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steadworthyharem ► on a jamais dit qu'on était de trop à plusieurs pour paniquer !


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mot doux de Invité ► un Sam 11 Juin - 23:28
steadworthy harem
on a jamais dit qu'on était de trop à plusieurs pour paniquer !


Certains membres de la famille n’étaient pas en ville pour le moment, d’autres si. Je n’aimais déjà pas savoir Joe tout seule à la ville de notre grand-mère alors que même Mael et celle-ci étaient absents. Le boulot pour d’autres et les clubs de voyage pour notre granny préférée. Je savais aussi que Sophia était seule ainsi que Sam. Pourquoi avoir proposée qu’ils nous rejoignent une fois que leur maison était bien protégée ? Simplement pour qu’on se retrouve tous en famille. J’avais assez de lits ou de canapés pour faire dormir ce petit monde avec ce vent et cet orage qui frappait la ville. Il devait être dans les alentours de 17 heures tandis que le mauvais temps tournait déjà assez mal. Je ne savais pas vraiment comment calmer mon inquiétude alors que je préparais le diner. Je n’avais même plus fais de sauce bolognaise depuis qu’entre deux carottes coupées, mon fils avait annoncé être une fille. J’ignorais s’il l’avait remarqué et j’avouais que j’assimilais les deux moments. C’était assez difficile pour s’y faire. Trop difficile peut-être ? Je n’en savais rien et pourtant de bonnes choses étaient arrivées entre temps. J’avais embrassée Liam et j’arrivais à me contrôler quand j’étais en présence de Cameron. Je devais avouer que les deux étaient de très bonne chose car mon cœur ne savait pas pour qui pencher par moment et à d’autres moments, je rêvais de Liam plus que d’autres choses. Etais-ce un signe ? Je n’en avais que faire des signes mais je n’avais plus osé aller aussi loin depuis la saint-valentin avec lui. Peut-être mes peurs ? Oui mais pas que ça. Je culpabilisais d’aussi désirer son ami ce qui était clairement normal. Coupant les carottes à nouveau, je repensais à cette conversation que j’avais eue quelques mois précédemment avec ma fille… mon fils. Roh et puis merde, c’était encore compliqué avec 13 années à ne pas savoir quoi faire. Je ne savais tellement pas ou donner de la tête en ce moment comme si mon corps me disait de m’y faire, mon esprit aussi mais mon cœur avait du mal. Oui, c’était étrange. Je n’avais pas honte de ça mais c’était un changement, tellement un gros changement que je devais m’y adapter. Etais-ce anormal d’avoir du mal à s’y faire ? Je ne crois pas. Je me sentais dans un échec à la fois de n’avoir rien vue. Merde, je suis détective et si je ne suis même pas capable de voir une évidence. Qu’est-ce que je devrais faire ? J’inspirais doucement, relevant mon regard vers l’écran de la télévision doucement brouillé par la météo et je soupirais doucement en relevant mon regard vers le cadran de l’horloge. « Dépêchez-vous avant que j’alerte la police ! », soufflais-je en me disant que je téléphonerais bien à Liam, la police. Juste pour savoir comment il va et Cameron aussi. Je voulais savoir qu’ils étaient en sécurité et pourquoi pas Aaron également. Roh je téléphonerais bien à tout le monde juste par peur de perdre ces gens qui me tiennent à cœur. J’en avais peur. J’avais failli être de ces personnes qui avaient la sensation que leur vie s’échappait. Je l’avais eue bien nombreuse fois pendant mon cancer et c’était guérit mais je l’avais sentie à chaque chimiothérapie et à chaque mauvais effet. Je pouvais encore le sentir parfois. C’était troublant. Très troublant. Je ne voulais perdre personne et surtout pas après Stefan et nos parents. Je mettais les carottes dans la sauce avant de couvrir la marmite d’un couvercle et j’attrapais mon téléphone pour regarder si je n’avais aucune nouvelles d’une de mes sœurs ou même de Sam même si j’ignorais s’il venait ou pas. Je n’étais pas sûre de cette information pas encore confirmée. Mais je paniquais comme un ours qui ignore s’il aurait assez de miel pour hiberne. Je sentais mon cœur battre la chamade. Il faisait badaboum. C’est quand la porte d’entrée s’ouvrir que je courrais vers celle-ci sans même prendre le temps de voir qui se trouvait sous cette capuche, ce long manteau avec un parapluie. Je lui sautais dessus pour un câlin tendre. Rassurée qu’au moins l’un d’eux soit arrivé. Je n’avais même pas pris le temps de savoir qui je serrais dans mes bras et imaginons que c’est un voleur qui craint la pluie et le mauvais temps ? Qu’importe, un peu d’amour pour les méchants. Je desserrais un peu l’étreinte avant de regarder qui se trouvait face à moi. « Je me faisais du sang d’encre… », disais-je alors avant de tourner mon regard vers les escaliers. « Sebastian, tu viens ? », disais-je alors me trompant dans son prénom même si je savais qu’il voulait qu’on l’appelle Sabrina maintenant. C’était encore troublant pour moi. Je retournais mon attention vers cette personne qui avait été ma victime de câlin et je lui souriais en allant regarder si quelqu’un d’autre arrivait. Je m’inquiétais et je ne pouvais pas le cacher.
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mot doux de Invité ► un Dim 12 Juin - 3:45

