l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Dim 18 Jan - 18:32 | | | Je serrais doucement la main de maman alors que nous traversions la route qui nous séparait de ma maison chez papa, nous venions de passer une superbe journée ensemble et il était maintenant l'heure qu'elle me ramène à la maison car je vivais toujours chez papa et même si je l'aimais, je ne comptais pas changer. J'étais amusé par le vent qui fouettait mon visage bien que certaine mèche de mes cheveux venaient dans mes yeux. Ce n'est pas grave, dans ma tête je pensais ressembler à un acteur de films et on avait trop la classe tous les deux avec le vent dans nos cheveux, nos cheveux dans le vent. On y était presque mais maman décida de m'accompagner à l'intérieur en entrant directement suivi de près par moi-même. "ON EST RENTRÉS!" J'étais étonné de voir le salon dans un tel désordre, il y avait des pétales de fleurs éparpillées partout, la maison était vraiment cracra et papa il était torse nu. Faut faire attention, il allait attraper froid. Je ne m'en étonnais pas plus que ça à vrai dire, j'avais déjà vu son torse et même plus vu ses difficultés à accrocher convenablement une serviette. Je remarquais ensuite que Cordélia avait perdu son pantalon en chemin et qu'elle était en petite culotte, en plus je jugerais qu'elle lui rentre dans les fesses, les sous-vêtements de garçon c'est bien mieux donc il faudra demander à papa de lui en prêter. Maman, elle, avait semblé plus étonné, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs... Avant qu'elle ne me cache les yeux. Je ne comprenais rien mais j'essayais de m'extraire de son emprise ou du moins de lui enlever la main qui m'empêche de voir. "Mais maman, je ne vois rien ..." Elle me libérait finalement pour aller vers eux et elle commençait à les engueuler. Mais pourquoi elle criait, je ne comprenais vraiment pas et j'avançais aussi avant qu'elle ne vienne derrière moi et me tienne par les épaules. Elle ne tenait vraiment pas en place, ma parole. Et elle recommençait à parler sans que je ne comprenne le problème réel alors qu'elle ouvrait la fenêtre. Je sursautais soudainement quand elle montait le ton avant de reculer. Je n'aimais pas les disputes et je n'aimais pas entendre le ton monter, ça me donnait immédiatement envie de pleurer. J'étais sans doute trop sensible, d'autant plus que je ne comprenais strictement rien du problème. J'étais à présent dos au mur observant successivement Maman, papa, Cordélia... etc. Maman venait alors vers moi, s'agenouillait et me fit un câlin et des bisous alors que je la serrais contre moi. Je n'étais vraiment attaché à elle et jamais, je ne l'avais vu perdre son calme. Elle s'excusait. "C'est pas grave..." Approuvais-je en lui faisant un sourire discret."Oui je te pardonne mais pourquoi tu t'es mise en colère?" Je reportais mon regard sur papa en cherchant des explications? |
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| mot doux de Invité ► un Dim 18 Jan - 20:44 | | | Le coach ? Non mais elle plaisantait ? Une partie de moi était outrée mais je savais une chose : c’était une plaisanterie enfin… j’espérais mais je ne voulais pas laisser le doute parler aussi fort que mes pensées. Je ne voulais même pas entendre mes doutes. Je ne voulais rien écouter que les 5 petites mots qu’elle disait. Elle était toute à moi. C’était tendre à entendre mais surréaliste. J’étais heureux d’avoir acheté des cordes à ma guitare surtout et voilà que j’étais… face à cette guitare en question mais c’était une femme, une femme brune. Je souriais doucement en même temps qu’elle me tirait à elle. Je me rapprochais aussi d’elle. Car on ne pouvait pas être encore plus près ? Elle kidnappait mes lèvres. La coquine. Mais zioup… revenons à la réalité. Nous ne devions être que dans un rêve ou un truc du genre. Elle m’avait dit non en octobre et voilà qu’elle me disait oui en janvier. Un peu dingue, non ? Mais oui, mon fils allait arriver et nous ne pouvions pas rester dans ce salon avec cette envie de fêter ça. Pouvais-je même sortir le champagne. Mon front contre le sien, je riais en l’entendant me demander d’appeler et bloquer la route pour que mon fils ne rende pas. C’était Nikki qui allait le chercher, j’étais heureux pour Reed. J’étais heureux qu’il passe plus de temps avec sa mère. J’étais heureux qu’il rattrape le temps perdu et je fronçais les sourcils en le regardant dire qu’on pouvait faire vite, très vite. J’étais choqué. « Je dois le prendre comment ? », demandais-je alors à cette jeune femme qui disait que ça allait donc vite avec moi donc que j’étais trop rapide… et donc, enfin. Vous m’avez compris. Je ne voulais pas être de ses types qui étaient tellement incapable de faire durer le plaisir. Comment je devais le prendre ? Je n’en savais rien et je m’en fichais alors que je sentais ses doigts détacher mes boutons et frôler par moment accidentellement ma peau. C’est là que j’avais clairement oublié que je ne savais pas comment je devais la prendre. « Tu n’insinues pas que d’habitude, je peux aller vite quand même ? », lui demandais-je tout de même avec une petite moue et me laissant pousser comme un petit lionceau par une bête féroce. Elle se déshabillait aussi ! Mais oh mon dieu, elle était folle et sérieuse ? Non mais et si mon fils arrivait ? Je