne marchait comme d’habitude. Puis le monde qui débarquait des gens que je connaissais de vue dans cet hôpital et des gens que je ne connaissais pas qui débarquait avec ma tante. J’eus envie de dire sur le ton de résistance, « qui est-ce ? » mais pour le bien de tous, je me contentais d’un regard assassin à cet homme inconnu dans mon entourage. Comment pouvait-il se pointer dans un moment comme celui-là ? Comment pouvait-il se permettre ? Et en suivant Devon qui débarquait avec Andrew. Mon regard était un peu plus adouci pour cette jeune femme que j’avais rencontré lors du jogging au mois de septembre quand la ville avait mis tout ça en place. C’était une belle initiative pour être honnête, et puis bonne pour la santé, cela ne nous avait quasiment pas fait de mal pour être honnête. Je reprenais mes esprits et je regardais ma sœur partir vers l’accueil, jetais un coup d’œil à ma montre, 10 minutes seulement qu’on était là. Cela voulait dire que c’était une longue journée, une longue après-midi.
Ce qui me sortait de mon silence ce fut l’arrivée d’Aiden, ses paroles n’étaient en aucun cas rassurantes, j’avais l’impression que le sol était en train de s’effondrer sous mes pieds, était-ce qu’une simple impression ? Je l’espérais tellement fort pour être honnête, même si je n’étais pas naïve. « Tout ce qu’on sait c’est qu’elle est au bloc ? Mais dans quel état ? Plutôt encourageant ou plutôt non ? » Je venais de tomber sur Aiden comme une furie certes j’en étais bien consciente. Mon regard plein de désespoir devait témoigner suffisamment de ce qui était en train de se passer dans ma tête. J’étais en partie rassurée que mon père aille plutôt bien, enfin façon de parler disons qu’il soit réveillé mais mon inquiétude allait plutôt du côté de ma mère. Ma soeur venait de partir à la chapelle, mon frère partit se chercher à boire, je n'en sais rien j'étais en train de devenir folle, besoin de trouver du sens, tout était en train de se bouleverser.
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| | | Holden J. Jones et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: parce que papajones elle n'a pas encore son rang ♥
| mot doux de Holden J. Jones ► un Mar 19 Jan - 20:13 | | | Holden sentait la panique monter, oppressant sa poitrine et lui donnant envie de se recroqueviller sur lui-même. Un faible mouvement lui fit lâcher un cri de douleur et abandonner toute tentative d’apaisement. Ses côtes devaient être dans un mauvaise état. Peut-être son sternum. Il avait besoin de morphine. Il avait besoin de réponses. Il avait besoin de Jane. Il avait besoin d’une infirmière, pensa-t-il hystériquement tandis que son pouce restait appuyé continuellement sur la sonnette d’alarme, rendant sans doute folle de rage une infirmière quelque part. L’hôpital était grand, avec plein de patients souffrant plus que lui, combattant pour leur survie, et il ne pouvait espérer passer prioritairement et s’accaparer un membre du personnel bavard, mais il avait besoin qu’on lui dire ce qu’il se passe. Holden avait impression d’avoir la tête sous l’eau, ses pensées floues et une difficulté pour saisir les indices de son environnement. Holden n’aurait su dire depuis combien de temps il était réveillé quand la porte de la chambre s’ouvrit. Un stupide instant, il avait espéré apercevoir la chevelure rousse de sa femme passer l’entrebâillement de la porte, mais non. Une infirmière entrait, souriant comme si son monde n’était pas au bord de l’implosion. « Monsieur Jones, vous êtes réveillé » entama-t-elle et franchement, Holden n’avait jamais été de nature violente, au contraire. Pourtant, sur le coup il aurait voulu lui hurler dessus, ahuri par sa nécessité de constater l’évident alors que ses mots pouvaient être mis plus efficacement à disposition. Holden ouvrit la bouche pour s’exprimer et réalisa bien vite qu’il avait été plus facile de fulminer