l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Caitlyn A. Hemingway et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! happy girls are the prettiest
| mot doux de Caitlyn A. Hemingway ► un Sam 23 Avr - 18:02 | | | Mon frère était de retour. Après un long voyage de plusieurs mois, il revenait enfin dans notre ville natale. Il allait être impressionné de voir l’évolution de notre petite ville minière. Les chasseurs d’or avaient taluté plusieurs zones de fouille dans tous les alentours. Et je ne comptais plus le nombre d’étranger qui arrivait ici dans l’espoir de devenir riche. Il fallait dire que depuis la construction de la gare, il n’y avait plus aucuns obstacles. J’avais même croisé un jour au marché un Quartier-mestre. Ne me demandait pas ce qu’il faisait là sans son régiment. Mais j’avais pu discuter avec lui et j’avais appris son métier. Il était finalement repartie. Devant la glace de l’entrée de notre petite maison que nos parents avaient construis à l’arrivée en ville, j’enfilais mon cardigan avant de réajuster ma coiffure.
Attrapant finalement mon sac à main, je sortis de la maison. Ne voulant pas descendre les petits escaliers, je préférais sauter en faisant une petite pirouette avant de toucher le sol poussiéreux. Je rigolais à ma petite fantaisie. Ces derniers temps, je rigolais bien plus. J’avais été la honte de cette ville, les bruits couraient sur ma grossesse alors que je n’étais pas mariée. Un jour, on avait même dessiné un pentacle entouré d’un pentagone sur les murs de la maison, ici signe diabolique. Mais les plus fous d’entre ces villageois ont du se penser que Dieu a fait son œuvre, m’a puni en tuant mon enfant. J’avais été un moment à terre, mais j’étais une personne forte, et j’avais réussi à comprendre que je pouvais vivre, que je survivrais à cette épreuve. J’étais ressortie de cette histoire plus mature, plus forte, plus fière. Je refusais à présent de baisser le regard lorsque l’on me regardait de travers.
Après plusieurs minutes de marche, j’arrivais dans le centre de notre petite ville. Le marché s’y tenait. Je coupais ma respiration à l’approche du poissonnier vendant fièrement des ombles clairement sans fraicheur. Un enfant me bouscula alors qu’il jouait avec un serpentin. Cela ne me fit sourire qu’un peu plus, sourire qu’il ne disparaissait plus à l’approche de la gare. J’étais si heureuse de voir mon frère. Je m’arrêtais un instant pour voir une ligne de fourmis qui traversait le centre-ville. J’aimais observer ce phénomène si particulier à cette espace, je restais toujours très admirative. Je sortis mon admiration lorsque j’entendis le vendeur de fruit venter les mérites de la fraicheur de ses produits. Curieuse, je m’arrêtais pour regarder. Il vendait de magnifique fraise mais le prix au kilogramme avait de quoi refroidir. Je décidais finalement de craquer pour un pamplemousse, Caleb adore cela. Il voulu remercier mon achat en me faisant gouter un morceau d’ananas. Je ne connaissais pas du tout ce fruit. D’après ce qu’il me disait, il venait de pays chaud et était rare.
Je n’aurais sans doute pas dû gouter cela, car le fruit était tout simplement passé. Je m’en rendis compte simplement au abord de la gare lorsque je dû aller dans une ruelle déserte pour aller vomir un bon coup. Ayant un frisson de dégout, je décidais de jeter le pamplemousse. Plus question d’acheter quoi que ce soit chez lui. Je parcourais les derniers mètres jusqu’à la gare et je pris place sur un banc. Je regardais les voyageurs. Un train arriva, mais ce ne fut pas celui de Caleb. Un homme descendit alors avec un grand tableau représentant une girafe dans la savane. C’était assez impressionnant à voir. Je ne doutais pas que voir ce genre d’animal en vrai devait être à couper le souffle. Mais je n’aurais clairement pas cette chance. Je n’avais déjà pas les moyens d’aller à New-York. Finalement, le train de mon frère arriva. Je me levais alors, l’attendant avec un sourire immense. J’étais si impatiente qu’il me raconte ses aventures. Il avait dû vivre des choses exceptionnelles.
