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mot doux de Invité ► un Lun 11 Mai - 1:10
Aaron & olivia
c'est l'histoiiiiiire de la viiiiiiiiiiie
Une marchandise, je devais expulser une marchandise. Une chose était certaine : je ne voulais pas savoir ce que pensait Aaron. Oh non. Je ne savais même pas comment qualifier ce bébé. Je me disais qu’on y réfléchissait bien pendant la grossesse, oui mais pas autant qu’à ce moment où tout se dessine. Peut-être que ça aurait été différent pour une autre mais je ne suis dans le fond pas une autre. J’étais perdue. Totalement perdue mais aussi tellement épuisée. J’avais tellement été forte pendant 9 mois et demi que j’avais la sensation de perdre ces forces. Je baissais les bras au mauvais moment mais autant psychiquement que physiquement. Etais-ce normal ? Je n’en savais rien. Je ne savais rien. Je pouvais dire si c’était normal qu’une sauce ne prend pas quand on veut l’épaissir. Je pouvais dire si c’était normal qu’une sauce tomate soit trop acide. Je pouvais dire comment corriger tout ça ou même comment bien assaisonner une salade ou même… Je pouvais vous donner le secret pour une viande haché parfaite. Je l’entendais simplement me dire que c’était trop tard. Oui, c’était trop tard. C’est comme un plat qui sort du four totalement grillé, totalement brulé. C’est trop tard. C’est une chose que l’on peut dire aussi si on laisse le fondant tellement longtemps dans le four qu’il ne fond plus. Il en devient une bête et simple… recette de moelleux un peu fort en chocolat. C’est comme les chocapics. C’est fort en chocolat. J’hochais la tête mais sans vraiment réfléchir. C’était comme nerveux. Ca va aller. Ca va aller. Il était réconfortait. Je me sentais comme une biche des bois sauvage que l’on veut approcher et c’était amusant dans un sens que j’avais presque envie d’en rare. Peut-être était-ce cette drogue ? Je n’en savais rien. « Si on pouvait le sortir… quand on en sera sorti ça serait bien ! », disais-je alors en laissant l’ironie de la chose s’entendre. S’en sortir avant qu’il ne soit là ? Je ne nous sentais pas prêt enfin je n’étais pas prête mais peut-être par ce que je savais qu’il n’était sûrement pas prêt ? Je me sentais peut-être mal pour lui ? Je n’en savais rien. Tout était confus dans mon esprit. J’étais perdue, tellement perdue. C’était au point ou la raison ne parlait pas vraiment. Je laissais mon regard se plonger dans le sien. Je cherchais une sorte de force. Je cherchais de la force tout simplement mais mes faiblesses sortaient tout aussitôt. Tout s’enchainait aux propos de cette femme. Déjà ? C’est bien ma veine. Certaines sont en travail pendant des heures et des heures mais moi ? Non. Il faut que je fasse vite comme l’on expulse… une marchandise ? Bon j’étais quand même en retard sur les délais. 9 mois et + ? Si c’était une pizza, je devrais la faire gratuitement mais bon. Il n’y avait pas de peppéroni sur la truffe du bébé. Je prenais une profonde inspiration. Oui, je sentais cet homme arriver vers moi mais je refusais clairement de le laisser m’accoucher. Non. Pas ce pervers. Il n’approchera pas de mon chaton. Hors de questions. Je faisais une moue au sourire aguicheur. « Non mais tu l’as vu, là ? Il continue à te draguer… », je secouais la tête et il suffit simplement qu’une infirmière me tente une sucette et je souriais en la regardant. « Oh… », disais-je en la regardant et ça me déconcentrait. Quand l’une d’entre elle m’écartait les cuisses, c’était aussi facile que bonjour. Je ne montrais pas de résistance. Je me sentais comme manipulée par une sucette. Je n’en voulais pas mais elle avait accaparée mes pensées. Je faisais néanmoins une moue quand elle la replongeait dans son tablier. Je voulais cette fichue sucette non d’un chien. Je suis une fille facile. Attirée par les sucettes. Je soupirais doucement en le regardant. « Vous n’imaginez pas un plan à trois, vous ! », disais-je alors à cet aguicheur tandis que j’allais sourire à Aaron, un