l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Jeu 24 Déc - 11:30 | | | Il est parti. Il a fui. Il est parti en courant comme une flèche. Il s’en est allé et il m’a laissé. Je ne savais pas comment réagir. Cela faisait deux heures que j’étais assez sur mon canapé, la lettre de son départ entre les mains et les larmes ne voulaient même pas sortir. Inerte, je ne lisais que des mots sans me rencontre contre des choses fausses. Son écriture n’était pas la même mais qu’importe. Tout me semblait comme détruit. Comme à recommencer ? Je n’en savais rien. Je ne pensais à rien. Je ressentais simplement une bête colère. Oui. Je me sentais mal et je ne pouvais pas mentir sur ce point. Il ne voulait pas partir en vrai. Non. Il ne l’avait pas voulu mais je ne le savais pas du tout. Je savais juste que les choses étaient arrivées. Il est parti. Pas encore de pourquoi. Non. Pas encore. Je m’accusais juste stupidement de son départ. Je m’accusais oui. La folie m’emportait pourtant alors que je me levais du canapé. Je soupirais, je regardais autour de moi. Je balançais cette lettre. Sans larme mais on pouvait juste lire la tristesse dans mes yeux. Je devenais folle. Folle. Tout s’écroulait métaphoriquement autour de moi. Tout. Il ne me restait plus qu’un bébé dans un relax à côté de moi. J’avais à peine eue le temps de le poser dans son relax avant de voir la lettre. Il dormait à moitié, me regardant avec un air assez songeur. Pourquoi maman est folle ? Il semblait surpris de ma violence soudaine. Laissant montrer un gémissement de malaise alors qu’il me regardait toujours. Je me tournais vers lui, tentant en vain de me calmer. Je passais une main sur mon front, la faisant partir dans mes cheveux. J’expirais un bon coup, laissant mes poumons se vider mais à quoi bon ? Cela ne m’aidait pas du tout. Oh non pas du tout. Cela ne changeait même rien du tout à part me donner envie de tuer cet homme. Je n’avais pas à le faire, je l’ignorais. Dans le fond, il était une victime mais je ne le savais pas. Je ne savais pas qu’il était retenu contre son gré mais qu’importe. Je soupirais à nouveau. Le bébé se calmait mais toujours songeur. C’est ne tremblant que je prenais un biscuit dans le paquet juste à côté du canapé sur une table. Je lui tendais alors ces fameux biscuits avant d’aller dans une autre pièce. Il était attaché, il ne risquait rien sauf de devenir aussi dingue que sa maman par ce qu’il ne la voit pas. Je me planquais dans la chambre, m’allongeant sur le lit. Je posais mes mains jointe sur mon front, à plat. Je soufflais un coup, un second. Je sentais mon ventre se contracter, je sentais ma respirer s’accélérer. Je sentais mon cœur battre la chamade mais aussi une boule remonter et les larmes couler. Je sentais presque mon mascara fondre sur ma peau. Mes cils inférieurs se plaquer contre celle-ci. Je me relevais. J’en tremblais. Je devenais folle comme si mon château de diamant venait de s’effondrer. Le bonheur. Mensonge. L’amour ? Inutile. Tous ces vêtements encore débordant parfois de sa commode juste devant mes yeux. Non, cela ne me semblait pas illogique de voir ses affaires encore là. Rien n’avait bougé sauf cette lettre qui était apparue. Rien ne me semblait illogique ou rien ne voulait me sembler illogique comme si les pièces de puzzles s’entre coinçaient avec merveilles. Ou pas. Si j’imaginais le puzzle de la situation cela serait au final un vrai massacre. Et encore, je suis gentille. Enfin… C’est sur une impulsion assez subite que je me levais, j’ouvrais le tiroir à moitié ouvert et je le retirais. Il était lourd mais je ne sentais plus ma force ou quoique ce soit. Je le portais, j’allais le vider par la fenêtre ouverte au départ pour aérer. Je laissais les boxer et les chaussettes s’étaler sur le