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olivia&aaron ► le silence peut être un instinct de survie mais aussi la pire des pénitences !


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mot doux de Invité ► un Dim 5 Juin - 17:03
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Un grand homme a dit que le cœur a ses raisons que même la raison ignore. Pourquoi étais-je encore là alors que je me sentais brisée des pieds à la tête ? Comment même arrivais-je encore à sourire ? Pour être franche, je n’en avais aucunes idées. Je m’efforçais à faire depuis des semaines, des mois comme si je ne savais rien. Pas vraiment concluant, aussi froide qu’un iceberg, je ne fondais même plus en le voyant à moitié nu et je le voyais avec toutes les femmes que je croisais à chaque fois que je le regardais ou à chaque fois qu’il posait ses lèvres sur les miennes. C’est con mais garder ça pour moi et ne même pas en parler avec mes amies me rendaient dingue. Peut-être avais-je honte aussi d’en parler ? Être cette femme cocue et brisée ? Je tentais de ne pas y penser mais je savais que la confiance que j’avais en mois s’échouait comme mon caractère de lionne impulsive. Quoique je l’avais quand même en le repoussant par moment. En me dégageant presque au bord du lit. Je l’avais pour garder des distances. Je n’étais pas vraiment une bonne actrice et ça se voyait qu’on le veuille ou non… que je ne le veuille ou non. Dans le fond, j’aimerais tellement vivre comme si je ne savais réellement rien mais je n’y arrivais pas totalement. Cette soirée était encore l’une de celles où on avait dû sauver les apparences après le départ de Belle ma meilleure amie et mon assistant qui étaient venus pour un diner. A 4 autour d’une table à faire comme si j’étais la femme… heureuse que je devrais être car je savais que j’avais dans le fond bien plus de chances que d’autres femmes. Je savais que je ne devais pas laisser ma vie s’envoyer en éclat et c’est peut-être pour ça que je préférais jouer à ce jeu ? Ce n’était même pas un jeu. Cela en était invivable autant pour moi que sûrement pour lui. Quoique je n’en sais rien. Je préférais ne pas le savoir peut-être égoïstement ? Alors que nos invités étaient partis et que le bébé était couché. Il était un peu plus tôt que prévu mais la météo tournait au vinaigre avec les alertes de tornades et vents terribles qui profanait nos maisons parfois. Les mots cessaient, la comédie s’arrêtait sur un mode stop comme pour un lecteur de musique. Je redevenais ce glaçon digne d’un congélateur un peu trop froid que je pouvais être avec lui. Cette boule de silence. Ce bouton mute que j’enclenche pour ne pas avoir la migraine que j’allais avoir sûrement si je continuais à trop penser. J’évitais de le regarder pour ne pas avoir des images de lui et ma meilleure amie. Quand je vous dis que c’était avec toutes les femmes qu’il croisait, c’était vraiment le cas. Cela m’obsédait comme on peut être obsédé par Johnny Depp si on aime ce type. Je m’étais contenté de mettre la télévision pour écouter la rediffusion de mon émission de la semaine dernière qui se faisait tous les vendredi soir. J’écoutais ma voix de femmes heureuses qui utilise une petite anecdote de son couple pour expliquer un souvenir tellement révolu d’une bagarre de pâte à cookie. Oui, vraiment révolu comme si c’était… à des années lumières et pourtant je me souvenais avoir eue des étoiles dans les yeux le jour du tournage et pourtant c’était il y a 3 semaines seulement. J’allais faire couler l’eau dans l’évier, surveillant sa température tandis que je prenais les marmites. Pas de soucis pour les assiettes, elles allaient aller dans le lave-vaisselle mais avec tous les bazars pour bébés, on avait plus vraiment de places pour toutes ces choses encombrantes que je me voyais faire à la main. Le repas avait été délicieux mais il y avait beaucoup trop de vaisselles bien que ça me permettait de m’enfuir dans une chose à faire. Une bonne excuse pour ne pas aller dans le canapé et risquer de le regarder dans le blanc des yeux sans savoir quoi dire si ce n’est un mensonge de conversation que je voulais éviter à chaque fois. Je soupirais doucement, lavant un troisième plat alors qu’une branche d’arbre cognait violemment contre la fenêtre protégée à l’avance. Je sursautais, lâchant un cri de surprise qui par chance ne réveillait pas le bébé. Tout allait bien, je continuais ce plat qui heureusement n’était pas en verre au choc qu’il avait reçu contre la pierre du meuble de cuisine. Je n’ai pas parlée des éclaboussures de la mousse et de l’eau sur mes cheveux, mon visage et ma robe de cocktails. Je posais ce plat sur l’égouttoir après l’avoir rincé et je faisais le dernier comme une machine prête à faire tous les plats du voisinage pour s’auto-protéger. A quel point avais-je l’air minable ?
