Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Ven 10 Avr - 19:02
Jonas & Jazz
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Le clair de lune nous éclairait assez pour qu’on puisse plonger notre regard dans celui de l’autre. L’ambiance tendre et pourtant trompeur qu’il se dégageait de cette relation. Effectivement, au loin j’étais sûre qu’on pouvait faire croire à quiconque que nous étions un couple ou un peu moins, ce qui n’était point le cas. Enfin y réfléchir de trop finirait par me donner un coup de barre et là maintenant, je n’avais pas besoin de ça. Ma tête contre son torse, je pourrais presque entendre les battements de son cœur, malgré cela je parvenais à pleurer et frémir sous l’intensité de ce qu’on venait de vivre. J’étais un peu choquée. Je me sentais coupable et je ne manquais pas de le faire savoir. Même si cela pouvait gâcher ce que nous vivions, quelques choses qui m’émerveillait alors que je ne serais mettre de mot dessus, je restais à la merci de mes émotions qui depuis ce soir allait me rendre dingue. « D’accord. » Il n’avait donc pas fait simplement ça pour moi, j’aurais pu m’appeler Gertrude qu’il l’aurait fait. Enfin, je ne voyais pas en quoi cela me dérangeait, pourtant de l’intérieur, je ressentais comme une trahison ou une mauvaise blague ? Aucune idée. « Et ça serait quoi ces autres circonstances exactement ? » Demandais-je. Par simple curiosité ? Sans doute, enfin, je n’en avais aucune idée pour le coup. J’avais juste cette petite question qui s’agitait en moi, comme un lapin sautillant. Je ne voulais pas l’embêter, c’était déjà un bon point. Des choses étaient dites et mon cœur se serrait doucement me faisait ressentir une sorte de bien être ou de paix intérieure. En vrai, je n’avais aucune idée de comment expliquer tout cela, je me sentais piégée dans ce tas d’émotion bouillonnant en moi, je cherchais une réponse, des réponses, mais rien. Je restais dans ce trou noir ou la pénombre n’était point facile à combattre. S’en éloigner m’avait l’air tout bonnement impossible. Je finissais par me poser entre ses cuisses croisant son regard dans lequel je ne m’éternisais pas, je pourrais somnoler face à ce dernier, il était hypnotique, comme si je pouvais découvrir le vrai Jonas dans ce dernier. C’était assez étrange. Je mordillais ma lèvre en déposant ma main sur ses gonflements par peur de lui faire mal ! J’avais toujours peur de ça plus que par le fait d’être écœuré quand je soignais l’un des petits de la fratrie se blessant. Je massais assez fort sans être une brute, mais il fallait que la crème pénètre pour que cela soulage enfin Jonas. Je laissais mes doigts être tendre avec sa peau de temps à autre. J’appréciais la douceur de sa peau contre le bout de mes doigts. J’eus enfin fini que je prenais sans trop bouger un chiffon pour essuyer le peu de surplus que j’avais dans la main. Je frottais un peu mes yeux, je commençais à avoir besoin de repos, mais la route était loin jusqu’à Pasadena. Enfin, je pourrais dormir, mais j’aimais bien tenir compagnie au conducteur. Mon regard restait plongé dans le sien. « De rien. » Ses bras passant autour de ma taille, me forçait presque à me coller à son torse, je laissais ma poitrine s’écraser doucement contre ce dernier en sentant son front venir prendre place sur mon épaule. Un sourire venait capturer mes lèvres, alors que je glissais le bout de mes doigts dans sa nuque pour la masser un peu. Cet instant faisait naitre en moi quelques picotements me volant un énième sourire, je pinçais mes lèvres venant lui déposer un baiser dans le cou. Une envie comme ça, que je voulais assouvir comparé à celle de l’embrasser tellement présente en moi qui me rendait pleine de songe. Je n’étais pas un philosophe, mais j’avais l’impression d’apprécier tellement ce moment, que je ne voulais pas que ce petit bout de paradis ne cesse. Une douce chimère que me proposait Morphée ? Je dormais dans mon lit douillet en pyjama, bavant un peu ? J’aurais aimé, cela aurait été plus facile, enfin j’aurais toujours eu ces questions en tête. « Non cela ne me gêne pas. » Je restais donc debout contre lui laissant mes doigts toujours pianoter contre sa nuque avec une certaine mélancolie et une douceur inouïe. J’oubliais presque cette soirée du moins celle avec ces mecs à la bouteille de Jack Daniels. Mes jambes se faisant de plus en plus lourdes, alors que je humais le petit parfum de Jonas qui avait trouvé une parfaite harmonie avec l’odeur du sel que nous offrait cette eau perfide. Mes yeux se fermaient un peu, je me sentais patraque, la fatigue venait de me happer. Un marchand de sable faisait de petite manigance à mon encontre et celle de Jonas ? Sans doute. Je souriais doucement en posant mes lèvres à nouveau contre son cou, alors qu’il pouvait sans doute sentir ce petit rictus, je me défaisais légèrement de son étreinte, je ne voulais pas le quitter, mais il fallait que je regarde si ce que j’avais vu était vrai. Je regardais donc les petits tapis qui n’étaient pas comme l’un de nos lits, mais le meilleur qu’on pouvait s’offrir et les couvertures de survie. J’eus un petit sourire en posant mon regard dans le sien. « On peut toujours s’installer là pour se reposer un peu ? On ne pourra pas conduire dans cet état sans un peu de repos. » Même si au pire on pouvait aussi cesser de penser et enfin dormir. « On a tout ce qu’il nous faut pour faire un petit motel... désolée pas de palace ! » Disais-je comme petite blague. « Tu en penses quoi alors ? » Demandais-je à nouveau avant de glisser ma main sur sa cuisse tout en gardant nos regards en contact, alors que ma main venait prendre l’une des siennes. Etrange comportement, pourtant j’appréciais tout cela, sauf ces maudites questions. Je n’avais pas l’impression d’avoir besoin d’être artificiel ou de mentir.
