rêve de ta vie en asile, c'est le secret de la frayeur par ce qu'on sait tous qu'elle finira chez les fous avec son mari écureuil ▬ lullaby & rainbow featuring nicola & maiwenn
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mot doux de Invité ► un Sam 11 Avr - 18:04
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rêve de ta vie en asile, c'est le secret de
la frayeur par ce qu'on sait tous qu'elle finira
chez les fous avec son mari écureuil
Sur la route vers l’hôpital, je marchais sagement. J’allais bientôt y arriver quand en me penchant, je trouvais un charmant petit œuf sur le sol. Miam. Du chocolat. Je me penchais pour l’attraper. C’était le premier que je trouvais ce mois-ci et j’étais assez heureuse à vrai dire. Je laissais un grand sourire se dessiner sur mes lèvres. Pâque ? J’adorais cette saison même si c’était bien loin d’être ma favorite et en fait… je ne savais même pas si j’avais une saison favorite. En avais-je ? Enfin par saison, je devrais plus vite dire : une fête. Mais oui. Cette fête parlant d’un lapin qui vient laisser des chocolats partout aux enfants tout comme aux adultes par ailleurs. J’adorais pouvoir aller à la chasse par moment mais avec le boulot et Nora mais aussi la grossesse, cela devenait réellement difficile de devenir un fan de pâques. Je ne pouvais que m’imaginer en train de peindre des œufs avec de belles couleurs et mettre ensuite des rumeurs pour faire juste une belle décoration puis ne parlons pas des nids de pâques qui étaient juste trop bon mais dans le fond ? Je ne savais pas vraiment à quoi servait cette occasion sauf de nous faire grossir. Ce n’était pas comme noël qui nous apprenais le partage même si cela se perdait mais pâques était aussi une bonne façon de nous faire comprendre qu’en étant un chaud lapin, on faisait fondre le chocolat pendant la chasse. Donc apprenez qu’en voulant coucher avec tout le monde, vous perdez ce qu’il y a de bon dans la séduction et l’amour. En voilà un raisonnement. Future philosophe. En gros, j’adorais pâques et ses traditions sans en comprendre réellement le but bien qu’elle ait un rapport avec la religion mais depuis quand dieu nous proposes de chasser des œufs pondus par un lapin… car oui en toute logique ce sont des lapins qui les distribuent mais depuis quand les lapins pondent ? Non mais vraiment. C’était comme dire qu’un chaton aboyait… pour réveiller ses maitres. Etrange tout de même le Saint-Esprit. Je ne cherchais pas à comprendre, chacun ses croyances mais relier pâques, papa noël et tout aux religions me semblaient étranges car on fêtait au final deux choses qui avaient peu de rapport. Où est le rapport entre papa noël et la naissance du petit jésus ou les rois mages ? Nulle part. Il  y a clairement des intrus. Seule dans la salle d’attente, une infirmière venait de me demander d’attendre et d’aller faire pipi dans un petit pot. Sage comme une image. J’avais obéi et j’étais allée à la toilette. Je m’agitais un peu par-dessus le petit pot en me dandinant comme une abruti sur le move de la musique qui passait à la radio. Mon pipi sortait sagement pour aller dans le plastique. Oh mon dieu mais qu’est-ce que ça soulageait réellement. C’était apaisant et ça faisait un bien fou. Mon petit pipi tout chaud dans le gobelet, je me redressais pour faire tout ce qui était hygiénique. On s’ensuit et on se rhabille tout naturellement. Je me tortillais tout de même pour remettre ma petite culotte correctement car elle me rentrait un peu dans le popotin. Non mais quand même. Je soupirais au frottement de ma robe sur la piqure de moustiques que j’avais découverte au réveil. Il y avait un petit gonflement et c’était chiant car je ne pouvais pas mettre de pommade à cause de la grossesse. Pouf. Je ne me sentais pas aussi fraiche et pimpante comme tulipes avec tout ça mais je me sentais juste piquée de partout et… ça gratte. Je sortais avec toute innocence des toilettes. Non, je n’ai pas uriné. C’est du jus de pomme dans mes mains. Vous ne le voyez pas ? C’est trompeur cette couleur quand même. Je suis sûre qu’Aiden boirait sens soucis ce pipi en pensant que ça sent bon la pomme ou du jus de raisin. Cochon. Le pouce réchauffé par le liquide, la jeune femme passait chercher le petit pot. Enfin la jeune femme. C’était simplement ma gynécologue. Je regardais rapidement les gens autour de moi. Je les contemplais. Un homme en fauteuil, une fille brune d’environ la vingtaine. Et peut-être d’autres personnes aussi. J’allais m’installer aussitôt et je me prélassais sur ce siège peu douillet. Je somnolais tout doucement, fermant progressivement les yeux. Petit à petit… je partais dans mes songes. Coup de barre ! Morphée m’avait bouffé.