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mot doux de Aaron B. Maccallister un Dim 5 Juin - 17:33
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Aaron devenait fou. Il le sentait chaque jour qui passait. Agacé, épuisé, les nerfs à vif, il n'en pouvait plus. Il avait plus ou moins compris au début, même s'il avait été surpris de voir Olivia rester silencieuse et contenue après son terrible aveu. Il s'était dit qu'elle avait besoin de temps pour assimiler la chose. Alors il lui en avait laissé. Du temps et de l'espace, essayant de ne pas l'étouffer de sa présence pour la laisser trier ses sentiments en paix. Sûrement, il allait venir un moment où la chose allait la frapper de plein fouet et ou une colère légitime l'emporterait. Mais non. Rien. Et ça faisait plusieurs semaines que ça durait. Olivia agissait comme si de rien n'était en apparence. Leurs routine quotidienne n'avait pas changé. Aux yeux de n'importe qui, le couple était le même qu'il avait toujours été. C'était bien évidemment faux. Ils étaient tout sauf un couple. Juste deux personnes partageant un espace commun et délivrant une parodie amère d'une vie à deux. Olivia ne lui parlait plus. Olivia ne le touchait plus. Elle l'ignorait à la perfection et Aaron le supportait de moins en moins. Ca le rendait fou. Il n'avait pas eu le courage de remettre le sujet sur le tapis, préférant saisir sa chance et essayer au contraire de rebâtir leur intimité et leur aisance. En vain. Il lui demandait comment s'était passé sa journée et elle lui répondait d'une syllabe avant de se réfugier dans le silence. Il glissait une main sur sa peau et elle se tendait comme si son simple toucher la dégoutait. Un gouffre s'établissait entre eux lorsqu'ils dormaient dans le même lit, mais Aaron refusait d'aller dormir dans le canapé pour l'épargnait. Elle ne disait rien. Elle ne disait rien, comme si tout était normal alors qu'ils savaient pertinemment que ce n'était pas le cas. Elle ne disait rien, alors pourquoi il ferait un effort? Ils pouvaient être deux à jouer à cela! Mais c'était faux. Car Aaron était incapable de jouer le jeu!!!! Il passait ses journées à attendre de la voir réagir! Et puis ce diner! Aaron aurait pu s'arracher les cheveux. Il n'avait pas été un bon hôte, contrairement à Olivia qui savait manier la conversation et jouer le rôle de la femme heureuse à la perfection. Aaron lui bouillait de l'intérieur, profondément énervé de la voir ainsi et agacé de devoir faire bonne face pour les invités. Il lâcha un soupir de soulagement lorsqu'ils s'en allèrent enfin. Puis le silence retomba. Heureusement qu'il y avait Liam avec eux, le petit comblant le silence de la maison, car Aaron aurait sans doute pété un câble bien plus tôt. Aaron se sentait particulièrement remonté ce soir là, aussi agité que la tempête qui sévissait de l'autre côté des murs. Il ne pouvait pas continuer comme ça. Il le savait au plus profond de lui-même. C'était invivable. Pour tout le monde. Pour lui, pour elle et pour Liam aussi, qui devait ressentir d'une manière l'atmosphère toxique qui régnait chez eux! Aaron ne pensait pas en arriver à une telle conclusion, mais il savait qu'il préférait mettre fin à leur relation que rester ainsi. Pourquoi ne parlait-elle pas? Pourquoi ne disait-elle pas ce qu'elle ressentait? Elle était blessé, c'était évident, alors pourquoi ne criait-elle pas?! Ca ne lui ressemblait pas, elle d'ordinaire si sanguine et passionnée. Aaron réalisa qu'il était figé dans la pièce, son regard vissé sur la nuque d'Olivia qui faisait la vaisselle d'une lenteur exceptionnelle. Elle gagnait du temps encore une fois. N'importe quoi pour éviter d'avoir à se retrouver seule avec lui, à lui parler. Ca y est. Ca en était trop. Il était à bout! Il savait qu'il n'était pas en droit d'être en colère vu que c'était sa faute, mais elle le torturait elle aussi. « Olivia» dit-il pour attirer son attention, mais elle l'ignora. C'était la goutte d'eau de trop. « Mais tu vas dire quelque chose, oui!! » s'emporta-t-il, rendu dingue par son immobilité. « Combien de temps tu vas continuer à m'ignorer? A ignorer la vérité? » continua-t-il, bercé par sa colère et la frustration des dernières semaines. « Je t'ai trompé Olivia, nom de Dieu! Dis quelque chose! Réagis bon sang! » envoya-t-il valser, sans aucune délicatesse ni retenue. S'il fallait qu'il la mette face à face avec les faits, alors il allait le faire. Il n'avait plus peur de la brusquer. Ca avait assez duré comme ça! Sois ils en parlaient là maintenant tout de suite pour essayer de sauver leur couple, sois ils s'accordaient à dire pour que c'était fini. Plus d'ignorance, plus de silence, ils allaient en venir à bout ce soir.