la regardais en dessous et pourtant je n’avais qu’une envie : aller très très très vite ! Ce sourire charmeur me donnait l’impression que je voulais sauter dessus sans même aller dans la chambre et il n’y avait pas que le sourire qui le montrait… si vous voyez ce que je veux dire ? Ne baissez pas trop le regard. C’est à ce moment-là que j’entendais le juron et je la regardais attentivement en arquant un sourcil. « Il vous faut un lavage de bouche au savon ! », murmurais-je en souriant contre ses lèvres alors que je détournais le regard vers Reed et Nikki. Je penchais la tête en regardant la jeune femme et mon fils. Elle cachait ses yeux, celui de cet enfant et je ne m’alarmais pas à cacher Cordélia (non pas Steph). Je souriais doucement quand elle demandait si on n’avait pas honte. « Non, ce n’est pas ma faute, elle voulait que je fasse vite. », disais-je avec une moue. « Je ne suis pas un rapide, hein ? Je sais prendre mon temps ? », oh le petit garçon tout touché dans son égo (ou pas vraiment). Et par contre, le pauvre petit Caleb prenait quand même un coussin de décoration pour le mettre devant lui… enfin devant le mini-Caleb qui était en mode très dur si vous voyez l’image. Je riais aussitôt nerveusement en penchant la tête alors que Nikki semblait péter littéralement un plomb. Mon dieu, je suis dans le caca et avec le caractère de Cordélia. Je ne savais pas du tout quoi faire. Elles sont où les patates ? Je devrais peut-être les cacher. Je souriais doucement en détournant le regard. Je priais pour que mon appartement survive et puis elle pétait un peu plus un plomb. Elle n’avait pas dit ça, non ? Elle ne venait pas de dire qu’elle m’aimait ? Non, je rêve. Je rêve. Je rêve. Je te jure, non mais oh. J’étais choqué comme Sebastien le crabe avec la bouche grande ouverte. Non. Non. Non. J’étais choqué. Je n’en revenais pas. Je prenais la main de Cordélia en murmurant à son oreille. « Et c’est toi que j’ai choisi ! », disais-je pour l’informer et peut-être la calmer ? L’espoir fait vivre. Je suis un grand rêveur. Je ne vous dis pas. Je souriais doucement, un sourire un peu… enfin. Je regardais Reed. « Il se passe que… tu viens avec papa ? Je sens que le mobilier va y passer… », disais-je en m’écartant des filles avec lâcheté mais je ne voulais pas me prendre des coups. |
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| mot doux de Invité ► un Dim 18 Jan - 22:56 | | | Je voulais vraiment que quelqu'un coupe la route, sans violence bien évidemment. Je ne voulais pas que Reed rentre (ou rende). Je n'avais rien contre lui, il était adorable. Mais je ne voulais pas le voir maintenant. Pas alors que je venais de me fiancer. Pas alors que je n'avais qu'une envie, c'était de fêter ça avec mon amoureux. Pas alors que je venais de lui sauter dessus en lui disant vouloir faire vite. Je riais en l'entendant demander comme il devait le prendre. Oups ! Je ne voulais pas vexer monsieur, ni mini-monsieur, en disant cela. J'avais juste envie de lui, maintenant. Je ne voulais pas attendre le soir. Je voulais le faire maintenant, pas demain, pas dans une heure. Sinon j'allais être frustrée et je ne voulais pas être frustrée le jour de nos fiançailles. "Pas du tout. T'es toujours parfait." Lâchais-je en souriant avant de reprendre d'assaut ses lèvres. Je lui retirais sa chemise, bouton par bouton en l'effleurant sans vraiment le toucher, le faisant exprès. Je m'amusais bien. Je retirais même mon pantalon et mes chaussures. Bah quoi ? Il fallait faire vite après tout. Mais nous n'avions pas fait assez vite apparemment, car j'entendais la porte s'ouvrir. Je savais que c'était Reed, mais je pestais quand même. Fait chier ! Ajoutais-je dans ma tête. Voilà, j'étais frustrée. Et une Cordy frustrée, ça boude. J'entendais le petit blondinet crier qu'il était rentré avant de me retourner vers lui. Pardon ? On ? Oh mon dieu non... Pas elle. Déjà que ça m'énervait d'être coupée dans mon élan par un enfant tout mignon alors imaginez ce que cela donnait si c'était par l'ex de mon amoureux... Qu'est-ce qu'elle foutait là ? Et pourquoi elle se mettait à hurler ? Elle avait un problème ? Car elle était le mien. Je rougissais un peu de gêne d'être à moitié nue devant eux, mais je rougissais aussi de colère. Mais de quel droit elle râlait ? Non de dieu ! J'attrapais mon bas rageusement, sans pourtant ajouter quoi que ce soit. Caleb répondait, tant mieux, qu'il gère sa folle furieuse. Je lui lançais un regard de tueuse alors qu'il lui demandait s'il avait été rapide avec elle ? WTF. Il avait fumé lui ou quoi ? Une fois un peu moins dévêtue, je me permettais de regarder Reed en souriant. "Qu'est-ce qu'elle a ta maman ?" Demandais-je en toute innocence. Je ne comprenais pas pourquoi elle s'enflammait autant. Mais elle commençait à me gonfler. "Peut-être qu'on ne sait pas fermer une porte, mais on ne vous a jamais appris à y frapper ? Ce n'est pourtant pas très compliqué..." D'où elle se permettait de crier comme ça alors qu'elle venait d'interrompre ma fête de fiançailles ? Enfin... La nôtre. Elle débarquait dans notre moment et elle râlait ? Mais quelle dingue ! Et elle continuait, c'était ça le pire. Elle allait même jusqu'à dire qu'elle aimait Caleb ? C'était un peu tard pour s'en rendre compte. Je levais la main exhibant la bague