sourire un peu séducteur. Et là, contraction. Le sourire s’effaçait dans un rire de chatouilles. « C’est comique ! », m’esclaffais-je alors en me tortillant doucement. Le regard assassin du type entre mes cuisses me figeait sur place. « Poussez… », disait-il et je poussais tout simplement après avoir chopée la main d’Aaron. Oui, paf. Je lui volais sa main car j’avais besoin de sa main… comme de souffre-douleur. Oui bah c’est comme au lycée après tout. Faut bien que je torture un truc. C’était sa main. Normalement on lycée, on ne torture pas un truc mais truc car on oublie toujours son prénom mais je n’étais pas ainsi… sauf que là. Quand j’ai mal… bah… je serre. Oui, voilà. Je poussais donc… et je faisais la respiration du petit chien entre deux rires. Je devais tellement avoir l’air ridicule. « Vous êtes sûr que je respire comme un chien ? », demandais-je inutilement entre deux souffles. Les contractions chatouillaient mais c’était gérable. Tellement. Je hurlais même en poussant. Ouais bah… leur drogue pour ne pas avoir mal, c’est qu’une crotte de lapin. Je le sens quand même mais tout doucement. C’est disons juste piquant. Oui voilà. C’était comme si j’étais constipé mais pas du même enfin… trêve de détails. Je poussais encore. « On voit sa tête ! », disait-il alors en regardant Aaron. Une infirmière s’approchait de lui. « Vous couper le cordon ? », demandait-il. Ce n’était pas encore le moment mais qui sait ? Peut-être allait-il refuser ? Moi… je poussais en lui broyant la main. N’oublions pas ce détail, ça doit faire mal et ça demande des soins après. C’est important de dire que je fais de la compote d’Aaron. Plus moyen de se soulager tout seul après ça. Mais chut, je n’y pensais pas. Je serrais, je poussais, je faisais le petit chien… manquerait plus que je ne me mette à 4 pattes et que je lève pour faire mon petit besoin. Je devrais peut-être mine de rien pour marquer mon territoire ? Et hop, j’expulse.
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Aaron B. Maccallister
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mot doux de Aaron B. Maccallister un Lun 11 Mai - 20:55
Aaron & olivia
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C’est comme si interrupteur avait été actionné. Il y a quelques minutes encore, l’ambiance était presque mélancolique. Aaron et Olivia, à moitié perdu dans leurs pensées et philosophant sur leur parenté imminente. Il n’y avait que deux ou trois infirmières faisant tapisserie, discrètes mais attentives. Il avait fallu que le don juan nomme la chasse au bébé ouverte pour que tout le monde s’agite comme une fourmilière. Aaron avait à peine fini de se battre avec la combinaison en plastique qu’on lui imposait, qu’ils étaient déjà dans le cœur de l’action. Aaron repris place au côté d’Olivia, grimaçant légèrement en entendant le couinement que la friction de la combinaison provoquait à chacun de ses mouvements. Il devait avoir l’air ridicule. Heureusement que personne ne filmait. Et quelle idée ça d’ailleurs ! Un de ses collègues avait un jour cru bon de lui faire partager la vidéo de l’accouchement de sa femme, lui fourrant la caméra sous le nez et fournissant un commentaire audio euphorique à la scène de film d’horreur qui se déroulait devant leurs yeux. Aaron avait dû prétendre un rendez-vous urgent pour y échapper. Aaron peut comprendre que certains soient gaga à l’idée d’être parent, mais il y a des choses qu’il ne vaut mieux pas immortaliser. Tout ça pour dire, que ce qui se passait au sein de cette salle d’accouchement allait définitivement y rester. Aaron sentait le stresse monter et l’agripper à la gorge, le faisait presque adopter lui aussi la respiration du petit chien. Quelle angoisse. Aaron ne pu même pas relever la plainte de sa compagne, aussi légitime soit-elle. Même si Aaron penchait de ce côté, il doutait que le plus sexy des hommes eut été capable de le séduire dans un tel contexte. « Ne t’occupes pas de lui » répondit-il d’un ton absent.  