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Dawn L. O'Connor
Dawn L. O'Connor
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Sam 10 Jan - 20:09

c'est fait avec le coeur, alors tu m'disputes pas, dis ?

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de maman. Elle est pas vieille. Je vous interdis de dire ça. De toute façon, elle sera toujours jeune pour moi. J'avais profité de l'absence de Toby dans l'appartement. J'allais faire la cuisine. Si je vous jure. Je sais faire. Enfin, j'ai jamais fait, mais une fois j'ai fait une omelette chez mes grands-parents, dans ma vie d'avant. Bah j'ai réussi ! J'ai dû casser deux œufs dans la poêle, et j'ai su que pour un gâteau, il faut de la pâte. J'avais demandé à la maman d'un copain de me montrer un peu, comment faire. Et puis aussi, j'ai mis un tablier. Je suis propre. Je vous l'avais dit. J'ai tout retenu dans mon cerveau ! Je sais ce qu'il faut faire, et quand et comment. Une fois mes cheveux attachés en ponytail, j'aime pas les avoir dans les yeux quand je fais à manger, - j'attrapais les œufs dans le frigidaire, posant la barquette en carton sur un des meubles à côté. Allez, et d'un dans la poele. Le deuxième par contre, me glissa des mains et zou sur le carrelage tout propre qu'on avait nettoyé y'a pas longtemps. « Ah crotte ! » Aussitôt je perds mon sourire de vainqueur. Je regarde le jaune se répandre doucement sur le sol sans que je puisse rien faire. Je ne sais pas où est rangée la serpillière. Désespérée totalement, j'enlève alors ma petite veste en jean et j'éponge la tâche qui s'étend plus qu'autre chose. « Mais euh ! ça fait rien ça ! » Je crois que le jean ça nettoie pas du tout. Je jette un œil attentif autour de moi, cherchant quelque chose qui pourrait me servir pour essuyer avant que maman se réveille. Y'a bien l'écharpe là bas accrochée sur le porte-manteau... Mais c'est à maman.... Mais vu qu'elle est noire l'écharpe, peut-être ça se verra pas. Je me dépêche d'aller la chercher, avant de la passer dessus.

Ayey , c'est réparé. Je vais passer un coup l'écharpe sous l'eau du lavabo. Voilà, c'est tout neuf. On dirait qu'elle est même plus douce qu'au départ, cette écharpe. C'est bien à savoir ça, si le jaune d’œuf ça adoucit les vêtements. Bref, j'ai pas le temps. Je reprends mon cake. J'ai décidé de faire du concombre. Parce que c'est bon le concombre, je suis peut-être une des très rares enfants à aimer ça, et j'en suis fière. Non en fait non, mais j'avais envie de le dire. Je repars dans la poêle, enfin devant la poêle, cassant d'autres œufs dedans. Je crois que pour mettre du feu en dessous il faut appuyer là et tourner là. Je vais voir, si ça marche pas celui là j'essaierai un autre rond. J'allume le deuxième rond, et y'a bien une flamme bleue qui sort. Je jubile. C'est que je sais me débrouiller hein ? Je suis une grande. C'est pas tout, mais pendant que les œufs cuisent, moi faut que je coupe le concombre. Faut faire des cercles je crois. Enfin des petits cercles. J'ai un couteau d'enfant, et j'ai pas le droit de toucher aux autres, alors bon. J'essaie de couper, ça coupe mal, mais je persévère. Je n'abandonnerai pas. Il est pour maman ce gâteau. Et je vais y'arriver. J'ai réussi à couper trois lamelles.... On dira que ça va comme ça. On dira que c'est un gâteau spécial. La suite, c'est la farine me semble. Je regarde partout, mais je ne la trouve pas. Mais... Je râle un peu, je croyais qu'on en avait. Non, on en a pas, ou alors on en a, et je ne sais pas où elle est. Bien cachée la farine. Et si je mets plus de beurre à la place, ça fera la même chose non ? Découpant avec mon petit couteau trois tranches de beurre, je les mets dans la poêle avec les œufs que j'ai battus avec une fourchette. Oui je pense à tout. ça fait de la bouillie bizarre... On dirait du caca jaune. Je souris en y pensant, portant ma main à ma bouche pour rigoler discrètement, comme si quelqu'un pouvait me voir.

Je crois que c'est bon. Je peux mettre le gâteau dans le four. Je sais qu'il ne faut pas mettre de poêle dans le four, je suis pas folle. Alors je verse le tout dans un plat que j'ai trouvé dans le placard, et je rajoute les trois rondelles de concombres, je les dispose bien, ça fait comme la tête de Mickey avec les deux oreilles et la tête. Une nouvelle fois, je pouffe toute seule, mon rire résonne dans la cuisine, mais j'espère ne pas avoir réveillé maman. J'attends longtemps. J'attends que la grande aiguille de l'horloge soit sur le 9. C'est ce qu'on m'a dit. Une fois que c'est fait, j'ouvre le four, mais une fumée épaisse me fait tousser aussitôt. Je cours ouvrir la fenêtre, mais j'avais laissé traîné l'écharpe de maman par terre, et me voilà en train de faire du ski nautique sur carrelage... Je glisse, je glisse, et j'atterris à l'autre bout de la pièce. Ma tête cogne contre la chaise en travers de mon chemin, et ça stoppe ma course. Je n'ai pas mal, mais instinctivement, je me mets à crier comme un putois, je m'égosille tellement que je suis sûre que les voisins m'entendent aussi. « Maaaman ! » Je me frotte la tête, je pleure pas, mais j'appelle. Je me redresse, me relève, et je plisse les yeux pour voir si quelqu'un vient. C'est loupé pour la surprise. Je vois autour de moi. J'ai fait des dégâts... La cuisine ressemble plus trop à rien, ou à tout sauf à une cuisine. J'ai pas mal de mon coup, mais je pleure quand même, juste parce que j'ai raté mon gâteau. « Beuh... Je voulais te faire la surprise... » Je continue à pleurer, c'est les grandes eaux. J'arrive pas à m'arrêter, je voulais tellement lui faire plaisir, et je risque de me faire disputer. En plus j'ai mal aux yeux avec toute cette fumée. Je crois que j'ai pas éteint le four. « Pardon maman. » Dis-je avant même qu'elle arrive.


