l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Ven 20 Mar - 7:15 | | | todd & alvin it's not at my home, but...
C’est avec un simple message écrit que j’avais fait mes adieux à Cordélia, la jeune fille qui m’hébergeait en ce moment. Deux semaines que je créchais chez elle, c’était beaucoup trop. J’avais bouclé baguage, laissant sur son bureau ce petit message que je voulais plus doux et dénué de larme. Je n’étais pas doué pour les adieux, en même temps les gens qui me quittaient partaient dans des circonstances désobligeantes. Je n’avais jamais voulu voir ma mère mourir et pourtant bien que je ne l’avais pas regardé mourir, je l’avais entendu et au final j’avais vu son dernier souffle. Pourquoi les femmes que je côtoyais partaient tragiquement, alors que les hommes se retrouvaient à devenir mes ennemis. Mon père. Edward. C’était à en devenir fou. Je ne savais plus quoi penser, mais j’avais ces derniers jours pour réfléchir à tout cela. J’avais cherché des réponses à toutes ces questions à propos de mon innocence et le chemin que je devais désormais emprunter. C’était ce matin d’il y a quelques jours qu’une idée avait germé dans ma tête. Plus précisément en prenant un café avec la douce Leilah. Mon regard s’était porté sur un homme un peu louche, au tout départ je croyais qu’il avait un aérosol d’asthme dans sa poche. Au point où j’en étais je ne me gênais plus avec les lois. J’en avais tellement enfreint, que même si on disait innocent pour le meurtre de ma femme je pourrais aller en prison pour bien d’autres motifs. En quittant le café j’avais glissé ma main dans sa poche pour en sortir une carte d’hôtel. Je n’avais pas touché à l’aérosol. Cet homme je l’avais déjà vu quelque part, mais encore aujourd’hui je ne le replaçais pas. Comme si de rien était, je l’avais abordé pour savoir s’il n’avait pas du change pour un vingt dollar et j’avais la carte en place. L’argonaute. Je connaissais cet hôtel, j’y avais déjà séjourné après une dispute avec Katherina. Je connaissais aussi son propriétaire, avec un peu de chance il me ferait un bon prix. J’avais donc ramassé le peu d’argent qui me restait, cet argent que je volais impunément à des passants dans la rue. À croire que j’étais plus doué dans le crime que dans la légalité. Avais-je une tête de bandit ? C’était à ce demander. Prenant aussi le peu de vêtement que j’avais encore, ce costume trois pièces et des vêtements plus décontracté, j’avais décidé d’aller séjourner un certain temps chez Todd ou du moins dans son hôtel. De plus, je voulais découvrir le mystère de cet homme trapu. Je n’avais pas contacté Melody pour mon changement d’adresse, c’était mieux ainsi. Moins elle en savait et moins elle risquait de dire quelque chose par mégarde. Je me méfiais de tout et de rien. J’étais en train de devenir complètement parano, quelque chose à faire peur à n’importe qui. J’arrivais finalement devant la porte de l’hôtel en début d’après-midi, le soleil de mars plongeait Pasadena dans une agréable chaleur. J’avais revêtis mon costume trois pièces, je m’étais rasé, ce qui s’avérait plutôt rare en ce moment. J’avais retrouvé cette élégance qui était mienne. Valise à la main, j’allais entrer lorsque je vis l’homme du café. Il parlait d’une voix grave à son portable. Je fronçais les sourcils, me tournant vers deux jeunes femmes qui parlaient entre elle. « Bonjour, mais excusez-moi auriez-vous une cigarette ? » Les deux jeunes femmes me regardait avec un air qui m’en disait long. « Pardon ? » Leur accent me fit aussitôt sourire. « Oh. Vous pârlez Frençais ? » Une langue que je ne connaissais pas tellement, mais je l’avais apprise pour Katherina qui rêvait d’aller en France, notamment à Paris. « Âuriez-vous une cigârette pour moi ? » L’une d’elle se mit à glousser en regardant dans son sac-à-main. « Vous êtes en voyâge ici ? » J’étais étonné de voir que je n’avais pas tout perdu de cette langue. Elle finit par me tendre un petit boîtier rose bonbon. Je prenais l’un des bâtonnets blancs le portant à mes lèvres. « Mârchi beâucoup. » Elle sortait un briquet embrassant l’extrémité dans une flamme dansante. Je lui souriais, prenant une longue pof que je laissais filer doucement entre mes lèvres. J’échangeais quelques mots avec elle, tout en jetant un coup d’œil à l’homme. Après ma cigarette, je les remerciais à nouveau. « Âu plâizir de vous revoire bientôt. » Je leur souriais de ce sourire charmeur que j’avais le don d’utiliser et qui avait la facilité de sensibilisé n’importe quel femme. Katherina l’appelait « Le sourire ravageur », elle disait ne pas l’aimer, car elle savait quel effet il avait sur les femmes. Mais pouvais-je refouler qui j’étais ? Ce sourire faisait partie de moi. J’entrais dans l’hôtel, me dirigeant vers le comptoir. « Bonjour, se serait pour louer une chambre. », demandais-je à cette personne derrière le bureau de la réception.
