l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Jezabel M. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administratrice d'amour
| mot doux de Jezabel M. Sanchez ► un Mer 2 Mar - 22:44 | | | Jezabel M. Sanchez live well, love much, laugh often featuring sofia vergara, je suis un Inventario (?) Prénom ► Jezabel Manilla. Bien qu'elle soit fière du prénom choisi par ses parents, elle demeure quelque peu embêtée par le fait que la majorité des gens ne le prononcent pas correctement. Au début, ça l'agaçait au plus haut point, mais maintenant qu'elle sait qu'il n'y a rien à faire, elle s'est habituée. Son deuxième prénom, plus simple à prononcer par la majorité, fait référence à l'endroit où elle a été conçue, soit à Manille, pendant que ses parents étaient en vacances. Age ► 42 ans. Date de naissance ► 28.02.1974. lieu de naissance ► Nouvelle-Orléans, Louisiane, USA. métier ► Elle a fait ses études en design d'intérieur, puis a commencé à travailler à son propre compte en connaissant un certain succès. Progressivement, elle a commencé à créer ses propres éléments de décoration, sans toutefois les vendre à grande échelle. Elle en ajoutait par ci par là quand les clients le souhaitait. Puis, à son arrivé à Pasadena, ses produits ont commencé à être créés à plus grande échelle et maintenant, elle est propriétaire de son entreprise de fournitures de maison. Les maisons redécorées ne sont plus seulement suggérées par elle, elles sont signées par elle de A à Z. origines ► Américaine & hispanique. love ► e, elles sont signées par elle de A à Z. love ► Elle est veuve depuis maintenant treize ans. Elle a eu quelques relations depuis ce temps, mais rien qui soit matière à s'engager à long terme. Pour le moment, ça lui convient comme ça. Tant qu'elle a l'amour de sa famille et son métier, ça lui va. hobby ► Promener son chien, faire de la randonnée en montagne, passer du temps chez le coiffeur (pour papoter et se faire dorloter, pas nécessairement pour des raisons superficielles), regarder les petites annonces immobilières pour trouver une maison à retaper, retaper des maisons et les revendre. vos enfants ► Elle a deux enfants, des jumeaux non-identiques, une fille, Rory Sanchez-Smith, et un fils, Harley Sanchez-Smith. Tous deux ont eu dix-huit ans en août dernier. De plus, elle a eu la garde légale de son neveu, Jonas, et de sa nièce, Théa, il y a douze ans. Elle les considère plus comme ses enfants qu’autre chose. le plus beau souvenir ► Le jour de la naissance de ses enfants. Elle aurait pu dire son mariage, qui fut une très belle journée malgré la simplicité de la cérémonie, mais ses enfants sont venus compléter sa famille d’une façon incroyable. Pourtant, ce jour n’a rien de glamour; trente heures de travail, des sueurs, de la douleur, mais ce que ç’a donné à la fin est inestimable. le souvenir que vous voulez effacer ► La mort de son mari, ou plutôt, le jour où elle a eu la visite d’un représentant de l’armée lui annonçant que son mari avait perdu la vie dans un incident en mission. Elle a eu l’impression que son monde s’est écroulé d’un seul coup. Cependant, elle n’a pas pu le montrer bien longtemps, puisqu’elle devait s’occuper de ses enfants et se montrer forte pour eux, compte tenu qu’ils n’avaient que cinq ans à l’époque. Pour ça, elle a appris à vivre sans son mari, mais ne s’en est jamais complètement remise. Est-ce pour cela qu’elle n’a jamais eu de relation sérieuse après ça ? C’est possible... qualités ► Maternelle, attentionnée, fidèle, loyale, organisée, créatrice, intelligente, généreuse. défauts ► Colérique, autoritaire, têtue, inflexible, manipulatrice. autres petites choses ► Elle a un tatouage dans le bas du dos. C’est un signe infini avec écrit dans les lignes la date de son mariage et la date de naissance de ses enfants. - Elle a un chauffeur privé parce qu’elle déteste conduire. Elle se fait toujours accoster par la police