dans sa tête, là où ses cordes vocales n’étaient pas nécessaires. « Ma…ma femme » articula-t-il d’une voix roque et Holden en vint à se demander si de véritables mots étaient sortis de sa bouche. En effet, l’employée de santé s’occupa plutôt à lui poser mille et une question sur son état, bien trop vite pour qu’Holden puisse réagir autrement que par la simple négative ou positive. Se laissant emporter par ce tourbillon de bienveillance, Holden tendit une main faible pour lui saisir le poignet lorsque l’infirmière s’approcha assez près. Trop faible pour une emprise, il laissa simplement la pulpe de ses doigts frôler l’avant-bras de la demoiselle, mais cela fut suffisant pour capter son attention. « Ma femme…Jane, comment va-t-elle ? » dit-il, chaque mot une épreuve. Et parce que c’est leur métier, Holden n’aurait su dire si elle lui mentait lorsqu’elle annonça que Jane était encore au bloc opératoire et qu’elle n’avait aucune information supplémentaire à lui transmettre. Mais sa famille était là s’il se sentait d’état à avoir des visiteurs, et Holden était trop mal en point pour reconnaître cela comme la tactique de diversion que c’était. Il hocha la tête, épuisé par cette maigre conversation. Sa famille. Avaient-ils tous été appelés ? Sans doute pas. Peut-être en savaient-ils plus sur l’état de Jane. Qui s’occupait d’Elliott ? Oh oui, Andrew. Etait-il là ? Le cerveau d’Holden tournait en boucle, pensée après pensées dans un rythme qui lui donnait la nausée. Holden se sentait attirer de nouveaux par les profondeurs du sommeil réparateur mais il luttait en l’attente de son visiteur. Puis la porte s’ouvrit de nouveau. Lulla. Qui d’autre. Il fallait que cette famille cesse de se rendre visite dans les hôpitaux. Bien conscient de son statut de père, Holden avait l’horrible impulsion de fondre en larmes et de laisser sa fille aînée être forte et gérer le drame. Mais à quel point cela serait-il cruel ? Lulla avait assez souffert et Holden réalisa qu’il l’avait observé silencieusement entrer dans la pièce sans prononcer un mot. Et Lulla n’avait toujours pas regardé le regard vers lui. Holden n’avait aucune idée du tableau qu’il présentait, mais ça ne devait pas être beau à voir. Une autre pensée lui traversa l’esprit : savait-elle ce qui se passait avec Jane ? Etait-elle venu lui annoncer une terrible nouvelle ? Holden sentit une terreur sourde s’emparer de ses membres et c’est presque suppliant qu’il s’exprima. « Lulla. Lulla…où est Jane ? ». Peut-être aurait-il dû commencer par réassurer sa fille, lui dire qu’il allait bien, que tout allait bien se passer, mais il allait devenir fou à ne rien savoir. |
| | | Aiden N. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné. ❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥ ❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava Tik Tok @gif tumblr ❝ avatar : Adam Levine ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : toujours dispo ♥ ❝ autres comptes : GRANT ▬ (g.gustin) le prodige de la musique, mais l’incompétent en relation. CARTER ▬ (a.kendrick) la jeune maladroite qui s'est retrouvée les deux pieds dans le plat à Vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du FBI accro à la caféine et une certaine chanson ! JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui aime trop la vie en arc-en-ciel. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté. JAMIE ▬ (d.gillies) le canadien qui cherche à garder son visa. GWEN ▬ (s.johansson) la philanthrope qui pense aux autres avant de penser à elle, jusqu'à aujourd'hui.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3185 ❝ Messages : 3943 ❝ depuis : 22/07/2014 ❝ mes sujets : kylian ◮ jensen ◮ shana ◮ lullaby ◮ lullaby ◮ jones We loved with a love that was more than love – ✻ –