sol. Dans une impulsion encore présente, je retournais chercher les autres tiroirs petits à petits pour les vider par la fenêtre dans un hurlement stridents à en décrocher des tympans. C’est quoi encore la vilaine dans Charmed qui fait ça ? La harpie. Oui, voila c’est ça. J’en ai des références quand même. Elle hurlait jusqu’à en briser les vitres et geler les cœurs afin de tuer les âmes en peines. Je pourrais presque leur écrire un script. Ou pas. C’est fini, fuck my life. J’adorais ça quand j’étais petite mais je me cachais pour le regarder. Vous voyez… aucunes n’étaient docteurs donc ce n’était pas éducatifs. A quoi bon regarder Grey Anatomy ? Ca lobotomise aussi le cerveau de toute façon. Et merci maman, merci papa. Oui du coup comme je ne peux pas poster, j’écris du n’importe quoi. C’est plus facile. |
| | | Jonas L. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3563 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014 ❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana bros b4 hoes
| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Mer 20 Jan - 22:26 | | | billie & jonas ce soir, on s'en balance et on balance tout par la fenêtre enfin non ce matin ! Poussant un bâillement, j’ouvrais les yeux. Généralement, je n’étais pas le mec qui se réveille rapidement préférant prendre ça relax ! Mais ce matin c’était différent, découvrir que je dormais dans une baignoire avait un effet assez rapide pour réveiller quelqu’un. Je me redressais, appuyant mon bras sur le rebord du bain, un bref coup d’œil dans la salle de bain pour finalement y découvrir que je n’étais pas le seul à squatter cette pièce pour dormir. Une fille se trouvant à dormir lové contre la cuvette. Elle avait dut avoir une nuit horrible, quant à moi ça allait toujours, même si j’ignorais comment je m’étais pris pour m’endormir dans la baignoire. En check up, et je fus soulagé de voir que je ne m’étais pas vomi dessus. Je détestais les blackouts pendant les soirées… Celle-ci avait dû être terrible parce que je n’en avais pas le moindre souvenir. Me relevant, j’enjambais la paroi du bain tout en poussant un nouveau bâillement. J’enjambais aussi l’une des jambes de la fille, sortant pour trouver une marre de gens couchés un peu partout. Cette teuf avait littéralement dégénéré. Je franchissais les corps étendu sur le sol, essayant de ne pas piler sur personne. J’aurais voulu aider cette personne à qui appartenait cet appartement, mais pour être franc je ne savais pas qui c’était ni même chez qui j’étais. D’ailleurs, où étais-je ? Poussant un soupire, je sortais mon portable de ma poche pour regarder l’heure. Un râlement sortait de ma gorge, treize heures passer. J’avais dormi combien de temps ? J’ouvrais la porte, fermant mes yeux en voyant la lumière du jour. Petit vampire. Le soleil me fit grimacer, passant une main dans mes cheveux en batail, je regardais autour de moi. Poussant un soupire, je n’avais pas la moindre idée d’où je me situais dans cette ville. M’assoyant sur les marches du perron, j’utilisais mon portable pour me localiser, finalement ça avait du bien ce truc. Bon j’étais dans le nord de la ville, un coin que je ne connaissais pas tant que ça. Génial. Je devais trouver un endroit pour prendre le bus, espérant que j’aille laisser ma bagnole chez moi. Sinon j’aurais l’air con. Me levant, je remettais mon portable dans ma poche, dévalant les marches pour arriver sur le petit chemin conduisant au trottoir. Je trouvais un dépanneur, m’achetant de quoi manger et boire. Une canette de thé Arizona et un sandwich, mais ce dont j’avais vraiment envie c’était surtout des cachets pour le mal de crâne. Je ne filais pas tant hangover, mais quand même je commençais à ressentir le marteau piqueur qui résonnait dans ma tête. En