que j'avais au doigt, un grand sourire sur les lèvres, juste pour la narguer. C'était mon petit plaisir. Je ne devrais pas. Mais au moins, je ne disais rien. Je me retenais, toujours. L'homme de la situation, ou pas, venait murmurer des mots à mon oreille. Je levais un sourcil, perplexe. "Parce qu'il y avait un choix à faire ?" Je veux dire... C'est elle qui l'avait abandonné avec un bébé, pas moi. Ok... J'avais dit non, mais je venais de rattraper cette erreur. Heureusement, les cris cessèrent. Merci mon dieu. La folle allait vers son fils et je la regardais, debout au milieu du salon. Je levais les yeux au ciel. Elle s'excusait ? Et puis quoi encore. "C'est trop tard pour ça. Tu ne crois pas ?" Oups. Les mots sortaient, tous aux abris. Je la tutoyais même, car j'étais incapable de la vouvoyer, de faire preuve de respect envers elle. "Après des années d'absence, c'est un peu tard pour venir se plaindre..." Je la regardais dans les yeux. "Il fallait peut-être y penser avant... Avant de partir. Car oui, t'es partie et tu n'as pas le droit de revenir en criant à tout le monde que tu l'aimes encore. " Je restais calme. Ou du moins... J'essayais. "T'as tout fait foirer et maintenant, tu vis avec, un point c'est tout. Alors s'il te plaît, arrête de te mettre à hurler parce que tu es jalouse et fiche la paix à nos oreilles. Car oui, comme tu le dis si bien, ça n'a pas d'importance et ça n'en aura jamais plus." Respirer. Rester calme. Je pouvais le faire. Mais merde, elle venait de gâcher le plus beau moment de ma vie ! Où sont les patates ? Je voulais une patate. J'avais besoin de patates. |
| | | Sedna L. Azarov-Ieline et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE:
| mot doux de Sedna L. Azarov-Ieline ► un Lun 19 Jan - 16:13 | | | « Quoi ? » Je m'emballais lorsque j'entendis Cordélia parler de frapper à la porte. Et vous alors. « Que je frappe ou pas, ça n'aurait servi à rien, vous étiez déjà déshabillés. » Je reprenais un peu de mon calme, même si je sentais mon Self-contrôle à deux pas de la rupture. Je levais les yeux au ciel, l'exaspération n'allait pas tarder à m'envahir. « Heu. Pour rien, mon chéri. C'est rien. C'est un histoire de grands. » Répondais-je à Reed en le câlinant. Je détournais le regard quand Caleb planqua son Caleb junior derrière un pauvre misérable coussin qui ne cachait pas grand chose, mais au moins le principal. Tu crois qu'on le voit pas ? Je ne regardais pas non plus quand Caleb prit la main de Cordélia. Je haussais les épaules, désabusée, juste avant que sa chérie qui me sortait de partout et que je n'avais jamais pu blairer, ne commence à m'engueuler. Mais parce qu'en plus elle m'engueule, cette cinglée ? « Tu me tutoies maintenant ? On se connait ? » Je fronçais les sourcils, à nouveau je sentais la colère refaire surface, elle n'était pas partie bien loin. Je la tutoyais aussi, mais je suivais son exemple. Je relâchais Reed, le libérant de mes bras, et m'avançais vers elle, alors que Caleb s'écartait comme un lâche. Oui je dis lâche. Je suis passée de l'amour à la haine, en un quart de seconde même pas. Ma colère s'exacerbait. J'entendais Cordélia déblatérer, et surtout parler du sujet sensible, celui dont il ne faut pas me parler, celui qui est le plus tabou des sujets tabous à mes yeux. Le point culminant de longs mois harassants à se haïr. Je grognais de rage. « Cette fois, ça suffit. » Eclatais-je en me ruant sur elle. Je ne pratique pas la lutte au corps à corps, mais c'est rien, on apprend. Je lui fonçais dans le ventre, je n'avais pas vraiment de forces, en tout cas encore moins qu'en arrivant. J'étais fatiguée de tout ça, mais j'en avais ras la poire d'elle. Je la poussais contre le mur d'en face, saisissant une des chaises, je l'installais devant elle, lui tapant dessus avec, mais pas trop fort quand même, comme si ça pouvait bloquer son passage et l'empêcher de retourner baver sur les lèvres de son mec. J'essayais de me contenir. Je savais que Caleb allait m'en empêcher si je tentais de l'étriper. Elle m'énervait avec sa bague autour du doigt. Elle me narguait et je n'aimais pas ça. « Je t'interdis de parler de ça, tu m'entends ? » Murmurais-je pour qu'elle seule entende. « Cherche pas à m'énerver. » Lui soufflais-je à l'oreille. Tu ne perds rien pour attendre.
Je relâchais Cordélia, allant remettre la chaise à sa place, avec toute la sérénité du monde. Pour un peu j'étais fière de moi. Je n'avais pas oublié le supermarché où notre rencontre avait été si succincte qu'on aurait pu ne plus jamais y penser. Mais elle avait été violente, et j'y pensais encore. « Si seulement j'avais une patate... » Menaçais-je en la pointant du doigt. Si j'en avais une, je te cognerais dessus avec. Oh, ce serait le bonheur. Je jetais un oeil vers Reed pas loin de nous, j'avais quand même un peu honte de moi, de nous, mais après tout, ce qu'elle, elle pense, moi je m'en contrefiche. Après tout, si Caleb l'avait choisie elle, il y'avait bien une raison. Elle était peut-être plus belle, elle était peut-être moins folle, et encore ça, je n'en suis pas sûre du tout. Elle aussi me semble atteinte. Au fond, elle avait commencé. C'était de sa faute si on en était arrivées là. Et puis, à quoi bon discuter, ça n'a plus d'intérêt, comme elle n'avait pas manqué de me faire remarquer.
