Malika a toujours vécu à Pasadena alors forcément la neige, elle ne connait pas. D’ailleurs elle n’a jamais vraiment touché de la vraie neige. Ses papas sont vraiment trop gentils d’être allé dans un magasin pour l’acheter de canon pour fausse neige. La jeune blonde n’a pas vraiment conscience des prix à son âge mais ils n’ont pas vraiment du faire beaucoup d’économie la dessus. Mais bon, c’est forcément une bonne affaire parce qu’il n’y a rien de mieux au monde que de rendre des enfants heureux aussi facilement. Rendre heureux des enfants avec des jouets ultra chers ce n’est pas bien mais avec des simplicités comme cela c’est le meilleur à faire à des enfants quasiment orphelins même si Lika ne se sent plus ainsi maintenant qu’elle a trouvé une nouvelle famille génial. Bien sur le reste des Lewis lui manque mais il n’empêche que les Delgado arrivent à panser ses blessures. « Ouais j’en ai dans le cou ça fond sous les vêtements. Mais t’es méchant, c’est toi qu’on va vendre au père noël pour qu’il t’embauche pour donner à manger aux rênes. Mais bon, contre toi on va pas gagner beaucoup d’argent, même sans remise. » Prenant une dernière boule de neige, elle finit par le lui lancer dessus, elle n’a pas visé la tête mais la boule s’explosa sur le dos de son frère. Ca ne lui a pas fait mal et de toute manière ce n’était sans doute pas son vœu mais au moins ça lui fait une petite vengeance. Finalement elle monta sur son dos, c’est ainsi les frères et sœurs, ça se chamaille pour des petites bêtises et oublient immédiatement. De toute façon elle ne s’imagine pas se prendre la tête avec son frère, c’est son pilier. C’est finalement pour réaliser un bonhomme de neige qu’ils renfilèrent leurs manteaux pour ressortir. Son écharpe rose en prime. Bah oui, pourquoi ça ne pourra pas être une madame de neige d’abord ? Ça serait bien de lui faire une famille même, mais bon ce n’est pas certain qu’ils aient assez de neige et assez de temps pour cela. Mais bon, pourquoi pas ? « Ouais pour faire une madame des neiges, on pourra faire ses frères casses pied aussi » Dit-elle en lui tirant la langue avant de commencer à faire tous les petits travaux pour réaliser leur superbe bonhomme de neige. Pour le coup il va être trop beau. Quoi que, sa boule n’a pas l’heure vraiment bien tassé mais bon, ça existe les bonshommes avec des têtes bizarres non ? Juste à voir l’un de leur vieux voisin et ça donne un parfait exemple. Enfin parfait… tout est relatif. Après avoir terminé leur art, Malika mit ses mains sur ses hanches le contemplant avant un grand sourire satisfait alors qu’elle venait d’y mettre la touche final avec la carotte pour faire son nez. En tout cas on ne voit pas le temps s’écouler lorsqu’on s’amuse et là Malika le constate parce que son frère jumeau les appela pour venir les aider pour l’apéro. Tiens il est surement malade Théodore, sinon il serait venu jouer avec eux sans le moindre doute. Malika commence à entendre son ventre grogner, signe qu’elle a faim, en même temps elle a hâte d’être devant leur repas de noël et savoir qu’ils vont aller prendre l’apéro lui met directement l’eau à la bouche. En même temps la blondinette n’est pas bien compliqué, alors rien que les chips et les gâteaux d’apéritif lui donne faim, autant que la dinde voir plus, c’est pour dire. Pourtant ils vont devoir patienter mais Lika ne va pas se plaindre loin de là parce qu’à la place ils vont ouvrir un cadeau chacun, en avance et le reste pour plus tard comme dans la tradition, enfin pour le coup elle est assez surexcitée pour l’ouvrir qu’elle n’a même pas cherché à vraiment savoir pourquoi cette année ils sont en avances. Assise sur le canapé entre ses deux frères, elle fixait son cadeaux sans son papier, elle avait hâte de le déchirer pour voir ce qu’il contient. En tout cas relevant le regard, regardant ses deux papas puis ses deux frères, elle a les yeux qui brillent, là, à noël avec un cadeau avec sa nouvelle petite famille où tout ce passe bien, elle est vraiment heureuse il n’y a pas à dire. « Vous êtes prêts ? » S’écria-t-elle prêt à tirer sur les rubans et tout déchirer sur son passage juste pour un cadeau qui vient du père noël, le décompte éclata et on pouvait entendre uniquement les enfants s’écrier sur leur cadeau et Lika tout d’un coup crier « Mon super appareil photo, trop biiiiien ! » Elle était heureuse, c’est le cas de le dire. Ce n’est pas un appareil photos très avancés, il est parfait pour son âge et autant dire que c’est mieux ça que des poupées. Elle en a déjà et de toute façon ne joue pas avec. Elle préfère les photos et là elle est toute contente. « Il est trop fort le père noël, je l’ai pas mis dans ma lettre, il doit avoir des oreilles partout. » Faut dire qu’elle en parle tellement depuis de mois de son envie d’avoir un appareil photo que ça ne peut passer inaperçu. Pourtnt elle ne l’a pas mis dans sa lettre du père noel parce qu’elle n’aime pas demander des cadeaux. « Vous avez eu quoi vous ? » Demanda-t-elle finalement en detachant son regard de son cadeaux pour regarder ceux de ses deux frangins. « On peut pas ouvrir les autres maintenant ? Dites ouiii » Dit-elle avec sa petite bouille adorable. Mais bon, c’était trop beau pour être vrai « Non le reste demain en même temps que les autres enfants, comme ça tous en même temps. On va aller manger ! » Lui précisa l’un de ses pères. D’ordinaire elle aurait peut-être boudé deux minutes mais là c’est noël alors la question ne se posa même pas alors qu’elle se jeta sur les petits toasts pour remplir son ventre vide.