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mot doux de Invité ► un Dim 5 Juin - 18:17
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Le silence était aussi lugubre que l’odeur de mort dans un cimetière. Alors que je pouvais presque entendre les mouches voler, je savais qu’il était pointé derrière moi à me regarder comme souvent. C’était loin d’être la première fois ou je me cachais derrière des plats et une vaisselle. Peut-être pas la dernière ? Je n’en savais rien et je ne voulais secrètement pas le savoir car c’était invivable de vivre ainsi. Oui, c’était vrai. Ca l’était. Le silence de marbre, je l’avais le plat en verre. Comme par hasard quand il m’adressait la parole. Je l’ignorais. C’était plus fort que moi mais j’étais en sécurité en étant dos à lui. Je savais qu’il ne pouvait pas voir la douleur lisible sur mon visage que je ressentais en l’ignorant. Oui, ça faisait mal. C’était comme se couper les veines lentement depuis des mois, des semaines. Il reprenait la parole et mon cœur priait pour qu’il se taise mais surtout par ce que j’ignorais si j’étais prête à dire un truc. Ou même si j’étais prête à l’être un jour. J’inspirais doucement, le laissant évacuer ses mots et sa colère alors que je restais encore dans un mutisme royal. Je savais que c’était une chose imbuvable. Je comprenais même d’une certaine façon à quel point cela devait être difficile pour lui. Je comprenais que j’étais atroce d’une certaine façon et pourtant je n’arrivais pas à faire en sorte d’être… là. Présente sur cette planète. J’étais ailleurs. Il disait les mots qu’il n’avait pas dits ce soir-là. Les mots qui rendaient ça plus réellement que de le savoir mais de ne jamais l’avoir entendu de ses lèvres. Pas avec autant de violence. Il n’était pas violent mais c’était une bonne façon de remuer toutes les globules de mon corps d’un mouvement sans gestes. M’apprêtant à mettre à rincer ce plat, je sentais une douce rage m’emporter. Elle parcourait mes veines. Elle palpitait dans ma tête, dans mon cœur comme une chanson de rock n’roll qui nous crie de hurler. Mais je ne hurlais pas, je me contentais de lever les bras et de pivoter un peu plus… balançant ce pauvre plat qui n’avait rien demandé à personne pour signe de colère, de rage. « NON ! », éclatais-je sans crier. Je ne voulais pas réveiller le bébé même si les fracas du verre n’étaient pas vraiment un bon point mais j’espérais qu’il continue à dormir. Après son sommeil était beaucoup moins léger avec les mois qu’il prenait. « Qu’est-ce que tu veux que je te dise, Aaron ? », demandais-je alors en haussant les épaules. « T’as résumé tout en une phrase… Tu m’as trompé, je peux y changer quoi ? », demandais-je en fronçant les sourcils. « Je peux rien y faire… Je peux juste tenter de vivre avec cette impression que ça peut être n’importe qui… », bon j’étais loin d’être stupide et j’avais compris que c’était quand il était en guerre donc ça devait être une fille qui était en guerre. Enfin qui avait été avec lui et ça réduisait la liste même si je ne connaissais pas vraiment actuellement cette femme ou une femme qu’il aurait connu là-bas. Je ne préférais pas. Je laissais l’impulsivité et la violence de mes mots apparaitre pourtant je contrôlais tout ça comme si je jouais avec des dés dans mes mains afin de garder une certaine stabilité. J’allais peut-être faire des paires de 6… dans ma pensée mais dans le fond… je n’étais même pas apte à lancer ces fichus dés métaphoriques. Je n’étais pas apte à laisser toute la rage que je ressentais s’évacuer. Trop de rage mais surtout trop de souffrances pour un seul être humain. Je savais qu’en parler et lui laisser la chance d’en parler serait bien plus facile que de rester ainsi. Je savais que j’avais des choses à entendre, d’autres que je ne voulais pas entendre mais… c’était plus difficile de se cacher de cette vérité. Inspirant comme pour reprendre du courage, je devais continuer sur ma lancée. Je le devais ne serait-ce que pour ce bébé qui n’avait pas besoin de voir sa famille s’écrouler mais aussi pour nous. « … Je sais que ça ne peut pas être n’importe qui mais… à chaque fois que je pose les yeux sur toi… ou que tu me touches ou qu’importe, je te vois avec des femmes… n’importe lesquels même celle en qui j’ai le plus confiance… c’est ça que tu veux que je te dise ? Ou que j’ai honte… j’ai honte d’être cette fille qui se retrouve dans cette situation. J’ai honte d’être aussi minable en étant la cocue… Et que j’ai honte d’avoir honte ? Tu veux quoi ? Que je hurle, que je te gifle, que je te frappe ? », demandais-je aussitôt en soupirant avant de détourner le regard vers les morceaux de verre au premier coup de vent qui me déconcentrait. J’avais besoin de retourner dans mon mutisme, j’avais besoin de me sauver les idées ou de m’occuper simplement en faisant une chose qui me permettrait de prendre la sortie de secours. J’en avais trop dis peut-être ? Oh non, tellement pas assez. J’en avais encore à dire mais je ne pouvais pas, j’étais déjà dans cet état ou cette boule de nerf était formée dans mon estomac et ou je retenais mes larmes. J’étais mal en pensant à ça, j’étais encore pire en parlant de ça. Je reposais mon regard vers lui. « Ca me ronge, Aaron… ça me ronge tellement, tu ne peux pas savoir à quel point c’est horrible d’être dans ma situation… Je ne voudrais pas être dans la tienne non plus, je sais que je suis vraiment… enfin je ne t’aide pas… mais je n’ai pas envie de rendre ça plus réel que ça l’est déjà ! », disais-je d’un voix entre la rage et la tristesse. Je me sentais horrible tout en étant totalement dans la légitimité mais étais-je trop excessive ? Je n’en savais rien.