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Jonas L. Sanchezet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement :baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3564 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana
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mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Dim 12 Avr - 7:38
jazz & jonas
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Les circonstances, enfin, les autres qui m’aurait poussé en lui en vouloir. Il n’y en avait pas, tout du moins aucune qui me venait à l’esprit en cet instant. Il pouvait bien exister des circonstances, mais sans mise en situation, c’était plus dure de savoir comment je pouvais réagir. « Je ne sais pas trop… », disais-je vaguement sans trop savoir quoi de dire de plus. Étais-ce la bonne réponse à dire ? Peut-être ou pas. Je ne savais pas, en fait, je n’avais simplement pas la tête à réfléchir. Je sentais encore mon animosité pour ces deux mecs, bien que je me calme peu à peu. Je m’adoucissais au fil des secondes, laissant ce sentiment se dissiper. Ma respiration qui s’était faite plus rapide comme les battements de mon cœur, revenait à la normale. Sa tête appuyée sur mon torse, je caressais ses cheveux encore humide. Un geste répétitif qui avait tôt fait de me rendre plus paisible. Bien que les mots échangés se bousculent tout naturellement, il y avait certain propos que je ne savais pas très bien interprété. Lorsque je l’avais vu ce soir dans les bras de cet homme, j’avais ressenti quelque chose que je ne comprenais pas. Je n’aimais tout simplement pas cela. Je jalousais presque cet homme, je voulais qu’elle me touche ainsi, mais rien que moi. Pourtant, c’était tout simplement absurde, pourquoi être jaloux d’un mec que je ne connaissais pas ? Pourquoi être jaloux d’un sentiment que je ne comprenais pas non plus ? Elle avait tous les droits de voir quelqu’un. Je n’allais pas non plus mettre la main dessus. Je ne désirais pas brimer ce petit oisillon en l’enfermant dans une cage d’or. Je ne savais même pas ce que je représentais pour elle, mais inversement aussi, ce qu’elle représentait pour moi. Dans l’eau, j’avais été guidé par l’ambiance qui se faisait ressentir autour de nous. L’eau ruisselant sur ses frêles épaules, nos corps peu vêtus, le clair de lune qui laissait son reflet danser sur les vagues. Frémissant devant cette image, je n’avais pas pu résisté, laissant mes lèvres créer une chimère idyllique. Pouvais-je croire à ce sentiment, que j’avais éprouvé au contact de ses lèvres contre les miennes. Je ne savais pas trop, en fait, je crois que j’avais bien plus peur du dur réveille qui m’attendait. Puis ce moment, où j’avais vu ces mecs essayant de la toucher. J’avais perdu mes moyens, je ne savais plus trop quoi penser ou bien faire. Bien entendu, je n’avais pas laissé faire. Je ne l’aurais jamais laissé, mais le fait de les voir la toucher, ne me m’avait pas plu. Ça, je pouvais m’en rendre compte. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de me demander si j’aurais agi autrement avec une autre. Est-ce que j’aurais pu ressentir autant de frustration avec une autre ? C’est là que je doutais, mais à quel point. Je la regardais discrètement lorsqu’elle m’appliquait la pommade, observant chacun de ses traits. La rondeur de son visage, son petit nez retroussé, ses lèvres charnelles, ses cils courbés qui entouraient ses yeux d’un bleu captivant. Silencieux, après ma petite plainte, je continuais de l’observer taciturne. C’était tellement plus simple en cet instant, il n’y avait plus rien autour de nous. On aurait pu être sur une île déserte que ça n’aurait pas fait de différence. Tout était calme et on était tous les deux. Un peu comme d’habitude à notre appartement, seulement avant ce soir, il n’y avait pas ce baiser. Il n’y avait pas non plus ce ressentiment que j’éprouvais là en la regardant. Je détournais le regard, lorsqu’elle eut fini, un simple instant. Tentais-je de me montrer indifférent ? Sans nul doute, mais je revenais bien vite à elle. Croisant mon