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Dawn L. O'Connor
Dawn L. O'Connor
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
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❝ Métier : Je fais des colorations
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❝ post-it : Petit frère chocolat ◂ Obsession pour les coccinelles. ◂ J'ai peur du Père Noël, je ne supporte même pas la vue des bonnets rouges avec des pompoms au bout. ◂ Je suis allergique aux arachides, si j'en mange, je suis malade tout de suite. ◂ Plus tard, je serai une chasseuse de monstres de lits.
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Jeu 9 Avr - 1:27
Vous savez. Pour un enfant, la période de l'oeuf, c'est toujours l'excitation qui grimpe. Je ne suis pas différente, des autres. Je suis, même la plus infatigable de toutes les petites filles, quand il s'agit de trouver du chocolat. Maman avait accepté de m'emmener au mini-golf, pour que je chasse avec elle. J'étais sur un petit cumulo nimbus. J'étais aux anges, pour être exacte. Je sautillais, j'avais même lâché la main de maman, sauf qu'avant de partir, elle m'obligea à m'habiller mais je ne devais pas mettre de robe, parce que je risquais de me salir. Pareil pour les chaussures, il fallait quelque chose de pas trop joli. « Je vais chercher des habits ! » Un passage éclair dans ma chambre, où je trouvais mon bonheur. En passant, pour rejoindre l'entrée, je jetais un oeil discret dans la chambre de maman, en m'approchant dangereusement de la penderie. Celle où elle range tous ses beaux vêtements. Je sais que tu caches tes vêtements de torse ici maman ! Tu ne peux pas me le cacher. Tirant le tiroir, je m'émerveillais devant les petites culottes et les protège-poitrines de maman. Elle en avait des belles choses, ma maman. J'étais si pressée de grandir, juste pour avoir tout pareil qu'elle. Je parle des vêtements. Je fouillais, je trifouillais. j'avais envie de les porter, mais je me retenais, je savais qu'elle dirait non. Au pire, elle ne le verrait pas, non ? Allez, j'en prends un. Même si je n'ai pas de poitrine, je le mets autour de moi, ça me fait plutôt un peu comme une double banane autour de la taille, mais tant pis. Trop grand, de toute façon. Je le repose, c'était juste pour essayer. J'attendrai d'avoir sa taille. Revenant en courant dans l'entrée, près de maman, je lui souris en grand, en lui prenant la main. « On y va maman ! On y va, allez ! Allez, quoi, traine pas ! » M'écriais-je en la tirant pour la faire sortir par la porte d'entrée. Tant qu'à faire, on ne sort pas par la fenêtre. Fin bref, une fois arrivées au mini golf, j'écarquillais mes yeux. J'avais hâte de les chercher ces oeufs, mais surtout, et c'était mon moment préféré, j'avais hâte de les manger. On avait amené Brownie avec nous, évidemment. Evidemment, ce bébé chocolat il nous suit partout. On ne s'en défait pas. Je soupirais en le voyant, quand maman le prenait dans ses bras, et je le voyais la mordiller, affectueusement. Je l'aime mon petit frère, mais tout de même. De toute façon, les oeufs ils sont tout pour moi ! S'il a faim, il aura qu'à se manger ! Bon, c'est une blague. Je ne suis pas si méchante. « Maman, maman. Fais-moi un câlin moi aussi s'il te plait. » Demandais-je en m'approchant d'elle et de Brownie. T'es à moi aussi, maman, t'es à moi aussi. T'es à beaucoup de gens, c'est vrai, mais d'abord à moi pas vrai ? « C'est quoi ça ! L'est trop grand pour la tûte. » Sa totote pendait près de son menton, et je la saisissais pour la porter à ma bouche. « Mais non ! Je veux juste l'essayer, pour voir. Tu veux essayer ? » Et hop, la tutute sur maman. Je ne lui avais pas laissé le choix, mais aussitôt je sentais qu'elle allait la recracher. C'est un peu dégoutant de se refiler quelque chose comme ça, même si on est de la même famille. Stop aux bêtises. Je partais à la chasse, les abandonnant tous les deux. En premier, je regardais derrière les rochers qui décoraient un des parcours. Je n'allais pas tout de suite vérifier dans les trous, je ne suis pas folle, je pourrais me prendre une balle perdue. Je regardais maman là-bas, qui m'observait de loin. Je lui adressais un petit sourire avec un signe de la main, j'en avais déjà trouvé deux. « Maman j'ai chaud ! » C'est vrai, ici on rôtit. J'enlevais mon gilet en accourant vers elle. Je lui tendais en lui demandant. « Tu me gardes ce que j'ai trouvé, j'en ai deux ! Je te les donne. Tu les donnes pas à Brownie ! » Oh que je parais vilaine. Aucune animosité dans ma voix. Aussitôt, je me rattrapais. « Enfin..., enfin, si tu veux, tu pourras lui en donner un peu. Je partage. Dis, maman. » Disais-je un peu plus doucement. « Le monsieur à côté de nous, il fait peur un peu. » On dirait un croque monsieur. Non, pardon, un croque mitaine. C'est peut-être un kidnappeur d'enfants ! Il a une coloration de cheveux assez bizarre. Reprenant mes esprits, je fis un bisou sur la joue de maman, puis un câlin à Brownie, avant de m'asseoir juste à côté d'eux. « Je fais une pause. » Expliquais-je en posant ma cuisse droite sur la chaise. J'ai un fesse dans le vide, et maman va me dire de me tenir bien, mais aujourd'hui, c'est la fête, alors. Aucun rapport, je sais bien, mais j'aime dire ça.