| mot doux de Aiden N. MacCallister ► un Mar 19 Jan - 22:09 | | | Quittant Lullaby, je sentais encore ses doigts entre les miens, alors que je me dirigeais vers sa famille. Ce n’était pas vraiment à moi d’annoncer cette nouvelle, mais qui le ferait ? Je pesais soigneusement mes mots, alors que tous me regardait comme si j’allais révéler que ce n’était qu’un canular. J’aurais bien aimé, mais c’était loin d’être le cas. Je sentais que mes mots bien que dit avec soins ne détendaient pas l’atmosphère qui pesait dans ce couloir. Des remerciements, me fit sourire discrètement. Relevant mon regard, je remarquais l’homme qui était à mes yeux inconnus, se tapoter le front. Fronçant les sourcils, je portais le dos de ma main sur mon front essuyant la tâche de sang s’y trouvant. Il en restait pas moins que je me demandais qui pouvait bien être cet homme, mais avant que je ne pose la question Kate me sortit de mon questionnement. Déglutissant, je n’osais pas m’aventurer dans plus de détail. Après tout, je n’étais qu’un ambulancier. J’avais fait mon possible et maintenant sa vie était confier aux mains de médecins expérimentés. Je remarquais Grace qui s’éloignait, mais je ramenais vite mon regard vers Kate. Comment dire une chose sans affoler tout le monde. Je regardais tous les Jones restant. « Je ne pourrais pas dire. » Aaaah la réponse évasive. J’entendais une voix que je ne connaissais pas, tournant la tête vers la jeune métisse près d’Andrew. Elle n’avait pas tort, rester dans le couloir n’était pas la meilleure des idées. On gênait et pour attendre, il y avait beaucoup mieux. Je me dirigeais vers la salle d’attente, frottant mon pouce dans le creux de ma main. Je me sentais coupable d’en savoir plus qu’eux sur leur propre mère. Une femme que je n’affectionnais pas plus que cela, mais qui restait tout de même un membre de ma famille, aussi vaste soit-elle. Soyons franc, l’arbre généalogique qui constituait ma vie et celle avec Lullaby était des plus gros, étrange et complexe qui soit. Je posais mon regard sur la machine à café, allant m’en servir un. J’en avais de besoin, plus que je ne laissais croire. Intérieurement, je me demandais si Lullaby s’en sortait, quant à moi je n’étais pas certain de sortir vivant de cet endroit si Kate m’attaquait encore. Elle le ferait sans doute contenue ma réponse que je savais merdique. Je passais ma main dans mes cheveux, poussant un soupir. Le café avait fini de tomber dans le gobelet, prenant celui-ci je me tournais pour voir Grace partir à la chapelle. Pas étonnant avec un père pasteur. Peut-être que devenir pieu pouvait aider, fronçant les sourcils, je détournais la tête en regardant la porte de la chapelle se fermer. Croisant le regard de Kate, je m’approchais de celle-ci, lui prenant le bras sans mouvement brusque ou brutalité. Mon regard se perdant dans le sien, je prenais une profonde respiration. Je ne voulais pas inquiéter Grace ou Andrew et Elliott était trop jeune pour comprendre. J’entrouvrais mes lèvres pour parler, lorsqu’une voix me fit tourner la tête. Un homme se tenait près de nous, quelques bandages ici et là. Voilà une autre chose… Lâchant le bras de Kate, je me tournais vers l’homme. Comme si on avait besoin de cela. « Calmez-vous monsieur. » commençais-je en me dirigeant vers lui. À le voir trembler ainsi, il allait finir par nous faire une attaque. « Oui je suis l’un de ces ambulanciers. » continuais-je en évitant le regard de Kate, car en disant cela je savais qu’elle comprendrait sans doute que j’en savais plus sur Jane. « Mais vous ne devriez pas être ici. » L’homme posait sur moi un regard qui me montrait son regret, mais il ignorait que tous ces gens inquiets étaient de la famille de ceux qu’il avait percutés en voiture. « Je … » commençait-il, alors que je déposais ma main sur son bras. « Je sais, mais ce n’est pas à moi à vous dire ce que vous souhaitez. Et ce n’est pas le lieu non plus. » Je n’avais pas envie de voir une scène digne d’un film, l’homme réalise qui sont ces