regard avec le sien. Je laissais filer un merci de mes lèvres. Puis, sans me poser de question, je passais mes bras autour de sa taille, allant appuyer mon front sur son épaule. Je ne savais pas ce qui m’avait pris, mais j’en avais simplement ressenti le besoin. Je fermais les yeux au contact de ses doigts sur ma nuque. J’étais intérieurement déchiré, pourquoi est-ce que je ne comprenais rien à ce sentiment qui naissait en moi. Je ne disais rien, resserrant un peu plus mon étreinte au contact de ses lèvres sur mon échine. Alors, telle l’eau de la rivière elle me glissait des doigts et je relevais la tête pour la regarder. Elle proposait de dormir ici, je devais bien admettre que je me sentais somnoler et conduire serait trop risqué. « Ça me va. », disais-je finalement en entrelaçant mes doigts avec les siens. Pourquoi, il n’y avait que cette cabane de bois pour être témoin de ce moment ? Je me levais du bureau, me mettant debout devant elle. Mon pouce caressait le dessus de la paume de sa main, avant que je ne la relâche pour aller chercher les tapis de mousse. J’en collais deux côtes à côte. Un aurait pu être suffisant, mais je ne voulais pas trop en faire. Et puis, elle pourrait mal le prendre. Je la laissais choisir le premier et je prenais le second, me couchant sur mon flanc intact. Je la regardais dans la pénombre qui s’envolerait dans quelques heures. « Bonne nuit Jazz. », disais-je dans un murmure tout en fermant mes yeux. J’avais beau être endormi depuis peu, j’avais un sommeil qui s’agitait aussitôt. Je me tortillais sous la couverte qui me démangeait sur ma peau meurtrie. Ce n’avait rien de douillet, mais je n’aurais pas dit non à un somnifère ou tout autre analgésique qui m’aurait fait oublier la douleur que je ressentais encore. Tout comme pour trouver aussi la force de m’endormir. J’ignorais néanmoins si c’était que cette sensation désagréable contre ma peau qui m’avait réveillé. Ou étais-ce plus encore. Je me réveillais finalement, m’assoyant en repliant mes genoux vers moi, je me prenais la tête dans mes mains. Ma respiration était devenu saccadé, je poussais un soupire. Je n’allais pas trouver le sommeil aussi facilement que je le croyais.
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mot doux de Invité ► un Mar 14 Avr - 6:40
Jonas & Jazz
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L’idée qu’il puisse m’en vouloir, me laissait un goût amer en bouche, alors la curiosité du pourquoi et du comment il pourrait m’en vouloir étaient arrivés. Au final, lui-même n’avait pas l’air très sûr de ce qui pourrait le pousser à ressentir de l’animosité à mon encontre. Ambiance ne pouvait que s’apaiser loin de ces mecs voulant ruiner tout ce qu’on avait. Cette soirée avait fait naître des sensations bizarre que j’avais rarement ressentit auparavant et tout cela avait un rapport avec lui. Jonas. Compliqué à m’expliquer, j’étais vaguement perdue dans une chimère sans avoir la sensation de pouvoir comprendre ce qui se passait en moi à cet instant précis et à l’intérieur de mon cœur qui battait à vitesse rapide comparé à d’habitude, pourtant la situation amenant l’adrénaline était à présent terminée, alors que ce passait il ? Mise à part les doux gestes de mon colocataire à mon égard et mes pouces caressant du bout des doigts sa peau douce ? Les yeux clos, j’aurais pu rester ainsi bien longtemps, mais il fallait penser à le soigner. Puis la situation en devenait presque étrange, lui ne désirant pas m’en dire plus sur ces mots … mais j’étais curieuse, avide de savoir à ses propos. Je n’avais plus qu’à faire la chasse aux questions pour me concentrer sur sa blessure causé par un vilain animal des mers perfides. J’étalais la crème dans un silence inouïe. Je ne savais quoi dire, mais mon regard se perdait dans le sien de temps à autre laissant un sourire se créer à la commissure de ces dernières. Je pouvais y voir mon reflet ou encore celui de la lune qui créée une légère pénombre qui éclairait assez bien pour rendre le moment presque séduisant. Sauf, qu’on avait plutôt l’air de deux idiots coincés. Je