l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Aaron B. Maccallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: Heroes don't wear capes they wear dog tag ♥
| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Dim 17 Jan - 20:58 | | | aaron & gwen And it all came down to this Aaron ne croyait pas en grand-chose. Pas assez excentrique pour adhérer aux théories de vie extraterrestre, pas assez pieux pour suivre une parole divine et apparemment trop arrogant pour croire au karma. Et pourtant, ce dernier aller lui mettre un coup de pied aux fesses dont il allait se souvenir. Aaron en avait vu des occasions de saisir une perche qu’on lui tend et de se dévouer à quelque chose de plus grand que lui. Il aurait été bien plus facile en terrain hostile d’apaiser la perspective de la mort et de trouver un sens à ses actes s’il avait consenti à rejoindre une quelconque religion. Il n’avait jamais pu s’y résoudre, laissant ce réconfort à d’autres. Pareil, peut-être qu’Aaron aurait fait plus attention à ses gestes et mots s’ils avait cru dur comme verre en l’équilibre de l’univers et le fait que tout se paye. Mais il ne l’avait pas fait, se sentant invincible sur le coup et ô combien plus intelligent que les autres. Car ce qu’ils ne savent pas ne peut pas leur faire de mal, n’est-ce pas ? C’était une belle logique. Sûre, réconfortante. Alors Aaron avait cédé aux tentations et oublié de s’alourdir avec la culpabilité et la raison. Il n’y pensait d’ailleurs presque plus. Ce qui était fait était fait et puisqu’il n’était pas complétement idiot, seulement de rares personnes étaient au courant de ses déboires. Il n’y avait donc pas de raison pour que son pêché d’adultère ne lui revienne en pleine face pour gâcher sa vie de famille naissante. Aaron n’allait certainement pas vendre la mèche tout seul, et il voyait mal Maxim par exemple le trahir et aller tout raconter à Olivia. Et puisque cette dernière n’avait aucune manière d’apprendre la chose par elle-même, voilà ! Il était tranquille. Il n’en était pas fier, mais c’était dans le passé ! Avec des circonstances atténuantes et une promesse actuelle de ne plus jamais recommencer. Il était père maintenant. En parlant de ça, son fils venait d’atteindre le doux âge d’un an. Un an, déjà. Aaron n’en revenait pas, tout avait été tellement vite. Il était rentré, il avait appris qu’Olivia était enceinte et allait accoucher bientôt. Puis Liam était né, laissant son père dans la terreur la plus complète et convaincu qu’il allait gâcher la vie de cet enfant. Un an plus tard, les choses n’avaient pas exactement tourné comme ça. Aaron n’était certainement pas dans la liste des nominés pour le meilleur père de l’année, mais il n’était pas catastrophique non plus. Son fils semblait l’aimer, de cet amour complétement aveugle et dévoué d’un bambin. Mon Dieu, Aaron n’avait pas hâte qu’il grandisse et réalise à quel point il allait être facile de détester son paternel. Encore plus s’il était renvoyé sur le terrain et complétement absent de sa vie ! Mais Aaron n’allait pas encore s’adonner à ces pensées qui le rendaient très mal à l’aise et avec l’étrange sensation de vouloir prendre ses jambes à son cou. En attendant, il allait récupérer un gâteau à la pâtisserie pour fêter l’occasion. Juste Olivia, Liam et lui, pas avec toute la troupe Maccallister. C’est Olivia qui avait passé la commande et lui qui était chargé d’aller chercher la marchandise. A son âge, Liam n’allait pas profiter un maximum du gâteau si bien qu’Aaron faisait confiance à sa compagne pour avoir choisi un gâteau qui allait surtout leur plaire à eux ! Aaron entra dans la boutique, le regard automatiquement attiré par la vitrine et les pâtisseries délicieuses derrière elle. L’odeur ambiante était également très alléchante, et Aaron avait soudainement très hâte d’être le soir pour pouvoir s’empiffrer de gâteau. Il y avait une petite file devant la caisse, mais Aaron n’était pas pressé de toute manière. Il y avait quelques tables disposées un peu plus loin, l’établissement faisant également office de salon de thé et Aaron, comme toute personne qui s’ennuie en patientant, laissa son regard balayer le visage des gens présents. Juste quelques secondes, assez pour assouvir une certaine curiosité sans paraître lourd et inquiétant. Juste assez pour reconnaître un visage familier. Et quel visage. Aaron sentit son souffle se couper dans sa gorge et força son regard çà faire marche à rien, se reposant à nouveau sur la silhouette qu’il venait de quitter. Ce n’était pas possible. Quelles étaient les chances ? La probabilité ? Cela faisait plusieurs années, il était possible qu’il se trompe, mais Aaron savait reconnaître qu’il se mentait à lui-même. Gwen. Il n’aurait pu oublier ce visage même s’il n’y avait pas pensé depuis un certain temps. La jeune femme était difficile à oublier cependant, et leurs moments passés ensemble encore plus. Elle avait laissé une marque malgré tout. Malgré le fait qu’ils se soient quittés de vue par simple fait des choses. Malgré le fait qu’Aaron n’avait pas cherché à la contacter suite à cela, puisque pourquoi l’aurait-il fait ? Il était avec Olivia et avait déjà assez joué avec le feu et la tentation. Il n’avait pu se permettre plus. Et maintenant elle était là. Comme une plaisanterie particulièrement acide de l’univers. Maintenant que tout était en place dans sa vie, voilà que le destin remettait en jeu un pion particulièrement stratégique. Celui qui pouvait lui faire perdre la partie. |
| | | Gwen J. Hardy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Reporter de guerre, en arrêt de travail. ❝ cupidon : joue à un jeu dangereux en répondant au plaisir de la chaire avec son ex ❝ post-it : née à Pasadena (1er janvier 1985) ▬ Son père est ambassadeur, elle a vécue en France, Allemagne, Angleterre, Chine, Los Angeles, Afghanistan, Syrie et vient de revenir à Pasadena ▬ Elle est le troisième enfant d'une fratrie de six ▬ Fan des Red Sox de Boston (oui elle n'est pas supporter des Dodgers de LA), elle aime aussi le football américain ▬ C'est une grande gourmande ▬ Elle n'a pas peur de se briser un ongle, de traîner dans la boue... ▬ Elle est curieuse de nature ▬ Très féminine en apparence, mais à l'intérieur d'elle, elle est surtout tomboy ▬ Adore les jeux de société ▬ Très familière et direct, on ne pourrait pas imaginer qu'elle fait partie d'une famille riche, elle oublie souvent les bonnes manières ▬ Elle n'a pas de chance en amour...