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mot doux de Invité ► un Dim 18 Jan - 4:48
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C'est fait avec le coeur, alors tu me disputes pas, dis ?
Non mais la vie est bizarre. L’an dernier, j’étais tranquille et seule. Je vivais au campus et j’avais une vie d’indépendante mais personne ne dépendait de moi. Bien sûr, je voulais savoir comment elle allait. Avait-elle mes yeux ? Était-elle plus heureuse avec eux que je ne l’avais été ? Tellement de questions qui sont dans le fond sans réponses. Comment y répondre ? Je n’en savais rien à l’époque. Maintenant, je connaissais ses réponses et même si une part de son enfance m’avait rendue jalouse, elle avait été plus heureuse avec eux que je ne l’avais été mais dans le fond ? Une autre était heureuse de ça. C’était peut-être dans le fond mieux ? Je n’en savais rien, je ne réfléchissais pas mais cette année avait tout changée dans ma vie. Elle était la seule chose à l’époque qui travaillait mon esprit. Le 10 janvier dernier, j’avais fêtée ça en buvant un peu trop et je m’étais même retrouvée avec le bras dans le plâtre. Une vie folle, un souvenir fou. Enfin le passé. Il était loin derrière moi. Le passé était totalement différent mais le présent ? What ? J’étais en couple, maman et surtout avec un bébé. Je n’en revenais pas. C’était… c’était fou, totalement fou et le pire était que je devenais adulte. Un grand changement. C’était presque effrayant. L’on ne pense que ça n’arrive que dans les séries. Oui, c’est un enchainement de choses que l’on ne vit pas toujours en une seule année et pourtant ? Et bien si. Je ne pouvais qu’y croire que ma vie prenait une tournure de miel. Oui, de miel. Doux et sûr mais surtout rare. Je souriais doucement alors que je commençais à me réveiller peu à peu dans mon lit. Un pyjama ? Non, juste une nuisette en satin. Mes cheveux ondulés sauvagement lâchés s’éparpillaient autour de mon visage mais se coinçaient aussi sous mon aisselle. La chose la plus chiante dans le fait d’avoir des longs cheveux. Je me tortillais un peu pour m’en défaire. C’était une bonne journée. Oui, une bonne journée. C’était mon anniversaire mais j’ignorais si quelqu’un allait s’en souvenir. Toby ne savait tellement pas toutes les choses de la vie et Dawn était trop petite. Brownies encore plus bien qu’il ne suffirait qu’à lui planter une bougie sur la tête. Oh dieu, je hais Toby pour lui avoir donné ce prénom. Je le tue dans mes pensées à chaque fois. Notre fils a un nom de gâteau. J’inspirais doucement en me redressant et retirant la couette de mes genoux. Tranquillement et sentant l’odeur, je ne me rendais pas compte que ce n’était pas Toby en cuisine. Non, pour moi… il était là. J’allais vers la chambre de Brownies tout naturellement comme à mon habitude. Il dormait comme un gros bébé mais je m’étais levée 3 heures avant pour lui donner son biberon et le remettre à la sieste. J’étais épuisée par mes multiples réveils. Il ne faisait pas ses nuits et ça se voyait sous mes yeux gonflés. Il se réveillait peu à peu au contact de ma main sur la sienne. Une si petite main. Je me souvenais encore avoir souvent serrée celle de Dawn quand elle était un bébé. Cette sensation était encore là. Celle de l’enfant bien trop jeune pour un rôle de parent. J’inspirais doucement en détournant le regard. Je ne me sentais tellement pas à l’aise avec mes souvenirs, je m’en voulais parfois de ne m’être pas assez battue et une part de moi savait qu’elle devait m’en vouloir tout de même. Je n’en savais rien, je n’osais pas lui poser la question en général. Peut-être avais-je peur de la réponse ? Sans nul doute. Je souriais doucement en penchant mon regard quand Brownie s’agitait un peu dans son pyjama. Ses petits doigts tentant d’agripper ma main, je le prenais alors dans mes bras et je m’apprêtais à le changer. Je retirais sa couche, rien qu’un pipi. Je le nettoyais avant de remettre une couche propre. C’est en fermant le scratch que les bruits retentirent et qu’on m’appelait. Peut-être que personne ne m’avait entendu mais moi, j’avais tout entendue. Je prenais alors Brownies dans mes bras et je sortais de la chambre pour aller dans le salon presque en courant. Je regardais alors la cuisine et une partie du salon enfin la salle de séjour. J’arquais un sourcil avant de glousser doucement de rire alors qu’elle me disait pardon. Elle semblait vraiment embêtée mais… en fait, j’étais comme elle… et même l’an dernier. Je ne pouvais pas lui en vouloir. J’avais déclenchée l’accouchement en me coupant la main au lieu de couper une orange. Vive la maladresse. Je posais alors Brownies dans le couffin qui n’était pas bien loin du canapé puis j’attrapais des mouchoirs dans la boite qui était juste à côté de la télévision. Je lui donnais le doux nom de Dave, elle m’avait accompagnée les nuits de grandes larmes quand les hormones frappaient. Je me rendais alors vers elle en souriant et me baissant à sa hauteur, genoux pliés. Je lui souriais doucement.  « Ce n’est rien ! », disais-je en lui prenant le mouchoir pour essuyer ses larmes avant de déposer un baiser sur son nez. « Je vais arranger ça ! », disais-je en me levant alors sans penser au four. Oui, le four. Je me levais et me prenant les pieds dans l’écharpe. Je m’étalais aussitôt comme une crêpe sur le sol. « Aie… », disais-je en grimaçant doucement. « Tu vois, je ne suis pas mieux ! », disais-je en riant doucement mais un peu jaune. J’avais mal. Très mal. Je soupçonnais même ma cheville de s’être tordue. On aurait pu me dire que des écharpes pouvaient être dangereuse plus qu’utile pour ne pas choper un rhume. Je me levais alors ne faisant un peu craquer mon coup avant de lui sourire. « Tu n’as pas eue mal ? », disais-je en allant vers le four qui fumait. Il n’était pas vraiment de bonne humeur. Je regardais un peu ce qu’elle avait fait et j’arquais un sourcil. « Tu faisais une omelette ? », lui demandais-je alors en souriant. Je n’étais pas douée mais je savais comment on faisait les omelettes mais ce n’était pas dans le four en fait.
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Sam 24 Jan - 0:59

c'est fait avec le coeur, alors tu m'disputes pas, dis ?