mordillais un peu ma lèvre en caressant à l’aide des mains et de la crème ses muscles que j’avais longuement dessiné des yeux. Il serait mentir que de dire que je n’’avais jamais observé les pectoraux et autres muscles de Jonas, comme tout le monde, j’avais les yeux qui flirtaient avec son corps, mais je ne l’avais jamais touché de la sorte et mon cœur n’avait pas l’air de s’en remettre. Loupant de temps à autre quelques battements, me donnant un peu chaud. Je ne comprenais pas tout et cela avait le don de me laisser complétement perplexe face à cette situation. Tout s’enchainait, que les questions disparaissaient pour le moment, même si ces dernières finiraient par revenir me hanter telle une mauvaise blague collante. Mes paupières me laissèrent dans un noir réconfortant, surtout grâce à cette proximité que j’avais avec Jonas. Je me sentais plus en sécurité que jamais. Je laissais mon visage se nicher au creux de son cou et laissait un baiser caresser sa peau avec tendresse. Aucune idée de pourquoi je venais de l’embrasser ainsi. Mais à cet instant ce n’était pas ce que je voulais m’expliquer, tout au contraire. Je voulais juste vivre l’instant précis, mon esprit venait de rétamer toutes les questions, les envoyant valser ailleurs pour enfin être tranquille. C’était les seules à vouloir gâcher ce moment comme ces mecs à la Jack Daniels. Je n’avais pas envie de quitter ses bras et de ne plus profiter de ce moment qui me donnait envie de sourire un peu plus, il avait laissé un sourire béat et très joyeux sur mes lèvres. Je me décalais juste un peu, le voyant si fatigué, alors que moi-même j’avais ce coup de fouet qui me faisait somnoler légèrement, je lui proposais donc mon idée. Cette dernière approuvée signa aussi la fin de ce petit moment tendresse. Nos mains entrelacé, je caressais du bout du de ces derniers sa paume laissant un sourire se peindre à nouveau sur mes lèvres finissant par le laisser partir. Je me posais contre le bureau contre lequel il se tenait peu de temps avant, le laissant tout installer. Laissant mon regard flirter avec son corps tout entier alors que par moment, ma lèvre se coinçait contre mes dents et que mon cœur se faisait plus rapide. Plus besoin de chercher d’explication, je me tortillerais l’esprit plus tard, trop fatiguée et aucune envie de me torturer maintenant, j’en avais assez eu de la torture peu avant. Une fois installée pour dormir, ce que je pensais être assez simple, je murmurais une bonne nuit à Jonas. Je lui avais tourné le dos et je me sentais mal, je ne voulais pas être si loin de lui, aucune idée de ce qui se passait, mais je n’avais qu’un seul désir, me retrouver dans ses bras. Le sommeil avait l’air taquin, en vain à me faire un canular en ne me laissant pas m’endormir, malgré la fatigue qui rongeait mon être. J’allais me retrouver sur les rotules, lui devait déjà dormir ? Aucune idée, en tout cas je n’avais pas la sensation que dernière moi ça bougeait beaucoup. Peut-être que je ne me sentais pas en sécurité et que ses bras seraient l’endroit parfait pour être rassurée ? Ou ce n’était qu’une manigance m’étant joué par mon esprit pour retrouver à nouveau ses bras où la place était chaude et confortable ? Nulle idée. Les questions étaient interdites de passage dans mon esprit, alors j’étais tranquille. Le marchand de sable n’était pas passé ou alors son sable n’avait aucun pouvoir sur moi ? J’avais comme l’impression d’être dans l’une de ses nuits d’été où j’étais dérangée par un moustique désireuse de simplement trouver le sommeil. « Jonas ? » Je me redressais le découvrant accroupi. « Je peux dormir avec toi ? » Je pinçais mes lèvres entres elles, j’avais l’impression d’être un chaton en manque de câlin, mon regard venait chercher le sien, alors que je n’attendais pas sa réponse pour prendre place sur son matelas et de me mettre dans ses bras. « Ça va ? » Demandais-je d’une voix presque inaudible. Je glissais mes mains le long de son échine, il n’avait pas l’air d’avoir réussis tout comme moi à trouver le sommeil, peut-être qu’à deux on le trouverait.