payant, je demandais au caissier où se trouvait l’arrêt de bus le plus proche pour aller dans l’est de la ville. Il m’indiquait un trajet, et le remerciant je quittais le dépanneur en mordant dans mon sandwich. Je cherchais d’un regard l’indication et me mettant en route, je me maudissais d’avoir fait une tel fête. Pour être franc, je le regrettais sur le coup, mais j’allais recommencer, comme toujours. Je recommençais toujours. Trouvant une poubelle, je jetais mes déchets. Je n’avais pas fait quelques pas de plus, que je voyais devant mes yeux une pluie de vêtement tomber autour de moi. M’arrêtant, bin quoi c’est rare la pluie de vêtement. Une seconde vague et je recevais un caleçon sur la tête. Bon soit la Terre était déréglé soit c’était autre chose. Tournant la tête, je cherchais la provenance de ces vêtements. Une fenêtre ouverte et une nouvelle vague. Cette meuf était l’ouragan slip en vrac ! « Hey ! » disais-je assez fort pour qu’elle m’entende, mais je recevais une chaussette en pleine poire. Secouant la tête, je retirais celle-ci de mon visage avant que je reste cloué là à loucher comme un con en regardant cette chaussette ornée d’un tigre. « HEY ! » hurlais-je cette fois, j’aurais pu continuer mon chemin tranquille… En fait, c’est ce que j’aurais dû faire, mais trop tard. Allais-je le regretter ? Sans doute. J’attendais de voir réapparaître une silhouette près de la fenêtre. « Vous savez les sacs poubelles ça existent ! Et puis… » J’allais dire que recevoir un vibrateur par la tête n’était jamais souhaiter, après tout qui disait ce qu’il mettait dans ses tiroirs ! Seulement, je reconnaissais la brune à la fenêtre. « Billie ? » Enfin, je ne connaissais pas vraiment cette fille. Elle avait simplement récuré des toilettes en ma compagnie. Est-ce que ça faisait de nous des connaissances ? Je ne sais pas, mais en tout cas on avait partagé la même merde, façon de parler. Mais pour le coup, je ne savais pas trop quoi dire, un simple salut me semblait surfait. Après tout, je venais de recevoir une décharge de vêtement qui ne semblait pas être les siens. À moins qu’elle se vêtît en homme… |
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| mot doux de Invité ► un Sam 26 Mar - 9:51 | | | La vie est faite de sermon, ce qu’on fait bien, ce qu’on fait mal. Après tout le destin nous engueule parfois avec ces idées saugrenues d’offrir malheur et désespoir aux humains. Méritais-je d’avoir autant de déception ? Autant de tristesse. Oh bien qu’importe. J’ignorais si je croyais à ces conneries de destin mais parfois je me demandais tout de même ce qui clochait chez moi. Une chose devait bien clocher, non ? Une stupide chose que l’on appelle… le cœur ? Aucunes idées mais encore une. Encore une personne assez lâche pour abandonner un de mes enfants, une personne pour me quitter. L’avais-je mérité ? Dans le fond, je ne pensais pas encore être le coupable même si la question était dans ma tête bien enfouie. Qu’avais-je fais pour ça ? Non. La seule chose que je ressentais était une pure haine en ce moment. Une colère que j’avais la sensation de devoir évacuer avant que ma tête ne fasse littéralement boum. Oui, boum… 4 lettres ridicules pour un mot sans sens mais qui ont un peu trop de sens à mon gout. Je pensais simplement à toutes ces choses que j’allais devoir faire en étant seule comme devoir annoncer à Dawn qu’il ne serait plus là ? Elle vient de perdre ses grands-parents qui l’ont prise pour sa fille pendant de longues années et j’allais devoir lui annoncer qu’elle n’avait même plus la possibilité d’avoir une image de père. Oui, ça c’est drôle sachant que j’ai croisée son père géniteur récemment mais bon. Cela ne pouvait qu’empirer la chose. Le laisser revenir pour rouvrir des vieilles blessures. Enfin bref, le