l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Sam 1 Aoû - 21:47 | | | Vivre dans une sorte de déni peut être insupportable mais je préférais tant m’enfermer dans une réalité qui ne nous donne pas froid au dos. Quand Cinderella m’avait proposée d’aller au camping avec elle, j’avais acceptée simplement dans l’idée de me rapprocher de ma petite sœur. Nous avions passé une bonne journée mais c’était cette réalité qui venait rapidement. Elle était morose. Elle n’était pas en forme depuis la fusillade même si elle n’y était pas. Même si elle allait bien. Je la sentais bizarre. C’est en fin de soirée qu’elle avait fondue en larme, je n’avais pas sue quoi faire. Je m’étais contentée de lui servir un chocolat chaud. Cette situation était un peu brusque pour moi. Je n’avais pas sue comment réagir et peut-être que je ne le saurais jamais. Je m’étais contentée de déposer une main rassurante sur son épaule. Dormir en plein air était un moyen aussi pour eux de se sentir plus en sécurité à mes yeux et pour certains de rendre hommage aux âmes parties. Pour ma part c’était pour elle mais aussi simplement en hommage aux personnes décédée même si j’étais dans un glaucome parfait de mon côté en ne voulant pas voir la vérité en face. Ma sœur quant à elle gérait ça autrement que moi. Le thermos du chocolat chaud refermé, je déposais un baiser sur son front alors qu’elle disait préférer aller dormir. J’acceptais tout simplement. Parfois il ne faut pas insister mais je devais quitter la tante. Il n’était tôt pourtant pas encore trop tard quand je m’élançais dans une visite du campus sans pour autant entrer dans les bâtiments. Je me demandais juste si elle réussirait à s’endormir. Attaquée de mon côté par quelques moustiques, je me débattais pas moment avec une once d’élégance. Je marchais en dégainant mon téléphone pour composer le numéro d’Azura. J’avais juste besoin de parler à ma meilleure amie. J’avais besoin de savoir que tout se passait bien de son côté ou même qu’elle était heureuse. Vêtue simplement d’un short blanc et d’un débardeur, je ne portais pas des talons aiguilles gucci et une blouse Versace. Il n’y avait rien qui était possiblement trop cher sur mon dos. Non. Je ne voulais pas risquer d’abimer un tissu, de le salir ou même de vouloir le coudre à nouveau. Je n’étais pas douée en couture. M’asseyant après une longue marche sur un tronc d’arbre couché sur le sol, je regardais ce feu donc la flamme avait été éteinte après une assemblée ou nous avions fait une minute de silence comme tous les soirs pendant cette semaine de camping. Je ne venais cette nuit ou peut-être après. Je n’en savais rien. Je racontais ma journée et quelques anecdotes à Azura en lui demandant comment allait mon fils qui était avec elle, mon regard se levait en même temps vers les étoiles et je commençais clairement par être refroidie par le vent. L’heure avait tournée et la nuit était tombée. Je ne m’en rendais même pas compte. C’est dans ce genre de moment où on veut avoir un costume de père noël pour se sentir au chaud mais se vêtir d’un tel accoutrement n’était sûrement pas une bonne idée. J’inspirais doucement avant de me relever en continuant de parler. En revenant vers les tentes, je préférais chuchoter pour éviter de réveiller les gens autour de moi. Quelques tentes s’éclairaient et certaines semblaient trop sombres. Je cherchais la mienne du regard en étant persuadée d’avoir trouvé la bonne cependant on ne peut jamais vraiment être sûre d’avoir une mémoire apte à toutes les tentatives d’intelligence. Non. La mienne ne l’était pas. Le portable pourtant toujours en appel, je m’éclairais pas moment le chemin. Alors que tout ce que je voulais était avant tout