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❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
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mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Mar 14 Avr - 8:04
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Qui pourrait croire qu’une piqure de méduse pouvait être si dérangeante. C’était la première fois que je me faisais piquer et j’aurais préféré éviter ce moment. Au moins, j’avais échappé à l’urine de Jazz sur ma peau. Des plans pour que je veuille plus jamais approcher une fille. Nan ! Impossible, les filles sont trop ! Tout comme celle à qui je tenais la main en ce moment même. Un geste d’une courte durée, puisque je la relâchais pour nous fabriquer une sorte de lit. Je me sentais de plus en plus somnoler, ma tête faisant le vide laissant le moustique qui me sert de conscience voler dans mon crâne. J’avais qu’une envie l’abattre avec une tapette. Mais tuer ma conscience n’était peut-être pas la meilleure des idées, perfide elle résonnait préparant une nouvelle manigance. Vidé de mes forces, la tête s’arrêtant de s’agiter, je me couchais sur le matelas près de celui de Jazz. Un vœu de bonne nuit et je fermais mes yeux. La pénombre déjà présente s’accentua sous mes paupières closes. Je cherchais à m’endormir, rejoindre tout simplement Morphée. Seulement, rien à faire, on aurait dit que celui-ci ne voulait pas s’abattre sur moi. En plus, je sentais la couverture frotter contre ma plaie. Me retournant, je finissais par m’asseoir rabattant mes genoux contre mon corps, je poussais un faible soupire en mettant mes mains sur mon visage. J’entendais mon nom, mais je ne bronchais pas. À sa question, je tournais la tête croisant son regard azur. « Euh. » Dormir avec moi. Je ne savais pas trop si l’idée était concevable. Plus pour moi que pour elle, il y a des pulsions qui son impossible à contrôler. Je n’avais pourtant pas le temps de dire quelque chose de plus, qu’elle se glissait entre mon torse et mes jambes. Je sentais son corps collé contre le mien. Notre chaleur s’entremêlant, je tentais de la regarder, mais ce n’était pas chose facile. Merde. D’endormi, je passais aussitôt a réveillé. Un triangle de penser se chambardait en moi : L’indifférence, l’abandon de soi ou le self-control. « Là ? » Je relevais mon regard vers elle, erreur. Je me transformais en véritable sauna humain. Ma bouche s’entrouvrait, j’avais simplement l’air d’un puceau en mal de savoir. C’était comme si tout ce que je savais avait pris la poudre d’escampette. Je sentais ses doigts sur ma peau et je frémissais essayant de ne pas me tortiller comme une chenille. Damn it ! Je laissais finalement ma main courir le long de ses cuisses retroussant le t-shirt qu’elle portait. Ma respiration se faisait lente, mes lèvres allèrent se caler dans son cou. Un baiser. Puis, un second. Je remontais tranquillement suivant la ligne de sa mâchoire que j’avais observé un peu plus tôt. Je capturais une fois de plus ses lèvres, cette fois donnant plus d’ardeur à mon baiser. Mes mains empoignants son fessier sans artifice. Tout d’un coup, j’avais tellement envie d’elle, je laissais ma jalousie parler d’elle-même. Car oui, je ne pouvais abstraction de ce moment qui me hantait encore. C’était peut-être seulement physique entre eux, mais qu’importe. Je rompais finalement ce baiser, me laissant tomber sur le matelas. Seconde erreur. J’ouvrais la bouche non pas de jouissance. Un souffle s’échappait de mes lèvres. « Aïe. » Se simple mot avait été plus faible que je l’aurais cru possible et surtout plus aigu. Je grimaçais, me relevant en prenant appui sur mes mains. J’avais été fou de me laisser tomber sur mes gonflements, une larme coulait de mes yeux. Le choc avait eu une certaine violence, provoquant une douleur vive. Batman aurait-il chigné pour si peu ? En même temps, je n’avais pas une fortune et des gadgets, je pouvais bien verser une larme en compensation. Je la regardais et comme un bébé, je laissais mon orgueil de côté. « Je veux bien dormir avec toi… Vraiment dormir… » Je laissais une plainte, une sorte de hoquet, sortir de mes lèvres pincés.