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| mot doux de Invité ► un Jeu 22 Jan - 22:28 | | | Maman semblait vraiment énervée et je ne comprenais pas du tout pourquoi. Bon je ne comprenais jamais grand chose quand y réfléchi, je ne comprenais pas pourquoi Cordélia était en petite culotte et pourquoi papa n'avait plus de haut mais une Chose était sûr: tout cela semblait compliqué... Cordélia retrouvait alors son pantalon et me demandait ce qu'avait maman, mais comme je n'en avais pas la moindre idée, je haussais simplement les épaules. Papa lui, ne semblait pas prendre ma mère au sérieux, en fait il prenais rarement les choses au sérieux, c'est habituel mais c'est ça qui est drôle, il ne se prend jamais la tête comme tous les autres adultes car lui aussi c'est un enfant au fond. Si ça se trouve l'enfant en lui est-même plus jeune que moi, c'est franchement possible. Ensuite mon père mettait un coussin devant sa tour Eiffel mais je ne comprenais une nouvelle fois pas pourquoi, ce n'est pas comme-si le petit oiseau prenait l'air... Pour une fois qu'il est habillé en plus. Mais je ne m'attardais pas plus sur lui et sa pudeur car maman semblait vraiment s'énerver de plus en plus et ça ne semblait pas aller en s'arrangeant . En plus Cordélia aussi semblait s'énerver tout doucement mais je ne m'étonnais pas car crois que maman et elle ne s'entendent pas vraiment... Pas du tout même mais je commençais à prendre peur et à reculer car je n'aimais pas les disputes surtout entre des personnes que j'aime. Mais maman semblait finalement se calmer et venait même s'excuser alors j'en profitais pour lui demander la raison de sa colère qui m'intriguait vraiment. Papa me conseillait d'aller avec lui ce que je comptais faire une fois que maman avait fini son câlin mais j'entendais les mots de Cordélia avant et même si elle ne le faisait pas exprès, ils me rendaient triste. L'absence de ma mère, je l'ai à la fois bien et mal vécu c'est compliqué mais je ne voulais plus en parler et Cordélia n'avait pas le droit de se mêler de ça. Ce n'est pas ses oignons. "Et ! T'as pas le droit de dire ça à ma maman !" Je n'avais jamais haussé le ton avec Cordélia ni fait l'insolent parce que je l'aimais beaucoup, même quand elle a dit non pour être la madame de papa mais là, je ne voulais pas qu'elle fasse du mal à ma maman. J'avais les sourcils froncés et je n'étais pas content du tout en plus elle avait dit d'autre chose méchante. J'allais rejoindre papa en voyant maman s'approcher de Cordélia en courant et je ne savais pas ce qui allait se passer. Je savais juste que je n'aimais pas ça et que la journée était gâchée. Je ne voulais rien voir alors je me cachais derrière lui, car c'était mon père et une vraie figure de protection même si j'espérais qu'il arrêterait ses chamailleries car je commençais à avoir envie de pleurer pour de vrai. Mais maman la laissa faire après que j'ai entendu des bruits de chaise et qu'elle ait engueulé Cordélia et je me permettais enfin d'ouvrir les yeux... "Arrêtez de vous disputer..."
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| mot doux de Invité ► un Ven 23 Jan - 22:38 | | | Depuis des années, j’avais apprise plusieurs leçons. Tout d’abord ? Ne jamais énerver une femme et être un amour avec elle. Je vous jure que c’est une catastrophe dès qu’elles sont énervées. Tout d’abord ? Restez loin des gaufriers car même si vous avez un besoin d’un bouclier… soyez plus malin et prenez un truc mou car les femmes ne réfléchissent pas quand elle vous donne un coup de pieds au cul. Elles ne regardent pas si vous n’avez pas sorti un gaufrier et sachez que ce cas existe et que le pied n’est pas vraiment content pendant quelques jours. La rage d’une femme peut être bien peste. Evitez ça… si vous avez envie d’en sortir vivant car même le pied brisé, elle continuera à marcher pour vous botter les fesses. La seconde ? Oh non, ne jamais Ô grand jamais s’interposer dans une dispute de fille. Je n’avais beau que sortir quelques mots se voulant rassurant que j’avais la riposte de Cordélia qui pensait que j’avais dû choisir. Je levais les yeux en allant vers Reed. J’étais bien mais totalement bien décidé à ne pas m’en mêler… sauf si elles en venaient aux mains. J’écoutais la violence des mots de Cordélia. Elle ne semblait pas contente du tout mais dans le fond, elle était aussi assez vilaine avec la pauvre Nikki qui en fait avait dans le fond, juste un cœur. Même si elle n’aurait peut-être pas dû être aussi franche face à Cordélia… une petite voix en moi me disait qu’elle ne méritait pas autant de vérité mais qu’elle en méritait aussi mais la moitié… plus vilaine était cette voix du Caleb d’il y a 5 ans. Celui que Nikki avait lâché mais il a bien changé dans le fond et j’étais un peu peiné pour les deux jeunes femmes. Ni l’une, ni l’autre ne devait aller bien et ne méritait la colère des autres. Non, c’est moi l’abruti ? Non, pas vraiment enfin je n’en savais rien et je ne savais pas quoi faire tout en sachant que je ne devais rien faire. Je ne dois rien faire. Non, j’y risque ma vie et mes futurs bébés. J’y risque Dakota et aussi Ryan même si je ne sais pas encore qu’ils vont exister si je ne me fais pas mettre dehors de chez moi. Et là, oui alors que je suivais attentivement entre Reed qui ne semblait pas content et les filles… je restais comme un abruti. Elle poussait néanmoins Cordélia contre le mur et je ne pus m’empêcher d’avoir un