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| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Ven 20 Mar - 17:42 | | | « Mouais .. Non. Je n'ai pas envie de manger des sushis ce soir. J'ai envie .. de pizza ! Oh oui des tonneees de pizzas. Des pizzas aux chorizos ou bien avec tomates, du steack haché et du gruyère. Olala, je pourrais m'engloutir tellement de pizzas qu'il faudrait en créer une nouvelle pour me satisfaire. » Todd se trouvait au supermarché avec son fils, faisant les courses de la semaine. Les deux Pilliwickle étaient en plein débat sur le repas de ce soir, l'un étant pour manger chinois, tandis que le père lui, voulait faire soirée pizza. Après dix minutes de débat, le gagnant fut Todd qui prit différentes pizzas, les mettant dans leur cadi. Lorsque le père et le fils faisaient les courses, cela ne durait pas trente minutes, mais bien deux heures. En même temps, les trois-quarts du temps, les deux débâtaient pour choisir. Autant vous dire qu'il passait plus de temps à débattre qu'à faire leur course. Les courses enfin faites, ils purent rentrer à la maison. Aujourd'hui promettait d'être une belle journée avec le temps ensoleillé qu'il faisait. Todd ne travaillait que l'après-midi, d'où le fait qu'il avait pu faire les courses le matin avec son fils. Les minutes défilèrent rapidement, le jeune homme ne voyant pas la matinée passée, étant l'heure d'aller au boulot. Le programme de l'après-midi ? Todd devait s'occuper du programme des festivités du week-end prochain. Le début du printemps, il se devait de fêter ça, comme à son habitude. En arrivant sur son lieu de travail, il fut interpelé par son réceptionniste qui venait certainement se plaindre, une nouvelle fois encore. « Monsieur le directeur, nous avons un problème ! » « Que se passe-t-il Adrian ? Des clients qui ont uriné devant votre voiture ? » Demanda-t-il avec une légère pointe d'humour. C'était plus fort que lui de le taquiner à chaque fois qu'il disait qu'il y avait un problème. « Haha, très drôle. J'en ris. » Ironique bien sûr vu qu'il ne rigolait point. Ce qui amusait d'avantage Todd. « Non, le fleuriste vient d'appeler et je dois d'absenter pour choisir les fleurs que l'on mettra lors de la fête du week-end prochain. Vous vous rappelez cette fête que VOUS organisez chaque année. » « Bien sûr que je m'en rappelle vu que c'est moi qui l'organise. Vous n'avez qu'à vous absenter, je vais vous remplacer, il n'y a pas de problème. Par contre .. ne trainez pas trop juste pour votre plaisir personnel ok ? » Le réceptionniste grogna légèrement avant de prendre son manteau et de sortir. Todd sourit légèrement, le regardant partir avant de soupirer. Certes, il pouvait être casse-pied, mais le jeune homme tenait trop à lui et à son comportement pour s'en débarrasser. Et aussi à ces compétences, ne pas les oublier. Se mettant derrière le comptoir, il regarda les réservations faites pour cette semaine, voyant que l'hôtel était presque plein. Ce qui le fit sourire de voir son affaire autant marchée après de nombreuses années. En même temps, le jeune homme marquait à chaque fois les changements de saison, ce qui lui valait plus de clientèle à occasion. Quoiqu'il en soit, pour l'heure, le beau brun se devait d'être professionnel, devant réaliser le travail de réceptionniste le temps qu'Adrian revienne. Jouant avec son stylo, attendant qu'un client n'arrive, il le fit sans le faire exprès, tomber sur le sol, s'accroupissant pour le ramasser avant d'entendre une voix au-dessus de sa tête, une personne réclamant une chambre. Au son de la voix, Todd put déjà dire que c'était un homme. Ce qu'il ne savait pas, et qu'il découvrit en se relevant, c'était que cette personne-là, il la connaissait. « Euh oui, je suis à vous de suite. » Ramassant son stylo, il se releva, faisant face à une connaissance. « Oh Alvin, c'est toi ! » Affirma-t-il sur un ton jovial avant de lui tendre la main pour une bonne poignée amicale. Todd connaissait cet homme depuis peu de temps et ne savait pas grand chose de lui. Seulement qu'il avait une femme, vu que le soir de leur rencontre, c'était du à une dispute entre lui et elle et qu'il était venu à l'hôtel. « Alors comment ça va ? Pas très bien si tu me demandes une chambre. Tu t'es encore disputé avec ta femme ? » Dit-il sur un ton plaisantin, sans savoir qu'elle avait été assassinée et qu'il était présumé coupable de ce meurtre. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Dim 5 Avr - 6:01 | | | todd & alvin it's not at my home, but...
Avant d’entrer dans l’hôtel j’avais écrasé le mégot de ma cigarette dans un cendrier. La politesse se voulait tout de même de ne pas fumer dans des lieux publics. Je n’allais pas déroger à cela. Ce n’était pas moi, alors si j’avais peine à fumer dans un hôtel, c’était à se demander comment j’avais pu assassiner ma propre femme. Bref. Je n’allais pas non plus aller dans une messe pour demander une rédemption, je n’en étais pas réduit à cela. Pas encore. Pour l’instant, j’avais simplement besoin d’un toit sur ma tête et puis je voulais en découvrir plus sur cet homme que j’avais croisé. Tout comme je savais aussi qu’ici je n’aurais aucun mal à regarder ce que j’avais trouvé avec Melody ce fameux soir. Je l’avais survolé, mais en étant chez Cordélia, j’avais toujours peur qu’elle me surprenne ou qu’elle découvre la moindre chose qui pourrait la mettre en danger. J’avais donc prit la décision de ne faire pour la protéger. Et dans un hôtel, je ne risquais pas non plus de gêner quelqu’un, au pire j’allais me connecté illégalement sur leur internet. Je ne pouvais imaginer Edward arrivé dans l’établissement brandissant des armes pour essayer de me trouver. Je voulais bien admettre que mon histoire n’avait rien d’ordinaire, mais il y avait toujours une limite à pousser la chose trop loin. N’exagérons rien non plus, on n’est pas dans le Parrain ou Scarface ! Ma vie n’est pas un scénario d’Hollywood, mais si plusieurs personnes pourraient dire le contraire si je leur raconterais ma vie de ces dernières semaines. J’étais donc entré dans l’hôtel, me dirigeant vers la réception pour demander une chambre. Chose qui est tout ce qu’il y a de plus approprié dans ce genre d’établissement. Dans une boîte de striptease on demande une table près de la scène, un hôtel c’est une chambre. L’endroit semblait calme, ce qui m’arrangeait aussi. Voir une tonne de personne ou des enfants courant partout, ne me tentait pas. J’étais un peu trop « sauvage » en ce moment. La compagnie des autres, je la fuyais, alors je ne la recherchais pas non plus dans un hôtel. Arrivant devant le comptoir, je ne voyais personne, mais je demandais tout de même une chambre. Une voix parvient à mes oreilles me faisant sourire, bien que sauvage mon sourire lui restait toujours omniprésent. Je ne pouvais pas y échapper, c’est quelque chose de naturel tout comme cette manie que j’ai de me passer une main dans mes cheveux. D’ailleurs, c’est ce que je fis. « D’accord. », disais-je alors que l’homme se relevait finalement tenant un stylo dans sa main. Il semblait surprit de me voir, en même temps la première