Lika & Addon

Je pouvais regretter mon ancienne vie, mais ne jamais dénigrer celle que je vivais actuellement. Les Delgado nous avait offert la chance de reprendre une vie à peu près normal ce qui était pour le coup une chose pour laquelle je les remercier. On avait perdu énormément et c'était douloureux de repenser à tout cela. Je fixais ma sœur alors qu'elle se plaignait de la neige qui était en train de fondre sous ses vêtements cette dernière s'était frayée un chemin à travers son manteau, son pull et sans doute son pantalon, je visais incroyablement bien pour le coup. On pouvait avouer facilement que pour le coup nos pères adoptifs nous avait fait une bonne surprise en se procurant ce canon à neige. Il avait dû payer un bon paquet d'argent sauf s'il y avait une promotion ou remise dessus. Enfin, c'était un cadeau cool en plus de tout ce qu'on risquait d'avoir, moi qui avait été faire du shopping avec eux, je savais à peu près ce qui avait comme achat dans leur caddie quand ils étaient allés au centre commercial enfin sauf pour moi, ils avaient fait en sorte de payer leurs articles la fois où je n'étais pas là. Ils avaient raison, comme ça j'avais la surprise ce qui était assez cool. " Je ne suis pas méchant et je te dis que c'est toi qu'ils vont demander à faire rembourser. Moi, suis un homme un vrai, je peux aider, toi tu ne peux pas faire ce que je fais ! " Je rigolais un peu, c'était comme ça entre le frère et la sœur, on adorait se disputer ce qui pouvait être sympathique. C'était drôle pour moi de la faire enrager et encore plus quand elle réussissait à me faire sortir de mes gonds facilement. C'était sympa de se prendre la tête, enfin on allait jamais trop loin, car on avait du respect et de l'amour pour l’autre, alors pourquoi se faire souffrir ? On se le demandait pour le coup. Je glissais mes mains dans ma veste commençant à les sentir tout gelés pour tenter de les réchauffer. Je souriais un peu avant de commencer à créer le bonhomme de neige, puis je l'écoutais en secouant la tête. " Toi... je vais te transformer en bohomme de neige, ça sera palpitant, tu ne trouves pas ? " Demandais-je en la fixant. Je continuais de faire le plus gros du boulot, vu que ma sœur m'avait demandé de faire la grosse partie de notre œuvre. Je l'observais du coin de l'œil, son sourire communicative me faisait un réel bien, j'adorais la voir sourire c'était si rare de ne pas apprécier celui-ci. Le temps était passé relativement vite pour le coup, je me retrouvais avec ma sœur dans le jardin à contempler notre bonhomme, il était bizarrement habillé, on devrait lui refaire sa garde de robe le pauvre, il avait des affaires de fille et de mec. Tout cela était étrange, mais drôle aussi pour le coup. J'avais délaissé le jardin en rentrant avec Lika, une fois débarrassé de mes affaires qui étaient censé me tenir chaud et mes chaussures trempés mis dans le panier. Je pouvais sentir la bonne odeur du repas et de tout ce qui allait finir dans mon estomac. J'avais faim, réellement faim pour le coup. J’avais comme des crampes à l'estomac tellement ce dernière réclamait sa nourriture. J'avais du mal à me concentrer sur le reste, ce que je devais faire alors en emmenant les plats sur la table basse pour l'apéritif je piquais toujours une chips pour tenter de calmer ma faim et le bruit que pouvait faire mon estomac. Je regardais un peu la table une fois sûr qu'il ne manquait rien, je souriais un peu avant de glisser sur l'une des places encore disponible sur le canapé. Je prenais mon cadeau qui était une simple enveloppe, mais connaissant mes pères ça allait être une chose totalement cool, je n'en doutais même pas. J'ouvrais l'enveloppe après le décompte de ma sœur en souriant un peu, alors que je souriais un peu quand cette dernière nous donna le top pour ouvrir. C'était aussi tressant que de voir un article intéressant dans un rayon qui est le seul et que quelqu'un le convoite. Une fois mon cadeau ouvert je souriais, c'était un petit message, j'allais avoir le droit d'avoir ma moto, cela était un cadeau parfait pour le coup. Je regardais mes pères. " Vraiment ? " demandais