SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés !
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sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ?
Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens
et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés !


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Jonas L. Sanchez
Jonas L. Sanchez
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
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❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA.
❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres !
❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins

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❝ pseudo : monocle.
❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors
❝ avatar : Robbie Amell
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Roses
❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥
❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.

anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique
❝ Points : 3561
❝ Messages : 2755
❝ depuis : 30/11/2014
❝ mes sujets : oliviabillietheaarizonajezabeljadeshanashana
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mot doux de Jonas L. Sanchez un Sam 21 Mar - 20:26
JONAS LUDOVICO SANCHEZ
SCÉNARIO
featuring robbie amell
Nice Swing
Aussi rempli que soit ton existence il y aura toujours de la place pour une petite bière.   
prénom ∞ Pour être entièrement franc, je sais pas ce qui est passé par la tête de mes parents en m'appelant ainsi. Mais parfois j'aimerais avoir une machine à voyager dans le temps pour aller les voir choisir mes prénoms. Le plus usuel c'est Jonas, bon vous me direz c'est pas si terrible. Certes. Ensuite, vient Ludovico, bon regarder ma gueule et est-ce que j'ai une tête à m'appeler Ludovico ? Non, j'ai l'air de tout ces mecs chelous qu'on n'accuse pas parce qu'ils sont simplement blanc et pourtant ma peau est légèrement halée. Alors pourquoi ? C'est à ce demander, mais au moins je m'appelle pas Espelho ou bien Céu ! nom ∞ Je porte le nom de mon père Sanchez. Là encore, je n'ai pas eu mon droit de veto... C'est à ce demander si je tiens pas du laitier ! surnom ∞ Les gens aiment bien trouver des surnoms au personne qui les entourent, moi je ne dis jamais non. Parfois je devrais... Le plus commun Jo ou Ludo pour ceux qui connaisse mon second prénom. On va même jusqu'à m'appeler Lulu ou Juju. âge ∞ 21 ans, je vous jure il était temps que je sois majeur ! Enfin, je ne suis plus dans certaine illégalité. date de naissance ∞ 4 juillet 1993, je vous raconte pas les plaisirs lors de ce jour de fête ! lieu de naissance ∞ Je suis né en Louisiane à la Nouvelle Orléans, ce que je fou à Pasadena ? Vous le saurez bien assez tôt. statut matrimonial ∞ Célibataire, j'ai encore le temps pour trouver. Pour l'instant, je me concentre surtout pour avoir du plaisir et peut-être que viendra un temps où je voudrai être sérieux, mais se ne sera très certainement pas demain. orientation sexuel ∞ Je suis hétéro, j'ai jamais essayer de passer de l'autre côté. Les filles sont déjà assez complexe comme ça, si je dois en plus me préoccuper ou gérer des hommes, je serai dans de beau drap ! budget ∞ Modeste, mais je peux me faire un bon surplus de pactole en vendant mes spacecakes. Je vous jure, ils sont extra vous n'en n'aurez jamais mangé d'aussi bon ! métier ∞ Je suis étudiant et j’ai commencé mon master à l’automne dernier. Je ne suis pas dans une fratrie par choix, mes premières années j’étais dans l’une d’elle. Seulement, cette année j’ai fait le choix de vivre dans un petit appartement. Ma sœur est persuadée, que je ne m’implique plus autant depuis et elle a peur que je n’obtienne pas mon diplôme en Génie Urbain. hobby ∞ Gardez en tête que je suis à peine adulte et qu'on est au 21ème siècle ! Chiller dans ma chambre, être sur skype, faire des selfies avec la duckface ou non... Alimenter mon instagram, jouer sur mon portable et nourrir mes animaux sur Farmville. Poster des nullités sur Facebook. Sortir dans des bars et montrer ma carte avec fierté, même si j'ai toujours ma fausse carte dans un tiroir de ma commode. M'inviter dans des