et dernière fois que j’avais été logé ici, Katherina était toujours de ce monde et on c’était disputé au point où elle m’avait mise dehors. Je lui serrais la main qu’il me tendait. Les paroles qui en suivirent me rendirent aussitôt un peu plus rigide. J’aurais dut m’y attendre et pourtant j’avais l’impression de recevoir une claque en pleine gueule. Je le regardais tentant de sourire, comment dire cela sans le faire sentir mal ou bien sans m’affecter. Je devais bien l’admettre le sujet Katherina restait assez tabou pour moi. « Je vais bien et toi ? » Voilà un gros, très gros mensonge. Comment on peut aller bien quand on tente de détruire votre vie ? Seulement, je n’étais pas obligé de rajouter ce détail. « Enfin, j’ai connu de meilleurs jours. Disons que c’est compliqué, mais je n’ai pas été mis à la porte. » Ce n’est jamais facile de dire que quelqu’un est décédé, surtout ainsi. « Somme toute, se serait dure qu’elle puisse me mettre dehors de chez nous, puisque… puisqu’elle est décédée en décembre dernier. » Voilà, je l’avais dit. Pourtant, je ne croyais pas que les mots trouveraient la sortie de mes lèvres. « J’ai seulement besoin d’une chambre pour un certain temps… Il y a des rénovations chez moi. » Encore quelque chose de faux, pour le coup je n’avais pas trouvé mieux comme supercherie. Et c’était évident que ce n’était pas pour cela, soyons franc j’avais à peine un baguage à main et une mallette contenant mon ordinateur. Mais bon, dire la vérité semblait si farfelu qu’il me faudrait plus qu’un verre pour pouvoir raconter tout ce roman policier. « Tu as de la place ? Ou tu es complet ? »
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| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Dim 5 Avr - 16:06 | | | Todd n'était pas très chaud de remplacer son réceptionniste pendant que celui-ci allait devoir s'absenter, résoudre un problème de fleur pour un fête que le jeune homme avait organisé. Mais dans un sens, c'était une bonne chose vu qu'il tomba peu de temps après le départ d'Adrian sur une connaissance qui se pointa à l'hôtel. Une connaissance ou plutôt un ami. Pas très proche vu qu'ils ne se connaissaient pas depuis bien longtemps, mais assez pour qualifier leur relation d'amicale. Et la moindre des politesses était de demander comment il allait. Celui-ci lui dit alors qu'il allait bien, chose qu'il peinait à croire vu qu'il se trouvait en face de lui et qu'il souhaitait avoir une chambre. Ce qui signifiait qu'il s'était passé quelque chose. Mais après tout, c'était son histoire et Todd devait respecter son silence. S'il ne voulait pas parler de ses problèmes, le beau brun ne comptait pas se montrer curieux et poser tout un tas de questions. « Je vais bien également ! J'pète toujours la forme moi. » Fit-il sur un ton humoristique avant que celui-ci ne lui avoue que ça n'allait pas aussi bien qu'il venait de le prétendre quelques secondes auparavant. Mais ce n'était pas sa femme qui l'avait mis à la porte, comme l'avait souligné Todd. D'ailleurs, il apprit par la même occasion que sa femme était morte. Sur le coup, il fut choqué d'apprendre sa mort qui datait du mois de décembre. Il s'en voulait d'avoir pu plaisanter sur le sujet de sa femme, mais il n'était pas au courant non plus. D'ailleurs cela le surprit, lui qui savait un peu ce qui se passait à Pasadena. Peut-être que ce jour-là, il avait la tête dans les fesses ou bien il ne se trouvait pas en ville pour apprendre la nouvelle. Quoiqu'il en soit, Todd était sincèrement désolé pour Alvin, cela ne devait pas être difficile, même si ça faisait quelques mois maintenant qu'elle était décédée. La douleur restait présente, même après des années .. « Je suis désolé .. Ma question était totalement déplacée ! Mais je n'étais pas au courant .. Tu arrives à tourner la page dis moi ? » Demanda-t-il en tant qu'ami, ne voulant pas que le brun ne sombre dans l'alcool ou bien dans la déprime. Beaucoup de personnes faisaient ainsi après la perte d'un membre de la famille et de l'entourage. En le voyant, il allait parfaitement bien .. Ce qui voulait dire qu'il ne devait pas être parmi ses personnes-là. Mais Todd voulait s'en assurer. Revenant alors sur le sujet de la chambre, Alvin évoqua alors des rénovations chez lui. Le jeune homme voulut en savoir un peu plus sur ces rénovations. Bien sûr, il croyait à l'histoire de son ami, sans se douter qu'il lui mentait. Il lui faisait confiance, ce qui était normal non ? « Pourquoi tu fais des rénovations ? » Demanda-t-il naturellement avant de regarder son ordinateur, voyant alors qu'il y avait quelques chambres encore de libre. « J'ai de la place au deuxième étage. Tu seras tranquille comme ça. » Il disait cela car la chambre qu'il allait lui donner se trouver entre deux chambres libres à l'heure actuel. Todd avait l'impression que son ami voulait être seul, avait besoin de solitude. Notant alors son nom dans l'ordinateur, il prit alors la clé de la chambre et lui fit signe de le suivre pour lui montrer sa chambre. Et cela leur donnerait alors l'occasion de parler un peu. « Je vais me montrer peut-être indiscret, mais ta femme .. elle est décédée comment ? » Il osa poser la question, espérant que ce n'était pas la question de trop. Todd avait la fâcheuse habitude de poser les mauvaises questions parfois et les gens se braquaient pour la plupart. Bien sûr, cela ne partait pas d'une mauvaise intention de sa part, mais au final, c'était pareil. Alors il espérait que ce coup-ci, Alvin ne se braquerait pas, ce n'était pas son intention et il était prêt à s'excuser de sa trop grande curiosité. Sa mère lui reprochait souvent ses questions indiscrètes, lui disant que cela n'était pas digne d'un homme de son rang, ce qui voulait dire d'un homme riche et qui allait avoir de l'influence. Peut-être que pour une fois, elle n'avait pas tort et qu'il allait devoir travailler là-dessus. Ca serait bien une première que Todd donne raison à sa mère. Lui qui contredisait souvent celle-ci .. Arrivant alors à la chambre, il ouvrit la porte avant d'entrer, regardant par la même occasion que tout était nickel, on savait jamais. « Et sinon, tu sais approximativement combien de temps tu restes ? C'est juste pour savoir, je ne veux pas te mettre à la porte au bout de deux jours hein. » Dit-il alors en rigolant légèrement. Todd avait besoin de cette information pour le dire à son directeur adjoint ainsi que son réceptionniste. Il allait certainement se faire légèrement engueuler par ce dernier car il avait encore pris un peu trop de liberté à son goût. Il le voyait déjà lui dire : Ce n'est pas que c'est votre ami qu'il faut prendre vos aises, sinon comment voulez-vous que je m'organise correctement dans les réservations si je ne sais pas quant est-ce qu'il part ? Le réceptionniste avait tellement sorti cette phrase qu'il l'avait comme gravé dans sa tête. Mais au fond, il l'aimait bien Adrian, parfois il pouvait lui taper sur le système nerveux, mais au final, il était compétent et le faisait rire. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Ven 8 Mai - 21:43 | | | todd & alvin it's not at my home, but...