j’en souriant un peu tout en finissant par croquer ma lèvre. Je les regardais et ils secouaient la tête m'expliquant que maintenant j'étais en âge d'en avoir une et que j'avais vraiment du bassiner les oreilles du père noël avec ce cadeau. J'avais oublié que les autres enfants ne savaient pas encore qu'il n'y avait pas de père noël. J'ai gaffé, mais heureusement on avait rétabli la chose. Je regardais ma petite sœur. " Je vais avoir une moto " Je rigolais prenant son cadeau dans mes mains pour faire une photo d'elle et de Théodore. Elle adorait les photos tout comme moi et j'espérais que j'allais avoir le zoom que j'avais demandé... mais j'avais déjà eu un trés beau cadeau. Je me rappelais des noëls d'avant où les finances étaient toujours un peu serrées pour le coup, là aussi le budget l'était mais ils savaient amplement y faire les Delgado. Ma sœur finissait par réclamer les autres cadeaux. Je savais déjà la réponse, même pas besoin de rêver pour le coup, déjà avoir un cadeau la veille de noël ce n'était pas forcément ce qui devait se passer. Il fallait qu’ils découvrent que le père noël n'existe pas pour pouvoir avoir tous les cadeaux la veille, j'aurais pu le dire juste histoire de savoir le reste, mais je n’étais pas comme ça. Par contre mon estomac n'en pouvait plus alors je me servais à manger avant de sentir de plus grosse crampe, j'en pouvais plus c'était bien trop douloureux.

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Malika a toujours été en admiration de son grand frère. Il a toujours été là pour elle et pour leur autre frère et a toujours réussi son rôle protecteur. Il est comme cupidon le jour de la Saint Valentin mais en mieux. Lui ne se promène pas les fesses à l’air, quoi que faut voir, et ne s’amuse pas à envoyer de la passion entre les personnes. Non au lieu de cela on a le droit de pleurer dans ses bras et il cassera la gueule des personnes qui embêteront ses proches. C’est un peu comme son héros, elle sait qu’il ne supporte pas qu’on puisse lui faire du mal et bottera le cul à ceux qui tenteront et rien que pour ça elle se sent privilégiée et elle ne va pas s’en plaindre loin de là. La blondinette ne sait franchement pas où elle en serait sans lui mais bon, elle préfère ne pas y penser. Penser à ça lui fait repenser à coup sûr aux autres membres de sa famille qu’elle a perdu dans un feu ardent  et elle va se remettre à pleurer alors qu’il ne vaut mieux pas, pas aujourd’hui alors que c’est la fiesta. Aujourd’hui elle a plus envie de se prendre pour une danseuse contemporaine que de pleurer ses proches disparues. De toute façon la moindre larme ne va pas les ramener alors ça ne sert à rien, sauf se refaire du mal après tout. Elle est destinée  à y penser encore et encore et il va falloir qu’elle arrête d’y penser avant de s’enfermer dans un mutisme. Mais bon, qu’elle le veuille ou non, ça fait partie de son histoire et c’est ça qui est triste, elle est obligée de vivre avec, elle n’a pas le choix la dessus. « Un homme un vrai ? Mais tu te prends pour un prince alors que tu n’es qu’un petit parasite ! » Dit-elle en venant croiser ses bras contre sa poitrine d’un air boudeur. Celle-là, il l’a quand même bien cherché. Entre eux c’est parfois un vrai festival de reproches mais c’est aussi un festival de câlin aussi. Ils s’aiment tous les deux c’est évident mais ils aiment aussi beaucoup de chamailler. Les joies de l’union fraternelle en somme. Mais bon, comme on lui a dit, il faudrait qu’elle arrête de l’embêter parce que sinon elle va finir avec un mauvais karma pour se venger et peut-être même qu’un jour Addon en a ras le bol de sa naine de petite sœur et finira par l’abandonner. Quoi qu’il en soit alors qu’Addon la menacé de faire d’elle un bonhomme de neige, la blonde se mit immédiatement à lui faire les yeux doux tel un chat potté pour qu’il se calme et soit gentil avec elle. Elle sait être adorable quand elle veut, malheureusement elle ne veut pas souvent. « Tu n’oserais pas, tu m’aimes trop pour ça alors merci de faire preuve de courtoisie et de me laisser tranquille ! » Elle n’est même pas certaine de savoir ce