party, chanter sous la fenêtre d'une fille avec une vieille stéréo (Qu'est-ce qu'un mec ferait pas pour impressionner une nana ?). Le sport en général, la musculation surtout, faut bien que j'aille de quoi alimenter mes réseaux sociaux ! qualités ∞ Cajoleur : Je ne dis jamais non à de l'affection physique et je ne parle pas forcément de sexe. Je serai le premier à donner un câlin à quelqu'un que je vois triste, même un inconnu. Protecteur : Je suis du genre à m'inquiéter pour un rien si je vois une personne de mon entourage soucieux. Ça me rend aussitôt protecteur, je veux la soutenir, la protéger et effacer ses peines. Jovial : Il est rare qu'on puisse me retirer un sourire du visage. J'aime bien aussi fredonner des airs quelque peu « quitch » quand je vois ma journée en rose. Clownesque : J'aime bien taquiner, mais là je ne parle pas de cela. Je suis plutôt le genre de mec à faire un vrai fou de lui sans se soucier du jugement qu'on peut me porter. Je n'ai pas peur du ridicule, mais je ne suis pas maladroit pour autant. Attachant : On me dit attachant... Personnellement, je ne sais pas trop je ne suis jamais rester bien longtemps attaché à une personne ! Mais comme je suis attentif et démonstrateur, on s'attache à moi sans que je m'en rend compte. Un jour je ferai payer le loyer à ceux qui s'agrippe à moi ! Fêtard : Mon agenda est overbooké de party, qu'importe la fête j'y serai même si ça consiste à animer une bande de petit vieux pendant un bingo Je sais que j'abuse souvent de l'alcool, mais c'est si bon ! défauts ∞ Fainéant : Comme j'aime bien rester avachi dans le canapé ou bien dans mon lit, je finis par prendre du retard. J'ai aussi la mauvaise habitude de tout reporter à demain. À croire, que j'aime ressentir l'effet de l'adrénaline de la dernière minute. Curieux : Certain voit ça comme une qualité, pour moi ou du moins en me concernant c'est loin d'être une qualité. Je serais un parfait détective, je me mets toujours le nez où il ne faut pas. J'aime savoir le dernier mot de l'histoire, au point que je vais lire les dernières pages d'un livre avant de commencer par le chapitre un. Manque de tact : Parfois, les mots se mélangent dans ma bouche et je finis par dire n'importe quoi. Je ne compte plus le nombre de verre que je me suis prit en plein visage, parce que j'ai dit un commentaire qui n'aurait pas du sortir. Ne dite jamais à une fille, qu'elle est un peu enrobé ! C'est aussi terrible, que de lui dire qu'elle est grosse. Macho : Je ne le fais jamais de mon plein gré, seulement il m'arrive de l'être. Un peu comme n'importe quel homme. J'essaie contrôler la bête, mais parfois elle sort tout de même de sa cage. Plaintif : Bien que j'ai toujours un sourire, je suis aussi du genre à rouspéter pour une connerie sans valeur. C'est plus fort que moi encore. Sans me prendre pour quelqu'un de supérieur, des fois je trouves tellement les gens idiots. Mais on se regarde pas toujours... autres ∞ Je vais vous dire un premier secret, ne m'en faite jamais je ne tiens jamais bien longtemps avant que ma langue ne se dénoue. Malgré cela, les gens persistent en m'en dire ! Dude, apprenez de vos leçons ! Voici le second, je ne suis pas pudique bien au contraire. Faites attention si j'habite près de chez vous, j'ai aussi tendance à être somnambule. Donc je m'invite chez les voisins pour squatter leur pelouse nu comme un verre ou bien j'entre aussi chez les gens. Je ne suis pas kleptomane, donc vous n'avez rien à craindre. Au pire des cas, on partagera le lit ! Troisième secret, promit c'est le dernier. Quand je subis du stresse en grande puissance, j'aime bien me rouler un joint « chill » chez moi. Mais oubliez, je serai le premier à cuisiner un spacecake ou à me saouler. Je suis juste pas un très grand fumeur. Ce qui n’est pas un secret, je parle trois langues. Ma langue maternelle est l’anglais, mais je parle aussi l’espagnol et le français, mais j’ai un petit accent du bayou de la Louisiane (mais je ne sais pas parler Créole). Non, mais il est pas vraiment présent quand je parle le français en dehors Louisiane, on remarque surtout l'accent anglais qui s'y mélange parce que je ne le parle pas assez souvent !