Un moment en famille

I’ve tried to make this life my own, to find myself, I’ve searched alone. To let love go and let it in, I found it burning like a sin. I’ve worked it out, but learned it hard, it’s sad inside and life is out. Till I won’t settle down and watch either way.
Sebastian et famille

Sebastian se trouvait dans sa chambre et se préparait pour le souper de famille qui aurait lieux dans quelques instants....enfin se préparait était un bien grand mot, car il ne savait pas du tout comment il allait s'habiller, il voulait porter une robe, mais est-ce que sa mère serait vraiment d'accord. D'ailleurs en parlant de tenue, Sebastian ne quittait pas les deux robes qu'il avait acheter deux jours plus tôt. L'une était bleu et n'avait pas de manche, mais des bretelles et l'autre était rose pâle. Il ne savait vraiment pas quoi choisir et d'ailleurs, il ne savait vraiment pas quoi mettre et si sa mère serait d'accord. Soupirant, il se leva de son lit et marcha dans le couloir, mais finit par revenir dans sa chambre et retira les vêtements qu'il portait et attrapa la robe bleu, baissa la fermeture dans le dos de la robe et le jeune Sebastian enfila la robe et avec un gros effort, il réussit à remonter la fermeture éclair dans le dos de la robe bleu.

Maintenant qu'il se trouvait dans sa robe, Sebastian marcha vers son garde robe et en sortie une trousse de maquillage et se rendit vers la salle de bain. Une fois dans cette pièce, Sebastian déposa sa trousse sur le lavabo et l'ouvrit. Il prit son tube de gloss brillant et en mit sur ses lèvres. Se regardant une dernière fois dans le miroir, il sourit. Quand il fut de retour dans sa chambre, il rangea sa trousse de maquillage où il l'avait prit. Au bout d'un moment, Sebastian retourna prendre place sur son lit et se vernis les ongles des mains et des pieds avec un vernis rose. Après un certain temps, Sebastian entendit la voix de sa mère qui l'appelait, alors furieux qu'elle l'ai encore appeler par son ancien prénom, le jeune cria par le cadre de porte. ''MAMAN! JE T'AI DÉJÀ DIT QUE JE M'APPELAIT SABRINA!'' Bon, il est vrai qu'il n'était pas obligé de crier, mais en même temps, il voulait tellement que sa mère arrête de se tromper que cela finissait par lui faire perdre les nerfs parfois.