Mais Olivia ne semblait pas plus perturbée que ça puisqu’elle mentionna un plan à trois la minute qui suivit. Aaro haussa haut les sourcils avant de lâcher un soupir devant l’infirmier qui venait soudainement de lancer un regard presque optimiste dans sa direction. « Ne lui donne pas des idées ! » siffla-t-il en retour. Il ne manquait plus que l’infirmier lui glisse un numéro de téléphone en même tant qu’il lui passe son fils dans les bras. Tu parles d’un manque de tact. Aaron mettait ça sur le compte de la douleur et du traumatisme de leur situation, mais il estimait franchement qu’Olivia était complètement à l’ouest. Du moins, il espérait que c’était ça, sinon c’est que la jeune femme lui avait caché un désordre mental depuis plusieurs années ! La pauvre rigolait et Aaron ne pouvait que poser un regard profondément confus sur elle. Regard qui s’exorbita bien vite lorsqu’Olivia lui empoigna la main et se mit à serrer de toute ses forces. Aouch. Bon, il le méritait mais quand même, aouch ! Aaron était à peu près sûr qu’il allait lui falloir de longues minutes pour retrouver la sensation dans sa main une fois toute cette aventure finie. Aaron n’avait rien d’autre à faire que de souffrir en silence et attendre silencieusement que ça se passe, tel un témoin d’un moment unique. Quand Olivia se mit à crier, Aaron en sursauta presque. C’était insupportable. Pour ce qui était sans doute la millième fois dans la dernière heure, Aaron se demanda pourquoi Olivia s’était infligée cela. Un bébé valait-il la peine de subir tout ça ? Faut croire qu’ils allaient bientôt le découvrir. Aaron essayait de se dire qu’il était idiot. Des gens plus idiot que lui sont devenus père. Aiden est devenu père et il en est satisfait ! Ugh. Aaron releva brusquement la tête, sa nuque protestant douloureusement, lorsque le médecin annonça que la tête du bébé était apparente. Aaron s’interdit d’imaginer la scène. Il resta pantois devant la question de l’infirmière. « Uh… » bafouilla-t-il, très éloquent, mais sa réflexion fut interrompue par un hurlement. Pas celui d’Olivia. Non. Un cri perçant et qui, étonnamment, sembla provoquer le silence tout autour de lui. Tout le monde était tourné vers la petite créature que le médecin venait de sortir d’entre les jambes d’Olivia, et Aaron était figé sur place. Le regard planté sur le bébé, Aaron avait du mal à réaliser qu’il était là. Leur bébé. Bien vivant et présent, et non plus quelque chose d’abstrait que l’on devinait juste derrière un ventre qui gonfle. « Olivia…» soupira-t-il sans lâcher le nourrisson du regard, presque pour lui demander si elle voyait ce qu’il était en train de voir. Aaron ne savait pas quoi ressentir, les émotions allant et venant par dizaine dans son esprit. On lui tendit un de quoi couper le cordon ombilical, ce qu’il fit presque machinalement, sans penser à quel point cet acte était franchement étrange. Le docteur entreprit de déposer le bébé – son fils – sur la poitrine d’Olivia et les voir tous les deux était presque plus impactant. Mon Dieu, ils sont parents.
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mot doux de Invité ► un Sam 27 Juin - 3:03
Aaron & olivia
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Donner des idées ou pas… être dans un film Scream ou pas à crier comme une vache farouche… Je devais mettre bas comme les animaux. Oui, je devais accoucher. Non d’un chien. Je sentais la douleur par des chatouillis et j’avais l’impression d’être au paradis des petits clowns mais j’en avais marre d’être une baleine. La main d’Aaron dans la mienne, je le sentais même sursauter à mon crier mais pas perturbée pour un sous, je continuais de pousser tout simplement. Oui, je poussais. (Mes personnages poussent trop en ce moment, je vais en faire des cauchemars) La douleur étant toujours tendre. Le bébé sorti et laissant ce cris perçant, je me sentais juste soulagée. Le bébé criait mais ça soulageait. Ouh ouais. C’était comme si la pastèque était sorti du