Dernière édition par Jonas L. Sanchez le Jeu 16 Avr - 6:28, édité 1 fois
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mot doux de Invité ► un Mar 14 Avr - 8:51
Jonas & Jazz
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Loin d’être confortablement installé, en même temps le matelas n’était pas douillet, il était rigide. Je voulais dormir, mais je n’y arrivais pas. Il y avait bien trop de chose dans mon esprit, j’avais beau tenter de m’y soustraire en me tortillant telle une chenille. Rien à faire. Je restais coincée avec mes pensées, je ne me posais plus de question, c’était déjà une bonne chose. Cela me permettrait d’être un peu tranquille. Pour le moment, je revivais comme une chimère, l’ambiance de cette soirée qui était tout bonnement étrange, complétement différente des autres que j’avais pu vivre avec Jonas. Morphée ne m’acceptait pas dans ses bras, alors que le marchand de sable me faisait somnoler avec audace. Je sentais toujours ce coup de barre pourtant, j’avais nullement envie de dormir, sauf dans les bras de Jonas. Pourquoi ? Aucune idée. Voilà, les questions qui allaient revenir sans que je ne demande quoi que ce soit. Hors de question ! Je fermais les écoutilles. Plus aucune question ne viendrait déranger mon esprit, mes neurones avaient besoin de repos tout comme moi. J’étais déjà un peu perplexe face à la situation, je ne voulais pas l’aggraver à cause des interrogations coincées dans mes méninges. Une fois mon esprit libre, je pouvais penser librement ou ne point le faire. Je n’avais même pas réfléchit à toutes les possibilités avant de proposer à Jonas de dormir avec moi. Sans réfléchir, je me glissais sur lui, je laissais mon regard pénétrer dans les siens, me perdant dans son regard perfide qui me faisait souvent perdre pied dans ce bleu captivant. Je glissais mes mains dans sa nuque caressant la naissance de son échine, je me sentais bien, mais je ne savais pas trop ce que j’attendais de cet instant ? Dormir ou autre ? Forcément un peu de repos que pourrais-je attendre d’autre de Jonas ? Rien ne me venait à l’esprit. Je souriais doucement. Je hochais la tête à sa question. J’avais besoin de m’endormir et de me sentir en sécurité, mais pour cela il fallait que je me sente en sécurité et à cet instant je me sentais amplement en sécurité une fois glissé dans ses bras. Même que ce genre de sentiment était assez étrange pour le coup. L’une de mes mains quittait sa nuque pour replacer mes cheveux qui commençaient à onduler à nouveau tout en séchant en arrière. Je glissais sans m’en rendre compte mon bassin contre le sien, je n’arrivais pas à tenir en place, mais je ne bougeais pas plus sentant une chaleur oppressante au niveau de mon bassin et une terrible sensation d’être sur un manège à sensation au niveau de mon estomac. Je mordillais un peu ma lèvre. Je sentais de petite frémissement courir le long de mon corps en sentant sa main parcourir ma cuisse. Je ne disais rien, comme si j’étais ailleurs, dans une petite bulle qu’avec lui et que rien ne pourrait m’arriver. Ma tête partait légèrement en arrière comme si les baisers déposés sur mon cou me donnaient envie d’en avoir un peu plus. Je fermais les yeux, preuve que je pouvais lui faire confiance, j’étais presque émerveillée de tout cela mon coup de pompe partait un peu, je somnolais tout de même encore. Mes lèvres contre les siennes, je m’attendais à un baiser artificiel, chaste, mais non. Il fut plus audacieux, mais je n’avais pas peur de ce style de baiser. J’étais vierge, mais pas non plus une nonne. Je le laissais faire répondant sans laisser une animosité quelconque m’envahir. J’appréciais ce moment, jusqu’à sentir ses mains sur mes fesses les presser comme si j’étais une orange, je posais mes mains sur son torse pour faire stopper tout cela ! Voilà, les autres mecs avaient raison, et lui pensait la même chose ? Je grimaçais le giflant ! Ce coup si n’était pas un simple reflexe, juste l’envie flagrante de le ramener à l’ordre. « Je pensais pas que tu me voyais comme ces mecs me voyaient.. » Je me laissais glisser sur son matelas pour ne plus être sûr lui, croissant mes bras sous ma poitrine, mon regard fuyait le sien. Je ne savais plus quoi penser, c’était une manigance qui me faisait un peu de mal et en même temps, j’aurais voulu qu’il laisse ses mains sur ma cuisse sans être aussi oppressant. Il ne s’était pas allongé longtemps vu que ce fût à ce moment-là que je l’avais frappé, juste après son petit 'aie'. Je le regardais de travers, ne sachant plus trop quoi faire juste avant de l’entendre parler. « Vraiment dormir ? Ou tu vas... me sauter dessus comme l’un de ces cochons alcoolisé ? » Demandais-je durement. Je voulais dire oui, j’étais fatiguée et je ne pourrais pas dormir sans lui, mais la confiance avait été fêlée.