« you and me it's a story
that we shall always remember » ❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : avatar → Schizophrenic | gif → tumblr ❝ avatar : Scarlett Johansson ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : demandez ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien militaire tourmenté. GRANT ▬ (g.gustin) le myope du coeur, il lui faudrait des lunettes pour voir ce qui l'entoure. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman poule qui a peur de laisser son fils seul. ALVIN ▬ (m.bomer) l'ancien agent du FBI avec une vie rempli d’embûche. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui pense plus souvent avec ce qu'il a entre les jambes que son cerveau. DEVON ▬ (k.graham) l'artiste aux talents plus que spéciaux. JAMIE ▬ (d.gillies) l'infidèle qui n'assume pas les raisons de son mariage.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3035 ❝ Messages : 210 ❝ depuis : 25/12/2015 ❝ mes sujets : holden ▬ gemma ▬ oliver ▬ oliver ▬ breanna ▬ and you ? Fondatrice en or ♥
| mot doux de Gwen J. Hardy ► un Lun 18 Jan - 7:24 | | | aaron & gwen And it all came down to this Mon retour à Pasadena c’était fait sur un coup de tête qui prenait tout son sens désormais. Je n’avais prévenu personne, bagage sous les bras, j’étais arrivé devant chez mes grands-parents espérant avoir une place pour loger. Bien entendu, ils m’avaient recueilli sans poser de questions, j’avais prévenu ma famille de mon retour, mais pour le reste des personnes que je connaissais dans cette ville, je m’en étais tenue au silence radio. Depuis mon arrivé, les minutes avaient finis par devenir des heures, les heures des jours et maintenant ça faisait près de deux semaines que j’étais revenue au pays. Je ne sortais que très peu, mais me terrer dans mon trou ne faisait pas avancer mon choix. Assise sur mon lit, je regardais mes courriels. La plus part venait de Karl, mais j’en voyais un de Gemma. Fronçant les sourcils, je me décidais à me lever, m’habiller et rendre visite à ma meilleure amie. Mais je n’allais pas arriver les mains vides se serait impoli ! C’est donc, une fois prête que je quittais ma grotte pour me rendre à l’adresse que je possédais de la jeune blonde, mais avant tout un arrêt à la pâtisserie, Ohana. Devant la porte, mon regard se portait non pas sur les multiples pâtisseries, non il se portait sur mon reflet. Maquillé, on ne remarquait pas mes cernes, dans cette petite robe chemise grise, bottillon en cuir et chaussette de laine, je n’avais pas l’air si désespérée que je l’étais réellement. En fait, je rendais une image bien mieux que ce que je pouvais avoir l’air à l’intérieur. Passant une main dans mes cheveux courts, j’ouvrais la porte faisant tinter une clochette. Il n’y avait pas une foule, mais c’était assez animé tout de même. Me mettant en file, je réalisais bien vite que je n’avais pas encore mangé et sentant la douce odeur de l’endroit, mon ventre m’exprimait bien vite son désir de se nourrir. Je commandais donc un sandwich léger, un café gargantuesque et bien entendu une douceur, sans compter un gâteau qui serait pour plus tard. Prenant le tout, je me dirigeais vers une table libre, je mangeais tranquillement tout en lisant sur ma tablette – que j’amenais partout avec moi depuis que je la possédais, le journal. En tant que journaliste, c’était normal de se renseigner sans doute, mais non, j’étais perdue dans la rubrique sport. Trempant mon doigt dans la crème fouetté qui recouvrait mon café, je portais celle-ci à mes lèvres sans même me soucier que quelqu’un me regardait. Autant dire que je ne me pressais pas, mais puisque ma visite chez Gemma se retrouvait à être une surprise, je pouvais bien arriver à l’heure que je le désirais. L’idée même qu’elle soit absente ne m’était pas venue à l’esprit… Seulement, la sensation d’être observé se fit vite sentir, relevant mon regard de ma lecture, je tournais ma tête vers cette sensation qui ne devait être rien. C’est ce que j’avais cru, jusqu’à ce que mon regard se pose sur un homme. Battit, châtain, barbu, des traits assez courant, mais son regard lui je ne pouvais pas l’oublier. Je me souvenais parfaitement de celui-ci. Après tout comment oublier l’homme qui m’avait fait connaître un sentiment qui semblait être un mythe, mais qui avait su me le reprendre avec facilité. Je fronçais mes sourcils, passant ma langue sans sensualité sur mes lèvres charnues. Aaron. Qui aurait croire à cette rencontre pratiquement improbable. Fermant ma tablette et la glissant dans mon sac à main – me servant surtout de fourre-tout, je me levais laissant mon café fumer et ma pâtisserie non entamée. Mon geste était en tout point impulsif, comme ce fameux soir où je l’avais amené sous ma tente. Me dirigeant vers lui, je croisais mes bras, passant cette fois ma langue sur mes dents. « Aaron MacCallister. Qui aurait pu croire ! » Je laissais mon regard le balayer de façon hautaine. « Moi qui te croyais mort, je vois que c’est loin d’être le cas. » J’avais tout d’une vipère, une mauvaise langue, mais cet homme m’avait blessé. C’était sans doute idiot de m’attacher à un militaire comme je l’avais fait. Après tout, on s’était perdu de vu, mais j’avais tellement espérer qu’il reprenne contact. Oh oui, j’en avais rêvé et pourtant aucun signe de vie. Bien sûr que l’éventualité d’une mort sur le terrain avait effleuré mon esprit, mais je n’avais pas voulu y croire. Pourtant, ça m’aurait paru moins douloureux que de le voir là dans cette file d’attente à me regarder. J’avais longtemps refusé d’entrer dans une relation sérieuse, tout cela pour lui. Quelle idiote j’avais été de croire qu’il reviendrait. « J’en déduis qu’il y a une autre raison qui fait que je n’ai plus jamais eu de nouvelle de toi. Car si je regarde bien, tu sembles avoir tes deux mains, ta bouche, tes deux oreilles et tes deux yeux. Donc si je fais le calcul, tu as tout à ta disposition pour reprendre contact avec quelqu’un, alors j’aimerais bien savoir pourquoi tu ne l’as pas fait avec moi. » C’était trop demandé ? En tout cas, moi j’estimais que j’avais droit à des explications en bonne et due forme. |
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| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Lun 25 Jan - 22:21 | | | aaron & gwen And it all came down to this Plusieurs choses auraient pu se passer. Gwen et lui auraient tout simplement pu s’ignorer. Conscients de s’être reconnus mutuellement mais peu enclins à remuer le passé et forcer une conversation entre de désormais étrangers, cela aurait pu être une option parfaitement respectable. Aaron aurait pu aussi foutre le camp, comme le lâche qu’il n’était pas, mais il n’allait pas priver son pauvre gamin de gâteau parce que papa avait pensé avec son zizi au lieu de son cerveau il y a un bon moment de cela. Non. Mais honnêtement, et avec toute la bonne foi du monde, Aaron n’aurait pas imaginé un seul instant que Gwen décide d’opter pour la confrontation. Là, tout de suite, dans un lieu public, alors qu’ils étaient tous les deux pris au dépourvu par la situation. Aaron l’observa approcher avec appréhension, impossible de déloger son regard de la furie blonde qui avançait à grand pas dans sa direction. Elle était toujours aussi canon, mais ça Aaron ne s’autorisa pas à le penser. Ça aurait franchement été déplacé. Vraiment. Gwen s’exprima et Aaron ne pouvait pas prétendre être surpris en entendant le ton amer qu’elle adoptait. Ok, c’était de bonne guerre. Aaron s’y attendait. Il aurait préféré ne jamais avoir cette conversation de sa vie, mais le karma en avait décidé autrement. C’était un mauvais moment à passer, se dit-il, accompagné d’un léger moment d’humiliation étant donné tous ses concitoyens qui étaient au premier loge pour assister à la confrontation. Aaron se rassurait en se disant que la file allait inévitablement avancer et que Gwen n’allait pas être impolie au point d’empêcher la pâtissière de lui servir sa commande. « Gwen » répondit-il simplement, un air déjà fatigué au visage. Si la situation était honnêtement tout sauf drôle, Aaron dû se retenir de ne pas laisser un sourire narquois naître sur son visage en entendant les mots de la jeune femme. Grinçante et brute, Gwen était en mission. Elle avait des choses à dire et n’allait pas se gêner. Ok, ils allaient faire ça en plein milieu de la pâtisserie. Un bon moment en perspective. « Désolé de te décevoir » railla-t-il. Il était plus facile d’opter pour le sarcasme plutôt que de se morfondre en excuse. Déjà parce qu’Aaron avait trop d’orgueil pour faire ça en public, et également parce que même s’il estimait avoir agi comme un connard, il n’avait jamais fait aucune promesse à Gwen. Et ça faisait des années ! De l’eau avait coulé sous les ponts depuis non ? A quoi bon ! Mais Aaron ne pouvait retenir une certaine culpabilité de naître au creux de son estomac. Il n’avait jamais pensé un instant que Gwen ai pu le penser mort. C’était idiot, vraiment, avec le métier qu’il exerçait. Lui, malgré l’affection honnête qu’il avait porté à la jeune femme, était passé à autre chose et avait trouvé inutile de se torturer avec une romance qu’il n’aurait pu mener à bout de toute manière. Et puis Gwen explosa, semblant déballer un flot de question qu’elle avait gardé en elle bien trop longtemps. Le regard fuyant, Aaron n’en revenait pas d’être dans cette position. « Tu veux vraiment faire ça la ? » demanda-t-il, sceptique. Aaron avait conscience qu’il essayait de gagner du temps. Il savait aussi qu’il lui devait bien ça, mais lui dire la vérité allait le faire passer pour un encore plus grand connard. Il n’y avait pas de bonne manière de dire ‘je ne pouvais pas continuer de tromper ma copine’, et Aaron n’avait d’excuse de remplacement sous le coude. Alors il essaya de la convaincre que ce n’était pas le bon moment. « Écoutes Gwen, je suis désolé de ne pas t’avoir contacté » entama-t-il, et c’était vrai. Il regrettait. C’était sa faute. Il n’aurait jamais dû céder en premier lieu. « Je sais que j’ai merdé, j’ai jamais été doué pour les relations ». Quel euphémisme. « Mais c’est du passé tout ça, je ne pense que ça vaille le coup de le ressasser». C’était pas très fin, mais tous les moyens sont bons pour rester à quinze mille kilomètre de toute conversation plus profonde, notamment celle où il est toujours avec sa copine qu’il a trompé avec Gwen, et avec qui il a un fils de 1 ans. |
| | | Gwen J. Hardy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Reporter de guerre, en arrêt de travail. ❝ cupidon : joue à un jeu dangereux en répondant au plaisir de la chaire avec son ex ❝ post-it : née à Pasadena (1er janvier 1985) ▬ Son père est ambassadeur, elle a vécue en France, Allemagne, Angleterre, Chine, Los Angeles, Afghanistan, Syrie et vient de revenir à Pasadena ▬ Elle est le troisième enfant d'une fratrie de six ▬ Fan des Red Sox de Boston (oui elle n'est pas supporter des Dodgers de LA), elle aime aussi le football américain ▬ C'est une grande gourmande ▬ Elle n'a pas peur de se briser un ongle, de traîner dans la boue... ▬ Elle est curieuse de nature ▬ Très féminine en apparence, mais à l'intérieur d'elle, elle est surtout tomboy ▬ Adore les jeux de société ▬ Très familière et direct, on ne pourrait pas imaginer qu'elle fait partie d'une famille riche, elle oublie souvent les bonnes manières ▬ Elle n'a pas de chance en amour...