   
   
Te considères-tu proche de ta famille ? Proche de ma famille, je ne pourrais pas vraiment y répondre. Je suis proche de ma sœur, mais en dehors de cela, je ne porte pas vraiment d’attention à mon père. Il m’arrive parfois de douter de son innocence, mais je n’arrive pas à le regarder dans les yeux sachant qu’il a manqué toute ma vie jusqu'à présent. Ma mère étant décédée, alors que j'avais à peine 3 ans il ne me reste aucun souvenir d’elle, sauf quelques photos. J’aimais bien ma grand-mère, mais comme elle nous a quittés j’ai appris à vivre avec ma tante. Je dois bien admettre que j’aimerais bien une vie plus sage, plus tranquille, un passé moins sombres et des souvenirs meilleurs. Une mère présente tout comme un père, je l’ai souvent rêvé. Mais voilà, on n’a pas tout ce que l’on désir dans la vie. Donc j’ai de bon lien avec certain, plus vague avec d’autre, mais malgré mes souhaits, je vis bien avec cela. Veux-tu fonder une famille ? En toute franchise, en ce moment je n’ai pas la tête à cela. Je vis ma vingt-et-unième années, je suis trop jeune pour le mariage et avoir des enfants. Je sais à peine comment faire cuir des crêpes, alors élever un enfant, je n’ose pas imaginer. En plus, pour cela on doit être deux. Et pour l’instant, je suis toujours célibataire. Alors le jour où 1 + 0 seront une possibilité pour fonder une famille, revenez me voir on en discutera ! Pour l’instant, je vais me concentrer à réussir des crêpes… Enfin façon de parler, je suis quand même doué en cuisine. Vis-tu toujours chez tes parents ou as-tu ton indépendance ? J’ai quitté la maison quand je suis rentré à l’université. Je voulais vivre la vie dans un campus, connaître la sensation d’être dans une fraternité. Désormais, que je sais ce que s’est j’ai fait le choix de me prendre un appartement. Ainsi j’essaie de montrer mon indépendance à ma famille, que je suis un grand garçon et que j’ai besoin de personne. Surtout pas des mecs qui font un peu trop la fête… Je la fais déjà assez comme ça ! Malgré tout, il m’arrive de retourner voir mes frères et généralement je fais la fête avec eux. La seule chose qu’y ait changé c’est que je les vois plus se promener nu… quoique… As-tu toujours vécu à Pasadena ? J’ai déménagé de la Louisiane en 2009 quand mon père a été transféré de prison. Je n’avais pas trop mon mot à dire, j’ai suivi ma sœur sans poser de question. Je savais qu’il y avait Olivia, la première fille de mon père là-bas, mais là encore ça ne me dérangeait pas. Tout ce que je voulais, c’était ne pas être seul dans cette ville qu'est la Nouvelle Orléans. C’est donc en gentil petit frère que j’ai suivi le troupeau (constitué de ma sœur, mais osef) pour aller vivre chez ma tante. Il arrive que la Nouvelle Orléans me manque, mais quand je ressens trop les blues j’embarque dans le premier bus qui m’y ramène. J’y passe quelques jours et je reviens frai comme une rose ! Comment définirais-tu le mot "famille" ? Certain voit la famille comme les liens du sang, moi je la vois comme l’union de deux personnes. Je ne parle bien sûr pas de mariage, mais la complicité qui peut exister entre deux personnes. Certes, j’ai un bon lien avec ma sœur, mais si je regardais le reste de ma famille je ne saurais dire. Je suis plus proche de certain de mes amis, que d’eux. Alors, je peux conclure que mes amis sont aussi de ma famille. Ce sont des personnes avec qui j’aime être, que je me sens bien. Je n’ai pas peur de faire quelque chose de déplacé et qu’on me le reproche aussitôt comme ma famille pourrait le faire parfois. J’ai des amis qui en connaissent plus long sur ma vie que mon propre père. Ma vision de la famille, c’est seulement des gens avec qui je me sens bien. Qu'aimes-tu en particulier ? Vous avez sans doute compris que ma vie est faite de plaisir et de fête, donc j’adore m’amuser. Que ce soit dans une fête de l’université ou non, que ce soit dans mon canapé avec mon best complètement stone à jouer à des jeux vidéo ou à regarder les Télétubbies (ils ont de la classe ! Dans ma vision de mec bourré ou stone !). Je trouverai toujours le moyen d’avoir d’un fun. En fait, il m’en faut très peu. Donné moi un élastique à cheveux et je trouverai mille-et-une façon de m’amuser. J’aime aussi les réseaux sociaux, mais ça c’est normal… Tout le monde aime ça à notre époque ! La musculation, suer a quelque chose de sexy. Non, je plaisante. J’aime tout simplement prendre soin de moi, faire attention, mais je ne dirai jamais non à un bon burger bien juteux et dégoulinant de graisse. Tout comme je peux avoir l’air d’un enfant en trempant mes cookies dans un verre de lait. Je ne suis pas un excellent danseur, mais j’aime bien ça. Je sais que je fais rire les gens et je m’en moque. J’aime tout le monde et viva la vida ! Que détestes-tu en particulier ? J’ai en horreur l’idée qu’au petit matin je peux me retrouver n’importe où et cela sans vêtement. Être somnambule n’est pas toujours facile, j’ai essayé de m’attacher à mon lit, mais rien à faire je fini toujours par me lever. J’ai de la chance si on me retrouve coucher dans le frigo ! Je n’aime pas non plus qu’on me pointe du doigt parce que je suis le fils de Javier Sanchez, l’homme qui aurait assassiné sa femme. Personnellement, je n’ai rien à voir avec tout cela et bien que j’ignore la vérité tout me fait douter. Parfois, j’aimerais croire en son innocence, mais je me rappelle ces dures moments à l’école où les enfants se moquaient de moi, me pointait du doigt et me jetais dans la boue. Je n’aime pas ceux qui jugent avant de connaître, quoique seulement juger c’est de trop. Je n’aime pas non plus l’idée de ne pas avoir de souvenir de ma mère. On me raconte des choses à son sujet, mais pour moi elle m’est inconnue. Ne pas avoir pu partager certain moment avec mon père, ça m’est toujours resté sur le cœur, même si j’essaie de ne pas le montrer. Je déteste le kraft diner, ça a un goût horrible ! Sans compter que je peux pleurer si je fais brûler mes spacecakes !   

   
   
Pseudo ∞ monocle. Prénom ∞ Alice, même si on aime m'appeler Lilice. Pays et ville ∞ Au pays des merveilles qui se trouve dans ma tête, sinon géographiquement je viens de Montréal, Canada. Age ∞ 24 ans (bientôt le quart de siècle !! Sad ). Comment tu es arrivé ? J'ai suivit le lapin blanc  Embarassed Fréquence de connexion ∞ Tout les jours avec au moins un de mes accounts. Dose d'amour ∞ Je vous aimes tous Surprised Arrêtez d'en douter !!! Crying or Very sad
+ Cookie gratos si vous me dites bienvenue SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 1541849590  SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 2258407240

   
Code:
▬ <pris>ROBBIE AMELL</pris> → [i]jonas l. sanchez[/i]
   

   


Dernière édition par Jonas L. Sanchez le Jeu 7 Mai - 17:54, édité 12 fois
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mot doux de Jonas L. Sanchez un Sam 21 Mar - 20:27
MY STORY IS ANCHORED ON OUR SOUL

   
if you follow the rules, you miss all the fun.
   
