maiwenn&todd → If a lady like Dr. Quinn looked at me the way she looks at you, I'd fall down on one knee and promise myself to her forever.
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maiwenn&todd → If a lady like Dr. Quinn looked at me the way she looks at you, I'd fall down on one knee and promise myself to her forever.


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mot doux de Invité ► un Dim 10 Avr - 23:28
Je ne suis pas une femme comme les autres d’après les habitants de Pasadena. Je m’étais échappée d’une union enfin non d’une famille avec une possible union assez jeune. Laissant mon futur mari d’après eux et mon fils derrière moi. Ce n’était pas aussi simple, mes parents d’un côté me forçaient à partir pour faire mes études mais bien trop fiers, ils ne voulaient pas le dire. Dans le fond, cela marchait comme ça dans ma famille, j’étais la fille, je devais écouter et ils ne me voyaient pas avec Todd. Pour eux ce n’était qu’un bon à rien qui n’arriverait même pas à tenir tête au sheriff. Je ne pensais pas ça, pas du tout mais si je voulais continuer à voir mes parents, je devais aller faire mes études et laisser ma famille ou plus vite les deux personnes qui me tenaient le plus à cœur derrière moi. Je savais que c’était mal. Oh oui. J’étais partie dans l’autre côté de l’Amérique en train et à cheval aussi. Mixant les deux au dos de Calvados. J’avais fait mes études en médecine dans une ville bien différente que la mienne. Tout était merveilleux. Les robes ? Tout était différent mais ils me manquaient. Je me sentais pourtant trop honteuse d’être partie que je n’arrivais pas à rentrer. J’étais rentrée, oh oui. J’étais rentrée et revenue depuis quelques mois. Je me battais pour le pardon. Une chose dont on me parlait souvent mais que je n’espérais jamais avoir. Les gens à Pasadena me regardaient bizarrement tandis que j’ouvrais un cabinet de médecine, pour eux, j’étais la mére qui était partie en laissant son enfant. Ils ne comprenaient pas et je ne pouvais pas leur reprocher. J’entendais souvent les gens parler, j’écoutais mais je m’en fichais dans un sens car s’ils parlent, c’est qu’ils ont besoin de parler après tout. Oui, voilà. Ils ont besoin de parler. Je soupirais doucement en relevant mon regard vers la plaine face à moi. J’avais reçu un message d’un indien. Une femme allait accoucher dans leur réserve et ils avaient besoin de moi. C’était presque interdit mais je n’en avais rien à faire. J’étais le médecin des indiens comme des personnes qui ne le sont pas. Des mexicains aussi. Le reste, je m’en fichais. On n’a pas besoin d’être comme moi pour avoir des soins médicaux et encore, on est tous égaux. J’étais ce genre de femme à penser ça. La couleur de la peau ? Je n’en avais rien à faire. J’aidais cette femme à accoucher après des dizaines de minutes à chercher ou ils étaient. Une fois terminé, je rentrais sans faire trop de bruits tandis que j’étais partie au petit matin. Les choses vont tellement vite à notre époque, on ne passe pas notre temps à tourner autour du pot, on s’aime, on vit ensemble et surtout avec un enfant donc oui, j’avais retrouvé ma place de femme de foyer prête à chauffer des marmites pour leur bain chaud. Le cheval bien attaché dans son enclos, je retirais mes bottes en silence à la porte. Je la refermais sans la claper et j’allais tranquillement m’installer dans un fauteuil en retirant mon cardigan qui réchauffait mes épaules sous l’air frais du début de la matinée. Je m’installais, prenant mon livre. Ayant laissée ma trousse de médecin à l’entrée. J’inspirais doucement en me sentant soulagée d’arriver avant leur réveil. Je ne voulais pas qu’ils s’inquiètent à nouveau à l’idée que j’aille aider nos ennemies. Je m’attirais assez de haine depuis que j’avais soignée un indien le mois dernier pour en tomber malade et en plus avec ma réputation de femme qui quitte sa famille ? Que devais-je faire sans oublier qu’être docteur et être une femme n’aidait personne. Non. C’était presque anormal d’avoir faite des études alors qu’on n’a pas de pénis. Non. J’étais une femme avec un métier d’homme mais je ne rasais pas la barbe non plus. J’avais un métier qu’une femme pouvait faire et encore mieux qu’un homme d’après moi. Oui, parfois les dires des gens m’énervaient. Ils me rendaient dingue comme si je me rebellais contre eux. Je soupirais doucement à ses pensées, glissant mes pieds sur le repose-pied pile devant le fauteuil tandis que je lisais ce bouquin d’amour à l’eau de rose bien que ancien, il me plaisait. Il était tellement vieux que l’on ne pouvait pas toujours voir lisiblement certains passages. L’encre s’en allait mais je m’en fichais car je le connaissais par cœur. C’est quand j’entendis des bruits de pas que je réalisais tout bêtement que j’avais oubliée de stériliser mes instruments surtout celui utilisé pour le cordon ombilicale. Ils étaient lavés enfin rincés à la rivière de la réserve mais… pas stérilisé. Je me mordais la lèvre inférieur en ne sachant pas comment j’allais fais ça. Qu’importe après tout, j’avais le temps.
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Todd L. Pilliwickle
Todd L. Pilliwickle
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❝ Métier : propriétaire de l'hôtel l'Argonaute, se situant au Sud de la ville
❝ cupidon : en couple avec Maïwenn, heureux de l'avoir retrouvé après dix-sept ans d'absence. Bientôt papa, une nouvelle fois.