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mot doux de Aaron B. Maccallister un Sam 11 Juin - 14:57
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C'était comme le premier coup de feu tiré. Celui qui brise la tension et le silence, celui qui ouvre les portes vers le chaos et la cacophonie. D'une seconde à une autre, Olivia était sortie de son mutisme, envoyant la syllabe percer haut et fort dans la pièce. Le bruit du verre qui se brise accompagna son exclamation et Aaron fut trop surpris pour s'inquiéter du sommeil de son fils. Il n'allait certainement pas lui dire de baisser le ton. Il n'allait pas lui donner l'opportunité de retourner dans le silence. C'était le moment. Ils allaient enfin en parler. Il le fallait! Aaron n'allait pas faire marche arrière. Aaron avait eu le temps d'imaginer les mots qui allaient sortir de la bouche d'Olivia. Longtemps il s'était préparé à cette conversation et aux mots terribles qui pouvaient en sortir. Dans chaque scénario, il était le seul destinataire d'une pluie d'accusations et de blâmes. Son imagination lui avait épargné la culpabilité d'entendre des mots bien plus profonds et douloureux. Mais c'est eux qu'Olivia délivraient. Lui plein d'indignation quelques instants plus tôt, se retrouvait étrangement à cours de mots tandis qu'il écoutait la jeune femme vider son sac. C'est vrai qu'elle ne pouvait rien changer. Ce qui était fait était fait. Mais il était tout de même encore temps d'essayer de réparer les choses. Ils ne pouvaient décemment pas rester dans ce no man's land insupportable et froid jusqu'à en devenir fou, jusqu'à envenimer la situation et les faire se détester mutuellement. Aaron avait essayé de se mettre à sa place, mais évidemment il n'avait pu être à la hauteur. Était-ce vraiment ce qu'elle ressentait? Se sentant vulnérable aux côtés de n'importe laquelle des femmes dans la rue? Et comment ne pouvait-elle pas l'être. Qu'est-ce qui lui assurais qu'il n'allait pas refaire la même erreur avec la prochaine personne qu'il croise? Elle n'en savait rien. Aaron aurait pu lui expliquer mais il n'avait vraiment eu envie de ramener Gwen dans le sujet. Mais elle avait raison. Tellement raison. Il ne pouvait s'imaginer à sa place. Il ne pouvait se mettre dans ses baskets. Que ressentirait-il à sa place? Oh Aaron ne pouvait que l'imaginer. Ce qui est certains c'est qu'il n'aurait pas été aussi patient et calme qu'Olivia, oh que non. Il serait parti en vrille, il n'aurait pas pu accepter, voire pardonner. Et ça il le savait tous les deux. Olivia était une meilleure personne que lui, et c'est pour ça qu'elle était encore là. Une part d'elle tentant de sauver leur famille alors qu'Aaron lui aurait été aveuglé par son orgueil. « Oui j'aurai préféré! »  s'exclama-t-il lorsqu'elle lui demanda s'il aurait préféré qu'elle le frappe. « J'aurai préféré que tu sois en colère! Que tu me hurle dessus! » continua-t-il, faisant quelques pas vers elle. « N'en as-tu pas envie? » dit-il, la provoquant presque. « Tu penses que c'est mieux de tout garder pour toi? De t'imaginer le pire, de te torturer jusqu'à ce qu'il n'y ai plus rien à réparer? » demanda-t-il. Car c'est dans cette direction qu'ils se dirigeaient. Inévitablement. « Dis moi que tu me déteste. Dis moi que tu ne supportes plus de poser le regard sur moi. Je préfère tout ça que de savoir que tu passes tes journées à te rendre malade à savoir si je vais recommencer, à te demander ce que tu as bien pu faire pour mériter ça. » dit-il, secoué. « C'est réel Olivia, que tu le veuille ou non! Ca s'est produit et il n'y a rien que je puisse faire pour changer cela. ». Il s'était approché comme l'on approche un animal apeuré. Il conservait une certaine distance entre eux, ne souhaitant pas abuser.  Il savait désormais ce que sa proximité provoquait chez la jeune femme. « Je suis désolé pour ce que j'ai fait Olivia. Je pourrais te répéter tous les jours que ça n'est arrivé qu'une fois et que ça n'arrivera plus jamais, mais je doute que ma parole ai beaucoup de valeur à tes yeux ». Pouvait-elle un jour lui faire confiance à nouveau? Il n'en savait rien. « Et, bon sang Olivia, ma situation? Je n'ai ce que je mérite. Mais ça ne peut pas continuer comme ça, on le sait tous les deux. ». Aaron se sentait tellement minable. Si la honte la rongeait, lui c'est la culpabilité qui s'occupait de chaque parcelle de lui. C'est aussi pour ça qu'il aurait préféré qu'elle soit hors d'elle plutôt qu'occupée à s'auto-blâmer, à macérer dans la honte et les questions sans réponses. C'est lui qui devrait avoir honte, pas elle. Lui dire était inutile cependant, il ne pouvait pas dicter ce qu'elle devait ressentir. « On a besoin d'en parler. » dit-il plus doucement. Pour toi. Pour nous. Pour Liam.