« Le père de Jonas c’est un méchant ! » J’étais assis à une table dans la cantine croquant dans mon sandwich, quand un gamin de ma classe m’avait sortie ces paroles. Je commençais à les entendre souvent, en fait depuis que j’avais commencé l’école. Pourtant, je n’étais âgé que de trois ans quand toute cette histoire est arrivée. Je n’avais pas de souvenir réel de la mort de ma mère, seulement les ouï-dire de la famille et les commérages de notre entourage. J’ai toujours senti cette incertitude vis-à-vis de ce qui s’est passé. Innocent ou bien criminel ? Mais à la petite école, je me posais pas plus de question que cela. J’étais jeune et pourtant ça commençait à m’affecter. J’avais déposé mon sandwich dans ma boîte à lunch et m’était levé. Mes joues tout comme mes oreilles avaient une teinte rougeâtre, même le bout de mon nez… Allez savoir pourquoi cet endroit. Bref. En moins de deux je me retrouvais sur mon « camarade » de ma classe. Je ne me gênais pas pour le rouer de coup, j’entendais la voix de Pétala qui me criait de m’arrêter. Mais j’en avais que faire, frapper me faisait un bien fou, j’en avais simplement besoin. Ce n’était pas la première fois que je perdais le contrôle et une fois de plus je me retrouvais devant le proviseur. Debout près de ma grand-mère je regardais mes pieds. J’avais de joli basket spiderman qui illumine lorsqu’on marche. J’en étais fou. Je sentais aussi une douleur au niveau de l’œil gauche, une jolie ecchymose qui entourait mon œil bleuté. « Jonas tu comprends que ce que tu as fait n’est pas bien ? » Je gonflais mes joues, en continuant de regarder le sol comptant les tâches noires sur le carrelage. Je ne voulais pas la regarder, elle avait beau être la personne la plus gentille que je connaisse je savais qu’elle regard elle portait sur moi. « Jonas ? » Je me tournais un peu sur le côté, je sentais le regard du proviseur sur moi. Lui, je ne l’aimais tout simplement pas. « Oui mama. » J’avais fini par parler de ma voix faible et de petit garçon de six ans. Oui j’avais six ans. « Je sais que votre petit fils trouver cela dure. Je ne suis pas indifférent, mais s’il veut rester dans notre établissement il devra retenir sa colère. La violence est proscrite ici. » Je relevais mon regard vers l’homme assis dans sa chaise en cuir. « C’est lui qui a commencé ! » « Jonas ! » Je ramenais une fois de plus mon regard sur mes souliers. Mais, j’en avais marre de ces soi-disant amis qui me crachaient au visage. Je ne suis pas mon père, je ne serai jamais comme lui. Pétala a beau me dire qu’il est innocent, je ne sais pas quoi en penser. Pour moi c’est peut-être un meurtrier, mais avant tout c’est quelqu’un d’absent. Une personne qui ne fait pas partie de ma vie, qui n’est jamais-là qui ne me console pas quand je fais un cauchemar ou qui me rassure en me disant que ce n’est rien si j’ai fait pipi au lit. Je sentais les larmes monter, je reniflais en essayant d’être discret. Une larme roulait sur ma joue, puis une seconde. Je prenais ma manche pour essuyer le tout. Je sentais alors une main chaleureuse me caresser le dos. Non je n’ai pas de père, mais j’ai une mamie pour le remplacer. Je n’ai plus de mère, mais j’ai une grand-mère pour me sourire et trouver les mots pour me réconforter. Mais je ne pouvais pas imaginer qu’un jour elle aussi elle me quitterait, comme les autres m’avaient quitté.


Le ciel était sombre, la pluie tombait en cette période de moisson. Je me tenais devant le trou qui avait été creusé pour mama. La pluie tombait sur mes épaules, j’avais alors dix ans. Mon monde venait de s’écouler dans cette image, un sourire qu’elle me faisait lors de ce dernier petit-déjeuner sur la terrasse de sa demeure. « Quand apprendras-tu Jonas qu’il ne faut plus te bagarrer ? » Depuis mes six ans, je n’avais pas vraiment changé. Je me bagarrais au quart de tour, toutes les occasions étaient bonnes selon moi. J’avais la lèvre fendue et un hématome dans la région de mon os zygomatique droit. Elle me tendait une boîte de céréale avec un large sourire, j’entendais Pétala arriver. « Jonas t’as encore volé les batteries de mon cadran pour ta manette de console ! » Je fronçais mes sourcils et au lieu de répliquer à ma sœur, j’avais versé les céréales, puis le lait. « Non, mais tu te rends pas compte j’ai un oral aujourd’hui et je voulais réviser avant les cours ! » Plongeant ma cuillère ma mon bol, je prenais une immense bouchée avant de la regarder tel un écureuil faisant ses provisions pour l’hiver. Je lui souriais, laissant le lait couler entre mes dents en petit jet irrégulier. « T’es vraiment con ! » Je mâchais avant de lui montrer ce que j’avais dans la bouche et elle me donnait une claque derrière la tête. Je ne pouvais m’empêcher de rigoler. Mama nous regardait en secouant la tête de découragement. « Allez dépêchez-vous si vous ne voulez pas manquer le bus pour l’école. », avait-elle dit avec un sourire chaleureux.
✯✯✯