mouvement d’approche de peur qu’elle ne la frappe mais tout n’allait bien, pas encore de coup. Elle semblait s’arrêter et juste glisser des mots doux dans son oreille. Embrasses-là et prends-là contre le mur aussi ? Espèces de dragueuses. « Du calme, pas de blessé… et qu’est-ce que vous voulez faire avec des patates ? », j’arquais un sourcil. « J’ai bien un sors de magie que j’avais fait il y a deux ans… tu peux tester. Prends une patate et tu la mets dans un bocal avec un peu d’eau… tu le changes tous les jours en disant un petit texte… et après t’attends l’amour avec ton bocal de patates… Ça a marché, j’ai rencontré Cordélia ! », Et tu déraille surtout tout seul alors que ton fils grogne et tout ? Oui mais bon, voilà. Tu es Caleb, tu es con… et tant pis. Je soupirais alors en levant les yeux. « Bon ça suffit ! », disais-je en approchant et attrapant alors Nikki pour la reculer doucement. Je me mettais alors entre elles deux mais pas de face et de fesses à l’une ou l’autre. Non, juste le flan. J’en avais lâché le coussin ridicule qui ne cachait rien sur la route mais je suis con. C’est tout. Je soupirais doucement en les regardant. « Non mais arrêtez un peu… Nikki, tu m’as abandonné… moi et notre fils… je sais, c’est douloureux de l’entendre mais je suis passé à autre chose et même si tu seras une personne toujours importante dans ma vie car tu es la mère de mon fils mais aussi une amie qui a bercée mon enfance… je suis navré… réellement mais je suis amoureux de Cordélia… pour tellement de raisons. Elle fait battre mon cœur et je me sens complet avec elle. J’ai confiance en elle… si tu m’aimes réellement… tu devrais voir que je n’ai jamais été aussi heureux qu’avec elle. C’est différent qu’avec toi, c’est un autre bonheur, une autre histoire car on a grandi et je te souhaite de trouver aussi l’amour. Je t’y aiderais même mais Cordélia ne mérite pas tant de haine. », je me tournais alors vers Cordélia. « Et Nikki ne mérite pas non plus tant de haine, elle est juste… amoureuse, c’est chiant pour toi, je m’en doute… c’est embêtant qu’une femme aime notre fiancé mais c’est avec toi que je suis, c’est toi que j’aime et c’est toi et uniquement toi que je veux pour épouse. Je ne lui ai jamais demandé sa main… tu es l’unique personne pour laquelle je me lance dans le mariage… Tu es la seule à avoir ça avec moi. Oui, elle a un fils avec moi, oui, c’est effrayant mais toi, je t’ai demandé d’être uni avec moi… deux fois, je veux finir ma vie avec toi… pourquoi tant de haines ? Ayez confiance en moi… », disais-je alors en riant nerveusement et me tournant vers Nikki. « Oui bon, je ne vais pas te laisser me sauter dessus même avec des yeux de chien battu… je tiens à toi, Nikki mais pas comme ça ! », lui disais-je avec un demi-sourire. « Vous battre pour moi, c’est charmant et pas bon pour mes chevilles mais devant un enfant qui vous aimes ? », disais-je alors en riant doucement. « Je suis loin d’être crédible mais parfois… je peux être adulte… », disais-je aussitôt en retirant mes mains et me retirant pour aller vers Reed que je prenais dans mes bras. « Allez mon grand, on va les laisser parler entre filles… », j’allais alors dans le canapé et je me posais avec Reed dedans. Je le déposais à côté de moi alors que j’attrapais le courrier en la lisant. « Et la première qui frappe l’autre, je l’envoie au coin et elle n’aura pas de dessert ! », disais-je alors aux enfants. |
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| mot doux de Invité ► un Ven 23 Jan - 23:28 | | | S'énerver. Ce n'est pas bon pour la santé. Cela fait monter la pression sanguine et ça donne un teint tout rouge. Rien de bien beau en tout cas. Si j'étais belle à ce moment-là ? J'en doutais vraiment. Les cheveux décoiffés par notre début d'action avec Caleb, les yeux lançant des éclairs à Nikki et le pantalon enfilé en vitesse. Ce n'était pas beau, mais je m'en fichais. J'étais concentrée sur cette femme qui racontait qu'elle était amoureuse de mon homme. Et franchement, ça me tapait sur le système. Elle se permettait de dire ça, alors que c'était elle qui l'avait abandonné quelques années plutôt. Si elle ne l'avait pas fait, elle serait peut-être à ma place aujourd'hui et je savais qu'elle en avait conscience elle aussi. Je ne pouvais pas me taire, était-ce parce que j'étais une femme et que par nature, je ne savais pas rester silencieuse. Ou tout simplement parce que j'étais moi, incapable de garder ma grande bouche fermée. J'expliquais à cette quiche qu'elle n'avait plus d'importance dans la vie de Caleb. Enfin... Elle en avait toujours, mais pas comme elle le voulait. Pour mon plus grand plaisir. Je savais que je n'avais pas à lui parler comme ça, mais elle avait dépassé les bornes en parlant sur ce ton ou plutôt en se mettant à hurler. Je ne pouvais pas, je n'arrivais pas à laisser passer ça. Il fallait que j'intervienne et c'est ce que je faisais. A la fin de ma tirade, je n'avais qu'une envie, c'était de lui lancer une patate dessus, pour me venger de la dernière fois. Mais je n'en avais pas sous la main, ce que je trouvais vraiment dommage d'ailleurs. Elle grognait et j'avais envie de rire. Elle me faisait vraiment pitié à des moments. Quoi que là, je la voyais se ruer vers moi et cela me coupait dans mon rire. Elle me fonçait dessus ou je rêvais ? J'eus à peine le temps d'avoir cette pensée que j'étais déjà plaquée contre le mur. WTF ? Mais elle était vraiment