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mot doux de Invité ► un Dim 12 Juin - 20:38
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Il y a ces moments dans la vie ou vous avez l’impression d’être une autre. Une ombre de ce que vous ne voulez pas du tout devenir. Ces femmes que vous aurez tendance à secouer en leur disant d’envoyer bouler le type assez con pour la tromper. Et pourtant elles ne le font pas. Eperduément amoureuse et surtout maman. Oui, maman. Cela serait tellement plus facile si l’on n’était que deux et pourtant une part de moi savait que je n’aurais pas vraiment agie différement. On a plus de couilles quand on est pas la victime mais une fois qu’on est cette femme cocue… on est différente. Parfois cela veut tout dire dans un couple quand la fille part. Peut-être que ce n’était pas le bon. Ne l’aimait-elle pas assez pour savoir qu’elle ne voulait pas se battre. Me battais-je ? Je n’en savais rien. Je me battais contre moi tout autant pour le couple mais je savais que je ne me battais pas de la bonne façon. Je n’affrontais pas. J’ignorais. Ce n’était vraiment pas la bonne technique mais quoi dire à part que je souffrais ? Je n’en savais rien. Je ne voulais pas non plus aggraver les choses en parlant… enfin faisant ce truc qu’on fait quand on communique. Nos disputes dans le passé étaient tellement différentes. Pas grave à ce point. Elles étaient plus communes. Des disputes de couple normale… quoique pour certains l’infidélité était normale. Il aurait préféré que je le frappe disait-il ? Je réprimais un sourire nerveux à cette annonce. Non. J’en avais envie par moment mais non. Je ne voulais pas user de violence pour une bonne raison. Oui, une très bonne raison. J’étais impulsive mais j’avais vraiment cette peur d’être comme mon père. Casser un vase : ok mais gifler ? Je ne pouvais pas. Bon d’accord, c’était peut-être arriver dans le passé mais non, je ne voulais pas tenter le diable avec les émotions que je ressentais et les deux verres de vin que j’avais bu pendant le diner. Il se rapprochait et je me mettais sur la défensive directement en me relevant avec la ramassette et la balayette dans l’autre main. Je me mettais prête à reculer s’il se rapprochait de trop. Reculer ? Dans l’évier. Bon j’aurais les fesses mouillées au pire. Je baissais le regard, incapable de le regarder plus longtemps quand il parlait. Il me disait de dire que je le détestais… il me disait de dire tellement de choses que je ne savais même pas moi-même si je les ressentais. Enfin, j’étais perdue comme la petite sirène sans voix sur une plage alors que son prince ne peut pas l’écouter sauf que moi, je ne parlais pas volontairement et aussi car… j’ignorais quoi dire. J’ignorais tellement quoi faire. J’avais beau y penser. C’était réel, oui, je le savais. Je riais nerveusement en l’entendant. Je l’écoutais toujours, relevant le regard vers lui quand il disait que sa parole n’avait pas de valeur mais le détournant aussitôt. Je le laissais parler, retournais-je dans mon mutisme ? Pas vraiment. Je tentais juste de rester calme. Garder une contenance que je n’avais pas réellement à en croire ce base que je tenais à moitié dans la main grâce à la ramassette. Stupide, je me penchais… non pas pour lui baiser le pantalon… bande de coquins mais pour continuer à ramasser les verres tandis qu’il finissait de parler. Un « Aie ! » se fit entendre. Une petite coupure au doigt, rien de grave. Pourtant je ne m’en souciais pas, je me relevais quand il disait qu’on avait besoin de parler. « Peut-être… », disais-je en soupirant doucement tandis que j’allais jeter les verres dans la poubelle. Plus inquiète pour cette conversation que pour une coupure qui pourrait tourner au drame. Je saignais mais cette douleur me semblait tellement agréable… pour me faire oublier les autres. Celles dont on ne parle pas dans les contes de fées ou tout se passe bien et ou Eric ne couche pas avec la belle au bois dormant. Je soupirais doucement, à nouveau. Posant mes yeux dans les siens. « Je ne sais pas ce que je ressens, ce que je veux… je me sens comme ces femmes stupides qui préfèrent pleurer en cachette et souffrir à chaque fois qu’elle pense à ça… mais qui la boucle… », je riais nerveusement. « C’est vraiment une honte de ma part ! », disais-je en trouvant ça plutôt amusant mais dans un sens ridicule d’être cette fille. « Je ne te frapperais pas et tu sais très bien pour quoi… », lui disais-je en détournant le regard. « Aaron… non, je ne te déteste pas,… non je t’aime et c’est pour ça que je suis tellement ridicule et pourtant oui, ça me rend dingue… ta parole a de la valeur mais ce n’est pas facile… pour autant… je crois que j’ai perdu la chose vitale… la confiance en toi mais je me sens aussi totalement ridicule de dire ça car je n’ai pas été mieux… j’ai menti aussi et j’ignore si c’est aussi grave mais je me dis : merde, j’ai culpabilisée… tellement culpabilisée et pour quoi ? », je riais doucement. « J’étais loin d’être la pire des enculées dans notre couple apparemment ! », disais-je avec franchise tandis que je sentais ces larmes monter à mes joues. « Ce n’est peut-être pas mieux de me torturer dans mon coin mais… », je soupirais doucement. « C’est insupportable de t’imaginer avec une autre fille alors que je passais mes journées à me demander si tu allais survivre surtout après ce qu’il est arrivé à Aiden… étais-ce même avant, après… pendant ! », je riais doucement, un rire nerveux qui me déchirait les entrailles. « Pendant que j’étais enceinte à te le cacher, tu batifolais ? », demandais-je en fronçant les sourcils. « Quel bande de con, on fait ! Mais je comprend mieux pourquoi tu m'as pardonnée car moi, je pouvais pas me pardonner... », oui une larme coulait mais je gloussais de rire même si ça ne m’amusait pas.