personnes, tente de s’excuser et tout finirait par partir en vrille. Mais trop tard, l’homme regardait derrière moi, observant Kate. « Vous êtes leur fille ? Je suis vraiment navré. » J’entendais les sanglots remonter dans sa gorge, alors que je tournais la tête vers ma belle-sœur. « Laissez-la, elle n’a pas besoin de cela. C’est bien assez dur pour tout le monde. » L’homme me regarda, acquiesça et prit la décision de s’éloigner. Je poussais un soupir, passant ma main sur ma nuque avant de me tourner et de regarder Kate et les autres Jones. « Jane ne va pas aussi bien… » Je ne trouvais pas la force d’aller plus loin, d’en dire plus… C’était bien trop dur. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Dim 31 Jan - 18:26 | | | Je ne savais plus dans quel sens allait ma tête, en fait c’était un joyeux capharnaüm là-dedans. Je tentais de respirer et de reprendre mon souffle pour essayer de faire un point sur ce qui se passait, malheureusement il n’y avait rien à faire, toutes les émotions se bousculaient dans ma tête comme si je n’arrivais plus à réfléchir, comme si on m’avait mis quelque chose dans la tête pour que je ne puisse plus réfléchir. Je prenais mon portable qui ne cessait de vibrer, cinq appels en absence de Dylan, et deux messages avec des cœurs par dizaine, que voulait-il dire par cela ? Je ne comprenais pas, il n’était pas du genre à me noyer de messages mielleux notamment à nos âges. Je ne comprenais plus, je ne comprenais pas. Cessez le brouhaha qu’il y avait dans ma tête, je la prenais entre mes mains pour me calmer comme si cela allait cesser de faire tout ce qui était en train de se passer, c’était peine perdue. Non, rien à faire, rien. Je voulais juste que l’on me dise que tout allait bien. Les simples mots d’Aiden me rendait folle, non rien à faire, il ne pouvait pas savoir, il ne pouvait pas tout savoir, mes yeux s’humidifiaient, je sentais que j’allais craquer sous peu, ce n’était pas possible. Le monde s’écroulait, oh non pas d’un coup, morceaux par morceaux. Il allait me parler, ses yeux plongeaient dans les miens et soudain une voix derrière moi. Je me tournais vers cet homme qui s’adressait à moi. Il tremblait comme une feuille en plein automne, il était couvert de bandages, son simple regard me faisait comprendre qu’il savait ce qui s’était passé et vu son état je me doutais que l’accident n’avait pas eu être des plus faciles. Ses mots, les mots d’Aiden me faisaient comprendre les choses, je ne voulais pas l’entendre d’un médecin lambda si il y avait quelque chose qui s’était passé, si c’était grave. Je ne voulais pas qu’un inconnu me le dise. Ses mots me fendirent le cœur, je tombais de tellement haut j’avais l’impression que l’on m’arrachait le cœur d’un seul coup. Tous ces sentiments qui étaient en moi je ne pouvais pas comprendre ce qui était en train de se passer, c’était incompréhensible.
Aiden, une fois que l’homme partit avec pour seul consolation mon regard qui n’était ni accusateur mais pas non plus plaintif, je ne savais ce qui s’était passé. Pouvais-je accuser quelqu’un comme cela sans savoir non. « Aiden… » Je tentais de croiser son regard. « Si je dois l’entendre, je ne veux pas que ce soit d’un médecin, je veux que ce soit de quelqu’un que je connais. Tu le sais, dis moi ce qui s’est passé. » Je tentais de faire difficilement comprendre ce qui était en train de se passer dans ma tête. « Je me fiche des procédures, je ne sais pas… Est-elle ? » Je cherchais mes mots pour pouvoir faire le point sur ce que je ressentais et trouver les mots sans craquer était une situation particulièrement compliqué. « Va-t-elle ? » Les moitiés de phrases, des mots les uns après les autres. « Maman va-t-elle partir ? » Je ne pouvais pas me résoudre à prononcer le mot morte, je ne pouvais pas imaginer ma mère dans un cercueil non pas encore.
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