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mot doux de Invité ► un Dim 19 Avr - 1:18
Je ne savais clairement pas ce qu’il se passait dans ma chambre. Je ne savais rien, non. Je me contentais juste de m’occuper de Brownies en l’attendant. Je lui donnais le biberon et toutes ses choses de routines et même que je décrottais son nez avec la pipette qui fait pleurer pour qu’il soit bien débouché. Personne n’aimait ça et sûrement pas les bébés. Cela aspirait et c’était chiant. Une fois sur la route, je m’occupais de Brownies autant d’elle. Je me faisais même mordiller la main avec affection. Non mais oh. Je souriais doucement en passant la main dans mes cheveux. Elle me demandait alors un câlin tout mignon tout doux que je lui rendais aussitôt en passant les bras autour d’elle et je riais doucement alors qu’elle lui piquait sa tutute. Brownies ne semblait pas aimer. Il rechignait un peu en grimaçant. Il ne semblait pas du tout copain avec l’idée que l’on lui vole sa sucette. Non pas du tout. Et… alors qu’elle me demandait si je voulais l’essayer, je me retrouvais avec la sucette dans la bouche sans avoir le temps de dire : ouf. Bing. Des gros yeux alors que j’avais la bouche « bouchée » ! Je riais un peu jaune. « Merci mon cœur ! », disais-je une fois que j’avais retiré la sucette de ma bouche. Je la rendais à Brownies en souriant. Je la laissais cependant aller chasser les œufs alors que je posais Brownies dans son cosy sur la table avec deux chaises. Je me baissais un peu et c’est là que je trouvais un œuf au chocolat. Je souriais en le mangeant aussitôt. Je le dévorais comme s’il était un cadeau car je savais que cela serait sûrement le seul que je pourrais manger. L’enfant en moi me donnait juste cette envie d’en profiter. Je voulais juste mon petit œuf aussi. Aussi rusée qu’un renard. Je faisais comme si de rien n’était en toute innocente avant qu’elle ne revienne vers nous. Elle en avait deux et je riais en prenant le gilet que je posais sur le bord de ma chaise. « Reviens si tu as froid ! », disais-je en me montrant tout de même prévenante car on ne sait jamais mine de rien. Je prenais alors ses trésors et je secouais doucement la tête. Il était trop petit pour en manger donc cela collait assez bien comme il ne savait même pas mâcher. Je crois qu’il s’en fichait même royalement car tout ce qu’il semblait apprécier était le hochet qu’il secouait devant sa tête en riant. La vie d’un bébé de 5 mois est tellement passionnante. « Ça ira, ma puce ! », lui disais-je alors en haussant les épaules. « Il est trop petit pour le chocolat ! », précisais-je au cas où en tournant mon regard vers le bébé qui n’était clairement pas perturbé. Il se contentait de sucer sa sucette qui avait vue toutes les bouches de la famille. Dans un sens, ce n’était rien car c’était bon pour ses défenses immunitaires mais tout de même. Je posais les œufs dans une petite boite que j’avais préparée pour son stock de petits œufs. Je souriais alors qu’elle parlait du type à côté. Je tournais discrètement mon regard vers lui alors qu’il semblait avoir entendu et me fusillait du regard. Je faisais une petite moue en voulant chercher un endroit ou me cacher mais où ? Je n’en savais rien. C’était mine de rien un mini-golf… j’avais des millions d’endroits ou me cacher et surtout pleins de trous mais le terrain était réservé pour la chasse aux œufs en cette belle journée de pâques. On ne pouvait donc clairement pas se cacher dans un trou ou jouer au golf au milieu des enfants parfois sauvages et agressifs si on les gêne dans la cueillette de chocolats. Je me penchais alors vers le panier en osier et je lui souriais en sortant aussitôt une bouteille d’eau et une brique de jus de fruits ! « Tiens, ça va te donner des forces en plus ! », disais-je tandis que je les posais devant elle. J’attrapais aussi une petite boite avec deux sandwichs que j’avais préparés. Ces favoris rien que pour elle. « Et voilà même de quoi te nourrir qui ne fasse pas grossir ! », lui disais-je en souriant doucement. Je sortais alors le petit biberon d’eau sucrée pour Brownies que j’allais mettre prés de sa bouche pour voir s’il en désirait. Il grimaçait en râlant doucement. Il n’aimait pas ça du tout. Il le poussait de ses mains et je riais. « Il va quand même falloir t’hydrater ! », disais-je alors que j’insistais un peu. Il finissait tout de même par accepter mais pour quelques gorgées. « Tu vois, il ne veut pas d’eau donc pas de chocolats ! », disais-je en souriant à Dawn.
