l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
|
|
| |
| |
---|
Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Sam 4 Avr - 23:34 | | | Todd & Maïwenn j'ai surfé sur la lune pour chercher un remède contre l'envie de te revoir mais je n'ai rien trouvé donc tu vas subir ! Mais promis, ça ne fera pas mal !
Rassurée, en voilà un mot qui pouvait réellement être vrai mais parfois à moitié dans plusieurs situations. J’étais juste rassurée alors qu’il me disait simplement m’aider pour les meubles, les peintures et tout ça. Je ne savais pas vraiment comment se passerait cette journée avec lui qui me rappellerait peut-être un peu trop cette époque où nous étions en train de décorer notre chez-nous à l’époque. Je ne savais pas si j’étais prête à réellement m’en rappeler mais je m’en fichais. J’avais juste envie d’excuses pour passer du temps avec lui mais j’avais aussi réellement besoin d’aide. Je ne me sentais pas apte à faire ces travaux dont un homme était capable. Accrocher un lustre ? Non mais mon dieu, je ne pouvais pas faire ça. Je ne voulais tout simplement me demander comment j’y arriverais. J’avais peur que le lustre ne me tombe sur la tête. C’était l’avantage de New York… Il y avait toujours un voisin au chômage à soudoyer avec des cookies pour avoir de l’aide. Et monter un lit pour bébé ? Bon dieu, je me souvenais du premier lit que nous avions tentés de monter. Le plan était en chinois pour moi et tous ses morceaux de bois ? De l’arabe en matériaux ! Oh y croit. « Ça me va, je prendrais rendez-vous avec toi… à nouveau ! », disais-je avant que nous passions rapidement notre attention sur la nourriture et notamment les frites ! Oh oui, les frites. J’aimais bien ça mais fortement dommage que je n’ai plus très faim bien qu’hésitante à en prendre une tout de même. Rien que par grande gourmandise mais non, ce n’était pas bien. Je devais penser à ma ligne (pour me jeter stupidement sur le dessert mais oui). Je riais alors en l’entendant joyeusement parler de son rêve de reproduire la belle et le clochard. Je levais les yeux en secouant doucement la tête et… là, j’éclatais de rire en fermant les yeux. « T’es sérieux ? », lui demandais-je aussitôt en fronçant les sourcils. Je secouais la tête à nouveau. « Tu es totalement dingue ! », murmurais-je mais c’était d’une façon attentionnée. Et le sérieux revenait rapidement à cette douce confession réciproque que nous nous osions à faire. Oui, c’était sorti tout seul. Il me rendait vivante. Loin de Pasadena, je n’avais jamais été épanouie. Pas à ce point. Il restait comme ce vide dans mon cœur ou simplement dans ma vie qui avait besoin d’être rempli. Cette façon longue et perpétuelle de penser longuement à eux qui m’empêchait réellement de vivre pleinement. Il me restait encore un peu du changement à faire pour ne plus vraiment être vide. Il y avait notre fils aussi donc j’étais impatiente de faire la rencontre et je ne pouvais pas réellement le cacher même si je tentais de ne pas trop y penser. Je ne devais pas trop y penser au risque de paraitre psychopathe prête à tout qui pourrait même le kidnapper. Non. Rien d’excessif. Je n’étais pas vraiment excessive. C’est à ce moment-là que mon dindon favori revenait. Oh ce dindon. Bon dieu qu’est-ce que je l’adorais. Nous commandions aussitôt le dessert et je ne pouvais pas m’empêcher de rire quand il disait prendre la même chose. C’était assez amusant d’ailleurs car là, nous étions d’accord. Et c’est là que le serveur me regardait avec tellement d’intensité qu’il attrapait mon attention. Il était un peu fourbe sur le coup mais… tellement d’aplomb. Je ne savais pas trop quoi dire, pas trop quoi faire. Je ne savais pas comment réagir en fait. Je ne savais pas du tout comment le prendre. Une part de moi le voyait comme une offense mais l’autre comme un compliment. C’est alors que j’entendis la réaction de Todd. Elle était un brin sexy d’ailleurs. Cela faisait un peu chevalier classe et beau parleur qui sauvait avec élégance la jouvencelle en détresse. On se croirait presque dans un dessin animé… sauf qu’à mes yeux, on était plus Fiona et Shrek. Ahah. Plus vert et plus fun. Si le dindon était l’âne, ce n’était point ainsi qu’il allait rencontrer sa dragonne. Je le regardais me défendre et c’était tellement attendrissant. Vraiment. J’avais bizarrement juste envie de l’embrasser et le dévorer. Bon, peut-être pas mais je voulais réellement le remercier et même arrêter d’attendre mes sucrerie. Oui, j’en serais capable. Je devais juste me calmer et faire taire ses idées torrides que j’avais dans la tête. Je devais les mettre en silence. Je laissais échapper que c’était de sa faute mais oui, c’était avec humour que je disais ça avant de demander avec moins d’humour si je ressemblais à une cougar. Cette idée me traumatisait un peu à vrai dire. Je fermais doucement les yeux aussitôt pour les rouvrir rapidement en me demandant si j’allais finir par ressembler à Joan qui voulait se faire fouetter. Non. Hors. De. Question. Je ne voulais pas ressembler à ça. J’étais loin d’être prête à vieillir déjà. Et je riais doucement alors qu’il s’excusait avant de l’écouter montrer une douce violence verbale en parlant du dindon. Je levais les yeux en trouvant encore celui-ci tellement sexy. Oui, je le trouvais sexy. « Ce n’est rien ! », soufflais-je en fronçant les sourcils. « Pas de violence, cela ne résout rien… même si… », soufflais-je mais non. Je me stoppais aussitôt sur ces trois petits points qui laissaient une sorte de suspens. Le mystère. Que voulez-vous. Je le regardais avec attention mais je ne le quittais pas du regard sauf à la grimace qu’il faisait avant que le serveur n’arrive et reparte aussitôt qu’il était venu. Je ne disais point de mots. Je me contentais de regarder le dessert en le laissant gouter en premier. On ne sait jamais qu’il y a du poison ! Par prévention tout de même. Je souriais en l’entendant. « Je sais que j’ai bon gout, tu m’as déjà goutée ! », disais-je alors d’un murmure en penchant la tête pour le prendre juste au mot. Taquiner était une chose que je n’avais donc pas arrêtée de faire mais il était devenu la cible aussi. Je ne m’en prenais pas qu’à ce pauvre serveur. Je prenais alors ma cuillère avec un peu de glace, un peu de crème anglaise et un morceau de brownie avant de la porter en bouche et m’exaltant de ce mélange chaud et froid mais cette douce saveur. J’adorais ce trio de gourmandises. Je souriais tout en écoutant sa réponse, encore la cuillère en bouche. Je finissais par la retirer et le regarder avec tendresse. « Moi je voudrais… parcourir le monde, moi je voudrais voir le monde danser… », lâchais-je en chantant alors une chanson de la petite sirène. « Bah quoi, moi aussi je peux chanter ! », disais-je en fronçant les sourcils avant de sourire aussitôt. C’était une petite réponse à son envie d’être un ours… tellement classe et élégant. Je ne me sentais d’ailleurs pas comme la sirène dans cette chanson qui disait partir sans aucuns regrets car j’en avais. « Non sérieusement ! », soufflais-je en prenant mon verre d’eau pour boire la dernière gorgée et je le regardais attentivement. « J’ai réussi ce que je voulais entreprendre. Je suis devenue une femme diplômée, active, indépendante… même si je bosse dans cet hôpital, j’avais aussi un cabinet là-bas et peut-être que j’y penserais aussi à nouveau dans les mois à venir mais pour l’instant… j’ai envie de me concentrer juste sur moi-même. Cela fait 17 ans que je me concentre sur mon avenir en tant que gynécologue et j’en ai marre de m’abandonner sur le côté ! », J’haussais les épaules. « Mon projet est tout simple… je veux être heureuse et pas seulement dans mon boulot. Je veux pouvoir rentrer le soir à la maison et ne pas être seule avec un plat à réchauffer au micronde. Je veux avoir une personne avec moi dans ce grand lit vite ! », je souriais timidement en baissant mon regard. Je replaçais une mèche rebelle de mon chignon derrière mon oreille avant de relever mon regard vers lui. « Je ne sais pas si c’est la réponse à laquelle tu t’attendais à vrai dire… car en fait j’ai l’impression d’avoir presque eue tout ce que je voulais sauf vous… », disais-je en haussant les épaules, un air un peu triste sur le visage. C’était plus fort que moi mais j’avais surtout peur de sa réaction car nous n’avions plus de dindon pour nous sauver. Je penchais doucement la tête en plongeant mes yeux azures dans les siens. « Et je garde l’espoir qu’un jour ce lit sera comblé par une personne que j’aime ! », rajoutais-je alors sans vraiment trop être subtile. Enfin si un peu mais je n’allais pas lui rentrer dans le lard comme : Yo mec, tu veux venir dans mon pieu pour le reste de ta vie. Non mais là, cela serait réellement bizarre et je manquerais tellement de classe et je souriais aussitôt avant de baisser le regard vers mon dessert. Je ne savais plus trop ou me mettre. Je voulais me trouver un terrier, vraiment. Je continuais de manger rapidement. « Tu sais, c’était trop sexy quand tu as défendu la cougar en moi ! », soufflais-je en penchant la tête avant de faire des gros yeux. « J’aurais pu t’arracher tes vêtements sur place si je n’avais pas peur de faire des jalouses. », disais-je en me demandant si ça allait me sauver de mes plans d’avenir. |
| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Dim 5 Avr - 11:01 | | | Elle allait prendre rendez-vous avec lui. Dis ainsi, Todd croyait parler à un de ces clients ou bien fournisseurs et non à Maïwenn, la mère de son fils. Cela faisait bizarre de prendre rendez-vous avec elle, c'était .. pas vraiment commun. En même temps, leur situation n'était pas très commune lorsqu'on y pensait. Quoiqu'il en soit, le jeune homme espérait que le prochain rendez-vous avec la blonde ne se ferait pas attendre trop longtemps. Il rigola avant qu'il ne se mette à parler de son rêve assez bizarre en soit, il voulait bien le reconnaitre. Vouloir réaliser certaines scènes des plus grands disney, ce n'était pas tout le monde qui avait un rêve pareil. Et pourtant Todd l'avait. Et il ne le cachait pas. Et pour cause, il se sentait unique avec ce rêve, il pouvait paraitre ridicule, mais au moins, lui était un rêve réalisable contrairement à d'autres. Il ne put s'empêcher de rire lorsque la blonde lui dit qu'il était dingue. Il ne le prenait pas mal du tout, bien au contraire. Venant de sa bouche, il prenait ça même pour un compliment. Et puis les gens associaient trop le mot dingue à une signification négative. Ce qui n'était en rien le cas du beau brun. « Je sais ! Et fier de l'être ! » Avoua-t-il en prenant un ton qui montrait qu'il était sûr de ces paroles. Todd disait souvent aux gens qui le traitaient de fou, de dingue voire de déganter, que c'était un cadeau de la nature d'être ainsi, car il pouvait profiter de la vie pleinement en faisant des choses extraordinaires. Les gens trop sérieux, trop coincés des fesses, passaient souvent à côté d'aventures formidables, d'expériences à ne pas rater. Il fallait un grand de folie que profiter de la vie. C'était en quelque sorte la devise de Todd. Sur cette note d'humour, le dîner arrivait presque à sa fin, le serveur revenant alors avec les desserts. Mais tout ne se passa pas comme prévu, le dindon disant alors à l'intention de Maïwenn qu'il aimait les cougars. Todd n'avait pas rêvé en écoutant ça : le serveur pensait que la blonde était une cougar. Ce qui n'était pas le cas, enfin le beau brun l'espérait tout du moins. En tout cas, ça n'allait pas se passer sans que le jeune homme ne mette les pieds dans le plat. Il ne pouvait tolérer qu'on parle ainsi à la mère de son fils. De plus, il trouvait ça totalement déplacé de la part d'un employé d'un restaurant, cela faisait une mauvaise pub. S'il ne savait pas qu'il était nouveau, il prévoirait de ne plus remettre les pieds dans cet endroit. Quoiqu'il en soit, Todd ne se retint pas pour le menacer, lui faisant comprendre qu'il allait être assez amoché s'il continuait ses allusions. Certes, le beau brun n'était pas du genre à être violent, mais il ne fallait pas pousser le bouchon trop loin. Allait-il frapper sérieusement le serveur ? Non en réalité. Et pour cause, ses paroles étaient juste pour lui faire peur, lui enlever l'envie de draguer la blonde et de la prendre pour ce qu'elle n'était pas : une cougar. Il s'en voulait après coup ayant peur d'avoir une mauvaise image aux yeux de Maïwenn. Il ne voulait pas se comporter ainsi, mais ça l'avait sorti de ses gonds.« T'inquiètes, c'était juste pour lui faire peur. C'est un petit puceau, alors le menacer un peu suffira pour qu'il te laisse tranquille. » Avoua-t-il en esquissant alors un sourire. Au fond de lui, il sentait un sentiment de colère qu'il n'avait pas ressentit depuis des années. A vrai dire, ce sentiment remontait à l'époque où il sortait encore avec la blonde. Pas besoin d'être très intelligent pour savoir que ce sentiment de colère provenait de la jalousie. Jalousie qui en disait long sur les sentiments qu'avait le brun pour Maïwenn. Mais en même temps, c'était normal. Il n'était sorti avec personne d'autre après le départ de la blonde, et puis c'était la mère de son fils. Autant dire que le lien qui les unissait, ne pouvait être que très fort. Maintenant que cette histoire était, semblait-elle, réglée, Todd pouvait déguster son dessert qui lui paraissait bon. Et c'était le cas. Dès sa première cuillère, il apprécia, complimentant par la même occasion les goûts de la blonde. Elle avait toujours eu bon goût et elle ne semblait pas avoir changé. Il rigola quant à sa réponse, reprenant alors une cuillère de ce délicieux dessert. Elle n'avait pas tort en disant ça, il l'avait déjà goûtée. C'était dit avec tellement de sensualité qu'un frisson parcourut le corps du jeune homme avant que celui-ci ne lui réponde. « Il faut croire que j'ai bon goût aussi. » Affirma-t-il alors en faisant un léger clin d'oeil à la blonde avant de se mettre légèrement à rire. Parenthèse fermée, Todd revint alors sérieux en demandant les projets de la blonde. Et celle-ci ne put s'empêcher de répondre dans un premier temps en rigolant. Il adorait la voir si heureuse, si épanouie. Elle rayonnait tellement lorsqu'elle était ainsi que n'importe quel homme tomberait sous son charme à cet instant précis. Et la voilà qui chantait la petite sirène, Todd chantant alors par-dessus une chanson de Dalida. Le rapport ? Vous allez le voir. « Moi je veux mourir sur scèneee devant les projecteurs .. » Maïwenn n'était pas la seule à vouloir des choses en chantant (a) Bon ok .. ce n'était pas du tout le même registre, mais c'était la première chose qui lui était venue dans sa tête. Plaisanterie à part, la blonde redevint sérieuse, répondant alors à la question de Todd concernant ses projets d'avenir. Il souriait tout au long de sa réponse, comme si l'entendre parler le transportait dans un autre monde. Le beau brun trouvait que son projet était un beau projet. Simple comme projet que de vouloir d'être heureuse ? Oui et non. « Disons que je m'attendais plus à des projets du genre voyage ou bien immobilière. Mais je trouve que c'est un projet noble que tu as là. Peut-être qu'il est simple en soit, mais être heureuse totalement, ce n'est pas si facile que l'on croit. Tout dépend de là où l'on place la barre après tout. » Dit-il en haussant les épaules. Lui aussi voulait être heureux, mais il savait d'ors et déjà qu'il y aurait des jours où la tristesse ou bien la mélancolie serait présente. Etre heureux était surtout utopique en fin de compte. Sauf pour ceux qui se contente de pas grand chose pour l'être. Ce qui n'était pas le cas de bien du monde. Todd savait qu'il ne serait jamais totalement heureux ou bien que pour un laps de temps très court. « Je suis sûr que ton souhait se réalisera. Moi aussi je garde espoir pour la même raison. Mais pour l'instant, je me contente de mon nounours pour me tenir compagnie au lit. » Avoua-t-il avant de se mettre à rire, bien que ce qu'il venait de dire, était totalement vrai. Et oui .. Todd dormait toujours avec son nounours qui datait de l'époque où il était encore gamin. C'était ses parents qui lui avaient offert et il ne s'en séparerait pour rien au monde. C'était bien plus qu'un simple doudou, c'était un souvenir de l'époque où il avait de bonnes relations avec ses parents. « Personnellement, j'ai des projets plus ambitieux, si je puis dire ainsi. Je compte agrandir mon hôtel pour accueillir plus de clients. Il y a du terrain derrière l'Argonaute qui ne me sert pas à grand chose. Autant qu'il serve. » Pour l'heure, c'était son plus grand projet pour son avenir. Après, cela restait pour l'instant qu'une idée, il devait encore en parler avec son personnel, surtout son directeur adjoint et voir si ça valait le coup ou pas. Même si à vue de nez, ça valait le coup vu que son hôtel marchait plus que bien. Continuant à manger son dessert, il le finit presque quand Maïwenn lui fit une petite confession qui le fit sourire, un large sourire même qui se dessina sur son visage. « Il ne faut pas avoir peur de faire des jalouses voyons ! Je n'appartiens à aucune d'entre elles. » Avoua-t-il en la regardant avant de manger une autre cuillère de dessert avant d'émettre une petite précision, digne du jeune homme. « Mais il va falloir te retenir car j'ai payé une fortune les habits que je porte. Ca serait dommage que je les abime, ils me vont tellement bien. » Fit-il sur un ton assez prétentieux avant de finir son dessert, se tapotant alors sur son ventre. Il avait plutôt bien mangé, son ventre bien rempli. Cela faisait quelque temps qu'il n'avait pas mangé aussi bien. Sauf quand il allait chez ses parents pour dîner. Chez eux, à chaque fois, il y avait de la bouffe pour dix alors qu'ils n'étaient que quatre à manger. Cherchez l'erreur .. « J'ai bien mangé .. Je crois que je ne pourrais même pas avaler quelque chose d'autre ! Et toi ? Tu as trouvé le repas comment ? Mis à part les interruptions du dindon. » Le dindon qui ne revint pas vu qu'un autre serveur fit son apparition, voulant alors savoir s'ils avaient fini le repas et s'il pouvait apporter leur note. « Nous avons fini. Mais .. où est l'autre serveur qu'on a eu tout le long du repas ? » Demanda-t-il, étant bien curieux de savoir où se trouvait le dindon. Certainement aux toilettes, renfermé, ayant trop peur de sortir. « Il est parti en courant en criant "maman" » Dit le serveur avec un ton neutre. Todd regarda alors celui-ci partir chercher la note avant de poser son regard sur la blonde. « Oh mon dieu ! Le dindon est parti pleurer entre les cuisses de sa mère. J'aurai payé cher pour voir ça ! Tu t'en rends compte ? C'est de notre faute s'il n'a plus de travail .. On est insortable, comme avant tiens ! » Il rigola alors, imaginant la scène du serveur qui partait en courant en criant "maman". Cette soirée serait encore un moment gravé dans la mémoire du beau brun. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Dim 5 Avr - 16:39 | | | Todd & Maïwenn j'ai surfé sur la lune pour chercher un remède contre l'envie de te revoir mais je n'ai rien trouvé donc tu vas subir ! Mais promis, ça ne fera pas mal !