Assis dans le fond de la classe, je regardais la pluie couler dans des chemins sinueux sur la vitre de la fenêtre. Je poussais un soupire en mâchouillant l’efface rose se trouvant au bout de mon crayon à mine. Mon enseignante, Mrs. Lemieux nous donnait un cours de mathématique. À part les bagarres, je n’avais pas de soucis à l’école. J’étais un élève studieux qui avait de la répartie. Bien que je ne porte pas toujours mon regard sur le tableau d’ardoise, aussitôt qu’on me posait une question je répondais à celle-ci sans bafouiller. Ça avait le don d’en énerver certain, alors que d’autre me laissais tranquille en capitulant. La porte de notre classe s’ouvrait pour laisser apparaître un homme au ventre prédominant. Je tournais ma tête, j’étais comme n’importe quel enfant harpé par la curiosité. Des chuchotements et Mrs. Lemieux me fit signe de venir. Je fronçais mes sourcils me levant. Je sentais mes bras trembler comme mes jambes qui semblaient en cotons. « Suit ce Monsieur, il y a quelqu’un a la réception qui t’attend. » Je laissais donc tout en plan, mon cahier toujours à la page des multiplications. Je me frottais le bras en silence, alors que l’homme me conduisait je ne savais à qui. Et si c’était mon père qui venait me chercher pour aller jouer au football ? Se faire quelques passent avec ce ballon ovale dans un parc. J’arrivais découvrant Pétala qui pleurait sur une chaise dans le couloir. Je m’arrêtais en voyant Charisma. Ma tante. Elle me souriait. Je savais alors un pas de reculons. « Jonas. » Je connaissais ma tante, Mama voulait qu’on la connaisse, qu’elle soit proche nous. Qu’on ait un contact avec notre famille. Seulement, quelque chose n’allait pas. Elle n’était jamais venu à l’école, encore moins en plein milieu des cours. Je vous l’avais dit, j’étais un gamin futé. « Jonas, je suis désolé. C’est Mama. » Mes yeux s’exorbitèrent, je regardais ma sœur cherchant une réponse qu’elle ne semblait pas pouvoir me donner. Sans leur demander leur avis, je partais en courant, bousculant ma tante au passage. J’ouvrais la porte qui menait dehors, la pluie tombait dans un torrent. Je courrais dans cette rue à l’allure coloniale. J’arrêtais ma course lorsqu’une voiture failli rentrer en collision avec moi. Les mains sur mes cuisses je me penchais pour regarder le sol tout en reprenant mon souffle. Les larmes déformaient mon visage, Charisma n’avait pas eu besoin de m’en dire plus j’avais compris par moi-même. Je ne désirais seulement pas entendre la fatidique phrase « Elle se trouve dans un monde meilleur. ». Qui savait réellement où elle se trouvait ?
✯✯✯

Oui, il pleuvait comme ce fameux jour, je me tenais devant ce trou dans un costume noir. Ma sœur était cachée sous un parapluie. On avait tenté de m’en passer un, mais je l’avais violemment repoussé. On avait fini par comprendre que je ne désirais rien, car ce que je voulais le plus il m’était impossible de le ravoir. Sans elle qui serais-je devenu ? Elle avait été présente. Au bout d’une heure sans bouger, Pétala avait glissé sa main dans la mienne. « Viens Jonas on rentre. » J’avais tourné ma tête vers elle, son visage était ravagé par les larmes. Je la prenais donc dans mes bras. C’était le premier moment où je me montrais affectueux avec elle depuis la mort de Mama. À l’exposition du corps dans notre salon, j’étais resté silencieux les jambes replier contre moi la joue sur mes genoux. Tout ce que j’avais fait c’était regarder l’extérieur. Mon visage était encore plus couvert de coup et tout ce que les proches de ma grand-mère trouvaient à murmurer c’était leur mécontentement face à mon attitude. Qu’est-ce que ces vieilles biques pouvaient comprendre ? C’était aussi ce jour-là que Charisma nous avait dit qu’on allait vivre chez elle. Tant de choses s’étaient passés, mais c’était aujourd’hui les pieds au rebord de ce trou où se trouvait son cercueil que je partageais ma peine avec ma sœur.


Juin 2009. « C’est moi qui m’assoit en avant ! » Je regardais Pétala avec un air de défi, j’étais plus grand qu’elle et rendu à quatorze ans j’avais l’apparence d’une échalote trop grande et disproportionné. Je n’allais pas faire le voyage assis sur la banquette arrière, j’allais me retrouver plier en quatre. Elle me souriait. « Ça suffit vous deux ! Jonas tu monte à l’arrière et on changera plus tard. » Charisma me regardait avec cet air autoritaire qui me fit claquer ma langue dans mon palet. Ma sœur l’air triomphant s’amusa aussitôt à passer sa main dans mes cheveux look hérisson. Je m’offusquais aussi dans une plainte qui en disait long. « Mais arrêt, on touche pas à la coupe de cheveux ! » Elle éclata de rire et je poussais un soupire. En fait, ça ne dura pas je calais une casquette sur ma tête laissant quelques piques durcis par le gel sortir devant. Une paire de lunette de soleil à la mission impossible, j’allais m’asseoir à l’arrière. En fait, on déménageait dans une nouvelle ville. Pourquoi ? Cet homme qui se devait être mon père avait été transféré. Où ? Pasadena, Californie. J’étais l’élément déclencheur de cette décision, quand ma tante nous avait annoncé la nouvelle, j’étais resté impassible. Ne le voyant pas vraiment, puisque je n’allais pas voir Javier au parloir, je n’avais pas d’intérêt particulier. Je n’avais simplement pas le courage de me retrouver face à mon géniteur qui avait laissé un vide en moi. Pourtant, je m’étais entendu dire. « Et si on déménageait là-bas ? » J’avais eu vent de ma demi-sœur, ces rares fois où j’avais été le voir, mais que j’étais silencieux près de ma tante ou ma sœur. Il tentait parfois de me parler, mais je ne trouvais pas les mots à dire. Et puis, je me disais que ça pouvait être une bonne idée de me rapprocher de cette femme. Je savais aussi que Pétala ne l’aimait pas particulièrement, mais j’étais rendu assez grand pour prendre mes décisions. Donc, on partait tous les trois pour les palmiers du Sud.