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Dim 19 Avr - 1:59
Voyant la tête de maman avec une tûte dans la bouche, je ne pus m'empêcher de rire aux éclats. Elle était belle quand même, ça la rajeunissait. Non pas qu'elle fasse vieille. C'est la plus jeune de toutes les mamans de l'école ou presque. Surtout, c'est ma maman, à moi. Je l'observais remettre l'objet de toutes les mâchouilleries dans la bouche de Brownie, finalement, ça lui revenait de droit. C'était la sienne, après tout. Et je n'en ai plus besoin. Je pense que maman non plus. On est des grandes nous. Pas comme le bébé, c'est un bébé. Je lui adressais tout de même un petit regard et je me penchais vers lui pour frotter mon nez contre sa joue. En guise de câlin. C'est mon petit frère, et malgré ce que je peux dire ou faire, il a quand même une petite place là où ça bat le plus fort. J'ai un petit coeur, je suis une enfant, mais j'aime pas être méchante, et j'aime mon petit frère, même si... Je suis pas contente qu'il attire autant d'attention rien qu'en éternuant. « Lui, il est trop petit, mais toi non ! » Je m'écriais en souriant de façon mutine à maman. Je pointais mon index vers elle et l'agitais pour lui faire signe de ne pas toucher à mes oeufs. « Toi non plus, tu les manges pas d'acc ? Tu es ma maman, et je te fais confiance ! Tu dois respecter ma confiance ! » Je la menaçais ensuite. « Sinon je te boude ! » Mais aussitôt je lui souriais, je ne pouvais pas lui parler mal, tout de même. Pas à ma maman. « Mais non ! C'est pas vrai hein. Je peux pas te bouder. » En plus, je rentrerais comment à la maison moi ? Je la regardais me sortir de quoi boire, et je pris la bique de jus de fruit pour la boire goulûment. Miam des vitamines. Et hop, plusieurs gorgées, alors que Brownie ne voulait pas boire du tout. Finalement, il acceptait, mais j'avais envie de rire en le voyant repousser le biberon. Pourtant, c'est bon l'eau sucrée. « Il veut du jus de fruit ? Parce que sinon je partage ! » Le jus de fruit, je partage. Le chocolat, non. C'est mon mien. Et d'ailleurs, je cherchais autour de moi. «  Je peux en manger un tout de suite ou pas ? » Demandais-je pour parler des oeufs, bien sûr. Peut-être que je n'allais pas pouvoir tous les manger à la suite, il parait que c'est pas bon pour la santé de trop manger de chocolat. Je convoitais les oeufs, pour une seule et bonne raison. J'étais venue ici pour les manger. C'est vrai, d'abord, je devais les trouver. Et j'espérais que les gens à côté de nous n'allaient pas tous les prendre. Surtout ce monsieur à côté de nous, il me faisait vraiment peur, en plus il nous regardait d'un sale oeil. Je frissonnais un peu, en m'accrochant au bras de maman. « Tu crois que ça pourrait être un voleur d'enfant ? » Je demandais tout tout doucement, pour que cette fois il n'entende pas le son de ma voix. Je savais que ce genre de gens, existait, et ça m'effrayait toujours dès que je voyais un gens un peu bizarre. J'avais aussi beaucoup d'imagination. On me le disait souvent. Très souvent. Trop souvent. Je me retournais par la suite, en déployant mes bras comme des ailes de mésange, je courais un peu plus loin, en quittant le monsieur des yeux, je n'y faisais déjà plus attention. J'étais occupée. Préoccupée. Je devais trouver les oeufs de maman. Je regardais, je furetais, j'en trouvais trois autres, puis quatre. J'étais sur les nerfs, totalement. J'avais en fait envie de tous les manger pendant que maman ne me voyait pas, mais je n'osais pas quand même. Puis je voulais malgré tout en garder au moins deux pour maman. Et un pour Toby quand je le reverrai. Du coup, pour l'instant, il allait m'en rester un ou deux. Je comptais sur mes doigts, là accroupie dans l'herbe. Bah, l'amour de maman, ça vaut bien deux oeufs en chocolat. Puis même plus hein. Allez, je fais ça. Au loin, je lui adressais un signe de la main, pour qu'elle voit où j'étais. Mais de toute façon, je suis certaine que de là où elle est, elle ne me quitte pas des yeux. D'ailleurs, je vous avoue que de savoir son regard sur moi, je me sens beaucoup mieux. Je me sens protégée, et rassurée. J'étais contente de savoir qu'elle était là avec moi, avec Brownie dans la poussette, et je m'amusais bien. Maintenant, est-ce qu'elle, elle s'amusait, je ne savais pas, mais je l'espérais.