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| mot doux de Gwen J. Hardy ► un Jeu 11 Fév - 8:08 | | | aaron & gwen And it all came down to this Croire que je n’agirais pas avec impulsivité c’était mal me connaître. Je n’avais jamais eu ma langue dans ma poche et je ne la tournais jamais sept fois avant de parler. C’était donc inévitable qu’en revoyant le soldat du passé, je fusse prise de cette envie de savoir. Pourquoi il ne m’avait jamais recontacté ? Est-ce qu’il m’avait vu comme une simple fille de passage ? Une fille qu’il pourrait avoir et se venterait de ce mérite ? Une simple erreur ? J’étais capable d’encaisser et cela peu importe sa réponse. Je désirais savoir et j’allais le savoir ! Lorsque je le voulais – soit la majorité du temps, j’arrivais à tout savoir. Me transformant en tigresse – et cela sans le côté sexy de l’image, je me dirigeais vers lui. Si je voulais obtenir des réponses, je n’avais pas le choix d’agir avec confrontation, sinon je savais qu’il m’ignorait encore et encore. Et pour l’instant, je pensais revenir en ville, et l’idée de le recroiser ainsi ne me plaisait pas. Je voulais tourner la page, passer à autre chose et j’avais besoin d’explication. À peine avais-je commencer à parler que je remarquais déjà l’ennui sur son visage, chose qui rajoutait l’agacement au mien. Il s’excusait et machinalement, je balayais ses paroles d’un geste de la main. Je ne croyais pas en ses excuses et ça faisait longtemps qu’il ne me décevait plus. « Tes excuses tu te les gardes, je n’y crois pas. Et il y a bien longtemps que tu ne me déçois plus Aaron. » Non, quand on s’était fait jeter comme il l’avait fait avec moi, autant dire que j’avais appris à passer outre. Ça m’avait pris un moment, mais aujourd’hui je tentais bien que mal de ne rien laisser paraître. Je ne voulais pas lui donner un point d’avantage sur moi. Oh ça non, il ne le méritait pas et ne le mériterait jamais ! N’ayant rien à faire de détruire la plénitude du café, tout comme les regards des clients et employés qui se tournait vers nous, je laissais mes mots m’échapper. J’en avais de besoin, je voulais retrouver ma dignité. Était-ce trop demander ? Je ne demandais pas à ce qu’il me dise m’aimer, qu’il me dise vouloir encore de moi. Non, une simple explication quant à la fin de notre histoire. « Non je pensais le faire aux toilettes… Oui ici, car si ce n’est pas ici et maintenant, ce sera jamais. » répliquais-je avec ce ton d’agacement dans ma voix. Je ne criais pas, je n’haussais pas le ton non plus. Pas besoin de cela pour attirer l’attention, les gens sont si curieux de nature. Je détail le militaire devant moi, en fait, il ne semblait pas avoir changé. J’aurais pu retomber sous son charme en un claquement de doigts, mais désormais j’étais plus forte qu’il n’y paraît – même si j’étais affecté parce que j’avais vécu en Syrie. « Tu sais j’ai tout mon temps. » disais-je sans cacher mon impatience. Il se daignait enfin à parler, c’était pas trop tôt ! Je l’écoutais me dire toutes ces choses qui en fait ne répondait pas à ma simple et unique question. Notre conversation n’avait pas tant duré, mais on arrivait à la caisse. Je regardais l’employé derrière le comptoir. « La commande est au nom d’Aaron MacCallister. » J’allais me gêner, mais au moins en disant cela, je nous accordais un peu plus de temps. Me tournant pour le regarder. « Donc si je comprends bien tu n’as pas les couilles de me dire pourquoi. » Finalement, en le regardant bien je commençais presque à le trouver pathétique. L’employé revenait et sans me gêner j’ouvrais la boite où se trouvait un gâteau. « Bon anniversaire Liam, 1 an. » lisais-je à voix haute. Un rire suivait ma lecture. Lui père. Autant me présenter la caméra cachée. Je tournais ma tête vers lui, laissant un soupir d’aversion m’échapper. « T’es vraiment qu’un abruti MacCallister. » disais-je en tournant les talons pour retourner à ma table. M’assoyant, je ressortais ma tablette. En fait, j’en avais tellement que faire qu’il soit père. À quoi bon m’attarder à un con comme lui ? J’en venais même à me demander ce que j’avais pu lui trouver... Fermant les yeux, je me pinçais les lèvres. C’était vrai, j’en avais que faire de lui, mais pourquoi tout à coup j’avais cette boule au ventre. Encore un mec qui me blessait, qui voulait m’épargner alors qu’en fait j’étais déjà détruite par cette relation. Prenant une profonde respiration, je reprenais la lecture de mon journal tout en prenant une bouchée de ma pâtisserie. |
| | | Aaron B. Maccallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: Heroes don't wear capes they wear dog tag ♥
| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Dim 21 Fév - 15:36 | | | aaron & gwen And it all came down to this A peine les excuses étaient sorties de sa bouche que Gwen les envoyait balader d'un geste de la main. Ok, on ne pouvait pas lui reprocher d'avoir essayé. Aaron ne voyait vraiment pas ce que Gwen cherchait à accomplir avec cette petite altercation publique. Il pouvait sentir le regard des personnes autour de lui brûler au contact de sa peau. C'était très désagréable, mais il n'allait pas non plus chopper la jeune femme par le bras et la hisser hors de l'établissement pour continuer leur petit débat sur le trottoir. C'était un mauvais moment à passer, se répétait-il tel un mantra. Aaron ne comprenait décemment pas pourquoi cela était aussi important pour elle. Peut être était-ce lui qui avait trop d'expérience avec le fait de passer à autre chose, mais il était franchement étonné de la véhémence dont faisait preuve Gwen son égard. Ils étaient presque des étrangers. C'était étrange d'arborer autant de ressentiment et de passion négative envers quelqu'un à qui l'on a pas parlé de puis des années. Aaron veut bien accepter sa part d'erreur et admettre que la jeune femme