C’est en rêvant que je me réveillais. J’ouvrais tout doucement les yeux en regardant autour de moi. Je me mordillais les lèvres alors que je voyais passer une tarte géante mais géante qui avait des jambes. Ne me demandez pas comment les fraises faisaient pour tenir dessus mais je m’en fichais. J’avais juste enfin de la dévorer. Elle était parsemée de morceau de truffes. Hummmm. « Monsieur la tarte, revenez… », disais-je en me levant alors pour tenter de la rattraper mais la tarte s’en allait de sous mon nez. Elle était géante pourtant, elle pouvait partager. C’est alors que je me tournais avec ma moue que je voyais mon reflet dans la glace. Je commençais par regarder en bas. Je voyais mes chaussettes et mes chaussures… seulement ça. Le pire était sûrement que je ne portais pas de chaussettes mais juste des ballerines mais elles étaient apparue après le passage du marchand de sable. C’était peut-être une chimère ? Non, sûrement pas. On m’avait volé mes vêtements, c’était tout. Je n’avais même pas de pyjama en remontant un peu. Non. J’étais nue. Mes cuisses étaient nues et même pas une seule petite culotte ou un soutif. J’étais juste à poil. « AHHHHHHHHH… », m’écriais-je aussitôt alors que je me tournais vers les autres patients. J’attrapais alors le triangle de billard qui se trouvait sur la chaise. Il venait d’apparaitre comme par machine et sans réfléchir… je l’utilise pour cacher mes parties intimes mais euh ? Il y a un peu un trou en fait… on ne cachait rien, cocote. Je rebaissais le regard vers le triangle qui se transformait aussitôt en une glace appétissante. Magique. Je souriais doucement en chantonnant. « Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux ! », chantais-je donc en sautillant. Je prenais une cuillère de la glace qui me gelait un peu le cerveau au fur et à mesure. Je secouais la tête avant d’aller m’assoir, nue… c’est là qu’une personne croisait mon regard. Je me relevais soudainement comme guérie de la gelure de mon cerveau. C’était magique d’un coup mais je me sentais puissante comme Batman par ce qu’il est puissant sans super pouvoirs. J’attrapais alors la chaussure à mon pied et je le menaçais avec. « Rendez-moi mes vêtements… avant que le croque-mitaine arrive… je vous le dis, il va nous piéger dans un monde assez étrange et artificiel. Il va faire des manigances contre nous et ça sentira tellement bon la vanne qu’on en pétera des blagues. On se fera rôtir et il va s’émerveiller de l’ambiance glauque du moment. Il est tordu ce monstre… », disais-je en étant tellement sérieuse que je ne remarquais pas la chenille sur l’épaule de cet homme qui semblait s’être efféminé pendant ma sieste. La chenille fumait clairement le cigare. J’arquais un sourcil. « Vous avez une chenille qui fume sur votre épaule… », le prévenais-je doucement. « Faites attention au cancer ! Il a des cernes d’ailleurs… faudrait qu’il dorme… », disais-je par prévention toujours et je regardais cette femme pas très loin. « C’est lui… il s’est déguisé en femme, je suis sûr… », c’était seulement la pauvre jeune femme de la vingtaine. Elle avait ce regard effrayant. Je sentais le coup bien perfide… arriver. La coloration de sa peau était étrange d’ailleurs. J’en sursautais alors qu’elle virait au violet… « Ahhhhhhhh… », je me cachais aussitôt derrière l’homme et sa chenille.