folle. Je me laissais faire, car j'avais entendu Reed. Oui, dans tout ce massacre, j'vais entendu cette petite voix de la raison. Il avait dit que je n'avais pas le droit de parler à sa mère comme ça et le pire... C'est qu'il avait raison. Du coup, je la fermais. Je ne voulais pas m'enfoncer auprès du petit blondinet. Alors que ça mère, celle qui devait normalement montrer l'exemple me menaçait avec une chaise. Mais c'était de pire en pire ! Elle se penchait à mon oreille. Je lui riais au nez encore une fois. Le mépris est, je pense, une des meilleures défenses. Je savais que ça allait l'énerver et tant mieux. Qu'elle s'enfonce encore un peu. Je la poussais assez fort, d'un coup, pour qu'elle décolle son visage de mon cou. Devant tout le monde, je lui dis : " Tu m'interdis d'en parler ? Pourquoi ? Tu as trop honte ?" Ok... J'allais un peu loin. Mais merde ! Elle me faisait chier à la fin. Elle me pointait du doigt. "Oh ! Et moi donc !" Si seulement j'avais une patate... Et c'est à ce moment-là que Caleb intervient. Oui, ça suffisait. C'était la première fois que je voyais Caleb comme ça. Enfin pas la première, mais c'était rare, j'étais fière de lui. Il s'interposait entre nous de façon mature et il nous donnait notre leçon à toutes les deux. On en avait besoin, il fallait bien l'avouer. Je baissais la tête. Coupable... Il avait tellement raison. J'avais tellement peur que cette femme ait plus d'importance que moi dans sa vie à cause de leur lien très fort, de leur fils. Fils devant lequel on venait d'agir comme des abruties. Il ne fallait plus jamais qu'on recommence. Du tout. Il nous laissait parler entre filles... Mais je ne voulais pas lui parler à elle ! Et puis quoi encore ! J'allais vers la fenêtre plus au fond de la salle en espèrant qu'elle allait me suivre. Je soupirais, levant finalement les yeux vers celle que je considérais comme ma rivale. "Je suis..." Je voulais tousser, ça ne voulait pas sortir. "Désolée..." C'était un bon début, non ? "Je n'aurais pas dû dire ça. Devant Reed en plus... C'était abusé... Mais voilà... C'est sorti et je ne le regrette pas, j'avais envie de le dire... Mais je n'aurais pas dû et je le sais." Ouais, bon... Niveau excuse, je devrais repasser. Mais chut. "Le fait est que je ne te supporte pas et que je sais que c'est pareil de ton côté. Mais on ne peut pas continuer comme ça..." Je me tournais doucement vers le canapé. "Pour eux..."Je ne voulais pas être privée de dessert, je me conduisais comme une gentille fille. |
| | | Sedna L. Azarov-Ieline et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE:
| mot doux de Sedna L. Azarov-Ieline ► un Sam 24 Jan - 2:44 | | | « On ne se dispute pas mon chéri ! » Disais-je à Reed, pour le rassurer. En fait non, on ne se dispute pas, on fait du tricot, en échangeant des recettes de grand-mère. Bah si on se disputait, et même plus. Le pauvre petit chou, il ne comprenait rien. J'avais envie de retourner lui faire un câlin, mais Caleb est arrivé et s'en mêlait. Et Caleb qui s'en mêlait... Caleb qui avait trouvé son courage, et ses... Je soupirais. J'étais exténuée moi aussi de cette guerre perpétuelle avec sa nouvelle chérie. J'écoutais attentivement, ce qu'il avait à me dire, je ne répliquais pas sur le moment, puis j'entendais un peu à contre coeur ce qu'il disait à Cordélia, comme quoi il l'aimait plus que moi, etcetera. « Merci au passage, de me rappeler que tu ne m'as jamais demandée en mariage! » M'écriais-je, outrée. Non mais en fait, j'aurais dit non. Moi les engagements, surtout à l'époque... Mais tout de même ! « ça m'est égal. Mais question de principe. » J'aimais tellement foutre une merde quand j'arrivais, un peu comme Schnapps qui me laisse parfois des petites surprises sous le canapé, ça je déteste, parce qu'après il faut nettoyer. Enfin c'est très passionnant ma vie. Non je voulais surtout dire que j'aimais foutre la merde, voilà c'est plutôt ça l'expression. Et d'un autre côté, là, j'étais quand même triste. Voire désespérée, m'enfin. « Je sais bien; » J'hochais la tête, puis portais mon regard sur Reed qui nous observait toujours. J'avais été touchée parce qu'il m'avait défendue un peu. J'avais même souri, jusqu'à en avoir les larmes aux yeux. Je luttais, je luttais pour ne pas me laisser aller à l'hystérie. Caleb nous sépara, avant que ça ne dégénère, on ne sait jamais entre nous. Entre nous, c'est la patate qui s'enfuit, qui s'en fout. Je le regardais d'un oeil sceptique, avant de lever les yeux au ciel. Reed était adorable. Je l'aimais de plus en plus, si fort.
Caleb nous laissa parler toutes les deux, entraînant Reed vers le canapé. Une conversation... Voilà ce qu'on n'a jamais vraiment eu elle et moi. En tout cas, on a déjà essayé, et le résultat n'avait pas été concluant. « Essayons. » Je me reculais, instaurant une distance de sécurité souhaitable entre elle et moi. « On sera sages... » Lançais-je à Caleb qui mine de rien nous surveillait du coin de l'oeil, même s'il faisait semblant de lire son courrier. Ce mec... Mais ce mec ! J'esquissais finalement un léger sourire, il me faisait presque rire, en tout cas il m'avait bien fait rire tout le temps qu'on avait été ensemble. Ah là là... Ce foutu temps me manquait. J'étais nostalgique, mais pas du passé. J'étais nostalgique de Caleb. Il était viril et costaud. Et tellement rigolo. Mais je savais bien qu'il ne m'aimait plus maintenant, et qu'il n'y'avait rien à faire. C'était la vie.