Allant vers la fenêtre, Sebastian regarda à l'extérieur quelque instant, mais le temps n'était pas terrible, alors il marcha finalement vers sa commode et en sortit une paire de collant opaque couleur peau et sortit finalement de sa chambre en silence pour enfin descendre les marches. Pendant qu'il descendait, il vit sa mère qui était en compagnie de quelqu'un, alors arrivant à l'avant dernière marche, Sebastian s'arrêta et dit en regarda l'inconnu, puis sa mère. ''Je suis désoler d'avoir crier maman! Mais tu sais que je préfère que l'on m'appelle Sabrina.'' Puis il regarda de nouveau le premier invité et dit. ''C'est qui?'' Avec sa tenue, Sebastian ne pouvait pas savoir de qui il s'agissait.

Restant debout sur l'avant dernière marche, le fils d'Ariel fini par reprendre la parole en ignorant le nouveau venu. ''Tu penses que je devrais mettre ces collants avec la robe?'' Il devint rouge, il n'avait pas l'habitude de demander ce gens de conseil à sa mère.
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Sam S. Steadworthy
Sam S. Steadworthy
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❝ Métier : Agent animalier au sein du refuge de Pasadena et professeur de chant pour des personnes défavorisées.
❝ cupidon : Etre célibataire, ce n'est pas être faible, c'est être assez fort pour attendre la bonne personne.
❝ post-it : hobby ► le chant - la guitare - regarder les disney - grimper aux arbres - partir pour de nouvelles aventures - tenir son cahier sur ses observations animalières - passer du temps avec les animaux - le paintball - se balader tout seul dans la rue en écoutant de la musique

