lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal
l'avatar des scénarios ou membres des familles
sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ?
Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens
et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

Partagez
 

lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal


→ YOUR FAMILY TREE :: la naissance et les actes et vous avez une famille :: Il faut marcher pour grandir :: En la mémoire du passé
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
avatar
Invité
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !

Invité
lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Invité ► un Sam 21 Mar - 0:30
lenaelle & lullaby

par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal
Une journée comme une autre avec un bébé pas vraiment comme un autre qui se débattait dans mon ventre. Jouait-il au bowling ? Je n’en savais rien mais mes boyaux étaient des quilles sans nuls doutes. Mon estomac était sûrement la piste. Il devait sans nul doute se prendre pour la boule qui lamine tout sur son passage. Je me sentais assez fatiguée par ces sensations qui m’épuisaient. Je sentais cette fatigue assez forte. J’avais prises mes vitamines pourtant mais c’était vrai, j’avais besoin de repos. Je bossais trop pour éviter Aiden en ce moment. J’évitais réellement de céder à son regard de chien battu qui le rendait tellement désirable. J’avais donc écourtée ma journée car tant bien j’avais besoin de me détendre mais Lenaelle aussi et pas seulement en tant que nounou mais aussi en tant qu’amie. Je la sentais bien trop stressée en ce moment. C’est pourquoi je m’étais attardée à faire un brownie à l’herbe tranquillement quand il n’y avait pas trop de monde dans le café. Un moment de détente pour évacuer la frustration et seulement ça. La popote faite, j’étais rentrée une fois le brownie sorti du four. J’étais bien sûr sortie car je pense que les émanations ne sont pas pour moi. J’étais allée me balader et me reposer un peu en laissant mes clients sous cette douce odeur. On ne sentait presque rien au milieu des autres parfums de toute façon. Une fois que j’avais terminée, je laissais les clés au plus confiant des employés et je partais en route de la maison. La nouvelle maison. Cela me faisait encore bizarre. Bien sûr, je savais qu’il faudrait cacher le gâteau des enfants mais j’étais confiante. Totalement confiante enfin presque. Je rentrais alors à la maison. Je poussais la porte avec ma main et le gâteau dans l’autre. Mon sac à main à l’épaule, je le lâchais à l’entrée comme s’il pesait une tonne. Je balançais mes ballerines d’un battement des jambes et piouf. Je commençais à avoir du mal avec mes pieds pourtant je n’étais pas trop loin dans ma grossesse donc cela ne devrait pas être le cas mais bon. J’inspirais doucement en penchant la tête et je regardais alors Nora qui dormait dans son transat dans le salon. La pauvre. Sa Journée a sûrement dû être un peu trop éprouvante. Je m’approchais alors en posant le gâteau sur la table du salon. J’ignorais ou était Lenaelle mais je ne regardais pas de suite. J’avais besoin de faire caca. Oui, caca. Je vous le dis tout simplement. Je voulais faire caca et si vous n’êtes pas content, je fais pipi sur vous. Oui comme les mômes. Je m’approchais alors des toilettes et je rôtais. Un petit rôt, c’est bon pour la santé. Toute la classe d’une femme enceinte. En fait, on en perd beaucoup au second trimestre et encore plus au dernier. Le dernier, j’étais tellement pressée d’y arriver et pour beaucoup de raisons. Je n’en pouvais plus. Je m’approchais de la porte et c’est là qu’elle s’ouvrait face à moi. Je me prenais presque celle-ci sur le front. « Aieuh… », disais-je en regardant alors Lenaelle et la douceur odeur de son passage au toilette. « T’as mangée le chien du voisin ? », demandais-je en souriant doucement avec tellement de délicatesse alors que je riais doucement. « Je t’ai apportée du brownies… je reviens, c’est mon tour ! », disais-je en lui montrant le couloir pour lui dire : vas gouter, coures dessus ! Je la taquinais bien sûr, je ne la prenais pas pour un toutou mais ça m’amusait assez. La taquinerie, c’est cool. « Dévores-le, j’arrive ! », lui disais-je avant d’aller à mon tour au petit coin pour la grosse commission et je poussais assez fort car il ne voulait pas sortir au début. C’est comme un accouchement sauf que le bébé… enfin non parfois à l’accouchement y a une odeur nauséabonde aussi en fait. Je riais doucement et pourquoi ? Je n’en savais rien mais c’était un défaut de la grossesse. Parfois on ne sait pas pourquoi mais nos hormones nous chatouillent et on rigole. Et ouais, c’est difficile à vivre de rire. Si vous saviez. Je sortais alors rapidement des toilettes après un petit moment d’hygiène. Un peu de déodorant à la banane. Ça sent bon. Je sortais aussitôt des toilettes pour la rejoindre.
Revenir en haut Aller en bas
Lenaëlle G. Martins
Lenaëlle G. Martins
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
http://www.your-family-tree.net/t9963-martins-lenaelle-everybody-deserves-a-second-chance http://www.your-family-tree.net/t9280-martins-lenaelle-where-s-this-life-that-we-have-lost-in-living
.
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden
❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥
❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui).
Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien.
Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016.
Animaux : Un chien & un chat
Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons.
❝ Age : 33
❝ pseudo : Mayiie
❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr
❝ avatar : Julianne Hough
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Roses
❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥
❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth (feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé.
Jezabel M. Sanchez (feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout.
Bennett K. Morrigan feat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie.
Breanna J. Hardy feat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne.
❝ Points : 4098
❝ Messages : 3035
❝ depuis : 11/04/2014
❝ mes sujets : AllieCaitlynCordéliaGraceJadeJayJensenJensenLayali-JoyLullabyRafaelSummerToi ?

Un petit plus
MY LIFE TREE:
There's no safer place for youthan here with me

There's no safer place for you
than here with me

lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Lenaëlle G. Martins un Jeu 26 Mar - 13:16
Lullaby & Lenaëlle
Parce que droguer la nounou, c'est tout à fait normal