Je présentais à Cordélia la chaise avec laquelle je l'avais menacée quelques secondes plus tôt. « Je t'en prie, prends place. » Disais-je d'un ton le plus pompeux qui soit. Autant être polie jusqu'au bout. Prends place... Oui, prends place chez toi. Je me prenais pour qui ? Certes, là nous avions un peu l'air de deux filles qui se retrouvent à la terrasse d'un café en intérieur, pour parler du beau temps, pour un peu j'avais envie de demander à Caleb un Nespresso. Non, quand même. On n'était pas là pour boire. « Effectivement, tu as été un peu dure. » Mais... « Mais tu disais la vérité. Et moi dans le fond, je regrette un peu de t'avoir bousculée tout à l'heure. Enfin, un peu. » Quoi ? je m'excusais comme elle, elle s'excusait, c'est à dire plutôt mal, mais au moins on y mettait de la bonne volonté, ai-je eu envie de dire, mais une fois de plus, je craignais que ça ne réveille la tigresse agressive en elle. Je n'avais pas peur d'elle, ni de ses réactions, ni même de ce qu'elle pouvait dire ou de ce qu'elle pouvait penser, ça je m'en foutais. Mais j'avais peur qu'on s'étripe en direct sous les yeux de Reed, surtout. Caleb était au canapé. Le temps qu'il rapplique, on aurait pu se taper dessus vingt fois au moins. Mais je n'allais pas le faire, en tout cas, pas maintenant. J'allais prendre exemple sur elle et me montrer courageuse, forte, pas cinglée. Je regardais Caleb et Reed. Vous voyez, qu'on peut discuter avec sérénité. « Et non, je te rassure, je ne te supporte pas non plus. J'ai beau essayer, rien à faire. » C'est surtout parce que tu as pris ma place. C'est vrai quoi, je l'aurais rencontrée dans d'autres circonstances, dans un autre monde, ou dans une autre époque, qui sait, je l'aurais peut-être appréciée. Mais on ne refait pas l'histoire. C'est pour ça que les moments sont précieux, parce qu'il n'en existera jamais deux totalement semblables. « Peut-être que déjà, tu pourrais arrêter de me montrer ta bague ostensiblement comme tu l'as fait. C'est pas qu'elle est laide, mais justement, elle est trop belle. Je ne veux pas voir ça. » Plus jamais. ça fait trop mal.
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| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Sam 28 Fév - 21:17 | | | Il était une fois un Caleb qui était devenu un homme. J’avais agie avec maturité ce qui était rare et je voulais bien croire que cela en choquait plus d’un mais je n’étais pas capable de laisser cette soirée m’échapper. Je ne voulais pas que ce moment joyeux devienne un carnage. Dans le fond, je n’aurais tout simplement pas dû laisser les jeunes femmes trop longtemps dans la même pièce mais Reed ne devait dans le fond pas participer à ça. Les séparant de mes muscles. Je m’étais comporté comme un étalon avant de laisser les Léopard se calmer. Je ne voulais pas voir un combat de fauve. Je m’étais contentée de les laisser parler calmement. Je surveillais que tout se passe bien avec mon fils sur les genoux. J’entendais des bribes de la conversation et je levais les yeux en riant alors que j’avais captée les excuses de ma fiancée. Je ne devais pas trop me montrer amuser mais ce n’était pas compliqué de vouloir rire. Elle était douée pour s’excuser. Tellement et je le savais pour être l’une des personnes qui ont vécues ses excuses même si elle n’était pas totalement recevable ? Nikki le méritait-elle ? Je ne pourrais pas en juger était l’une des personnes concernées mais dans le fond, elle méritait qu’on lui laisse une chance. C’était certain. En tout cas, il y a de la passion dans l’air entre ces deux jeunes femmes. L’enveloppe que je prenais alors en main me semblait tellement lourde. Aussi lourde qu’un hippopotame et pourtant du papier ? C’est léger. Je l’ouvrais doucement en me demandant bien ce que cet abruti me veut. Que me veut-t-il et moi qu’il pensait qu’il n’était qu’un bout de mon historique tout comme Charlie Chaplin pour le cinéma ou Molière pour le théâtre. Il n’était qu’un morceau de passé que nous devions oublier mais non. Je n’arrivais pas à faire sans l’idée que ce petit con soit mon père. Etais-je une nouille de bon marché pour autant ou juste un homme intelligent qui apprend des erreurs des autres ? Je n’en savais rien mais je restais en aphasie alors qu’elles parlaient d’après ce que j’en entendais… elles ne se frappaient pas ou plus ou ? Toujours pas. Je ne saurais vraiment dire si elles s’étaient frapper mais c’était tout de même violent. Est-ce qu’on peut dire que l’utilisation d’une chaise rentre dans le terme frappe ? Oh et on s’en fout aussi. Cette réforme de la situation me reposait mais sortir ce courrier de l’enveloppe pour ouvrir cette feuille pliée en trois, c’était tout une autre histoire. Je ne savais pas ce que j’allais y lire et je n’étais même pas certains de le vouloir. Je regardais cette écriture en passant mon doigt dessus. J’avais des papillons dans le ventre mais ils n’étaient pas positifs. Ils n’avaient rien de romantique non plus. J’aurais tellement préférée recevoir une lettre d’un anonyme qui me demande de l’argent car là… au moins, je ne me sentirais pas coupable de ne jamais me décider à la lire. Je n’avais pourtant pas le choix. Je regardais ces premiers mots. « Cher Caleb,… », je riais nerveusement malgré moi. J’avais la sensation de ne pas vouloir continuer tout en le désirant car j’étais curieux de savoir ce que disait la suite. Je pensais à ma petite sœur enfin de quelques minutes qui n’étaient pas à Pasadena pour ce jour-ci. Je ne pourrais même pas lui demander si elle a reçue aussi une lettre. Je lisais alors la suite, perplexe par moment… énervé par d’autres et troublés