petit plus ► il se sous-estime énormément et cela lui arrive de déraper parfois. - il zappe souvent l'autorité - il ne veut pas grandir, comme Peter Pan - pense que les films et séries font passer des messages, des leçons de vie - écoute des musiques diverses, pensant que la diversité est quelque chose de bien dans beaucoup de domaines - aime le sport et avoir un beau physique - raffole des chips au barbecue - se goinfre de pots de glace lors d'une rupture amoureuse - aime passer du temps vers le sapin pour Noël - voit un psy - a perdu le nord en fumant des joints avec son frère jumeau, mais a vite stopper à cause d'une overdose d'un de ses amis. - monte une chorale avec les jeunes adolescents et adultes qui sont inscrits à ses cours de chant
❝ pseudo : darknihl
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mot doux de Sam S. Steadworthy un Lun 13 Juin - 16:41
Son téléphone vibra. Sam, assis dans le canapé, vint attraper son portable en soupirant légèrement. Qui pouvait bien le déranger alors qu'il regardait pour l'énième fois Starstruck : rencontre avec une star. Sa soeur Ariel. Haussant un sourcil, il se demandait bien ce qu'elle pouvait bien lui vouloir. Certainement prendre des nouvelles, comme à chaque fois. Il était tenté de regarder le message qu'à la fin de son film, mais curieux comme il était, il le lit. Une invitation à venir manger ce soir. Pourquoi pas ? Après tout, il n'avait rien prévu de spécial et cela lui faisait une occasion de revoir sa soeur face à face ainsi que son neveu. Enfin plutôt sa nièce. Car oui, Sam était au courant que Sébastien devenait Sabrina. Un changement qui ne dérangeait pas du tout le jeune homme. Très ouvert d'esprit, il comprenait que certaines personnes avaient besoin de changer de peau pour se sentir mieux. Mais le voir en fille, ça allait lui faire bizarre. D'ailleurs, il se demanda si ce soir, Sébastien serait Sabrina ou pas. Car oui, Sam comptait bien accepter la proposition de sa soeur. Petit bémol, dans l'affolement car il n'était pas encore lavé, ni correctement habillé, il oublia de lui répondre. Honte à lui, je sais. Donc direction la douche pour prendre un bon bain et hop, le voilà dans sa chambre, en train de choisir ce qu'il allait mettre. Il n'allait pas voir le président ou bien le maire, alors pas besoin du costume cravate. Sauf que monsieur ne jeta pas de coup d'oeil dehors et il s'habilla en mode été : bermuda avec un t-shirt. Ce fut qu'une fois habillé qu'il eut la brillante idée de jeter un coup d'oeil à l'extérieur et le temps n'était pas joli joli en réalité. Soupirant un grand coup, il se changea, mettant une tenue un peu plus adéquate. Un jean avec un polo fera l'affaire ! Regardant son portable, il devait se magner un peu s'il ne voulait pas arriver en retard. Même si en soit, Ariel ne lui avait pas donné d'heure. Mais il ne voulait pas arriver en dernier. De plus, il devait passer au supermarché pour prendre une bouteille de vin. Car il détestait aller chez les gens, les mains vides. Même quand ces gens étaient de la famille. Il y avait une petite supérette pas très loin de chez lui où il allait souvent. Vu le temps, il n'allait pas risquer d'y aller à pied pour arriver tremper chez sa soeur. Prenant la voiture, cinq minutes après, il s'arrêta à cette fameuse supérette pour acheter une bouteille de vin rouge. Ne sachant pas qui serait là à cette soirée, Sam préférait prendre quelque chose qui faisait passe partout. A la caisse, il ne put s'empêcher de bavarder avec la caissière qui était également la propriétaire. « Une grande occasion à fêter ? » Lança-t-elle en voyant la bouteille de vin rouge. « Non simplement un repas de famille ! Mais je sens que ce soir, le repas va être intéressant ! » Pendant quelques minutes, les deux discutèrent de tout et de rien avant que Sam ne quitte la boutique et ne rentre dans sa voiture, direction chez sa soeur. En chemin, il mit un peu de musique pour se détendre, même si en soit, il n'était pas stressé. Juste pour être totalement zen. Certains fumaient des joints, ben Sam lui, écoutait de la musique. D'ailleurs, en allumant le poste, il tomba sur une chanson qu'il adorait. Et il ne put s'empêcher de la chanter. « Love me like you do, love love love me like you dooo ! » On le perdait là, mais restait concentrer sur la route quand même ! Il chantonnait plusieurs chansons avant d'arriver chez sa soeur. Sortant de sa voiture, il prit la bouteille de vin dans ses mains et direction la porte d'entrée. Sonnant alors, on vint alors lui ouvrir et il esquissa en voyant que c'était sa soeur. Il n'avait même pas eu le temps de poser son parapluie qu'elle vint le serrer dans ses bras. « Et bien dis moi, t'étais en manque de câlin ? » Lança-t-il en déposant son parapluie contre le mur et de poser ses bras sur le dos d'Ariel. Elle se faisait donc du sang d'encre ? Sam ne voyait pas vraiment pourquoi, mais il avait appris que parfois, avec sa soeur, il ne fallait pas chercher. Il se contenta simplement à présenter ses excuses. « Vraiment désolé ! La prochaine fois, je viendrais le matin pour être sûr d'être en avance et t'éviter d'avoir des cheveux blancs ! » Appelant alors Seb, le beau brun haussa un sourcil en voyant la réponse de son neveu envers sa mère. Il avait l'impression qu'il l'engueulait. Mais ce n'était pas ses affaires. Sam nota le comportement étrange de sa soeur et ne put s'empêcher de lui demander si tout allait bien. « On dirait que ça ne va pas très fort ? » Lança-t-il avant que Seb fasse de nouveau une interruption en s'excusant, précisant qu'il préférait qu'on l'appelle Sabrina. Noté dans la tête du jeune homme qui n'allait pas se tromper en lui disant bonjour. D'ailleurs, toujours habillé, son neveu ne le reconnut pas de suite. « C'est ton oncle Sam voyons ! » Lança-t-il avant de rire légèrement en se rendant compte du jeu de mot qu'il avait fait en disant qu'il était l'oncle Sam. Enlevant alors son blouson, il s'en alla poser la bouteille de vin rouge sur la table de cuisine, avant de revenir et d'entendre la question de Sabrina. Sur le coup, il n'aurait pas aimé être à la place de sa soeur. Mais cela ne l'empêcha pas de donner son avis. Comme souvent d'ailleurs. « Perso, je te dirai de ne pas mettre des collants. Si tu as les jambes bien rasées, ça passe tranquille ! Et au passage .. Tu es magnifique avec ta robe ! » Sam était au courant de la transformation de son neveu. Et même si sur le coup, cela lui avait paru bizarre, il commençait peu à peu à s'y faire. Voilà pourquoi il parlait en étant détendu. Mais le reste des invités, le savait-il ? Sam l'ignorait ..
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mot doux de Invité ► un Lun 27 Juin - 8:54
Je reste bloquée sur ma penderie. Des robes s'offrent à moi par dizaine et peut-être une vingtaine. Rangées par dégradation de couleurs, je reste sur le banc de touche. Que mettre ? C'est là mon plus grand dilemme. Vêtue d'un ensemble léger de sous-vêtements, je regarde ma tenue à en devenir. Un repas de famille, je n'ai pas besoin d'être habillée aussi chic que si j'allais à la première d'un film ou des choses comme ça. Cependant, le savoir de comment m'habiller m'est toujours si crucial. Je soupire. Plonge une main aveugle dans la penderie et tire sur un cintre. Je découvre avoir pioché une robe noire avec des manches fleuries. Je l'enfile, monte la fermeture sur le coté et attrape une paie d'escarpins noires. Je prend une pochette qui va bien avec et me regarde dans la glace. Parfait. Je regarde par la fenêtre. Il pleuvait des cordes. Je soupire pour attraper un long manteau beige et un parapluie noir. J'appelle le service des taxis pour en avoir un à la porte de mon immeuble. Dix minutes à attendre avant l'arrivé d'un taxi ; génial, je serais en retard, ma foi... Ce ne sera pas une première.

