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mot doux de Invité ► un Jeu 26 Mar - 5:07
« J'aimerais te voir participer un peu plus aux activités familiales. » Blah blah blah... Noah avait droit à ce genre de phrase au moins une ou deux fois par mois, lorsque les parents décidaient de sortir un peu. On aurait dit un camp de jour et Shevonne était son animatrice qui lui reprochait de ne pas asser jouer avec les autres enfants. Il avait vingt-trois ans quoi! Il pouvait bien faire ce qu'il voulait. Ce weekend, les femmes de la maison avaient décidé de le passer au chalet. L'idée en général était cool, faut l'avouer. Passer deux jours complet en compagnie de Piper et sa tante... moins cool. Plus jeune, il adorait y aller, mais à cette époque, ils étaient les quatre enfants, ce qui rendait le séjour moins ennuyant. Maintenant, il n'y avait que Summer et lui. Pas que la jeune était emmerdante et que passer du temps avec elle était un supplice, il adorait sa petite soeur. Sans elle dans la maison, ça ne serait pas la même. Mais bon, il avait mieux à faire. De toute façon, selon lui, sa tante voulait seulement qu'il les accompagne afin de garder un oeil sur lui. Depuis qu'il a découvert le monde de la fête, alcool et drogue, il a l'impression que chaque question posée par Shevonne était un piège. Un simple « Ça va ? » pouvait le perturber. Paranoïaque sur les bords ? Un peu, en effet. Faut pas le blâmer non plus. Le mec vend de la drogue et aide les gens à passer leur examen en leur fournissant les réponses, il a de quoi se stresser. Personne ne doit le savoir - sauf ses clients bien entendu. Chaque mot prononcé par les adultes était analysé par le jeune homme. Prendre des précautions, c'était tout ce qu'il faisait et jusqu'à maintenant, il s'en sortait très bien. Sauf pour Declan qui n'était pas censé être au courant, mais malheureusement, il avait été là au mauvais moment. Au moins, il semblait avoir gardé cette information pour lui et Carter était toujours dans l'ignorance de ce que son petit frère faisait. Encore heureux! Qui sait ce qu'elle ferait si jamais elle l'apprenait. Enfin bref, Noah avait réussi à convaincre les parents de ne pas l'apporter de force avec eux. En même temps, ses disputes avec elles devenaient redondantes et le jeune homme voulait toujours le dernier mot, il n'abandonnait pas. Du coup, les deux mères n'avaient pas le choix que de laisser passer. Et puis, ce n'est pas parce qu'ils vivent tous sous le même toit qu'ils doivent passer tout leur temps ensemble à se tenir par la main. Come on! Le jeune Dawson avait accompagné sa tante ainsi que sa conjointe et sa soeur jusqu'à la porte d'entrée lorsque celles-ci s'apprêtaient à partir. Normalement, il serait resté dans sa chambre et se serait contenté de leur crier « Aurevoir » , mais cette fois-ci, il voulait savourer le fait qu'elle partait pendant deux jours, lui laissant la maison à lui seul. Il était même surpris qu'elle n'appelle pas Carter pour venir jouer la babysitter. Disons qu'elles pouvaient se montrer assez mamans poules avec leurs enfants, ça pouvait en être flippant. Une fois les femmes parties, il ferma la porte derrière lui et son premier réflexe fut de se laisser tomber lâchement sur le divan. « Enfin seul. » souffla-t-il en prenant la télécommande en main pour allumer la télévision. Ayant la maison complète à lui pour le weekend, il aurait bien pu faire comme la plupart des jeunes et organisé une fête. Cliché, mais épic. Par contre, il n'avait pas envie d'avoir cette responsabilité sur les épaules et surtout de risquer de s'attirer des ennuis. Disons que s'il arrivait de quoi à la maison durant l'absence des propriétaires, à leur retour, il allait manger - comme les québécois le disent - un char de marde! Autant éviter une (autre) scène avec elles. Il lança un regard au chat, qui comme d'habitude était étalé sur le bout du divan comme un paresseux. « On fait quoi maintenant ? » Il jeta un coup d'oeil à l'heure, bientôt le moment de souper. La question existentielle de la soirée : cuisinier ou commander ? Piper lui avait laissé quarante dollars avant de partir, du coup, il pouvait bien s'en servir pour commander une pizza. Pas qu'il n'avait pas d'argent, mais la bouffe est bien meilleure quand elle est payée par quelqu'un d'autre. Just saying. Sans hésitation, il prit son portable et composa le numéro de la pizzéria du coin pour se commander une pizza toute garnie. Devant la fenêtre du salon, il remarqua la voiture de sa voisine à son emplacement habituelle et un sourire se glissa sur son visage. Il prit à nouveau son portable en