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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 18:11
alvin & melody

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Des phrases… c’était peut-être aussi la lumière blanche ? La mort était si proche de moi depuis quelques temps. Je n’avais jamais réellement eue peur de mourir dans le passé et même si maman et mon petit frère étaient morts. Non, je n’avais jamais eue peur. Je ne pouvais pas avoir peur dans le passé car je menais une vie simple. Je voyais juste un laboratoire H24 ou alors une maison bien décorée à mon image. Je pouvais prendre mon thé avec un petit biscuit. J’avais une vie normale comme toutes les femmes de mon âge. J’étais fiancée même si je ne savais même pas si j’allais me marier un jour mais c’était les soucis de tellement de personnes sur cette planète. Mon seul choix en tête était spaghettis ou autre chose ? Qu’est-ce que j’allais manger ce soir ? Maintenant tout était tellement différent. Un jour avec une arme sur la tempe et l’autre jour à faire une course poursuite. Même rentrer chez moi pour attraper quelques fringues était un parcours du combattant. Je ne savais pas si j’aimais cette impression d’avoir mon cœur qui bat à chaque danger pourtant cette adrénaline me changeait un peu. Elle me donnait cette sensation d’être plus courageuse. C’était bien différent que derrière un écran d’ordinateur. Je ne savais rien du tout, j’étais juste perdue. Je soupirais doucement en le regardant alors qu’il rentrait et… faisait je ne sais quoi. Je le voyais revenir et me diriger vers la voiture comme si j’étais une poupée de chiffon mais pourquoi me laissais-je toujours faire ? J’avais confiance ou étais-je naïvement confiante ? J’étais paumée et pourtant je ne savais pas quoi faire. Il venait de me demander de lui faire confiance enfin de jouer le jeu pour être plus précise. J’étais tellement accaparée par ses phares que je ne réalisais pas qu’il avait sa main dans la mienne. Par contre cela changeait bien vite tandis qu’il passait les bras autour de moi, ses baisers sur ma peau encore froide. Elle se réchauffait petit à petit alors que je me pinçais les lèvres malgré moi. Ce n’était même pas compliqué de jouer le jeu car je ressentais réellement les sensations que je devrais normalement ressentir mais je me refusais de les ressentir. J’étais effrayée. Par chance, il puait l’alcool ce qui était un bon répulsif. Alors que la voix se fit entendre, celle qui me faisait grogner dans le cou d’Alvin, silencieuse… Je crispais mes mains dans son dos en enfouissant ma tête dans son épaule. Cette voix me mettait en colère mais n’aidait pas cette tristesse ressentie plus tôt. Je laissais mes émotions déraper dans un festival. Cette boule dans mon ventre qui grossissait doucement. Je la sentais remonter. Je laissais Alvin jouer la comédie mais je savais que j’en étais clairement incapable. Qu’on le veuille ou non, je l’aimais ou je l’avais aimé. Cet homme qui était non loin et nous disais de quitter la propriété. Je l’avais tellement aimé tout en ne voulant pas réaliser qu’il ne m’aimait pas. Ne m’aimait-il pas un peu ? Quelles idioties. J’inspirais doucement au creux de son cou. Je pouvais sentir son parfum qui m’apaisait. C’était fou mais il avait un pouvoir sur moi sans même rien faire et c’est là que… BING. Sa main sur mes fesses. J’étais choquée. Tellement choquée. Je savais que c’était le jeu mais je voulais jouer tout d’un coup. En fait ce qui me gênait c’était sûrement qu’Edward lui avait parfois cette manie de prendre mes fesses pour un pose main et les tapoter pas violement par moment. C’était son truc