d’être au chaud et attraper un gilet, je m’abaissais à la hauteur de la tirette d’une tente qui semblait être celle de ma petite sœur. Je baissais cette fameuse tirette tout simplement petit à petit pour ne pas la réveiller. Je me glissais lors dans cette tente pourtant le parfum ambiant ne me semblait pas être le nôtre. Non. Ce n’était pas un parfum de fille. Je ne parle pas par-là de transpiration ou toutes les choses malodorantes mais simplement le parfum. Le vrai comme une bombe de déodorant. Cela m’effrayait un peu. Peureuse bien que détective. J’en avais le poil qui s’irisait. C’est quand cela bougeait dans la tente que je sursautais. J’entendais ma meilleure amie paniquer et je ne savais pas quoi dire. Je laissais échapper un petit « Ah » ! Après, je ne voyais rien ou peu de choses. C’était logique d’être effrayée, non ? Tant que ce n’était pas un chiot qui sortait de nulle part après tout. Je m’en sortais bien cependant ? Je relevais le portable vers l’inconnu. |
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| mot doux de Invité ► un Lun 24 Aoû - 23:14 | | | hj ¬ je me suis permise si jamais ça te va pas je change ou je supprime Quand on avait prévu cette virée au camping je n’avais pas prévu que Dylan nous abandonne toutes les deux seules parmi les ours et les crocodiles. Bon d’accord il n’y avait d’ours dans un camping, ni même de crocodile mais bon l’idée était là. Il y avait tout de même des araignées pleins la tente dans tous les cas. Mais cela ferait plaisir à Leah m’avait-il dit. Je lui avais alors adressé un sourire hypocrite en lui glissant à l’oreille « Tu me revaudras ça d’ici deux minutes, toi et ton rhume de climatisation » Le petit regard je démarrais la voiture juste après avoir déposé un baiser au coin de ses lèvres nous étions donc partis toutes les deux pour une virée de deux jours entre filles au camping. Un moment des plus agréables à passer entre une mère et sa fille. C’était des petits moments que toute mère pouvait partager avec sa fille, mais je ne pensais pas que ce serait à quelques semaines de ses cinq ans. Je me voyais plutôt faire ça quand elle aurait l’âge de Grace. Vous savez ce genre d’âge entre deux, quand on sort de l’adolescence mais qu’en même temps nous ne sommes pas encore totalement une adulte. Oui je ne la voyais pas grandir non plus ma petite sœur, alors forcément ma fille je n’étais pas encore prête pour accepter ce fait.
La tente était donc enfin montée tant bien que mal, mais elle était montée. Et rapidement l’heure du coucher venait d’arriver pour Leah qui était déjà en train de tomber de fatigue. Du haut de ses quatre ans et trois quart, elle était plutôt infatigable ou tentait de l’être pour être exacte. Elle voulait toujours faire comme les grands et rester debout jusque tard dans la nuit. Ce soir là il était vingt deux heures quand je fis tomber les feux et que je me blottis dans mon sac de couchage. La tente était parfumée à l’odeur de Dylan. Leah était allée prendre son parfum, comme ça selon elle c’était un peu comme si papa était avec nous. Je le voyais bien en train de peindre une de ses toiles et de passer la nuit à chercher la perfection avant d’aller se coucher et de nous retrouver d’ici moins de quarante huit heures maintenant. Ah j’imaginais mon bel homme en train de faire ce qu’il voulait dans la maison pendant que ses deux femmes étaient donc en vadrouille en train de survivre tant bien que mal dans l’univers hostile du camping. Je commençais à trouver le sommeil et les bras de Morphée était en train de m’emporter pendant que ma blondinette était déjà partie loin en compagnie du marchand de sable quand soudain j’entendis du bruit autour de nous et surtout la tirette