l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Jeu 22 Jan - 23:43 | | | J'avais peur tellement peur. C'est idiot pourtant puisque c'était la personne qui m'avait mise au monde et pourtant je la craignais. Elle n'avait jamais été violente ni agressive mais elle n'avait surtout jamais été là. C'est bien ça qu'on lui reprochait et qui me bloquait. Je rencontrais pour la première fois (directement disons) la personne qui m'avait sans doute fait indirectement le plus de mal au monde mais que j'avais bien au fond de moi le plus désiré revoir. Elle allait donc manger chez nous, c'était bien enfin je crois. Pour le coup, je n'étais pas sur même si elle aimait les pâtes. Tout le monde aime les pâtes. Ce n'était sans doute pas un élément très convaincant dans la voix du pardon mais tout est bon à prendre, non ? Je me reculais tout de même d'elle, je n'avais plus de larmes et je ne voulais plus pleurer et en toute franchise, je ne voulais même pas de câlins, je lui avais fait instinctivement mais c'était trop tôt pour que je l'apprécie... Ou trop fort peut-être je ne sais pas exactement. J'observais papa pour savoir quoi faire ou quoi dire. Je ne comprenais pas vraiment, il l'invitait donc c'est sans doute que je devais être sage et gentil... J'acceptais en hochant la tête pour qu'elle vienne manger chez nous mais je ne prononçais pas le moindre mot. La loi du silence m'allait très bien. Elle parlait alors du repas en prononçant d'aller chez le traiteur si papa ne voulait pas cuisiner. Il faisait comme il voulait, moi pour ma part je ne bronchais pas, je ne réagissais même pas en m'efforçant de m'effacer. C'est bien pour la première fois que je souhaitais qu'on m'oublie. Je savais bien qu'elle était là pour moi et dans le fond, bien dissimulé ça me faisait plaisir mais j'avais encore ces barrières qui me protégeaient d'elle et qui souhaitaient qu'elle ne me parle pas. Nous commencions alors à marcher et je voyais en coin sa main se tendre vers moi mais je ne la prenais pas volontairement faisant mine de ne pas l'avoir vu avant d'attendre devant la route. Papa me prenait lui la main, "de force" ou plutôt sans me demander mon avis comme c'était la sécurité. Mais ça ne me gênait pas. Elle disait alors qu'elle nous suivait et moi je suivais papa, enfin je connaissais le chemin donc j'avançais tout seul mais c'était une façon de parler. Elle me demanda alors de lui montrer où j'habitais mais en réalité, c'était encore à quelques minutes donc je lui disais simplement oui de la tête en avançant. Les minutes passaient et je les trouvais longues comme je trouvais ce chemin interminable aujourd'hui, quand on y était presque, je levais simplement mon bras en pointant notre immeuble du doigt sans un mot de plus en attendant devant le dernier passage piéton. Je finirais peut-être par prononcé le moindre son avant la fin de la soirée qui sait.
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| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 16 Fév - 2:10 | | | Quelle situation étrange ! Entre un film qui se prend pour Charlie Chaplin et une névrosée qui devrait sûrement finir comme Molière… enfin théâtrale à chaque fois qu’elle va au Starbucks. Dans le fond, je ne savais pas si j’avais bien fais de venir avec elle. Reed ne semblait pas vraiment heureux. Son mutisme m’en disait tellement. J’étais resté un peu à l’écart tout en étant présent et toujours là quand mon fils avait besoin de moi. Je prenais alors la main de mon mime sans vraiment lui demander son avis car bon… sécurité obligée… Ce pantomime qui ne répondait que d’un signe de tête à Nikki et j’affichais un regard désolé pour la jeune femme. J’avançais donc en direction de l’appartement sagement et sans un homme. Une fois devant l’immeuble, je souriais en voyant Reed montrer le bâtiment. « C’est ici… », disais-je comme un interprète en allant sortir la clé de ma poche. J’approchais alors pour la mettre dans la serrure. J’ouvrais la porte qui menait à un long escalier qui nous faisait arriver au grand studio assez contemporain mine de rien. Je laissais alors les deux monstres monter avant de les suivre. Je fermais bien sûr la porte derrière moi car au centre ? C’est peut-être un peu dangereux de penser être aussi fort que Batman et… trêve de blabla. Je soupirais doucement une fois en haut des marches. Je me faisais vieux mine de rien et il y en avait trop. J’entrais alors dans la pièce principale qui contenait le salon, la cuisine et un espace pour mon synthé par exemple ainsi qu’une table de mixage puis un billard. Un studio d’homme en gros mais aussi de musicien. Sur le canapé, Sophie. La guitare de mon cœur depuis tellement longtemps. J’ai surement chantée mon amour à Nikki avec elle autant qu’à Cordélia. Je me dirigeais alors vers l’îlot de la cuisine tandis que j’allumais l’eau chaude. Je passais un peu mes mains dessous avant de prendre le produit vaisselle et une éponge. Je mouillais l’éponge et je mettais un peu de produit dessus. Je l’avais alors les deux verres et les bols de miels pops au petit déjeuner comme à mon habitude. « Reed, n’oublies pas d’aller te laver les mains ! », disais-je alors sans vraiment mettre de l’autorité dans mes mots car je