et ça l’amusait mais pas vraiment pour moi. Ça m’agaçait. C’était con. Je reculais doucement mon visage et je le regardais avec les yeux noirs même si on voyait encore la tristesse accumulée dans son cou sous une rage et une envie d’assassiner Edward. Je lui laissais un sourire bien sarcastique en mettant ma main sur sa joue et laissant une petite tapette, pas trop douloureuse mais qui montrait bien qu’en vrai, il avait de la chance que ce n’était qu’un jeu. Je reculais doucement en ne laissant pas mon visage se voir. J’allais dans la voiture tout naturellement et je ne faisais pas de bruits. Je ne disais rien. Je n’étais pas capable d’être actrice. C’était ma sœur qui était douée pour ça en fait. Pas moi. Je me mettais au siège conducteur, plus logique s’il était censé être bourré. J’inspirais doucement une fois dans la voiture et je baissais le pare-soleil. Le miroir dévoilant mon visage et mes cheveux blonds comme le blé. J’inspirais doucement en tournant mon regard vers lui. « La prochaine fois que tu me tapes les fesses… je t’embroche ! », lui disais-je sur le ton de l’humour mais pourtant pas totalement. Cela ne cachait pas que de l’humour. Je me mettais alors au volant pour conduire tandis que je remettais mes cheveux un peu en place avant de me reposer contre le dossier du siège. Je quittais alors la propriété. Je conduisais en direction de l’hôtel, soulagée. On l’avait tout de même un peu échappé belle. Je restais taciturne pourtant pour le reste du voyage. Je n’étais franchement pas à l’aise, pas du tout même. Une fois sur le parking de l’hôtel, je garais la voiture en sortant. Je ne savais pas quoi dire, je n’étais pas apte à parler sans me dire… oui, merde… je dois lui mentir à lui aussi maintenant. C’était désagréable. Je n’aimais tellement pas mentir et surtout à la seule personne qui me paraissait ne rien me cacher en ce moment. Je tournais tout de même mon regard vers lui et je souriais. Un sourire bien facile car malgré tout, il avait toujours ce magnétisme sur moi. « J’ai vue des gaufres sur le menu du room service, ça te dit un diner ? Je meurs de faim ! », disais-je tandis que j’étais bien sûr, réellement affamée. Il était un peu tard mais j’avais faim. Manger ou être simplement dans un endroit où on ne voyait pas des cafards était bien plus agréable. Je me rapprochais en contournant la voiture et je lui donnais les clés tout naturellement. Une offrande ?
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Alvin R. Prescott
Alvin R. Prescott
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❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi
❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody
❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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❝ pseudo : monocle.
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❝ présence : Présent(e)
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❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore
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mot doux de Alvin R. Prescott un Jeu 26 Fév - 0:05
alvin & melody