bébé dans son cosy et dans le salon. Le bébé abandonné lâchement par un père aussi stupide que celui de Dawn. Le bébé que j’aime plus que tout qui se retrouvait comme moi comme elle… seule. Je pensais à lui, à elle, à moi tandis que je balançais des vêtements qu’il aurait stupidement oublié de prendre ? Abandonnant ça autant sur son passage que sa famille. Tout y passait. Je m’en fichais du reste. Oui, tout y passait. Il fallait avouer que j’agissais comme une enfant. Ou peut-être pas. Juste impulsive. Trop impulsive. Tout y passait tout simplement car j’étais… à bout de nerf. A bout de tout. Alors que certaines personnes recevaient ma colère sur leur tête, j’entendais les « Hey » d’un inconnu mais je n’en avais que faire. Plus la haine montait, plus les fringues descendaient mais mon esprit se perdait dans cette rage. Je ne réfléchissais plus. Le bébé se mettait à hurler à son tour. Je revenais balancer encore un paquet et j’entendais alors cette voix me dire que les sacs poubelles existaient. « J’y balancerais mes regrets ! », disais-je bien après le prénom qu’il disait. Le mien en passant mais on ne vous apprend rien sans nul doute. Oui, mon prénom est Billie. Flash info. Je n’en avais que faire qu’il me reconnaisse ou qu’il me connaisse ou même que cela soit le président. Obama n’a qu’à bien se tenir car même s’il passait, je lui balancerais les slips propres et usagers d’un lâche sur la tête. « Oui, c’est moi et comme tu vois, je fais encore le ménage… Si tu veux, tu peux te servir ! », lui balançais-je comme si je venais simplement de donner des fringues déjà porté à un mendiant. Non, il n’était pas un mendiant mais à en croire sa tenue et son air « je viens de me réveiller », il n’avait pas vraiment dormi dans un lit et peut-être même dans la rue. Non peut-être pas mais après tout ? Je ne connaissais rien de lui, s’il avait jeté des déchets pour finir à nettoyer un stade ? C’était peut-être lui le déchet. Ah oui, la haine des hommes peut-être ? Les hommes. Je fronçais les sourcils. « Tiens tant que je te tiens, les hommes sont tous comme ça ? Des sombres crétins qui s’en vont avec des petits mots… », je riais doucement, un rire amer. « Doux », disais-je en laissant l’amertume et l’ironie ressortir de mes lèvres. Un bête mot qui sonnait creux dans mon esprit. « Abandonnant des enfants dont un bébé comme un sombre lâche… ou alors c’est un effet de mode ? Après tout, j’en ai un qui m’a lâché au premier test de grossesse positif. Les hommes sont tous des cons… », je criais un peu trop fort le dernier mot, les cris du bébé s’accentuait. Peut-être qu’il n’avait entendu que la moitié ? A quoi bon, je m’en fichais. Comme on pourrait le dire en français : i don’t care. Mais on parle anglais, ici. Enfin soit. Je soupirais doucement. « Bref, tu veux boire son jus de fruit ? Il a une bouteille pleine ou sinon je te la verse dessus ? De toute façon, elle finira par la fenêtre donc soit tu la bois, soit tu en prends une douche… », oui, j’avais bien entendu la bouteille dans la main prête à la balancer ouverte ou fermée. C’était le jus de fruit favoris de Toby. Je ne le prenais que pour lui. Trop de sucres ajoutés pour rendre un enfant accroc. |
| | | Jonas L. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3563 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014 ❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana bros b4 hoes
| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Mer 27 Avr - 6:10 | | | billie & jonas ce soir, on s'en balance et on balance tout par la fenêtre enfin non ce matin ! Dure réveille. Dure matinée, même si on était en début d’après-midi. Je le vivais alors qu’on me balançait une horde de vêtement, bon je n’étais pas visé étant simple passant, mais y’avait mieux comme moment. En bon citoyen ou non… Je ne sais pas, je préférais la prévenir de l’existence des sacs poubelles. Autant dire que les paroles de cette fille me découragèrent… Ouais des regrets… Valait mieux que je ne dise rien quant à ça si je ne voulais pas me retrouver avec tout le tiroir sur la gueule. J’avais bien assez de ma migraine de lendemain de veille, inutile d’ajouter les actes d’une furibonde qui avait sans doute découvert que son copain la trompait. Voilà pourquoi j’aimais bien mon célibat, pas de prise de tête sans crise d’hystérie d’une meuf. C’était le bon côté des one night, une nuit et ciao. Je fus tout de même étonné de voir Billie à cette fenêtre. D’accord on ne se connaissait pas, mais c’était inutile de me parler ainsi. Je fronçais mes sourcils, posant mon regard sur le bazar qu’elle avait causé pour une raison x. « C’est bon, les vêtements des autres c’est pas mon truc. » Je pouvais encore me payer des vêtements convenables, même si je n’en avais sans doute pas l’air à cet instant. Mais qu’est-ce que ça pouvait bien foutre ? De toute manière j’étais pas là pour un concours de beauté et encore moins pour me faire juger. Tout ce dont je rêvais c’était des cachets pour ma tête et une bonne douche. Posant mon regard sur elle, je fronçais un peu plus les sourcils, qu’est-ce qu’elle me voulait ? « Merci de tous nous mettre dans le même bateau. » Voilà pourquoi je me portais si bien dans mon célibat ! « Et tu crois que vous êtes mieux les filles à tout nous mettre sur le dos. J’ignore le fin mot de ton histoire, mais c’est pas un peu trop facile de tout me mettre sur le dos comme si j’étais ces mecs ? C’est pas mon problème si t’as pas trouvé les bons mecs pour toi. » Non mais comme si j’allais me laisser parler ainsi… Je n’étais pas une merde qu’on pouvait piétiner simplement parce que madame n’est pas contente de son ménage. Tout le monde connaissait ses hauts et ses bas dans un couple, mais je n’avais rien à voir avec ses histoires à elle. Ce n’était pas moi qui l’avait largué, bon je pouvais pas dire que j’étais un saint non plus, mais j’assumais mes défauts quand c’était ma faute pas celle des autres. Passant ma main dans mes cheveux, j’allais partir, passer mon chemin pour la laisser passer sa rage sur un autre passant. Seulement, elle reprit ses paroles. Je me tournais vers elle, encore plus sceptique que je ne l’avais été jusqu’à présent. « J’aime pas les jus de fruit. » Trop sucré, je préférais les jus fraîchement presser. Bon ça c’était surtout parce que je faisais attention à ma ligne et j’évitais le sucre industriel. Bon je me faisais des spacecakes, mais ça c’était différent. C’était un effet que je recherchais et j’allais dépenser toutes les calories au gym par la suite. Le jus c’était surtout que je n’avais plus l’habitude d’en boire. Mais bon on s’en balance ! Tout ce qui venait à mes oreilles c’était les pleures d’un bébé. Je poussais un soupir. « Avant que tu me fasses prendre une douche avec ce jus, parce que je ne pense pas que tu vas te gêner comme tu me fous une étiquette de connard. Tu devrais peut-être aller t’occuper de ton enfant. Si je me trompe pas c’est un bébé que j’entends pleurer ! Ce serait dommage que finalement tu t’acharne sur un mec qui ne vaut sans doute pas que tu te déchaîne ainsi au détriment de ton enfant. Enfin, je dis ça, je dis rien. » J’haussais mes épaules, après tout elle faisait bien ce qu’elle voulait, mais pour moi si ma copine me larguait en me laissant notre môme, sans doute que je ferais tout pour que cet enfant ne ressente pas de vide au lieu de passer mes nerfs sur toutes les meufs que je pourrais croiser. Je pensais ainsi, mais le jour où j’aurais un enfant n’était pas près d’arriver ! |
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