Autant dire que je cherchais simplement un endroit pour me loger. En ce moment, c’était surtout la pagaille dans ma vie, mais un visage familier faisait aussi du bien. J’avais été naïf de croire que la fatidique question qu’on les gens de demander comment ça va, n’allait pas m’échapper. J’avais tenté de cacher la vérité, mais encore une fois en homme bonasse, j’avais dit une partie de la vérité. « Ce n'est pas grave. », répondais-je en essayant de garder le sourire. L’histoire avait passé par les médias, mais le FBI avait vite fait d’étouffer la partie me concernant. Avoir un agent suspecté de meurtre était quelque chose qu’ils ne souhaitent pas ébruiter. Pour moi c’était une chance, même si je n’étais pas plus ravi d’être leur premier suspect. « Je fais ce que je peux. », continuais-je en souriant de peine et de misère. Le plus dure était peut-être que toute cette histoire, je réussissais à me sentir comme un homme infidèle. J’avais perdu ma femme depuis tellement peu de temps et me dire que je ressentais des papillons pour une autre n’arrangeait rien. Non, tout au contraire ça compliquait encore plus la chose. Autant dire, que j’avais l’habitude de me mettre les deux pieds dans le plat. Et j’avais la force de ne pas m’apitoyer sur mon sort, je devais rester lucide, gardant les deux pieds sur terre si je voulais que la vérité de toute cette histoire éclate enfin au grand jour. Retrouver ma dignité et peut-être tourner la page sur toute cette histoire, mais aussi approfondir ce qu’il y avait entre Melody et moi. « Un brie de plomberie, j’en profite pour refaire les planchers et quelques petits trucs. Comme changer la décoration qui m’évoque un peu trop Katherina. » Même si je n’avais pas mis les pieds chez moi, depuis plusieurs semaines, cette éventualité planait tout de même dans ma tête. Changer d’air, peut-être même vendre cette maison qui renfermait tant de souvenir. Je ne savais pas trop, mais j’avais encore le temps d’y réfléchir comme je ne savais même de quoi était fait demain. « Merci. », disais-je en prenant mes bagages que j’avais déposés sur le sol, avant de le suivre. Même cet endroit me rappelait des souvenirs, mais j’essayais de ne pas trop y penser. C’était mieux ainsi. Car si je continuais à trop penser à tout cela, j’allais finir par me renfermer sur moi-même et finir par faire des bêtises. Marchant près de Todd, je tentais de cacher ma surprise. « Euh… Assassinée. », disais-je en sentant ma voix se nouer dans ma gorge. Je n’avais pas menti, je n’en voyais pas l’utilité. Mais, je ne savais pas si j’allais trouver le courage d’en dire plus. Car raconter tout cela, me semblait impossible. Je voyais encore son corps étendu sur le sol du salon, Edward pencher sur elle, alors qu’il tenait mon arme. Cette perte de mémoire. Je n’avais même pas pu lui dire adieu comme l’aurait fait tout mari. Aujourd’hui, j’avais découvert qu’elle me trompait avec son assassin. Tant de question me hantait, mais je savais que je n’aurais jamais les réponses. Ce n’était pas facile de rester dans l’incertitude et dans l’inconnu. Je devais tout de même accepter cela. Je me raclais la gorge pour tenter de refouler les larmes qui montait et devenir un arrosoir ambulant ne me plaisait pas plus que cela. « Dis-toi que tu as de la chance d’avoir un hôtel, il y a souvent moins de souci ainsi. », disais-je finalement avec une voix quelque peu attristé. En étant dans la police c’était pourtant quelque chose qui pouvait arriver. Bien, que je me serais sans doute attendu à autre chose. Un policer pouvait perdre la vie en se prenant une balle, mais de là à perdre ma femme ainsi. Ça je n’y avais jamais été préparé. Il faut croire que je n’avais simplement aucune chance de ce côté-là. Ma femme, mais bien des années j’avais aussi perdu ma mère qui avait été assassinée par mon père. Les gens étaient fous. Le monde était fou. On arrivait devant une porte et je le laissais ouvrir. Je jetais un coup d’œil, je lui faisais confiance, mais c’était une habitude prise depuis quelque temps. Je déposais ma valise et ma mallette à côté du lit et je me dirigeais vers la fenêtre regardant à travers la vitre. Je me retournais, glissant mes mains dans mes poches. « Euh… Je dois admettre que je ne sais pas trop. Mais on m’a dit approximativement une semaine pour les travaux. » Là encore, je ne savais pas. Une semaine, se devait être suffisant. N’aimant pas rester au même endroit trop longtemps. Ça me donnait aussi assez de temps pour trouver des informations sur cet homme qui m’avait conduit jusqu’à l’Argonaute. Je sortais de ma poche des billets retenus par une pince en argent gravé de mes initiales. Je comptais l’équivalent de trois nuits avant de les tendre à brunet. « Comme avance, j’aurais aimé être plus précis pour la date de mon départ. Mais avec la construction, on ne sait jamais. », poursuivais-je en souriant. Ce n’était pas non plus mon genre d’utiliser de l’argent comptant pour payer, mais je me méfiais de mes cartes. C’était trop facile de me repérer avec mes cartes. Je ne savais même pas avec qui j’avais dérobé cet argent, mais qu’importe. Plus je me regardais, et plus je trouvais que j’avais l’air du méchant dans cette histoire. « Je suis vraiment désolé pour tout cela, mais si on me demande… » Je prenais le temps de réfléchir à mes mots. « Si on me demande, je ne suis pas ici. Je t’en prie, ne dit à personne où je me trouve. » Je devais garder cela secret et puis, ça lui éviterait des ennuis par la même occasion.