Nora avait ENFIN fini par s’endormir, à mon plus grand soulagement. Cela faisait maintenant une heure que j’attendais ce moment, ce moment où la petite fermerait les yeux pour sa petite sieste de l’après-midi, me laissant l’occasion de vaquer à des occupations autres pour une heure, peut-être deux, tout dépendant d’à quel point elle était fatiguée. Pour être franche, j’ai cru pendant un bon moment que je ne pourrais pas avoir ne serait-ce qu’une minute. J’ignorais si c’était l’heure d’été ou l’alignement des planètes, mais Nora, habituellement plutôt réceptive quand venait le temps d’aller dormir, refusait de quelconque façon de s’endormir. Au bout du compte, ce fut seulement au bout de ma troisième tentative, une couche culotte propre et une histoire sur le Lièvre de Mars plus tard que je la vis fermer les yeux et les garder ainsi, signe qu’elle avait fini par s’endormir dans le transat où je l’avais installée, au salon, puisque c’était la crise si jamais je voulais la mettre dans son lit. Bien décidée à ce qu’elle ne se réveille pas, je marchai sur la pointe des pieds pour me distancer du fameux siège, et là, j’accélérai le pas pour me rendre là où je voulais aller depuis maintenant un bon moment – mais sans pouvoir m’y rendre, puisque Mademoiselle ne voulait pas dormir – à savoir aux toilettes, pour un but bien précis; y déverser un programme double mettant en vedette ce que j’avais mangé au déjeuner. En d’autres mots un peu plus grossiers, j’avais cette envie affreuse de faire caca qui ne voulait pas me passer, et c’était le moment ou jamais de mettre ce plan à exécution. Attrapant mon téléphone portable, je me rendis aux toilettes, fermai la porte pour épargner à Nora les odeurs nauséabondes qui pourraient se dégager de ma performance, et sitôt posée sur le siège, je m’exécutai avec soulagement. Consciente que cela ne prendrait pas seulement deux minutes – même si j’étais devenue quasi légitime à un prix Nobel de rapidité à sortir en cas de besoin – j’allumai mon portable, et j’ouvris la meilleure application pour m’occuper pendant ce temps : 2048. Vous savez, ce jeu où il faut additionner de petits carrés de sorte à obtenir le chiffre le plus élevé possible ? Ce n’est pas nouveau, mais personnellement, je l’avais découvert il y a peu de temps, et inutile de le mentionner; j’étais carrément accro. Non pas que j’avais cette obsession à atteindre le nombre fatidique, mais parce que je sentais que ça me détendait, encore plus que la lecture de l’astrologie. Et en ce moment, des moyens de détente, j’en avais besoin. Entre le déménagement, Nora qui demandait de plus en plus d’attention, l’arrivée prochaine d’un nouveau petit dans la maison et les débuts de ma relation avec Jensen, j’avais cette impression d’être constamment sur les nerfs, même si je ne m’en faisais pas pour autant, me disant que je n’allais quand même pas faire une crise cardiaque pour autant. Quoiqu’il en soit, je me sentis bien rapidement plus détendue – et aussi plus vide, cela allait de soi – si bien que je profitai de ce moment de solitude pour finir ma partie jusqu’à perdre pour une énième fois, inconsciente de quelqu’un était entré dans la demeure pendant ce temps. Je le réalisai seulement lorsque j’eus tiré la chasse, me fus lavé les mains, et que je voulus sortir, mais que la porte percuta quelque chose, ou plutôt quelqu’un, en l’occurrence Lullaby, qui ne tarda pas à exprimer les conséquences de l’impact de la porte sur elle par une onomatopée bien choisi. Sursautant sur le coup, je me rattrapai en disant – dans un chuchotement, parce qu’il était hors de question que Nora se réveille - « Oh non ! Je suis désolée ! » À ce moment, je voulus demander à mon amie ce qu’elle fabriquait ici, en plein cœur de la journée, mais avant qu’elle ne dise quoi que ce soit, elle me fit remarquer que j’avais zappé de faire usage de l’aérosol à l’odeur de banane pour chasser les mauvaises odeurs. Un tantinet gênée, je dis nerveusement : « Non, c’est juste que ça pressait vachement, donc ce fut la Corée là-dedans ! », me sentant particulièrement ridicule de fournir tant de détails. Puis, je me décalai de la porte, laissant l’occasion à Lullaby de passer et aller dans la salle de bains, ne me laissant toutefois pas sans rien à faire, ayant mentionné qu’elle avait apporté des brownies. Pourquoi ? Et pour moi ? Cela me parut légèrement étrange dans un premier temps, surtout que pour tout dire, je n’avais pas nécessairement faim, surtout pas après le champ de bataille que j’avais laissé aux toilettes. En revanche, pour ne pas décevoir mon amie, je me dis que je pouvais bien en prendre un petit morceau, histoire de lui dire qu’il était bon et montrer que j’étais de bonne foi. Ce à quoi je ne m’attendis pas, ce fut au fait que sitôt ma première bouchée engloutie, je me rendis compte que ce brownie avait quelque chose de… Particulier, spécial, addictif. Comme une enfant qui mange son premier gâteau d’anniversaire, je le mangeai comme si je n’avais pas de fond, si bien que j’en avais pris probablement trois, ou quatre morceaux au moment où Lullaby revint. C’est là que je la regardai, les yeux écarquillés, et probablement du chocolat tout autour de la bouche, à croire qu’il aurait fallu que je mette un bavoir : « Bon sang ! Lullaby, où tu as pris ces brownies !? Ils sont magiques ! » Puis, dans mon enthousiasme, je lui tendis le plat, et j’ajoutai: « Il faut que tu en manges ! Tu veux que je t’apporte du lait pour aller avec ? Enfin, moi je n’en ai pas besoin, ils sont parfaits comme ça ! », n’attendant même pas sa réponse avant de me diriger vers le frigo, sortir le lait, prendre deux verres, et en remplir un premier pour moi, me retenant de ne pas le boire en entier d’une seule gorgée en attendant la réponse de mon amie.


Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !

Invité
lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Invité ► un Lun 13 Avr - 13:18
lenaelle & lullaby
par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal
Un petit passage par les toilettes, c’est bon pour le moral ! Je devais avouer me demander ce qu’elle avait mangé pour que l’odeur soit si… oula. Elle avait sûrement un peu trop abusée de certaines choses car c’était loin d’être perfide comme odeur. Je me disais que je pourrais l’embêter une fois sortie des toilettes mais je devais avouer me demander comment ça allait se passer pour elle une fois qu’elle aurait engloutie le gâteau. Je me hâtais aussitôt à sortir des toilettes. Je retournais vers le salon en regardant alors Nora qui dormait et surtout… je regardais le pauvre gâteau qu’elle avait englouti d’une façon tellement rapide… ou j’avais peur de la suite. Je crois que j’allais bien rire. Une main posée sur mon ventre. Je la voyais écarquiller les yeux et presque en train d’avoir un orgasme en me demandant ou je l’avais pris. Je souriais doucement alors que je secouais la tête quand elle me tendait le plat. Je passais mon chemin et j’allais m’affaler sur le canapé sans la quitter des yeux. Aujourd’hui, c’était moi la nounou sauf que je ne gardais pas réellement un enfant mais une adulte qui je pense abusait de la gourmandise. Je la regardais en toute innocence et je ne culpabilisais pas un instant de la mettre dans une situation pareille. Dans le fond ? Cela ne fait jamais de mal et c’est mieux que l’alcool. Bien plus risible au final. Les effets de ce gâteau sont bien moins pitoyable dans le fond. Je n’étais pas une pochtronne et encore moins une droguée car c’était la salle chose que j’acceptais de prendre même si c’était étrange. Si tu manges du space cake ? Pourquoi ne pas fumer un joint ? Ne cherchez pas ma logique car il n’y en avait pas réellement. C’est comme les phobiques de l’alcool qui boivent du cidre sans soucis. Il fallait avouer que Rhiannon m’avait habituée pour me décoincer à manger ça. Je ne le savais pas au départ et je n’avais pas besoin de me décoincer non plus sauf quand je pensais trop. Je pense trop souvent trop. « Je l’ai préparé en fait… », disais-je alors qu’elle allait vers la cuisine. « Je t’en prie… gardes tout pour toi ! Mais je veux bien du lait. », disais-je alors en lui souriant tandis qu’elle prenait des verres dans la cuisine et qu’elle se servait du lait pour le boire tellement rapidement que j’arquais un sourcil en la regardant. Ah bah… Elle faisait sûrement des réserves pour l’hiver. « Bah dis donc… », disais-je en me demandant tout de même si je n’avais pas faite une erreur. Je la contemplais du coin de l’œil tandis que je me laissais légèrement glisser le long du canapé. Mes cuisses frôlant le tissu doux de celui-ci. Je me rendais avec fainéantise vers Nora et surtout le maxy-cosi. Je tendais la main vers ce bébé si beau quand il dormait. Je le regardais, émerveillée. Elle était belle ma fille. J’écarquillais doucement les yeux quand elle faisait des gonflements du ventre. Oui, c’est ce qu’on appelle avant tout la respiration mais c’était tellement reposant mine de rien. Elle n’était pas comme son petit frée qui me tuait le ventre avec ses coups… Je réchauffais doucement mes mains en les frottant l’une à l’autre pour éviter de la réveiller avec la froideur de ma peau. J’allais alors caresser sa joue avec tendresse. Je relevais mon regard vers Lenaelle pour surveiller qu’elle ne fasse pas de bêtises car il manquerait plus que ça. Je devais faire attention à la nounou sinon mon mari risquerait de m’engueuler. Au diable, Aiden. Il était parti à l’armé donc m’engueuler de quoi ? Je fronçais les sourcils en la regardant… J’avais peur de louper un truc bizarre que je ne voulais pas louper. « Ça c’est bien passé ? », lui demandais-je comme tous les jours pour voir si ma fille ne lui avait pas faite vivre un enfer. C’était surtout par curiosité et non pas pour un manque de confiance. Je riais doucement en penchant la tête. « Ça va ? », demandais-je alors à côté de l’idée de cette journée mais juste pour savoir comment ça se passait dans sa tête à la seconde même. Je me demandais si elle était comme Cordélia et qu’elle voyait des petits lutins autour de sa tête qui lui disait quoi dire, quoi faire. Non, nous sommes tous différents mais bon… je me demandais réellement ce qu’il se passait dans celle de Lenaelle. Il y avait peut-être des moustiques avec une queue de cochons ou des chatons avec des oreilles de lapins ?
Revenir en haut Aller en bas
Lenaëlle G. Martins
Lenaëlle G. Martins
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
http://www.your-family-tree.net/t9963-martins-lenaelle-everybody-deserves-a-second-chance http://www.your-family-tree.net/t9280-martins-lenaelle-where-s-this-life-that-we-have-lost-in-living
.
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden
❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥
❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui).
Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien.
Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016.
Animaux : Un chien & un chat
Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons.
❝ Age : 33
❝ pseudo : Mayiie
❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr
❝ avatar : Julianne Hough
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Roses
❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥
❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth (feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé.
Jezabel M. Sanchez (feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout.
Bennett K. Morrigan feat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie.
Breanna J. Hardy feat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne.
❝ Points : 4098
❝ Messages : 3035
❝ depuis : 11/04/2014
❝ mes sujets : AllieCaitlynCordéliaGraceJadeJayJensenJensenLayali-JoyLullabyRafaelSummerToi ?