✯✯✯

Puisqu’on avait déménagé en juin, j’étais arrivé pendant les vacances d’été. Deux mois sans savoir quoi faire, j’avais donc aidé dans la maison tout en explorant ma nouvelle vie. Ce qui avait de plaisant ici, c’était que personne ne connaissait mon passé. Certains avaient peut-être entendu la nouvelle dans les journaux de 96, mais personne ne pouvait savoir que j’étais son fils. Ça me libérait d’un poids, car à part toute cette histoire je n’avais pas à me plaindre de ma vie. La rentrée arriva plus vite que je ne l’aurais cru possible. « Regarde le nouveau. » Ces commérages étaient doux à mes oreilles, je ne disais rien préférant simplement sourire. J’avais l’impression de vivre dans un film pour adolescent où les étudiants se tournent tous sous le passage du personnage principal. Je me trouvais une place de quater back dans l’équipe de football du lycée. J’avais de bonne note, ce qui semblait en étonné plus d’un. J’étais tout simplement devenu populaire. Je sortais même avec la capitaine des cheerleaders, oui je sais c’est cliché, et alors ?  Malgré cela, j’étais sympa avec tout le monde. Je n’avais pas oublié mes années difficiles et cette envie de ne plus être loser. Il me suffisait donc de parler avec la solitaire, le geek ou toute autre étiquette qu’on pouvait affubler les gens. Leur sourire me rendait d’autant plus heureux. J’avais ce titre de mec populaire, mais je voulais simplement égale. Seulement, c’est là que je commençais aussi à découvrir d’autre plaisir à la vie. Caché sous l’estrade du lycée, il m’arrivait de fumer un joint avec des plus âgés. Et puis, qui pouvait résister aux party qui étaient organisés ? Je ne faisais donc pas exception à ma génération. Et je tombais dans le vice de l’alcool, des petits plaisirs charnels et les expérimentations de mon âge.  
✯✯✯

PAF ! Je recevais une gifle qui me faisait écarquiller les yeux débalançant la couronne que je portais sur ma tête. J’avais été nommé roi de ma promotion avec Bella ma copine de lycée. Oui, contrairement à bien des choses qu’on peut penser de moi, je peux être sérieux. Deux années ensembles, mais ça prenait fin ici dans ce bal. « Écoute, on devrait rompre. T’es une fille géniale, mais soyons sérieux, tu ne pensais pas passer ta vie avec moi ! » Elle n’avait décidément pas aimée ma petite nouvelle. J’étais sérieux, je me voyais pas passer ma vie à aimer mon amour de lycée, j’avais besoin de voir plus loin. Elle ne semblait pas le percevoir ainsi. Tout comme ces amies qui passèrent une après l’autre pour me gifler. La bouche béate, je les regardais sans rien dire attendant que mon supplice se finisse. Je poussais un soupire me passant une main dans les cheveux en retirant cette couronne de plastique de ma tête. Une main se posa sur mon épaule, Ethan avait un large sourire. « C’était magique. Tu aurais dû faire ça plus tôt ! » Je le regardais plissant mon regard. Parfois, même souvent, j’avais envie de mettre mon poing dans sa gueule. Ce mec était un abruti de première. Tout ce qu’il voulait c’était s’envoyer en l’air avec le plus de fille possible, mais sans qu’il me le dise j’avais compris qu’il était amoureux de Bella. J’aimais bien cette fille, mais après les vacances j’entrais à l’université. Je voulais vivre de nouvelle aventure sans me sentir égorgé. « En tout cas, t’aurais pu attendre l’après bal. Te la taper une dernière fois au moins. » Je poussais soupire, déposant la couronne dans ses mains. « C’est bon ça va ! Si t’es pour me faire la morale, alors que t’es même pas foutu de t’avouer qu’en fait ça t’arrange. Fiche moi la paix. » J’entrechoquais mon épaule avec la sienne en le laissant en plan. Je n’avais pas envie d’aller à cet après bal. Déboutonnant mon veston, je me dirigeais vers la sortie tandis que la musique continuait de jouer. Je tirais sur le nœud de ma cravate que j’avais acheté pour aller avec la couleur de la robe de Bella. Cette dernière se posta devant moi. « Jonas tu ne peux pas me faire ça ! » Je tentais de la contourner, mais rien à faire, elle se postait devant moi. « Écoute, c’est fini ! » Je réussissais à la déjouer, je n’avais pas envie de la voir me sortir une tirade comme quoi elle avait déjà planifié notre futur. Tout ce dont j’étais persuadé, c’était qu’en septembre j’allais étudier l’industriel urbain et que dans quelques minutes je serais devant la porte de mon meilleur ami pour jouer à la console.