magasin et je me disais que j’allais pouvoir la manger tandis qu’avant… j’étais effrayée de passer à la caisse. Cherchez la contradiction féminine mais des pleures me suffisait à me dire que le monde allait devenir joli et pleins de beaux papillons. Magique. Oui, sortons du pays des licornes. Je regardais le bébé comme si c’était le début d’une nouvelle vie et Aaron soupirait mon nom. Je ne savais pas ce qu’il pensait mais je le regardais de dos s’occuper du cordon. Je n’avais rien dis pour réponse, je reprenais simplement mon souffre. Oui, trop poussée et surtout trop fatiguée pour dire quoique ce soit. Je me sentais… juste claquée de chez claquée. Alors que le médecin déposait le bébé sur ma poitrine. Je le regardais avec attention comme si c’était un ange. A l’entendre faire des bulles, je riais malgré moi en caressant sa joue de mon doigts. Je ne réalisais pas vraiment ce qu’il se passait enfin si mais cela me paraissait tellement irréel à la fois. Je relevais mon regard vers Aaron et déposant un baiser sur ses lèvres. Il y a tellement de choses que je pourrais dire. Oui, tellement mais je ne prenais pas vraiment le temps de réfléchir. « C’est ton fils ! », disais-je alors sans calculer l’impact de mes mots et ne pensant pas une seule seconde à ce que cela pourrait soumettre dans son esprit. Je me contentais de sourire doucement. Savoir que le bébé ne pleurait plus était aussi réconfortant mais il nous regardait alors qu’il devait sûrement voir flou. Je baissais mon regard vers le bébé, posant mon autre main moite sur la joue d’Aaron que je caressais légèrement presque sans regarder ma main, comme une habitude, un réflexe. Je relevais mon regard vers lui. « Je peux me reposer, maintenant, tu crois ? », lui demandais-je tandis que je me sentais épuisée. Oui, tellement. Mon corps se sentait tellement fatiguée. Une infirmière arrivait alors en nous souriant. « On va le prendre pour son premier bain ! », elle relevait son regard vers Aaron sans savoir ce qui pouvait se dérouler dans nos esprits. Je n’en savais rien non plus. Le mien ne voyait que des fleurs et papillons tellement il était épuisé. « Vous voulez nous accompagner ? », demandait-il alors que je penchais doucement la tête en regardant le bébé s’éloigner quand elle le prenait. Je relevais le regard vers Aaron en souriant. « Tu peux y aller, si tu veux ! », disais-je alors que je savais pertinemment que j’allais être amenée à me doucher et me changer avant de réellement pouvoir me reposer. Je le savais comme j’y étais préparée mais je n’en avais pas vraiment envie. Je voulais juste dormir. Tout simplement. Je regardais l’infirmier s’en aller et j’attrapais la main d’Aaron pour y déposer un baiser à nouveau. Je suis tendre depuis que j’ai accouchée ma pastèque. Mon dieu. « On l’appelle comment ? », lui demandais-je alors que des infirmières poussaient le lit et m’éloignait malgré moi de lui. Oui, bah, j’étais sale et pleine de sueur. C’était horrible. Je devais puer le bouc. Je sois même sentir la transpiration. Même pas peur et même si dans ma tête c’était une explosion d’émotions nouvelles, je ne me laissais pas émouvoir sauf dans la douche qui fut longue, tellement longue. Oui, le temps me paraissait long. J’enfilais les vêtements propres que l’on m’avait préparé. C’était le pyjama que j’avais ramené. Je ne savais pas du tout qui l’avait préparé d’ailleurs. Une infirmière ou Aaron ? Je n’en avais tout bêtement aucunes idées. J’allais alors dans mon lit. Quelques infirmières aidant tandis que j’étais toujours épuisée. « Les effets de la péridurale s’estompe petit à petit ! », elle déposait alors des antidouleurs sur la tablette en me souriant. « C’est au cas où, toutes les quatre heures comme toujours ! », j’hochais la tête mais mes paupières me semblaient tellement lourde que je m’endormais pour 3 heures de sommeil. Peut-être plus ? Peut-être moins ? Mais je me sentais tellement bien sauf que des pleures me réveillaient. Merveilleux, ça commence.