de notre tente qui commençait à être relevé. Je pris peur et pris une chaussure pour pouvoir me protéger moi et ma fille au cas où l’intrus se retrouvait être un pervers mal attentionné. Je n’étais pas du tout rassurée et j’aurai préféré mille fois que ce soit Dylan qui soit là pour me faire une surprise. La seule chose que j’avais c’était ma petite lampe de poche et j’avançais en tee shirt et short dans le but de voir ce qui se passait. Un cri et un flash dans les yeux ou la lumière d’un portable et moi terrifiée. « AH ! » criais-je sur l’instant. Une jeune femme en face de moi qui semblait tout aussi paniquée et ce qui me fit sourire. Leah dormait encore paisiblement malgré mon cri. « Je suis désolée, je pense que vous vous êtes trompée de tente. Ou d’emplacement. » Que sais-je ? Je parlais à voix basse, bien que j’aie peu de scrupules pour les voisins autour de moi quoique, je ne voulais surtout pas réveiller Leah. J’avais toujours la chaussure à la main, tenue comme une arme prête à être dégainée je ris un peu jaune en pensant à cela et je reposais la chaussure. « Un peu étrange comme situation, je suis désolée j’ai du vous effrayer » dis-je à la jeune femme en face de moi. Je ne distinguais pas réellement les traits de son visage je ne savais pas vraiment qui elle était mais bon au moins elle n’était pas tombée sur une mauvaise tente. Cela était plutôt un bon point pour elle non ? Au camping nous ne savions pas vraiment ce qui se passait dans les tentes parfois, des inconnus qui entraient et qui se trompaient de tentes par mégarde ou non parfois. Juste par volonté de rencontrer l’inconnu de manière plus ou moins fortuite contrôlée. Je reprenais mon souffle, mon cœur commençait à peu près à se calmer. Ca allait un peu mieux, je retrouvais une respiration plus calme dans l’attente de savoir qui était cette jeune femme ou plutôt ce qu’elle cherchait dans ma tente. Ou qui elle cherchait.
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| mot doux de Invité ► un Jeu 10 Sep - 1:39 | | | Je voulais juste rentrer dans ma tente, mettre un gilet et aller me coucher. Après tout cela peut paraitre assez simple, assez classique comme envie. Je voulais aller me reposer et surtout voir comment ma petite sœur se portait. Je voulais avoir la sensation qu’elle aille bien. Je voulais simplement me sentir à l’aise. Enfin rien n’est jamais comme on veut, rien n’est jamais simple. Non car j’ignorais tout simplement que je n’étais même pas dans ma tante. Une fois rentrée, je voyais une personne bouger mais ce n’était pas ma sœur. Non. Le portable m’aidant à savoir qui était cette question, je l’entendais crier de surprises mais je faisais de même. Tout autant surprise que cette jeune femme enfin c’était ce que je comprenais au son de sa voix. Je penchais la tête en soufflant doucement tandis qu’une main allait se poser sur mon cœur pour en sentir les battements. J’étais peureuse, réellement peureuse. La jeune femme semblait désolée et m’annonçant que je m’étais trompée d’emplacement. Je me sentais simplement stupide alors qu’un rictus se dessinait sur mes lèvres. « Oh ! », disais-je alors simplement comme prise par surprise. Étrange ? Je riais doucement mais à nouveau quand elle disait m’avoir effrayée et moi donc ? J’étais quand même entrée dans sa tante tandis que je n’en avais pas le droit. Qui est le plus idiot dans cette situation ? Sûrement pas. Je faisais une moue discrètement en baissant le regard pour apercevoir l’enfant qui dormait. Je restais silencieuse pendant quelques dizaines de secondes alors qu’elle se calmait, je faisais de même. Je soufflais doucement. Il fallait que je dise un truc avant de passer pour muette. Un oh, un ah. Voilà