Mon choix était fait, je décidais d’aller sur le campus. La vie d’étudiant n’est pas la même sans les fraternités. J’avais donc postulé dans plusieurs d’entre elles, en espérant tout de même atterrir dans une avec une bonne réputation, après tout j’étais boursier. Mama m’avait légué de l’argent, mais j’avais tout de même besoin d’une bourse pour entrer à l’université. Après plusieurs entrevues, les Kappa m’avaient rappelé. J’étais excité comme une puce contrairement à mon coloc de chambre qui semblait n’avoir rien à battre d’être ou non dans une fraternité. Je savais qu’on m’avait choisi pour mes aptitudes physiques, mes notes et sûrement mon physique. Mais qu’importe. Je préférais me dire que c’était pour les deux premières raisons. « Si vous êtes ici, c’est qu’on vous accepte dans notre fraternité, seulement vous devrez prouves votre allégeance au Kappa. » Je déglutissais, ne m’attendant pas vraiment à la suite. On les voyait alors remonter une capuche pour cacher leur visage. « Maintenant allez dehors ! » Je m’exécutais, poussant un soupire. Faisais-je la bonne chose ? Une fois dehors, on nous bandait les yeux, lorsque je ne voyais plus rien je sentais un courant d’air sur ma peau. On retirait finalement le bandeau qui couvrait nos yeux. « Vous devez revenir vêtu de la tête au pied, mais cela seulement en empruntant des vêtements de femmes. » Comme tous les autres, je restais sans voix. Au coup de départ, je me mettais en quête de trouver des vêtements. En fait, étonnement ce fut plus facile que je ne l’aurais cru. On nous avait même donné un appareil photo pour qu’on ait une preuve à l’appui et bien entendu on devait embrasser la jeune fille qui nous donnait une pièce de ses habits. Je fus le premier à revenir chez les Kappa. J’étais vêtu d’un string qui dépassait de la taille de la jupe à volant, un soutif rose flash et un débardeur blanc transparent qui était au finale plus que moulant sur moi. À mes pieds, j’avais des escarpins à talon aiguille qui me faisaient un mal d’enfer. J’avais réussi et chaque fille m’avait donné leur vêtement sans trop poser de question. Seulement, à la fin de la journée on était peu à avoir réussi. En m’installant dans ma chambre, je regardais ce petit bout de papier que j’avais caché. Deux filles m’avaient refilés leur numéro de téléphone. L’université promettait d’être inoubliable.

✯✯✯

« Dude ! C’est l’initiation des Deta ! Elles s’en viennent ! Grouille ! » Étendu dans mon lit, j’ouvrais un œil. Je ne dormais pas, j’essayais simplement de faire abstraction du marteau piqueur qui martelait ma cervelle. Je me redressais dans mon lit, regardant mon « frère » qui arborait un large sourire. Le plaisir avec les Deta c’était que toute ces filles avaient le chic de passer pour les princesses du campus et était relié au Kappa. C’était ma troisième année et j’avais découvert que finalement c’était la même chose à chaque année. Elles devaient venir chercher quelque chose chez les Kappa, on n’avait pas le droit de les aider. L’année dernière c’était le déodorisant, une fois trouvé le garçon à qui ça appartenait devait aider l’initier dans la prochaine épreuve, sinon elles se retrouvaient obligées de nettoyer notre salle de bain. Les mecs adoraient ce moment, aussi frétillant que des jeunes filles qui allaient rencontrer leur prince charmant, ils s’étaient tous précipité au salon. Volant une clope à et une bière à mon frère qui était venu me chercher, je descendais à mon tour. « Toi qui sort avec une Deta, tu sais c’est quoi qu’elles doivent trouver cette année. » J’haussais les épaules, prenant une gorgée de bière. Glissant la clope derrière mon oreille, je sortais sur le balcon. Cette année, c’était à moi de superviser avec d’autre mec. Après tout, on ne voulait pas non plus avoir tout un foutoir. J’allumais la clope en prenant appui sur le garde-fou, la nuit était tombée, mais tu pouvais ressentir l’euphorie des initiations dans les environs. Je voyais le groupe de jeune fille marchant sur le trottoir, les initiées semblaient avoir été tirées d’un profond sommeil. À leur tête, une rouquine vêtue soigneusement, elle gravit les marches et vient passé une main autour de ma taille. Je lui souriais, avant de porter mon regard vers le groupe. « Tu devrais arrêter du fumer. » « Hum.. » Je détestais lorsqu’elle se prenait pour ma mère, c’était une copine que je voulais pas une autre pseudo mère. Elle se retourna pour regarder le petit groupe. « N’oubliez pas, vous devez ramener un boxer propre. Vous pouvez entrer sans gêne dans leur chambre. » Je manquais de m’étouffer avec la boucane de ma cigarette. Un quoi ? J’avais bien comprit. Je regardais Lizzy avec de grands yeux. « On voulait pimenter la chose… » Pour pimenter, elles allaient surtout allumer une dizaine de mâle. Ces pauvres filles semblaient tétanisées en rentrant. Pourtant, au bout d’une dizaine de minutes elles étaient tous descendues avec ce qu’on leur avait demandé. Les anciens étaient tous au salon ou dans les environs à boire et flirter, quant à moi j’avais mes bras tour du cou de ma copine mon menton appuyé sur sa tête. « C’est bon elles sont toutes en bas ! » Chacune d’elle brandissait leur trouvaille avec timidité. On faisait le tour pour trouver leur propriétaire et je finissais par reconnaître le mien dans la foulé. Je savais que ça ne plaisait pas à Lizzy, mais c’était elle qui avait instauré ce choix. « En compagnie du garçon, vous devez aller commander pour deux dans un restaurant. Seulement, les mecs vous devez être en caleçon. » J’entendais les rires amusés, mais je ne pouvais m’empêcher de secouer la tête. « Euh… J’ai pas de boxer sur moi là ! » Je tournais la tête, retenant un éclat de rire en voyant la tête déconfite de Ted. Je prenais mon boxer de la main de la fille près de moi et le lançait sur Ted. « Jonas ! » « Quoi ? Je lui donne le mien ! » Elle me lança un regard noir. Bof. Je n’allais pas me priver, c’était son idée. Je baissais mon pantalon et retirait mon t-shirt. Gardant que mon caleçon, je tendais mon bras à la jeune fille. « Ça tombe bien, je meurs de faim ! » Je voulais du coin de l’œil Lizzy bouche bée. Autant dire qu’après ça n’a pas duré longtemps. Elle me lâchait pas la grappe avec cette histoire, j’en pouvais tout simplement plus…