que ça veut vraiment dire mais bon elle l’a entendu de la bouche des grandes personnes alors elle le répète. Au pire ça ne sera pas si grave si ? Au pire il a l’habitude de la prendre pour une vraie nouille alors ça ne changera pas vraiment les habitudes. En tout cas la petite blondinette ne vit pas vraiment le temps passer puisqu’elle avait l’impression d’avoir à peine commencer qu’on vint les chercher pour manger. Tant mieux dans un sens car elle commençait à avoir mal au ventre de faim mais elle ne l’a pas dit, non pas pour se plaindre mais parce qu’en s’amusant elle a presque oublié, véridique. En tout cas, contrairement aux coutumes des années précédentes, ce n’est pas le lendemain mais ce soir qu’ils ont eu le droit d’ouvrir un unique cadeau et elle n’allait pas se plaindre. Enfin maintenant elle veut ouvrir le reste mais c’est quand même déjà bien. En plus c’est plus bien puisqu’elle a eu obtenu un appareil photo et elle est toute contente. Bon ce n’est pas un destinée aux professionnels, il est adapté à son âge, les seules options c’est de pouvoir en faire en noir et blanc mais c’est déjà bien. Elle va pouvoir éblouir de flash tout le monde et jouer aux paparazzis en herbes. Elle fit une tête choquée en apprenant son cadeau, on aurait dit un tout petit clown. « Bah dis donc, il est gentil avec nous le papa noël. Tu crois que papas voudront bien que je fasse un tour avec toi ? » Il ne l’a pas encore mais elle pense à quand il l’aura. Elle a toujours eu envie de voir la sensation d’être derrière, comme si c’était un manège mais bon elle est petite alors ce n’est pas certain qu’ils acceptent. Finalement, son ventre fit un énorme bruit alors qu’Addon la prit en photo avec son jumeau qui ne lui ressemble pas tant que ça aussi bien physiquement que mentalement mais dont il n’empêche qu’elle soit très proche. Ce fut donc le temps de passer à table. « Dindoon, tu peux me passer le truc vert please ? » Dit-elle, elle fut lui faire un mime pour qu’il puisse comprendre que c’est de la guacamole dont elle était en train de parler.  Finalement, alors qu’ils étaient tous en train de se mettre autour de la table, elle se leva avec son verre avec du jus d’orange à l’intérieur pour dire simplement. « Merciii pour ce repas et pour tout, la neige et les cadeaux, j’vous aime ! » Dit-elle avec un grand sourire avant de retourner sur sa chaise, les joues rouges parce que même si elle les aime à la folie il n’y a pas de doute, elle a toujours cette petite carapace qui fait qu’elle dit toujours qu’elle les aime mais timidement et là elle l’a dit normalement.  

Lika & Addon

Suivre Malika, quelques fois ce n'était pas forcément facile voir digne des plus grosses migraines au monde. Un petit parasite qu'on apprécie avec beaucoup d'amour, malgré qu'elle me donne envie de la traiter de nouille à chaque seconde où elle faisait des bêtises, je ne pourrais pas l'échanger. Après tout, je savais ce que j’avais, mais pas ce que j'allais avoir à la place ? Imaginez que je me retrouvais coincé avec un clown ou un Charlie Chaplin de l'ancien temps ? Ça serait vraiment un coup du karma pour le coup, tout de même. Enfin, ma destinée avait déjà quelques pot cassé, les chars militaires n'étaient pas assez lourd pour expliquer tout le mal qu'on avait ressenti. Ce n’était pas de petite vague, non c'était des festivals de douleur qui venaient se blottir contre nous pour nous emmerder petit à petit. Je pouvais laisser l'union avec Théo ou Lika se détériorer de temps à autre, la laisser brunoyer, mais je n'étais pas prêt à envoyer ses deux-là, loin de moi. Même pas dans un pays chaud comme cuba ou encore Rio. Impossible de faire cela. On était un tout et celui ou celle qui tenterait de faire du mal à l'un d'entre eux, risquerait de foutre les pieds dans une zone rouge dont il était largement compliqué de sortir. Même avec des excuses faîtes avec courtoisie, il était impossible d'en sortir, je faisais peur quand je le voulais. Je savais que j'étais un modèle pour les plus petits, après me voyaient ils avec des yeux emplis d'admiration, je n'en savais rien, mais moi j'agissais avec passion