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mot doux de Aaron B. Maccallister un Sam 9 Juil - 19:39
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Il avançait et elle reculait. Une réaction qui le figea presque sur place. C'était sans doute le plus étrange. La façon qu'ils avaient d'orbiter l'un autour de l'autre avait subitement changé depuis l'incident. Le ballet naturel de mouvement et de geste qui se réalisait entre le couple n'était plus qu'une série toute en haltes et courbes brisées. Plus de tendresse et encore moins de réconfort, Aaron se sentait comme un étrange auprès de celle qui partageait sa vie. Autant de choses qu'il faisait sans s'en rendre compte – un toucher qui s'attarde, une caresse, un baiser – et qui laissaient désormais un vide tonitruant dans leur absence. Avant, Olivia se serait avancée elle aussi pour rétablir la distance et arriver jusqu'à lui. Avant, elle n'aurait pas cherché à se fondre dans le mobilier pour échapper à sa proximité. Puisque c'était de ça qu'il s'agissait. Aaron savait bien qu'il n'était pas question de peur. Olivia n'avait rien à craindre de sa part et ça ils le savaient tous les deux. Sa réaction n'en était pas moins pénible mais méritée. Ce n'était pas l'attention d'Aaron de la faire se sentir prise au piège, alors il ne chercha pas à cloitrer davantage entre son corps et l'évier. Déjà elle s'était trouvée une nouvelle tâche pour éviter son regard. La jeune femme se baissa pour ramasser les bouts d'assiette cassés tandis qu'il continuait à parler. Il cessa toute parole lorsqu'elle laissa échapper une petite exclamation de douleur. Le regard fixé sur le sang perlant entre les doigts d'Olivia, Aaron attrapa le chiffon propre le plus proche avant de lui tendre. Ne se laissant pas déterrer, Olivia continua son travail et Aaron repris son sermon. Il secoua la tête, agacé, lorsqu'elle répondit un maigre "peut être" à sa demande de discussion. Il n'y avait aucun doute là dedans, il fallait qu'ils en parlent. C'était inévitable. C'était ça ou rien! Aaron avait fait le tour des possibilités et aucune autre conclusion ne lui avait paru plausible. Mais Olivia le fit. S'exprimer. En toute honnêteté. La honte, c'est lui qui la ressentait, étouffante et compacte, tandis qu'elle avouait ressentir le même sentiment. C'était illogique, de ressentir une telle chose en tant que victime. Et pourtant, ce genre d'attitude était tellement courant comme la société actuelle ne cessait de le montrer. Aaron aurait voulu lui dire que c'était ridicule, qu'elle n'avait aucune raison de se sentir embarrassée, mais il savait reconnaître ses paroles comme vides. Il ne pouvait pas lui dicter quoi éprouver et ce n'était pas du ressort d'Olivia non plus de toute manière. C'était ainsi. C'était ce qu'il avait provoqué. La honte s'accentua lorsqu'elle affirma qu'elle n'avait aucune envie de le frapper. Aaron baissa les yeux un instant. Oui il savait pourquoi. Tel un homme perdu dans le désert qui aperçoit de l'eau fraîche, Aaron se jeta sur la certitude que lui annonçait Olivia: elle l'aimait. C'était encore ça. Peut être n'était-ce pas suffisant pour réparer ses erreurs mais il y avait au moins de l'espoir. « Olivia » commença-t-il « Ce n'est pas comparable » affirma-t-il avec solidité. « Oui tu as menti mais ce n'est pas comme si l'enfant était celui d'un autre! ». Ah, ça. Voilà une chose qui l'aurait rendu fou. « Au pire du pire, ce que tu as fait était un peu manipulateur, mais ça n'est certainement pas du même niveau que ma trahison». Et puis son mensonge leur avait apporté Liam, alors que le sien? Rien d'autre que peine et colère. Aaron n'eu aucune réaction lorsqu'elle l'insulta. Il le méritait. « Je suis désolé » souffla-t-il. Aaron n'avait jamais vraiment cherché à y penser. A la manière dont ses proches vivait son absence et l'incertitude de son retour sain et sauf. Vivant déjà un quotidien peu clément, il n'avait pas vu l'intérêt de d'ajouter par-dessus le marché la culpabilité de ce qu'il faisait vivre à sa famille. C'était son choix de toute manière. Ils avaient dû l'accepter. « Je n'ai pas d'excuses » dit-il en haussant les épaules. « Je crois que j'étais moi-même trop déconnecté du monde réel. De vous. ». Loin des yeux, loin du cœur. Ca n'était pas vraiment ça, mais ça avait été facile d'oublier ce qui l'attendait chez lui. Facile de se laisser aller dans le quotidien de l'armée, toute en proximité, là ou tout est accentué, le danger comme les sentiments. Il était facile de s'enivrer de l'adrénaline et de la réalisation que ce jour pouvait être le dernier. Mais ils avaient tous été dans le même panier et tous ses camarades n'avaient pas trompés leur compagnon pour autant!!!! « Je ne te demande pas de me pardonner, Olivia » continua-t-il. « Juste....je veux qu'on puisse aller de l'avant. Et si tu as besoin de temps et d'espace pour ça, je comprends. Dis moi et je le ferai » supplia-t-il. « J'attendrai ». Aussi longtemps que nécessaire.