Je ne comprenais rien du tout à ce qu'il se passait sous mes yeux. J'avais appelé maman à l'aide, au secours, même, et elle était venue, aussi vite qu'un ouragan dans une cuisine. En fait, c'était moi l'ouragan dans la cuisine, j'avais dévasté l'endroit... Où est-ce qu'on allait faire à manger maintenant ? Et le méchant four qui continuait à faire de la fumée... « 'Est vrai ? T'es pas fâchée ? » Demandais-je en un sourire gêné, mais heureux. Je passais mes mains sur mes joues pour continuer à essuyer les larmes, tout en reniflant. J'eus envie d'exploser de rire lorsque je vis maman à son tour se prendre les pattes dans l'écharpe que j'avais laissée par terre, la sienne, entre parenthèse. Je la vis s'affaler sur le sol, et moi je retenais mon envie de rire, je sais que c'est pas gentil, d'autant plus qu'elle ne m'a pas disputée, moi. Mais c'est nerveux, quand on voit quelqu'un qui tombe parfois. Je m'approchais d'elle, en rampant à moitié, à quatre pattes. « Oh, maman ! Tu t'es pas fait mal ? » Je lui pris la tête entre les mains, et je déposais des bisous sur ses cheveux, j'avais peur qu'elle se soit fait mal c'est tout. Je me mettais à sa hauteur, ou plutôt, là elle était à la mienne, à ma hauteur d'enfant, et je pouvais lui faire des câlins sans avoir à grimper sur un tabouret.

« Non, j'ai pas mal. J'ai eu seulement peur que il y'ait du feu partout, parce que t'as vu le four il...  » Je désignais le four de mon petit index, mais sans même que je m'en mêle vraiment, maman alla d'elle-même vers lui pour je pense l'éteindre, ce que je n'avais pas su faire. « Maman t'es nulle ! » Je fronçais mes sourcils et je croisais mes bras devant moi, l'air bougon. J'étais vexée qu'elle ne reconnaisse même pas que c'était un gâteau. « C'est un gâteau ! Comme Brownie ! » Là je me retins de rire, mais je me reculais un peu, parce que je pensais que maman n'allait pas apprécier ma réflexion, ça m'avait échappé. « Et même que c'est un gâteau au concombre. Pourquoi tu vois pas ? Il est moche ? ça ressemble pas ? » Mais Brownie, il ressemble pas non plus à un gâteau... Oui bon bref. Pardon, je sais que c'est mon frère, et que je dois l'aimer, mais ... C'est compliqué et je peux pas vous expliquer ce que j'explique même pas à moi même. Je m'avançais vers elle et le four, et j'approchais mes doigts du gâteau qui n'en était plus un apparemment. « Tu viens, on le goûte ? » Je regardais maman, d'un air tellement implorant, et je savais que j'étais mignonne comme ça, alors elle allait bien vouloir. « Tu goûtes maman ? » Dis-je en la fixant toujours et en pointant le gâteau du doigt. « C'est sûr qu'il est bon le gâteau. C'est sûr parce que je l'ai fait pour toi. En plus, j'ai bien tout suivi la recette qu'on m'avait donnée. Tu crois qu'on pourrait même en garder un bout pour Toby et Brownie si ils veulent ? » On ne pouvait pas dire que je n'étais pas pleine de bonnes intentions. « Joyeux Niversaire maman ! » Lui avouais-je finalement, en lui sautant d'un coup au cou, ma bouche contre sa joue et je lui faisais plein de câlins et de bisous. « Je t'aime mais il faut que tu manges le gâteau maintenant, après il va être pas bon et froid. » L'insistance. J'ajoutais alors « Je t'aime très fort ! » Avant de me relever et d'aller chercher une serviette pour chacune, je sais qu'on se tâche pas mal quand on mange maman et moi.


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mot doux de Invité ► un Jeu 29 Jan - 2:12
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C'est fait avec le coeur, alors tu me disputes pas, dis ?
Il en était bien ma veine pour me retrouver les fesses par terre en glissant sur cette écharpe et d’où venait qu’elle semblait tellement miaulée mais pâteuse à la fois ? Je ne cherchais pas encore à le savoir. Je ne voulais pas vraiment y penser car j’avais peut-être des idées farfelues à cette idée. Je souriais alors qu’elle voulait voir si je n’avais pas mal et donnait des bisous sur mes cheveux mais je me levais bien assez vite en souriant. « Non, pas mal ! », avais-je dis avant de me lever. Je m’étais aussitôt retournée vers le four alors qu’elle disait ne pas avoir mal. Forte heureusement sinon je m’en fichais du four et j’aurais fait demi-tour pour aller aux urgences. J’étais trop paniquée à l’idée qu’il arrive un truc car je savais que je pouvais parfois être irresponsable. Je ne voulais pas qu’il lui arrive un truc et je ne voulais surtout pas avoir l’impression d’être une mauvaise mère. Bon dieu, même si elle tousse, je file aux urgences. C’est ce que j’ai fait à noël pour Brownies et c’est ce que je ferais pour elle aussi mais ouf, tout allait bien enfin… je paniquais quand même un peu mais je ne voulais pas trop le montrer. Je préférais aller vers le four pour voir ce qu’elle avait fait. Le four fumait un peu et j’ignorais comment stopper ça pour l’instant. Je l’éteignais en prenant alors un essuie de vaisselle pour le secouer. Je m’arrêtais un peu pour aller aérer la cuisine en ouvrant la fenêtre. Je me retournais vers elle alors qu’elle semblait vexée quand elle disait que c’était un gâteau comme Brownies et je riais doucement à grande surprise. « Ne dis pas ça de ton frère devant Toby ! Tu vas le vexer... », disais-je avant de lui sourire doucement. Bon dieu, qu’est-ce qu’il avait de la chance d’avoir un papa gourmand ce pauvre petit. Je retournais vers le four en l’écoutant en même temps parler aussi du gâteau. Je n’avais pas encore remise attention à la bête enfin la bête… non pas qu’un gâteau peut être un animal mais après un bébé… je n’étais à l’abri de rien. Je riais doucement en l’entendant. Aux concombres ? Je souriais. Je n’avais pas le cœur à lui dire que ce n’était pas ainsi qu’on faisait des gâteaux et que le sien n’avait pas la tête d’un gâteau mais j’éventais surtout le four et cette fumée. Forte heureusement, il ne brulait plus. Alors qu’elle approchait les doigts du gâteau, je faisais une moue. Je ne voulais pas vraiment la blesser, je ne voulais pas du tout et je l’écoutais, cette joie et quand elle me sautait au cou. Je la regardais avec une certaine tendresse. « Merci ! », disais-je alors en déposant un baiser sur sa joue tandis qu’elle me harcelait de ses lèvres. Je souriais quand elle disait qu’il fallait qu’on mange le gâteau et même qu’elle me disait qu’elle m’aimait. Cela faisait encore tellement bizarre. Avant… j’étais apeurée par ces 3 petits mots… choquées, effrayées. J’avais peur de les dire et là encore par moment. « Je t’aime aussi… », ils sortirent tout seul comme d’un bonjour. Des mots rapidement disent avec une grande sincérité. « Fais attention, c’est chaud… », je prenais alors des maniques pour prendre le gâteau et éloignant ses petits doigts en penchant doucement la tête. Je posais mon regard sur ses yeux ronds et je lui souriais doucement en allant déposer le gâteau dans l’évier. « J’aimerais le gouter, il a l’air super bon mon cœur mais en fait… il a cramé et c’est dangereux de manger les gâteaux cramés, tu sais ? », lui demandais-je alors en souriant doucement. « Mais on peut en préparer un tous les deux ou alors on va à la boulangerie et pendant que tu choisiras le plus beau gâteau, j’attendrais au parc ? », demandais-je alors à cet enfant en penchant doucement la tête. Nous n’avions pas spécialement les moyens mais je voulais la laisser me faire plaisir et je ne voulais surtout pas qu’elle ne soit triste d’avoir ratée le gâteau. Je lui offrais un doux sourire. J’allais alors vers elle et m’approchant pour me mettre à sa hauteur. Les genoux pliés, je mettais alors la main sur ses joues en la regardant dans les yeux. « Mais tu es sûre que ça va ? Tu sembles t’être cognée à la tête. Tu n’as pas mal ? », demandais-je en laissant un doux sourire se dessiner. Je déposais alors un baiser sur son front en fronçant le nez. « Et je suis sûre que ton gâteau aurait été délicieux, ce n’est rien s’il a brulé ! », disais-je en descendant mes mains pour la chatouiller.
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Sam 7 Fév - 1:13