Dix minutes à attendre sont passés. Longuement mais jamais aussi longtemps avec un peu de téléréalité. J'éteins tout, vérifie les gamelles de mon bulldog français, Pickles. Je l'embrasse comme un petit enfant et pars en fermant ma porte à clés. Je descend par l'ascenseur de mon immeuble et salua mon concierge en chemin. Le taxi se tient juste devant la porte vitré et je me prépare à un super sprint. Le chauffeur m'a ouvert la porte au préalable. Je n'ai plus qu'à foncer dedans.

La route du Centre jusqu'au quartier des riches, Ouest, est un peu longue mais le paysage pluvieux et le taximan très sympathique me font perdre la notion du temps. Il me reconnait, la fille du matin et avoue mettre ma radio au travail pour ses passagers. Je suis flattée et nous parlons principalement de la radio. Il essaie de savoir le visage de Dear Mom, il se doute que je la connaisse mais je dénie complètement, bien que c'est impossible. Son secret est aussi une part de mon contrat alors, non, mon silence est payé.

Arrivée devant chez Ariel, je donne la somme exacte au chauffeur avec un petit pourboire pour sa sympathie. Lorsque j'ouvre la portière, j'ouvre aussi mon parapluie avant de courir en talons jusqu'à sa porte. Le taxi partit, je sonne à la porte de cette dernière. Suis-je la première ? Mes autres soeurs sont-elles déjà arrivées ? Mes frères ? Je sais que je vais voir mon neveu, Sebastian, et qu'il a radicalement changé. Il est devenu fille, Sabrina en somme, et bien que cela sera ma première fois de le voir ainsi -moi qui avait l'habitude de le voir en petit mec- je pense que cela ne va pas plus me choquer que ça. Des transsexuels, j'en vois des tas en soirée LBGTI où je vais puisque j'en fais partie de la communauté.
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Sophia A. Steadworthy
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❝ cupidon : le cupidon a utilisé une flèche cassée sur mon coeur. Mon mariage est un échec.
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mot doux de Sophia A. Steadworthy un Lun 27 Juin - 20:37
Aujourd’hui était un diner de famille un peu spécial. En soit, il n’y avait rien de particulier, un simple désir d’Ariel de réunir la famille au même endroit. Je la soupçonnais de vouloir nous avoir tous au même endroit pour nous surveiller. J’aimais ce côté surprotecteur de ma sœur et je la suivais sur ce terrain. On n’était jamais assez prudent, la vie se montrait tellement imprévisible. Quoi qu’il en soit, cette soirée avait une importance pour moi car elle marquait le retour officiel de ma vie conjugale. En effet, nous avions décidé de reprendre notre vie commune Jamie et moi. Bien entendu, tout n’était pas réglé mais lui comme moi faisions des efforts. J’avais mis beaucoup de temps pour comprendre que ses infidélités n’étaient qu’une part de lui et ne définissaient son entièreté. Je n’acceptais toujours pas ses infidélités, j’avais encore beaucoup de difficulté à accepter cela. Mais Jamie faisait des efforts de son côté lui aussi. Je ne savais pas si il réduisait sa fréquence ou si il avait cessé mais il faisait en sorte que je ne puisse rien voir ou découvrir. Quoi qu’il en soit, nous trouvions un certain équilibre et nous avions décidé de nous offrir officiellement cette chance. Cela signifiait le retour officiel de Jamie dans la famille. Je savais que cela n’allait pas être facile, personne n’ignorait ce qu’il s’était passé à New-York.