et ça ne lui plait pas. - Elle réagit mal au vin rouge; elle devient remplie de rougeurs… Et non, ce n’est pas un mauvais jeu de mots. - Elle parle couramment et fluidement l'espagnol. groupe ► Apple Tree. Pour sûr, ma famille est ce que j’ai de plus important dans ma vie et je crois que si je me fie à mes impressions, l’inverse est aussi vrai. Mes enfants, mon neveu et ma nièce ne sont pas toujours à la maison, et je n’exige pas qu’ils le soient non plus, mais je crois que nous sommes assez proches pour qu’ils sachent que je serais toujours là pour eux et qu’en cas de besoin, je puisse compter sur leur aide, même si je préfère, bien sûr, que ce soit l’inverse à la place. Même si ma carrière est une véritable réussite à mon avis, ma famille, aussi déconstruite et incomplète celle-ci soit-elle aujourd’hui, reste et restera toujours mon plus bel accomplissement et ça, rien ni personne ne saura changer ça Quel grossier personnage ce Sexy McNews puisse-t-il être ! Alors que je peux écouter Dear Mom pendant des heures sans me lasser, lui, je n’y arrive tout simplement pas. Je n’aime pas ses sournoiseries, je n’aime pas le fait que son plaisir est de mettre les gens dans des situations gênantes. Non pas que ça m’est arrivé mais… Oui, ça m’est arrivé, et j’en garde un très mauvais souvenir ! C’est depuis ce temps que j’en garde un dur souvenir, souvenir qui fait en sorte que chaque fois qu’il passe à la radio, je me permets de la fermer et ce, jusqu’à ce que je me rende compte que c’est l’heure de l’émission culinaire du jour, ou bien le tour de Dear Mom de prendre le micro. Bref, tout pour ne pas l’écouter et être aux prises avec une autre de ses blagues. C’est le diable, cet individu, je vous jure ! Les mots ne sont pas assez forts pour décrire à quel point j’adore Dear Mom. J’adore écouter son émission, j’adore les conseils qu’elle donne aux gens, bref, j’aimerais bien qu’elle soit ma meilleure amie, je suis persuadée que nous serions du genre à bien nous entendre, passer du temps ensemble et tout ce qui vient avec. En tout cas, si jamais on me le demandait, pour sûr je serais d’accord pour rénover sa maison, son studio, tout ce qu’elle veut. Bien sûr que je lui ferais un bon prix, ce serait plus qu’un immense plaisir pour moi, ce serait un honneur. Est-ce que je suis en train d’un peu trop m’emporter ? C’est fort possible, mais je m’en fiche. On me demande de parler de ce que je ressens à l’égard de Dear Mom, voilà ma déclaration d’amour. Ce que j'aime Les dimanches ► C’est la plus belle journée de la semaine pour moi. C’est la journée où j’oublie le travail pendant un instant et que je me consacre à ce que je préfère. Non pas que j’aime pas mon boulot, mais dimanche, c’est le jour du Seigneur, donc c’est un jour de repos. Enfin, pour moi, c’est surtout le jour où je me rends à la messe le matin, histoire de me sentir bien avec moi-même, faire mon devoir de chrétienne. Ensuite, je rentre à la maison, et je prépare le repas du soir que je vais partager avec mes enfants, mon neveu et ma nièce. C’est probablement cela que je préfère, ce moment privilégié en famille. Je ne leur demande pas d’être là les autres jours de la semaine, parce que je suis consciente qu’ils ont une vie, et moi aussi d’ailleurs, mais je tiens à ces dimanches, parce qu’ils sont la plus belle partie de mes semaines. Le plein air ► Que ce soit pour faire du bateau, de la randonnée en montagne ou simplement marcher avec mon chien, j’aime passer du temps à l’extérieur. Il n’est pas étonnant que bien souvent, lorsque je suis chez moi et que le temps s’y prête, je travaille dans la cour arrière et nulle part ailleurs. Si ce n’était que de moi, mon bureau serait carrément dans la véranda… Comme ça, je n’aurais pas à me lever à tout coup pour aller chercher des papiers dans mon véritable bureau quand j’y travailler. La tequila ► Je ne suis pas du genre à abuser de l’alcool, mais de la