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Ivrogne, voilà ce qui m’avait semblé le plus adéquat pour échapper au phare qu’elle avait dit voir. Était-ce Edward ? L’un comme l’autre on l’ignorait, mais je préférais ne pas prendre de chance. On était beaucoup moins libre de nos mouvements, on devait se cacher vivre dans une sorte de clandestinité. La cavale n’était pas dans mon habitude et je me sentais abalourdir face à cette situation. Je l’avais créé et elle prenait une ampleur incroyable, grotesque même si on prenait du recule. Tout cela était complètement tordu. J’en perdais le Nord, mais pour le bien de nos deux personnes je tentais de garder les pieds sur terre. Je n’avais jamais été le genre de mec ignoble, vilain, tout au contraire j’étais doux et charmant, bon chic bon genre… J’avais tout de même réussi à prendre le rôle au sérieux. J’essayais de ne pas faire trop nouille, mais ce n’était pas chose facile. Je me trompais, je me trompais de pied dans cette chorégraphie. Mais bon, je n’y pouvais rien, je gardais tout de même la tête haute, essayant de ne pas trop montrer mon inexpérience. Je devais me montrer fort, autant pour elle que pour moi. J’avais l‘habitude de chasser et non d’être chassé. Cheveux en batailles, chemise déboutonnée et cette fragrance d’alcoolique, nous avait sans doute sauvé la mise. J’avais joué le rôle, bien que je fusse un piètre vilain, je savais jouer la comédie. J’en remerciais mes années de théâtre au lycée. Je n’étais pas de ceux qui jouait au football, mais plutôt faisant parti de la troupe d’impro ou de théâtre. Je me faisais un certain plaisir à rendre hommage à Charlie Chaplin. Et aujourd’hui, je remerciais intérieurement mon choix de ne pas avoir fait partie de l’équipe de foot. Malgré cela, j’avais de la misère a camouflé mon ressentiment de la savoir aussi près de moi. C’était une parade interminable entre le désir de la vouloir près de moi et le refus d’aggraver mon karma. Je jouais donc l’homme qui avait fait un peu trop la fiesta et qui désirait un petit moment pour s’offrir une petite gâterie avec une femme de joie. Bon ce n’était pas réellement la vérité, mais qu’importe si Edward le croyais c’était le plus important. Je sentais des papillons dans mon ventre remuer, alors que se souffle caressait la peau de mon cou. Contrairement à mon habitude, je frappais ses fesses, quelque chose que j’avais toujours trouvé vulgaire et sans élégance. Mais ainsi, je m’accordais plus de crédibilité et surtout c’était tellement mon opposé que le temps qu’il prenne conscience de qui nous étions, nous serions loin. Je la laissais prendre place du côté conduction, lançant par la même occasion le sac de papier déchiqueter à l’intérieur de la voiture. Après tout en ne devait pas l’oublier, sinon on aurait eu l’air de quoi ? J’aurais pu le lancer dans les lavandes, mais revenir le chercher aurait été risqué. Puis, je titubais jusqu’à la portière passager, je devais jouer l’alcoolo jusqu’au bout. Même si ça me faisait passer pour un clown pittoresque. Je m’assoyais à ses côtés, la laissant nous conduire jusqu’à l’hôtel. « T'en fait pas, ce n’est pas mon genre de faire ce genre de chose. Disons que je l’ai simplement fait pour le bien de la cause. J’ai toujours trouvé ce geste vulgaire. » C’était mes seules paroles pendant tout le trajet, le bras appuyé sur le rebord de la fenêtre, que j’avais ouverte pour aérer cette odeur de sans-abri, j’appuyais mes doigts contre mes lèvres. Je ne faisais pas preuve de mutisme, mais je préservais ce silence ambiant. Se stationnant, je sortais moi aussi de la voiture prenant le sac rempli de papier que j’avais envoyé finalement valsé sur la banquette arrière. Je glissais ma seconde main dans la poche de mon pantalon. Voyant son sourire, je m’autorisais à lui rendre ce geste. Je prenais le trousseau qu’elle me tendait. Mon visage s’adoucissait, j’avais beau vouloir garder mes distances, je trouvais de plus en plus dure de le faire. Surtout lorsqu’elle m’adressait ce genre d’expression. Cette flamme reprenait aussitôt dans mon ventre se mélangeant aux papillons dans un tango incandescent. « C’est judicieux. », répondais-je