Vêtu d’un jean et d’un large pull, je n’arrivais pas à réaliser que nous étions en été avec un temps aussi merdique. Sortant de la voiture de Jamie, je lui attrapais la main avec un dernier sourire légèrement crispée. J’étais relativement tendue car je ne voulais pas que cela parte en mise à mort. Je voulais retrouver un équilibre et j’espérais que ma famille comprendrait. Lâchant la main de Jamie, je montais les marches jusqu’à chez Ariel. Je me sentais tellement nerveuse. J’entrais chez elle, sachant qu’elle nous attendait. Je vis immédiatement Belle qui venait sans doute d’arriver. « Bonjour tout le monde. » C’est pas la suite que je vis Sam et Sabrina puis enfin Ariel. J’allais les embrasser un à un laissant Jamie faire son entrer quand il s’en sentait le courage. Je savais qu’il était tout aussi nerveux que moi. Il n’était déjà pas à la base famille mais le fait que tout le monde connaissait ce qu’il s’était passé n’aidait réellement pas. Me passant nerveusement un main dans les cheveux je restais à côté d’Ariel, ayant le caractère sans doute le plus impulsif. « Je peux t’aider ? » lui demandais-je comme si de rien n’était. Peut-être que je m’inquiétais trop ? « Vous racontez quoi de nouveau ?» demandais-je par la suite à l'attention de Sam et Belle.
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Jamie D. Copperman
Jamie D. Copperman
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❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique
❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte.
❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir


Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
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❝ pseudo : monocle.
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❝ avatar : Daniel Gillies
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Roses
❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥
❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.

