Mirana A. Morrigan et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administratrice d'amour
| mot doux de Mirana A. Morrigan ► un Dim 26 Juin - 16:55 | | | Après avoir terminée mon dernier rendez vous de la journée, je m’apprête à partir pour rejoindre l’appartement de mon cousin. Celui-ci m’héberge le temps que je retrouve un appartement convenable pour mon fils et moi. Mon ex petit ami est vraiment décidé de partir avec notre fils à l’autre bout de la Californie et je ne veux pas le voir partir. Donc, il faut vraiment que je trouve quelques choses très rapidement mais, je ne remercierais jamais assez Bennett de m’hébergé chez lui pour le moment. Donc une fois terminée, je me rends directement à l’école de Calvin pour le récupérer. Nous avons quelques courses à faire et en plus, je dois passer rapidement dans un magasin de vêtement pour acheter de nouveaux vêtements pour mon fils. Nous profitons un peu du beau temps et de la température qui est plutôt très agréable pour la fin juin. Une fois terminé, nous rentrons directement à mon chez moi temporaire. Je laisse mon fils partir jouer dans la salle, ce soir je vais sans aucun doute dormir sur le canapé et laisser le lit à mon petit homme. Tandis que Calvin s’amuse avec ses jouets dans la chambre, je me rends dans la cuisine pour préparer le repas de ce soir. Normalement Bennett ne devrait pas tarder à rentré lui aussi. J’aime bien cuisiner en générale cela me rappel mon père… Nos moments passé ensemble à préparer les repas de fêtes. J’ai donc préparé un bon plat de lasagne. Et une fois le plat au four, je prépare la table pour que tout soit prêt. A ce moment j’entends la porte s’ouvrir et peu de temps après, j’aperçois Bennett arrivé dans le cadre de la porte. « Te voilà ! J’espère que tu m’en voudras pas mais, je me suis fais un petit plaisir à préparer le repas de ce soir. » Dis je avec un petit sourire en coin de lèvre en posant les derniers couverts. Et tout d’un coup j’entendis : « Tonton, tonton !!!! » Je me tourne pour voir mon fils arrivé en courant au près de son oncle. Calvin apprécie beaucoup Bennett. En même temps Bennett à souvent gardé mon fils, ils s’adorent tout les deux. Je m’approche des deux hommes de la maison : « J’espère que vous avez faim ! » |
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Bennett K. Morrigan et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i am not special i'm just a limited edition
| mot doux de Bennett K. Morrigan ► un Ven 1 Juil - 3:06 | | | Mirana & BennettRepas en famille
À nouveau, je venais de passer une bonne partie de la journée en rééducation. Le fait que cela fasse plus de deux mois que je m’adonnais à une telle activité - terme qui, dans le cas présent, devait être considéré dans la plus grande ironie qui soit - ne rendait pas la chose moins pénible, mais j’étais suffisamment habitué pour ne pas râler avant de m’y rendre. Et puis, disons qu’en ce moment, l’envie de râler était un peu moins présente que précédemment, essentiellement puisque ma cousine et son fils restaient chez moi le temps de se trouver un logement convenable. Au début, ce fut avec hésitation que je lui avais fait une telle proposition, puisque j’étais conscient que cela signifiait qu’ils allaient me voir sans ma prothèse, fatigué de mes journées, dans mon état le plus lamentable même, mais finalement, j’en étais venu à la conclusion que de ne pas le faire aurait été égoïste de ma part. Ma demeure était assez grande pour les accueillir sans que nous nous marchions sur les pieds et puis, Mirana était comme ma petite soeur, et jamais elle n’avait été méchante à mon égard en ce qui concernait mon handicap. Au bout du compte, je ne regrettais pas ma décision, même si évidemment, cela ne viendrait pas tout régler, il me semblait que c’était moins difficile de vivre avec depuis qu’ils s’étaient installés chez moi. Par conséquent, plutôt que d’avoir dans la tête que j’allais manger un reste de pizza commandé la veille, m’étaler dans le canapé et ne rien faire d’autre que me morfondre, c’était un peu plus rassuré et enthousiaste que je passai la porte de la demeure. Plutôt que d’entrer dans une maison un peu froide, nullement décorée - parce que je ne passais pas de temps en ces lieux avant mon accident, ou très peu quand j’étais en permission - j’entrai dans une maison plus vivante, qui sentait même divinement bon. Avant même que Mirana me fasse savoir qu’elle avait cuisiné, je l’avais deviné, mais je ne le soulevai pas, préférant de loin lui répondre: « Comment pourrais-je t’en vouloir ? Je n’aurais pas eu le courage de cuisiner de toute façon, du coup tu me sauves la vie. » Ne sachant pas dans combien de temps nous allions devoir nous mettre à table, j’eus dans l’idée de me poser quand même un peu, histoire de me détendre, parce que malgré de ravissement comme quoi je ne ferais pas à manger, j’étais quand même épuisé de tous ces efforts que j’avais du faire qui, au final, s’avéraient toujours particulièrement douloureux à la fin de la journée. Cependant, avant que j’atteigne le canapé le plus près, Calvin, mon filleul, débarquer, m’arrachant un large sourire ainsi qu’un: « Salut, bonhomme ! » en lui ébouriffant les cheveux. Bien sûr que je voudrais le prendre dans mes bras, l’embêter pendant qu’il n’était pas assez lourd pour que ce soit impossible, mais je ne me sentais pas assez stable pour faire une chose pareille et ça, il le savait et le comprenait. Définitivement, sa présence était un rayon de soleil dont j’avais grandement besoin ces temps-ci, et c’était limite si même si j’étais celui qui rendait service à ma cousine, je devais être celui qui se montrait reconnaissant. Suite à cela, je reportai mon attention sur Mirana, lui répondant, déjà un peu plus heureux: « Et comment ! Ça sent super bon en plus ! », me rattrapant sitôt sur le fait que je n’avais pas su lui faire le commentaire précédemment. Sur ces mots, je marchai avec difficulté en direction de la cuisine - parce que finalement, je n’étais pas décidé à retirer ma prothèse tout de suite - attrapant dans le frigo une bouteille de boisson gazeuse avant de demander à Mirana, dans un contexte un peu plus intime pour que Calvin ne suive pas toute notre discussion qui on voulait que celle-ci soit plus discrète: « Et toi, comment tu vas ? » |
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