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| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Dim 24 Avr - 15:20 | | | Partir pendant plusieurs jours m’avait fait un grand bien. Le docteur de la ville n’aidait pas vraiment à récupérer ma mémoire perdue suite à une chute lors d’une bagarre entre indiens et villageois. Je devais avouer que ma vie n’était pas simple depuis donc m’enfouir ce qui était le cas de le dire était comme une bénédiction. Les gens dans le village ne parlaient pas trop de moi, sûrement par ce qu’ils ignoraient que j’étais le papa des enfants que Sedna venait de mettre au monde. Sûrement, oui. Je n’étais que cet homme marié et papa. Bien sûr j’avais eu une fille assez jeune et je n’étais pas resté en couple avec Sedna donc la maman et à l’époque, on en avait entendu parler avant de quitter la ville pour aller découvrir New York. Je connaissais déjà cet allé et retour dans ce train pour l’avoir fait. Cette ville avait l’un des meilleurs spécialistes que l’on pourrait trouver pour résoudre les problèmes dans la tête. J’en avais passé pour pas moins de 14 jours dans cet appartement poussiéreux que j’avais encore au-dessus d’une petite librairie de quartier. J’avais découvert des nouvelles choses de la ville comme elle avait grandie depuis mon départ avec Maléa. Oui, New York avait changé et même si ma mémoire revenait petit à petit, bout par bout, j’étais persuadé que je ne me trompais pas sur les choses que je n’avais jamais vues. Des souvenirs à nouveau pleins la tête de mes jours passés dans cette ville, j’étais rentré le cœur lourd et léger à la fois. Ma fille ma manquait, mon bébé aussi enfin mes bébés. J’avais la sensation d’être un salopard de dernière espèce. Une de ses personnes que l’on regarderait d’un mauvais œil ou que l’on prendrait pour un dieu. J’entendais souvent parler de ces situations dans des familles. L’infidélité, les doubles mariages et toutes ces choses qui personnellement me mettaient en colère. Comment en étais-je arrivé là ? J’en avais peur de cette situation. J’en avais réellement peur car j’aimais ces deux femmes. Je les aimais mais je les respectais aussi. C’est sûrement pour ça que je me sentais sale de l’intérieur ? Sûrement. Je soupirais doucement tandis que le chauffeur annonçait que nous arrivions. Je refermais le calepin dans lequel je notais toutes mes idées pour le journal de la ville. J’espérais que mon assistant se soit bien occupé des parutions précédentes pendant mon absence car j’avais besoin de cet argent pour son salaire et nourrir une petite fille, une femme et un bébé. La vie parfois était plus difficile. Je n’avais pas de loyer à payer ce qui était déjà ça mais il fallait que le journal soit vendu pour que cela rapporte. N’ayant pas de concurrent, c’était facile mais pas toujours. Je me relevais de mon siège, regardant alors dessus ou était une petite valise en cuir. J’entendais des Dia en passant devant une plaine et je savais que nous approchions donc un peu plus de l’endroit. Je prenais la valise, l’ouvrant en la posant sur la petite table tandis que je regardais si tout y étais. Caressant le brocard de l’une de mes chemises neuves. J’avais cette habitude de toujours être bien habillé. J’étais un peu classe et tiré à quatre épingles surtout par ce qu’un journaliste se doit d’être présentable. Je m’étais offerte de nouvelles tenues à New York. Je refermais le bagage après avoir prise ma main à gousset que je glissais dans ma poche. C’est le son du train qui arrivait en gare qui me fit sursauter doucement. Ca y est. On y est. Ma sœur passait me rejoindre et j’espérais qu’elle aille bien. Je ne l’avais plus beaucoup vue en ce moment. Je n’avais pas le temps avec le bébé mais je savais que je manquais bien trop à mes devoirs. Je m’éloignais un peu de toutes les personnes que j’aimais par peur qu’elle ne découvre ce que je cache. Je n’étais pas un bon menteur enfin oui parfois mais pas toujours mais je ne voulais pas leur mentir, préférant m’occuper du journal pour faire des articles et parutions exceptionnelles. C’était effectivement ça. Je me cachais du reste mais je n’avais pas le choix cette fois. Caitlyn m’ayant aidée à trouver ce docteur pour moi. Je me devais de la laisser passer me prendre et surtout d’arrêter de me cacher ou d’avoir peur