tequila, je pourrais en boire environ n’importe quand et de n’importe quelle façon. C’est probablement mon pire vice, mon petit péché que je ne tarde pas à confesser à l’église quand j’en ressens le besoin. Heureusement, je suis une grande personne, je sais me contrôler même si on ne peut pas nier que… C’est délicieux, cette boisson. Dieu ► Le fait que je sois à l’église tous les dimanches est suffisant pour prouver ma croyance, mais c’est beaucoup plus que cela. En effet, la religion fait partie de ma vie depuis que je suis enfant et qu’importe ce que les gens peuvent croire, je suis d’avis que Dieu a beaucoup à voir dans ma réussite, dans la façon dont je me suis relevée de mes déceptions, bref, dans tout ce qui se passe dans ma vie. Chaque jour, je le remercie, chaque jour, je le prie pour qu’il protège ceux que j’aime et je ne compte pas arrêter de si tôt… Je n’ai pas envie de finir en Enfer parce que j’ai failli à mon devoir de chrétienne quand même. Cuisiner ► Même si ce n’est pas un passe-temps auquel je peux m’adonner, j’aime beaucoup faire la cuisine, surtout quand il est question de préparer des plats issus de ma famille, des recettes qui se passent de génération en génération et autres. Rarement je peux le faire en semaine, mais encore une fois, le dimanche, je me fais un devoir de préparer le repas, et jamais je n’ai failli à ma tâche. Le carnaval du Mardi Gras ► C’est probablement ce qui me manque le plus de la Nouvelle-Orléans. Non pas que je déteste ma vie à Pasadena, bien au contraire, mais sans ce carnaval, il manque une partie de moi-même. J’y ai toujours été liée d’une façon ou d’une autre; quand j’étais enfant, nous allions toujours y assister, mon frère et moi. Nous n’en avions pas manqué un. Puis, il fut même un temps où j’en fis partie, et cela fait partie de mes plus beaux souvenirs. Une fois, j’aimerais bien y retourner pour y assister… Un jour, on verra bien ! Ce n’est pas comme si c’était bien compliqué…
Ce que je déteste Manger épicé ► Étrange, non ? Pour certaines personnes oui, mais que puis-je y faire ? Ce n’était pas comme si je faisais voeu de chasteté par rapport à la nourriture épicée… En fait, je ne le fais pas du tout, c’est seulement que j’ai du mal à le supporter. Soit ça me brûle la langue, soit je ne le digère pas, donc bien souvent, j’évite, même si j’ai l’impression que c’est insulter mes origines et que ça ne me plait pas nécessairement. Les armes ► Je n’en ai jamais tenue une dans ma main, je n’y ai jamais eu affaire, mais je sais que c’est ainsi que mon mari fut tué, fut enlevé à moi. Par conséquent, l’idée d’en voir, que ce soit à la télévision ou autre, ne me plait pas vraiment, compte tenu du mal que ce genre d’objet a pu me procurer, bine que ce soit très indirectement. Les émissions de redécoration ► Vous savez, ce genre d’émissions où les animateurs promettent de retaper une maison avec un budget de 2000 dollars ? Je déteste ce genre de chose. À mon avis, quand il est question de redécorer une maison, il faut du temps, et de l’argent, parce que c’est chez soi, pas un endroit où on y passe quelques minutes une fois de temps en temps. Enfin bref, je n’ai jamais compris le but de ce genre de chose, et ce n’est pas parce qu’ils ne prennent pas mes produits, rien à voir avec ça. Le fromage fondu ► Les gens adorent ça, mais moi, quand il est chaud, je n’y arrive pas. Ça sent trop mauvais pour que je puisse le supporter. Mes enfants adorent cela, ils en mangent constamment, mais je les laisse faire, parce que personnellement, je ne peux pas rester dans la même pièce pendant ce temps. C’est triste, mais c’est comme ça. Les roses ► C’est une fleur très jolie lorsqu’elle est donnée de façon individuelle, je dois l’admettre, mais je ne trouve rien de plus moche que des bouquets de rose. Je trouve que c’est complètement déprimant, bon pour les funérailles. Ça n’apporte rien de joli dans une maison à mon avis.