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| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Sam 9 Mai - 10:31 | | | La question qu'il ne fallait pas poser, Todd la posa et il s'en voulait à mort, par la suite. Ce n'était pas son intention de remuer le couteau dans la plaie, mais n'étant pas au courant de l'affaire, il n'aurait pu deviner que sa femme était morte. Le brun paraissait être du genre à suivre les potins de la ville, mais ces derniers temps, il avait bien d'autres préoccupations en tête. Quoiqu'il en soit, il présenta ses excuses à son ami, continuant à s'en vouloir quand même. S'il aurait pu, il se serait fait comme Dobby dans Harry Potter en prenant une lampe de chevet et se la taper sur la tête comme pour se punir. Todd admirait la bravoure dont faisait preuve Alvin qui semblait garder son sang froid face à toute cette histoire. A sa place, aurait-il pu être aussi courageux que lui ? Certainement pas, sauf si proches se trouvaient à côté de lui. Cherchant une chambre qui lui permettrait d'être tranquille, Todd en profita pour demander plus ample information sur les rénovations que son ami faisait chez lui. Il comprit de suite les raisons qui l'avait poussé à agir ainsi. Vivre dans une maison dans laquelle chaque pièce, chaque chose rappelait sa femme, cela devait être une torture et il fallait soit déménagé, soit refaire la maison. En tout cas, c'était ce que ferrait le jeune homme dans cette situation. « C'est une bonne décision selon moi. » Déclara-t-il, espérant que ses paroles allaient aider Alvin. Ce n'était pas grand chose, mais au moins, il montrait qu'il le soutenait, qu'il était en accord avec ses décisions. Un simple geste, un simple mot pouvait changer n'importe quelle situation, Todd en était que trop bien conscient. C'était une sorte de philosophie qu'il avait enseignée à son fils, il y avait de ça quelques années maintenant. Ayant trouvé une chambre au deuxième étage, parfaite pour Alvin, il prit la clé avant de le conduire lui-même à sa future demeure provisoire. Todd était content de pouvoir venir en aide à son ami, de le dépanner. Il n'aimait pas voir un membre de son entourage mal et à chaque fois que cela arrivait, il se devait de lui venir en aide. Sur le trajet jusqu'à la chambre, le brun se montra assez indiscret en demandant la manière dont sa femme était morte. Il ne voulait pas se montrer lourd, vexant ou autre qualificatif du même genre, mais il avait envie de savoir pour mieux l'aider. C'était en quelque sorte un mal pour un bien. Enfin si l'on pouvait dire ainsi. Assassinée ? Todd haussa un sourcil en écoutant ce mot. Oui, il fut surpris de la réponse d'Alvin, croyant qu'elle avait été morte à cause d'une maladie ou d'un accident. Mais un assassinat ... il ne se doutait pas de ça. Horrible façon de quitter le monde des vivants. Trop rapide, trop brutal. Mais on ne pouvait pas contrôler le destin des êtres humains malheureusement et peut-être que lui-même mourra de la même façon. Qui pouvait le dire ? Personne. Car oui, Todd n'était pas du genre à croire ce que pouvait dire les voyants. « Je ... je suis sous le choc ... C'est horrible de voir que certaines personnes peuvent tuer ainsi. » Dit-il en soupirant légèrement. Pour Todd, le monde n'avait pas changé, il était devenu seulement moins attrayant à son humble avis. Encore une preuve de son idéologie. Il rigola légèrement quant à la remarque d'Alvin concernant le fait qu'il avait moins de soucis en dirigeant un hôtel. Il n'avait pas tort en disant cela. « C'est sûr qu'on a pas les mêmes soucis que toi. Et ça me convient très bien. Je ne pourrais pas faire ton travail honnêtement. » Avoua-t-il en esquissant un simple sourire sur son visage avant d'arriver à la chambre. Le regardant poser les quelques bagages qu'il avait emmenés avec lui, Todd dût demander le nombre de jour qu'il comptait rester ici, ne voulant pas le mettre à la porte parce qu'un client avait besoin de la chambre. Alvin lui dit environ une semaine. « Hm ok .. je te réserve la chambre pour une semaine et demi, on sait jamais avec les travaux, ça prend parfois plus de temps. » Dit-il sur un ton un peu plus jovial pour essayer d'apaiser l'atmosphère. Il voulait que son ami se sente à l'aise dans la chambre, qu'il décompresse un peu. Et rien de tel pour cela que de rire un peu, de sourire même. Cela n'allait tuer personne. Enfin aux dernières nouvelles en tout cas. Le voyant sortir quelques billets, il haussa dans un premier temps un sourcil, étonné par le geste avant de comprendre et de secouer la tête. Il n'avait pas besoin de faire cela, mais Todd accepta son avance, comme ça, son réceptionniste n'allait pas lui piquer une crise comme pas possible. « Ne t'en fais pas pour la date de départ, après tout, c'est moi qui dirige cet hôtel, cela me confère quelques privilèges non ? » Déclara-t-il en esquissant un sourire en coin avant d'écouter son ami lui demander un petit service. Service qui pouvait paraitre étrange, mais le brun comprenait tout à fait son choix. Il voulait être certainement seul et n'avait pas besoin qu'on le dérange toutes les cinq minutes et que certains opportunistes viennent le déranger. « Je serai mué comme une carpe. Tu n'es pas dans mon hôtel, j'ai compris. » Le regardant quelques instants, il ne put s'empêcher de reparler un peu de l'assassinat de sa femme. Qui disait assassinat, disait aussi enquête non ? Bizarre que Alvin n'en avait toujours pas parlé, surtout que Todd pensait qu'il était sur l'enquête. Quoique peut-être que non, étant trop impliqué émotionnellement. « Et l'enquête concernant ta femme, elle avance ? Tu travailles dessus ? » Il avait demandé cela sur un ton neutre, fermant alors la porte derrière lui pour que personne n'entende leur conversation. Todd pensait qu'en parlant de tout cela, il allait aider son ami. Les psychologues préconisaient bien de parler de nos problèmes pour se sentir mieux. Alors Todd testa cette thèse. Qui sait, ça allait peut-être marcher. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mar 23 Juin - 0:23 | | | todd & alvin it's not at my home, but...