qu’elle ne me juge. Oui, la peur. J’inspirais doucement, relaxant mes mains, marchant pour aller vers la sortie du train mais mon pied se cognant d’un coup violent qui ne plaisait pas à mon petit orteil même à travers mes chaussures de bonnes qualités qui allaient être poussiéreuse à ma sortie. Je sortais donc du train, mettant ma main devant les yeux en ayant l’habitude que la poussière qui peut aveugler après l’arrêt de la machine bien trop rapide. Je me dirigeais vers les bancs, marchant difficilement à la douleur de mon petit orteil. Je suis une petite nature. Une fois devant elle et son sourire, je la serrais dans mes bras. Cela ne faisait pas si longtemps mais j’étais heureux tout de même. Les lettres justes pour deux semaines de voyage étaient réellement presque à oublier sachant qu’elles seraient peut-être arrivées après moi. « Merci d’être passé me chercher ! », lui disais-je d’un ton hésitant. Il y avait autre chose à dire quand même mais trouvons autre chose. Ah oui. J’entourais son dos de mon bras, l’entrainant avec moi vers la sortie de la gare. « Comment tu vas ? », demandais-je à ma sœur jumelle. « Tu as des nouvelles de Cordélia, le bébé ? Maléa ? Maman ? », rajoutais-je à mes questions sans rajouter Sedna car je savais qu’elles n’étaient pas de bonnes amies. Je n’allais surtout pas aussi tenter de me compromettre. « Oh et le journal est sorti cette semaine ? Dis-moi que je ne vais pas devoir virer mon seul apprenti ? », lui rajoutais-je en me sentant presque coupable de ne pas avoir confiance en lui. Je me sentais coupable car je n’aimais pas ça mais les journalistes ne courraient pas les rues. Les études étaient chères et longues. Je n’avais que le petit apprenti de la ville qui m’aidait même si je trouvais le terme très vilain, je préférais le nommer comme mon assistant. C’était plus valorisant. |
| | | Caitlyn A. Hemingway et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! happy girls are the prettiest
| mot doux de Caitlyn A. Hemingway ► un Jeu 5 Mai - 21:01 | | | Je me trouvais parfois quelques peu égoïste. Il fallait dire que ces derniers temps, la nécessité de se concentrer sur moi était présent. Cependant, je regrettais de ne pas être capable d’être aussi présente que je le voudrais pour mon frère. Depuis un incident entre indien et villageois, il avait perdu la mémoire. Sa femme Cordélia avait particulièrement été bouleversée par cette histoire. Si pendant un temps j’ai pu être présente, la perte de mon enfant avait changer beaucoup de chose. Mais je me relevais, comme je l’avais toujours fait. J’avais appris à vivre pour mon fils, en son souvenir. Cette idée était une chose réellement importante pour moi. Je réapprenais à aimer les choses simples de la vie telle que le vent dans mes cheveux bouclés. Quoi qu’il en soit, j’avais finalement trouvé un médecin qui pouvait être une aide pour Caleb et son retour de la mémoire. Je ne savais pas si cela pouvait être utile mais nous nous devions de tout tenter à ce niveau là. Je considérais qu’il était important pour Caleb de se rappeler de tout. Il se devait si il voulait comprendre ses choix, son mariage et toutes ses choses. Je n’osais imaginer à quel point cela pouvait être déstabilisant.
Assise sur un banc, j’attendis donc le train puis de voir mon frère. Lorsque mon jumeau sorti de la poussière ambiante, je me levais pour aller le rejoindre et le prendre dans mes bras. Sa présence m’était réconfortante. « C’est tout à fait normal. » J’étais impatiente qu’il puisse me raconter son voyage. Je voulais tout savoir sur ce qu’il s’était passé. Après tout, je gardais espoir que le médecin avait pu lui venir en aide. Naturellement je suivi mon frère qui pris des nouvelles de tout le monde. « Tout le monde va bien. » dis-je simplement. Cordélia depuis la perte de mémoire de Caleb était différente, plus distante mais de ce que je savais, elle se portait bien comme tout le monde dans le cercle de la famille. Bien entendu, je ne faisais pas allusion à mon père que je considérais comme mort. Je restais toujours profondément inflexible à ce niveau là. Et puis bon, du peu que je pouvais savoir, il n’allait pas tarder à rejoindre la mort. Il était mal de penser ce genre de chose, je le savais. Mais ma souffrance durant l’enfance avait été bien trop violente.
