l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 14 Oct - 0:56 | | | joan & lullaby tant que tu ne lui donnes pas aussi un téton... à l'un comme à l'autre. Voyons ! Et oui, Joan avait fait couler de l’encre depuis son retour à Pasadena. Avouer que je ne lui en avais pas voulu serait un mensonge mais je trouvais au final qu’elle s’en sortait pas mal pour s’améliorer. Je ne voulais en aucun cas lui reprocher ses erreurs. Ce n’était pas du tout ce qui motivait une personne à changer puis j’avais l’impression que tellement de personnes s’évertuaient à lui faire de la misère. Pourquoi une de plus sous prétexte que je suis sa fille ? Elle était bien plus loyale actuellement que n’importe qui d’autres à mes yeux de toute façon. Je préférais simplement l’encourager dans sa démarche en souriant alors qu’elle disait que je n’avais pas le choix. C’était un fait puis je n’étais pas du tout le genre de femme à avorter sinon… bah voilà, je me haïrais moi-même sans nul doute. Je riais quand elle parlait de voyage. C’était assez amusant de l’écouter car je savais que beaucoup de femmes y arrivaient et puis beaucoup faisaient tellement de choses en étant enceinte qu’elle en était plus amusante qu’autres chose à mes yeux. Je penchais la tête quand elle me demandait aussi de changer de boulot et je secouais aussitôt celle-ci en souriant. Je ne voulais pas spécialement changer de travail. Bien sûr, j’étais tellement épuisée que j’y avais pensée et surtout par ce que je ne pouvais pas tout gérer mais j’aimais bien aider les autres. Le retour de Rett dans ma vie n’allait rien changer. Savoir qu’il n’était pas mort… et que j’ai voulue faire ce métier pour rien ne changeait pas mes idéaux. « Je ne vais pas mourir ! », lui disais-je en souriant. Ce n’était même pas discutable. Je changeais même rapidement de sujets en parlant de Cordelia car je ne voulais pas vraiment me retrouver dans la conversation qui relate sur mon boulot. Je savais qu’il y avait des risques mais je savais aussi que j’étais bonne dans ce job. Je savais que j’étais douée, oui. J’étais capable d’aider les autres et c’était peut-être une mauvaise idée mais une part de moi n’était pas prête à abandonner ce qui était devenu une partie de moi-même. Cordelia étant sur le « tapis », je l’écoutais alors après avoir défendu son mari. Je devais avouer ne pas avoir une complète confiance en lui mais je savais qu’il était un homme bien. Il fallait avouer que je le connaissais peu mais bon. Je trifouillais dans ma poêle avec une cuillère en bois alors que je relevais les yeux vers elle en l’entendant parler de mariage. « Une sur deux, c’est déjà bien ? », lui demandais-je alors en souriant. « Et qui sait Rhiannon y passera aussi ? », rajoutais-je non pas sans négativité mais juste pour lui montrer qu’elle pouvait encore vivre ça. C’était vrai que Cordélia n’avait pas faite les choses comme tout le monde mais malheureusement parfois ça ne tournait pas toujours comme on pourrait le vouloir. Kennedy, Kate… eux aussi avaient déçus en se mariant en secret. Je fronçais le nez au long de son discours. Je me tournais pour aller chercher deux assiettes que je ramenais pour les poser sur le plan de travail et je prenais une seconde en plastique avec Minnie que je mettais sur la chaise haute. « Du peu que je sache, lui n’aime pas son beau-père donc apparemment le père de Cordélia… », disais-je alors perplexe en riant nerveusement. « C’est nouveau ça ! », rajoutais-je aussitôt. « Au final les Jones ne sont pas aussi tordus… qu’on pourrait le croire ! », lâchais-je d’un souffle comme avec de l’ironie dans la voix mais il fallait avouer que c’était tordu. « Les gens ne sont pas obligés d’avoir tes croyances pour être des personnes bien et puis Aiden n’est pas scientologue et il n’est même pas catholique malgré tout. Papa l’accepte sans soucis aussi… », disais-je en riant. « Bon d’accord, c’est un mensonge mais pétez tous un bon coup ! », rajoutais-je pour parler de mes deux parents donc autant de Joan que d’Holden. « Oui, vos enfants n’ont pas les gendres ou les situations dont vous rêviez et alors ? J’ai vécue pendant 6 années avec papa qui détestait Aiden… même s’il me dit que le mot est trop gros… pour résumer mais c’était invivable pour moi-même si je faisais bonne figure… crois-moi pour lui aussi. », expliquais-je aussitôt. « Cordelia est adulte, c’est une femme qui a le droit de prendre ses propres décisions. Elle l’aime, elle est amoureuse et au point de lui offrir la moitié de sa vie… Elle n’en reste pas moins ta fille même si elle est mariée, elle est même encore ta princesse mais elle fonde juste son royaume… mais si tu ne veux pas instaurer la guerre entre vos deux pays… Il faudra mettre de l’eau dans ton vin autant qu’elle… », lui annonçais-je tout en faisant le service. « Crois-moi, ça