main et envoya un SMS à Melody. Hey Blondie, ramène ton cul !!! Tournoi de tennis chez moi live. La pizza est en route. Bien entendu, il parlait de jouer à la Wii. La console se trouvait dans le salon et il pouvait en profiter pour l'instant. Même si c'était une console pour gamin, ça lui arrivait d'avoir envie de faire une partie de tennis ou de baseball. Il leur donnait quand même des mérites pour avoir inventer ces jeux. Tant qu'à sortir et se rendre à un vrai terrain de tennis, autant jouer dans son propre salon. Moins de trouble! Une vingtaine de minutes plus tard, quelqu'un sonna à la porte et le jeune homme prit ses jambes à son coup pour aller ouvrir. Contrairement au chat, qui était toujours couché sur son coin de sofa, indifférent. Pour faire changement... « Et bim! Tu as fait plus vite que le livreur, tu m'étonnes Melody. Qui sait, on aura peut-être une pizza gratuite! » Tout le monde rêve du jour où le livreur arrivera en retard et que finalement arriver il dira « Désolé pour le retard. Pour nous faire pardonner, nous c'est gratuit pour vous. » Malheureusement, ce moment n'est que fictif. C'est même à savoir si cela peut vraiment arriver. Qui sait? Il ouvrit la porte un peu plus grande pour laisser la chance à la blonde d'entrée. « Les vieux... enfin, les vieilles sont parties pour le weekend, fait comme chez toi. Évite seulement de t'assoir à la place du chat sur le divan, il est bizarre et possessif. Je préfère t'avertir tout de suite. » Cela aurait pu être une blague, mais non... Le chat était possessif, un peu trop. Et si quelqu'un avait le courage de prendre son coin, il se la jouait à la Sheldon Cooper. Truc de chat... « Alors, tu faisais quoi de bon chez toi ? »
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mot doux de Invité ► un Jeu 9 Avr - 1:23
Noah & Melody

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Une journée comme une autre mais surtout deux ou trois jours de congé. Je devais me reposer un peu. Trop d’émotions cela peut réellement nous prendre aux tripes. Je venais de vivre une semaine pourtant calme comparée aux autres mais assez difficile. Comme quoi rien ne pouvait bien aller. Rosie était à l’école ou du moins elle l’était encore pour quelques heures. Mes petites sœurs en sécurité même si Isobel ? Non mais être à l’hôpital après une overdose en plus d’être un échec dans mon rôle de grande sœur sœur pire à mes yeux. Ce n’était pas un manque de sécurité mais… je soupirais doucement en pensant à tout ça. Allongée sur mon canapé dans mon short en jeans et mon débardeur. Je soupirais tout simplement. Ma tasse de thé à la main, je regardais le programme télévisé de Disney Channel. Oh on est une Peter pan au féminin ou on ne l’est pas. Il n’y a pas d’âge pour regarder ce genre de chaines. Je n’avais pas réellement honte ! Je n’avais pas honte du tout à vrai dire. Je soupirais doucement en haussant les épaules et je regardais tout bêtement en la direction d’Oréo qui me regardait avant de lâcher un miaulement juste pour me dire : viens, caresses-moi. Je ne bougeais pas. Elle pouvait venir et pourquoi j’allais venir ? Quand je voulais être caressée, j’allais vers la personne sans attendre. Non mais oh, quand même. Je la snobais tout comme elle pouvait parfois me snober aussi. Je la regardais avec attention et la défiant un peu du regard et elle se levait pour se tourner dos à moi avant de se recoucher. Offusquée, je faisais un rictus avant de prendre une cacahuète dans le bol à côté. Je lui balançais tout simplement la cacahuète sur le poil et je faisais une moue. « Sale bête ! », lâchais-je avec un léger sourire mais beaucoup d’amour surtout. Je gardais ma main alors qu’une vibration sous mon postérieur se faisait sentir. Ohhh, c’était vibrant. Je pourrais presque y prendre réellement du plaisir mais non. Voyons. Je n’étais point ainsi et je préférais faire vibrer l’échine des tamias. C’était bien plus agréable dans le fond. C’est en allant mettre la main sur mes cuisses que je la relevais à mes fesses. Je me tâtais un peu le popotin et le canapé avant de trouver l’objet de mon désir. Mon téléphone. Je lisais aussitôt l’sms et je souriais comme une idiote. « Je suis au régime, je te laisse la pizza ! », répondais-je alors tout simplement à ce message qui me donnait juste envie de rire. Je n’étais pas vraiment une femme à régime mais j’aimais bien cette image à casser de moi. Celle de la geek sportive qui ne se privait pas spécialement d’un bon repas tout simplement par ce qu’elle en avait cruellement envie. J’avais faim. J’étais juste affamée et je mangeais. Je mangeais beaucoup et surtout