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mot doux de Aaron B. Maccallister un Dim 12 Juil - 12:21
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Son fils. Olivia ne faisait qu’énoncer l’évidence, mais Aaron entendait ses mots comme si la notion lui avait auparavant échappée. Son fils. Il y a seulement quelques mois plus tôt, lorsqu’il avait appris qu’il allait être père, tout n’avait été qu’un concept flou malgré l’imminence de la chose. Voir le bébé de ses propres yeux était déconcertant. S’il s’était bien évidemment attendu à l’accouchement, Aaron n’avait jamais fait l’effort de s’imaginer le moment où il allait poser son regard sur sa progéniture et commencer une toute nouvelle vie avec lui. Aaron ne savait pas quoi penser. Sa poitrine semblait compressée par le flot d’émotions. Un étrange sentiment de satisfaction et d’affection le bousculait tandis qu’il regardait le petit être devant lui serrer les poings et cligner des yeux d’un air absent. L’angoisse ne s’était pas volatilisée cependant, au contraire. La fragilité de son fils et l’émotion le prenant à la gorge ne rendaient que trop réelles les nombreuses manières dont Aaron pouvait ruiner ce début de famille. Mais ce n’était pas une pensée sur laquelle il fallait s’attarder. Pas pour le moment. Alors Aaron se contenta d’hocher la tête, basculant son regard un instant sur Olivia lorsque ses lèvres se posèrent sur les siennes. Son fils. Aaron leva une main et caressa délicatement le crâne du bébé, à la fois fasciné et terrifié par ce qu’il faisait. Olivia caressa sa joue et Aaron pivota la tête pour déposer un baiser dans le creux sa main avant de la recouvrir de la sienne. « Oui, tu l’as bien mérité » souffla-t-il tandis qu’il observait les battements de cils d’Olivia devenir plus irrégulier, alourdis par le sommeil. Aaron ne pouvait imaginer à quel point mettre au monde leur bébé avait dû être épuisant. Témoigner de la chose ne donnait qu’un vague aperçu de ce que c’était de le vivre. Et lorsque l’on considérait que même Aaron se sentait épuisé par le stress de la journée, cela laissait deviner l’état dans lequel se trouvait sa compagne. Une infirmière s’approcha d’eux et annonça qu’il était temps de donner son bain au bébé, tout en proposant à Aaron de l’accompagner. « Uh…. » fut sa réponse très éloquente, son regard faisant l’aller retour entre l’infirmière et Olivia. Cette dernière l’incita à y aller, mais Aaron hésitait. D’un côté, il était inquiet à l’idée de se retrouver seul avec son bébé. Et si l’infirmière lui demandait de l’aider et qu’il merdait ? Il ne voulait pas non plus laisser Olivia toute seule même si elle allait sans doute s’endormir aussitôt. Olivia attrapait sa main et y déposait un nouveau baiser et Aaron enroula ses doigts entre les siennes, un sourire attendri aux lèvres. Elle était étonnamment tactile sur le moment, mais Aaron estimait que c’était une des conséquences d’avoir donné vie quelques instants plus tôt. Aaron lui-même se sentait étrangement vulnérable, c’est bien pourquoi l’idée de rester auprès de sa compagne lui semblait plus tentant que de s’aventurer hors de la pièce avec l’infirmière. Mais Olivia lui fit oublier ce dilemme en rappelant une question très importante. Oh. C’était idiot, mais Aaron n’y avait pas vraiment réfléchi. Et pourtant, un nom s’arrêta dans son esprit. Aaron n’avait jamais été de ceux qui collectionnent les prénoms plaisants dans l’espoir de les ressortir un jour pour un éventuel bébé. Jamais il ne s’était imaginé dans cette position. « Et bien…on peut en parler plus tard, mais j’avais pensé…Liam, peut être » dit-il maladroitement alors qu’Olivia se voyait déplacée hors de la pièce. Liam avait été un très bon ami à lui qui avait malheureusement perdu la vie au combat. Jamais il ne s’était imaginé lui faire hommage de la sorte, mais sur le moment ça lui semblait être la chose à faire. Et puis d’un point de vue totalement esthétique, Liam était un joli prénom après tout. Quand Olivia fut définitivement sortie de la pièce, Aaron, penaud, estima qu’il n’avait plus qu’à suivre l’infirmière. Le bain du petit fut très méthodique et c’est tendu et les bras croisé sur sa poitrine qu’Aaron observait les gestes de la sage-femme et ses instructions, hochant la tête aux moments opportuns. Son fils enfin tout propre, l’infirmière le déposa dans ses bras sans trop lui laisser le choix. Aaron était pétrifié et c’est à deux à l’heure qu’il se déplaça jusqu’à la chambre d’Olivia, l’infirmière parlant sans cesse à ses côtés dans un vain effort de lui dire qu’il faisait du bon boulot. Olivia dormait quand ils arrivèrent et Aaron déposa le bébé dans sa petite couveuse. Le bambin ne tarda pas à imiter sa mère, et lorsque l’infirmière s’en alla enfin, promettant de revenir dans quelques heures, Aaron se laissa tomber sur une chaise et s’endormit à son tour. Quelques minutes ou quelques heures plus tard, Aaron n’en avait aucune idée même s’il avait l’impression qu’il venait juste de fermer les yeux, des pleurs l’extirpèrent de son sommeil. Ah oui, voilà qu’il allait être bien moins agréable à supporter.