souhaite se débarrasser d'une ancienne rancune laissée enfouie, mais tout de même. Aaron se retint de lever les yeux au ciel lorsqu'elle annonça ne plus lui faire confiance depuis longtemps. Mais bien sûr, avait-il envie de s'écrier, pourquoi le ferait-elle? Aaron ne lui demandait rien, il ne souhaitait même pas avoir cette conversation mais il était bloqué ici à attendre sa commande. Aaron aurait bien opté pour le "jamais", mais cette conversation avait actuellement lieu et il devait la subir, aussi réticent soit-il. Et Gwen admettait avoir tout son temps. « Super » railla-t-il, plus pour lui qu'autre chose, tandis qu'il inspirait un bon coup, résolu à laisser Gwen vider son sac pour qu'ils en finissent une bonne fois pour toute. Aaron savait reconnaître que la chose était plus pour son bien à elle que le sien. Cette histoire avait apparemment laissé une marque chez Gwen, tandis qu'Aaron avait laissé ce moment de sa vie s'évaporer sans y jetait un dernier regard. Aaron n'était pas partisan de la nostalgie et de tout ce qui pouvait amener une dose de regret. Le remord et la culpabilité n'étaient pas des sentiments avec lequel le jeune Maccallister était très confortable, alors il préférait les éviter. Il avait apprécié Gwen, honnêtement, même si chacune de ses autres paroles avaient été baignées de mensonges par omission. Mais une fois déployé ailleurs, à quoi bon se raccrocher à quelque chose qu'il se devait de laisser filer? Rien. C'était mieux pour tout le monde. Gwen aurait dû réaliser cela. Aaron resta pantois lorsque Gwen annonça son nom à l'employée, se permettant de parler pour lui. Il était trop surpris et agacé pour réagir tandis que la femme derrière le comptoir s'exécutait. Gwen enchaîna par une légère insulte, et Aaron sentit son orgueil être piqué une fois de plus. « Il n'y a rien à expliquer ok? Pourquoi tu prends ça autant à cœur?! On a eu une histoire, on s'est perdu de vue, ce sont des choses qui arrivent! ». Répliqua-t-il, la voix tendue pour rester au volume approprié. Oui il était agacé. A entendre Gwen, on aurait dit qu'il l'avait abandonné à l'autel! Aaron ne lui avait jamais rien promis. Il ne lui devait rien, absolument rien. Était-ce sa faute si elle s'était fait des films? Si elle avait anticipé qu'ils se retrouveraient dans un futur proche et entamerait une vraie relation sérieuse? Aaron avait pensé qu'ils étaient sur la même longueur d'onde! Juste deux personnes en quête d'un peu d'intimité et d'affection, quelque chose de léger et sans prise de tête pour soulager la difficulté de leur quotidien. Apparemment, Gwen avait eu plus d'attentes que lui. Puis le gâteau arriva, et Aaron commença naturellement à tendre les mains pour s'en saisir quand Gwen le fit à sa place. Ok, non. C'était un peu comme le courrier, Aaron doutait qu'il était très poli d'ouvrir la chose à sa place. Ca ne l'a regardait pas. Mais c'était trop tard. Gwen lut à voix haute l'inscription et Aaron se passa une main sur le visage, y étouffant un soupir. Ugh, il n'avait pas envie de rentrer là-dedans. Gwen l'insulta une dernière fois et retourna à sa table sans plus de ménagement. Aaron resta planté là comme un con, le gâteau entre les mains et le regard réprobateur des curieux dans son dos. Aaron ne lui devait rien, voilà ce qu'il n'arrêtait pas de se répéter. Il n'avait qu'à partir, reprendre le cours normal de sa vie et ignorait ce qui venait de se passer. C'était l'anniversaire de son fils. Mais son regard ne cessait pas de revenir sur le visage de Gwen, et il n'aimait pas ce qui s'y trouvait, et encore moins les sentiments désagréables que cela provoquait chez lui. Dans un soupir, et sachant qu'il allait regretter son geste, il l'a rejoignit, s'imposant en s'asseyant face à elle, le gâteau déposé délicatement sur la table. Il resta silencieux un instant, ne rencontrant pas le regard haineux qu'elle devait sans doute lui jeter. Comment expliquer cela. Devait-il lui dire la vérité? Rien ne l'y forçait, sauf peut être la décence. Il pouvait mentir encore une fois. Après tout, Liam pouvait être son neveux, son filleul, n'importe qui! Ou dire la vérité. Ca changerait un peu. Mais était-ce prudent? Gwen serait-elle capable d'aller tout raconter à Olivia pour se venger? Il ne pouvait pas prendre le risque de tout ruiner. « Avoir un fils fait de moi un abruti? ». Préféra-t-il demander, se raccrochant à se semblant d'indignation. Elle espérait quoi? Que des années après il serait célibataire, à toujours attendre après elle comme dans un conte de fée? « Je ne comprends pas ce que tu attends de moi, Gwen. Pas des excuses apparemment, alors quoi? Des explications? Pourquoi? Pourquoi c'est si important pour toi? ». Insista-t-il. Il doutait que forcer cette conversation sur elle était malin, mais c'est elle qui avait insisté pour l'avoir quelques instants auparavant. Autant l'a finir. |
| | | Gwen J. Hardy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Reporter de guerre, en arrêt de travail. ❝ cupidon : joue à un jeu dangereux en répondant au plaisir de la chaire avec son ex ❝ post-it : née à Pasadena (1er janvier 1985) ▬ Son père est ambassadeur, elle a vécue en France, Allemagne, Angleterre, Chine, Los Angeles, Afghanistan, Syrie et vient de revenir à Pasadena ▬ Elle est le troisième enfant d'une fratrie de six ▬ Fan des Red Sox de Boston (oui elle n'est pas supporter des Dodgers de LA), elle aime aussi le football américain ▬ C'est une grande gourmande ▬ Elle n'a pas peur de se briser un ongle, de traîner dans la boue... ▬ Elle est curieuse de nature ▬ Très féminine en apparence, mais à l'intérieur d'elle, elle est surtout tomboy ▬ Adore les jeux de société ▬ Très familière et direct, on ne pourrait pas imaginer qu'elle fait partie d'une famille riche, elle oublie souvent les bonnes manières ▬ Elle n'a pas de chance en amour...