c'est fait avec le coeur, alors tu m'disputes pas, dis ?

« Pardon maman. » Lui soufflais-je pour m'excuser d'avoir traité mon petit frère de gâteau. En fait, je le pense un peu, un Brownie pour moi ça se mange. « Mais c'est rien maman. Je l'aime bien, c'est mon petit frère ! » Disais-je en souriant. J'essayais de ne pas être jalouse, mais je l'étais quand même. J'aurais voulu avoir tous les câlins de maman et de Toby rien que pour moi. Mais au lieu de ça... Je devais partager l'affection avec le bébé, j'aimais pas ça. Je voulais toujours faire celle qui ne se laissait pas marcher sur les patounes, mais pour ça, je m'écrasais. J'étais gentille avec le bébé et j'étais gentille avec maman et Toby. C'était le principal. Enfin, quand je dis gentille avec le bébé... Oui c'est ce qu'on pourrait dire. Mais je ne lui fais pas des gros câlins. Moi je ne câline pas les gâteaux... Mais je ne dois pas parler de lui comme ça, alors je me tais maintenant.

« Ah bon ? Ah... Bon. » Je ronchonnais un peu, quand même. J'aurais aimé le goûter moi, le gâteau. J'aurais surtout aimé qu'elle le goûte. « Pourquoi c'est dangereux de manger du brûlé ? » Pourquoi, pourquoi. Pourquoi ? J'aimais bien dire ça, Pourquoi. Je crois que tous les enfants de mon âge aiment demander Pourquoi à tout. C'est ce qu'on fait, quand on apprend à vivre et qu'on ne comprend encore rien, en tout cas, c'est ce qu'un grand m'a dit un jour. Je souriais à maman, quand elle me proposa d'en faire un avec elle ou d'aller en acheter. Je ne savais pas quoi lui répondre. J'aimais bien les deux idées. « Les deux ça me va ! » M'écriais-je en m'approchant d'elle et m'éloignant du four. Elle me demandait si j'avais pas mal et je répondais : « Je me suis tapée dessus la tête. » J'avouais. « Mais j'ai même pas eu mal. Je suis courageuse pas vrai ? » Je me redressais, fièrement, comme si ne pas avoir mal parce que je me faisais une bosse faisait de moi une grande. Avant, c'est vrai, j'aurais hurlé et tapé du pied, juste parce que j'aurais eu peur de m'être fait mal, même pas parce que je me serais fait mal. « Je suis d'accord pour aller au parc et manger un gâteau que des gens ont fait. Parce que la cuisine elle est déjà plus très belle. Mais avant, tu veux bien que je te dise un poème que j'ai fait pour ton anniversaire ? »

Et sans attendre la permission vraiment, j'avalais ma salive, relevant la tête, et prenant un air inspiré, comme si j'allais dire un truc hyper important. « Parfois, tu me disputes, et on se comprend pas. Mais c'est seulement parfois. Et je t'en veux pas, parce que t'es ma maman. Le reste c'est pas grave. J'aime tes pluies de bisous, parce que c'est tout doux. » J'avais eu l'impression d'être un grand poète alors qu'en fait, c'était Toby qui m'avait aidée à le faire. Mais chut, c'est un secret et il a promis de pas le dire à maman. Et puis j'ai quand même fait un bout. Non mais quoi ! Je serrais sa main, mais elle me chatouilla et je rigolais comme une folle. « Maman! Stop les guillis j'aime pas ! » Riais-je en me tortillant comme un vers de terre. Et je riais toujours, mais je passais mes mains près de son ventre et je chatouillais à mon tour. « Prends ça ! » On avait pas l'air folles, dans la cuisine en chantier, avec un gâteau brûlé dans l'évier, là par terre, et si Toby revenait ? « Si Toby il arrive, on lui dit quoi pour la cuisine ? » Je me débattis, m'éloignant d'elle, et me redressant sur mes pattes arrières pour rejoindre l'entrée de la pièce. « Tu diras que c'est moi qui ai fait le bazar ? » Demandais-je, plutôt inquiète. « Maman, faut que j'te dise. En fait, le poème, Toby il m'a aidée... » Bah, finalement, j'avouais, comme si elle s'en doutait pas.