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mot doux de Invité ► un Lun 11 Juil - 21:30
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Je ne savais pas vraiment si avoir honte me rendait superficielle ou qu’importe ce que ça peut me rendre. J’étais un peu dans l’ignorance de tout ça. Ces choses qui même nous rendent plus humains une fois qu’on les ressent. Oui, ces sensations de n’être plus vraiment face à la personne que vous respectiez car cette personne ne s’était jamais moquée de vous. Vous, oui. Je m’étais moquée de lui aux détours d’un mensonge. Attendez, je n’en riais pas. Je n’étais pas à m’esclaffer après chaque skype ou je cachais mon bidon. Non. Pas vraiment. Je riais nerveusement quand il disait que le bébé n’était pas d’un autre donc c’était loin d’être parole. Ou peut-être pas. Non mais du coup, je m’imaginais même qu’il aurait pu la mettre enceinte cette… non, je garde mes mots. On ne sait jamais que la vache de mon moi du western ne le prenne mal. Je ne voulais pas froisser cette  « maitresse » enfin catin. Enfin chut. Enfin voilà. Trop d’enfin mais enfin quoi. C’est drôle ? Bon, non mais je riais tout de même nerveusement quand il me disait que j’avais été manipulatrice. « Ah par ce que tu ne l’as pas été pendant plus d’une année ? », demandais-je alors à cet homme face à moi qui avait réussi à me faire croire qu’il était fidèle dans ce restaurant enfin… que je n’avais pas à m’en faire. Non. On était tous les deux manipulateurs à ce stade. Je l’entendais me dire qu’il était désolé et je baissais le regard. J’étais tout autant désolée de lui avoir menti devant ce restaurant pour lui tirer les vers du nez. Une part de moi s’en voulait encore clairement pour avoir faite cette connerie. Je serais tellement plus heureuse. Quoique vivre dans l’ignorance en sentant qu’un truc cloche n’aurait pas été vivable pour autant. Je l’écoutais me dire ne pas avoir d’excuses ou même qu’il était déconnecté du monde mais j’ignorais quoi en penser sur le moment car c’était moi-même qui me déconnectait pendant quelques instants. J’ai plus le wifi dans ma caboche, excusez-moi. Je soupirais doucement en me disant que beaucoup de femmes pouvaient être cocue si elles étaient avec un type de l’armée. Lullaby ? Ah oui, elle avec Aiden… Elle est pire que cocue. J’en suis persuadée. Bah quoi ? Roh et je vous zut. Je crois qu’Aiden serait capable après Aaron, plus rien ne me surprendrait. Tous les mêmes. Bon d’accord, off… la haine qui grimpait. Oui, elle grimpait sans que je m’en rende compte. J’inspirais doucement en relevant mon regard vers lui en l’entendant me supplier de lui dire quoi faire ou même d’aller de l’avant. Ma main montant sur mon front alors que j’ignorais tellement quoi dire. J’ignorais quoi faire. Je ne savais même plus s’il tenait à moi autant que je ne le pensais ou juste par culpabilité mais s’il semblait dire le contraire. Je me sentais mal. Je ne savais pas quoi dire. « Ok… », disais-je alors en lâchant cette main qui masquait mes yeux pendant quelques instants. Je posais mon regard dans le sien en haussant les épaules comme si c’était naturel. Je ne savais pas si je pensais réellement ce que j’allais dire ou même si je disais ça pour tester… enfin j’ignorais pourquoi je disais ça. C’était fou. « Epouses-moi ! », ah oui… une fois l’avoir dit, c’était fou. Voir idiot, j’en arquais un sourcil. « Non mais je sors ça d’où ! », me disais-je à moi-même en riant doucement. « Il me trompe et je lui dis de m’épouser… toute la logique d’une Bradford… », je secouais doucement la tête en fronçant le nez. « Quoique je ne plaisante pas. Tu veux me prouver que tu veux aller de l’avant… donc pourquoi pas ? Si c'est vraiment ce que tu veux, prouves-le ! », demandais-je alors mais étais-ce une question piège ? M’enfonçais-je simplement dans mon délire soudain qui était bon pour l’asile de fous. J’en riais nerveusement. J’avais encore du mal à me remettre de la connerie que je venais de dire. Je savais que j’étais stupide mais… dans un sens même si j’ignorais si je le voulais vraiment… je voulais savoir comment il allait réagir car je savais que de sa part… cela serait une chose très… enfin… Aaron se marier ? J’en riais au plus profond de moi à l’idée de le voir avec le genou par terre ou sortir une bague de nulle part avec des petites roses partout. Cela semblait tellement ridicule dans mon esprit. Sexyment ridicules mais chut. J’avais toujours été jalouse de Lullaby qui avait épousée celui qui avait été apte à la demander en mariage et lui faire pleins de bébés enfin deux mais c’était quand même un de plus que nous. Enfin on va éviter de faire des maths mais tout avait été tellement plus simple pour elle que parfois j’aurais bien changée avec Aiden… retour dans le futur et l’embrasser quand il n’était pas saoule ou sous drogue. Quoiqu’à y penser, punaise ça arrivait parfois ? Bon revenons à nos moutons. Tu veux m’épouser, ouais ?