Un petit plus
MY LIFE TREE:
There's no safer place for youthan here with me

There's no safer place for you
than here with me

lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Lenaëlle G. Martins un Jeu 16 Avr - 20:40
Lullaby & Lenaëlle
Parce que droguer la nounou, c'est tout à fait normal



Lullaby avait fait ces brownies elle-même. Elle venait de me le confirmer. Et moi, pour toute réaction, j’écarquillai les yeux, aussi impressionnée que si elle avait fait un tour de magie devant moi. Oubliant momentanément toutes ces histoires de toilettes et de l’odeur que j’avais laissée précédemment, comme si une boule puante avait explosé dans la pièce, je ne pus m’empêcher de m’exclament, toujours avec le regard limite sorti de mes orbites : « Wahou ! Il va falloir que tu me donnes la recette ! Sérieux, ils sont trop succulents ! Plus j’en mange, plus j’ai envie d’en manger, c’est trop dingue ! » Et ça, c’était à un tel point que je fus presque soulagée au moment où Lullaby passa son tour à l’idée d’en manger également. Bien sûr, je n’aurais pas fait une crise – ou du moins, j’aurais tout fait pour – mais l’idée d’avoir toute la gourmandise pour moi était beaucoup plus intéressante. Cependant, puisque je ne voulais certainement pas manger en totalité cette douceur qui était, en mon sens, une preuve comme quoi Lullaby était une cuisinière encore plus douée que j’avais pu l’imaginer, histoire d’en profiter plus tard lorsque j’aurais une petite fringale, je crus bon de décider « Un verre de lait, ça marche ! Par contre, je vais mettre le reste au frigo, et je l’apporterai chez moi ! Bien sûr, je te rapporterai le plat, mais c’est plus raisonnable comme ça ! Faut être sage, tu sais ? » Sur ces mots, je servis le verre de lait de mon amie, lui donnant en lâchant un joli : « Et voilà ! Madame est servie ! » tandis que je m’en prenais un autre, verre que je m’empressai de boire à grandes gorgées, une nouvelle fois. Pendant ce temps, je fis ce que j’avais dit que je ferais, à savoir de ranger le brownie pour le reprendre plus tard, ne manquant d’abord pas de confondre le frigo et le placard, et ne manquant surtout pas d’en prendre un dernier morceau et me l’enfourner dans la bouche tandis que de son côté, Lullaby se dirigeait au salon. N’étant pas embêtée par ce fait, je la regardai faire en ne passant quelconque commentaire, me disant qu’elle pouvait bien faire ce qu’elle voulait; elle était chez elle, après tout. De mon côté, il me fallut par contre trouver de quoi m’occuper, et sitôt, ce fut une fraise et une orange qui devinrent le centre de mon attention. Les prenant entre mes mains, je trouvai cela momentanément comique de tenter de jongler avec celles-ci, même si je n’avais aucun talent pour cela, compte tenu que les deux fruits retombèrent sur le comptoir dès que Lullaby me demanda comment ça s’était passé. Enthousiaste, je lui répondis, sans attendre : « C’était génial ! Une vraie partie de plaisir, comme d’habitude ! Sérieux, ta fille est vraiment super ! », montrant que j’avais clairement oublié l’épisode catastrophique pour la mettre au lit. Puis, je repris une nouvelle gorgée de lait, avec laquelle je m’étouffai, puisque je ne m’attendais pas à ce que la jeune femme reprenne la parole aussi rapidement, ne m’attendant pas à devoir répondre à une autre question rapidement. Pourquoi ? Voulait-elle me faire un interrogatoire ? Enfin, ce n’était pas compliqué comme question, mais bon. Répondant alors : « Moi ? Ça n’a jamais été aussi bien ! », je déposai mon verre, puis j’ajoutai : « Hey mais tu vas pas rester plantée là toute seule ! Attends-moi ! Je viens te sauver de la solitude ! » qui arrivait clairement de nulle part. Quelques minutes avant, je m’en moquais qu’elle soit au salon et moi à la cuisine, et maintenant, ça devenait d’une importance capitale, limite une urgence, urgente tellement urgente que marcher normalement n’était pas une option dans ma tête. Choisissant de jouer les acrobates, je tentai de contourner le comptoir en passant par-dessus tout en lançant un « Superman ! Le roi des bananes ! » en me croyant la plus forte, invincible, capable de tout faire. Toutefois, tout ce que je sus faire, ce fut de ne pas retomber adéquatement de l’autre côté du comptoir et tomber, cul premier, dans la poubelle. Pour gâcher une véritable partie de plaisir et me rendre particulièrement pitoyable, c’était totalement réussi, pour le coup, coup que je ne tardai pas à marquer avec une vraie moue boudeuse, ainsi qu’un : « Aïe… Dis… Tu n’aurais pas envie de venir m’aider ? Je crois que le reste du repas d’hier soir est en train de me coller au derrière… »
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !

Invité
lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Invité ► un Lun 27 Avr - 19:56
lenaelle & lullaby
par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal
C’est trop dingue, voilà oui. Je rigolais doucement en l’entendant. Je ne l’avais dans le fond pas manipulée, elle ne savait juste pas ce que contenais ce gâteau ! Je voulais simplement de mon côté la détendre. Je n’étais pas un homme, je ne pouvais pas chatouiller sa libido et la sauver de ce stress qu’elle accumulait. Je n’étais qu’une personne, une amie, une patronne aussi même si ce mot est tellement compliqué. Autant dire que je n’étais qu’une plume plutôt qu’une patronne. Septique alors qu’elle me disait qu’elle rapporterait le plat, je souriais simplement. Une petite voix en moi me disait qu’elle allait tout avaler tel un junky en furie. Je ne voulais pas vraiment la penser junky car elle n’en avait rien mais je m’amusais à la contempler avant de descendre mon attention vers le joli bébé qui était le mien. Je lui souriais tandis qu’elle me servit un verre et je penchais doucement la tête. « Merci ! », disais-je en lui demandant aussitôt si ma fille avait été sage. Quelle question ? C’est ma fille, elle est toujours sage mais par ce qu’elle tient ça de moi avant tout et pas de son papa. Soyons sérieux, son papa n’est jamais sage. Voyons. Je souriais à cette idée alors que ma main posée contre son ventre se logeait sur le tissu tout doux de son haut. Je lui demandais tout naturellement comment elle allait. Cette question n’était pas une simple farce mais ça m’étonnait qu’elle aille mal enfin ça dépend. La drogue peut avoir tellement d’effets comme la panique, l’angoisse et toutes ses choses pas vraiment agréable. Je faisais partie des personnes qui paniquaient parfois. Tout dépendait de ma vie… ou de mes pensées actuelles. Je souriais alors qu’elle confirmait aller bien. Je me disais que c’était cool de chasser ses idées noirs. Si embuer ma cuisine au café d’herbe était le sacrifice, ou est le mal ? Le plaisir de la voir ainsi valait tout pour ne pas la voir avec un coup de blues. Je me redressais quand elle sautait sur le plan de travail et je me posais confortablement dans le dossier du canapé en voyant qu’elle ne s’était pas blessée. Manquerait plus qu’elle ne finisse comme un œuf mimosa aussi molle et éphémère qu’un légume. Au lieu de ça, elle finissait dans la poubelle. Pourquoi pas ? Au moins, elle prenait la direction finale même si elle ne finit techniquement pas dans une plante mais bon. On sait tous que les ordures font un bon composte après tout. Non pas que Lenaelle soit une ordure. Voyons. Je ne dirais jamais ça. Sous ces pensées, je secouais doucement la tête en riant. « Il n’a pas de bananes dans son slip serrant… c’est le roi du rembourrage ! », disais-je d’un ton las en souriant à la jeune femme qui me demandait de l’aide. Je penchais doucement la tête en secouant. « Fallait mieux t’essuyer en sortant des toilettes mais je ne fais pas dans le troisième âge… », disais-je en imaginant mes parents quand ils seront trop vieux pour ça. Non, erk… never. Non, je ne voulais jamais essuyer le popotin de papa ou maman et maman garce. Cherchez laquelle est la garce. Je me levais alors en posant la main sur mon ventre et un dernier regard vers Nora qui semblait tellement endormie qu’elle en pétait de bonheur. C’était une odeur peu agréable. Je grimaçais doucement en secouant la tête. « On dit que les filles qui font souvent pipi deviennent des pisseusses mais j’espère qu’elle ne va pas se le péter autant qu’elle péte… », disais-je en riant nerveusement alors que j’allais vers la cuisine. Je me penchais alors sur elle enfin sur sa joue et je me mettais à lécher celle-ci en souriant. « Il n’est pas collé qu’au derrière… je t’ai aidé comme les félins ! », soufflais-je en arquant un sourcil. Je venais de faire ça ? Non. Je ne venais pas de la lécher ? Je riais nerveusement en secouant la tête. « Ton fond de teint est très bon ! », disais-je alors que je reculais. Je lui tendais une main et je souriais. « Allez… sors ton cul de la poubelle ! », disais-je alors que je reculais avant d’aller vers le frigo. J’attrapais une banane, un ravier de fraise, un melon et un kiwi alors que je relevais le regard vers elle. « Tu devrais reprendre du gâteau, ta ligne est parfaite et c’est complétement raisonnable ! », disais-je alors que je lui souriais. « Il est light… », la menteuse. Bon au moins avec ses pirouettes et ses jetés dans la poubelle, elle éliminait des calories donc c’était un peu vrai ? Aussi rusée qu’un renard. « Laisses le gâteau usé de sa magie et te faire une silhouette d’enfer… une fois en chaleur, tu les mettras tous au garde à vous ! », disais-je en me demandant si je n’étais pas un peu pitoyable à tellement insister mais je n’étais pas non plus en train de trahir mon amie ? Non. Après tout, je ne lui fais pas manger une crème de nuit sans lui dire. Mon plan était plus cool. Plus malin et… comique mais c’était surtout assez affectueux. Organisée, je m’occupais tout de même de mes fruits. J’épluchais le kiwi et je le coupais en dés avant de répéter l’opération avec les autres légumes. Opération ? Non, ce n’était pas de la chirurgie et je n’étais pas en sueur à l’idée qu’une vie était entre mes mains… enfin elle est plus entre mes boyaux qu’entre mes mains mais non. Je parle du fruit. Laissant échapper un bâillement ce qui était mieux que la boule puante de ma fille mais bon. Je lui souriais. « Tu ne veux pas te reconvertir dans l’art du samouraï ? », lui demandais-je par curiosité mais je n’attendais pas un miracle. Elle n’allait pas réellement être douée pour ça. « Et sauver la princesse Raiponce… », lui lâchais-je en me demandant si je ne flottais pas non plus sur la voie lactée mais je n’avais clairement pas besoin de gâteaux pour ça.
Revenir en haut Aller en bas
Lenaëlle G. Martins
Lenaëlle G. Martins
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
http://www.your-family-tree.net/t9963-martins-lenaelle-everybody-deserves-a-second-chance http://www.your-family-tree.net/t9280-martins-lenaelle-where-s-this-life-that-we-have-lost-in-living
.
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden
❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥
❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui).
Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien.
Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016.
Animaux : Un chien & un chat
Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons.
❝ Age : 33
❝ pseudo : Mayiie
❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr
❝ avatar : Julianne Hough
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Roses
❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥
❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth (feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé.
Jezabel M. Sanchez (feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout.
Bennett K. Morrigan feat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie.
Breanna J. Hardy feat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne.
❝ Points : 4098
❝ Messages : 3035
❝ depuis : 11/04/2014
❝ mes sujets : AllieCaitlynCordéliaGraceJadeJayJensenJensenLayali-JoyLullabyRafaelSummerToi ?