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mot doux de Invité ► un Jeu 23 Avr - 15:06
Manger les œufs de nos enfants était comme manger les bonbons d’halloween qu’ils ont été cueillir eux-mêmes. Quand j’étais enfant, je laissais bien souvent des bonbons pour eux mais je n’aimais pas vraiment ça à l’époque et aller savoir pourquoi mais j’ai commencée alors que je n’avais plus vraiment l’âge. Le chocolat ? Non plus. Je n’allais pas lui manger. Je me contentais de lui sourire, un beau sourire tout simplement. Je la regardais avec attention alors qu’elle me disait qu’elle bouderait si j’osais manger son chocolat. Je secouais doucement la tête en lui souriant. « Si, je vais tout manger ! », avais-je dis avant de rire doucement car je plaisantais bien entendu. Je trouverais ça tellement mais tellement cruel. Oui, cruel. Je le faisais volontairement quand c’était moi l’enfant. Quand j’étais petite, je n’étais pas grande même si je ne montrais pas mon popotin à tous les patients… Je savais que ce n’était vraiment pas cool. Je passais aussitôt en mode maman. Toutes ses petites choses du quotidien auxquels je m’adaptais de plus en plus. Je sortais le jus de fruit en ignorant que j’étais ce genre de maman qui pensait tout simplement à tout. Penser à tout ? Moi ? Mais sérieusement. Qui l’aurait cru ? Je n’en savais rien. Je venais aussitôt à mettre le biberon d’eau devant la bouche du bébé. L’hydrations est importante à cet âge et je souriais alors qu’elle disait partager son jus de fruit. Je penchais doucement la tête alors en la regardant. « L’eau c’est mieux, il est juste difficile ! », disais-je en hochant aussitôt la tête pour lui accorder son chocolat. « Mais après la tartine ! », disais-je alors avec ce petit air de maman. Oui, cet air pas spécialement super crédible sur moi mais bon. C’est alors qu’elle entourait mon bras en me posant cette question qui semblait la tracasser que je prenais une profonde inspiration en secouant doucement la tête. « Non… », disais-je en riant nerveusement. Pauvre homme. J’espérais qu’il n’avait rien entendu. Il devait être offensé. « Tout va bien aller, c’est juste un monsieur solitaire ! », rajoutais-je en la laissant alors s’éloigner. Je la regardais avec attention et je la suivais du regard. Je ne fermais pas les yeux sauf quand je cliquais des paupières. Je la regardais et je laissais ma main tendue vers le biberon avec les lèvres de Brownies juste en dessous. Celui-ci dans sa bouche, je me contentais de le laisser boire même s’il rechignait à quelques gorgées. Je gardais patience en détournant alors le regard vers Brownies qui repoussait le biberon de ses lèvres. Il le laissait échapper de ses lèvres et je faisais une moue. De l’eau coulait sur son cou. Je fouillais aussitôt dans le sac du bébé en cherchant des serviettes et des bavoirs ou n’importe quoi pour l’essuyer. Je soupirais doucement en fermant les yeux alors que je trouvais une lingette enfin non le paquet que je sortais du sac. J’en sortais une et j’allais aussitôt essuyer son cou et sa bouche en soupirant. J’avais perdue Dawn du regard. Je l’avais perdue et je ne m’en rendais pas compte. Peut-être pas trop inquiète ? Confiante ? Il y avait d’autres enfants. Je relevais la tête vers les herbes. Je ne la voyais plus sur le coup. Doucement paniquée. Je ne savais pas quoi faire. Je me penchais par réflexe vers Brownies sans trop regarder ce que je faisais. Je détachais sa ceinture de sécurité pour le prendre dans mes bras car c’était bien plus rapidement que de trainer le cosy partout. Je le serrais contre moi. Je me retournais même et cet homme dont elle avait peur n’était plus là. Je ne savais pas