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mot doux de Invité ► un Ven 24 Juil - 18:42
Aaron & olivia
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Dans toute cette euphorie, je ne me rendais pas compte que c’était un garçon et non une fille. Je ne savais pas à quoi m’attendre. Quel sexe. Je ne le savais juste pas et une part de moi n’avait pas voulue le savoir peut-être pour ne pas réellement se rendre compte totalement que c’est vrai, je suis maman. Je suis maman mais oh mon dieu. Une chose que je n’aurais jamais vraiment prévue sans que cela n’arrive. Je pense qu’il ne l’avait pas prévu non plus. Pas du tout. Mais comment l’appeler ? Cela m’avait échappée dans un moment de lucidité. On dit toujours que la fatigue perd mais peut aussi rendre intelligent. Pourquoi pas. J’étais juste épuisée mais les effets de la péridurale s’échappaient petits à petits. Je laissais un léger sourire se dessiner tandis que je l’écoutais mais la fatigue l’emportait mais pas seulement. On m’emportait. Liam avait-il dit ? Je n’avais pas eu le temps de relever mais le prénom avait réussi à atteindre lentement mon cerveau. Un sommeil, un dodo et des yeux qui s’étaient fermés tout à coup ou peut-être pas trop vite ? Je ne m’en souvenais même plus. J’avais sombré après la toilette. Je me souvenais seulement des propos de la jeune femme. Je me réveillais extirper par des premiers pleures pas vraiment agaçant pour l’instant mais ils piquaient au cœur comme une tristesse. Était-il triste ? Je n’en savais rien mais l’émotion avait le don de me prendre au cœur. J’ouvrais mes yeux et je me redressais lentement. Pas trop vite pour éviter de faire tourner ma tête. Je soupirais doucement en tournant le regarde vers le petit lit et ensuite vers Aaron qui semblait aussi prêt à se réveiller. Je retirais la couette posée sur mes jambes. Le mois de janvier n’était pas tout chaud et pourtant j’avais cette envie d’avoir les jambes nues. Je me relevais en allant en direction de la couveuse ou je prenais la sucette posée à côté de son visage pour la remettre dans sa bouche. Je le mettais alors dans mes bras sans vraiment savoir comment je devais m’y mettre. Il pleurait encore et j’ignorais s’il avait faim. Peut-être ? Je n’en savais rien. J’avais eue des cours prénatales et pourtant je me sentais comme dans l’inconnu. Je n’avais pas le réflexe de hop hop hop retirer mon soutif pour le laisser tirer son lait. Je n’étais pas encore vraiment une vache à lait prête à me transformer en biberon même si je savais que c’était mieux pour lui. Je passais la main sur son ventre en faisant alors des petits ronds avec le doigt. Parait que ça calme les enfants, non ? Je faisais ça mais cela ne marchait pas vraiment longtemps. Perdue, je tournais la prunelle de mes yeux vers Aaron en faisant une moue. « C’est normal de ne pas savoir ce qu’il veut ? », demandais-je encore incertaine. Avait-il faim ? Peut-être mais peut-être pas. Je regardais autour de moi comme si la réponse bien magique allait apparaitre mais je n’osais pas plus le prendre dans les bras. Pourquoi ? Je craignais simplement de mal m’y prendre. Je craignais d’être maladroite et de le laisser tomber. « Il est si petit ! », murmurais-je en me disant qu’il fallait vaincre mes peurs. Je me penchais vers le lit en glissant mes mains sous lui. Je tremblais doucement ce qui ne tardait pas à laisser quelques pleures se faire entendre. Connecté à mon incertitude. Il sentait tout ça, j’en étais persuadée. Je savais que je devais me calmer. Je n’avais jamais été maman mais je connaissais les bases car mine de rien ? Quelle femme n’en connait pas un minimum sauf celle qui n’a jamais eue une maman pour les informer. Ma maman. Oui. Maman. J’avais oubliée de la prévenir. Elle voulait tant l’être. Je m’en inquiétais sur le coup. Je ne devrais pas. Je me relevais avec le bébé dans mes