quand il s'agissait de mes proches. Pourtant, c'étaient deux canailles, mais je ne me voyais pas agir autrement pour le coup, totalement impossible même. " Ahah c'est l'hippopotame qui parle ? Toi tu te crois dans un monde de princesse-prince, mais au final, tu n'es qu'une sorcière qui pense nous faire peur avec ses grimoires." Mon regard s'était ancré dans le sien, si elle pensait m'impressionner en croissant les bras sous sa poitrine, elle pouvait toujours rêver pour le coup. Elle le savait, certaine chose, je ne le passais pas ! Elle agissait parfois avec un feu ardent sans même réfléchir à ses actes ou ses mots et il fallait la remettre dans le bon chemin. Je le faisais calmement et gentiment, mais d'autre n'hésiteront pas à la détruire, à trop jouer l'étalon. Enfin, je ne lui en voulais jamais, puis ce n'était pas une parade amoureuse que cupidon attendait de nous alors se disputer pour nous c'était normal. Enfin, malgré tout cela j'étais assez fière de ma petite sœur, j'aimais passer du temps avec elle tout comme avec Théo d'ailleurs. Dans ma tête, je me rappelais de mon cours de géographie pour lequel je devais parler des métropoles et j'avais choisis de parler de Venise ainsi que l'une des villes de l'Océanie. J'avais hâte de toute façon de reprendre les cours, surtout d'être au mois de Frebruarius juste pour mardi gras et bien sûr d'autre chose dans le fond. Enfin, ma sœur me coupait dans mes pensées. " Style tu utilises des mots qui sorte d'un monde qui date de l'époque où la télévision était en noir et blanc " Je rigolais un peu repensant un peu au film de cette époque comme Titanic quoi qu'il ne fût pas si vieux pour le coup ce film. Enfin, il y avait les Sissi qui se passaient à Versailles. Enfin, je ne voyais pas pourquoi je pensais à ça, je devrais en revenir à mes danseuses qui aimaient danser des danses lascives durant le carnaval. C'était toujours sympa cette fiesta espérant que je pourrais pour une fois y aller seul pour profiter par moi-même et peut être que je pourrais passer à l'acte avec ma meilleure amie, comme prévu ? On avait tout prévu. Lingerie en dentelle pour elle, drap de satin pour le lit et moi je devais lui retirer sa ceinture de chasteté. Enfin, on avait surtout parlé, après ce qui allait se passer ou non c'était assez anonyme pour le coup. Enfin, on ferait peut être ça sur de la musique de pianiste ou un morceau de jazz. Je me posais toujours trop de question et elle pensait pareille que moi, surtout que c'était dans longtemps tout ça, j'avais le temps, autant profiter de Noel et de penser à danser un tango endiablée avec sa langue plus tard. Surtout, qu'à présent on en était à découvrir le tout premier cadeau, j'avais des papillons dans le ventre à l'idée que j'avais eu une moto, je n'écoutais presque pas les autres, enfin il faut dire que je m'enfermais un peu dans ma bulle, même si d'autre diront que j'étais taciturne ou encore endroit de rentrer dans un moment d'aphasie. Je faisais du mime pour le coup, trouver les mots était compliqué, j'avais l'air d'un pantomime jusqu'à entendre les question puis j'eus envie de rire, heureusement que les réformes sur les jeunes pour monter sur une moto était passé. " Non, je ne pense pas même la loi ne le voudra pas ! Tu n'auras qu'à prendre des photos de moi dessus, si tu veux. " Elle était trop petite ... puis les drames fallait les garder loin de nous. Je ne voulais pas reposer des roses noirs sur une tombe ou jeter des pétales dans un trou à nouveau. Enfin, je prenais le guacamole avec les chips à ma sœur. " Tiens mange pas tout sinon je t'attache avec des serpentins. " Disais-je en souriant un peu plus tout en la menaçant sous les yeux des autres. Je regardais Resse qui commençait à danser en faisant des claquettes enfin essayant. " On dirait une tomate quoi que tu es plutôt jaune comme Winnie l’ourson" disais-je en souriant à ma sœur qui venait de faire un petit couplet de remerciement. M'enfin, elle ne croyait plus au père noël pour dire merci pour les cadeaux ? Alors on pouvait tout ouvrir, sinon faudra attendre l'année prochaine qui était une année bissextiles.