quoi faire. Devais-je l’appeler ? Devais-je hurler son nom ? Je me rendais vers les herbes sans même y penser. J’avais peur. J’en avais le souffle coupé. Je n’étais pas capable de faire quoique ce soit ou même de réfléchir. Je prenais une profonde inspiration en serrant le bébé contre moi. « Dawn… », criais-je alors doucement paniquée. Je sentais cette boule dans mon ventre qui grandissait doucement. Cette panique grimpait en moi. Oui, elle grimpait réellement. Je prenais une profonde inspiration en tournant sur moi-même tout en inspectant les environs. Je me sentais mal. Réellement. J’en avais les larmes aux bords des yeux (et non pas des fesses).
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Dim 3 Mai - 0:33
Je voletais, de tas d'herbe en tas d'herbe. Mon coeur à chaque fois bondissait dans ma poitrine. Soit je trouvais un oeuf, et je sautillais de joie, soit je ne trouvais qu'une brindille, du rien emballé dans du papier de soie, et là c'était la déception profonde. Je ne pouvais pas savoir vraiment où chercher, mais j'aimais ça. A quoi bon faire un jeu si on connait déjà tout le jeu. C'est comme un dessin animé. C'est pas marrant si on sait la fin avant de voir le début. Je commençais à ressentir une foutue fringale, bizarre. Discrètement, je me baissais, me mettant à genoux, et rampant pour me cacher de maman, derrière un morceau de décor du mini-golf, puis je désemballais, est-ce que ça se dit je ne sais pas, un des oeufs, pour le porter à ma bouche. J'avais envie de dire Miam tellement c'était bon, mais bon ça aurait fait étrange. Je m'asseyais en tailleur les mains posées dans l'herbe, ça me chatouillait, et un coup de vent fit s'envoler un de mes rubans que je portais autour d'une de mes couettes. J'aurais pu aller le chercher, pour l'empêcher de s'enfuir trop loin, mais j'étais bien installée, et sortir de cette position de détente, ça ne me paraissait pas faisable. J'allongeais mes jambes avant de manger le reste de mon oeuf. C'est quand même joli, la nature. Enfin, quand y'a pas du sale temps, et quand on peut s'asseoir par terre. Clairement, j'aime ça, m'asseoir par terre. C'est plus drôle. J'étais en train de manger le derrière de mon oeuf, pour le finir, et j'entendais crier mon nom. C'était la voix de maman. Elle avait l'air plutôt paniquée. En tout cas, j'entendais dans son timbre quelque chose qui n'était pas comme d'habitude. Je me redressais, du chocolat encore plein la bouche, et je tournais la tête en direction de l'appel. C'était bien maman, elle avait mon frère dans les bras. Me hissant sur mes pattes arrières, je me redressais pour courir à sa rencontre en écartant les bras pour lui faire un câlin. « Beh maman ! Pourquoi tu fais cette tête-là ? » Je m'écriais en écarquillant à mon tour les yeux. Je ne comprenais pas, ce qui avait pu lui faire peur. Peut-être qu'elle avait vu quelque chose. « C'est le monsieur solitaire qui t'a fait peur ? » Cette fois je lui chuchotais, même s'il n'était plus à côté de nous. Par précaution. Je serrais maman par la taille, frottant ma petite frimousse chocolatée contre son ventre, le fameux ventre qui m'aurait donc portée apparemment. « Faut pas que t'aies peur hein ! » Je disais ça, alors qu'un quart d'heures plus tôt, je disais qu'il était effrayant et pas normal. Mais que ne dirait-on pas, pour soulager sa maman. « J'te protège ! » Enfin, je sais bien que c'est plutôt l'inverse, je ne suis pas débile. Je suis petite pour savoir protéger quelqu'un, parait même que j'ai du mal à me protéger moi-même. « Ou plutôt, on se protégera toi et moi. » Voilà, travail d'équipe. On protégera même Brownie et Toby ! On est une famille soudée, nan ? Je lâchais maman, pour aller rechercher mes oeufs que j'avais du coup abandonné là-bas, pour venir la voir. Il y'avait un autre enfant, un garçon à ma place. Il était en train de me voler mes oeufs. Directement, je sautais sur lui, pour lui dire «Laisse mes oeufs voyons ! C'est à moi ! C'est à moi parce que je les