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Jonas L. Sanchezet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement :baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3564 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana
bros b4 hoes
mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Jeu 16 Avr - 8:09
jazz & jonas
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Son corps collé contre le mien, je m’étais simplement laissé aller au plaisir. Quelque chose qui pourrait se voir comme étant fugace. Seulement, cette chaleur qui se dégageait de nos corps, mais lancé dans le rouage d’un désir plus que charnel. Mon baiser c’était voulu plus entreprenant, plus luxurieux. Je ne savais pas ce qui me prenait, mais cette fille avait un effet particulier sur moi. Je ne trouvais pas les mots exacts pour décrire cette sensation que je ressentais surtout… Il me semblait que je n’avais jamais ressenti quelque chose comme ça. Étais-ce simplement une machination de mon cerveau ? Je ne savais pas, mais en cet instant je laissais cette alchimie guider mes gestes. Je poussais la chose trop loin, je le savais pourtant je ne pouvais pas m’en empêcher. Par miracle, je réussissais à m’éloigner d’elle, mais l’envie de m’endormir m’avait quitté. Je me laissais retomber sur le dos, oubliant cette migration de cloche sur celui-ci me faisant grimacer tout autant que la gifle qu’elle me donnait. Appuyé sur mes mains, j’avais tenté de passer à autre chose, même si la fatigue fait la malle. J’avais outre passé la larme perlant le coin de mes yeux, suite à ce contact douloureux contre mon dos. « Qui a dit que je te vois ainsi ? » Je laissais l’exaspération filer d’entre mes lèvres. J’avais été conscient de mes gestes trop poussé, je n’avais même pas eu le temps de dire quelque chose qu’on me giflait automatiquement. Je plantais mes dents dans ma lèvre inférieure, faisant office d’une barrière pour mes mots. « Parce que tu crois que si je t’ai peloté, ça fait de moi un mec comme les autres ? » Je riais, mais pas d’amusement. « Je t’ai pris les fesses, et alors ? J’ai arrêté avant d’aller plus loin et merci pour la gifle. T’as répondue toi-même à ta putain de question. » Pourquoi m’emportais-je ainsi ? Je ne savais pas trop… Tout ce dont j’étais certain, c’était que comme ma demi-sœur, elle venait de porter un jugement sur ma personne et je commençais sérieusement à en avoir marre. Je me passais une main dans mes cheveux, réalisant que la magie c’était envolée. Je me passais la langue sur ma lèvre du bas. « Tu n’as jamais pensé que tu pouvais simplement plaire aux mecs ? Merde, Jazz t’es bandante. Désolé d’être franc, mais j’y peux rien ! Y paraît que je suis comme tous les autres. » Je me levais sur mon matelas, la regardant. « Si t’arrêtais d’allumer aussi ! Si tu t’étais pas assise sur moi, jamais je t’aurais embrassé ainsi. J’aurais pas non plus été plus loin, franchement qui voudrait faire ça ici ! » Ça n’avait rien de paradisiaque. Je détournais le regard, tous ces songes comme quoi il y avait quelque chose entre nous s’évaporait. Tout n’avait été qu’éphémère et j’avais pitoyable de croire que c’était tout simplement possible que je puisse avoir une voie lactée de papillon dans mon ventre. « Je suis désolé, oubli toute cette soirée. Le baiser dans la mer. Le fait que je me suis montré affectueux. Enfin, tout. Je recommencerai plus. » Je sentais mon cœur se tordre à mes mots. J’avais l’air malin de continuer à laisser mes sentiments s’accroitre pour une fille qui me mettait dans le même bateau que tous les autres. L’envie de partir, de la laisser-là seule dans cette cabane, me traversait l’esprit. Seulement, si je faisais cela, je ne valais effectivement pas mieux que les autres. Je quittais le lit marchant vers l’extérieur. « Dors… On partira après. » J’évitais le verre au sol, me couper le pied n’était pas quelque chose que je concevais à cet instant. Je fermais la porte derrière moi, allant appuyer mes avant-bras sur la balustrade. Je levais mon regard vers la lune. Pourquoi, je devais toujours en faire plus ? Pourquoi, je ne pouvais pas simplement être l’ami qu’elle voulait que je sois ? J’avais l’impression de vivre une tragédie et pourtant, je semblais être le seul affecté par tout ceci. Je poussais un soupire. Je sentais mes pieds froids à force que le vent les caresses. Je poussais un bâillement à en avoir une crampe à la mâchoire. Je devais me résigner et retourner la rejoindre, mais je n’en avais pas tellement envie. Surtout avec les paroles que j’avais dites. Je tournais les talons, revenant vers la porte que j’ouvrais en silence, mais au lieu de la rejoindre. J’allais sur le pseudo lit libre. Je me tournais du côté droit pour éviter de ressentir une quelconque douleur. Mais même là, alors que j’avais bâillé, je ne trouvais pas plus le sommeil. J’étais sans doute le plus immature de nous deux, mais je me sentais blessé par ses paroles au point d’avoir moi-même dépassé les limites du concevable.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Ven 17 Avr - 1:17