Bon gout, une femme à telle du gout ? Comme un brownies mais avec le parfum d’une peau ? Je ne savais pas vraiment si c’était censé ce que je venais de dire. J’étais gynécologue et pas dermatologue. Une chance car c’était tout d’un autre niveau et imaginez un dermato qui met au monde un bébé ? Bizarre comme imagines et pourtant si possible. Je venais de dire ça dans le but de le séduire de ses mots à la fois charmeur et amusant. Avais-je réussie ? Je n’en savais rien mais j’avais cette chaleur aux joues alors qu’il me faisait ce clin d’œil. Je prenais sa réponse comme un compliment du coup. Après tout, c’était en me goutant qu’il avait réussi à me mettre enceinte. Il avait tiré droit au but. Lancer d’élite. Il avait réussi bon par contre on pouvait dire qu’il n’avait pas le regard qui tue mais elle avait bien tirée la première. Le côté sérieux arrivait bien tôt avec sa question mais sans sérieux, je chantais du Disney avant qu’il ne se travestisse… Là, je faisais des gros yeux avant de rire. Bon d’accord… il était fou mais je l’aimais bien ce fou. J’avais envie d’attraper son cœur pour l’enfermer dans une petite boite pour le protéger des filles comme moi. Je voulais le protéger des personnes qui pourraient le briser tout comme je l’avais sûrement fais à son départ même s’il ne l’avait pas clairement dit. Je me contentais sur ces pensées romantiques de rester dans cette romance afin de répondre avec franchise à sa question. Pas de faux semblants. Je voulais juste le bonheur. Je ne voulais pas lui ouvrir la porte des mensonges en prétendant qu’il y avait tellement de femmes enceintes en Californie que je voulais devenir la déesse des grossesses mais simplement que je voulais devenir une mère… et possiblement une femme aimée. Je n’étais pas pressée, non. Je n’étais pas du tout pressée et j’avais tout mon temps. Après tout, j’attendais cet homme depuis 17 années enfin je ne l’avais plus en fait mais c’était mon erreur donc une journée, une année ou une décennie de plus ne me faisait pas peur. L’espoir fait beaucoup vivre. Et c’est avec un naturel que je lui confiais mes projets. En toute simplicité. Je ne voulais pas vraiment conquérir le monde et écarter les cuisses de millions de femmes. Je voulais juste être heureuse. Je ne savais pas si je voulais d’autres enfants. Peut-être un jour ? Mais j’avais la sensation que la vie me réservait encore bien des surprises. En amour comme à la guerre, il faut vivre au jour le jour. Je voulais voir ses surprises et la créativité de la vie monter une supercherie de bonheur autour de ma personne. Je voulais avancer tout en fermant les yeux et laisser mon imagination créer ce rêve d’un homme, cet homme dans ma vie. Ce jour heureux donc je parlais plus tôt. Je riais nerveusement quand il disait s’attendre à autre chose. Je l’écoutais attentivement en penchant la tête en l’entendant dire que ce n’était pas facile. « C’est sûr mais j’attends peu de choses pour le bonheur. Le bonheur et subjectif et les soucis du quotidien donne juste envie de se battre pour le préserver ! Je veux vivre ça ! », disais-je alors tout simplement, un peu rêveuse ? Non pas vraiment. Le bonheur n’était pas facile. Le bonheur était une bataille. Se battre contre l’envie d’assassiner une personne par ce qu’il n’y a plus de lait dans le frigo ? Oui, c’était une raison pour entacher le bonheur comme une dispute mais n’est-ce pas ce qui vous pousse à vouloir encore plus aimer la vie ? Ces petits moments ou ensuite vous avez la chance de vous dire : Merde, je suis heureuse… je m’en fiche du lait. Ces moments ou ces petites choses futiles s’effacent… Mangée par un sourire. Je pouvais être rêveuse d’un coup, voir naïve… mais la solitude ou l’impression d’être la seule à haïr pour une bouteille de lait vide dans le frigo n’était pas joyeuse. Ces moments de tristesses, de doutes qui nous empêchent parfois pendant de courts ou long instants de se sentir épanoui ne sont souvent calmées par nos proches, pas les personnes qu’on aime. A New York, j’étais seule pour me consoler de mes peines, de mes tristesses. Bonheur difficile à vivre ou pas, je trouvais ça tellement excitant. J’en avais besoin, je pense. Je me laissais égarer à cette idée. Tout est mieux à deux que seul. C’était un fait. Je ne voulais plus être seule. Une part de moi se disait qu’il pourrait me comprendre. Je riais doucement quand il parlait de son nounours. Je secouais doucement la tête en le regardant avec tendresse. « Tu l’as encore ? », lui demandais-je aussitôt. Ce nounours, je me rappelais l’avoir souvent utilisé pour le faire parler à mon ventre rond. C’était un des meilleurs souvenirs de ma grossesse que j’avais en tête. Étrange ? Non mais je me confiais à cet ourson sur mes frayeurs. Il était devenu mon meilleur ami alors que bon nombre qui ne me comprenaient pas me tournaient le dos. Je l’écoutais aussitôt parler de ses projets, toujours la nostalgie en moi mais je la laissais tout comme je la laissais depuis le début du repas. En gros, elle était là et elle serait toujours là pour me rappeler ces bons souvenirs tout comme les mauvais. L’on a tous besoin de nostalgie. Je laissais un doux sourire se dessiner sur mes lèvres. J’aimais bien son ambition. J’en avais plus du côté personnel et lui professionnel. Cela m’amusait assez bien. « Si tu as besoin d’investisseur… je peux penser à mon avenir immobilier aussi ! », soufflais-je alors, amusée mais pas vraiment sûre qu’il ait besoin de moi mais qui sait ? Agrandir un hôtel n’était pas donné et si je pouvais aider, j’en étais capable et même sans rien attendre en retour. J’avais juste envie… étrangement de me sentir utile et rattraper les années ou je n’étais pas ça. Rédemption, dites-vous ? Je me contentais de me perdre dans mon dessert après cette proposition et le mangeant avant de laisser cette supposition échapper de mes lèvres. Nullement tordu mais j’avais besoin de dire que c’était réellement sexy. Torride ? Oui aussi. Cela ne m’échappait pas, je voulais réellement le dire et je riais en l’entendant mais ce rire devenait un peu plus sérieux. Il n’appartenait à aucune d’elles. Cela pourrait porter à équivoque car appartenait-il à quelqu’un ? Je penchais la tête, plus sérieuse mais laissant un petit sourire s’afficher alors que je l’écoutais attentivement. Son ton prétentieux me fit rire. Je terminais mon dessert avec la dernière bouchée du brownie et je lui souriais mais mon regard se fixait surtout sur cette tâche de crème glacée qu’il avait au coin des lèvres. Il parlait de ses vêtements et je ne pouvais pas m’empêcher de remarquer cette crème glacée fondue. Je riais même en le voyant tapoter sur son ventre alors qu’il disait avoir tout bien mangé mais il en restait un peu. J’en avais la preuve sous mes yeux. Et c’est là qu’un nouvel homme entrait dans nos vies, bien plus vieux et il prenait la suite. Je riais en entendant alors qu’il était parti en courant maman. « Sérieux ? », demandais-je au serveur qui hochait la tête mais je restais bien sûr septique. C’était vrai ? Je m’en voulais presque mais pourtant il m’avait dit cougar. Malheur à lui comme le dirait Joan. Je reposais mon regard sur Todd en souriant à nouveau à cette tâche. Je l’écoutais et je riais doucement en fronçant les sourcils. « C’est le cas de le dire ! », disais-je alors qu’il disait qu’on était insortable. Je me rapprochais en attrapant ma serviette et j’allais nettoyer cette tâche. A quelques centimètres de son visage, je laissais un sourire m’échapper. « Non, je ne vais pas t’embrasser… même si j’ai émis l’envie de te déshabiller ! », disais-je en allant porter la serviette à ses lèvres et retirant doucement la tâche de crème glacée. Tout en délicatesse. Une douceur inébranlable dont j’avais réellement le don par moment. Je me lâchais tout de même à un baiser sur sa joue mais moins furtif que le premier en souriant. « Voilà, tu es tout propre ! », soufflais-je alors que je me reposais sur la banquette. Ce genre de situation était sûrement arrivé dans le passé. J’avais ce réflexe naturel. Cela changeait l’ambiance moqueuse du dindon mais je trouvais que ça avait un côté romantique assez étrange aussi. Je riais nerveusement en le regardant. « C’était plus fort que moi ! », soufflais-je en faisant une petite moue. « Tu peux toujours l’embaucher… je ne suis pas sûre qu’il ferait une bonne sagefemme donc je passe mon tour ! », disais-je alors en lui souriant. Le serveur enfin le nouveau venait et déposait la note. Je regardais aussitôt Todd en riant. « Hors de question que je te laisse payer, on partage ! », m’exclamais-je aussitôt en lui tirant la langue. Il était hors de questions, oui. « Sinon… ça en deviendrait un rencard, un diner galant, ça serait vraiment bizarre ! », lâchais-je en riant car c’était amusant à mes yeux par ce que j’avais l’impression qu’en cours de route… cela en était devenu un… c’était étrange. |
| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Dim 5 Avr - 18:20 | | | Les projets de la vie, un concept très important pour Todd qui voulaient connaitre ceux de la blonde. Le bonheur, voilà son gros projet. Assez original en soi car peu de gens répondaient par le bonheur. Mais au final, tout le monde le cherchait, sans même s'en rendre compte. En tout cas, la réponse de Maïwenn était totalement vraie. Le bonheur était subjectif, Todd le savait que trop bien. On passait plus de temps à combattre les soucis de la vie quotidienne, sans même se dire que c'était ainsi que l'on trouvait le bonheur. N'empêche, le beau brun avait l'impression d'être en face d'une philosophe, tellement que leur conversation était profonde. Digne d'un sujet de philosophie basé sur le bonheur. Et honnêtement, bien que Todd aimait parfois se la jouer en mode philosophe, ce soir-là, il voulait laisser cet aspect-là au placard, profitant du reste de la soirée qui allait bientôt se terminer. Ils se trouvaient déjà au dessert, comme quoi le temps passait à une vitesse fulgurante lorsqu'on était en bonne compagnie, Todd pouvait le confirmer lors de cette soirée. Continuant alors sur la discussion des projets, le jeune homme en vint à parler de son nounours qu'il avait toujours dans son lit, disant à la blonde qu'il ne dormait pas seul contrairement à elle. Mais il savait qu'un jour, ils auraient tous les deux de la compagnie dans leur lit. Et qui sait ce que l'avenir leur réserve ? Peut-être qu'ils repartageraient le même lit ! En y pensant, le beau brun souriait légèrement, avant qu'il ne confirme qu'il avait encore son doudou. Cela pouvait paraitre ridicule à 35 ans de dormir toujours avec un ours en peluche, mais c'était plus un souvenir qu'un simple doudou pour le jeune homme. Cela lui rappelait ses parents, et parfois, ce n'était pas si mal que ça, malgré leurs relations assez conflictuelles. « Je n'arrive pas à m'en séparer .. c'est plus fort que moi ! » Avoua-t-il en haussant doucement les épaules avant qu'il n'évoque un peu ses projets de l'avenir. Ok, la blonde ne lui avait pas demandé, mais il se doutait bien que ça l'intéresserait quand même. Comment le savait-il ? Une simple intuition. Il n'y avait pas que les femmes qui avaient leur fameuse intuition, les hommes aussi. Elle se proposa même d'être un investisseur, ce qui surprit légèrement le jeune homme qui ne savait pas sur le coup, si elle était sérieuse ou bien si elle plaisantant. « T'es sérieuse ? .. » Demanda-t-il un peu étonné avant d'enchainer. « Enfin tu sais, je ne pense pas avoir besoin d'investisseur. J'ai encore pas mal de sous de côté et puis l'hôtel rapporte plutôt bien. Donc je pense avoir les fonds nécessaires pour ce projet. Mais si j'ai besoin d'un investisseur, je sais à qui m'adresser. » Dit-il en rigolant légèrement, trouvant l'idée assez amusante en soit, mais plutôt bonne. Cela serait pas mal que Maïwenn investisse dans l'hôtel de Todd, cela pourrait les rapprocher d'avantage qui sait. Mais d'ici que son projet aboutisse, l'eau aura coulée sous les ponts. Après quoi, un serveur se pointa à la table, un nouveau. Où était le dindon ? D'après le nouveau serveur, celui-ci aurait pris ses jambes à son cou et serait retourné en criant chez sa mère. Assez original comme manière de partir de son travail. Mais Todd s'en voulait un peu sur le coup, se sentant coupable. Mais en même temps, il avait fait une réflexion assez déplacée envers la blonde. Donc au final, il méritait simplement ce qu'il avait cherché. Maïwenn demanda si c'était sérieux et le serveur confirma que oui. Todd fut surpris, même après confirmation ... le monde tournait plus aussi rond qu'avant. Oh certes la Terre était ronde, mais pas les gens qui habitaient dessus. Les deux ensembles étaient insupportables, comme à l'époque d'ailleurs. Todd vit alors la blonde se rapprocher d'elle et il pensa sur le coup, qu'elle allait l'embrasser. Mais non, c'était pour venir lui enlever une tache qu'il avait à cause de glace. Il mangeait comme un petit goret, insortable monsieur Pilliwickle. « Oh merci, grâce à toi, je vais sortir de ce resto moins ridicule que j'aurais pu l'être. » Dit-il en esquissant alors un sourire, ayant rigolé quant au fait qu'elle n'allait pas l'embrasser. Si elle l'aurait, cela aurait-il dérangé le beau brun ? Il se posa la question, mais préféra penser à autre chose, se disant qu'il valait mieux ainsi. Revenant alors sur l'histoire du dindon, Maïwenn émit l'idée de l'embaucher, vue que sage-femme n'était pas pour lui. Il haussa un sourcil, se demandant sur le coup si c'était une bonne idée ou pas vu le cas que c'était. « Ouais .. mais non ! J'ai pas envie qu'il drague mes clientes et qu'il les prenne pour des cougars. J'ai une réputation à tenir pour mon hôtel. » Avoua-t-il tout en rigolant. Mais au fond, il était totalement sérieux dans ses paroles. Il ne comptait pas l'engager, le dindon allait devoir se débrouiller tout seul, comme un grand, pour se retrouver un nouvel emploi dans la restauration, ou autre qui sait. Le dîner étant terminé, il fallait payer la note, mais Maïwenn voulait payer sa part, sinon ça ressemblerait trop à un rencard selon elle. Ce qui n'était pas faux en soit, mais peut-être qu'au fond, ça en était un ? Et que les deux en voulaient pas se l'avouer à eux-mêmes ? Quoiqu'il en soit, Todd ne comptait pas contredire la blonde, pas ce soir en tout cas. « Ok ok comme tu veux ! Mais ça ne m'aurait pas dérangé de tout payer. Après tout, c'était mon idée de venir ici. » Affirma-t-il en se levant de la table, direction l'accueil pour payer la note. Une fois tout réglé, le prix du repas ayant été coupé en deux parts égales, comme ça pas de jaloux, les deux sortirent alors du restaurant. L'atmosphère s'était rafraichit, en même temps, il était début avril. « J'ai passé une agréable soirée, il faudra que l'on remette ça. Et la prochaine fois, évitons de faire démissionner un serveur. » Fit-il avant de se mettre à rire. « Et sinon tu es venue comment ? Tu veux que je te ramène ? » Proposa-t-il tel un vrai gentleman. Cela ne le dérangeait pas de la ramener, lui faisant seulement faire un petit détour. Après tout, il n'avait pas d'heure précise de retour chez lui, alors Todd avait bien le temps de la raccompagner, sauf si elle était venue avec sa voiture bien évidemment. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 15 Avr - 18:46 | | | Todd & Maïwenn j'ai surfé sur la lune pour chercher un remède contre l'envie de te revoir mais je n'ai rien trouvé donc tu vas subir ! Mais promis, ça ne fera pas mal !