bras. Je le regardais avec attention juste pour chercher ses traits. Je voulais voir le visage de mon fils et l’inspecter. Non pas pour voir s’il me ressemblait. Je me retournais alors vers Aaron en souriant. « Il a tes yeux et il est aussi râleur que toi ! », disais-je en plaisantant alors que je ne trouvais pas toujours Aaron râleur mais ça m’amusait de le taquiner et lui montrer que !a ne changeait rien. J’allais toujours me moquer de lui. Je me rapprochais avec le bébé dans les bras et j’allais déposer un baiser rapide sur ses lèvres. « Liam, tu disais ? », je regardais alors le bébé attentivement. « Ça te plait ? », demandais-je alors à l’enfant qui n’allais sûrement pas me répondre mais c’était ma première bêtise gâteuse d’une maman. Oui, la première. « Il faut prévenir tout le monde… je ne sais pas si tu y as pensé ! », lui demandais-je en reposant mon regard sur lui. « Mais j’aime bien qu’on soit seulement à… deux… enfin trois ou deux et demi ? », disais-je sans vraiment comment faire le calcul parfait. J’étais encore fatiguée bien entendue. Quelques heures n’avaient pas suffi et mon cerveau n’était pas totalement opérationnel et le bébé qui semblait ne pas se calmer et s’agiter n’arrangeait rien. Il devait avoir faim mais comment m’y prendre ? Mon dieu, je n’en sais rien. « T’as déjà donné le sein ? », lui demandais-je alors à Aaron. Pourquoi pas. Il pourrait peut-être m’aider. Après tout il connait tout autant ma poitrine que je la connais.
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Aaron B. Maccallister
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et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
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❝ post-it : né à Pasadena + a deux soeurs plus jeunes, des jumelles + s'est engagé dans l'armée de terre à ses 18 ans + est de retour aux USA pour une durée indéterminée + entrâine les recrues à la caserne de Pasadena en attendant d'être envoyé sur le terrain + allergique à l'ananas et au kiwi + donnerait sa vie pour son pays + parle cinq langues (anglais, espagnol, arabe, français, russe) + est un gros flirt + son jeu favori est le poker, mais il aime pas quand une fille y joue ça déconcentre trop les autres + un peu trop obsédé par les jeux d'argent + a trompé sa copine pendant qu'il était en Afghanistan. celle-ci est enceinte mais il ne l'a appris que bien plus tard + est un piètre cuisinier + a plusieurs tatouages.

News: naissance de son fils, Liam
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mot doux de Aaron B. Maccallister un Sam 12 Sep - 16:41
Aaron & olivia
c'est l'histoire de la vie
Le réveil ne ménagea pas Aaron. Une vive douleur au bas du dos lui rappela que s’endormir sur les chaises en plastiques inconfortables des hôpitaux n’était jamais une bonne idée. Son cou protestait également, lassé d’avoir basculé sa tête d’avant en arrière à défaut de trouver un support digne de ce nom. Aaron se passait une main sur le visage dans un vain effort d’en chasser la fatigue. Pendant ce temps, son fils mettait toujours en pratique ses nouveaux poumons tandis qu’Olivia se levait pour l’approchait. Aaron opta pour l’immobilité, préférant observer sa compagne apprivoiser le bébé mécontent. C’était presque comme regarder Discovery Channel. Le jeune Maccallister remarqua qu’Olivia n’avait pas non plus l’air très à l’aise avec le bambin. Il était très ambivalent quant à cette remarque. D’un côté, Aaron était rassuré de savoir qu’ils étaient tous les deux sur un même pied d’égalité, à douter et faire des erreurs dans leur rôle de parents. Et en même temps, cela l’aurait rassuré de savoir qu’Olivia allait tout gérer de A à Z comme une pro. Olivia tenta de calmer le bébé en lui massant légèrement le ventre. Ça n’avait pas l’air super efficace. Il n’était pas en place de juger, assis comme un con sur cette chaise qui lui détruisait le coccyx. Olivia se tourna vers lui, le doute et l’incompréhension sur son visage, et Aaron avait presque envie de rire devant sa question. Qu’est ce qu’il en savait ! « Je crois que oui…à moins qu’il soit super précoce et qu’il apprenne à parler dans les prochaines heures » répondit-il.  