tout ce que j’avais dit. Je prenais une profonde inspiration pourtant après avoir soufflée et je la regardais avec attention. N’ayant entendue que sa voix, elle me disait un truc pourtant pas assez pour la connaitre. Je reposais la lumière sur elle et je fronçais les sourcils. « Bonsoir ! Vous êtes l’une des filles du pasteur, non ? », demandais-je alors soudainement. J’avais été à la paroisse pendant de longues années avec mes parents enfin avant que leur maison ne brule. C’était il y a 15 ans, presque 16 ans pourtant cela ne faisait pas tant de temps à mes yeux. Je fermais délicatement et lentement mes yeux avant de les rouvrir avec autant de lassitude. Je soufflais à nouveau. « Je suis désolée de m’être trompée de tente… », disais-je en mettant alors une main dans mes cheveux que je massais un peu en grimaçant. Je penchais délicatement la tête en inspirant à nouveau. « Je suis un peu maladroite pas moment… », soufflais-je comme une information des plus importantes qui pourtant était simplement : je suis une idiote, c’est tout. « Je ne voulais pas… », je chuchotais bien entendu aux moindres de mes mots. « Vous réveiller ! », un sourire se dessinait sur mon visage tandis que je sursautais à la vibration de mon portable. Un sms ? Je fronçais les sourcils sans oser le regarder pour ne pas paraitre mal polie. Je ne savais cependant même pas si je devais rester ou partir. Que devais-je faire ? Je n’en savais rien, je ne bougeais pas. Je ne faisais que regarder cette jeune femme comme si elle sortait d’un monde de licornes pourtant elle n’avait aucune magie. Je plongeais mes yeux dans les siens au milieu de la pénombre. Toujours aucunes réactions que des paroles de ma part. Je finissais tout de même par montrer la tirette de la tente. Un peu perdue, un peu beaucoup. Je lui souriais doucement, gênée visiblement par la situation qui était un brin inconfortable pour la femme que je suis. Une femme un peu timide parfois pourtant tout le contraire une autre fois. « Je devrais sûrement y aller ! », lui disais-je alors que je retirais la main de mes cheveux et les agitant devant moi comme pour trouver une contenance. J’inspirais doucement. « Enfin… sauf si vous voulez qu’on passe la nuit à faire un jeu de regard car je suis gênée de vous déranger ! », rajoutais-je avec un peu d’humour à ma sauce. Vraiment. Vinaigrette au cas où on veuille préparer de la salade. |
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| mot doux de Invité ► un Sam 26 Sep - 23:00 | | | Le sens de l’orientation et moi cela avait toujours fait quelque chose entre 100 et 1000. J’étais particulièrement nulle pour retrouver mon chemin, en rentrant de l’école jusqu’à la maison et que j’étais seule cela pouvait me prendre au lieu des cinq minutes habituelles, environ 10 à 15 minutes. J’avais toujours cette volonté de découvrir les nouvelles ruelles autour de moi et de trouver de nouveaux chemins. Au lycée d’ailleurs mon jeu était de trouver 5 chemins différents, un pour chaque jour de la semaine. Cela avait tendance à faire beaucoup rire Lullaby et Luke qui avaient pour habitude de prendre toujours le même chemin. Bon, aujourd’hui dans ce camping je ne pouvais pas me permettre de faire cela en même temps. Ma fille était en train de dormir juste à côté de moi, je ne pouvais pas la laisser seule dans la tante, même pour aller faire pipi. Ce n’était absolument pas envisageable. Elle avait pour habitude de dormir seule dans sa chambre mais pas dans un environnement inconnu comme le camping dans lequel nous étions, non. Je ne pouvais même pas l’envisager, Leah n’avait que quatre ans et demi et même si elle se croyait plus grande qu’elle ne l’était ce n’était encore que mon bébé.