Dernière édition par Jezabel M. Sanchez le Mar 21 Juin - 15:52, édité 5 fois |
| | | Jezabel M. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administratrice d'amour
| mot doux de Jezabel M. Sanchez ► un Mer 2 Mar - 22:44 | | | « Tu as été parfaite ma chérie, tu as réussi.. » Parfaite ? À ce moment précis, j’avais bien du mal à y croire. Honnêtement, je me sentais tout, sauf parfaite. Je me sentais complètement désarticulée, dégoulinante de sueur, souffrant comme jamais je n’avais souffert dans ma vie. J’avais simplement envie de ne plus bouger, dormir pendant trois jours dans l’espoir que mon corps allait se remettre de tout cela et qu’une fois réveillée, je serais en pleine forme, j’aurais vingt kilos en moins et aucune vergeture sur mon corps. Mais ça, ce n’était juste pas possible, je le savais très bien et pour le coup, j’étais quelque peu découragée. Moi ? Pessimiste ? Je ne le dirais pas comme ça, il me semblait que c’était tout à fait normal. Malgré tout cela, je ne pensais pas que c’était le moment de lâcher à mon mari que son commentaire n’était pas approprié à mon avis. De plus, je savais qu’au fond de moi, tout n’était pas horrible. D’accord, pour le coup, il était difficile de se le remémorer, mais lorsque je vis le regard ému de mon mari, comme je l’avais vu une seule fois depuis que je le connaissais, à savoir le jour de notre mariage, je compris que ce moment que nous avions attendu depuis si longtemps était finalement arrivé; nous étions à présent parents, par deux fois d’un seul coup, d’un petit garçon et d’une petite fille. Est-ce que nous aurions du boulot ? Je n’en doutais pas une seconde, mais je savais que nous allions y parvenir malgré tout. SI mon frère était capable de le faire avec ses propres enfants, encore tout jeunes, pourquoi pas moi ? Et puis, j’avais toujours voulu une famille, depuis que j’étais petite. Maintes fois, maman m’avait surprise à jouer à la maman quand j’étais gamine et clairement, ce désir ne s’était jamais dissipé. Enfin, il fallait avouer qu’effectivement, c’était un peu cliché, mais compte tenu que j’avais rencontré un homme parfait en la personne de mon mari, que lui aussi voulait des enfants, pourquoi s’en priver ? Et puis, malgré son métier, malgré mon propre métier qui ne me permettrait pas de prendre congé bien longtemps si je voulais rapporter un peu d’argent à la maison - ce qui représentait le risque principal de travail à son compte - nous trouverions bien un moyen d’aimer ces deux enfants comme nous nous aimions tous les deux, sachant aussi que nous aurions l’aide et la bénédiction de Dieu… En espérant juste de mon côté qu’elle soit aussi clémente pour ma propre convalescence, parce que clairement, ce ne serait pas aujourd’hui que j’aurais du temps pour me reposer, compte tenu que quelques instants après que mon mari se soit exclamé, alors que je n’avais même pas eu le temps de réaliser ce qui se passait, deux cris perçants se firent entendre, faisant en sorte que nous entendîmes à peine l’infirmière dire : « Voici vos jumeaux. » Dans un premier temps, je paniquai quelque peu, puisque je n’arrivai pas à tendre les bras pour les prendre, mais la dame, qui n’avait clairement pas vu son premier accouchement en cette nuit de septembre, particulièrement humide, même pour un état tel que la Louisiane, les déposa délicatement sur mon ventre, de sorte à ce que soudainement, je me retrouvai à contempler ce petit garçon et cette petite fille, tout petits, pas nécessairement beaux comme on voit dans les films - parce qu’on le veuille ou pas, ils sont toujours plus glamour dans les films après un accouchement, à croire qu’ils ont eu un brushing en-dedans - mais sitôt, dans ma tête, ils devinrent les plus beaux du monde. Émue à mon tour, je sentis les larmes monter jusqu’à mes yeux tandis que je remerciais le seigneur de m’avoir donné deux beaux enfants en santé, le jour où mon mari pouvait être présent. Puis, tout contre mon époux, je continuai à contempler sans pouvoir me lasser les minois de Rory et Harley, les deux personnes qui seraient probablement les plus importantes dans ma vie à partir de ce moment-ci.