évasivement en la faisant passer devant moi. « On appellera de la chambre, je dois absolument prendre une douche… Je n’ai pas envie de garder ce parfum. » J’appuyais sur le bouton de l’ascenseur, essayant d’oublier le regard du vieux couple près nous. Ils devaient ce faire tout un cinéma surtout avec cette allure que j’avais et cette odeur que je dégageais. Je faisais tout de même preuve de courtoisie en les laissant passer devant moi avant d’aller prendre place près de Melody. Une musique jazz résonnait dans l’habitacle. C’était un peu mieux que la musique qu’on pouvait parfois trouver dans un ascenseur, mais ça restait fade. Je tentais de ne pas tenir compte des chuchotements du couple, tentant plutôt de ne pas prendre une nouvelle fois la main de la jeune femme à mes côtés. J’en avais encore envie et ça me démangeais dans tout le bras. Devais-je ou pas ? Sortant timidement ma main de ma poche, de pantalon et non… enfin. Sans demander son avis, je glissais mes doigts avec les siens. J’étais faible, je le savais. Je fermais mes yeux, tournant finalement mon visage vers elle, l’ascenseur s’arrêtait tout comme mon cœur. Était-ce normal que cette passion existe entre nous ? Elle était tout de même fiancée au meurtrier de ma femme… C’était perturbant et pourtant, je continuais à la regarder dans ses yeux aussi clairs que l’eau de Venise. J’entendais le couple quitter l’endroit, mais je restais en pleine admiration de ce tableau qui s’offrait à moi. L’ascenseur reprenait son ascension, jusqu’à s’arrêter une seconde fois en arrivant à notre étage. Je la regardais, jusqu’à ce qu’elle m’échappe tel la princesse Cendrillon qui prenait la fuite. Je ne jouais pas le prince charmant qui se mettait à courir derrière la belle, mais je la suivais tout de même jusque dans notre chambre. Déposant le sac à l’entré, je la regardais. Un soupire s’échappait de mes lèvres, sans attendre plus d’elle je me dirigeais dans la salle de bain. Devant le miroir, je prenais appui sur le rebord de la vanité. Je regardais mon reflet, je sentais encore ce feu ardent qui m’avait animé il y a quelques instants. « Que fais-tu ? Tu joues avec tes sentiments comme les siens… » Je fermais les yeux, soupirant avant de retirer mes vêtements et d’entrer dans la douche. Sous l’eau, j’essayais de sortir de mon esprit cette fille qui se trouvait dans la pièce d’accoté. Je me concentrais plutôt sur cette petite infraction à domicile qu’on avait fait. On n’avait pas visité Versailles, mais on avait trouvé quelque chose j’en étais persuadé. Une fois l’odeur de l’alcool remplacé par celle du savon fourni par l’hôtel, je sortais enroulant une serviette brodé au nom de l’établissement. Farfouillant dans la poche de mon pantalon, j’en sortais mon portable. J’allais voir l’icône photo et défilait jusqu’à trouver la lettre. Sortant de la salle de bain, je ne portais pas attention à elle ni même à l’arôme qui régnait dans la chambre. Il pourrait y avoir de la guacamole, que ça me serait indifférent. J’allais m’asseoir taciturne sur les draps de satin. Je regardais le contenu, restant indécis sur le fait que la lettre n’était pas signée anonyme. Je passais ma main sur mon menton et sans relever mon regard vers elle, je lui parlais. « Je crois qu’on ferait mieux de quitter cet hôtel. Edward ne mettra pas longtemps à savoir que ces deux personnes n’avaient rien d’anodin. Et avec les contacts qu’il a, il nous trouvera facilement. » Je relevais mon regard vers elle, fermant mon téléphone. Était-ce le bon moment pour lui montrer cette lettre ? Je ne croyais pas. Pour l’instant, on devait simplement ce mettre une nouvelle fois à l’abri.