Lorsque la jeune femme avait décidé de passer la porte, si nous pouvions appeler cela une porte, de la tente j’avais d’abord pris un peu peur. Qui était donc cet étrange prédateur voulant venir faire du mal à moi et à la petite princesse qui était en train de dormir à mes côtés. Forcément dans un camping quand on entend la petite fermeture éclair s’ouvrir nous nous attendions toujours au pire. Surtout que Dylan m’avait répété au moins une douzaine de fois avant de partir de fermer la tente avec le petit loquet qui permettait de maintenir la tente close de l’extérieur et de l’ouvrir que de l’intérieur. Mais bon vu mon côté limite tête de mule, j’avais peut être omis ce petit détail. Quel fut mon soulagement quand je tombais sur une jeune demoiselle d’approximativement mon âge, certainement plus jeune passait la tête dans ma tente. Mon soupir d’ailleurs se fit entendre, ne réveillant même pas Leah qui ne fit que se tourner pour se camoufler dans son sac de couchage. Pour sortir Leah du sommeil, il fallait se lever de bonne heure sans mauvais jeu de mots. Tous les matins cela se révélait un peu comme la croix et la bannière, j’appréhendais d’ailleurs la période de l’adolescence quand les grasses matinées commenceront à débarquer dans sa vie et que nous nous bataillerons pour la lever avant quatorze heures. Cela ne promettait pas d’être une partie de plaisir bien au contraire. « Oui. Non. Oui. Oui, je suis la fille du pasteur, enfin l’une parmi les 4, ça fait un peu comme les 4 filles du Docteur March dit comme ça enfin bon bref. Et vous ? Vous venez au temple ? » demandai-je un peu surprise. Les gens qui nous connaissaient étaient nombreux, le souci c’est que le contraire ne se justifiait pas à chaque fois dans le sens où je ne retenais pas tous les gens qui venaient à l’Eglise bien au contraire. J’étais souvent à la première place alors forcément j’avais l’impression d’être toujours loin des discussions un peu parasites et surtout de la rencontre des gens. « Maladroite ? Vous manquez d’orientation plutôt non ? » dis-je en rigolant pour détendre un peu la demoiselle qui semblait être prise dans son malaise désormais de s’être trompée de tente. Ce n’était pas si grave que cela. « Ne vous inquiétez pas. Il n’y a aucun mal, vous êtes en mesure de retrouver votre tente ? Dans quel endroit du camping elle est ? Sans quoi, vous pouvez toujours passer la nuit ici si vous avez peur de vous reperdre. Je ne suis qu’avec ma fille qui dort à point fermé et c’est peu dire. » Je chuchotais toujours de peur de la réveiller. Le jeu de regard me mettait également mal à l’aise, je n’aimais pas particulièrement ces situation particulières dans lesquelles on ne savait plus trop où se mettre après tout, peut être que nos deux tentes se ressemblaient et puis dans la nuit comme on dit tous les chats sont gris.
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| mot doux de Invité ► un Jeu 24 Déc - 13:18 | | | Je l’avais reconnue enfin de loin, de prés. Je n’avais plus vraiment été à l’église depuis longtemps mais on s’en fiche. L’important est que je l’avais reconnue mais son discours assez confus quand elle me disait oui et non me perturbait. Je fronçais les sourcils en l’écoutant mais riant au sujet des 4 filles du docteur March. C’était bien ma veine, j’étais allée dans la tente d’une femme avec un enfant par erreur et elle prie aussi avec son papa parfois. Elle allait sûrement lui dire de m’envoyer au paradis même si ça ne marchait pas ainsi dans les paroisses. Maladroite ou manquer d’orientation ? Oui, un peu des deux, un peu de tout. J’en riais doucement sur le coup mais je devais avouer ne pas savoir si j’avais bien fais. Peut-être qu’elle allait m’en vouloir ou me prendre pour une folle ? Elle ne semblait pas vraiment. Je souriais quand elle me disait qu’il n’y avait aucun mal. Je savais tout de même qu’il fallait que je retrouve ma petite sœur avant qu’elle ne s’inquiète un peu trop. Sourire, m’amuser d’une erreur. Cela semblait assez superficiel après la mort de mon petit frère. Tellement superficiel. Je secouais doucement la tête en souriant. « C’est gentil mais ma sœur doit s’inquiéter ! », disais-je alors avec sincérité. C’était gentil et si j’étais seule ? Pourquoi pas mais je ne voulais pas la laisser ainsi. Je tentais d’aller vers la sortie de la tente sans faire trop de bruits. « Désolée tout de même de vous avoir dérangée et peut-être qu’on se recroisera dans la ville. En tout cas cela sera un plaisir même sans être dessous une tente. », lui confiais-je avant de me lever. Je me baissais pourtant presque aussitôt et laissant un petit signe de main s’échapper. « Bonne nuit ! », souhaitais-je alors à la blondinette qui avait sa fille endormie non loin d’elle. Je me relevais à nouveau pour rejoindre ma tente et de doux rêves.
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