           

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Il peut la traiter d’hippopotame autant qu’il veut, ce n’est en aucun cas cela qui va la démoraliser ou faire en sorte qu’elle soit mal dans sa peau. En même temps elle n’a pas de problème de poids donc ça aide. Par contre il y a bien quelques points de physique sur lesquels elle est complexé comme par exemple sa brulure à la jambe mais ce n’est point un sujet d’amusement sur lequel son frangin va appuyer tout au contraire puisque non seulement il la comprend mais aussi parce que ça fait remonter à la surface certains moments de leurs vies passées qu’ils aimeraient bien tenter d’oublier malgré qu’ils ne pourront jamais le faire totalement et ce même s’ils n’étaient que des enfants à cette époque. Heureusement d’ailleurs qu’elle ne soit pas complexée par son poids parce que ce n’est pas avec ses frangins qu’elle serait bien dans sa peau. Ils sont au top du top mais quand même, quand ils peuvent l’embêter même avec des mots qui peuvent parfois être blessants même si elle ne le prend pas comme ça, alors ça serait dur pour elle de vivre avec eux si elle le prenait mal. « J’suis pas un hippopotame, espèces de parasite va. Tu te prends pour un étalon toi ce n’est pas mieux, t’es aussi bete que ceux qui ont construits le Titanic ! » Elle l’a vu la semaine dernière c’est pour ça qu’elle a encore cette image dans la tête puisqu’elle n’arrive pas à se remettre de ceci. Elle ne comprend pas comment ils ont pu faire un bateau aussi nul pour percuter un iceberg et couler. Ses papas ne voulaient pas qu’elle le regarde le film mais comme lorsqu’on interdit une chose comme celle-ci à des enfants, elle l’a regardé en cachette alors que ça passait à la télévision. Elle ne l’a pas dit à ses pères bien sûr mais elle a tellement pleuré à la fin en comprenant qu’elle a failli leur en parler pour se confier mais finalement c’est dans la chambre de son frère qu’elle a fini pour parer de tout cela sans qu’on lui fasse la remarque que c’était sa faute, elle n’avait qu’à écouter leurs pères. « Ce n’est pas ma faute si tu connais des mots sortant du langage des clowns et encore c’est plutôt des pantomimes. J’suis instruite moi ! » En réalité elle ne sait même pas d’où elle le sort. Peut-être est-ce l’un de leurs papas qui a dit ce mot et peut-être qu’il est mal employé mais bon ce n’est pas bien grave, la petite blonde fait style de le savoir c’est déjà bien. Bah oui, elle ne veut pas faire une tête d’hippopotame, elle préfère Winnie l’Ourson même si elle trouve que c’est pour les petits et qu’elle est trop grande pour aimer.

Ils venaient d’ouvrir leurs premiers cadeaux et même si elle est surexcitée parce que ce le papa noël lui a offert c’est-à-dire un appareil photo, elle n’a pas manqué une occasion pour râler même si ça ne concerne en aucun cas le père noël mais bel et bien le fait qu’elle ne pourrait pas monter derrière son frère en moto. C’est trop nul ! « Rooo c’est nul, j’en ai marre d’être petite ! » Petit et être une fille aussi. Elle ne voudrait pas avoir quelque chose entre les jambes mais bon, elle se sent quand même parfois seule dans cette atmosphère majoritairement masculine. « J’veux faire un tour moi et me la péter devant mes copines ! » Elle veut les deux mais son objectif numéro un de monter sur la moto avec son frère est-ce pour se la péter ou pour faire un tour ? Telle est la question même elle ne le sait pas, c’est surement un ensemble. En tout cas Malika ne perdit pas une occasion de manger du bon guacamole avant de se faire menacer par Addon, toujours là pour l’embêter celui-là. « T’oserais pas » Dit-elle en ouvrant sa bouche en forme de o. Elle a quand même le droit de manger non mis oh mais bon dans un sens il a quand même raison. Faut quand même qu’elle garde de la place pour le dessert où elle espère retrouver pas mal de chocolat. Elle espère même y retrouver quelques petites gâteries comme des truffes au chocolat, elle aime tellement ça. En fait ce sont ses deux péchés mignons, les truffes et le citron. Finalement ils se mirent à table devant la décoration magnifique et féérique aussi selon Malika. Elle a les yeux pleins d’étoiles et sous cette gaieté qu’elle s’est levé pour parler devant tout le monde. Même s’il s’agit de la famille, le fait de prendre la parole pour dire ce qu’elle pense devant une « foule » ou du moins ce qu’elle ressent, ça la met toujours mal à l’aise et elle fait parfois preuve d’un certaine mutisme mais là elle y est arrivé et là il a fallu que son grand frère Addon vienne tout gâcher à se moquant d’elle. Il n’en fallait pas plus pour énerver la petite Malika. « Non mais t’es un boulet, je dis un truc gentil et toi tu te moque de toi ! » Dit-elle finalement en se rasseyant totalement rouge. Elle voulait remercier ses papas pour tout ce qu’ils font et pour le père noël aussi peut-être qu’il peut les entendre et voilà qu’il se fout d’elle. Pour le coup elle lui en veut quand même et c’est surement pour cette raison qu’elle se mit à rougir timidement. Elle n’aime pas avoir l’air nouille comme ça, surtout devant tout le monde que ce soit leurs pères, Addon, Théo, Cyril et les autres mais Addon l’a bien cherché. Mais bon, fallait bien trouver une méthode pour faire taire la petite blonde et son frère l’a trouvé. Faut croire qu’il la connait énormément, assez bien pour lui casser les pieds en tout cas. Malika n’ajouta alors rien, croisant les bras tandis que tout le monde la regardait, avec plus d’attention que lorsqu’elle voulait faire son petit message d’amour tout mignon qui sentait la praline. Ca la vexe ça quand même. Mais bon ce n’est pas bien grave, il est le temps de manger et puis elle est du genre à vite oublier lorsqu’il s’agit de la famille alors autant dire que fut rapidement derrière elle, comme à chaque fois de toute manière.