Jonas & Jazz
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« Qui m’a dit cela ? » Avait-il conscience de ce qu’il venait de faire ou non ? Je ne comprenais plus rien. Comment d’un moment doux et affectueux on pouvait passer de moi en train de le gifler ? J’avais horreur de cela. Je ne comprenais pas et même si je tentais de comprendre, je n’y parvenais pas, rien à faire. Pour lui c’était normal ? Je n’étais pas ainsi. Je n’avais pas à me justifier. A m’expliquer sur mes désirs ou non. J’avais apprécié le baiser, ma présence dans ses bras, mais certainement pas l’oppression que j’avais pu ressentir en étant si touché dans tous les sens. J’avais sentis les papillons disparaître petit à petit, j’avais presque eu peur et je ne voulais pas ressentir cela à l’égard du jeune homme pourtant ça c’était fait. « Tu es comme les autres. La preuve … d’un simple câlin, d’un moment... » Magique sauf que mes mots ne voulaient pas sortir. « Ce moment, tu l’as rendu désagréable pour moi, cool que tu es apprécié de me tripoter. Je serais exactement ce qu’il ne faut pas faire avec toi ! » Je mordais ma lèvre, je m’en voulais, je me sentais coupable, mais je n’expliquais pas pourquoi je me sentais ainsi. Pour lui ? Pour moi ? Pour mes mots ? Et merde. Trop de question qui ne finissaient que par me rendre un peu plus perplexe. Je fermais les yeux l’écoutant. « Ouai, j’ai ma réponse ! T’aurais pas dû me défendre et juste me laisser aller avec eux... après tout ! Je l’ai mérité à t’entendre ! » J’étais déçue et blessée. Mais, je ne voulais même pas qu’il réponde, je voulais juste le laisser là seul. Hors de question de rester ici. Heureusement que j'allais bientôt partir à Londres pour m’éloigne un peu, histoire de retrouver un peu mes esprits et de ne plus jamais être aussi perdue. « Ouai, c’est ma faute. Excuse-moi, je pensais tu pouvais te contrôler … je ne voulais pas aller plus loin ! Excuse-moi de dire pas amen à ta gueule d’ange... quand cette derrière à pu passer entres les cuisses de je ne sais combien de fille ! Alors, y, je suis une allumeuse, mais je ne l’ai jamais été avec toi ! Les mecs. Une minijupe et ça y est on est toute à vous ! Je me demande ce qu’on devrait faire quand vous vous promenez torse nu ! Pas pareil. J’oubliais. Enfin, bref. Les filles sont faciles. Sur ceux, je n’ai plus rien à te dire non plus ! La fille facile ira se faire prendre par un autre ! » Je me sentais si mal. Je n’étais pas ce genre de fille et qu’il pense cela de moi me rendait mal, mais au final, je n’avais rien fait. Je ne pensais pas qu’il tenterait plus que des baisers, j’avais besoin d’être rassuré par presque abusée. Enfin, tant pis. Il n’avait peut-être pas tort, j’avais mérité cela que ce soit lui ou encore ces autres mecs. « Très bien ! Car je ne t’aurais pas laissé me mentir à nouveau ! » Je ne laissais pas le temps de répondre prenant mes affaires. « Dors seul. Je ne reste pas ici avec toi ! » La rage parlait et les larmes étaient à deux doigts de ruisseler le long de mes joues, mais non. Cela serait trop facile de me montrer faible face à lui. Je mordais un peu ma lèvre pour ne pas craquer, mes affaires réunis, je partais me retournant vers lui. Je ne lui adressais qu’un simple regard dénué de sens, je me sentais trahi et bafoué, mais pourquoi ? Aucune idée. Je quittais la plage attendant à la station de taxi pour prendre l’un de ceux qui était encore libre. Je me sentais mal de l’avoir laissé seul, peur qu’un de ces mecs reviennent se venger, mais au final, je n’y pouvais rien. Je m’en voulais de tout cela et de repenser comme une conne à ce baiser et ce moment si particulier qu’on avait vécu jusqu’à quelques minutes. Un taxi pour moi et je me retrouvais à moitié endormie dans ce véhicule, j’avais laissé Jonas et ma moto. Mais, les deux iront bien, je voulais aller me coucher dans mon lit, enfin dans le matelas que j’avais pour moi chez ma sœur, enfin ma mère. Je n’étais pas sûre de rentrer à la maison sauf pour récupérer mes affaires.
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