ai trouvés en premier d'abord. » Mais il ne voulait pas me les rendre, je pouvais pas me battre avec un garçon ,je n'ai pas le droit de me battre, maman était pas loin, et de toute façon, je sais que les garçons ont beaucoup de force. Je me retournais vers maman, en espérant qu'elle se soit remise du vieux bonhomme, et je fis une grimace triste en m'approchant d'elle. « Y'a un garçon, il m'a pris mes oeufs. Il veut pas les lâcher. » Je savais qu'elle allait certainement me dire que tant pis, que je devais partager, ou je ne sais pas quoi d'autres, mais... Mes oeufs... Je m'essuyais la joue du revers de ma manche, et je me cachais derrière maman, en boudant l'humanité toute entière, tellement j'étais blasée d'un coup.
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mot doux de Invité ► un Lun 11 Mai - 1:57
L’amour fait virevolter, des millions de sensations qui vous prennent en plein cœur. Aimer. Un verbe qui sonne de plusieurs façons. Parfois amer, parfois avec du bonheur mais d’autres fois ? On ne sait jamais vraiment comment aimer, pourquoi, à quel fréquence, combien ? Tellement de choses qui font qu’on ignore si on peut qualifier ça en amour. L’amour mène tellement de bataille. L’amour est une bataille que l’on se doit de vivre. Parfois l’amour est mauvais, l’amour peut être tellement nocif mais d’autres fois c’est tout le contraire. L’amour d’un père, l’amour d’une mère, l’amour d’un homme que l’on dit avec le grand A ou même l’amour d’un enfant, d’une sœur, d’un frère. L’amour d’un enfant et d’une maman est étrange. Il est inconditionnel. Ceux qui prétendent le contraire ne sont pas réellement humains ou ils sont handicapés par les sentiments. C’est ainsi que va la vie après tout. Oui, voilà. Ainsi. Mais est-ce que j’avais un amour inconditionnel pour mes enfants ? Je n’en sais encore rien. Tout est tellement nouveau comme la première fois, comme faire du vélo avec nos deux petites roues comme naitre. Tout était nouveau pour moi. Des sensations encore inexplorées. Je ne saurais pas dire si j’ai manquée d’amour. Certains moments affectueux étaient néfastes. Certaines preuves d’amour était fausse, erronée. Parfois je me disais que l’amour n’avait simplement pas vraiment d’importance. Non. L’importance dans l’amour c’est simplement d’avoir la sensation d’être aimé mais tout ça me faisait peur. Tellement peur. L’amour est un monde effrayant pour moi autant que la famille. Je n’avais pas vraiment une famille uni. J’avais Rainbow et Baptist mais je n’avais jamais grandie avec l’impression d’avoir des parents fiers de moi. Ils me voulaient à leur image. Ce n’était pas simple. Je ne voulais tellement pas répéter leurs erreurs. Je ne voulais pas non. Je prenais une profonde inspiration alors que j’étais effrayée. J’avais cette sensation tellement décuplée pour la première fois. Je me sentais ainsi pour la première fois. Et si cet homme était réellement un kidnappeur ? Et s’il avait pris ma fille ? Et si j’étais tellement stupide. Le monde ne se fait pas de « Et si… », elle n’allait pas revenir grâce à ses deux mots qui n’ont jamais rien changé au présent, au futur ou même au passé. Les mots ne changent rien. Ils ne sont que des mots. Je paniquais tout simplement. Je ne savais pas quoi faire. Je regardais autour de moi. Etais-ce ça l’amour ? Je n’en avais aucunes idées. Je prenais une profonde inspiration. Je ne savais tellement pas quoi faire. Je ne savais pas quoi dire du tout. Des mots, des noms. Il sortait des choses de ma bouche sans même que je ne me contrôle. Devais-je ? Aucunes idées. C’est à ce moment-là que je la vis apparaitre. Ces bras ouvert et un câlin alors qu’elle arrivait vers moi. Cette tête ? Oui, quelle idée. Je soufflais, soulagée mais je ne savais pas quoi dire à cette question. Ces questions. Je devais répondre quoi ? Devais-je montrer que je pouvais être autant effrayée qu’elle ? Aucunes idées. Je riais nerveusement. Je me sentais stupide. Ne pas avoir peur ? Quelle idée. Je prenais une