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mot doux de Invité ► un Jeu 16 Avr - 7:44
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la frayeur par ce qu'on sait tous qu'elle finira
chez les fous avec son mari écureuil
J’avais tout organisé   dans ma tête, je voulais devenir une femme et apprécier les joies des cunnilingus avec une femme. Oui, j’avais découvert que j’étais pansexuel, tant que je n’étais pas fan des poussins  ou des renards  personne n’allaient se plaindre ? Je n’étais pas zoophile.  Heureusement.  Enfin,  je devais aller voir ce médecin pour un rendez-vous de plus qui me rapprochait de mon but ultime. Je portais des dessous affriolant, j’étais l’une de ces bimbos, ne se respectant pas. Oui, tous les jours, je changeais d’apparence, j’étais toujours une femme, même si j’avais encore cet anaconda entre les cuisses que je n’osais même plus toucher, même pour faire pipi … heureusement, je pouvais rester assis. Bref.  La magie d’être une femme c’était de pouvoir passer à la prude, la douce, à la garde ou à la petite écarteuse de cuisse. J’adorais tous ces aspects de la femme.  En ce Lundi  j’étais une petite femme qui allait donner bien des envies a beaucoup de personne, je portais encore mes vrais cheveux sans perruque, j’étais pourtant maquillé avec outrance, rouge à lèvre pétant pour envoyer des baisers  à ceux que je trouvais plutôt mignon.  Je me sentais femme, et j’avais très envie de le montrer, mais il faut dire qu’être assise dans cette salle d’attente ça n’aidait pas.  Je regardais un peu autour de moi, finissant par voir cette barre de danse. Je grimpais dessus commençant à lancer mes jambes en l’air, faisant un peu craquer ma jupe déjà courte, mais on s’en fichait. Je sentais les regards sur moi,  j’étais peut être pitoyable  pour certains, d’autres voudraient me sauter dans les plumes, mais je m’en fiche.  En vrai dans ma tête je voulais ressembler  à Raiponce, alors il était normal que ce soit une chanson de ce dessin animé que je chantonne. Je souriais laissant les paroles sortir petit à petit de ma bouche tout en continuant à me déhancher. « J'ajoute de la couleur, il en manque j'en suis sûre. » Il ne me manquait que la petite poitrine et le sexe en moins, pour lui ressembler, la couleur de mes cheveux seraient ceux quand elle coupe ses cheveux par sacrifice ! Je serais tellement ravi de lui ressembler. Je mordais ma lèvre, en finissant par faire un grand écart.  Je  me sentais si bien, si malin, même si pour le moment  mon esprit continuait e penser à moi tel à un mâle. Cela finira par passer. « Ensuite je brosse, je brosse et brosse ma chevelure. Dans cette prison où j'ai grandi … »  Je venais de finir et j’allais me rassoir prêt de la jeune femme où j’étais juste avant prenant une fraise au passage, elle était succulente  cette dernière.  J’observais avec de grands yeux, un homme tout nu tomber au sol tel un narcoleptique, il venait de s’endormir avec son petit asticot à l’air. Je fronçais les sourcils fermant les yeux espérant voir quelques choses de mieux, je secouais la tête rouvrant les yeux et là … magie.  C’était une belle femme qui donnait envie de croquer. Même si c’était comme le chocolat mal d’en manger.  Je finissais par cligner à nouveau des yeux et là je voyais un œuf en chocolat, je me pressais dessus le gardant bien précieusement contre moi ! On allait me le voler  et il en était hors de question de laisser une quelconque machination  se mettre entre nous.  Une femme me parlait, elle me parlait du croque mitaine, je fronçais les sourcils, alors que je regardais un peu partout. «  Il va vous bouffer vous ! Vous êtes assez  grosse pour ça ! » Je tirais un peu la langue cachant mon chocolat, ouai, je n’avais pas confiance et encore moins en elle, jamais avoir confiance à ce genre de personne, elle avait la peau verte, on aurait dit un crapaud.  Je finissais par regarder mon épaule, en écarquillant les yeux, et zut, une chenille, je paniquais, je n’aimais pas ces bêtes … je souffle dessus et hop elle s’envole avec sa cigarette qui me brûle mon haut de petit traîné.  «  Han par votre faute ! Je devrais vous tuer ! » Je devrais réellement la tuer.  Elle m’avait gâché ma tenue en m’apprenant pour cette sale chenille sur l’épaule. J’avais envie d’un matelas, je l’allongerais avec moi et l’étouffais avec un coussin fait de plume  pour la faire mourir directement. Je clignais des yeux avant de tourner sur moi-même, espérant que cela allait la transformer comme je le désirais. «  Oh joli crapaud. »  Je la regardais enfonçant le petit joint qui trainait à côté d’elle.  Je la regardais  la faisant fumer, je l’entendais tousser, elle allait peut être trépassé ? Oh,  mais les autres fixaient mon chocolat ? Ils allaient me tuer pour l’avoir ? Je n’étais pas d’accord, non pas du tout, je prenais mon ami le crapaud, quoi que c’était peut-être une grenouille. Je me collais contre une femme, cette femme qui était si moche … brune et un peu une sorte de zombie au vu de son teint. Je soufflais sur la grenouille «  Parle-moi ! Je m’ennuie ! » Disais-je. Avant de me laisser à péter.  « Zut, mais pourquoi  tu pètes, on va croire que c’est moi ! »  Oui, j’accusais cette grenouille, puis zut, elle n’avait pas l’air de parler ou alors elle boudait ! Elle était ronchon celle-là.