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mot doux de Jamie D. Copperman un Ven 1 Juil - 5:32
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La radio allumée sur les nouvelles, j'écoutais la femme de la météo parler de la tempête qui arrivait à vitesse grand v sur la Californie. Malgré mon oreille tendue vers la voix de la radio, mon attention était toujours fixée sur le bacon qui grésillait dans la poêle. Bien que ça avait pris un certain temps avant de que je me trouve une maison, quittant ainsi l’hôtel, j’avais pu enfin reprendre mes bonnes vieilles habitudes. Soit cuisiner au lieu de manger ce qu’offrait l’hôtel. Ce plaisir si simple de cuisiner m’avait tellement manqué que je me sentais le plus heureux des hommes en ce moment et pourtant ma vie n’avait rien de rose. Croulant sous le boulot et faisant des efforts considérables pour améliorer ma relation avec Sophia, ce n’est qu’en faisant la cuisine que je me sentais si léger. Les bruits de pas arrivant derrière moi, attirait mon attention, me faisant ainsi tourner la tête sur mon cousin qui arrivait. Ayant promis de ne rien dire à propos de Julian à Jared, j’avais décidé de le prendre sous mon toit. Ça aurait été assez mal vu de le laisser à la rue. Déposant bacon et œuf dans une assiette, j’allais la poser devant celui-ci. « Ça tombe bien que tu sois là, tu vas pouvoir m’aider à barricader la maison en prévision de la tempête. » S’il voulait vivre sous mon toit, il devait bien mettre la main à la pâte et puis à deux ça irait plus vite que seul. J’attendais de voir s’il avait compris pour ensuite retourner à la préparation de mon assiette. Je posais enfin mes fesses sur le tabouret près du comptoir lunch, lorsque mon portable se mit à sonner. Manquerait plus que ça si l’hôpital avait en plus besoin de moi. Mais non, l’appel venait d’une toute autre personne. Décrochant, je répondais à Sophia sans trop en faire, même si on se reconstruisait petit à petit, l’homme complètement in love ce n’était pas moi. Ça ne l’avait jamais été. Écoutant ce qu’elle avait à me dire, je finissais par accepter son offre. Même si d’un sens me retrouver avec sa famille me faisait penser que je me mettais les deux pieds dans le plat, je ne pouvais pas non plus refuser l’invitation. J’aurais simplement la chance de critiquer la nourriture d’Ariel, sachant qu’elle ne me porte pas dans son cœur, autant jouer franc jeu pour une fois. Une fois après avoir mangé, je m’attelais à barricader la maison avec l’aide de Julian, puis j’allais prendre une douche. J’enfilais par la suite une tenue convenable, soit pour moi chemise et costard. Je n’allais très certainement pas aller là-bas en t-shirt et bermuda, chose que je n’avais de toute manière pas vraiment dans ma garde-robe. Fin près, j’enfilais un trench bien qu’avec le temps qu’il faisait dehors, l’imperméable de marin aurait pu faire tout autant l’affaire. Dommage que ça n’aille pas avec mon teint de peau. Bref. J’allais chercher ma voiture, pour passer prendre Sophia chez elle. Tel un gentleman, j’allais la chercher à sa porte, puis je nous conduisais chez sa sœur. Le temps se couvraient et j’espérais arriver chez la triplette de ma femme avant que le déluge ne s’abatte sur la ville. Conduire dans ces conditions pouvait être risqué. Par chance, c’est en un seul morceau que j’arrivais sur Oakland avenue. Me garant devant la villa, je posais mon regard sur la porte de la demeure, poussant un soupir. Généralement confiant, cette fois je ne savais plus trop comment voir la chose. J’allais véritablement affronter la famille de Sophia et c’était sans doute au pilori que j’allais finir si je faisais un faux mouvement, une parole de travers et c’est bien ce que je craignais. Galant et courtois, parfois je ne manquais pas de saler mes propos surtout si je me sentais pris au piège. Sortant de la voiture, je rabattais le col de mon trench contre mon cou, réduisant les dégâts de la pluie, même si un parapluie aurait été d’une plus grande utilité. Glissant mes doigts avec ceux de la blonde près de moi, je lui adressais un sourire discret avant de la suivre, marchant sur ce couloir de la mort. Après tout, c’était chez Ariel que je me rendais et elle serait sans doute la première à me mettre à mort pour ce que j’avais fait à sa sœur – et que je continuais de faire en toute discrétion. Relâchant la main de Sophia, je restais un instant sous la pluie, la regardant gravir les marches et entrer. « Si tu peux terrasser un cancer pourquoi pas cette famille ? » me disais-je dans un murmure avant de me diriger à mon tour vers la maison. Je franchissais à mon tour la porte, relevant mon regard sur la petite famille. Généralement, je fuyais ce genre de rencontre, mais c’était surtout pour faire plaisir à Sophia que j’avais accepté et ainsi montré que je faisais un effort. Passant ma main dans mes cheveux mouillés, je les lissais tout en posant mon regard sur chacun d’eux. Mon regard s’attarda un instant sur le fils d’Ariel qui semblait se prendre pour une poupée grandeur nature avec sa robe bleue. Avais-je manqué un épisode ? Sans doute, peut-être plus d’un même. « Bonjour. » Je retirais mon trench pour le suspendre avec les autres manteaux, puis tirait doucement sur mes manches pour défroissé mon veston.
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et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !


steadworthyharem ► on a jamais dit qu'on était de trop à plusieurs pour paniquer ! Empty
mot doux de Contenu sponsorisé ► un
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steadworthyharem ► on a jamais dit qu'on était de trop à plusieurs pour paniquer !


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