savais qu’il n’en avait pas besoin. Je regardais alors Nikki en souriant. « Installes-toi ! », lui disais-je alors que je montrais le canapé, les tabourets de l’îlot ou même le sol comme elle a tendance à kiffer le mode mendiant. Je frottais donc rapidement la vaisselle avant de me tourner pour aller dans le frigo. Je sortais donc rapidement de la viande hachée fraiche et quelques oignions ainsi que des carottes. Je les déposais sur la planche de travail en regardant la jeune femme qui fut mon ex. « Tu veux peut-être une boisson ? », lui demandais-je aussitôt en baissant le regard vers la planche. J’attrapais l’oignon que j’épluchais avant de le découper. Je retenais les larmes qui pourraient couler pendant quelques secondes avant de lâchement abandonner. Je laissais mes yeux s’humidifier et je ne faisais rien comme un grand homme costaud. Je mettais les oignons coupés dans la marmite et un peu d’œil avant de laisser tout ça fondre. Je rajoutais aussitôt la viande. Je reculais alors doucement de la cuisine pour aller vers une étagère à quelques mètres. J’attrapais alors quelques albums photos que je ramenais vers elle. Je les déposais devant elle en souriant. « Cela t’intéresse sûrement ? Elles sont encore plus taciturnes que lui ! », disais-je alors en riant doucement. Je tournais aussitôt mon regard vers Reed. « Tu veux lui raconter pendant qu’elle regarde les photos ? », demandais-je avant tout à mon fils pour ouvrir la conversation entre eux. « Je te rassure qu’elle ne mange pas et même que si tu veux, tu peux lui servir à boire ? Elle ne te boit pas non plus ! Promis ! », disais-je sur un ton légèrement taquin. Je devais avouer jouer un peu la médiateur mais cela avait un côté amusant. Je revoyais ma mère qui me présentait Truc même si c’était totalement différent. |
| | | Sedna L. Azarov-Ieline et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE:
| mot doux de Sedna L. Azarov-Ieline ► un Jeu 12 Mar - 0:44 | | | Running scared. what i wouldn’t give away to be your shelter and keep you safe keep you safe. i’m running, i’m scared tonight i’m running, i’m scared of life i’m running, i’m scared of breathing. Je les suivais. Je le suivais, et mon coeur s'assemblait, et moi je jubilais, mais j'étais triste un peu, de ne pas savoir le prendre contre moi. Il fallait que je lui donne de l'amour, sans qu'il ne m'invite à le faire, et comme ça, j'allais peut-être réussir à gagner sa confiance. C'est ce qu'on fait généralement, quand on veut séduire quelqu'un. Je ne voulais pas vraiment le séduire, c'était un enfant, c'était même le mien. Mais ça pourrait passer pour de la séduction, en quelques sortes. Ou plutôt... Disons, que je voulais le conquérir. Je secouais doucement la tête quand il me montra sa maison. J'essayais de sourire, et j'espère que j'arrivais à le rendre vrai, ce sourire. Caleb nous devança, et ouvrit la porte. Je reconnus la guitare de Caleb, probablement le grand amour de sa vie. Je souris une nouvelle fois en l'entendant parler de se laver les mains. Un vrai p'tit père modèle, le Caleb. Et quel modèle ! Par contre, je fis la moue en le voyant me proposer le sol, pour y poser mes fesses. Il savait que j'aimais m'asseoir par terre, et que les seuls instants où je me sentais moi, c'était quand je pouvais m'installer sur une moquette ou un parquet. Je trouvais ça chouette, ça me donnait l'impression d'être jeune. Oh mais, je suis jeune ! Bref, je lui lançais un petit regard aguicheur, avant de prendre place sur le canapé. J'ai aussi une affection particulière pour les canapés. J'aime bien aussi les manger, enfin vous savez, les canapés, les petits fours. Humour, quand tu nous tiens. Ah, ce que je suis drôle... Je matais un petit coup Sophie, en pouffant discrètement. Je l'avais bien connue, celle-là, et de constater qu'elle trônait toujours sur le sofa, ça me faisait rire, et d'ailleurs, je riais. Mais je me repris en entendant sa question, la question à laquelle je réfléchis toujours cinq fois plus que pour toutes les autres, avant de répondre. « Non alcoolisée, s'il te plait ! » M'écriais-je en arquant mes sourcils gauche. Je ne tenais carrément plus en place quand je vis Caleb se ramener avec ses albums photos de l'ancien vieux temps jadis. Pléonasme, ou pas ? Je fis oui de la tête, un peu timidement, mais oui, ça m'intéressait. « Bien sûr. » Tout ce qui touchait à Reed, ça m'intéressait, forcément. Je jetais un oeil au petit à côté de nous. Il était intimidé par moi, j'étais intimidée par lui. C'était assez étrange, comme ressenti. J'avais l'impression qu'il me donnait de la force, et aussi de la faiblesse. Il était bien mon point faible, comme Caleb avait été le mien, pendant des mois, des années, et peut-être encore un peu maintenant, mais c'est un secret, faut pas l'dire. Je ne savais plus trop où j'en étais, et il fallait bien avouer que j'étais un peu godiche, surtout quand il s'agissait de parler d'amour, quel qu'il soit. Un léger sourire étira mes lèvres à la réflexion de Caleb. « Non ! Je ne suis pas comme ça. On pourrait... Apprendre à se connaître, toi et moi ?» Murmurais-je alors, en louchant sur les albums que je crevais d'envie de regarder. Bon, c'est quand que tu me les montres ?