profonde inspiration. « Oui, tu as raison… », disais-je alors avec tellement peu de convictions. Oui, pas de convictions. Son chocolat contre ma robe, je souriais tandis qu’elle disait qu’elle me protégeait. Je déposais un baiser sur son front en me mettant à sa hauteur même si elle me serrait. C’est par contre un échange de courte durée, se protéger mais elle partait. Je faisais une moue en la tenant bien à l’œil tandis que je serrais le bébé contre moi. Je la voyais venir se plaindre, triste du voleur d’œuf. Je riais doucement en l’entendant. « On va aller les chercher ! », disais-je alors simplement en haussant les épaules. Je sortais un billet de 5 dollars de ma poche. Les garçons préfèrent l’argent au chocolat. Ce n’est qu’une question de bon sens. « Cherches un œuf, restes tout près ! », disais-je alors que j’allais vers le garçon et je marchandais pour qu’elle récupère ses œufs. Il acceptait et je souriais avec le butin alors qu’il partait. Je me tournais vers elle en souriant. « C’est qui la meilleure des mamans ? », disais-je alors que Brownies rotait tout simplement dans mon décolleté… Charmant. Je riais nerveusement en regardant le petit. « Merci… c’était encore charmant ! », j’éclatais doucement en rire en posant aussitôt mon regard vers Dawn et je m’installais sur l’herbe en gardant un œil sur notre table.
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Dawn L. O'Connor
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mot doux de Dawn L. O'Connor un Sam 16 Mai - 22:02
Oh, maman. Maman, t'as eu peur ? « Pardon, maman, si tu as eu peur à cause de moi. Pardon, maman. » J'agrippais sa robe, je tâchais le tissu, de mes mains toutes marrons. Je n'avais pas lâché mon oeuf en chocolat, et je salissais sa belle tunique. Je ne m'en fichais pas, mais je ne pouvais pas la nettoyer moi-même. De toute façon, je crois qu'elle s'en moquait un peu. Je la fixais, de mes deux grands yeux sombres. J'avais l'impression de la voir devenir la meilleure mère du monde. De toute évidence, elle faisait des efforts, j'en venais à oublier tous ces moments où elle n'arrivait pas encore à m'éduquer, au tout début. Le début de notre vie. Au début des choses. Quand le mot Maman est sorti pour elle, la première fois. Je ne sais même pas de quand ça date, après tout, on oublie facilement ces choses-là. Je n'oublie seulement pas, la douceur de ses mots, ni ses sourires qui me resteront toute la vie dans ma tête. Je l'aime comme elle est, et toute imparfaite qu'elle puisse être, comme chaque être vivant, puisque personne n'est parfait, c'est bien ce qu'on dit non ? - je l'aime quand même. Je l'aime, imparfaite, présente, et j'aime aussi notre passé. Celui où je vivais avec une soeur, que j'appelais Billie, avant d'appeler maman. Elle sait dire je t'aime comme personne d'autre au monde. Elle sait faire les meilleurs câlins, ceux qui savent rassurer, ceux qui essuient les larmes. Elle a aussi les phrases qui savent consoler des bobos. Je ne la quitte pas des yeux, me perdant un peu dans son regard, j'espère avoir le même. Je suis fière de la serrer contre moi, je sens qu'elle a eu peur, et je m'en veux toujours un peu, mais je sais qu'elle m'aime. C'est une évidence. Je n'ai plus à en douter. Je souris, fermant un peu les yeux, en me frottant la joue contre son ventre. Elle se baisse à ma hauteur, et dépose un bisou sur moi. Je frotte mon museau contre son nez, en observant de près, ma maman que je trouve si belle. Je m'éloigne finalement, sans trop m'éloigner, cette fois-ci. Mais le voleur d'oeufs me contrarie. Je la regarde se diriger vers lui, pendant que je sèche un peu mes pleurs. Je ne vois pas bien de là où je suis, ce qu'elle traficote avec lui, mais je la vois revenir avec mes oeufs en main, et un sourire sur les lèvres. Mes yeux s'illuminent, et je trépigne de joie. « C'est toi ! » Répondais-je à sa question, qui appelait certainement ce genre de réponse. Maman aime bien recevoir des roses, je sais bien, et c'est pour