deviendra vite invivable pour elle et si tu l’aimes autant que tu le dis, oui… tu devras faire avec ensuite tu n’es pas obligé de faire des diners chez eux. On n’en fait jamais entre les Jones et les MacCallister ! », lui annonçais-je en haussant les épaules. « Après il y a les anniversaires, les diners, les baptêmes mais imagines il y aurait eu son mariage ? Tu aurais fait comment ? », lui demandais-je en souriant. « Tu devrais les remercier d’avoir fait ça en ivrognes ! », lui disais-je sans mâcher mes mots car donnant donnant, elle n’avait pas eue à supporter la famille de Caleb. Je servais alors les deux assiettes. J’en glissais une devant elle et je mettais deux couverts. J’allais aussitôt chercher Nora pour la mettre dans sa chaise haute. Je surveillais en passant que Dylan dorme bien et j’attachais la terreur avant de lui servir aussi une portion avec des petits morceaux. Elle prenait la fourchette en plastique et mangeait toute seule comme elle apprenait encore à le faire. |
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| mot doux de Invité ► un Dim 25 Oct - 9:52 | | | « Et qui sait Rhiannon y passera aussi ? » M’ouais sauf si les sœurs se sont passé le mot. Plus rien ne m’étonnera dans cette famille, alors me voir me faire rejeter une seconde fois, ce serait comme sortir les poubelles dehors, comme si de rien n'était. En réalité, je voyais très peu Rhiannon et j’ignorais totalement si elle fréquentait un homme ou non … Mais vu son physique d'enfer , je doute fort qu’elle passe ses nuits seules dans son lit… Et puis, comme on dit : telle mère, telle fille. Je ne supportais pas la solitude quitte à me faire passer pour la première des grosses putains, je m’en fichais tant que j’avais une occupation.
JOAN _ « Eh bien, merci, c’est mon dernier espoir de vivre et d’insister à un mariage digne de ce nom. »
Quoique…. Je pourrais bien me marier aussi …. Un jour … Ou pas. C’est vrai qu’il faudrait être complètement fou pour oser me demander en mariage, mais qui dit, il y a peut-être un joli gendre qui m’attend dans ce monde de brute, et de pervers.
Sans blague, qui aime le père de ma fille à part sa dévergondée de bonne femme ? C’était qu’une sale petite ordure et un sale manipulateur. Il s’était servi de mes propres sentiments pour pouvoir s’approcher de ma fille et d’avoir ma bénédiction alors, oui, j’avais de quoi aussi lui en vouloir même lui souhaiter la mort à cette déjection humaine.
JOAN _ « Tu parles de Wayne ? Je peux le comprendre sur ce coup- là ‘’ le pourquoi’’ il n’aime pas ce raté. » Oh ainsi, j’avais un point commun avec mon beau-fils ? Adorable, hein ? Peut-être qu’on final pourrait s’entendre qui dit ? « En fait, je crois que la question à se poser réellement, c’est : y a-t-il une famille normale dans ce monde de fous ? J’en doute fort et puis, chaque famille à son propre secret et c’est justement ça qui rend la vie encore plus excitante. » Holden avait fait don de son sperme à trois femmes différentes, récoltant ainsi un bâtard, tendis que sa tendre femme, Jane aime les moules,, et c’était encore moi la chienne dans cette histoire ? Hmm chercher l’erreur. En fait, j’étais la seule qui paraissait normale dans cette famille. Bon okay, par moment, il me manquait royalement une bonne casse, mais, que voulez-vous ? J’étais Joan, l’unique Joan. Le sujet de la scientologie avait toujours été un sujet très tabou avec ma fille, en fait, je n’avais pas trop envie d’approfondir ce sujet, car au final, elle ne comprendra jamais. Dans ma croyance, il n’y avait ni dieu, ni prière, ni enfer, ni de paradis. C’est une sorte de philosophie, qui d’aide à aboutir le meilleur en soi, la connaissance de soi, tout en offrant la possibilité d’améliorer ton existence, et de contrôler ton propre destin. On t’offre le choix de suivre ton propre chemin vers le pont de la liberté, car oui, nous sommes libres, et immortels. « Tu ne peux pas comprendre, Lulu, et n’essaie pas. » disais-je en piquant en vitesse un morceau de nourriture qu’elle préparait. Oui, je crevais la tale alors, je me permettais. « Bah, s’il n’est pas scientologue, ni catholique, il est protestant, donc ton père devrait être ravi ? Ou alors, il est musulman ? Pourtant, il n’a pas une tête d’arabe donc, je doute qu’il le soit ou alors, il s’est converti » disais-je en mâchant convenablement « Est-il bouddhiste ? On ne sait jamais. »
Ha non, ça, c’est clair, mes enfants, ni mes gendres ont la situation dont je rêvais, mais que pouvais-je faire ? Je l’avais accepté le fait que Cordi fasse des études qui lui servira strictement à rien, car au fond, je ne voulais que son bonheur et la forcer à travailler, et à devenir mon bras droit dans ma société n’était pas une bonne idée. Et puis, Gemma faisait de l’excellent boulot avec son joli petit cul d’enfer.