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C'est fait avec le coeur, alors tu me disputes pas, dis ?
Pourquoi ? La vie des enfants se dessinaient de pourquoi. Dans le fond, on se demande nous aussi le pourquoi avant de bien réfléchir et d’avoir la réponse. Pourquoi pose-t-il tellement de questions ? Par curiosité d’apprendre l’univers des grands qui semble tellement vaste. Je ne voulais pas vraiment me prendre la tête, pas du tout même pourtant je savais que les enfants ne voulaient pas se prendre la tête à chercher le pourquoi mais c’était juste une façon d’apprendre pour eux. Ils n’avaient pas vraiment beaucoup de choses dans leur petite tête et pourtant parfois bien pus de raisonnement qu’un adulte. Ou presque. Je sentais la déception à propos de ce pauvre gâteau qu’on ne pouvait pas manger. Brulé. Peut-être qu’on pourrait le manger mais l’excuse était une bonne chose. Oui, c’était vraiment bien. C’était une sorte de gâteau clown. Un gâteau qui n’avait pas vraiment de chance et ne sera pas consumé entre le guacamole et les crêpes du mardi gras. Sa pâte brunoyée un peu trop à la cuisson ne me disait pas qui veille. Je me sentais abalourdie, j’avais peur qu’elle ne soit démotivée, déçue ou trop triste. Je ne voulais pas qu’elle soit triste. Je lui proposais donc une alternative avant de m’inquiéter et souriant tandis qu’elle disait avoir mal à la tête. J’hochais la tête en souriant. « Mais évites de te casser en deux ? Le courage ne soigne pas les bobos ! Il évite juste de pleurer. », lui disais-je en me prenant alors pour une grande philosophe mais je ferais mieux de me taire parfois. Je n’avais rien de Molière. L’aphasie était sûrement le plus beau cadeau que je pourrais faire ou la plus belle résolution pour 2015. J’hochais la tête en me disant qu’il serait déjà bien que je m’habille pour aller au parc chercher un gâteau et tout. Donc j’hochais la tête pour le poème mais je n’avais pas le temps de dire qu’il fallait aussi s’apprêter et ranger peut-être un peu même si je n’en avais pas réellement envie. Je ne voulais pas faire ma cendrillon pour mon anniversaire. Parfois j’aimerais trouver un vieux grimoire de sorcière avec une formule magique qui nous dise comme on fait le ménage d’un claquement de doigts. Je n’étais pas comme Charlie Chaplin, je n’allais pas faire joyeusement le ménage avec une chorégraphie charmante avec des claquettes et un chapeau. Mary Poppins ? Pas pour moi. J’écoutais alors timidement le poème et pourquoi timidement ? Mes joues passaient à une rosée passion. Ce n’était pas vraiment un blush. C’était étrange, oui, tellement. J’étais une maman ce que je n’étais pas enfin pas totalement l’an dernier mais maintenant, si. J’étais une maman ce que je n’étais pas à 24 ans sans ne pas l’être. Je me trouvais hébétée, dans un mutisme soudain. C’est à ce moment-là que la foule de chatouillis arrivait comme une échappatoire alors qu’elle ne disait de stopper car elle n’aimait pas et bien, je continuais à la laissant se tortiller comme un verre. Peut-être qu’on la mangerait une nuit si elle avait peur d’un orage car parait qu’on mange des insectes en dormant même s’il faudrait être aussi gros qu’un hippopotame pour qu’elle tombe par inadvertance dans nos bouches. Et alors qu’elle me chatouillait à mon tour, je me laissais tomber sur le sol ou plus vite sur la moquette et je riais doucement en arrêtant de la chatouiller un peu avant sa question. Je la lâchais quand elle se débattait et je me redressais à mon tour tout en l’écoutant. Je riais doucement. « Ah bon ? Toby écrit des poèmes aussi beaux ? Tu es sûre que ce n’est pas toi ? », lui demandais-je pour lui laisser l’impression que je croyais réellement que c’était elle et non Toby. Bizarrement je ne me rendais pas compte que c’était une sorte d’instinct maternel de lui laisser la chance de vraiment croire que je la pense capable d’écrire un poème. Je souriais doucement. « On dira à Toby que c’est lui qui a fait tout ça en dormant, je suis sûre qu’il va y croire ! », disais-je avec un sourire de canaille. Je me levais alors en allant vers le couffin pour surveiller que le gâteau dormait encore. Je relevais doucement la couverture sur lui pour qu’il n’attrape pas froid alors que les fenêtres étaient grandes ouvertes et d’un doux sourire, j’allais sagement caresser sa joue avant de tourner mon regard vers Dawn. « Je vais m’apprêter d’abord avant d’aller au parc, tu as prise ta douche ? », demandais-je alors que j’avais pour ma part l’habitude de la prendre avant d’aller me coucher. Je mettais alors le doudou un peu plus proche de la main de Brownie en allant ensuite près de la porte de ma chambre, je rentrais dans la grande pièce et j’allais vers la penderie. Je regardais rapidement le bon nombre de vêtement et la moitié que je ne pouvais presque plus porter enfin c’était l’impression que j’avais depuis quelques mois mais il fallait avouer que j’avais tout de même vite perdue mes kilos en trop et ce petit ventre. Je faisais beaucoup de jogging enfin dès que je le pouvais et parfois des marches avec brownies et ceci même avant l’accouchement. J’étais restée assez active du début à la fin ce qui n’avait pas été le cas pendant ma première grossesse ou j’avais à l’époque pris 20 kilos pour devoir tout perdre petit à petit avant l’université. J’avais chêmée bien plus lentement même si je n’avais mangé que des nouilles à une époque. L’époque de la réforme avait finie et j’avais un tout autre corps mais une toute autre vie. Je dansais un tango avec le bonheur auquel je n’étais pas habitué. Je pense pourtant toujours que mon karma allait tuer ça à un moment donné. C’était comme une impression de ne pas mériter le bonheur et que ma destinée était maudite. Je me rapprochais alors de la penderie et je prenais dans quelques tiroirs des lingeries de dentelles. J’attrapais rapidement une robe d’un mélange de blanc et noir… mais je la remettais aussitôt. J’inspirais en m’arrêtant alors sur une chemise finement transparente d’une couleur praline. Je prenais le slim noir et je souriais doucement. Parfait. J’attrapais aussitôt des bottillons et j’allais déjà avec les sous-vêtements dans la salle de bain. Je les enfilais et je sortais dans cette tenue. Parade de nudisme ! Nous ne sommes pourtant pas à Rio.  Au diable les yeux innocents, je suis sa maman quand même. Je lui souriais en passant et là, je fronçais le nez. « Et si tu choisissais mes vêtements ? », soufflais-je aussitôt. Je retournais dans la chambre et je replaçais rapidement les draps en satin correctement. Ils avaient une grosse rose noir au centre pour une touche de romantisme. J’aimais bien ces draps qui me donnaient l’impression d’être dans une chambre de princesse.
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Dawn L. O'Connor
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Jeu 12 Fév - 1:58