Etais-je sérieuse ? Oui enfin, je crois. A sa question, je me contentais de sourire. Je n’avais jamais réellement imaginée ce que je pourrais faire de l’argent que je mettais de côté depuis des années. Qu’on le veuille ou non, on ne gagne pas si peu en mettant au monde des bébés et surtout avec les urgences et toutes ses choses qui gonflent assez vite le compte en banque. Dans le fond, j’avais surtout eue la chance d’avoir Joan qui m’avait aidée pour payer mes études au point où je n’avais pas du tout de dette ou du moins… elles s’étaient un peu effacées au fil des années. Je vivais bien. Je mettais rapidement de côté et je n’étais pas si dépensière qu’on pourrait le croire. Ma garde de robe s’en tenait à si peu pour l’instant. Je n’étais pas encore motivée à aller faire un peu de shopping alors que je n’avais pas vraiment de place à l’hôtel. Je l’écoutais, j’étais fière de savoir qu’il n’avait pas besoin d’investisseur, il avait fait tout ça seul à mes yeux. Il avait encore plus de mérites que moi qui avais eue de l’aide sans avoir de bébé ou d’enfant à ma charge. Je me sentais tellement… je ne pourrais pas expliquer. Je le regardais avec admiration tout simplement. Voilà oui. « Je t’admire ! », disais-je alors timidement avant que le serveur n’arrive et que je finissais même aussitôt par me pencher, me rapprocher. Qu’avais-je à l’esprit ? Cela pourrait surprendre mais c’était seulement une tâche au coin de sa joue. J’aurais pu lui laisser mais non. C’est étrange de lécher une personne. Je souriais alors qu’il me remerciait et je me reposais tout naturellement en penchant la tête. « Pas à mes yeux ! », disais-je avec grande sincérité avant de parler aussitôt de ce pauvre petit dindon. Le pauvre quand même. Je ne savais pas trop quoi penser de ce serveur. Dans le fond, il n’était peut-être pas méchant mais les jeunes étaient parfois éduqués par des parents dont l’éducation avait été difficile. Peut-être comme nous ? Mais nous nous en sortions bien pourtant. Certains n’apprenaient juste pas de leurs propres erreurs ou des erreurs de leurs parents pour ne pas fauter ou d’autres foutent des consoles dans les mains des enfants afin de les occuper et de ne pas les entendre. Ceux-là me donnaient clairement envie de meurtre. Où est passée l’habitude de colorier, faire des puzzles, peindre des œufs de pâques ? Je voyais la jeunesse perdre toute cette magie qui rendait l’enfance tellement belle. Cette nostalgie pour les sorties aux parcs avec nos parents. Aller faire un pic nic et jouer au frizzbee avec nos parents. Quand on va au parc… on ne voit plus ça ou tellement peu. C’est désolant dans un sens. On voit ces femmes avec une poussette et un bébé mais elle a une bouteille de bière à la main. On se demande presque comment les parents arrivent à être des parents dans cette situation. Je me posais réellement la question sans pouvoir vraiment y répondre. Peut-être aurais-je été ainsi ? Cette simple idée m’électrisait mais je ne laissais pas celles-ci entraver dans notre conversation. Je riais doucement. Il n’avait pas tort, c’était vraiment mieux pour la réputation de l’hôtel. C’était un peu comme ce type qui demande de l’aide pour retirer son écharde du p… ied. Les gens sont tellement bizarre dans le fond. Je lui souriais doucement, un sourire tendre alors qu’il acceptait que l’on fasse moitié-moitié… C’était peut-être un peu féministe de ma part ? Peut-être mais je ne voulais pas abuser de sa gentillesse. Réellement pas. Cela me faisait clairement plaisir de partager la note. Je riais doucement. « Tu n’aurais pas accepté, j’aurais usé de mes charmes… Zut ! », disais-je alors faussement déçue et dans le fond, je ne savais pas si ça aurait été le cas. Aurais-je usée de mes charmes ? Je n’en avais clairement aucunes idées. Je souriais, ravie et surtout rassurée qu’il ai passé une bonne soirée. J’en rougissais même. Je ne voyais rien car je ne sentais jamais mes joues rougir. Cela arrivait tellement facilement et tellement souvent après tout que c’était presque monotone de ma part. « Le pauvre… », disais-je en riant aussi alors que je repensais à ce serveur qui devait pleurer dans les jupes de sa maman. Je me demandais quand même comment ça allait se passer pour lui dans ce restaurant. Était-il réellement parti ou juste pour la soirée ? Aucunes idées. Je me disais de logique qu’il était viré mais si je me trompais ? Qui sait. Je me mettais alors à rire une fois qu’il posait cette question mais le rire tellement… fort que je n’arrivais pas à me retenir. « Je crois que je te fais tourner la tête… », soufflais-je entre deux rires et cherchant à me calmer alors que je prenais mon sac pour sortir rapidement les billets. La moitié à peu près et un gros pourboire en plus. « Tu ne te souviens donc pas ? Tu semblais admirer ma voiture ! »,disais-je en lui souriant doucement. C’était attendrissant dans le fond, j’aimais bien ce côté fail. Je lui souriais doucement en secouant légèrement la tête. J’attendais un peu que le serveur ne revienne et je souriais à celui-ci. « Vous auriez des restes de repas ? Des trucs que vous allez jeter… » lui demandais-je alors que je souriais doucement. « Ce n’est pas pour moi… mais… », je laissais le suspens se faire une place. Mon plan était simple. Depuis mon arrivé à Pasadena… je me rendais à ce foyer de soutiens pour les sans-abris et j’allais toujours déposer quelques restes pour eux. Je m’en fichais que cela soit de la viande ou non mais j’étais persuadée qu’ils avaient tout autant besoin de nourriture. J’y suivais aussi une jeune SDF enceinte qui ne pouvait pas payer mes services. « … certaines personnes ont faims dehors ! », je souriais et il acquiesçait. « Je vous prépare ça. », disait-il alors que je tournais mon attention vers Todd et je lui souriais. « Par contre… il y a un endroit à 2 minutes à pieds ou j’aimerais aller… », je lui souriais doucement. « Tu veux m’accompagner ? », lui demandais-je alors que je me levais en lui tendant la main. Un geste galant qu’un homme fait normalement mais je ne l’invitais pas pour une danse. Non, je l’invitais pour aller donner à manger à des sans-abris. Un gentil geste qui me tenait à cœur. hj : quoi de mieux que de terminer ce sujet avec le plus beau des défis o/ ! |
| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Dim 19 Avr - 18:26 | | | De l'admiration ? Autant dire que cela venait de toucher le jeune homme qui faillit rougir à cet instant précis. Certaines personnes lui avaient déjà dit la même chose, mais avec la blonde, il réagissait autrement parce que c'était tout simplement elle. Todd n'était pas du genre à se vanter, mais il appréciait malgré tout de voir que les gens admiraient le parcours qu'il eut en ce qui concernait son hôtel. Après quoi, l'admiration disparut pour laisser place au ridicule lorsque la blonde vint enlever un bout du repas qui était resté sur le visage du jeune homme. Autant dire qu'à ce moment précis, il se sentait légèrement un peu ridicule, mais normal non ? Qui ne l'aurait pas été à sa place ? Peut-être quelqu'un qui aimait être ridicule en public. Ce qui n'était pas vraiment le cas du beau brun en tout cas. Heureusement pour lui, il se trouvait en compagnie d'une jeune demoiselle qui avait les mots pour le rassurer. Lui esquissant un sourire en écoutant ses paroles, il se sentit alors moins ridicule et puis se détendre un peu. Avec le changement de serveur, le dindon ayant pris la fuite pour courir entre les jupons de sa