Un petit plus
MY LIFE TREE:
There's no safer place for youthan here with me

There's no safer place for you
than here with me

lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Lenaëlle G. Martins un Lun 4 Mai - 13:19
Lullaby & Lenaëlle
Parce que droguer la nounou, c'est tout à fait normal



« Hey mais ooooooh ! C’est dégueuuuu ! » fut comment je réagis au moment où je sentis la langue de Lullaby posée sur ma joue. D’instinct, je commençai à remuer de plus belle dans la poubelle, puisqu’avant qu’elle vienne à mon secours, j’avais déjà commencé à m’impatienter, parce que mine de rien, ça faisait chier, être dans une poubelle, sentir les restes de croquettes de la veille agrémentés de ketchup ou encore le popcorn à la mayonnaise, probablement gracieuseté de Lullaby, compte tenu des goûts étranges qu’elle pouvait avoir avec sa grossesse. Personnellement, ce n’était pas le genre de mélange qui me faisait saliver, mais je n’allais pas l’empêcher de le faire, puisqu’elle était libre de manger ce qu’elle voulait, après tout. Heureusement, cette sensation d’être une véritable baleine échouée passa peu de temps après, à savoir quand mon amie eut la bonne idée de m’aider à me tirer de la poubelle. Me retenant de pousser un juron pour manifester mon inconfort par rapport à tout cela, je me contentai de lui sourire légèrement pour la remercier de son intervention, puis me gratter le derrière sans aucune gêne, m’assurant par la même occasion qu’aucun résidu n’avait collé sur mon jean, bien qu’à ce point, je commençais pas mal à m’en moquer. Et puis, à ce point, je n’allais pas monter aux rideaux pour un pantalon sale que je pourrais très bien mettre à la lessive par la suite. Ce serait nul de me montrer ronchon pour une histoire pareille, surtout qu’actuellement, j’avais l’impression d’avoir tellement d’énergie que j’étais persuadée d’avoir avalée trois Redbull sans m’en rendre compte. Où était-ce parce que les brownies étaient agrémentés de cette boisson énergisante qui avait pourtant toujours eu l’effet de me donner un haut-le-cœur ? Enfin, là n’était pas l’important. Ce qui comptait en ce moment, c’était surtout le fait que je n’arrivais pas à tenir en place, ne pouvant clairement pas simplement regarder Lulla’ faire ce qu’elle voulait faire. Déjà, tandis qu’elle revenait à la cuisine pour faire je-ne-sais quoi, je fis un léger bras de fer avec ma crinière en tentant de la brosser de mes doigts, sentant que celle-ci avait pris un sale coup avec ces péripéties. Une fois que ce fut fait, je me retournai d’un saut vers Lullaby qui venait de me proposer de reprendre du gâteau, ce à quoi je répondis, tel un enfant obstiné : « Non mais t’en fais pas ! Je vais manger le reste, je te jure, et je te rapporterai le plat plus… » Cependant, la fin de ma phrase ne prit pas la tournure que j’aurais voulue. En effet, le « tard » qui devait finir mon propos sortit en crescendo, accompagné de ce qui était un magnifique rot de ma part. Vous savez, ce genre de rot qu’ils mettent dans les films pour faire croire que chaque personne est en mesure d’en faire un pareil ? Ce genre qui pourrait être susceptible de faire vibrer toute la maison ? C’était ce que je venais de faire, et à ma grande surprise d’ailleurs, tellement que je ne dis plus rien par la suite, me contentant de glousser légèrement, puis reprendre un semblant de contenance au moment où Lullaby me demanda si j’avais déjà songé à être un samouraï. Tout bêtement, je demandai : « Genre comme un ninja ? » avant de contourner le plan de travail, prendre une framboise, me concentrer avec force sur celle-ci, avant d’abattre ma main sur celle-ci dans un cri de guerre de type japonais, considérant par la suite le fruit maintenant écrasé sous ma main. Impressionnée par ce que je venais de faire – oui, j’avais déjà écrasé des framboises avant, mais là, c’était un véritable exploit – je m’exclamai « WAHOU !? T’as vu ce que je viens de faire ? J’suis un ninja Lulla’ ! Je suis un putain de Ninja ! » Cependant, lorsque je me rendis compte à quel point s’était quelque peu salissant, je pris un chiffon, puis je nettoyai ma main avec attention, telle une véritable fée du logis, mais pour le corps. Après avoir reposé le morceau de tissu, je me positionnai derrière mon amie, puis je posai mes mains sur ses épaules, commençant à lui faire un massage. « Ouh ! Tu es tendue, tu sais ? Avec ce petit bout dans ton ventre, tu ne devrais pas en faire autant ! Couper des fruits comme ça, c’est exigeant ! » Je continuai à faire mon petit massage à Lullaby pendant quelques instants, jusqu’à ce que je réalise que j’étais en train de commencer à fredonner du Justin Bieber pendant que je faisais cela. Et le pire dans tout cela, c’était que je n’avais jamais aimé sa musique, même si elle avait pour don de me demeurer en tête, tellement que j’avais trouvé un truc pour interrompre cette mélodie dans ma tête; chanter le générique d’ouverture de Charmed. En revanche, aujourd’hui, j’eus un blanc, me contentant de me reconcentrer sur Lullaby, en repensant ce qu’elle m’avait dit précédemment, même si je n’y avais pas fait gaffe au moment des faits. Amusée par ce propos tout à coup, je descendis mes mains vers les fesses de la jeune femme en les pinçant doucement, lui disant en riant comme une idiote : « Et faut t’amuser un peu ! C’est pas moi qui devrais mettre les mecs au garde-à-vous, c’est toi qui devrais faire ça avec ton mec ! Tu sais, tu as le droit de faire bing bang boum pendant la grossesse ! En tout cas, mon ex-mari le savait très bien lui ! » Franchement, je ne me souvenais pas du tout de la dernière fois que je m’étais montrée aussi… ouverte dans mes propos. Normalement, je me gardais toujours une petite gêne, comme une vierge effarouchée presque, mais là, je ne contrôlais plus mes propos, ayant simplement envie de danser partout, et étrangement, détendre mon amie, sans avoir aucune idée qu’en vrai, elle voulait l’effet contraire. Et pire que cela, je ne me rendais même pas compte que j’avais prononcé les mots « ex-mari », alors que je n’en avais jamais parlé, pas même dans ces moments où je n’étais pas sobre à l’époque. Il fallait vraiment que les brownies de Lullaby aient quelque chose de vraiment exceptionnel pour me délier la langue de la sorte.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !

Invité
lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Invité ► un Mar 26 Mai - 16:06
lenaelle & lullaby
par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal
Oh mais ? Osait-elle laisser penser que j’avais une mauvaise haleine ou que ma bave était dégoutante ? Non mais oh enfin soit. Je reculais et j’allais tout simplement au frigo tout en parlant. Je la laissais frotter ses vêtements des résidus sans vraiment m’en soucier. Cela n’allait pas la tuer et elle ne risquait pas de faire des bêtises. Je me devais tout de même de la surveiller. Imaginez qu’elle sorte et finisse dans une prison ? OH MY GOD ! Je pouvais gérer ça avec Aiden mais seulement avec lui. Je lui parlais à nouveau de ce fameux gâteau. Oui, lui. Je laissais présager l’idée qu’il pouvait sûrement avoir de la place dans son ventre pour en reprendre. Elle me faisait rire à me dire qu’elle rapporterait le plat. Elle était autant motivée qu’une sauterelle. J’en souriais à la façon dont le tard sortait. Non mais mon dieu, j’en souriais toujours en secouant la tête. Je ne savais pas pourquoi je lui demandais si elle avait déjà pensée à devenir un samouraï mais je me disais que je pourrais rapidement le regretter. Je coupais mes fruits sagement et me contentant de couper le melon en deux quand elle me demandait si je pensais comme un ninja. J’hochais doucement la tête en souriant tout en la laissant attraper ma framboise. Et… Non, je la regardais faire et je ne savais pas trop comment réagir. Elle venait d’écraser la framboise. La pauvre framboise. Je l’écoutais alors être tellement fière d’elle et je riais en secouant la tête. « T’as raison, t’as tuée la pauvre framboise… je me demande ce qu’elle avait fait de mal ! », disais-je en riant doucement, un rire doucement moqueur. Oh oui, c’était moqueur mais tellement moqueur. Je la taquinais mais c’était tout gentillet. Je me demandais presque si j’étais pareille. Je devrais la filmer. Oh oui. J’aurais dû sortir la camera avant qu’elle ne sorte des toilettes mais non. Je la laissais nettoyer et je me mettais à prendre des petites cuillères du melon pour les mettre dans un bol… avant qu’elle ne vienne poser ses mains sur moi pour me masser. Je riais doucement alors qu’elle me parlait. Je me laissais faire en me détendant un peu. « Oh oui, tellement exigeant ! », soufflais-je avant qu’elle ne fredonne du Justin Bieber. « Ce n’est plus un massage dont je vais avoir besoin mais d’un spa tout entier si je dois écouter cet abruti ! », soufflais-je d’un murmure en parlant du biberon ambulant. Je riais doucement tout aussitôt mais forte heureusement qu’elle changeait aussitôt de fredonnement. Je l’écoutais faire en me demandant… enfin son blanc ? Je me concentrais. Le melon vidé, je passais au kiwi que j’épluchais… avant de… non. Je tournais mon regard vers elle en l’écoutant et je riais nerveusement en penchant la tête. « Mes fesses souffrent maintenant ! », disais-je alors qu’elle avait vraiment envie de me torturer ou je rêve ? Ex-mari ? J’arquais un sourcil mine de rien à ce qu’elle disait et je riais nerveusement. « Ce n’est pas aussi facile dans mon couple… », disais-je tandis que j’étais réellement mal placée pour parler de couples en ce moment tandis que nous nous adressions paroles qu’en présences des enfants mais nous étions tellement en froids. Je prenais une profonde inspiration en secouant doucement la tête. Je tournais mon regard vers Lenaelle alors qu’une fois tous les fruits dans deux bols bien partagés, j’en laissais un pour elle. « Tu ne comptes pas tuer d’autres framboises de peur à ce qu’elles gouvernent le paradis des fraises… pour anéantir les melons ? », lui demandais-je. Je n’avais jamais vraiment eue besoin d’alcool pour lâcher des conneries. Alors là, pas du tout. Je prenais une profonde inspiration en la regardant. Je me hissais sur le plan de travail propre pour regarder rapidement le bébé dans son cosy qui dormait sagement. Je souriais doucement. J’adorais la regarder dormir même si elle commençait à être si grande. Une année. Cela passait tellement vite mais je revenais aussitôt sur la terre. Je regardais Lenaelle en souriant. « Tu veux dire que tu étais mariée ? », demandais-je tandis que je n’étais pas vraiment au courant et cela m’intriguait mais je me disais en même temps qu’elle ne voudrait sûrement pas en parler sans ce gâteau. Etais-ce cool d’en demander plus ? Je me sentais presque aussi mal du coup. Réellement mal. Je riais nerveusement tout aussitôt. « Tu n’es pas obligée d’en parler si tu veux ! », je prenais aussitôt son bol de fruits et je lui tendais sans vraiment attendre. « Tiens manges ! », lui disais-je donc pour tenter de changer de sujets.
Revenir en haut Aller en bas
Lenaëlle G. Martins
Lenaëlle G. Martins
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
http://www.your-family-tree.net/t9963-martins-lenaelle-everybody-deserves-a-second-chance http://www.your-family-tree.net/t9280-martins-lenaelle-where-s-this-life-that-we-have-lost-in-living
.
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden
❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥
❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui).
Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien.
Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016.
Animaux : Un chien & un chat
Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons.
❝ Age : 33
❝ pseudo : Mayiie
❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr
❝ avatar : Julianne Hough
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Roses
❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥
❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth (feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé.
Jezabel M. Sanchez (feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout.
Bennett K. Morrigan feat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie.
Breanna J. Hardy feat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne.
❝ Points : 4098
❝ Messages : 3035
❝ depuis : 11/04/2014
❝ mes sujets : AllieCaitlynCordéliaGraceJadeJayJensenJensenLayali-JoyLullabyRafaelSummerToi ?

Un petit plus
MY LIFE TREE:
There's no safer place for youthan here with me

There's no safer place for you
than here with me

lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Lenaëlle G. Martins un Ven 29 Mai - 0:42
Lullaby & Lenaëlle
Parce que droguer la nounou, c'est tout à fait normal



Dans l’immédiat, jamais, au grand jamais, je m’étais rendu compte de ce que je venais de dire, et ça, cela signifiait, même si je ne le savais pas vraiment, que le brownie avait un effet monstre sur moi. Enfin, il fallait dire que je n’en avais jamais consommé, même si j’avais mon passé d’alcoolique dans le corps, je n’avais jamais pris de drogue de quelconque façon, m’en tenant surtout à la bouteille, puis plus rien du tout depuis juin dernier. Par contre, et d’une certaine façon, ce n’était pas une mauvaise chose, puisque plutôt que de me renfermer sur moi-même telle une huître dans sa coquille, je continuai à avoir le sourire au visage, comme si je n’avais plus aucun souci, comme si tout allait bien dans le monde, comme si je pouvais me permettre de faire ce que je voulais. D’ailleurs, je ne me gênai pas pour le faire, trouvant cela soudainement amusant de secouer la tête négativement comme une gamine obstinée en me balançant un peu sur mes pieds au moment où Lullaby me demanda si je comptais tuer une autre framboise. Ensuite, je pris un air faussement scandalisée, le temps de lui dire : « T’es folle ou quoi !? J’suis pas une meurtrière en série, j’vais pas tous leur taper sur la framboise quand même ! » ne le gardant pas par la suite, puisque je devins soudainement trop occupée à rire de ma propre blague qui, au fond, était extrêmement pourrie, mais qui, dans ma tête, faisait de moi soudainement une humoriste, comme je le montrai en lâchant un « Taper sur la framboise ! T’as entendu ça !? » et en continuant de rire tant et aussi longtemps que je n’entendis pas mon amie me demander si j’avais été mariée. J’arrêtai brusquement, d’une façon peu naturelle, et soudainement, je baissai le regard, fixant un des bols de fruits d’un air complètement sérieux qui ne ressemblait en rien à ce que je faisais précédemment. Lullaby m’avait parlé de ses fesses qui faisaient mal, de son couple au sein duquel c’était compliqué, j’avais presque fait comme si ce n’était pas important, même si j’avais bien entendu. Mais là, elle me rappela de ce que je venais de dire, et ce fut suffisant pour me faire sentir mal, me faire comprendre que j’avais gaffé, d’où le « Oups… » que je lâchai juste avant qu’elle me dise que je n’étais pas obligée d’en parler si je ne le voulais pas. Ne bougeant pas, je m’exécutai de façon quasi robotique quand elle me proposa de manger quelque chose en prenant une fraise et en mangeant une première bouchée. Après l’avoir à moitié mastiquée, je dis finalement : « Ouep, j’ai été mariée. Cinq ans. » Pourquoi je le disais quand même ? Fouillez-moi, je ne le savais pas moi-même, surtout que la suite devint encore plus incompréhensible, ce fut qu’une fois que j’eus fini de manger la dite fraise, j’ajoutai : « Il était beau gosse quand même. Il avait un accent super sexy en plus et il baisait comme un étalon ! C’est peut-être pour ça que j’ai été assez conne pour l’épouser. » Après un nouveau rire accompagné d’un reniflement pas très sexy, j’ajoutai : « On s’est mariés dans la cour de mon grand-père. C’était super mignon… » avant de redevenir soudainement très austère en fixant le bol de fraises. Je poussai un petit soupir, et je dis : « Il me frappait, tu sais ? Et il a même tué… » J’avais beau avoir eu l’aisance de parler de tout cela d’un trait, mais la dernière partie étant de trop, je ne sus finir sans avoir les larmes aux yeux. Mes poings se serrèrent d’eux-mêmes, puis j’explosai, sans comprendre pourquoi. Les larmes coulant sur mes jours à présent, je relevai la tête, considérai Lullaby, et je dis : « Donc peu importe ce qui se passe entre Aiden et toi, compliqué ou pas, merde, il t’aime, et c’est un mec bien ! Donc profite ! C’est pas tous les hommes qui sont comme ça, il n’y en a pas beaucoup même ! », ne me rendant même pas compte qu’à ce point, je n’arrivais même pas à cesser de pleurer, sans même avoir honte de ce que je venais de lui dire, ou du moins, pas pour le moment. Il était certain que je le regretterais par la suite, puisque jamais je ne me serais permise de lui parler de la sorte en temps normal, mais en ce moment, rien n’était de normal. Tout était étrange, tout était mirage, comme si cela arrivait dans un rêve, ou un cauchemar, je ne savais pas trop, j’étais vraiment perdue à ce point.

Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !

Invité
lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Invité ► un Lun 22 Juin - 12:29
lenaelle & lullaby
par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal
Tout commença d’un caca et tout s’en allait dans des délires étranges après qu’elle ait ingurgité le gâteau. Une poubelle, une fille qui l’a lèche et une framboise qui fait apparemment rire à l’idée de la frapper mais tout ça prenait une tournure différente. Je commençais à douter de l’idée d’avoir des remerciements pour l’avoir droguée même si je n’en étais pas vraiment convaincue au départ. Je m’en fichais bien d’être persécutée pour cet affront. J’allais sûrement en prendre pour mon grade mais qu’importe ? Je n’avais pas peur à m’en pisser dessus bien que je sois sûre que me faire pipi dessus puisse devenir un talent inné dans mon cas. On n’est pas tous doué pour faire ça. Non d’une pipe, faut bien viser et surtout avec une méduse. Je n’avais pas réussie pour ma part mais Kennedy, oui. On va éviter de poncer les vieux souvenirs pour les remettre au gout du jour. Saluons le présent, c’est mieux. Mais oups. Oui, je voulais savoir de quoi elle parlait après ces passages amusants. Songeuses alors qu’elle venait de prétendre avoir été mariée. Mais pardon ? C’est ce moment… ou on se demande ce qu’il se passe. Qu’est-ce qu’on a compris de travers encore ? Pourquoi on a l’impression d’avoir sauté un chapitre ? Non pas que je viole les chapitres. Ce n’était pas vraiment comme un Oasis… non, ce n’était pas… enfin ça me rendait curieuse mais je le sentais pourtant mal. Pourquoi ? Je n’en savais rien. J’avais peur en fait. Je l’a forçais un peu à en parler. Je l’écoutais en regardant le bébé grassouillet qui dormait entre deux flots de paroles pour poser mon attention sur elle. Elle semblait totalement ouverte à la conversation sans savoir quel était l’opportuniste dans son organisme. J’étais vraiment une emmerdeuse pour avoir provoquée ça. Je l’écoutais jusqu’au bout en mangeant un morceau mollasson d’un des fruits de ma salade. Un morceau de pastèque émacié aussitôt que j’enfournais avant de risquer de le cracher. Je posais ma main sur ma bouche en toussant alors qu’elle parlait de cet homme qui baisait bien. J’en étais surprise surtout que c’était le genre de choses que je disais. J’étais plus surprise de ça que de son mariage car après tout, j’en savais peu sur son passé et cela ne m’étonnait pas qu’elle ait vécue mais la suite et son air plus sérieux, plus perdu qu’elle posait plus bas m’émouvait pour une raison que je ne saurais définir. Je fermais doucement les yeux en baissant mon regard vers le portefeuille posé sur le plan de travail juste à côté de mes fruits en l’entendant. « Oh… », je ne comprenais pas la suite enfin je me disais qu’elle allait peut-être le dire ou pas ? Je relevais mon regard vers elle avant de voir ses larmes sur ses yeux. Et là, bing. Et je l’écoutais sans vraiment savoir quoi faire sur le coup. Je me sentais presque désarmée. Je reculais d’un pas avant de contourner le plan de travail de cet îlot et je me rapprochais d’elle à ses mots. Je ne relevais même pas les compliments qu’elle faisait à mon mari. J’étais presque effrayée à l’idée qu’elle veuille me le voler mais j’étais d’une jalousie maladive donc pardonnez-moi ! En plus, il y aurait des morts si on me le volait. Plusieurs personnes auraient chauds au cul et lui froid au lit. Je posais alors ma main sur son épaule, la seconde sur sa joue pour retirer ses larmes avec mon pouce après l’avoir pivoté vers moi. Ces larmes étaient comme la chute. Elle était blessée de ces ecchymoses du passé et je m’en voulais d’avoir ouverte ses blessures. Je n’étais pas infirmière du cœur et je ne savais pas quoi dire, quoi faire. Quels discours ? Parfois j’avais les bons mots mais elle était stone et que devais-je faire ? Je ne pouvais pas prendre un papier et l’éventer pour qu’elle sèche. Non. Je ne pouvais pas non plus lui proposer simplement une partie masque, manucure et vernis à paillettes avant de jouer au volley-ball avec les coussins du canapé. Dans l’urgence, je devais être futée. Je devais me cogner les neurones à la bonne porte. « Je suis désolée ! », disais-je alors soudainement mais de quoi ? D’avoir rouverte ses blessures. Je l’étreignais alors sans vraiment enfoncer la fourchette dans la plaie et lui en demander plus. Pas dans cet état et je ne voulais pas la forcer. « Si tu veux, tu peux frapper toutes les framboises que tu veux, tu veux encore du gâteau ? Le chocolat, il n’y a que ça de vrais ! », lui proposais-je alors en me disant qu’une dose en plus pourrait lui redonner le sourire ? Je ne voulais pas continuer cette conversation dans son état donné par la drogue. Je ne trouvais pas juste de profiter de la situation et surtout pas à la gravité. Je culpabilisais et je me disais pourtant que je n’avais pas le contrôle enfin pas totalement. Je déposais un baiser sur sa joue tout en reculant et j’allais dans le salon. J’ouvrais un coffre en sortant deux chapeaux de cow-boy ainsi que des artifices pour jouer. Ce n’était pas pour nos plans galipettes avec Aiden mais pour jouer avec des enfants. Je revenais en posant le chapeau sur sa tête. « Viens, jouons au cow-boy ! », lui disais-je alors que je mettais le second chapeau sur la mienne. Jouer au cow-boy ? Quelle drôle d’idée mine de rien. Je ne savais pas d’où ça me venait. C’était comme… les ambulances. Parfois tu ne sais pas d’où elles viennent et qui les appelle mais elles viennent. Comme ça, pouf pour venir en aide à un blessé. Magique. « Toi, t’es le gentil et moi la vilaine ? Ou tu veux être le vilain ? », disais-je en prenant l’arme que je faisais tourner autour de mon doigt ce qui fut un échec car à peine le demi-tour fait… elle m’échappait pour aller s’écraser sur le sol. Je grimaçais doucement. « Bon… on est un peu en carton enfin pour ma part mais au moins, on a un beau chapeau ! », concluais-je aussitôt avant d’aller ramasser mon arme avec une main sur le ventre pour protéger bébé. On ne sait jamais qu’il tomberait… Je ne comprenais jamais l’instinct d’une femme enceinte.
Revenir en haut Aller en bas
Lenaëlle G. Martins
Lenaëlle G. Martins
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
http://www.your-family-tree.net/t9963-martins-lenaelle-everybody-deserves-a-second-chance http://www.your-family-tree.net/t9280-martins-lenaelle-where-s-this-life-that-we-have-lost-in-living
.
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden
❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥
❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui).
Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien.
Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016.
Animaux : Un chien & un chat
Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons.
❝ Age : 33
❝ pseudo : Mayiie
❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr
❝ avatar : Julianne Hough
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Roses
❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥
❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth (feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé.
Jezabel M. Sanchez (feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout.
Bennett K. Morrigan feat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie.
Breanna J. Hardy feat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne.
❝ Points : 4098
❝ Messages : 3035
❝ depuis : 11/04/2014
❝ mes sujets : AllieCaitlynCordéliaGraceJadeJayJensenJensenLayali-JoyLullabyRafaelSummerToi ?