Encore une fois, le diner se déroula en silence. Non pas parce qu’on avait trop faim pour dire quoi que ce soit ou s’on s’était pris la tête, ça, limite, ça aurait pu être supportable. C’était un silence extrêmement lourd qui pesait à table, un silence de tristesse, un silence de mort. Voilà maintenant une semaine que c’était comme ça, que le simple fait de demander comment la journée des enfants s’était passée à l’école me donnait l’impression d’être une traitresse, une femme qui ne fait pas convenablement le deuil de son mari. Pourtant, ce n’était pas que je ne m’intéressait pas à mes enfants, au contraire; je voulais savoir comment ils se sentaient, même s’ils savaient qu’ils pouvaient me parler quand ça n’allait pas. Même s’ils étaient très jeunes, ils comprenaient ce qui se passait, ils étaient tristes et avaient raison de l’être; leur père ne rentrerait plus jamais à la maison. Il ne les serrait plus jamais dans leur bras après une longue absence… Et moi, je n’arrivais pas à être là pour eux comme je souhaitais l’être. Je faisais tous les efforts possibles et imaginables pour que ce soit moins difficile pour eux, mais après une semaine sans lui, alors que nous étions sur le point de lui dire aurevoir pour une dernière fois le lendemain lors des funérailles militaires qui lui étaient réservé, je me sentais perdue, je ne savais pas quoi faire. J’avais beau prier pour demander de l’aide, un guide quelconque, je sentais que rien n’était suffisant. Parler ne l’était pas, garder le silence l’était encore moins et pourtant, c’était tout ce que je savais faire. Ne pouvant plus supporter cette ambiance, je mangeai à peine, même si je tentai de ne pas élever les soupçons de mes deux enfants qui mangeaient à côté de moi. Je chipotai dans mon assiette jusqu’à ce qu’ils aient terminés et me demandent: « Maman, on peut aller jouer avant de prendre notre bain ? » Je hochai la tête positivement, puis j’attendis qu’ils eurent quitté la pièce pour débarrasser la table et nettoyer le tout. Puis, tandis que j’étais en train de laver le chaudron qui m’avait servi à faire cuire les pâtes mangées ce soir, je m’arrêtai et je pris un instant pour fermer les yeux, tenter de respirer un peu, histoire de résister à l’envie de balancer celui-ci contre le mur et hurler de douleur comme jamais je ne l’aurais fait, pas même à mon accouchement. Ce dernier, ce n’était rien comparativement à ce que je ressentais en ce moment, alors que j’avais l’impression d’avoir les entrailles déchirées par la tristesse, que je me sentais lâche, je me sentais coupable et que je désespérais parce que je savais que d’une certaine façon, jamais je ne pourrai recoller ce trou béant qui s’était formé dans mon coeur. « Maman ? » Ne m’attendant certainement pas à ce que ma fille revienne non loin, je sursautai, et je la regardai avec un regard vide: « Oui ma chérie ? » Sans que je ne comprenne pourquoi, elle me fit une moue triste, qu’elle faisait généralement quand elle ne savait pas quoi dire après avoir fait une bêtise à l’école. Bref, le genre de chose qui n’arrivait pas très souvent. Sitôt inquiète, je lâchai la vaisselle pour m’accroupir à sa hauteur, et je réitérai en demandant: « Qu’est-ce qu’il y a ? » Ses mains qui se trouvaient précédemment derrière son dos apparurent, tenant ce que je reconnus aussitôt comme étant sa peluche préférée. Puis, timidement, elle dit: « Elle me console quand je suis triste… Si tu es triste maman, tu peux la prendre aussi. » Son intention, aussi enfantine soit-elle, m’alla droit au coeur. Dans un premier temps parce que je me rendis compte que tous mes efforts pour cacher ma tristesse à mes enfants étaient vains mais en même temps, à quoi s’attendre ? Harley et Rory n’étaient pas idiots, et ils savaient bien que je n’étais pas sans-coeur… Et puis, c’était de leur père dont il s’agissait dans le cas présent… Cependant, il fallait admettre que j’étais surtout émue par sa délicate attention, si bien que sans dire mot, je la serrai contre moi avec amour, sentant ses petits bras s’enrouler autour de mon cou pour me serrer également, profitant aussi bien que possible de ce moment de réconfort pour me donner ne serait-ce qu’un peu de courage avant demain matin. « Madame Sanchez, compte tenu que vous êtes l’exécutrice testamentaire de votre mère, je vous ferai parvenir les papiers prochainement. Savez-vous si elle avait des préférences pour les funérailles ? » Comment un homme pouvait-il parler de façon aussi formelle et détachée alors qu’il était