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| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Dim 5 Avr - 18:03 | | | Nous étions presque arrivé à la maison, depuis combien de temps étions nous ensemble ? Tout les trois... Bien trop pour une première fois mais voulais-je qu'elle parte... Pas vraiment. L'un de mes plus grands rêves se réalisait et pourtant je restais bloqué dans un mutisme que je ne parvenais pas à contrôler. J'aurais aimé lui parler, lui dire quelque chose mais les mots ne venaient pas, je ne savais vraiment pas quoi dire. Même lorsque j'aurais pu tout simplement lui dire verbalement que nous habitions au bout de la rue, mais non rien. Je me contentais d'avancer simplement vers notre domicile à papa et moi avant de le laisser venir ouvrir la porte. D'ordinaire, je lui aurais sans doute demandé de le faire moi-même en le suppliant de mes yeux bleus tout mignon. Être conscient de ses charmes c'est une arme. Enfin bref,nous regagnions alors notre studio tous les trois assez silencieusement.
Rien n'avait changer depuis mon départ mais c'était normal puisque papa travaillait ce matin. Je remarquais que quelques uns de mes jouets trainaient par terre et que Sophie était restée sur le canapé. Ce n'est pas rare de ma retrouver ici et là car dès que papa joue de la musique, il la laisse trainer mais c'est pas grave, les maisons de barbie trop bien rangées c'est pour les filles par pour des mecs. En tout cas, papa se mettait à faire la vaisselle du petit déjeuner. Moi j'aime pas la vaisselle en plus, mais papa dit qu'il faut bien le faire, peut-être mais c'est pas drôle... Puis papa me demanda de me laver les mains ce que je faisais silencieusement en m'approchant de l'évier avant de tirer un tabouret pour grimper dessus. Une fois à la bonne hauteur, j'ouvrais l'eau avant de frotter mes mains dessous et d'ajouter du savon puis de les rincer à nouveau. Et voilà, c'est fait même si je n'en vois pas l'intérêt, je n'étais pas du genre à toucher la salade avec mes mains sales juste après avoir joué avec des escargots. Et en plus il demandait même pas à maman de le faire, au contraire il lui proposait de s'installer et à boire tandis que je restais près de l'îlot en observant Nikki de mes yeux bleus anormalement intimidés.
Elle demandait alors quelque chose de non alcoolisé, elle avait bien raison car l'alcool c'est vraiment pas bon et le goût comme l'odeur sont horribles. Je me demande encore comment font tout ces adultes qui en boient si souvent. Papa quant à lui épluchait un oignon, moi j'aime pas les oignons mais les grands disent que ça ne sent pas dans le plat ... Mais... Mais.. Pourquoi en mettre alors ? Toujours est-il que je n'avais pas besoin de regarder mon papounet pour savoir qu'il devait pleurer en épluchant son oignon. Non pas besoin, je le connaissais comme si je l'avais fait mais.. C'est l'inverse et ouais. Finalement je voyais papa se diriger vers l'une des étagères pour en attraper quelques album photo et les apporter à Nikki pour qu'elle puisse les regarder. J'étais partagé, je n'osais pas aller vers elle mais je voulais les regarder, j'adore ça les photos, ça laisse d'incroyable souvenirs que je ne veux jamais oublier. Il y'a même quelques photos d'elle dans nos plus anciens albums. Des photos que je regardais parfois en me demandant où elle pouvait être. Et maintenant elle était ici, je réalisais soudainement que mon souhait le plus cher était réalisé .
Papa me demandait alors si je voulais bien lui montrer car elle ne me mangeait pas et je souriais timidement. Bon Reed soit un homme crotte de biquette et crotte de mouette ! Et finalement chose étonnante, je daignais lui répondre alors qu'elle me demandait si je voulais bien faire connaissance, c'est totalement inaudible mais il ne fallait pas être un as pour lire "oui" sur mes lèvres. J'allais même jusqu'au frigo sortir une bouteille de jus et un verre avant de lui servir à boire en tentant de ne rien renverser car monsieur catastrophe c'est moi. Je lui donnais alors avant de m'installer sur le canapé tout en gardant une certaine distance quand même. C'est alors que nous observions les photo, si ai début je restais très réservé, avec le temps et au fil des photos que je lui présentais, je lui parlais de nos souvenirs, de ces événements, de nos familles et de tout ce qui apparaissait dans cet album. Une complicité viendrait elle à naître avec le temps ? |
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