Lika & Addon

Une matinée assez rock'n'roll pour le coup, j'avais eu une bonne matinée avec Malika, on avait été que tous les deux pour s'amuser avec la neige. Il faut dire que les autres dormaient, et si je me rappelais de ma jeunesse quoi que je fusse encore assez jeune pour le coup. Mais, avant on s'amuser à s'imaginer en période Antique et à jouer Jules César ainsi que la troisième guerre mondiale. On était loin d'imaginer que celle si n'existait pas tout au contraire ! Enfin, nos petits jeux rendaient nos vies loin d'être monotone, plus tard c'était pour ça que je voulais un métier comme mon père, devenir pompier et avoir un tas d'adrénaline dans ma vie. Enfin, pour le moment je devais gérer le problème de Lika. Elle était chieuse et ça avait toujours un peu le don de m'énerver rapidement ! Dés fois, je me demandais pourquoi on ne l'envoyait pas en Corée, après tout elle pourrait aller siroter durant le mois de Mars un petit milkshake à la banane ou à la citronnelle sans avoir à craindre un printemps gâché par les giboulées de ce mois qui était aussi une planète ? Enfin ça me paraissait être une bonne idée pour le coup. Enfin, pour le moment, ma sœur n'était pas encore l'une de ses filles que je côtoyais et qui portaient du chanel ainsi que des robes Corolla assez vintage nous laissant croire qu'elles débarquaient tout droit de la période où Elvis était le roi ! Enfin, une petite pin-up pour le coup. Cela m'aurait sans doute plut de vivre à cette période. Comme toujours nos papas n'avaient pas misé sur le fait d'être économe , il donnait tout pour nous ce qu'on appréciait, mais il fallait qu'on l'avoue on leur rendait assez bien à mon humble avis. Enfin, ils nous gâtaient en toute circonstance ! À nos anniversaires en plus de porter des chapeaux en carton ridicule ils faisaient faire venir des personnes pour nous faire barbe à papa , churros et s’ils leur étaient possibles de leur faire venir une grande roue ou un carrousel pour remplacer nos balançoires ils le feraient ! Enfin, ils se donnaient à fond pour nous ! Enfin, avec tout ça je me donnais faim, malheureusement ce n'était pas un gâteau en dessert aujourd’hui, mais une bûche à la crème fouetté ainsi que plein de cadeau ! J'avais fait un effort en prenant quelque chose pour eux aussi. Enfin l'heure passée avec maa sœur à nous dire de la merde comme pas possible venait de passer et il était temps d'aller nous remplir notre estomac. J'imaginais que les cadeaux de Lika cette année ne seront pas un môme pleurant qui donnerait l'impression d'être un vrai et qui n'y aurait pas tout l'attirail qui allait avec tel qu'un berceau des couches culottes ou encore des biberons, combien de fois j'avais eu envie de mettre fin aux jours de ces choses ? Bien trop souvent à vrai dire.

L'heure d'été était loin et pour cause nous venions récemment de passer à celle d'hiver. Les équinoxes étaient compliqués. Enfin bref. J'avais de plus en plus faim et mon ventre gargouillé, alors une fois devant les apéritifs, il était temps de prendre un peu déplaisir pour le coup. Je venais de manger rapidement et j'eus un petit rôt discret que personne n'eut le malheur d'entendre ce qui était bien pour ne pas se taper la honte. " Continue de te plaindre et je demande au père noël de te foutre l'an prochain un siège auto " Disais-je pour embêter ma sœur ! Elle se plaignait d’être l'une des plus petites, mais bon, à un moment donné elle n'était plus vraiment la plus petite ici et c'était ce qu'elle voulait croire on dirait. Enfin, je souriais un peu continuant de manger jusqu'à ce fameux moment où il fut temps d'ouvrir les cadeaux. Mon cadeau ? Il était parfait, du moins celui qu'on avait tous eu le droit d'ouvrir! J'avais eu une moto, c'était tout bonnement cool ! J'avais adoré le geste de nos parents, bon je n’étais pas le seul à ne plus croire, Cyril non plus n'y croyait plus, mais on faisait les canards comme si on y croyait encore ! Ce qui était loin d'être le cas ! Je regardais ma sœur. " Ouai, je me moque de moi ! Va apprendre à parler un peu ! Tu fatigues un peu Lika ! " Je me levais pour aller dans ma chambre un peu, j'avais envie de me retrouver seul, mais avant de quitter la pièce je la regardais. " tu gâches toujours tout ! Un jour le père noël te le fera payer " Disais-je avant de m'en aller vite et loin car, j'étais énervé après elle !