question d’un décès ? Fort probablement parce qu’il en avait vu d’autres avant aujourd’hui, c’était la seule explication que je pouvais vraiment me fournir. Malgré tout, je ne pouvais pas m’empêcher de le trouver admirable, parce que personnellement, j’avais beaucoup de mal à tenir le coup et ne pas commencer à craquer une nouvelle fois. Il fallait admettre que l’an dernier, j’avais eu ma dose avec le décès soudain de mon mari, qui s’était passé outre-mer, sans que je puisse lui dire au revoir une dernière fois. Ma mère, je l’avais vue, même si évidemment, cela ne m’avait pas fait plaisir de la voir s’éteindre ainsi, me laissant avec un paquet de paperasse à régler et ce, le plus rapidement possible. Enfin, ce n’était pas ça qui me chagrinait le plus, évidemment, mais quand même, cela ne me permettrait clairement pas de faire mon deuil comme je le souhaitais, je le savais déjà, parce que je l’avais déjà vécu précédemment. Malgré tout ce qui me passa à l’esprit à ce moment, je réussis quand même à acquiescer aux première paroles de l’homme, puis à sa question, je répondis: « Inévitablement à l’église, et elle sera enterrée sur le terrain de sa famille au cimetière de la ville. » Jamais elle ne me l’avait dit clairement, mais compte tenu d’à quel point elle était croyante, tout comme moi, elle ne voudrait pas autre chose qu’une cérémonie purement traditionnelle, je le savais déjà. Plus tard, il me faudrait évidemment commencer à chercher un cercueil, demander à faire graver la date de son décès sur la pierre tombale où se trouvait déjà son mari, mon paternel, mais ça, ça pouvait attendre jusqu’au lendemain. Avec tout cela, l’heure tournait excessivement rapidement, et bien sûr, il y avait une chose qui me chicotait par-dessus tout. au début, j’avais songé à garder cela pour moi jusqu’à ce que le notaire et moi venions à aborder le sujet, mais ne pouvant attendre, je décidai de lui demander lorsque je pus saisir un moment où le silence s’était brièvement installé: « Et… Elle avait la garde des enfants de mon frère… Savez-vous si une décision a été prise par rapport à eux ? » Comme pour vérifier ses propos avant de les prononcer, il regarda ses papiers, puis me dit: « Rien n’a été décidé concernant leur garde. Normalement, les services sociaux tentent de trouver de la famille proche avant de les placer dans le système des familles d’accueil. » L’opportunité ne pouvant certainement pas être plus brillante que ça, je n’hésitai pas un instant avant de dire: « C’est moi qui s’en occuperai alors. » En mon sens, inutile de commencer à plaider ma cause ou quoi que ce soit, parce que c’était évident ; j’étais leur tante, leur famille la plus proche, et j’avais déjà deux enfants, donc je pensais être en mesure de m’en occuper. Je me doutais bien que ce serait un énorme moment d’adaptation, autant pour eux que pour moi, mais je me disais que c’était la meilleure solution. De plus, j’étais prête à faire cela pour mon frère, parce qu’il ne méritait pas que ses enfants soient envoyés au loin, encore moins pour un crime qu’il n’avait pas commis. Heureusement, le notaire ne sembla pas contester cette décision, puis garda le silence en hochant la tête pour acquiescer, m’enlevant déjà un énorme poids et me permettant de porter un peu plus attention aux prochains éléments qui seraient abordés au cours de cette fameuse rencontre de la plus haute importance. « Vous pouvez vous balader autant que vous voulez, mais n’oubliez pas de prendre des choses en passant près du camion pour aider ! » Voilà la consigne que j’avais donné aux enfants tandis que nous venions tout juste de descendre de la voiture après de nombreuses heures de route. Je pouvais parfaitement comprendre que ceux-ci avaient envie de se dégourdir les jambes, mais j’estimais qu’ils pouvaient se rendre quand même un peu utiles une fois de temps en temps. Après, j’ignorais complètement si ce serait vraiment efficace, cette façon de faire, mais s’ils pouvaient monter deux ou trois cartons, ça ferait déjà ça en moins. Sans attendre plus longtemps, je déverrouillai les portières, puis je les laissai sortir de la voiture tandis que je m’en extirpais en même temps, regardant pour la première fois cette maison avec des yeux nouveaux. Je l’avais déjà vue précédemment, il y a quelques semaines, quand j’étais venue en faire l’acquisition officielle, mais maintenant, je la regardais comme étant notre chez-nous, ici à Pasadena. J’espérais simplement qu’elle allait plaire à tout le monde comme elle me plaisait