parfois. A certains mots, je me voyais triste. Je ne voulais pas laisser cette parade de sentiment être vue par les jeunes femmes encore moins par mon fils. Je refermais cette lettre une fois que j’avais fini de la lire. Elle disait tout simplement la vérité. Il est un con qui m’a abandonné moi et ma petite sœur tout en trompant ma mère. Il assumait ses erreurs. Il assumait en quelques mots de m’avoir regardé… avec ma petite valise alors que je voulais partir avec lui mais de ne pas avoir eu enfant de prendre un boulet de plus… vers sa quête de l’indépendance. Mais dans tout ça, il y avait une vérité atroce qui me laissait enfin ouvrir les yeux. S’en douter alors qu’on ne voulait pas, c’était une chose mais réaliser que oui, c’est un connard… Cela en est une autre. Je l’avais tellement souvent vu comme un héros… un astronaute, un homme bien que je m’étais il y a peu de temps rendu compte que j’étais tellement stupide. La chute rendait les choses plus difficile encore pourtant cachait une bonne chose mais je ne voulais pas vraiment… y penser. Il regrettait enfin et il voulait me connaitre. Il voulait pouvoir connaitre son fils. Je lisais aussi que ma mère avait donné mon adresse. Cette partie de lecture m’avait nouée la gorge car ça voulait dire qu’ils avaient eus des contacts et elle ne m’avait rien dit. Elle ne m’avait pas prévenu. Je me sentais un peu mal… je me sentais trahi par ma mère. Je laissais tout ça m’enrober tout comme le chocolat enrobe la praline sauf que je ne fonds pas… enfin si je continue de faire du sport. Cette parade d’émotion me submergeait. Je ne voulais pourtant pas qu’elles s’en rendent compte. Je me levais tout naturellement en allant vers l’îlot central de la cuisine dans un silence totale. En pleine aphasie, j’ouvrais le frigo et ne prenait le paquet de viande. Des steaks tout simplement pour préparer ceux-ci avec une sauce au poivre qui réveille les papillons. Je prenais alors une poêle. Mon dieu, j’aimerais qu’il soit là pour que je puisse l’assommer avec mais même pas sûr que je m’en sente mieux. Je soupirais doucement en mettant la poêle sur les plaques en céramique et je les faisais chauffer. Je mettais un peu d’huile mais en me tournant… mon bras se croisait avec le paquet de sucre… sur ce mouvement, il tombait. Mes nerfs lâchement subitement. « MERDE ! », m’écriais-je en regardant le paquet sur le sol. Bah voilà… monsieur péte un plomb sur le sucre qui tombe. Pauvre petit. Il était fini le mutisme. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Ven 6 Mar - 10:30 | | | L'ambiance ne me plaisait pas, vraiment pas. J'adorais Cordélia et j'aimais ma maman alors les voir en conflit, ce n'était pas ce que j'appréciais le plus au contraire. Maman tentait de me rassurer en disant qu'elles ne se disputaient pas mais je n'étais pas idiot, blond peut-être mais j'arrivais quand même à discerner une dispute d'une simple discussion. Je leur avais bien fait savoir même si malgré moi et instinctivement j'avais pris la défense de ma mère mais n'importe quel enfant en ferait autant. J'espérais juste que Cordélia ne m'en voudrait pas même si elle avait dit des choses méchantes dont je n'aimais pas le sujet. Les adultes sont vraiment compliqués quand on y pense. Que venaient faire les patates la dedans ? Je ne voyais vraiment pas mais pour le coup, je ne voulais pas comprend en espérant juste qu'elle n'allait pas se bagarrer car ma maitresse dit que la violence ne résout rien. Finalement, papa qui était près de moi se décida à intervenir en les interrompant et en allant vers elle et après, il leur fit une morale. Il avait raison dans ce qu'il disait, elle ne devait pas se battre pour son coeur, c'est bête. Enfin je ne comprenais rien à l'amour et vu où cela menait, je décidais de ne jamais, je dis bien jamais tomber amoureux. Finalement, il revenait vers moi en disant qu'il fallait les laisser entre filles. Tant qu'elle se batte plus comme des enfants, ah les jeunes je vous jure. Je préférais donc me réfugier dans les bras de mon papa qui m'emmenait vers le canapé et me déposait sur ses genoux pour lire le courrier. Je le regardais faire sans rien dire ni trop bouger.
Pendant ce temps Cordélia et maman avaient commencé à parler, je n'entendais pas ce qu'elle disait mais c'était bon signe, car elle ne criait pas et je supposais que cela était un bon présage. Je priais pour qu'elle puisse tenir une conversation calme et stable pour nous faire plaisir à papa et moi mais aussi pour elles. Déjà qu'elles se voyaient souvent si c'est pour s'insulter, c'est totalement idiot. Je devenais la voix de la raison à seulement six ans. Papa pouvait être fier de moi. En parlant de papa, il semblait absorber par son courrier. J'avais vaguement lu juste le prénom de l'expéditeur sur l'enveloppe avant qu'il ne l'ouvre. Je n'ai que six ans, mon niveau de lecture n'est ni élevé ni rapide et ce prénom ne me disait trop rien mais il semblait atteindre papa pour une raison que j'ignorais. Même si d'apparence papa restait de marbre, je le sentais perturber par des petits gestes que même des proches ne verraient pas forcément et je posais alors ma main sur son bras en posant mes yeux bleus sur son visage soucieux. Il se levait sans un mot quoique j'étais inquiet, je voulais savoir ce qu'il avait et je ne pouvais m'empêcher de le suivre directement tel un poussin qui suit sa maman. Je ne portais peut-être pas ce surnom pour rien. Et je sursautais lorsqu'il criait un gros mot en faisant tomber du sucre. Mais... que pouvait-il bien avoir ? "Papa... Qu'est-ce que tu'as ?"
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