Un petit plus
MY LIFE TREE:
There's no safer place for youthan here with me

There's no safer place for you
than here with me

lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Lenaëlle G. Martins un Sam 4 Juil - 14:33
Lullaby & Lenaëlle
Parce que droguer la nounou, c'est tout à fait normal



Il y avait longtemps que je n’avais pas pleuré à chaudes larmes de la sorte. Bien sûr, j’avais eu quelques moments où j’avais laissé couler quelques perles lacrymales sur mon visage, mais jamais comme une enfant qui venait de perdre son doudou préféré. En fait, je ne me souvenais même pas de la dernière fois que j’avais pleuré de la sorte – et il fallait l’avouer, je n’avais pas vraiment le courage de chercher plus loin dans mes souvenirs, assez douloureux comme cela – et le pire, c’était que je n’étais même pas consciente à quelle point ma réaction pouvait être excessive, tout simplement parce que je ne réalisais même pas ce qui se passait. La seule chose que je sus, ce fut qu’au bout d’un petit moment, tandis que je restais plantée là, à ne savoir quoi faire d’autre que de sangloter sur mon propre sort, même si celui-ci s’était nettement amélioré ces derniers mois, Lullaby posa sa main sur mon épaule, puis sur ma joue, ayant pour effet de me faire sursauter, puisque ne la regardant pas, je ne m’y en attendais pas du tout. Je me retrouvai alors à plonger mon regard dans le sien pendant quelques secondes, un regard limite vide, et surtout particulièrement trempé par mes larmes qui, grâce à l’intervention de mon amie, avaient cessé pendant quelques secondes, jusqu’au moment où elle me prit dans ses bras en s’excusant. Prenant pour acquis que je lui avais raconté l’histoire jusqu’au bout et que son « désolée » était synonyme de condoléances par rapport à cette petite fille que j’avais portée et qui n’avait jamais vu le jour, parce que je ne pensais pas qu’elle pouvait s’excuser de mon comportement alors que, dans ma tête, elle ne m’avait jamais forcée à en parler, j’appuyai ma tête sur son épaule, puis je reniflai un bon coup avant de marmonner : « Merci, ça fait chaud au cœur tu sais ? Même si ça fait longtemps, en fait… » sans penser à quel point mon propos pouvait être incompréhensible, puisque mis totalement hors-contexte. Franchement, ce n’était pas là le plus important pour moi. Je ne savais même pas si j’étais capable de considérer quelque chose comme étant important. Je n’avais plus intérêt à rien soudainement, ou du moins, je ne l’eus plus jusqu’à ce que soudainement, Lullaby me propose de manger quelque chose d’autre, ou bien reprendre le gâteau. Je me concentrai sur l’idée pendant un instant, mais finalement, je grimaçai, puis je dis : « Non, sinon je vais retourner faire aux toilettes et ça va sentir comme les couches de Nora… » J’eus un petit sourire un peu crétin à ce propos, puis je regardai mon amie qui, soudainement, était partie hors de mon champ de vision. Perturbée par ce changement rapide, je dis : « Bah alors, t’es où ? » un peu trop tard, puisqu’au même moment, elle revenait, me posant quelque chose sur la tête, un chapeau, visiblement, puisque maintenant, elle parlait de jouer aux cowboys. Je ne cherchai même pas à savoir d’où elle tenait cette idée, pourquoi elle était soudainement surgie de son esprit comme au milieu de nulle part, comme je l’aurais fait si j’avais été dans un état un peu plus normal. Cette fois-ci, je me contentai de la regarder avec cet air… stone. Oui, j’avais finalement adopté mon air stone. Je ne savais pas à quoi ça ressemblait, à défaut d’avoir un miroir pour me regarder, mais ça devait ressembler à un air de chien battu et de personne qui n’a pas dormi depuis trois jours. Quoiqu’il en soit, ce n’était pas beau, c’était sûr et certain, surtout que dans le cas présent, il fallait rajouter que j’avais très certainement du mascara sous les yeux, me faisant apparaîte comme un panda stone qui avait confondu ses fougères avec de l’herbe. Continuant à fixer Lullaby de la sorte, je l’écoutai me demander ce que je voulais faire dans ce fameux jeu, et la seule chose que je sus lui répondre, ce fut : « En fait, je peux être le cheval ? Ou l’âne ? » Oui, dans ma tête, il y avait des ânes dans le Wild West maintenant, mais bon, ce n’était qu’un détail. Cheval ou âne, le cowboy n’irait pas très loin avec l’arme pourrie que mon amie avait entre les mains maintenant, qu’elle devait à présent ramasser, puisque celle-ci n’avait pas tardé à s’écraser au sol. Cependant, ce ne fut pas ce qui retint mon attention, cette fois-ci, mais plutôt le fait qu’elle avait porté une main à son ventre, son ventre maintenant qui portait son petit garçon qui, lui, aurait la chance de naître en santé, tout comme sa fille d’ailleurs. Sentant le drame se tramer dans ma tête de nouveau, je m’assieds par terre, puis je retirai le chapeau pour m’y cacher le visage, comme si ce simple geste allait faire le noir complet dans ma tête. Enfin, ce n’était pas mieux, mais au moins, ce ne serait pas rempli d’images étranges, comme dans un kaléidoscope. Pour tenter d’y parvenir, je me fermai même les yeux, très forts, et je commençai à imaginer que j’étais dans un endroit paisible, toute seule, à l’abri de tout le monde, comme ce petit bébé qui grandissait dans le ventre de mon amie. Au bout d’un moment, je le trouvai, à un tel point que finalement, je m’allongeai en position fœtale par terre, puis je marmonnai, le visage toujours derrière mon chapeau : « J’suis cachée, tu ne pourras pas me trouver. »
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !


lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal Empty
mot doux de Contenu sponsorisé ► un
Revenir en haut Aller en bas
 

lulaelle ▬ par ce que droguer la nounou, c'est totalement normal


→ YOUR FAMILY TREE :: la naissance et les actes et vous avez une famille :: Il faut marcher pour grandir :: En la mémoire du passé
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-