ça que je l'aime ! Puis c'est pas un défaut. Je la regarde s'occuper un petit peu de Brownie, il rote en plein dans les tototes de maman. J'explose alors de rire, en mettant ma main devant ma bouche, comme on me l'a appris. Ce soir, je fais ma bien-élevée ! Je m'approche de lui, et je lève mon index en sa direction. « Pas bien bébé ! Pas bien, de roter ! Et ne pète pas maintenant. Sinon pas de chocolat ! » C'était en prévention, on ne sait jamais. En plus ça sent fort les pétous de bébés. Je me tourne vers maman, en souriant de toutes mes dents - qui sont chocolatées de partout, parce que je viens juste de me gaver comme une oie de mes oeufs durement gagnés. Je venais de gronder doucement mon petit frère, et bizarrement, ça me rendait toute guillerettes. Oui, non, ce n'est pas gentil ! Je sais, je sais, mais je n'ai pas été tellement dure. En fait, ça m'étonnait même pas que Brownie se mette à roter, les bébés ça rote tout le temps. Enfin, je crois, du moins le nôtre, ou plutôt celui de maman et Toby, il passe son temps à faire des trucs pas nets. Et c'est quoi ce filet de bave qui coule sur son menton là ? « Beurk ! » Je m'écrie en voyant sa bave sur lui. Et maintenant, il bavait dans le décolleté ! Non puis quoi encore ? Tu ne veux pas faire caca sur maman aussi ? Je haussais les épaules, j'allais laisser à maman le soin de l'élever, c'était pas mon bébé. « Il faut l'élever le bébé, maman. » Disais-je d'un air oh combien sérieux. Oh combien ça ne me regardait pas, ou pas beaucoup, disons un peu, vu que c'était mon frère, mais c'est tout. Je secouais la tête pour regarder autour de nous. J'avais couru partout, mais je ne me sentais pas beaucoup fatiguée. J'aurais bien couru un peu plus. Et si maman n'avait pas eu le bébé accroché dans les bras, je lui aurais proposé une petite course à pieds dans le mini golf, ou même un mini golf, mais je pense qu'elle aurait dit non, on n'était pas venues pour ça au départ. « La prochaine fois, pour Pâques, tu pourras cacher des bonbons ? Pour changer ? » Je sais que c'est mauvais pour la santé. Au moins, j'aurais essayé.
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mot doux de Invité ► un Dim 5 Juil - 23:25
La panique, oh oui. La panique. On ne la vit pas souvent. Cette panique qui vous rappelle que vous êtes maman et que vous avez porté un bébé pendant 9 mois dans votre ventre. Vous aviez beau ne pas vous sentir prête ou en phase avec votre grossesse mais vous l’avez vécue et vous deviez la vivre mais ce moment où vous ressentez cette peur qui pourrait presque vous tuer peut être nocif pour vous. Votre cœur bat à toute vitesse en décollant celui-ci de votre poitrine et une fois soulagée ? Vous vous retrouvez à parler calmement dans un milieu joyeux et propice à l’humour. Alors que cette jeune petite fille me dit qu’il faut bien élever le bébé qui venait de baver. Je riais doucement en lui tirant la langue. « Oui, bah… », disais-je avec un air enfantin mais comment dire à ce bébé de ne pas baver alors que c’était encore tout ce qui savait faire ? Cela m’amusait tout de même. Je souriais à la jeune enfant qui me demandait si on pourrait aller simplement cacher des bonbons l’an prochain. Je levais les yeux en me redressant en lui tendant la main. « La prochaine fois ? On tentera surtout de ne pas te perdre des yeux ! », disais-je alors en étant amusée mais encore un peu sous le coup de la peur. « Ce n’est pas moi qui les cachent mais ce sont le monsieur et la madame du golf ! », lui disais-je alors comme précision mais je sentais bien que c’était flou pour un enfant et je devrais même lui dire que c’est le lapin de pâque mais bon ? Mais oui, mais bon. Je me contentais de la laisser finir son sandwich et de nourrir le bébé avant que nous rentrions tout simplement à la maison pour faire la sieste. Enfin, oui, j’étais crevée en fait. Je dormais mal avec le bébé et lui avait besoin de ces siestes régulières. Donc, voilà.
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