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mot doux de Aaron B. Maccallister un Mer 13 Juil - 19:45
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Aaron était en position de faiblesse. Il le savait. Il était le fautif dans l'histoire et devait courber le dos jusqu'à ce qu'il se fasse pardonner. Ou que la chose vienne à sa naturelle, mais ça Aaron préférait éviter d'y penser. C'est pourquoi il serra la mâchoire lorsqu'elle lui renvoya sa critique en plein visage. Dans tout autre contexte, il ne se serait pas gêné de protester. Manipulateur? Non. Menteur? Oui. Il n'avait cherché à influencer personne, à dicter qui que ce soit avec sa tromperie. Il l'avait juste gardée enfouie et ça n'avait impacté la vie de personne. Jusqu'à ce que la variété éclate. Ou était la manipulation la dedans? Le désaccord devait se montrer sur son visage, mais il ne dit mot, préférant se taire plutôt que d'aggraver son cas en disant une bêtise. Car Olivia, elle, méritait bien cette accusation. Elle aussi avait juste gardé une vérité cachée, mais c'était différent. Car une fois mis devant le fait accompli – sa copine enceinte jusqu'aux dents – quel autre choix avait-il eu que de rester et d'assumer? Bien sur Aaron n'avait pas voulu mettre les voiles et laisser femme et enfant à la dérive, mais c'était une question de principe!! Et c'était sans parler de ce petit numéro devant le restaurant, à prétendre avoir découvert le pot aux roses grâce à Torrey...Bref. Ce n'était pas vraiment le problème. Et c'est lui qui était sous le feu des projecteurs pour ses pêchés de toute manière. Olivia restait silencieuse, comme en pleine réflexion, et Aaron ne pouvait que l'observer patiemment. Essayer, du moins. Il avait du mal à rester stoïque en attendant la sentence de sa compagne. Bien sur, il aurait pu passer des heures à anticiper les mots qui allaient sortir de sa bouche, jamais il n'aurai pu deviner ce qui allait suivre. Aaron se figea, son corps délivrant un dernier battement fébrile avant de se recroqueviller dans sa poitrine. Quoi? Un instant il pensa avoir mal entendu, puis Olivia répéta la chose, se moquant d'elle m'aime. Oh Aaron ne pouvait que collaborer à son incrédulité car what the hell??? Bien sûr que c'était ridicule! Qui demande au mec qui l'a fait cocu de l'épouser? C'était sans doute la proposition la plus stupide qu'Olivia lui ai jamais faite. Et ça n'avait rien à voir avec le principe même du mariage, ok? C'était juste le pire moment au monde pour demander une telle chose. Il était sans doute raisonnable de se demander pourquoi Olivia et Aaron n'avait jamais passé cette étape avant que tout ne parte en vrille. Après tout, ils étaient ensemble depuis un certains temps et ont un enfant ensemble, alors pourquoi pas? Oui, mais pourquoi tout court? C'était d'une certaine manière ironique pour Aaron, aussi possessif qu'il était, de ne pas saisir l'opportunité de montrer au monde entier qu'Olivia était à lui. Mais non. Aaron n'avait jamais eu une envie ardente de se marier. Ce n'était qu'un bout de papier et des arrangements financiers de toute manière, non? Ca ne voulait pas dire qu'il n'aimait pas Olivia, ou qu'il se laissait une issue de sortie. Un tas de monde divorce de nos jours de toute manière. Aaron se rassura de la tirade d'Olivia. Celle-ci semblait également réalisé la bêtise qu'elle avait dite. Puis non. Elle campa ses positions et le mis presque au défi d'accepter. Oh non. Oh non, il n'allait pas jouer à ce petit jeu là. « C'est ça ta condition? » railla-t-il, guère convaincu. « Arrête un peu Olivia. Ce n'est pas ce que tu veux » déclara-t-il. Et s'il avait été assez bête pour se mettre à genoux et lui demander sa main? Elle aurait été maligne, coincée avec un homme dont elle doute. « Si tu n'es pas prête à en parler sérieusement, dis le tout de suite ». Ca ne servait à rien qu'ils se fatiguent tous les deux. Ils pourraient reprendre cette conversation plus tard pour essayer de reconstruire leur relation. Même si accepter des fiançailles ne promettait pas un mariage rapide, c'était mal connaître Aaron de penser qu'il allait céder. Le mettre le dos au mur n'avait jamais été une bonne manière de traiter avec lui. Olivia le connaissait. Il savait qu'elle n'allait pas le prendre mal comme d'autres auraient pu. Ce n'était pas contre elle. Pas contre l'idée de passer sa vie à ses côtés. Quoique les évènements récents pouvaient l'amener à penser le contraire....Non! Non, c'était ridicule! Ils n'allaient pas se fiancer comme ça! Quelle histoire terrible à raconter aux repas de famille!
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