« Bordel Jazzy ! Ton foutu clebs a encore mangé mes baskets ! » Je poussais la porte de sa chambre sans même m’annoncer, brandissant dans mes mains mes nikes flambants neuves. J’étais furieux, depuis l’arrivée du toutou tout partait en vrille et elle avait la manie de s’en prendre qu’à mes affaires. Princess, cette petite colley de deux mois avait décidée de me faire vivre un enfer. Plusieurs de mes baskets avaient péris sous ses crocs, tout comme un livre de mathématique de l’université, mes headphones beats, ma tablette graphique se retrouvait avec un coin mâchouillé et la souris de mon ordinateur avait littéralement disparue. Avalé ou non, cette bestiole en était la cause de cette mystérieuse disparition. Je relevais mon regard pour observer ma colocataire, oui je partage mon appartement avec une fille… Mais n’allez pas croire que c’est facile. Dans la pharmacie de la salle de bain, il y a désormais des tampons, des rasoirs jetables et mille-et-une sortes de crème sans compter le maquillage. Moi qui voulais un coloc, je me suis bien fait avoir, mais j’ai été faible. Très faible. Ses yeux bleus, ses longs cheveux blonds, ses courbes… Bref vous comprenez, j’ai donc pas besoin de vous faire un dessin. Je me suis fait avoir comme un débutant. Le truc c’est que ça pourrait être sympa s’y se passait de quoi entre elle et moi, mais non. J’ai droit à la fille chaste. La galère ! Donc, je relève mon regard pour la regarder m’arrêtant net dans les râleries qui n’allaient pas tarder. Je la découvrais vêtue que d’une serviette, elle devait sortir de la douche. « Euh. » Je secouais la tête, tournant pour ainsi partir, je prenais la commode en pleine tronche. Me prenant le nez en louchant, je sortais de sa chambre pour revenir à la mienne. Quand je disais que c’était la galère. J’ouvrais la porte de ma chambre, laissant sortir le chien qui s’était faufilé sans que je m’en rende compte. Un nuage de plume flottait dans la pièce, poussant un soupire, je me laissais retomber tête première sur mon lit. Mais dans quoi est-ce que je me suis embarqué ? Je vis avec une fille canon, je perds mes moyens quand je la vois vêtue d’une serviette et en plus je dois faire attention à tout. Je dois baisser le siège de la toilette, ramasser mes affaires, sans compter que roter et vivre comme un homme c’est fini. J’ai littéralement un blocage, devant ma sœur j’en ai rien à faire, mais elle c’est simplement différent. Je crains de me réveiller nu dans son lit… Ouais, je peux compter sur mon somnambulisme pour pimenter mon calvaire. Pourtant, d’habitude je n’ai pas de souci avec les filles, j’ai même un certain succès. Mais là, je patauge dans la semoule. J’ai l’air d’un idiot de première. Je finis par me retourner regardant le plafond. Je veux retrouver ma vie de mec ! Et le pire dans tout ça c’est que cette fille est géniale… Je mettais finalement mes mains sur mon visage, poussant un grognement suite à toutes ces pensées. Allez, je me fais un spacecake pour oublier tout ça !    

   


Dernière édition par Jonas L. Sanchez le Mar 24 Mar - 9:31, édité 7 fois
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❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins

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anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique
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Eeeh, dans la famille, tu es le Jonas Brother. SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 4099493569 SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 4099493569 (désolée, fallait que je la fasse, elle pourrie, n'a pas de sens, mais on me pardonne, hein? SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 1716450802)
Je peux pas te dire bienvenue chez toi, ça fait chelou. Idea
Et pis je suis venue juste pour dire ma blague, et réclamer mon cookie, donc bon... SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 3771446062 SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 3771446062
Et aussi te dire que t'es sexy comme ça (pour changer SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 2162325870). SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 327658377
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même pas je suis surprise (a) rebienvenue SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 2162325870
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Thalie S. Whitehill a écrit:
Eeeh, dans la famille, tu es le Jonas Brother. SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 4099493569 SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 4099493569 (désolée, fallait que je la fasse, elle pourrie, n'a pas de sens, mais on me pardonne, hein? SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 1716450802)
Je peux pas te dire bienvenue chez toi, ça fait chelou. Idea
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Tu m'as tué Laughing Une chance que j'ai pas Jonas comme nom de famille Surprised

Donne un cookie à la belle Thalie SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 3676757747
Y nous faudra un lien SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 2883564238 En plus, il est plus proche de l'âge de Thalie Embarassed

Bonnie F. Summer a écrit:
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(re) (re) (re) bienvenue SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 327658377
Merci ma belle Bonnie SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 3676757747 SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 3771446062

Nicola M. Cahill a écrit:
même pas je suis surprise (a) rebienvenue SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 2162325870
Laughing Merci SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 3771446062 SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! 2162325870
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et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !

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SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés ! Empty
mot doux de Invité ► un Sam 21 Mar - 21:03
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SANCHEZ, Jonas ▬ L'alcool tue lentement. On s'en fout, on n'est pas pressés !


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