c'est fait avec le coeur, alors tu m'disputes pas, dis ?

Ma maman, c'est la plus chouette de toutes. Elle est douce et gentille, elle sait consoler, mais elle sait aussi faire rire. Elle sait me faire sourire, même quand j'ai envie de pleurer, comme aujourd'hui où j'aurais aimé me rouler sur le carrelage en grognant et en lâchant plein de larmes, parce que mon gâteau d'anniversaire ressemblait à une omelette. « Pff. Quand même, c'est triste... » Je revenais à la charge. « Mon gâteau on dirait une omelette, pourquoi tu m'as dit ça ? Maintenant je le vois moche. » C'était vrai, en fait, mais j'aurais presque préféré ne rien savoir. « Qu'est-ce que c'est dur la vie. » Lançais-je en haussant les épaules et en clignant des yeux. Elle allait trouver ça bizarre, peut-être, mais c'est dur la vie, quand on n'a que six ans. J'écoutais ce qu'elle me disait, que le courage ça sert à rien quand on se fait un bobo. « Mais toi, maman, tu as très beaucoup de courage ! Parce que tu pleures jamais quand tu te fais un bobo ! » Disais-je en souriant et en continuant les guillis.

Elle avait l'air bizarre tout à coup, ma maman. Elle avait écouté mon poème, et elle me regardait. Quand elle me parla de Toby, je fixais par terre en passant mes mains derrière mon dos et en remuant mon pied sur le sol. « Bah euh ! » J'hésitais. J'avais envie de lui faire croire que c'était de moi, ce poème, parce que j'étais fière de lui avoir dit. Mais j'aimais pas mentir à ma maman. « Ben en fait... C'est moi qu'ai écrit le plus gros ! Tu sais, là où ça parle de bisous ! Mais Toby il a fait un peu, il a fait juste un peu ! » Juste un peu ! Elle arrêta de me chatouiller, et je plaquais ma bouche contre son front pour lui faire plein de bisous. Et maintenant, j'attendais qu'on sorte pour aller acheter un gâteau. Je savais qu'on n'avait pas trop de sous, alors on allait en prendre un petit au pire ! Elle parla de tout mettre sur le dos de Toby, et je riais en entendant son idée géniale. « Ouais ! On lui dira qu'il est somininambule ! » C'est pas ça le mot ? Et puis de toute façon, Toby il croit tout ce que maman elle lui dit parfois, parce que c'est son namoureux, et qu'on croit toujours ce que dit le namoureux. Par exemple, moi je crois toujours ce que me dit Pauly. Enfin bref ! Je ne vous parlerai pas de ça, c'est notre mariage à nous, c'est privé, ça regarde que moi et maman.

« Je me suis lavée ce matin ! » Criais-je à son oreille quand elle me demanda si j'avais pris ma douche. Et alors, elle partit se préparer. En attendant, j'allais dans ma chambre, chercher dans mon armoire ce que je pourrais me mettre. « Mmh... Qu'est-ce que je peux mettre pour aller dehors ? Oh ! » J'avançais vers maman en lui présentant une robe à petits pois roses, je crois que c'était la plus belle de mes robes, surtout que je n'en avais pas beaucoup. « Maman t'en dis quoi de celle-là ? Elle est jolie ? Tu crois que ça ira pour aller au parc pour ton anniversaire ? » Je voulais me faire belle pour son anniversaire, et comme j'étais une fille, j'aimais bien faire comme maman.

Elle arriva vers moi, à moitié sans habits, et j'ouvrais mes yeux grands. « Mais maman... Tu as presque pas de vêtements ! » Au fond, je m'en fichais, c'était ma maman, pas une inconnue dans la rue. Je trépignais quand elle me proposa de choisir ses vêtements. Je la suivais dans la chambre, avant de regarder de près tout ça. Je posais mon index sur ma bouche, quoi je réfléchis ! « Je vais voir dans ton armoire ! » M'exclamais-je en me dirigeant vers elle. De mes petits doigts, j'écartais les chemises et les robes, mais je stoppais net en voyant une chemise rouge avec un joli col. Je lui montrais joyeusement. « Maman ! ça ! » Criais-je avant de repartir en quête d'un bas. « Et ce pantalon vert ! » Je lui désignais du doigt. « Et puis les bottes c'est toi qui choisis ! Mets un chapeau aussi, parce qu'il y'a du soleil. » C'était le monde un peu à l'envers, mais j'aimais prendre soin d'elle. Je ne voulais pas qu'elle sorte mal habillée, quoi. Et je savais que j'avais du goût.