❝ post-it : est père d'un ado de 17 ans - aime toujours la mère de Nathanael, son fils, malgré le fait qu'elle les a abandonné après la naissance de Nathanael - fan de star wars - allergique aux oranges - ne tolère pas les piercings - adore les plats rapide style hamburgers, frites (ce genre de choses) - possède un chien du nom de Yoda - a une relation comme chien et chat avec ses parents - a suivit des études de commerces grâce à des cours du soir
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Etre père, c'est une histoire de désir, d'amour, d'envies partagées... Mais la paternité est aussi une aventure riche en bouleversements qui nous reconnecte à nos propres racines. Nathanael : mon fils, ma bataille.
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mot doux de Todd L. Pilliwickle un Dim 1 Mai - 17:49
XIXème siècle, un moment important pour l'histoire de l'Amérique. Car c'est durant cette période que la guerre de Sécession s'était produite. Une guerre qui reflétait bien le visage de la société dans laquelle vivait Todd. Le jeune homme se trouvait être un écrivain. Depuis petit, il était fasciné par les histoires, les contes, trouvant que c'était un moyen d'exprimer ses idées, de rendre utopique le monde, de rêver également. Cela pouvait paraitre bête, mais le jeune brun adorait écrire des romans pour la simple et bonne raison qu'il voulait transmettre la base de l'humanité : l'espoir. L'espoir de voir un monde meilleur, l'espoir de se dire qu'un jour, il n'y aura plus de guerres entre peuples. L'espoir de l'avancée technologique. On pourrait continuer pendant des heures à faire cette liste. Le premier livre de Todd relatait la vie d'un jeune soldat durant la guerre de Sécession, un soldat qui décida de venir en aide à un indien blessé, après qu'ils se soient tous les deux perdus dans des bois. Todd avait osé écrire son histoire, sachant pertinemment comment les blancs voyaient les indiens. Et pourtant, lorsqu'il sortit son livre à Pasadena, il fut surpris de constater que les gens adoraient lire son livre. Pourquoi ? Il n'en savait trop rien. Peut-être que certaines personnes pensaient comme lui : qu'il fallait arrêter avec ces différences entre peuples qui conduisaient au malheur et à la désolation. Quoiqu'il en soit, suite à la réussite de son premier bouquin, Todd décida d'en écrire un autre et ainsi de suite. C'était un écrivain qui sut se faire connaitre au fil des années, à travers la région. Mais à Pasadena, on le connaissait aussi pour sa propre histoire : celle du père qui dût élever tout seul son fils après que la mère les ait abandonnés. Après le départ de Maïwenn, le jeune homme eut beaucoup de peine, compréhensible. Mais aussi bizarre que cela puisse être, il ne lui en voulait pas tellement car au fond de lui, il comprenait sa décision. Il savait que la décision qu'elle avait prise, ne venait pas d'elle, mais plutôt de sa famille. Quoiqu'il en soit, après quelques années, Maïwenn était revenue et la famille put se réunir de nouveau. Malgré tout, quelque chose avait changé, Todd le sentait. Certainement le regard des gens. Mais au final, le brun s'en foutait un peu, se disant qu'il aimait la blonde telle qu'elle était et que c'était le principal !

Les jours se ressemblaient dans la petite ville de Pasadena et Todd continuait encore et toujours à écrire. En ce moment, il revenait avec une histoire qui parlait des indiens. A vrai dire, il voulait essayer un nouveau style de livre. Todd souhaitait faire une sorte de documentaire sur les indiens ainsi que leur culture. Mais pas que. Sur sa propre culture ainsi que bien d'autres. C'était pour lui comme une encyclopédie des peuples vivants sur cette Terre et plus précisément en Amérique. C'était en quelque sorte son petit projet personnel. Car à cause, il continuait la suite de ses romans sur un homme qui devint maire et qui décida d'oeuvrer pour le bien. Une nouvelle journée commença pour le jeune homme qui ne se leva pas très tôt, comparé aux autres fois. En même temps, la veille, il s'était couché assez tard, voulant finir le chapitre qu'il écrirait de son roman. Lorsqu'il se leva, le soleil semblait s'être déjà levé et la maison paraissait calme. Le silence régnait en maître. Posant ses pieds sur le sol en bois, il attrapa ses habits avant de les enfiler pour se diriger vers la cuisine. Son ventre commençait à crier famine. Et cela pouvait s'entendre avec les grognements que ce dernier faisait. Arrivant alors dans la pièce principale, Todd esquissa alors un sourire en voyant sa femme assise en train de faire il ne savait trop quoi. « Bonjour toi. » Fit-il en venant déposer un tendre baiser sur les lèvres de Maïwenn. « Tu t'es bien levée tôt je trouve. Une urgence matinale ? Ou bien, j'ai fait la marmotte, c'est possible. » Lança-t-il en rigolant légèrement avant d'aller préparer son petit-déjeuner ainsi que celui de toute la famille, comme à son habitude. Chose faite, il apporta alors la boisson ainsi que de quoi manger dans la pièce principale, sur la table en bois. Comme chaque matin, le couple prenait leur petit-déjeuner en tête à tête, leur fils se levant toujours plus tard. Pendant qu'il mangeait, le jeune homme émit alors une réflexion à haute voix, une pensée qui concernait son encyclopédie. « Tu sais, je me disais que ça serait bien pour mon bouquin que j'aille rencontrer les indiens. J'aimerais bien en apprendre d'avantage sur eux. J'ai tellement de questions à leur poser. » Malheureusement, il le savait que trop bien que de voir les indiens n'étaient pas une chose si simple. Lorsque l'on voyait que Maïwenn en avait soigné un le mois dernier et que cela avait fait polémique, Todd ne voulait pas reproduire la même erreur. Mais si en soit, ce n'était pas une erreur à ses yeux. Mais bon, ce n'était pas le point de vue de tout le monde. Pourquoi avait-il fait cette réflexion à haute voix ? Une envie, une sorte d'intuition.
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