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that we shall always remember » ❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : avatar → Schizophrenic | gif → tumblr ❝ avatar : Scarlett Johansson ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : demandez ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien militaire tourmenté. GRANT ▬ (g.gustin) le myope du coeur, il lui faudrait des lunettes pour voir ce qui l'entoure. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman poule qui a peur de laisser son fils seul. ALVIN ▬ (m.bomer) l'ancien agent du FBI avec une vie rempli d’embûche. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui pense plus souvent avec ce qu'il a entre les jambes que son cerveau. DEVON ▬ (k.graham) l'artiste aux talents plus que spéciaux. JAMIE ▬ (d.gillies) l'infidèle qui n'assume pas les raisons de son mariage.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3035 ❝ Messages : 210 ❝ depuis : 25/12/2015 ❝ mes sujets : holden ▬ gemma ▬ oliver ▬ oliver ▬ breanna ▬ and you ? Fondatrice en or ♥
| mot doux de Gwen J. Hardy ► un Ven 4 Mar - 19:59 | | | aaron & gwen And it all came down to this Certaine personne pourrait dire que j’en faisais tout un plat pour rien, que j’aurais mieux faire de tourner la page à cet histoire depuis longtemps maintenant. C’est un peu ce que j’avais essayé de faire avec Ollie, mais pour être franche j’étais l’idiote toujours amoureuse d’un homme qui ne voulait rien s’avoir d’elle. Je m’étais fait tout un cinéma quant à notre relation, j’étais la seule fautive dans cette histoire. Et pourtant, je déferlais sur lui un flot d’haine. Une haine que j’avais envers lui, mais aussi envers moi-même. Mais il y avait tellement de chose que je voulais savoir, pour m’aider à tourner la page, passer outre, mais aussi libérer mon esprit et réussir à oublier que notre histoire n’avait rien été de plus qu’un chapitre à ma vie. Mais aussi, pour pouvoir me dire que ce n’était pas moi le souci, que je n’avais rien fait qui l’avait poussé à ne plus prendre contact avec moi. Pour cela, je m’étais forgé cette carapace de rancune, d’aversion et de mépris. C’était bien plus facile d’être ainsi, que de me montrer faible et vulnérable. Je préférais passer pour la femme chiante, agaçante que de lui montrer qu’il avait encore un pouvoir sur moi, même si je sentais la rancune prendre le dessus. À l’écouter, je semblais faire un caprice de gamine, de petite princesse à qui on lui avait refuser un jouet. C’était surement ce que tous les clients dans ce café devaient se dire avec la réplique qu’il venait de me dire. Toutefois, étais-je prête à lui dire que la raison pourquoi laquelle ça me tenait tant à cœur était en parti mon amour propre et parce qu’au plus profond de moi je l’aimais toujours. Si on retirait toutes ces couches de haine, rancune et qu’on arrivait à franchir cette carapace, on verrait sans doute en moi ce petit cœur battant en le regardant. Il ignorait qu’il était la cause de mon échec sentiment, qu’à cause de ce fébrile battement je n’arrivais pas à me donner à fond dans une relation. Je voulais mettre fin à tout cela, mais au lieu de jouer carte sur table, je laissais la noirceur de mes sentiments prendre le dessus. Je continuais de me voiler le regard préférant blesser qu’être blessée. C’est pourquoi que lorsque la commande arriva, je préférais aller voir le gâteau que de lui répondre. En lisant, j’en venais vite à la conclusion qu’il était le père d’un enfant, mais ça pouvait être tant d’autre chose aussi, seulement, mon subconscient me faisait violence. Car si je n’avais pas la réponse à ma question, je devrais moi-même y répondre. Mettant fin à ce moment d’embarras pour tous ceux qui se trouvait autour de nous, je retournais à ma table. Reprenant le courant de ma vie, comme si cette altercation n’avait jamais eu lieu. Est-ce que je me sentais mieux pour autant ? Non, bien au contraire, cette rencontre inattendue venait de bouleverser mon esprit déjà bien fragile. Pourtant, comme toujours je n’en laissais rien paraître. J’allais simplement finir de lire mon journal sportif, manger ma pâtisserie et boire mon café, avant d’aller rejoindre ma meilleure amie. Je ne parlerais à personne de ce moment et retournerai à la case départ, ronger par des fabulations. J’avais tellement en horreur d’être ainsi, mais je ne pouvais pas y faire grand-chose. Mon regard se posait sur un article parlant du Super Bowl qui aurait lieu dans les semaines à venir, je passais ma langue sur ma lèvre avant de me les pincer. Au moins, le sport avait le don de me changer les idées, seulement je ne pouvais pas rester indifférente à cette boîte à gâteau déposer sur la table et cette silhouette qui prenait place devant moi. Pourquoi ? C’était lui qui ne voulait pas en parler, alors que je l’avais laissé tranquille au final, voilà qu’il revenait à la charge. Toujours animé par la haine et l’agacement, je relevais un instant mon regard vers lui, tournant de l’œil avec un soupir, je retournais à ma lecture. Autant dire, qu’à cet instant j’arrivais à lui être indifférente, prenant ma tasse de café, j’en buvais une gorgée. Celui-ci était désormais frais et j’affichais un air de dégoût en retroussant ma lèvre. Boire un café froid, très peu pour moi ! J’essuyais la mousse qui s’était formé en moustache au-dessus de ma lèvre, lorsqu’il parla. Je portais mon regard vers lui, passant ma langue sur mes dents, je ne cachais pas mon agacement. « Est-ce que j’ai parlé de fils ? Mais maintenant, j’en déduis que Liam c’est ton fils… » Au moins, désormais c’était une chose claire. Car si ça n’avait pas été le cas, il n’aurait pas dit cette phrase, elle ne lui serait même pas venu à l’esprit ou alors il l’aurait démenti. Je retournais à ma lecture, comme lui je ne répondais pas à sa question et ça me convenait très bien. Seulement, les rôles semblaient être échangé, car c’était désormais lui qui posait les questions. Bon tant pis pour ma lecture ! Je fermais ma tablette, la repoussant un peu sur le côté et venant croiser mes bras sur la table. Je passais ma main dans mes cheveux. « J’estime simplement que j’ai droit de savoir, mais il semblerait que non. Je ne suis surement pas la première idiote qui soit tomber amoureuse de toi, donc si tu n’as pas l’intention de me dire pourquoi. Inutile de rester ici, je me fou que tu sois marié, que tu ais un fils et mène une belle vie ranger ou pas. Si je le demande c’est pour moi pas pour une quelconque vengeance, mais pour tourner la page moi aussi. » Malgré moi, je sentais les larmes monter et venant me cacher avec ma main, car je n’avais pas l’intention de pleurer devant lui. Même que je ne comprenais pas pourquoi ces larmes étaient apparues, je préférais le repousser. « Maintenant, va-t’en. » J’avais fini par craquer, peut-être parce qu’en ce moment j’étais toujours hantée par ces souvenirs d’il y a quelques semaines, mais je faisais quelque chose que je n’avais pas fait depuis longtemps. Pleurer. En silence, mais je sentais les larmes couler sur mes joues, alors que je ne faisais rien pour les arrêter de peur qu’il ne le remarque. |
| | | Aaron B. Maccallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: Heroes don't wear capes they wear dog tag ♥
| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Sam 2 Avr - 16:29 | | | aaron & gwen And it all came down to this Aaron aurait pu prendre la voie de la simplicité. Sortir, aller fêter l'anniversaire de son fils avec sa compagne et prétendre que ce fragment de son passé n'avait jamais ressurgi. Pour dire vrai, Aaron n'arrivait pas à concilier les deux. Olivia et Gwen. Il y avait eu un avant et un après. Une simple erreur de parcours qui avait fait de lui un homme différent. Aaron s'était toujours félicité d'être un homme d'honneur, droit dans ses baskets qui mettait sa vie sur la ligne pour son pays et qui était là pour sa famille. Mais toutes les médailles du monde sur sa poitrine ne pourrait effacer l'adultère qu'il avait commis. Certains diraient que lui et Olivia n'étaient pas mariés, qu'ils ne s'étaient jamais promis jusqu'à la vie et la mort, mais cela était de plates excuses, même si Aaron s'y accrochait quelque peu. Gwen avait été la tentation. Il avait été tellement facile d'oublier qu'il avait une vie en Amérique après des longs mois passés en Moyen-Orient, avec les mêmes personnes et les mêmes difficultés. Facile de retomber dans la vie de célibataire qu'il n'avait que trop bien connue. Gwen avait été une tentation, mais pas un jeu. Aaron avait honnêtement éprouvé quelque chose pour elle. Il avait pensé à elle lorsqu'il avait été transféré et l'avait laissé derrière. Il avait encore pensé à elle dans l'avion pour Los Angeles alors qu'il allait retrouver Olivia. Chaque moment passé en sa compagnie avait été sincère. Il avait juste omis quelques informations. Mais au final, il avait dû faire un choix. Elle ou Olivia. Olivia était une valeur sûre, quelqu'un qui vivait à Pasadena, qu'il connaissait depuis longtemps et avec qui il partageait une relation déjà sérieuse. Gwen, malgré l'excitation de la nouveauté, était autant en vadrouille que lui. Si Aaron n'était pas connu pour sa stabilité ou son envie d'une famille idéale, il n'aurait pas non plus pu tout risquer pour un électron libre. Peut être cela n'aurait-il pas durer. Peut être auraient-ils encore été ensemble aujourd'hui. Qui sait. Aaron n'y pensait pas car cela ne changerait rien. Et malgré tout, il ne regrettait pas la vie qu'il avait aujourd'hui avec Olivia. Il l'aimait. Il aimait Liam. Aaron se demanda un instant si, s'il avait réagit plus drastiquement à la grossesse cachée d'Olivia et que cela aurait mené à leur rupture, s'il aurait repensé à Gwen. Aaron secoua brièvement la tête pour chasser ces pensées inutiles. Il était resté, au lieu de mettre les voiles, et il ne savait pas trop pourquoi. C'était deux parties de sa vie qu'il ne voulaient pas concilier, et peut être craignait-il que tout ne tombe en ruine s'il lâchait le morceau. Il fallait qu'il arrange un peu les choses avec Gwen. Il était terrifié à l'idée qu'elle et Olivia se croise un jour. Aaron se maudit d'avoir vendu la mèche tout seul à propos de Liam, mais en même temps, il refuserait de le cacher. Il n'avait pas honte de son fils. « Oui. Il a 1 an » répondit-il. Il n'était pas de ses parents qui sautaient sur l'occasion pour montrer une photo de leur gosse sur leur téléphone et parlent de tout ce que le bébé sait faire, mais il voulait appuyer le fait que c'était un développement récent. Aaron n'allait pas non plus expliquer qu'on lui avait caché qu'il allait être père, car cela reviendrait à parler d'Olivia et....non. Mais Gwen insistait. C'est-ce qu'elle voulait savoir au fond. C'était la seule et unique raison qui expliquait la fin de leur histoire. Aaron resta le regard posé sur la table, entre eux, à l'écouter une nouvelle fois justifier son droit à la vérité, jusqu'à ce qu'il entendre le trémolo de sa voix. Il releva le regard et sentit sa poitrine se serrer en voyant les larmes couler sur ses joues. Non, pourquoi pleurait-elle? Ca n'était pas censé se passer comme ça. Elle avait beau lui avoir répété, Aaron ne saisissait qu'en cet instant l'impact qu'avait eu leur relation sur Gwen. Lui avait eu un choix à faire. Elle n'avait pu qu'en subir les conséquences, avec personne sur qui se rabattre comme lui. Peut être lui devait-il bien ça. « Je ne suis pas marié » souffla-t-il bêtement, histoire de gagner du temps. C'était tout comme, non? C'était juste qu'Aaron n'avait pas posé la question. Il était plutôt convaincu qu'Olivia accepterait s'il lui proposait, mais il ne l'avait pas fait. Pourquoi? Pourquoi, en effet. Elle lui demanda de s'en aller et il resta figé là. Aaron avait été convaincu qu'il ne lui devait rien, mais ça n'était pas exactement vrai, n'est-ce-pas? Et en même temps, est-ce que cela la ferait sentir mieux de savoir qu'elle avait été sa maitresse? Non. Ca la blesserait plus qu'autre chose. Mais c'était la vérité, et la vérité fait souvent mal. Aaron hésitait. Si dans un élan de vengeance Gwen allait tout raconter à Olivia, il s'en voudrait d'avoir cédé et d'avoir tout raconter à Gwen. Mais ne méritait-elle pas qu'il lui fasse cette petite indulgence? Ugh. « Ok, ok » dit-il, se préparent mentalement. Elle disait que ce n'était pas de la vengeance, mais juste pour tourner la page. Il espérait que c'était vrai. « Je tenais à toi Gwen, vraiment » commença-t-il par dire sincèrement en plantant son regard dans le sien, car il était important qu'il sache ça. Il n'avait pas joué avec elle cruellement. Tomber amoureux d'elle aurait été si facile, Aaron le savait et ça l'avait terrifié sur le moment. Lui qui avait eu tant de mal à éprouver cela, déjà avec Olivia. « La vérité c'est que...j'ai merdé, d'accord? J'avais quelqu'un qui m'attendais aux USA, une copine, et...et je sais que c'était horrible de ma part mais j'ai été séduit, et j'ai été con, et au final je devais faire un choix entre elle et toi. Et ça a été un choix, Gwen, car je sais que toi et moi on aurait pu construire quelque chose ensemble et je n'ai jamais menti la dessus. ». Mon Dieu, il n'en revenait pas de faire ça. Ca allait lui retomber dessus. « Mais c'est elle que j'ai choisis. Et j'ai essayé de tourner la page brutalement, et je sais que je t'ai blessé et que tu ne méritait pas ça, et je suis désolé » acheva-t-il maladroitement. Au moins, cela suffisait à montrer que Gwen n'avait aucun reproche à se faire dans cette histoire. Aaron avait joué le connard du début à la fin. Gwen n'avait juste jamais été mise au courant de la distribution des rôles. |
| | | Gwen J. Hardy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Reporter de guerre, en arrêt de travail. ❝ cupidon : joue à un jeu dangereux en répondant au plaisir de la chaire avec son ex ❝ post-it : née à Pasadena (1er janvier 1985) ▬ Son père est ambassadeur, elle a vécue en France, Allemagne, Angleterre, Chine, Los Angeles, Afghanistan, Syrie et vient de revenir à Pasadena ▬ Elle est le troisième enfant d'une fratrie de six ▬ Fan des Red Sox de Boston (oui elle n'est pas supporter des Dodgers de LA), elle aime aussi le football américain ▬ C'est une grande gourmande ▬ Elle n'a pas peur de se briser un ongle, de traîner dans la boue... ▬ Elle est curieuse de nature ▬ Très féminine en apparence, mais à l'intérieur d'elle, elle est surtout tomboy ▬ Adore les jeux de société ▬ Très familière et direct, on ne pourrait pas imaginer qu'elle fait partie d'une famille riche, elle oublie souvent les bonnes manières ▬ Elle n'a pas de chance en amour...
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that we shall always remember » ❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : avatar → Schizophrenic | gif → tumblr ❝ avatar : Scarlett Johansson ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : demandez ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien militaire tourmenté. GRANT ▬ (g.gustin) le myope du coeur, il lui faudrait des lunettes pour voir ce qui l'entoure. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman poule qui a peur de laisser son fils seul. ALVIN ▬ (m.bomer) l'ancien agent du FBI avec une vie rempli d’embûche. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui pense plus souvent avec ce qu'il a entre les jambes que son cerveau. DEVON ▬ (k.graham) l'artiste aux talents plus que spéciaux. JAMIE ▬ (d.gillies) l'infidèle qui n'assume pas les raisons de son mariage.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3035 ❝ Messages : 210 ❝ depuis : 25/12/2015 ❝ mes sujets : holden ▬ gemma ▬ oliver ▬ oliver ▬ breanna ▬ and you ? Fondatrice en or ♥
| mot doux de Gwen J. Hardy ► un Jeu 21 Avr - 14:35 | | | aaron & gwen And it all came down to this Pourquoi tant d’acharnement, c’était vraiment à ce le demander. Par orgueil ? Pour ressentir un soulagement ? Je ne pouvais pas dire, car dans le fond je savais que j’aurais mieux fait de tourner la page le jour où j’avais compris que plus jamais nos chemins se croiseraient. Mais au plus profond de moi, l’espoir restait. Il persistait. Déchirant mes sentiments et me bloquant sur ce fichu passé. Je ne parvenais pas à clore ce chapitre, car pour moi il n’avait pas de réelle conclusion. On ne s’était pas dit au revoir, on s’était simplement éloigner sans plus, alors qu’on avait vécu des choses que je n’avais jamais ressenti auparavant. Avec Oliver, j’avais cherché à trouver un semblant de relation comme je l’avais vécu avec Aaron, mais à trop les comparés, à trop espérer, ça avait amener à ma rupture avec mon collègue. Je ne pouvais en vouloir qu’à moi, mais voilà, je n’y pouvais pas grand-chose. C’était arrivé et je ne pouvais pas revenir en arrière, de toute manière je le fuyais comme le militaire me fuyait. Certes pour des raisons différentes, mais d’un sens c’était pour la même chose. Je ne réagissais pas lorsqu’il me confirma que c’était bel et bien son fils. Un an… C’était récent, bien plus récent que notre histoire. Je sentais un pincement au cœur. Que serait-il