Tant de chose pesait sur mon cœur, mais je faisais de mon mieux pour étouffer cela. Je devais garder mes problèmes pour moi, ainsi je protégeais mon entourage de ce qui causait mon malheur. Je tentais d’en parler le moins possible, ce qui me permettait de contrôler mes propos. Ne pas trop en dire, ne pas trop m’en faire. J’avais peut-être l’air mystérieux, mais je ne le voyais pas ainsi. J’agissais surtout par prévention avant toute chose. Je savais que je pouvais terriblement m’en vouloir s’il arrivait quelque chose à quelqu’un de mon entourage, tout comme ce qui était arrivé à Katherina par ma faute. Oui, tout cela n’était que ma faute. Si je n’avais pas découvert ce que faisait mon coéquipier, jamais elle ne serait morte. Je ne serais pas non plus en fuite, je ne chercherais pas à me cacher pour sauver cette fois-ci ma peau. Je faisais tout pour tenir les gens loin de moi et malgré cela, j’y avais mêlé Melody. Je m’en voulais, elle ne méritait pas cela. Elle avait peut-être découvert ce qui se tramait autour d’elle, mais j’avais détruit en un instant son univers. Aujourd’hui, je fuyais autant sa présence que celle de mon entourage avant sa rencontre. Elle était celle la plus susceptible de subir les foudres de son fiancé s’il venait à découvrir certaine chose. Je me dirigeais vers la chambre que Todd avait trouvé, je ne disais restant taciturne, me perdant dans mes pensées. J’avais sans scrupule menti aux questions qu’il m’avait posé. Pour cela je n’avais pas de remord, me disant que c’était mieux ainsi. Mais je n’arrivais pas à lui caché que Katherina avait été assassinée. Tout cela me semblait digne d’un roman policier, en fait ma vie était comme les pages d’un écrit aux rebondissements explosifs. Je faisais de mon mieux pour me montrer posé face à tout cela. Ça ne servait à rien de m’affoler, ça ne changerait rien à toute cette histoire. En plus, ça ferait paniquer certaine personne de mon entourage si j’osais dire toute la vérité. J’avais tout de même dit ce qui en était pour la mort de ma femme, assassinat. Je laissais un sourire planer sur mes lèvres, alors qu’il m’avouait être sous le choc. Je pouvais le comprends, qui ne le serait pas d’une certaine façon. Je faisais tout pour rester impassible, mais si quelqu’un me révélait que sa femme avait été assassinée j’aurais sans nul doute été étonné, choqué par tant de violence. Même si j’en voyais plus que la plus part des gens dans ma carrière, je ne pouvais pas rester insensible à tant de cruauté dans ce monde. Les gens ne semblaient plus avoir d’humanité et l’entraide n’était qu’un mot de plus dans le dictionnaire qui semblait avoir perdu de sa valeur. Mais il avait encore des gens honnête comme l’homme qui se trouvait à mes côtés. J’aurais pu me décrire ainsi il y a quelques mois, mais maintenant j’avais changé, je n’étais plus le Alvin que bien des gens avaient connus. Je lui faisais alors part qu’il était moins difficile de diriger un hôtel que de pourchasser les criminels et il appuyait mes dires. « Des fois je me demande si je suis vraiment fait pour ce domaine, pourtant je ne vois pas faire autre chose. », avouais-je finalement. Je ne me voyais pas tenir un commerce ou bien tenter de vendre un quelconque produit. Mais plus jeune je n’aurais jamais pensé faire partie du FBI, je voulais être qu’un simple policier de Manhattan. Mon dessein avait été bien différent lorsqu’on était venu me chercher personnellement à l’école de police pour me prendre au sein des fédéraux. J’étais peut-être fait pour ce métier, mais je n’étais pas celui qui allait faire le poids dans la balance. J’aurais bien aimé, mais les choses n’étaient pas ainsi faite. J’entrais finalement dans la chambre, déposant mes baguages avant d’aller jeter un coup d’œil à la fenêtre. Paranoïaque ? Légèrement. Mais je me devais de regarder, d’assimiler ce qui m’entourait, il ne me suffisait que d’un regard pour noter diverse chose à l’extérieur. J’informais le propriétaire de la durée de ma présence, même si je n’avais pas la moindre idée du temps. Dans le pire des cas, je me trouverais un autre endroit pour loger si on me mettait à la porte. Un plan de secours était toujours utile. Surtout, dans une vie imprévisible comme la mienne en ce moment. Il me confiait me réserver la chambre pour une durée d’une semaine et demi, me faisant sourire en signe de remerciement. Je sortais de ma poche quelques liasses de billet pour payer d’avance les trois prochains jours, j’aurais préféré plus, mais je devais bien garder un peu d’argent pour vivre. J’allais devoir encore voler, chose à laquelle je ne m’habituerais sûrement jamais, même si je le faisais avec une certaine facilité. Je passais de plus en plus dans le coté obscure de la force, perdant de jour en jour mon humanité. C’est étrange ce que l’homme peut faire pour survivre. « Je ne désirs tout de même pas te causer de soucis même si l’établissement t’appartient. Vois-moi comme un simple client comme les autres. », disais-je avec un petit sourire en coin avant de lui demander de garder ma présence secrète. C’était assez contradictoire, mais je préférais prévenir que guérir. En plus, ça lui éviterait certain ennui. J’haussais un sourcil en entendant le mot « mué », déclenchant une hilarité à laquelle je ne m’attendais pas de ma part. Je reprenais toutefois vite mon sérieux, ne désirant pas le vexé. « Excuse-moi. » J’allais passé pour fou, surtout à rire ainsi, alors