Cela semblait être le signal de l’univers lui demandant de s’impliquer un petit peu plus, alors il se leva avant d’approcher un peu plus sa nouvelle petite famille. « Il doit juste avoir faim » tenta-t-il d’apporter à la conversation. Ça ne devait pas être si compliqué que ça. A cet âge là, soit il avait faim, soit il avait besoin qu’on le change, non ? Aaron estimait qu’ils pouvaient très bien appeler une infirmière pour leur mâcher le travail, mais le jeune papa préféra leur donner quelques minutes pour essayer de jouer aux parents. Olivia décida de prendre les choses en mains et Aaron ne pu qu’acquiescer : il était en effet très petit. Aaron n’avait pu que trop bien le réaliser lorsqu’il l’avait porté quelques heures auparavant. Pouvait-on physiquement briser un bébé ? Aaron n’en avait aucune idée, mais ça avait semblé être une possibilité lorsque son fils avait été lové dans ses bras. Tellement fragile. Olivia souleva le bébé jusqu’à se retrouver face à face avec lui. Aaron s’attendait à ce qu’elle l’embrasse, mais non, apparemment elle étudiait simplement son visage. Un sourire tira les lèvres d’Aaron sous la remarque d’Olivia. « Espérons qu’il ait aussi mon charme alors » ajouta-t-il de bonne humeur. Si leur fils pouvait prendre le meilleur de chacun, ce serait super, mais c’était un peu trop demandé ! Olivia s’approcha de lui pour déposer un baiser sur ses lèvres, comme pour contrebalancer sa remarque. Ce n’était pas nécessaire, Aaron savait reconnaître la taquinerie pour ce qu’elle était…et admettre qu’il pouvait être râleur parfois ! Aaron avait presque oublié cette histoire de prénom quand Olivia y fit mention. Aaron haussa les épaules. « C’était juste une proposition » dit-il. Loin de lui l’envie d’imposer un prénom à Olivia ! Ils pouvaient largement en discuter et se mettre d’accord sur un prénom si celui-ci ne lui plaisait pas. Mais elle demanda ensuite son avis à leur fils au lieu d’en débattre avec lui, alors Aaron estima qu’elle ne devait pas trop être rebutée par sa proposition. Olivia semblait en mode réflexion intense puisqu’elle souleva aussitôt un autre point. « J’ai seulement prévenu mes parents pour le moment. Ils devraient passer demain » répondit-il. Aaron avait appelé vite fait sa mère avant de rejoindre Olivia dans sa chambre. Après lui avoir percé un tympan, sa mère avait déploré le fait qu’elle et son mari n’étaient pas sur Pasadena et ne pourraient pas venir voir leur petit fils avant le lendemain. Ce n’était pas plus mal. Un peu de repos avant d’être happé par tous les visiteurs. Il faut dire que c’était les premiers petits-enfants pour cette branche de la famille Maccallister, alors forcément. Il fallait aussi qu’ils préviennent ses sœurs et Aiden avant qu’ils ne l’apprennent pas une autre bouche que la sienne. Aaron avait préféré laisser à Olivia l’honneur de l’annoncer à sa mère. Liam, lui, n’en avait que faire des formalités, il pleurait toujours. Aaron laissa échapper un rire devant la question sotte d’Olivia. « Je crois que lui et moi on ne va pas avoir la même approche concernant ta poitrine » rétorqua-t-il. « Ça ne doit pas être très compliqué » continua-t-il. Et en effet, après quelques remarques idiotes et premières tentatives, ils arrivèrent à nourrir leur enfant et lui faire cesser ses pleurs. Liam ne semblait pas très enclin de les remercier pour cet acte par la suite, et en fils ingrat qu’il était, il s’endormi aussitôt après. Une chose était sûre : être parent n’allait pas être de tout repos.

FIN
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