mère, cela marquait également la fin du repas vu qu'il ne manquait plus que la note avant qu'ils ne partent. Le dîner s'était plutôt bien passé dans son ensemble : entre humour et émotion, Todd semblait être conquit par la Maïwenn qui se trouvait en face de lui. Celle-ci d'ailleurs insista pour payer une partie de sa note. Lui était contre bien sûr, voulant se la jouer en chevalier servant ou plutôt gentleman dans ce cas précis, mais il savait que cela ne servait à rien de la contredire, elle aurait le dernier mot, sauf quand elle avait tort bien évidemment. S'il n'avait pas accepté, elle aurait usé de ses charmes ? Mince ! Todd aurait bien voulu la voir jouer de son charme pour le convaincre. Elle aurait bien pu arriver à ses fins, vu le charme éblouissant qu'elle possédait. Car oui, le beau brun tomberait bien une nouvelle fois sous son charme. Mais avait-il réussi à se défaire de son charme de la première fois ? Peut-être pas en fin de compte lorsqu'il y pensait .. Haussant alors les épaules, il leva les yeux au ciel pour montrer sa déception. « Tchô ! C'est pas juste. »Fit-il en prenant un air d'un petit gamin qui n'avait pas eu ce qu'il voulait. Les deux se mirent alors à repenser à ce qui s'était passé par rapport au serveur, le jeune homme s'en voulant un peu et se demandant alors ce qui allait se passer pour lui. Maïwenn, quant à elle, proposa qu'il l'embauche. Mais vu son attitude, Todd ne pouvait accepter une telle personne dans son personnel. Il fallait simplement espérer qu'il ne venait pas de se faire virer du restaurant et qu'il avait pris sa soirée pour se reposer ou bien remettre ses idées à la bonne place. Puis le moment ridicule de Todd revint lorsque celui-ci proposa à la blonde de la raccompagner sans se rappeler du début de leur rendez-vous, le moment où il avait complimenté sa voiture. Elle avait sans nul doute raison en disant qu'elle lui faisait tourner la tête. Ce qui voulait dire certaines choses, des choses qu'il n'était pas bon de penser, pour le moment tout du moins. « Peut-être bien .. Tu as joué de ton charme sans le vouloir en fait ! » Dit-il en prenant un air choqué avant de hausser les épaules. « Maintenant je me soutiens .. ta sublime voiture ! Je me demande comment j'ai pu l'oublier d'ailleurs. Je me outre moi-même sur ce coup. » Ce qui était vrai dans le fond en plus. Il venait de faire un joli fail, et c'était ce qui faisait son charme non d'ailleurs ? Puis vint une scène assez étonnante, tout du moins au début lorsque la blonde demanda alors au serveur s'il avait des restes. Lorsqu'elle précisa que ce n'était pas pour elle, il se demandait alors sur le coup pour qui allait être ses restes. Pour son chien ? Il ne savait pas qu'elle en avait un. Ou peut-être pour un ou une ami(e) dans le besoin ? Il dût attendre quelques secondes avant d'avoir la réponse et d'apprendre que la blonde venait en aide aux sans-abris. Un acte noble aux yeux du jeune homme qui était à présent, en admiration envers Maïwenn. Les rôles venaient de s'inverser en quelque sorte et il ne manqua pas de le souligner. « C'est à mon tour de t'admirer. Je trouve que c'est noble de ta part de venir en aide aux sans-abris. Tout le monde ne fait pas ça, surtout de nos jours. » Il esquissa alors un sourire pour appuyer ses paroles avant d'écouter la proposition de la blonde, voulant que le beau brun l'accompagne dans un endroit qui n'était qu'à deux minutes du restaurant. Si elle avait demandé les restes, c'était certainement pour un sans-abri alors bien sûr qu'il allait accepter la demande de Maïwenn, avec une petite touche d'humour bien évidemment made in Todd. « Tu comptes m'emmener dans un endroit pour que l'on pique-nique avec les restes qu'on nous aura donné ? » Demanda-t-il en rigolant avant de reprendre son sérieux pour répondre à sa question. « J'accepte ! Je suis curieux de voir où tu vas m'emmener. Tu viens d'attirer mon curiosité. » Petit sourire aux lèvres, il ne fallait pas beaucoup pour attiser la curiosité du jeune homme. Un rien le rendait curieux, cela faisait parti de lui-même. Cela lui jouera un mauvais tour un jour, il le savait bien. Mais sa curiosité était bien plus forte pour qu'il y résiste. Et puis dans ce cas précis, cela ne pouvait qu'être bon d'être curieux, il s'agissait de Maïwenn. Elle allait certainement lui réserver une belle surprise. Enfin il l'espérait tout du moins .. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 11 Mai - 1:35 | | | Todd & Maïwenn j'ai surfé sur la lune pour chercher un remède contre l'envie de te revoir mais je n'ai rien trouvé donc tu vas subir ! Mais promis, ça ne fera pas mal !
Ce n’était pas juste, non. Tellement pas juste de ne pas pouvoir le charmer mais alors qu’il oubliait que j’étais venue en voiture, je riais doucement quand il laissait supposer que mon charme avant sûrement fait de l’effet sur lui. C’était assez amusant tout de même. Je souriais alors qu’il parlait de ma sublime voiture. La première chose qu’il avait remarquée. Était-elle plus belle que moi ? Je me disais qu’il l’avait oublié donc sûrement que mon charme avait effectivement usé de ses talents ? Etais-ce possible ? Je n’en avais aucunes idées mais tout ça avait un côté tellement attendrissant. C’était l’une des choses qui m’avait toujours attiré chez lui, son petit côté maladroit ou alors c’était l’Alzheimer ? Je n’en avais aucunes idées mais je priais fortement pour que ça soit juste de la maladresse. Je souriais doucement. Il s’outrait. Je secouais la tête en laissant un léger rire m’échapper. « Tu devrais avoir honte ! », plaisantais-je aussitôt avant de papoter avec le serveur. Il fallait avouer que je ne m’attendais sûrement pas à partir dans une conversation avec ce pauvre homme alors que Todd était juste à côté. Il était un peu plus âgé que notre dindon favori qui avait semblé quitter les lieux pour aller voir maman mais il n’en était pas plus attirant pour autant. Je me contentais juste de lui demander s’il y avait des restes ou des trucs à jeter. Je reportais mon attention en souriant tandis qu’il disait que c’était à son tour de m’admirer. J’haussais doucement les épaules en riant nerveusement sur le coup. C’était un compliment et soudainement j’en étais nerveuse. Je ne savais pas vraiment pourquoi mais j’avais tellement de raisons de vouloir les aider mais je ne voulais pas spécialement les assumer pour autant. Oui. Je me sentais mal de la simple idée que je me disais : sans Joan ? J’aurais sûrement été l’un d’eux mais bon. J’avais aussi beaucoup fais pour en arriver là mais elle m’avait beaucoup aidée cette cougar. Je prenais tout de même une profonde inspiration en lui souriant. « Justement, il faut bien que quelqu’un le fasse… », disais-je alors tout simplement en lui souriant. Cela suffisait ? Vouloir être ce quelqu’un ? Oui, je voulais être ce quelqu’un qui faisait un petit rien qui n’allait pas changer grand-chose mais le monde s’améliore tellement de petits rien. Et alors que je lui proposais de m’accompagne comme l’on pourrait proposer une danse, je riais à sa réponse. « Oh oui comme la belle et le clochard ! », disais-je en souriant doucement alors que je levais les yeux vers lui. Le serveur arrivait pour nous donner un sac avec quelques restes. Il y avait des Tupperware à emporter et cela sentait plusieurs saveurs donc l’odeur était assez enivrante. Je ne voulais pas savoir ce qu’ils comportaient. Non. Réellement pas. Je lui souriais doucement. « En route ? », lui