à moi et que par la suite, la transition entre les deux villes ne se ferait pas de façon trop ardue. Mine de rien, Pasadena et la Nouvelle-Orléans, ce n’était pas du tout pareil. Dans mon cas, je ne pensais pas que ce serait trop difficile. Évidemment, je venais de quitter ma ville natale, le seul endroit que j’avais réellement connu, mais je me disais que ça ferait un nouveau départ. Quelque peu à retardement, certes, mais quand même potentiellement efficace à mon avis. Par contre, pour les enfants, c’était tout autre chose, alors pour sûr, j’allais surveiller ce qui se passerait. À vrai dire, la seule personne pour qui j’étais un peu moins inquiète - même si évidemment, j’allais faire attention aussi - c’était pour Jonas. Du haut de ses quinze ans, c’était lui qui avait suggérer qu’on déménage en ces lieux afin que ce soit plus simple d’aller visiter leur paternel, à Théa et à lui. Au début, il m’avait fallu bien réfléchir à cette idée, puis au final, je m’étais dit qu’elle n’était pas si mauvaise. Et puis, la maison commençait à devenir petite, et je commençais à songer de plus en plus à dépasser le simple fait d’être décoratrice d’intérieur. Rien n’était fait encore, évidemment, mais depuis quelque temps, je m’amusais à dessiner quelques croquis pour des meubles, des décorations et je ne pouvais pas nier que cela me plaisait. Maintenant, restait à voir si, ici ou à Los Angeles, quelqu’un voudrait bien s’associer avec moi, me donner un contact, bref, n’importe quoi pour que je développe un peu plus cette idée. Évidemment, je ne niais pas qu’il me faudrait aussi débourser quelque peu de ma poche, mais ça, ce ne serait pas un problème et ce, même si je venais d’acheter une maison. Enfin, j’espérais que ce ne le soit pas. Tentant d’être aussi confiante que possible en l’avenir, je me rendis vers le camion de déménagement qui s’était garé peu de temps après nous. Les enfants s’approchèrent également, faisant en sorte que je les laissai passer pour aller chercher des boîtes pas trop lourdes avant de moi-même m’engouffrer dans le véhicule pour en prendre une à mon tour. Cependant, avant de quitter le camion, je m’informai sur la procédure qui serait prise par les déménageurs pour tout faire entrer, ne voulant certainement pas provoquer un accident ou quelque chose dans le genre pendant ce déménagement, alors que celui-ci arrivait à sa fin au bout de deux jours de voyage, parfois pénibles, parfois agréables, mais pas mal long et ce, pour tout le monde. Une fois que ce fut fait, j’entrai dans la maison avec le carton que je transportais, croisant au passage Théa, Harley, puis Rory. Ayant vu l’inscription sur le carton, je montai à ce qui serait ma chambre pour aller l'y déposer. C’est là que je vis Jonas, penché sur la boîte qu’il avait transportée - et visiblement ouverte - sortant un de mes soutiens-gorges de celle-ci. Je décidai de ne pas faire de bruit, trouvant cela trop amusant de le voir considérer le sous-vêtement comme si c’était un alien qui arrivait tout droit de l’espace. Pendant plusieurs secondes, je le regardai tandis qu’il le tournait dans tous les sens, ne portant pas du tout attention à ma présence dans l’embrasure de la porte, un sourire amusé aux lèvres. Cependant, au moment où il passa ses bras dedans et tenta de l’agrafer, je crus bon d’intervenir et de lui dire: « Je ne crois pas que ce soit ta taille. » sans aucune méchanceté, simplement pour plaisanter un peu. Bien sûr, déplacer des cartons, se promener dans une maison vide, ce n’était pas nécessairement amusant, mais on pouvait s’égayer un peu quand même, non ? Enfin, ce ne fut pas vraiment l’avis de mon neveu, selon ce que je pus voir, parce que sitôt, il déposa le vêtement, puis sortit de la pièce limite en courant, me laissant alors seule, seule et rieuse pendant un instant, jusqu’à ce que je décide que le carton devenait trop lourd à garder et que je le déposai non loin du premier. Puis, sans attendre plus longtemps, je retournai à l'extérieur pour continuer, parce que nous avions loin d’avoir terminé. « Combien de fois je te l’ai dit, Alma ? Pas de rendez-vous le dimanche, avec qui que ce soit. » « Mais Madame, c’est le seul moment où il est disponible. La prochaine fois, ce sera que dans deux semaines. » « Quel jour ? » « Le lundi. » « Parfait alors, la rencontre aura lieu là. » Sachant très bien que ma décision était finale et que rien ne pourrait me faire revenir dessus, mon assistante acquiesça, puis replongea le nez dans son téléphone pour s’occuper