Dernière édition par Dawn L. O'Connor le Mer 4 Mar - 17:47, édité 2 fois
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mot doux de Invité ► un Ven 27 Fév - 4:44
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C'est fait avec le coeur, alors tu me disputes pas, dis ?
Je souriais doucement, c’était attendrissant un enfant et je l’avais toujours sue pourtant je n’avais jamais réellement réalisée que je pourrais être une bonne maman. Parfois à force d’entendre que je suis trop jeune et que je n’aurais rien à lui apprendre me laissait croire que c’était vrai mais étais-je trop jeune pour l’aimer ? Quand je l’entendais parler de son omelette et avoir l’impression qu’elle était moche, je me contentais de sourire. J’étais réellement attendrie. « C’est vrai ! », disais-je alors qu’elle commentait le fait que c’était dur la vie. Elle n’avait pas réellement tort. La vie était réellement dure mais malgré tout, je ne voulais pas du tout qu’elle ne le pense mais c’était un mensonge, non ? La vie est dure mais je devais lui apprendre tout en lui laissant la chance de croire en elle. Cela viendrait après, tout d’abord… nous devions nous préparer et je riais quand elle disait que je n’avais jamais bobo. Je secouais doucement la tête. « C’est faux ! Je te l’expliquerais après pourquoi c’est faux ! », lui disais-je alors qu’elle me racontait un poème et que je voulais l’aider à prendre plus de mérite de son art. Je ne savais pas pourquoi mais j’aurais tellement aimée qu’on puisse faire ça avec moi quand j’étais plus petite au lieu de descendre mon talent. Je ne voulais pas commettre les erreurs de mes parents. Je riais doucement quand elle disait dans le fond un mensonge mais j’adorais entendre ce mensonge aussi étrange… je puisse être d’aimer que ma fille me mente mais c’était agréable. Je riais même quand elle se trompait dans le mot somnambule. C’était adorable et j’étais un peu trop gaga. Nous devions surtout aller nous préparer si nous voulions sortir mais surtout moi. Je souriais alors qu’elle disait… ou plus vite criait être propre et donc j’allais m’apprêter tout simplement. Je l’entendais parler et me demander ce qu’elle pouvait mettre. Je riais doucement l’entendant tandis qu’elle venait me montrer une robe. Je penchais doucement la tête en fronçant le nez. « L’important est que toi, tu l’aimes ! », lui souffrais-je donc en hochant la tête. « Puis c’est joli ! », encore une fois cette envie de ne pas reproduire les mêmes erreurs et la laisser s’habiller comme elle le voulait. Je me disais qu’elle avait l’âge de développer ses propres gouts, son propre style mais aussi de faire ses flops. Je ne voulais pas la forcer à s’habiller d’une façon ou d’une autre et la façonner. Je me contentais de choisir mes vêtements mais me ravisant pour lui proposer de choisir. J’arrivais en sous-vêtements pour lui faire cette proposition et d’ailleurs sa réponse m’amusait fortement. J’en souriais avant de secouer doucement la tête. « Ce n’est rien, on est entre filles ! », disais-je en souriant. « Enfin ne fait pareil qu’avec des filles, promis ? Avant très longtemps ! », soufflais-je avant de la laisser regarder dans mon armoire alors que j’allais m’installer sur le lit en la regarder fouiller. Je regardais alors la chemise rouge et je souriais doucement puis ensuite le pantalon vert. Hummm ? Je doutais un peu sur le coup mais je ne voulais pas du tout le montrer. Je me contentais de garder mon sourire. J’allais ressembler à une tomate… et avec un chapeau en plus. Je riais doucement en hochant la tête. « Bien chef ! », je me levais en attrapant le pantalon vert que j’enfilais et ensuite la chemise. J’attrapais des escarpins rouges pour dire de ressembler complètement à un légume ou alors à un fruit rouge ? A voir. Je ne pouvais que m’amuser de la situation en fait. Je ne pouvais même pas reculer. « Tu es sûre ? », demandais-je en la regardant une fois que j’étais prête. J’attendais rapidement mes cheveux dans un chignon un peu bâclé mais c’était fait exprès et je me maquillais rapidement devant le miroir tout en la regardant. Je souriais doucement. « Tu sais, j’ai eue bobo… », disais-je en souriant doucement. « J’avais bobo quand tu n’étais pas avec moi… parfois les bébés peuvent être à l’intérieur et pas à l’extérieur ! », disais-je en penchant doucement la tête. Je devais juste le dire et mon anniversaire était le bon moment. « Mais maintenant, je vais mieux, je n’ai plus bobo ! », disais-je en approchant et lui tendant alors un gloss à la fraise. « T’en veux ? », lui proposais-je en souriant tandis que j’avais finie de donner quelques coups de pinceaux assez rapide sur mon visage.
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Mer 4 Mar - 18:10

c'est fait avec le coeur, alors tu m'disputes pas, dis ?

« Alors, comme ça, les adultes, aussi, ils ont mal ? » Demandai-je d'une voix toute candide. Je n'étais au courant de rien, on ne me parlait pas souvent de la vie quand on est grand, et j'étais pas contente de découvrir que parfois, on blessait ma maman. « Tu as bobo des fois ? C'est quand tu te tapes quelque part ? » Je la regardais, et embrassais une dernière fois sa petite tête, ou plutôt sa grosse tête brune, j'adorais moi, sa tête, et j'aimais bien me dire que plus tard, ben j'aurai la même, parce que c'est technique, ça marche comme ça, les enfants deviennent pareils que les mamans. Autant que vous le sachiez. Bref, je la lâchais enfin, il fallait se préparer. Je secouais la tête quand elle me dit de ne me montrer sans vêtements qu'avec des filles, oui c'était pas prévu que je me montre sans vêtements, de toute façon ! Non tu me prends pour qui ! Je suis pudique, comme on dit. Je ne suis pas nudique ! « Bah moi, les garçons, pour l'instant c'est caca. Je n'aime pas. Ils sont bêtes et ils me tapent des fois. Et c'est pas de mon âge, on verra par la suite. Et puis zut, je n'ai pas à parler de ça avec toi ! » Dis-je en croisant les bras et en plissant les yeux. Je voulais la rassurer, mais je croyais avoir fait l'effet inverse.

Pour le reste, j'avais tout prévu, alors quand je montrai à maman ses habits pour la journée, elle fit une drôle d'expression, et moi je fus un peu vexée. Mais elle ne me contredit pas, et accepta d'enfiler tout ça. « Ouais ! T'es bien comme ça. T'es toute parfaite. » M'écriais-je à la vue de ma maman décorée d'un chignon au-dessus de son crâne. « Ton chichi, il est un peu pas droit, mais c'est bien quand même ! ça te fait un style de maman décoiffée. » Je pouffais en mettant mes mains devant ma bouche, comme si j'allais être punie rien que d'avoir ri devant sa tenue un peu bizarre, fallait quand même le dire. Mais moi, j'aimais bien le bizarre, et j'aimais bien quand maman me laissait choisir ses vêtements, ça me donnait l'impression d'être SA maman et pas sa fille, et ça c'était bien.