qu’il était sérieux. « Je n’aurais pas du rire ainsi. » Je passais ma main dans mes cheveux, les laissant vers l’arrière. Je n’aurais jamais du rire, surtout que je ne pouvais pas expliquer cette hilarité inattendue. Peut-être était-ce l’image d’une carpe qui muait qui déclencha celle-ci, mais valait mieux que je garde celle-ci pour moi. Je reprenais mon sérieux, alors qu’il me posait cette question sur ma femme. « Je n’ai pas le droit de travailler sur celle-ci et disons qu’il y a des facteurs qui m’en empêche aussi, mais j’essaie tout de même de chercher de mon côté. » Pour ainsi arriver à prouver mon innocence, mais ça je le gardais pour moi. J’allais m’asseoir sur le lit, appuyant mes avant-bras sur mes genoux, je croisais mes doigts ensemble portant mon regard sur la moquette. « Disons que tout cela est assez compliquer. » Rien n’est facile en fait. « Ils n’ont qu’un suspect, mais je suis certain que ce n’est pas lui. Il n’aurait jamais pu faire cela, mais je dois trouver un moyen pour le laver de tous soupçons. Seulement, ce n’est pas si facile toutes les preuves convergent vers lui. Certaines preuves ont été aussi trafiquées, mais je ne perds pas espoir. » Je gardais bien pour moi, que ce suspect se trouvait avec Todd dans cette chambre même. Comme j’avais tenté de le préservé du danger, j’avais aussi la crainte qu’il ne me croit pas innocent.
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| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Mar 23 Juin - 16:18 | | | L'entendre dire que parfois, il se demandait s'il était fait pour se domaine, fit sourire Todd qui n'en pensait pas moins pour son propre cas. Lorsqu'il avait lancé son propre hôtel, tout un tas de questions avaient envahis son esprit dont l'une qui concernant sa place dans le monde de l'hôtellerie. Il avait su se montrer assez doué dans ce domaine, mais de là à monter son propre hôtel, il avait peut-être surestimé ses capacités. C'était en tout cas ce qu'il disait avant. Peut-être que son projet était trop fou et qu'il aurait mieux fait de garder son argent pour des choses moins folles. Et pourtant maintenant, l'Argonaute était toujours là, avec de nombreuses réservations. Il tournait plutôt bien, mieux que dans les espérances du brun. Comme quoi, certains doutes ne devaient pas être pris en considération. Bien que Todd ne connaissait pas plus que ça Alvin, il pensait qu'il avait sa place au FBI. Surtout que cela ne faisait pas une semaine qu'il y était. Il avait déjà dû faire ses preuves. Todd en conclut alors à un manque de confiance en soi-même de la part de son ami. Cela arrivait souvent chez l'individu. On se demandait parfois si on avait pris la bonne voie professionnelle, si on aurait pas dû en choisir une autre. « Si tu n'étais pas fait pour ce domaine, je pense que ça ferait longtemps que tu ne serais plus au FBI. » Avoua-t-il, essayant alors de la rassurer un peu, même s'il savait que cela ne servirait pas à grand chose, lui aussi ayant connu ce genre de passage de doute. Cela restait qu'un passage. Les deux en vinrent alors à parler du temps de séjour d'Alvin au sein de l'hôtel. Bien sûr, Todd ne voulait pas le presser, sachant très bien que pour des travaux, on avait jamais une date fixe. Alors il décida de lui réserver la chambre pour une semaine et demi, espérant que cela suffirait à Alvin et que les travaux soient finis d'ici là. De toute façon, le brun avait le pouvoir de prolonger le séjour de son ami dans son hôtel, bien que celui-ci ne voulait pas lui créer des soucis. Des soucis ? Mise à part une justification à son directeur adjoint et à son réceptionniste, il n'allait pas avoir de soucis. L'avantage d'être le gros patron. « T'inquiètes pas pour les soucis. Je doute en avoir. Tant que tu ne fais pas une boite de nuit dans ta chambre ou que tu mettes le feu, aucun soucis à l'horizon ! » Fit-il en rigolant. Oui, avec Todd, il fallait souvent s'attendre à ce qu'il lâche une petite connerie pour faire rire ses amis. D'ailleurs lorsqu'il lui promit d'être mué comme une carpe, cette expression fit rire Alvin, le brun haussant alors un sourcil. Il ne voyait pas trop ce qu'il y avait de marrant, mais cela lui faisait plaisir de le voir sourire, même rire, surtout en ce moment, avec ce qu'il devait vivre. Perdre sa femme dans un assassinat n'était pas chose facile. D'ailleurs Todd ne savait pas vraiment ce que pouvait ressentir Alvin, n'ayant jamais connu ça. En même temps, ce n'était pas fréquent de perdre sa femme ainsi. Quoique de nos jours, il fallait s'attendre à tout. On se faisait bien tuer car on avait dit non à une personne qui voulait une cigarette. Alvin vint alors à s'excuser de son petit moment d'évasion avec son fou rire. « Pff ! Ne t'excuses pas ! C'est plutôt cool de te voir rire je trouve ! Même si je t'avoue n'avoir pas compris ton fou rire. » Avoua-t-il en haussant les épaules avant de se renseigner sur l'enquête que menait le FBI sur le meurtre de la femme de son ami. Ok, ce n'était pas ses oignons, mais cela lui ferait peut-être du bien d'en parler. Et puis, il s'intéressait à cette enquête, celle-ci faisant partie de la vie d'Alvin, un ami. Alors c'était normal qu'il se montre curieux. Même si parfois, une telle curiosité pouvait être mal vue. Ce qui ne semblait pas être le cas avec Alvin qui avoua ne pas être sur cette enquête. Todd fut légèrement surpris, se disant qu'il avait sa place dessus. Mais son avis, on s'en