arrivé si j’étais tombé enceinte alors qu’on était encore ensemble ? Mon regard toujours posé sur ma tablette, je me mordais la lèvre durement, me faisant ainsi violence. Je ne devais pas penser à cela, sachant très bien que ça me détruirait encore un peu plus. C’était fini et je devais bien ancrer cela dans ma caboche ! J’étais Gwen Hardy, une femme forte ! Oui, voilà ce que je devais me répéter. Seulement, je ne tardais pas à sentir mes larmes monter jusqu’au balcon. Des perles d’eau débordant de mes cils pour couler sur mes joues, alors que je baissais le regard cachant un peu mon visage avec ma main. Au fur et à mesure que j’avais parlé ma voix c’était tordue. Je n’avais jamais pensé lui dire cela, après tout je ne pensais pas non plus le revoir. Les États-Unis c’est immensément grand, il pouvait venir de n’importe quelle région, pourquoi habitait-il dans ma ville natale ? Il fallait que j’arrête de me poser autant de question. Alors qu’il me disait ne pas être marié, je fermais férocement mes paupières laissant les larmes tomber sur la table dans une fine pluie salée. C’était un détail que je ne voulais pas savoir, en fait, moins j’en savais moins j’avais mal. Car si j’y pensais, je savais que mes pensées seraient égoïstes. S’il n’était pas marié, je pouvais toujours mettre de la bisbille dans son couple. Seulement, je n’étais pas cette garce qui commençait à s’immiscer en moi, me montrant que je pouvais toujours avoir cet homme. Préférant qu’il ne remarque pas mes larmes, mais aussi pour arrêter cette machinerie diabolique en moi, je lui demandais de partir. Il semblait tout aussi têtu que moi à cet instant. En entendant son « ok », je relevais mon regard vers lui. Du revers de la main, j’essuyais mes joues humidifiées par les larmes. Je ravalais ma salive, alors qu’il me disait avoir tenu à moi. Devais-je le croire ? À ce moment, je me sentais perdue. Comme si tous mes repaires c’étaient envolés d’un claquement de doigt. Je ne trouvais pas non plus la force de parler, de toute manière que pouvais-je lui répondre ? Moi aussi ? C’était vrai, mais il y avait aussi une partie de moi qui tenait toujours à lui. Et simplement lui avouer cela me nouait les entrailles, au point que je sentais à nouveau les larmes monter. Je passais rapidement mes mains sur mes yeux pour chasser d’autres potentiels larmes. Je l’écoutais continuer, découvrant la vérité derrière notre histoire. Les voiles tombaient, enfin. Est-ce que je me sentais mal ? Bien entendu. Si j’avais su qu’il avait quelqu’un dans sa vie, jamais je n’aurais laissé mes sentiments l’emporter. Je pouvais avoir l’image d’une garce, mais jamais mon intention serait de m’immiscer dans un couple. J’avais donc été sa maîtresse sans le savoir. L’information arrivait peu à peu à mon cerveau. Est-ce que je devais lui en vouloir ? Sans doute. Pour le simple fait de ne m’avoir rien dit quant à celle qui l’attendait en Amérique. Je détournais le regard alors qu’il finissait de parler. Pour être franche, je ne savais pas comment réagir. Quoi dire. Quoi faire. Tous les scénarii se bousculaient dans mon esprit aussi absurde que légitime. Dans une vaine tentative de réaction, je ne trouvais pas mieux que de frotter mon bras avec ma main. En y réfléchissant bien, ça expliquait beaucoup de chose. Puis je réalisais qu’en fait je n’étais pas la raison de son silence. Ce n’était pas moi le problème, c’était lui. Lui et sa tentation. Bon peut-être que j’avais joué pour quelque chose, mais c’était lui qui avait succombé. J’étais célibataire à ce moment-là, je n’avais pas d’attachement, j’étais libre de vivre n’importe quelle émotion. Pendant un infime instant, je fus flattée qu’il ait succombé. Puis je me mis à rire, un rire nerveux, mais aussi un de soulagement. Serrant mes bras comme si je cherchais à me prodiguer une étreinte, je relevais mon regard vers lui. « Je n’étais pas le problème… » finissais-je par dire dans une forme de murmure. Moi qui pendant tout ce temps, j’avais cru être la cause de son silence. Un poids se soulevait de mes épaules et mon rire s’amplifia. C’était certes malpoli de rire, mais j’en avais que faire. Je me sentais libérée et je ressentais le besoin de rire ainsi. Au bout de quelques secondes, minutes… Je ne savais pas trop, je prenais une bonne respiration, passant ma main sur mon visage. Reposant mon regard sur lui. « T’es un sacré salaud, mais merci. » Je penchais légèrement la tête sur le côté, lui adressant un sourire. Maintenant que je savais la vérité, est-ce que j’allais l’utiliser à mon avantage ? Non. J’avais été franche en disant que ce n’était pas une question de vengeance. Certes de savoir que je fus sa maîtresse me choquait au plus profond de moi, je me savais généralement rancunière, seulement c’était à lui de vivre avec son sentiment d’adultère. Après tout, je n’avais pas à me sentir coupable, puisque j’ignorais la réalité lorsque je le fréquentais. « Tu viens de me retirer un sacré poids de sur les épaules. Peut-être que tu as bien fait de le garder pour toi, sinon il n’y aurait jamais rien eu entre nous. Mais désormais ce chapitre est enfin clos pour moi. Je suis tout de même désolée pour les regrets que tu dois ressentir pour elle. » Je me pinçais les lèvres. « Et ne t’en fais pas, je ne chercherai pas à la voir. Je ne vois pas ce que je gagnerais à faire ça. Toi… Je ne suis pas certaine de te vouloir encore. Il y a peut-être quelques minutes j’aurais dit oui, mais maintenant c’est du passé. Je garderai ce secret, en te souhaitant tout le bonheur du monde avec cette femme. » Désormais, on pouvait redevenir des étranges, ce qu’on avait toujours été dans le fond, car en y regardant bien, je ne connaissais rien de lui. Il m’avait omis certain détail, combien en avait-il omis d’autre ? Il avait menti à cette femme. Ces paroles n’étaient-elles que mensonge ? Qui sait finalement ce qu’il pensait. |
| | | Aaron B. Maccallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: Heroes don't wear capes they wear dog tag ♥
| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Sam 30 Avr - 20:11 | | | aaron & gwen And it all came down to this Un moment de suspens. Léger et lourd à la fois. Bref en réalité et pourtant interminable, juste assez pour laisser place au doute et au regret. Aaron pouvait avoir tant à regretter, mais les mots étaient sortis et rien qu'il puisse faire ne pourrait les reprendre. Il regardait, condamné, la conséquence de ses aveux sur le visage de Gwen. Une pléiade d'émotions s'y jouait, trop rapide pour qu'Aaron puisse toutes les répertorier. Il n'était pas sûr de le vouloir. Il y avait tellement de manière dont la scène pouvait se jouer. Et il avait le mauvais rôle dans chacune d'entre elle. Il l'avait bien cherché. Les mains nouées sur ses genoux, il attendait que son ancienne amante le juge à son tour. Aaron ne savait pas vraiment quoi attendre de sa part, mais il fut tout de même surpris par sa réaction. « Non, bien sûr que non » souffla-t-il, mais elle ne l'écoutait plus vraiment, perdue dans sa propre révélation. Avait-elle réellement pensé ça pendant tout ce temps? Qu'il avait mis les voiles dans une façon particulièrement élégante de lui faire comprendre qu'elle ne l'intéressait plus? Que quelque chose dans sa personnalité, sa façon d'être, l'avait poussé à fuir? Aaron se tortilla sur son siège, soudainement gêné, un sentiment qu'il n'avait pas trop l'habitude d'expérimenter. Il s'imagina Gwen avoir pris la chose trop à cœur, minant son estime de soi et prolongeant les conséquences dans sa vie intime. Mon Dieu, il espérait vraiment que ce n'était pas le cas. Il comprenait enfin pourquoi elle l'avait accosté aussi violemment dans la pâtisserie, pourquoi elle avait tant insisté pour avoir des explications. Il ne s'agissait pas que d'une ancienne aventure pour elle. Cela avait eu des conséquences bien plus profondes. Aaron se redressa sur sa chaise lorsque Gwen se mit à rire. Wow, il n'avait pas du tout anticipé ça. Mais eh, c'était franchement la meilleure des résolutions possibles! Elle aurait pu lui en remettre une, lui hurler dessus, lui envoyer sa tasse dans la tête, qui sait! Se faire simplement traiter de salaud et se faire remercier par la même occasion? Voilà qui était un surprenant et agréable dénouement. La tension semblait être retombée brutalement à plat, les libérant tous les deux. Les rares clients encore intéressés par leur altercation précédente semblaient aussi le ressentir, cessant enfin de les fixer à petite fréquence. « Je ne vais pas dire le