proposais-je alors. Je lui prenais alors tout simplement la main, pourquoi ? Je n’en savais rien. C’était assez instinctif et en fait… pas du tout réfléchi. J’avais simplement prise sa main et c’était tout. « Je crois que tu mets peut-être un peu trop d’espoir dans l’endroit où nous allons ! », disais-je en riant doucement. « Ce n’est pas luxueux ! », soufflais-je aussitôt tandis que je serais la anse du sac un peu plus dans ma main. Je n’aimais d’ailleurs pas ce genre de sachet en plastique qui nous coupes parfois un peu la circulation et raidie notre main. C’était clairement loin d’être agréable mais pourtant bien plus pratique que ces sachets en papier qu’il fallait porter dans les bras pour ne pas le voir s’étaler par terre. Ces sachets, on pouvait en avoir plusieurs mais ceux en papier ? Oubliez même l’idée de faire des achats à pieds dans ce genre de supermarché. C’était la dure loi de la vie mais on s’y fait. « Tu sais, j’ai passé une merveilleuse soirée, je m’attendais à… enfin je ne sais pas vraiment mais… », je riais nerveusement en tournant le regard vers lui. J’allais dire quoi ? Je n’en avais aucunes idées mais me contentant d’arpenter les 3 minutes de distances. Je prenais une profonde inspiration. « … j’en ai des papillons dans le ventre comme avant… je crois que tu m’as aussi charmé sauf que je n’oublie pas que tu es venu en trottinette ! », disais-je d’un ton sérieux mais cela se voulait taquin. Je savais qu’il était venu en voiture. C’était sûrement un bon moyen de cacher le côté sérieux de ma déclaration ? Sûrement et j’espérais que cela fonctionne car dans le fond, j’en disais tellement. Des choses vraies mais j’avais tellement peur de les laisser entendre. C’était stupide, non ? Je suis une femme, j’agie et je pense parfois avec tellement de contradictions. Je l’assume. |
| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Lun 11 Mai - 16:45 | | | Todd avait le don de dire des choses assez gênantes pour lui, comme par exemple oublier le fait que Maïwenn était venue en voiture et que lorsqu'il s'en rappela, il se souvenait très bien de la beauté de sa voiture, ce qui en soit pouvait être vexant. Mais bien sûr, le jeune homme n'y avait pas du tout vu sous cet angle-là. Heureusement pour lui, une bonne étoile semblait veiller sur lui, Maïwenn s'approchant d'un serveur pour lui demander un service. Un service qui surprit au début le brun qui ne s'attendait pas à ce que la blonde demande les restes pour les donner aux sans abris. Comme quoi, cette soirée se montrait surprenante. Todd trouvait ce geste admirable et pour cause, il avait l'impression de vivre dans un monde de plus en plus individualiste et que les gens solidaires avec les autres, cela ne courait pas les rues. Lui aussi aimait venir en aide aux autres, organisant des réceptions pour recueillir des fonds pour diverses associations. Ce n'était pas grand chose, mais de simples gestes de la sorte pouvait changer la vie que quelques personnes. Et puis, comme venait de le dire la blonde, il fallait bien que quelqu'un y fasse. Ajoutant une petite dose d'humour, Maïwenn continua sur la même lancée en faisant référence à la Belle et le Clochard. Il imagina alors la scène du plat de spaghetti, trouvant que cette scène leur irait parfaitement bien à tous les deux. Car après tout, les situations gênantes, c'était le point fort de Todd, il ne fallait pas oublier ce détail. « Je suppose que l'on ferait un remake de la scène des spaghettis ? Je suis sûr qu'on serait géniaux ! » Dit-il avec assurance, esquissant alors un sourire à la blonde. Puis vint alors le serveur qui revint avec les restes, ce qui signifiait qu'il allait pas tarder à savoir où Maïwenn comptait l'emmener pour finir, en beauté il espérait, cette soirée. « C'est parti mon kiki ! » Fit-il sur un ton jovial avant de sentir la main de la blonde prendre la sienne. Ressentir à nouveau ce contact lui fit faire parcourir quelques frissons à travers tout son corps, esquissant un sourire en plongeant quelques instant son regard dans le sien. La laissant le guider, sa hâte de découvrir le lieu dans lequel elle l'emmenait se voyait. « Ca ne me dérange pas que ça ne soit pas luxueux. Tu sais, ce n'est pas que je suis riche que j'adore tout ce qui est du luxe. Bien au contraire même. Les endroits trop luxueux, ça m'exaspère et puis souvent dans ces endroits-là, on y rencontre des gens ennuyants. » Avoua-t-il en rigolant légèrement. Le fait que Todd avait de l'argent, qu'il dirigeait un hôtel qui marchait plutôt bien, ne signifiait pas qu'il avait rejoint le monde du business. Durant le trajet, Maïwenn revint alors sur la soirée qu'ils venaient de passer ensemble, exprimant alors son sentiment dessus, Todd souriant alors. Heureusement que ce n'était pas le genre de mec à rougir pour un rien car là, il l'aurait fait. C'était toujours agréable de savoir qu'une personne avait passé une bonne soirée. Des papillons dans le ventre ? Le brun trouvait ça plutôt mignon cette comparaison, ayant ressenti en quelque sorte la même sensation. Il avait eu l'impression d'être retourné des années en arrière, dix-huit plus tôt pour être exact. Il ne put s'empêcher de rire à sa petite plaisanterie sur le fait qu'il était venu sur une trottinette. Un sacrilège de comparer sa voiture à une trottinette, mais il pouvait bien faire une exception, la blonde n'était pas n'importe qui après tout. « La trottinette la plus rapide du monde. Je peux aller à 300 km/h attention. » Fit-il sur un ton des plus sérieux avant de sourire légèrement et un peu bêtement. « Pour être honnête avec toi, j'ai passé une bonne soirée. J'espérais que ça se passe bien, mais je ne m'attendais pas que cela soit si bien. Je .. Cette soirée m'a fait du bien. J'en avais besoin. » Cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas eu un tête à tête avec une femme dans un restaurant qu'il en avait presque oublié les sensations que l'on pouvait ressentir lors de telles soirées. « Tu m'as fait revenir à l'époque où je n'étais encore qu'un adolescent et je t'en remercie. Je stressais quant à ce soir, me disant que j'allai faire une gaffe. J'étais comme un ado lors de son premier rencard quoi. » Avoua-t-il en rigolant nerveusement, baissant alors du regard. Il se sentait gêné sur le coup, se demandant alors si le mot "rencard" n'était pas de trop dans ses paroles. Il ne voulait pas mettre mal à l'aise la blonde. Todd décida alors d'embrayer sur un autre sujet, celui qui les avaient conduit à faire un petit détour au lieu de rentrer chez eux. « Sinon, c'est encore loin l'endroit où tu veux m'emmener ? Non pas que j'ai hâte de rentrer, mais disons que ces nouvelles chaussures me font un peu mal au pied, je n'avais pas pensé que je devrais marcher après notre repas. » Il rigola légèrement, espérant ne pas passer pour un bête avec ce qu'il venait dire. Pire qu'un ado Todd à cet instant-là. Il voulait en quelque sorte impressionner Maïwenn, comme s'il cherchait à la séduire, à nouveau. Mais bon, dans la tête du jeune brun, tout était confus, se demandant s'il devait faire si ou bien ça. C'était un vrai champ de bataille, il avait donc hâte d'arriver à destination pour penser à autre chose qu'à sa relation avec la blonde. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 8 Juil - 18:28 | | | Todd & Maïwenn j'ai surfé sur la lune pour chercher un remède contre l'envie de te revoir mais je n'ai rien trouvé donc tu vas subir ! Mais promis, ça ne fera pas mal !