foutait un peu. Peut-être que ses émotions allaient prendre le dessus et que son patron voulait éviter un dérapage. C'était souvent cette raison que l'on évoquait dans les séries policières. Même si au final, le policier en question menait sa propre enquête. « Ca ne doit pas être facile pour toi de ne pas travailler officiellement sur cette enquête. J'espère que tu tiens le coup .. » Fit-il d'un air sincère, lui donnant une tape sur l'épaule, un geste amical. Alvin parla alors d'un suspect sur le meurtre de sa femme, mais il vint à avouer qu'il ne pensait pas que ce suspect soit le meurtrier. En l'écoutant, Todd en déduit que son ami connaissait le suspect. Sinon il n'aurait pas dis ce genre de propos. « Ce fameux suspect .. c'est un ami à toi ? Et tu sais pourquoi certaines personnes veulent lui faire porter le chapeau ? » Todd se croyait dans une série policière, avec cette falsification de preuves. « Et tu avances dans ta propre enquête ? Désolé .. je pose peut-être un peu trop de questions. » Avoua-t-il en lâchant un soupir. Il ne voulait pas embêter son ami et s'il ne voulait pas en parler d'avantage, il n'aurait qu'à le dire à Todd, celui-ci comprendrait très bien. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mer 14 Oct - 18:27 | | | todd & alvin it's not at my home, but...
Il était beaucoup plus dur de ne rien dire à quelqu’un, alors qu’on avait une conversation avec celle-ci. C’est un peu ce que j’éprouvais en me tenant devant Todd, j’avais envie de lui hurler mon histoire, de comprendre que les soucis ne serait sans doute pas administratif, mais je n’avais pas le choix de me taire. Je devais le faire pour son bien et le bien de ma propre santé. Je ne pouvais pas divulguer toute mon histoire et je le savais même si au fond de moi j’avais envie d’en parler pour me sentir libérer. Peut-être que je devrais me mettre à écrire un journal intime. Coucher sur la page mes ressentiments, mes doutes et tout ce qui touchait à cette histoire. Je trouvais tout de même la force de lui faire un sourire, faible et sans doute à peine visible, mais c’était déjà un grand pas pour moi. Parler de chose aussi futile soit-elle, me rendait plus humain, mais j’avais toujours du mal. Puis, d’une façon incompréhensible, je partais dans un fou rire qui me laissait sans voix. Je ne voulais pas vexer mon ami, loin de là. Mais le simple fait d’imaginer une carpe qui muait, déclencha mon hilarité. C’était mal poli et je le savais, mais parfois c’était ce qu’il fallait pour détendre l’atmosphère et alléger cette brume qui voilait notre esprit de tourment. Je m’excusais aussi tôt pour ce moment qui m’avait fait rire. Je n’avais pas ri ainsi depuis tellement longtemps, que j’étais surpris de savoir que j’en étais encore capable. Ce n’était pas forcé, simplement un rire naturel déclenché par une imagination débordante. « Quand tu seras grand, je t’expliquerai. » disais-je avec un clin d’œil, sachant très bien que j’allais vite oublier cette histoire. Ce petit fail qui m’avait fait rire. M’assoyant sur le rebord du lit, je me perdais dans le méandre de mes pensées, retrouvant ce sérieux tranchant. Je n’arrivais pas à sourire lorsque je parlais de Katherina. Je n’étais pas envahi par la nostalgie, mais plutôt par la rage de savoir que je n’avais pas pu lui dire au revoir comme tout époux. Que derrière mon dos, pendant une période de temps, elle m’avait trompé avec ce même homme qui l’avait abattu de sang-froid. Un meurtre qui me dégoutait bien plus que tous ceux que j’avais vécu durant ma carrière. Je relevais mon regard vers Todd lorsqu’il me donna une tape sur l’épaule. Il avait de la chance de ne rien savoir finalement, car même si je tenais le coup, ce n’en restait pas moins périlleux. Je devais garder les pieds sur terre et la tête sur mes épaules, si je me permettais qu’un léger écart d’esprit, s’en fût fini pour moi. Reportant mon regard sur la carpette, j’essayais encore une fois de rien faire paraître. « Si on peut dire. » répondais-je à sa question, à savoir si le suspect était un ami à moi. Pouvais-je être ami avec moi-même, sans doute. Au point où j’en étais, mes amis je les comptais sur mes dix doigts. Je pouvais donc être un de ces doigts. « Je crois qu’il a entendu certaine chose dont il n’aurait pas dû, voilà pourquoi on lui fait porter le chapeau. » disais-je d’un ton ferme sans pour autant être sévère, j’avais simplement de la misère à ne pas me trahir. « Si on peut dire, ce n’est pas si facile que cela de trouver des preuves notoires. » avouais-je avant de me lever. Je regardais Todd, laissant planer un sourire sur mon visage. « Mais si tu permets j’aimerais me reposer. Ces derniers jours ont été un vrai enfer. » Voilà que je lui demandais de quitter la chambre, je ne voulais pas sembler impoli, mais j’avais besoin d’être seul. Et en restant avec Todd, je savais que je finirais par me trahir et je n’avais pas la force de voir son regard changer en apprenant que c’était moi le suspect. Je le remerciais une nouvelle fois pour la chambre et fermait la porte derrière lui. De nouveau seul, je m’assoyais sur le matelas moelleux perdant mon regard dans le vide. Toute cette histoire devait prendre fin et rapidement. Chose qui semblait plus facile à espérer qu’à rendre vrai… |
| | | Contenu sponsorisé et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Contenu sponsorisé ► un | | | |
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