de la dite rencontre, très certainement, tandis que de mon côté, je prenais une profonde inspiration pour ne pas m’énerver. Même si c’était elle qui avait voulu insister, il n’en demeurait pas moins que ce n’était pas sa faute. La pauvre, elle essayait très certainement de jongler pour que mon emploi du temps soit optimal pour les affaires, mais elle se laissait quand même intimider, faisant en sorte qu’elle essayait parfois de faire des entorses que je me retrouvais à refuser. Mais je lui faisais confiance, je savais qu’elle allait devenir plus ferme au fil du temps et qu’elle allait faire comprendre à tout le monde que les dimanches, pour moi, c’était sacré. Je ne travaillais pas, je ne m’occupais pas de quoi que ce soit par rapport au boulot. La seule apparition publique que je faisais, c’était pour aller à l’église, discuter comme une paroissienne normale, passer un bon moment. Ensuite, je rentrais à la maison, puis je me préparais à l’arrivée des enfants pour le dîner. C’était comme ça à chaque dimanche et pourtant, je ne sentais pas que c’était une routine. Au contraire, j’attendais ce jour avec impatience à chaque semaine, parce que je savais que ce serait probablement le plus beau. Franchement, si je n’avais pas cette journée consacrée à ma famille, pour sûr, je ne serais pas heureuse. Et pourtant, ce n’était pas comme si j’avais un métier peu enviable; à mon étonnement d’abord, puis finalement pour mon plus grand plaisir, mon entreprise de fournitures de maison avait décollé de façon encore plus vertigineuse que je ne l’aurais cru. Apparemment, vivre non loin de Los Angeles, puisque maintenant, mes fournitures étaient en magasins, dans les maisons les plus luxueuses, bref, partout, même chez IKEA sous peu. Enfin, pas toute la collection, mais quelques items choisis par ma personne sur lesquels j’acceptais d’apposer ma signature. C’était pour établir cela que je devais avoir ce rendez-vous, mais même IKEA pouvait attendre. J’ignorais si la Suède avait des principes différents, mais je n’allai spas changer les miens pour autant. Tandis que j’étais en train de mettre la table, j’entendis sonner à la porte. Sitôt, je me précipitai, ouvrant sur Harley et Rory qui, visiblement, avaient décidé de faire le trajet ensemble. Un énorme sourire apparut sur mes lèvres, puis avec bonheur, je les serrai contre moi, encore une fois ravie de les revoir même si je les avais vus dimanche dernier. Ne pas les avoir à la maison depuis le début de l’année scolaire, ça me manquait, évidemment, mais je savais bien que ce n’était pas quelque chose de mal. Tous deux étaient à l’université, sans toutefois oublier leur mère, tout comme leurs cousins n’oubliaient pas leur tante. Que pourrais-je demander de mieux ? En ce moment, je ne pouvais penser à quoi que ce soit qui ferait plus mon bonheur que ce moment si précieux.
Dernière édition par Jezabel M. Sanchez le Mar 21 Juin - 15:53, édité 1 fois |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 2 Mar - 22:52 | | | |
| | | Jonas L. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3561 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014 ❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana bros b4 hoes
| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Mer 2 Mar - 22:59 | | | Tati Bordel que t'es sexy Maintenant, je sais d'où me vient mon goût des femmes Re-bienvenue Bon courage pour ta fichette |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 2 Mar - 23:03 | | | Putain comment ça fait inceste ce que tu dis ... |
| | | Jezabel M. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administratrice d'amour
| mot doux de Jezabel M. Sanchez ► un Mer 2 Mar - 23:33 | | | J'ai eu la même pensée, ma chère nièce Merci ! |
| | | Jonas L. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3561 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014 ❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana bros b4 hoes
| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Mer 2 Mar - 23:34 | | | Faut bien que l'attirance vienne de quelque part |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Jeu 3 Mar - 0:01 | | | BIENVENUE, super une Sofia Vergara sur le forum, j'espère qu'on aura le plaisir de se croiser en tout cas bonne chance pour l'écriture de ta fiche ! |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Jeu 3 Mar - 0:04 | | | re-Bienvenue |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Jeu 3 Mar - 9:09 | | | |
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