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mot doux de Invité ► un Lun 11 Mai - 1:28
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Mes pieds, un univers bien étrange à mes yeux mais today, ils sentaient tellement mauvais. C’était dans l’esprit d’une autre personne. C’était dans la tête de Lullaby que mes pieds puaient le fromage posés sur un dossier du bureau. J’attrapais le coupe ongles en regardant l’heure. L’horloge tachetée dalmatien me regardait de ses yeux ronds. Oui, l’horloge avant des yeux et elle me souriait. Elle avait des lèvres aussi. Bien sûr mais oui, bien sûr. Je prenais une profonde inspiration en regardant alors mes pieds. De la fumée comme pour un fromage pourri s’en émanait alors que l’odeur me faisait sourire. Ils sentaient bons à mes yeux. Oui, bon comme du cheddar ou peut-être pire. Je ne m’y connaissais pas en fromage. Vraiment pas. Je prenais une profonde inspiration coupant ongles par ongles. Une musique des Spice Girl passait. Wannabe… J’en secouais doucement mon popotin en souriant comme une abrutie avant de sortir le vernis de mon tiroir. J’ouvrais le tube vert caca pour prendre le pinceau avant de m’occuper des ongles de mes pieds. Je passais la tête de gauche à droite avant que… bing, mon toaster se levait avec une feuille. C’était un toaster faxe enfin c’était l’accueil qui m’annonçait l’arrivé d’une de mes patientes. Le pot de pipi de Lullaby à côté de moi, je l’attrapais au lieu de prendre mon verre d’eau. Je me levais en allant vers ma porte. Je portais un soutien à gorge jaune fluor par-dessus mon chemisier noir pour que ça ressorte mieux. Croyez-le ou non, c’est la dernière mode à New York. Enfin ça l’était dans l’esprit de ma patiente un peu étrange mais pour moi, c’était une vérité dans ce rêve. Je n’en démoderais pas et j’adorais cette mode. Fièrement. J’ouvris la porte en m’approchant de la brunette. Pas celle qui est enceinte mais la seconde. Je lui souriais doucement. « Brunette, c’est ça ? Vous venez pour ? », bah oui voilà son nom car Lullaby ne le connaissant pas… Comment pouvait-elle l’appeler autrement que brunette dans son esprit ? Cela semblait tellement logique pour moi qu’elle s’appelle ainsi. Je n’étais dans le fond que l’objet d’un rêve. Je passais une main dans mes cheveux, me grattant doucement soupirant. Cela faisait quelques jours que je n’arrêtais pas de me gratter. L’on voyait des poux pas vraiment discrets sauter sur ma tête comme si elle était un trampoline. Je levais les regards en souriant à l’un d’eux. « Fais gaffe, tombes pas ! », lui disais-je alors que je tournais mon regard vers les deux autres qui semblaient bien s’amuser. Je retournais mon attention sur Brunette en prenant une profonde inspiration et c’est là que je me mettais simplement à aboyer sans autre forme de procès. Oui, j’aboyais tout simplement. C’était la chose super naturelle que je faisais tous les jours. J’aboyais sur cette jeune femme avant d’approcher. Comme un chien, je me frottais contre elle enfin plus vite comme un chat. Je me léchais doucement les babines avant d’aller sentir au creux de son oreille. Ça sentait bon… enfin ça sentait l’oreille. Je me prenais pour un chien, un chat et puis quoi ? C’est à ce moment-là que le pipi de Lullaby se renversait littéralement dans le décolleté de la jeune femme. Oui, littéralement. Tout coulait hors du pot et je reculais en grimaçant. « Oups… », disais-je en riant nerveusement. Bah je fais quoi maintenant ? Je levais le pot dans les airs avec triomphe. « Yoppppppppppppppppa ! », disais-je comme les grecs en pleine soirée bien électrique. Oui, pourquoi ? Je n’en avais aucunes idées mais c’était ainsi. Je souriais doucement en regardant Nicola. « Je suis désolée, c’est du pipi, je pense que vous ne risquez rien sauf de tomber enceinte… c’est transmissible, faut faire attention ! », murmurais-je alors comme un secret. « Bon, vous êtes prête pour votre frotti ? », lui demandais-je aussitôt. Oui, je venais de renverser du pipi sur cette femme et je lui demandais si elle était prête pour son frotti comme c’était naturel de faire cette gaffe mais elle avait tout de même une allure étrange. C’était quoi cette tenue de croque-mitaine ? Je n’en savais rien. Je trémoussais pourtant soudainement mon popotin pour faire un jackson five bien orchestré ! Je tournais mon attention vers elle. « Dansez, dansez, c’est la vie ! », m’écriais-je avec joie.
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