JOAN _ « Pourtant Aiden est un homme bien, et je suis bien contente qu’il t’ait choisie comme épouse. Il te mérite, et je sais qu’avec lui, tu es en sécurité… Par contre, n’oublie pas de lui mettre la laisse, un homme aussi sexy ça fait baver plus d’une, et même si ton mari est l’homme le plus fidèle qu’il soit, une trainée n’en a rien à cirer. »
Je n’avais pas envie qu'elle retrouve un mari abusé sexuellement par une folle dingue… J’ai connu des maris qui aimaient éperdument leurs femmes, et pourtant, avec un tout minuscule remords, j’avais couché avec quelques gars pareils. M’ouais, quelle horrible femme que je suis … Mais comme je le disais, et je me le répète, je suis Joan, la dévastatrice. « Mais si tu veux tout savoir, je comptais sur Cordi pour reprendre mes affaires parce que tu sais autant que moi que je ne pourrais pas vivre éternellement dans ce corps » disais-je en me pointant du doigt. « Alors oui, je suis déçue par ses nombreuses décisions, et mettre de l’eau dans mon vin sera un réel gâchis, mais elle reste ma fille, malgré tout, et je l’aime … Je vous aime … » Tant qu’elle ne quitte pas la scientologie tout ira bien par contre, si au cas contraire, là, je risquais fortement de prendre le vin sans une seule goûte d’eau. Bref, une fois la table mise, et après avoir bien glandé - à regarder ma fille tout faire, je m’asseyais. Je n’avais pas trop l’habitude de faire un repas, et encore moins, mettre la table alors oui, et je suis navrée, mais l’idée de lui venir en aide ne m’était pas venue à l’esprit. « Déjà, il n’y aura pas de baptêmes » Oui, j'avais ce défaut de toujours vouloir tout contrôler dans la vie et ça, en jouant avec cette carte là, je risquerais d'avoir un retour de manivelle. « J’aurai fait comment pour le mariage ? J’aurai invité le plus beau mec, et j’aurai fait l’amour sous les yeux de ton dieu, Jésus, Marie, Joseph. » disais-je en riant tout en plantant ma fourchette dans mon assiette. Bref, heureusement que Nora ne comprenait pas grand-chose et puis, intelligemment, je l'avais murmuré à Lulu. « Je rigole ma puce, disons, que j’aurai pu lui offrir le mariage que j’aurai aimé avoir …. » Trêve de connerie, je mangeais enfin un petit morceau, et voyant que la petite Nora galérer pour tenir et prendre sa petite fourchette, je l’aidais donc instinctivement, telle qu'une mamie ferait « Ta petite maman adorée est bien plus douée que moi en cuisine, n’est-ce pas mon chou. » j'affichais un sourire tout en lui mettant une petite bouchée dans sa bouche. |
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| mot doux de Invité ► un Sam 26 Déc - 14:09 | | | La religion était un sujet avec lequel j’avais du mal parfois. Têtes d’arabes, musulmans… tout ça. Cela sonnait raciste mais pas seulement. Cela sonnait stéréotype. J’étais assez sociable pour connaitre des personnes comme moi qui sont musulmanes et des personnes venant d’Arabies qui sont loin d’être des monstres voir catholiques. Je levais les yeux, préférant arrêter de parler de religions avec ma mère. C’était mieux ainsi. Ce n’était pas un sujet donc on pouvait toujours parler ouvertement car il est assez rare que les gens soient d’accord. Je ne dirais pas pour autant que cela soit un sujet tabou mais un sujet à force controverse. Je l’écoutais surtout parler d’Aiden, de mettre une laisse, fidélité etc. Je roulais des yeux. « Merci du conseil ! », disais-je en laissant dessiner un rapide sourire mais secouant doucement la tête. « Tu ne peux pas forcer quelqu’un à reprendre tes affaires s’il n’en a pas envie ! », lui disais-je en relevant le regard vers elle alors que je goutais à ce plat. Une grande vérité. On ne peut pas faire ça. Non. Je connaissais assez Cordelia pour savoir que ça ne l’intéressait pas du tout de reprendre les affaires de notre mère. Je fronçais les sourcils. « Et si elle veut un baptême, c’est son enfant pas le tien, maman ! », lui disais-je alors cette fois un peu plus sec mais il fallait avouer que j’adorais mes moments avec ma mère mais moins que l’on veuille contrôler ma vie alors entendre des gens vouloir contrôler la vie des autres était encore une autre façon de détester ça. Je roulais doucement des yeux, l’écoutant parler du mariage et dire qu’elle rigolait. Je souriais, je n’en étais tellement pas sûre. Après elle fait ce qu’elle veut aussi. Quand elle parlait du fait que j’étais douée, je riais nerveusement. « C’est Jane qui m’a tout appris… », disais-je simplement en tournant le regard vers elle et lui offrant un sourire. « On peut au moins reconnaitre qu’elle a fait du bon boulot ! », rajoutais-je sans vouloir vexer Joan. Pas du tout. Ce n’était pas le cas mais la soirée continuait jusqu’au retour de monsieur MacCallister s’il reste des restes pour lui. Espérons que Joan n’ai pas tout mangée.
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