 

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« Gnia gnia gnia ! » Malika se contenta de répondre ceci à sa petite pique lancée, tout ça bien sur accompagné d’un tirage de langue. Il ne fallait pas qu’il la cherche, elle n’arrive pas toujours pas à répondre mais les tirages de langue ou les moments où elle boude arrive souvent. Mais bon, c’est une habitude et c’est ce qui fait son charme… Quoi que… Apparemment ça ne plait pas toujours à Addon puisqu’une fois à table une dispute éclata et Addon choisit de quitter la table, tout ça à cause d’elle mais elle ne comprend pas vraiment ce qu’il lui reproche, c’est lui qui a commencé en l’embêtant. « C’est toi qui fatigue à toujours te foutre de moi ! » Malika n’aime pas se prendre la tête avec son frère mais c’est dans leurs habitudes de le faire. Après tout, quels frères et sœurs ne se chamaillent pas dans leurs enfances ? Malika ne s’occupe pas vraiment de la vie des autres mais elle pense que c’est naturel de le faire, après tout ça leur arrivent souvent et pourtant ça ne change pas l’amour qu’elle peut avoir pour son grand frère. Il est presque tout ce qu’elle a aujourd’hui, du moins avec son autre frère et leur toute nouvelle famille. En tout cas ce n’est pas non plus de l’animosité, elle ne lui veut pas du mal non plus, elle veut juste l’embêter même si pour le coup elle n’a pas besoin de faire la moindre manigance étant donné que c’est tout naturellement du monde que les disputes se font entendre durant le repas de famille. Sans doute que tout le monde pensait que ce n’était qu’une blague, un canular pour mettre un peu d’ambiance mais non, ça n’aurait pas été leur intention de faire cela en ce jour si important pour les enfants. L’ambiance n’est du coup plus au rendez-vous. Malika s’en veut c’est vrai, mais sa mine boudeuse montre bien qu’elle ne veut pas montrer qu’elle est en tort. Il n’avait qu’à pas se foutre d’elle alors qu’elle voulait être toute mignonne en lui montrant qu’elle les aime et qu’elle est reconnaissante pour tout ce qu’ils font dans la vie de tous les jours. Il y avait même un petit mot pour Addon mais ce n’est pas certain qu’il les mérite tant que ça. Finissant son assiette sans parler à quoi que ce soit, elle finit par annoncer : « J’vais manger avec Addon ! » Bien sûr, ses ères n’étaient pas vraiment d’accord pour que les deux enfants passent cette fin de repas loin de la table à manger où tout le monde ou presque sont. Mais finalement ils l’ont laissé partir en tenant deux assiettes à dessert de buches au chocolat. Sa préférée et elle sait bien qu’Addon aussi en raffole alors peut-être que le chocolat va réussir à arranger les choses. Malika aurait bien pris des truffes mais certaines contiennent des raisins secs et elle a horreur de ça. Ne frappant même pas à la porte à cause de ses deux mains prises, heureusement celle-ci était entrouverte alors il ne lui suffisait seulement que de pousser légèrement la porte en bois avec son coude pour y passer la tête et le regarder. « Tu boudes ? » Ce n’est surement pas en lui posant directement la question que ça va arranger les choses mais elle essaye de faire sa tête de petit chaton justement pour qu’il lui pardonne. Finalement, elle entra son corps en entier dans la chambre de son frère ainé pour lui montrer le cadeau de pardon. « J’aime pas quand on se fait la gueule alors j’viens finir le repas avec toi. Elle a l’air trop bonne ! » Dit-elle en lui passant une assiette et en venant le rejoindre pour s’asseoir sur son lit. Ne sachant pas quoi dire à son frère pour arranger quoi que ce soit, elle finit simplement par poser sa tête sur l’épaule protectrice de son grand frère. « Ils comptent bientôt commencer un jeu, faudrait qu’on y retourne bientôt pour faire notre loi et décider non ? » Elle peut être une vraie petite terreur quand elle s’y met alors autant en profiter pour qu’ils choisissent à quoi jouer tous les deux, l’union fait la force après tout. Et puis si ça peut les réconcilier tous les deux, ça ne peut pas faire de mal, deux en un.