Parti son kiki ? Je riais doucement alors qu’il me disait que les endroits luxueux ne le dérangeaient apparemment pas. Bonne nouvelle. Après tout, je ne pensais pas qu’il soit ainsi mais il y avait luxe et gens tous sales à voir. Ce sont deux mondes tellement différents. Les gens étaient en général embaumés par la crasse et sans possibilité de prendre une douche ce qui était par moment désagréable à voir et digne d’un film de science-fiction. Je compatissais. Ne pas pouvoir prendre une douche aussi futile soit l’idée doit être une chose triste. Tellement triste. Non pas seulement la douche mais c’est important tout de même. Je souriais doucement en l’écoutant et le laissant terminer avec admiration. « Et nous ne sommes pas ennuyeux ! », avais-je simplement soufflée avant de traverser les rues de Pasadena en foulant le sol de mes talons parfaits pour l’occasion. Le taquinant sur sa trottinette, je souriais doucement. « Les trottinettes de chez Ferrari le sont plus ! », lui disais-je tout bêtement alors que je me retrouvais à rougir à nouveau. Je me sentais comme… je ne sais pas. Les bijoux qui changent de couleur à l’émotion ? Sauf que forte heureusement, je ne devenais pas verte de jalousie ou jaune de peur ! Je penchais doucement la tête en le laissant aller au bout de ses mots. Par moment, je regardais le sol tout simplement. Les plats emportés à ma main pendue dans un sac assez terne. A ses mots, je voulais bizarrement me réfugier dans ses bras alors que le vent léger ne s’occupait pas du réchauffement de ma peau. Cette frénésie du passé. Le souffle du vent laissant doucement ma jupe s’envoler. Je la remettais en place sous le déchainement du vent discrètement. Je ne voulais pas l’allumer en lui montrant ma petite culotte de grand-mère, voyons. Je secouais simplement la tête quand il me demandait si c’était encore loin et je grimaçais quand il évoquait ses pieds. L’image de voir ses pieds blessés me faisait peur en elle-même. Je n’avais pas peur des miens sinon imaginez ma tête si je voulais penser à ceux qui se trouvent dans mes chaussures. Je secouais doucement la tête alors que nous passions devant une église ou deux fanatiques de la religion descendaient les escaliers. Prier à cette heure tardive me semblait tellement bizarre mais n’allons pas dans la controverse. Je me contentais de poser mon regard sur lui en dessinant un fin sourire. « Moi aussi ça m’a fait du bien ! », disais-je d’une petite voix comme une confidence à un ami, un ex-amour, un présent surement mais je n’avais pas encore eu le courage de lui dire qu’il avait encore cette place dans mon cœur. « Tu m’as manqué… enfin le toi adolescent… même si on a grandi, mûri… on est toujours les mêmes… Je stressais aussi mais c’est normal enfin avec notre passé quoiqu’on fasse… ça peut rapidement devenir stressant ! Enfin je crois… », disais-je d’une voix timide avant de secouer la tête sur la fin, un peu confuse tout de même. Lui dire qu’il m’avait manqué me semblait presque honteux. Une personne que vous abandonné peut-elle accepter que vous lui manquiez ? J’avais tendance à avoir une certaine retenue avec la culpabilité. Je m’en voulais et c’était tellement normal mais je voulais avancer également. Lui dire était une façon d’apprendre à moins m’en vouloir ? Toute une logique. Sous ces torrents de confidences et n’osant pas laver les soupçons qu’il pourrait avoir sur mes santés, j’ouvrais une porte d’un bâtiment qui semblait inhabité de l’extérieur. Je me pavanais presque devant lui, me mettant contre la porte en souriant. « Prêt pour débarquer dans un autre monde ? », disais-je alors que laissais mon pied quitter ma chaussure et aller caresser son mollet en souriant alors que ma jambette nue dessous la robe ne pouvait pas créer parjure au reste de ma silhouette. « Peut-être même qu’en entrant, je ne porterais rien comme par magie. », disais-je avant de rire et remettre mon pied d’où il venait avant d’entrer. Ce n’était pas vraiment le lieu. J’entrais alors, dévoilant des millions de lits parsemés dans la pièce et un buffet pour eux. Il y avait plusieurs personnes qui dormaient déjà et certaines qui mangeait. D’autres fouillaient dans des bennes de vêtements. Je le regardais en tentant un sourire un peu triste avant d’hausser les épaules. « On va éviter qu’ils te déshabille pour avoir ton boxer… », disais-je en plaisantant alors que j’allais vers le buffet pour déposer ce que nous avions apportés du restaurant. |
| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Jeu 9 Juil - 16:02 | | | Après le restaurant, les deux s'en allèrent alors pour une destination inconnue. Enfin inconnue pour Todd, Maïwenn sachant très bien où elle l'emmenait. Et ils se mirent alors à parler de trottinettes, le brun disant alors qu'il en possédait une qui allait à 300 km/h. Todd qui pensait avoir la trottinette la plus rapide du monde, Maïwenn détruisit son rêve en à peine quelques secondes, lui disant que chez Ferrari, elles étaient bien plus rapides. Rapides, mais couteuses aussi et le brun n'avait pas un salaire de ministre. Bien qu'il avait une petite fortune quand même, lorsqu'il y regardait de plus près. Soupirant simplement à la remarque, il continua à suivre la blonde, tout en se demandant comment était l'endroit où ils se rendaient. Oui, toute cette histoire avait réussi à piquer la curiosité de Todd qui ne pouvait s'empêcher de se poser tout un tas de questions. Puis il en vint à parler de son ressentit concernant la soirée qu'il venait de passer. Un ressentit plutôt positif à l'écouter. Grâce à Maïwenn, le brun avait pu retomber à l'époque où il n'était encore qu'un adolescent. Et honnêtement, cette période-là lui manquait parfois. Lorsque l'on était qu'un ado, on n'avait pas autant de problème qu'un adulte, sauf en ce qui concernait l'amour peut-être. Stressé, il l'était également quant au déroulement de cette soirée et il ne se priva pas de le dire à la blonde qui semblait avoir été dans le même état d'esprit que lui. Ce qui le rassura un peu malgré tout. « Moi je dis heureusement que l'on soit toujours les mêmes. Je ne voudrais pas perdre ce qui fait mon charme ! » Avoua-t-il en esquissant alors un sourire charmeur avant de se mettre à rire et de reprendre la parole. « C'est sûr que depuis notre période ado, on a mûri, on est devenu plus adulte. Mais j'ai toujours cet part d'enfant en moi et je ne l'échangerai pour rien au monde. » Son côté infantile, Todd y tenait énormément. Quelques instants après, ils arrivèrent alors devant un bâtiment qui semblait être l'endroit de leur destination. Heureusement, ils étaient arrivés, les chaussures de Todd commençaient à lui faire légèrement mal. L'inconvénient des chaussures toutes neuves. « Si je suis prêt ? Bien sûr que je le suis ! Depuis que l'on a quitté le restaurant, je le suis. » La regardant ouvrir une porte du bâtiment et s'appuyer dessus, Maïwenn en vint à faire un geste assez étonnant, mais pas déplaisant non plus. Bien au contraire. Todd pouvait être quelqu'un qui jouait plus le romantique, il n'était pas contre ce genre de geste de temps à autre. Il s'éclaircit alors sa voix avant de répondre à l'affirmation de la blonde. « Si ça se passe ainsi, je croyais à la magie ! Plus besoin de me convaincre qu'elle existe. » Avoua-t-il avec un léger sourire qui se dessina sur le coin de ses lèvres. Lorsqu'il pénétra dans le bâtiment, il fut surpris de voir le nombre de personnes qu'il y avait. Cela en devenait même alarmant de voir qu'il y avait tant de gens qui n'avaient pas les moyens de s'acheter des vêtements et même de la nourriture. La société d'aujourd'hui devenait de moins en moins attrayante. Il ne manqua pas de rigoler à la remarque de la blonde concernant son boxer. « On va éviter. Je tiens énormément à mon boxer, c'est mon porte-bonheur. » Fit-il sur un ton des plus sérieux alors qu'au final, ce n'était qu'une plaisanterie de sa part. S'en allant alors au buffet, ils déposèrent le sac où se trouvaient les restes du restaurant. Après quoi, ils ne partirent pas de suite, Todd voulant faire un petit tour des lieux. Ce genre de chose le touchait énormément. Et pour cause, il était déjà passé des moments aussi difficiles que ces personnes-là lorsqu'il n'avait plus Maïwenn à ses côtés, ni ses parents. Il était seul avec son fils. Alors il comprenait parfaitement les ressentis que pouvaient avoir les personnes présentes dans ce bâtiment. Quelques minutes après, ils sortirent alors du bâtiment et ils reprirent le chemin qu'ils avaient emprunté pour venir, à l'envers cette fois-ci. « Ca a été un plaisir de venir ici. Je ne connaissais pas l'endroit, mais maintenant que je le connais, lorsque j'aurai des restes dans la cuisine de mon hôtel, je sais où ça ira. » Les minutes défilèrent, les deux continuant à papoter de ce qu'il venait de voir et tellement qu'ils étaient à fond dans leur conversation, ils ne virent pas qu'ils arrivèrent à leur voiture. Cela signifiait alors la fin de leur rendez-vous. Un beau rendez-vous aux yeux du brun qui n'allait pas oublier ce moment. Il avait apprécié redécouvrir Maïwenn et aussi voir qu'elle avait quand même changé depuis sa période ado. Mais finalement, il l'aimait autant qu'avant. Une part de lui était triste que cela se finisse maintenant, mais toute bonne chose avait une fin paraissait-il. « Une belle fin de soirée que j'ai vécu. Merci encore une fois .. Maïwenn .. » Avoua-t-il avant de lui déposer un baiser sur l'une de ses joues en guise d'au revoir. Elle lui rendit son geste et tous les deux allèrent dans leur voiture respective, Todd tournant la clé de contact, mais n'appuyant pas de suite sur la pédale d'accélération. Il vit la blonde partir et cinq minutes après son départ, il quitta son emplacement pour retourner chez lui. Qu'avait-il fait pendant ses cinq minutes ? Il avait tout simplement pensé, principalement à Maïwenn, à la soirée qu'il venait de passer et aussi au futur et aux surprises qu'il lui réservait quant à sa relation avec la blonde. Todd se demandait comment tout cela allait finir. Son fils aussi faisait partit de ses préoccupations, se demandant alors quelle serait sa réaction lorsqu'il apprendrait que sa mère est de retour à Pasadena et qu'ils se voyaient en cachette. En cachette .. comme deux adolescents lorsqu'ils ne voulaient pas que leurs parents le sachent. |
| | | Contenu sponsorisé et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Contenu sponsorisé ► un | | | |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|