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Pour la bonne cause ? Me mettre la main aux fesses d’une tapette ? Cela avait un côté amusant mine de rien qui n’en restait pas moins déconcertant. Je ne disais pourtant rien pendant le trajet. Le silence a tellement un doux recueil. Je me contentais de regarder cette route devant moi et je conduisais assez timidement dans mes gestes. La loi du mutisme est sûrement au premier qui trouvera la parole. C’est une fois dans une autre métropole devant cet hôtel que j’en venais à parler. Mes mots chatouillant mes lèvres alors que la faim se faisait ressentir. Je voulais manger, oui, voilà. J’avais une faim de léopard à défaut d’une faim de loup et pourquoi ? Je n’en savais rien, c’est beau un fauve et mieux qu’un hippopotame. Je passais devant lui en hochant la tête alors qu’il parlait de son parfum. Dans un sens, j’étais contre car sans l’alcool… j’avais peur de retomber dans cette envie de le dévorer comme s’il était un steak. Oui, je voulais clairement le manger pour en faire mon petit déjeuner mais bon. J’inspirais doucement en tournant mon regard vers lui une fois devant les ascenseurs. « Tu devrais tenter le parfum à la framboise ! », lui disais-je d’une taquinerie mais sûrement par ce que ça tuerait peut-être aussi son côté sexy ? Autant rêver bien entendu. Je penchais doucement la tête. Je montais dans l’ascenseur, sagement. Le jazz dans les oreilles. Sexy McNews me manquait un peu. Il était comique quand même et puis je n’étais pas réellement sûr d’aimer le Jazz. Comment ça pas réellement ? Cela dépendait des morceaux. Je tentais de ne pas être trop proche. Je tentais de juste rester éloigner. Une part de moi me disait qu’il ne fallait pas. Je devais me laisser entrer dans une belle bulle. Je devais arrêter d’avoir ses pensées conduites par la passion. Je devais éteindre ce feu ardent. C’est petit à petit que je sentais sa main toucher la mienne et descendre pour glisser ses doigts entre les miens. La sensation de ce contact me donnait juste le réflexe de fermer mes yeux pour en profiter mais je savais que je n’avais pas le droit. Cette parade de pensées se battait dans un festival d’émotions. Bonne comme mauvaises mais n’étaient-elles pas toutes mauvaises dans le fond ? Devais-je me lâcher et ignorer ce que j’avais appris ? Je devais lâcher sa main mais son regard me captivait pour m’en faire oublier mes convictions. Ou peut-être n’en avais-je pas assez la force ? Rompre ce contact n’était pas facile surtout que je savais tout ça éphémère. Encore une fois, j’allais laisser mon désir s’augmenter. J’allais désirer ses lèvres et m’en retrouver repoussée. C’était ce qui allait arriver. Je le sentais tout comme c’était arrivé à chaque fois. Etais-je pessimiste ? Peut-être. Je plissais les yeux alors que l’ascenseur sonnait pour quitter sa main et cette boite en métal d’une fuite massive. Il fallait que je m’éloigne. Il le fallait. Je sortais aussitôt pour aller dans la chambre d’hôtel dont j’ouvrais la porte. J’allais aussitôt me poser sur le lit en attrapant l’ordinateur portable qui s’y trouvait. Je sortais la clé usb de ma poche sans vraiment m’inquiéter de ce qui se passait dans la salle de bain pourtant je n’arrivais pas à le retirer de ma tête. Il me rendait dingue, totalement.  Cette clé arrivait à me déconnecter de toutes ses pensées puisqu’elle était protégée d’un code. Un mot de passe ? Je riais nerveusement en me demandant comment j’allais faire pour le décrypter enfin surtout : quel logiciel ? Perdue dans mes pensées, je glissais la main dans ma poche pour en sortir cette photo. Je la contemplais attentivement en la posant avant de taper le prénom de cette femme. Mot de passe accepté. J’étais la reine du hack… ou pas. J’inspirais doucement en contemplant les dossiers et je soupirais avant de me lever et aller cacher cette photo. Pourquoi l’avais-je prise ? Je n’en savais rien. Je le regardais alors qu’il sortait. Cette serviette autour de sa taille. Ce n’était pas la première fois mais je me disais qu’il fallait que j’arrête de le regarder. Je détournais le regard en fermant les yeux. « Tu as raison, j’ai un ami absent normalement cette semaine… à Pasadena ! », disais-je alors en inspirant doucement. « J’ai la clé… et Edward ne le connait pas ! Mais d'abord, j'ai faim... », lui annonçais-je en haussant les épaules alors que j’attrapais le combiné du room-service. Quoiqu’il en soit, j’avais faim. Tellement faim. J’étais affamée. Je voulais manger avant de quitter cet endroit. Je n’étais pas prête de fuir encore un lieu. J’étais fatiguée de fuir et sûrement par ce que je voulais mon chez-moi… je voulais me sentir chez moi. C’était dingue mais même si je n’étais pas spécialement mal, je me sentais pourtant mal loin de ma maison.
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