des sucreries ou des cacahuètes. Je l’assume mais je ne prenais rien sauf parfois sur les cuisses. Il fait juste savoir entretenir un corps pour être bien dedans mais ne pas se priver. Trêve de blabla. J’envoyais le message et je me levais. J’attrapais aussi vite mon gilet pour l’enfiler par-dessus mon débardeur. Il ne faisait pas réellement froid mais il y avait un petit vent tout de même. Je ne voulais pas me choper un rhume mais… un seul souci. Je devais amener un truc avec moi. J’avais besoin d’un cadeau ou autres. Il m’invitait mais je n’étais pas réellement fan des bières donc je n’en avais pas. Je n’avais rien. J’allais vers ma cuisine et je remarquais ainsi mon stylet pour mon diabète. Bullshit, je l’avais oublié un peu plus tôt. On allait éviter toutes les crises. Je le prenais et je le pointais vers ma cuisse avant de piquer. Douloureusement, sûrement oui mais je m’y prenais mal à cause de la vitesse. J’aurais pu prendre mon temps mais non. Je continuais à regarder autour de moi et hop. Oh bah oui, du vin. J’attrapais la bouteille comme un trophée que je brandissais devant Magnum qui me regardait avec une oreille pliée et ce petit bruit qu’un chien apeuré peut faire. Je souriais. « Bah quoi ? Tonton Noah a droit a du bon vin… », disais-je alors en souriant doucement avant d’aller caresser le haut de sa tête. Les minutes passaient tout de même et je ne m’en rendais pas réellement compte. J’allais dans le salon et j’éteignais la télévision. J’avais peur de la facture surtout que je n’étais plus seule. Je me rendais alors vers l’ordinateur portable encore ouvert et je le fermais pour qu’il se mette tout seul en veille. Je sortais aussitôt en fermant derrière moi et j’allais de l’autre côté du trottoir. Ce n’était pas réellement loin mais la maison était juste 6 fois plus grandes que la mienne. On dirait même un jardin pour comparer les deux. Je sonnais aussitôt en trépignant d’impatience. Je ne faisais pas réellement attention aux deux amis qui me suivaient partout qui étaient apparemment de retour mais le pire… étant sûrement que je ne les avais pas remarqués. Ils se plantaient dans leur voiture devant le trottoir de cette maison. Ils étaient toujours devant la mienne et parfois sous mon perron mais ils n’avaient plus été là depuis une semaine. Je savais que ça allait me changer les idées. J’étais stressée, nerveuse et à bout de nerfs au point d’en oublier simplement mon insuline. Il n’y avait que dans ces moments où j’étais paumée que j’en étais capable. Je souriais quand il ouvrait et je riais aussitôt. « Une Melody gratuite, c’est déjà assez ! », disais-je en entrant quand il ouvrait un peu plus grand et j’arquais un sourcil quand il parlait de ses mamans enfin surtout la façon. Je me tournais vers lui, l’air mécontente mais c’était réellement vrai. « Ne parles pas de tes mamans comme ça ! », lui disais-je alors comme si je lui faisais un peu la leçon et souriant. « On en a jamais assez… que de deux… », je me rapprochais aussitôt du chat et je m’accroupissais devant le canapé avant de lui faire une petite gratouille sur le haut de sa tête. « Coucou, toi ! », disais-je tandis qu’il ronronnait et souriait doucement. « Il est gentil avec moi ! », disais-je en me relevant aussitôt avant d’approcher de Noah. Je lui tandis aussitôt la bouteille de vin et je la mettais presque par force dans ses bras. J’attendais qu’il ne l’ait entre les mains pour lâcher le verre. Je lui souriais en ramenant ma main sur le haut de sa tête et je gratouillais doucement ses cheveux. « Coucou, toi ! », disais-je en imitant la façon donc je l’avais fait avec le chat. Il pourrait me rôtir et vouloir me tuer dans ses pensées mais je m’en fichais réellement. J’écoutais le chat continuer ses miaulements et je gardais mon attention vers le chaton grandeur nature même si c’était plus vite un grand cochon. Je lui souriais doucement. « Je ne fais rien, je suis en… », je mettais alors mes doigts devant moi et je souriais. « Congé »… je faisais les guillemets. « Forcé ! », finissais-je par dire en soupirant doucement. « Enfin c’est ce que mon patron m’a dit en remarquant que j’étais assez égarée en ce moment et trouvant que le boulot n’était peut-être pas une bonne échappatoire ! », je levais les yeux en soupirant. « Du coup je me tourne les pouces car ce n’est pas avec des échantillons de pipi ou caca canins que je vais arriver à faire le vaccin contre… une maladie incurable ! », lâchais-je en roulant des yeux. « Ce vin est très bon ! », je souriais aussitôt  tentant de reprendre du sérieux.
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