Et c'est alors, qu'elle m'expliqua un truc très compliqué, pourtant les mots étaient très simples. « Je comprends pas bien ce que tu essaies de me dire. » Je demandais des explications, en me grattant le crâne, enroulant quelques mèches blondes de mes cheveux autour de mon doigt pour les porter à mes lèvres, comme quand je réfléchis. Alors je m'avançais vers elle, alors qu'elle se maquillait encore, et je m'agrippais au bas de sa chemise. « T'as eu bobo ici ? » Je désignais son bidon de maman qui n'était pas gros du tout, mais je savais qu'à un moment dans leur vie, les mamans grossissaient, même qu'on ne savait pas trop comment ça arrivait. « Parce que j'étais dedans ? » Et j'ajoutais d'une petite voix : « Je t'ai fait mal, maman ? » J'avais des larmes à un oeil, que je voulais retenir. Et puis, pour couper court à la pluie de larmes qui arrivait, je m'empressais de dire : « Mais bon ! Tu m'expliqueras ça tout bien tout à l'heure, j'ai faim maman, et maintenant je suis à l'extérieur, et je voudrais bien manger un gâteau, tu m'as promis ! » Je m'éloignais d'elle un peu, pour tournoyer dans la pièce, parce que je m'impatientais. Mais je revenais vers elle, le temps de mettre un peu de gloss sur ma bouche. « Mais eurk c'est pas bon et ça colle ! Par contre ça sent bon la fraise. ça sent comme toi. » Disais-je en souriant et en recrachant sur mes doigts un peu de gloss qui me rentrait dans la bouche.
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mot doux de Invité ► un Jeu 5 Mar - 21:10
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C'est fait avec le coeur, alors tu me disputes pas, dis ?
Je riais doucement, pas pour son âge ? Les garçons ? J’étais surprise dans le fond par sa phrase qui me faisait rire. Je tentais de me rappeler comment j’étais à cette époque mais je me contentais de la laisser chercher des vêtements pour moi. C’est l’avantage des enfants… même la plus grande indécision d’un adulte semble facile pour eux. Oui, tellement simple. Moins de questions à se poser et pas besoin d’assortir les couleurs tant qu’on aime ce qu’on porte. L’énergique et le psychique enfantin me manquait parfois. Pas de factures à payer, pas besoin d’être amoureux et encore moins besoin de capotes pour ne pas tomber enceinte. Inutiles, la vie avant tout. On ne pense qu’à nos poupées, nos oursons et à la magie d’un moment en famille. C’était tellement lointain tout en ne l’étant pas à mes yeux. Je ne me rappelais pourtant pas un jour ou je m’étais sentie aussi heureuse qu’en ce moment… au stade de ma vie. Comme quoi à l’époque je l’étais parfois mais je ne suis plus la même. J’ai grandie. Le bonheur n’a pas la même image. C’est tellement étrange.  Je m’apprêtais aussitôt sous ses yeux et je m’occupais aussi de mes cheveux. Rassurée ou pas totalement par les compliments de cette enfant, je riais doucement en regardant rapidement mon chignon dans le miroir. Je lui souriais doucement alors qu’elle riait. Se moquait-elle ? Je riais doucement, amusée surtout par ce que c’est à ce genre de moment que je me dis qu’elle était trop comme moi. Taquine. C’était attendrissant et j’espérais que Brownies ai un peu moins l’appétit de son père sinon on serait dans la merde. « Ça donne un côté sauvage ! », murmurais-je alors tout comme je venais de donner un petit secret à cet enfant. Elle était belle, tellement mal. Je lui parlais alors de ce fameux bobo que j’avais aussi eu, elle ne semblait pas comprendre mais je me demandais comment mieux l’expliquer ? Parfois je ne me rendais pas compte qu’elle avait 6 ans et que j’étais une adulte qui réfléchissait avec l’âme d’une adulte.  Je la voyais s’accrocher à mon chemisier et montrer mon ventre. Je souriais doucement en souriant doucement et je la laissais ajouter ses tendres questions en fronçant doucement le nez. Elle avait les larmes aux yeux et je terminais d’appliquer mon mascara avant de le refermer. Je la regardais alors couper court apparemment en soif de gâteau et de sorties. Je m’approchais et je souriais doucement en lui mettant du brillant sur les lèvres avec le gloss. Je souriais doucement alors qu’elle disait que ça sentait comme moi et je riais aussitôt presque en enchainant tandis qu’elle recrachait. C’était charmant. Voulait-elle me recracher aussi ? Cela m’amusait. Je prenais alors ma veste en simili cuire et je la regardais attentivement. Je me baissais à sa hauteur en lui souriant. « Oui, tu m’as fait mal… quand tu donnes des coups de pieds mais tu manquais de place donc je caressais mon ventre doucement et je te chantais une berceuse et tu te calmais… », soufflais-je soudainement. « Mais c’est un peu plus haut, dans mon cœur que j’avais mal… mais ce n’était pas toi qui me faisait mal ! », je souriais doucement en posant alors le gloss sur le meuble à côté de moi. Je me rendais alors vers Brownies pour l’attraper dans son couffin. Il était déjà tout habillé donc ça allait aller vite. Je déposais un baiser sur son front et j’allais vers la poussette qui était plus loin. « Tu peux l’attacher ? », proposais-je alors à Dawn en voulant juste l’impliquer dans toutes ses petites tâches qui allaient lui permettre de voir son frère grandir. C’était une chose que j’avais lue dans un bouquin et que je prenais un peu comme conseil à la lettre. Je tentais toujours de l’aider à se sentir autant sœur que sœur au second plan. Je ne savais pas pourquoi mais j’aurais bien aimée avoir aussi cette chance si j’avais eu un petit frère. Je le posais confortablement alors qu’il somnolait à moitié et j’attrapais le sac à langer puis je l’accrochais sur la poussette. J’espérais qu’il n’ait tout de même pas envie de faire un pipi entre temps car je n’avais pas vraiment envie de changer la couche-culotte en public. Je souriais doucement à Dawn en fronçant le nez. « Prête ? », disais-je en fronçant les sourcils et me tapant alors la tête contre un mur. « Mince, j’ai oubliée ou était la pâtisserie, tu nous guides ? J’ai perdu la mémoire ! », disais-je alors en faisant réellement mine d’être sérieuse pour la laisser être le chef.
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