contraire » répondit-il dans un rire timide, pas encore certains que le climat était propice à l'humour. Gwen continua de s'exprimer, comme si les vannes s'étaient enfin ouvertes et que tout le soulagement s'en déversait en vagues successives. Il fronça un instant les sourcils suite à l'une de ses paroles. Il secoua légèrement la tête. « Non, ne sois pas désolé pour moi. Personne m'a forcé à le faire, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même » dit-il, dérangé par l'idée qu'on puisse compatir à sa culpabilité. Le fait est que....il ne se sentait pas réellement coupable finalement. C'était horrible à dire, mais Aaron ne s'était jamais laissé consommer par les regrets et la culpabilité suite à son acte. Décidé à garder la chose secrète, et ayant laissé cette infidélité sur un autre contient avec Gwen, Aaron avait facilement pu reprendre sa vie à Pasadena comme si de rien n'était. C'était seulement la présence soudaine de Gwen et les remarques récentes et suspicieuses d'Olivia qui faisait naître quelques remords chez le soldat. « Merci » souffla-t-il tout de même lorsqu'elle affirma qu'elle n'avait pas l'intention de dévoiler le pot aux roses à Olivia. Quel désastre cela serait. Elle indiqua ensuite ne plus le vouloir, ce qui n'avait pas forcément été le cas il y a quelques instants de cela. Aaron posa un regard à moitié surpris sur elle. Il ne savait pas vraiment quoi faire de cette information. Et son orgueil borné se voulait quelque peu blessé de savoir que la jeune femme pouvait tirer un trait aussi facilement sur lui. C'était irrationnel bien évidemment, mais il ne pouvait s'en empêcher. « Je...ok » acheva-t-il minablement. Que pouvait-il dire à cela? « C'est mieux comme ça de toute manière... ». Qu'aurait-il eu à dire si elle avait avoué toujours le vouloir? Cela aurait été une porte ouverte à de nombreuses erreurs, et Aaron n'avait besoin d'être confronté à la tentation encore une fois, même s'il estimait avoir assez mûri pour ne pas répéter deux fois la même erreur. « Toi aussi Gwen. Tu mérites d'être heureuse » lui dit-il sincèrement, levant la main qu'il avait posé sur sa cuisse dans un réflexe avant de se stopper lorsqu'il réalisa qu'il voulait la poser sur celle de Gwen pour appuyer ses mots. Hm, nope, évitons tout geste intime, pensa-t-il en posant un regard sur le gâteau oubli de son fils. |
| | | Gwen J. Hardy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Reporter de guerre, en arrêt de travail. ❝ cupidon : joue à un jeu dangereux en répondant au plaisir de la chaire avec son ex ❝ post-it : née à Pasadena (1er janvier 1985) ▬ Son père est ambassadeur, elle a vécue en France, Allemagne, Angleterre, Chine, Los Angeles, Afghanistan, Syrie et vient de revenir à Pasadena ▬ Elle est le troisième enfant d'une fratrie de six ▬ Fan des Red Sox de Boston (oui elle n'est pas supporter des Dodgers de LA), elle aime aussi le football américain ▬ C'est une grande gourmande ▬ Elle n'a pas peur de se briser un ongle, de traîner dans la boue... ▬ Elle est curieuse de nature ▬ Très féminine en apparence, mais à l'intérieur d'elle, elle est surtout tomboy ▬ Adore les jeux de société ▬ Très familière et direct, on ne pourrait pas imaginer qu'elle fait partie d'une famille riche, elle oublie souvent les bonnes manières ▬ Elle n'a pas de chance en amour...
« you and me it's a story
that we shall always remember » ❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : avatar → Schizophrenic | gif → tumblr ❝ avatar : Scarlett Johansson ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : demandez ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien militaire tourmenté. GRANT ▬ (g.gustin) le myope du coeur, il lui faudrait des lunettes pour voir ce qui l'entoure. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman poule qui a peur de laisser son fils seul. ALVIN ▬ (m.bomer) l'ancien agent du FBI avec une vie rempli d’embûche. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui pense plus souvent avec ce qu'il a entre les jambes que son cerveau. DEVON ▬ (k.graham) l'artiste aux talents plus que spéciaux. JAMIE ▬ (d.gillies) l'infidèle qui n'assume pas les raisons de son mariage.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3035 ❝ Messages : 210 ❝ depuis : 25/12/2015 ❝ mes sujets : holden ▬ gemma ▬ oliver ▬ oliver ▬ breanna ▬ and you ? Fondatrice en or ♥
| mot doux de Gwen J. Hardy ► un Ven 13 Mai - 7:12 | | | aaron & gwen And it all came down to this Lorsqu’on s’imagine être l’erreur d’une histoire, cette personne qui a conduit à la fin. On ne sait jamais trop comment faire avec la suite, c’était ce que j’avais vécu. Entre nous deux, je devais bien être la seule qui avait fait tout un plat de notre relation, mais bien que forte, je restais humaine. Et notre relation avait pris fin alors que je croyais qu’elle nous convenait à tous les deux. Qu’avais-je fait alors ? C’était à ce le demander ! Maintenant que je découvrais la vérité, une panoplie d’émotion m’envahissait, mais aussi pouvait me dicter dans mes choix. Je pouvais décider de réagir de tellement de manière que ce fût le soulagement qui se fit ressentir. Déjà qu’il venait de me confier que je n’étais pas le problème, je sentais un énorme poids quitter mes épaules. Bien plus légère, je venais même à me demander pourquoi j’avais cherché à vouloir le revoir. En fait, j’étais qu’une idiote de plus sur cette Terre qui était tombé amoureuse du mauvais mec. Je n’étais pas la première et comme toutes les autres, j’allais me relever. Continuer à vivre, ce que je n’avais malheureusement pas fait. Pourtant, j’aurais pu. Il aurait simplement fallu que je sois prête à oublier ce salaud. Même si durant toutes ces années, ça m’avait semblé tout simplement impossible. Une telle alchimie ne se reproduit pas avec tout le monde, mais existait-elle encore ? J’avais de sérieux doute. Le regardant, j’étais presque ravi de le voir admettre qu’il n’était qu’un salopard parmi tant d’autre. Je continuais de parler, l’écoutant les quelques moments où il parlait. J’espérais bien que personne ne l’avait forcé à avoir un adultère avec moi, ça serait tout de même vexant. Mais je me ravisais de passer un commentaire, si je voulais donner une fin plus agréable, inutile de ressortir mon venin. Jamais bien loin, il serait simplement de trancher ses mots de répliques sanglantes, mais je me sentais tellement légère, que je n’en avais tout simplement pas envie. Je restais avec mon idée de garder son secret, lui avouant tout de même que j’aurais sans doute sût retomber entre ses bras facilement. Sa surprise me fit hausser les épaules, en même temps qui pouvait dire non à un tel homme ? Et mon corps n’avait jamais oublié le contact du sien sur le mien, le parfum qu’il avait. Oui j’aurais pu facilement retomber sous son charme malgré ma rancœur. Maintenant, il en était hors de question, il m’avait dit son secret et je ne désirais pas prendre part à cela. Je ne voulais plus être la seconde femme. « En effet. » C’était effectivement bien mieux ainsi. Je passais ma main dans mes cheveux, gardant toujours mon regard river sur lui avant de la ramener sur la table. « Merci. » Je ne portais pas attention à son geste, après tout nous venions de clore notre chapitre, il n’y avait pas de fin heureuse pour nous et il était inutile de se torturer l’esprit avec un geste mal interprété. Mais je suivais tout de même son regard vers la boîte du gâteau pour son fils. On devait laisser cela au passé et devenir des étrangers. La possibilité d’être ami, me semblait impossible sachant que tôt ou tard on vendrait la mèche à sa copine. « Je crois qu’on t’attend pour un anniversaire. » Je me levais, prenant aussi la boîte que j’avais acheté pour fêter avec Gemma mon retour. Passant près de lui, je m’arrêtais. Et puis zut ! « Prend soin de toi. » Délicatement, je posais mes lèvres sur sa joue. Un simple baiser qui me semblait durer une éternité et plus d’être électrisant. Pourtant, je ne touchais pas ses lèvres, c’était simplement une bise, mais celle-ci me rapportait près de six années en arrière. Déstabilisé, je m’éloignais finalement de lui et sans un regard, je quittais la pâtisserie m’arrêtant dehors pour regarder le ciel. Qu’est-ce qui me prenait ? Posant ma main sur mon cœur, sur ma poitrine où un battement accélérer faisait rage, je me décidais tout de même à tourner la page. |
| | | Contenu sponsorisé et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Contenu sponsorisé ► un | | | |
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