Lorsque Caleb me demanda pour le journal je me mordis la lèvre. J’avais une mauvaise nouvelle à lui annonce à ce niveau là. « Le journal n’est pas sorti non, mais ce n’est pas de la faute de ton apprenti. » Je prenais immédiatement la défense de ce dernier qui, je le savais n’y était pour rien. « Le train devant apporter les cartouches d’encre de votre imprimerie a été attaqué par des indiens et tout a été pillé ou brulé. » En finalité, c’était la faute de ses indigènes torse nues. J’en avais croisé un, un jour, alors que je faisais la lessive dans la rivière. On s’était observé sans rien dire. Je devais reconnaître qu’il était relativement canon mais sur le coup, j’avais eu réellement peur qu’il me fasse du mal. « Il a repassé une commande qui n’arrivera que dans une semaine. »
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| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 8 Aoû - 20:09 | | | Je n’aimais pas la sensation d’avoir été loin de la ville pendant quelques temps. Laisser les choses en suspens même si ce n’était pas si long. Quelques jours qui pouvaient presque se compter sur les doigts de deux mains mais il n’en était pas moins que je n’étais pas certains d’avoir prise les bonnes décisions en allant loin en ce moment. Je laissais un soupire m’échapper tandis que la jeune femme me rassurait en me disant que tout le monde allait bien mais dans le fond ? Comment en être sûr ? Je n’en savais rien. Je n’avais qu’une hâte c’était d’aller voir Sedna pour avoir des nouvelles d’elle aussi mais aussi Cordélia. Je voulais voir Adam et les jumeaux. Je voulais voir Galéa. Je voulais aussi avoir la sensation de bonheur en voyant un de mes enfants me sourire de leur innocence. Je laissais échapper un sourire amer alors qu’elle prenait la défense de mon assistant enfin mon apprenti. Mais ce n’était pas de sa faute, c’était certains sauf qu’il fallait toujours trouver une solution quitte à aller chercher les cartouches en calèches enfin je n’en savais rien. Je me sentais effrayé pour l’avenir du journal. Je n’avais pas envie de mettre les clés sous la porte alors que nous avions réellement besoin de cet argent. Je prenais une profonde inspiration en reposant mon regard sur elle. « Tant pis ! », disais-je en gardant ma frustration et tout ce que je pensais pour moi. Je ne pouvais pas me permettre de lui dire que j’avais besoin de cet argent car dans le fond ? Je n’avais pas besoin de tant d’argent pour m’occuper d’un bébé et d’une femme puis aussi de ma fille qui va parfois chez sa maman. Mais Sedna avait besoin de mon aide aussi. Je me sentais comme avec deux vies. Un homme étrange qui mériterait d’être banni de la ville. Quoique non. Pour certains ? Je serais un dieu qui a deux catins mais je n’étais pas comme ça à la base. J’inspirais doucement en posant mes yeux vers les siens. « Parles-moi de toi ! », disais-je en mettant mon bras autour de ses épaules alors que je commençais à marcher. Mes chaussures frappant la terre sèche tandis que je quittais le quai de la gare. « Tu m’accompagnes jusqu’au journal que j’aille voir l’étendu des dégâts et on va faire un tour au saloon après ? », lui proposais-je tandis que je gardais cette envie de savoir comment elle allait. J’avais surtout envie de voir mes enfants mais autant envie de rester encore un peu loin de mes culpabilités qui étaient moins présentes en compagnie de ma sœur. « Je crois que j’ai besoin de te raconter quelque choses mais j’ai peur que tu m’en veuilles ! », lui disais-je alors que je marchais. Le journal n’était pas si loin. Nous étions à quelques pas de la gare ce qui était plus pratique pour les livraisons. Je m’arrêtais devant le bâtiment, posant ma valise sur le plancher juste devant la porte. J’ouvrais la poignée pour entendre mon assistant courir dans la pièce en rangeant quelques affaires. Je le voyais en train de dégager un bazar de papiers. Je riais doucement. « C’est bon, zen ! », lui disais-je en laissant de la place pour inviter Caitlyn à entrer. « On va dans mon bureau, détends-toi… tu as encore ton job pour le moment mais que je ne t’y reprenne plus ! », lui disais-je d’un ton amical mais pourtant le ton d’un patron. Je n’étais pas un monstre et je savais qu’on avait tous besoin d’argent mais il savait tout autant qu’on avait besoin de faire paraitre le journal pour les finances et surtout pour son salaire très pauvre en ce moment. Je reprenais ma valise, me dirigeant vers mon bureau tandis que je retirais ma veste pour m’installer sur ma chaise en bois. « Sedna… elle était enceinte… tu le sais sûrement et elle a accouchée de jumeaux ! », lui disais-je en la regardant comme pour être sûr qu’elle soit au courant. Ne pas voir la surprise sur son visage ou même savoir si elle avait déjà des doutes. Je sentais que j’allais me faire engueuler et crier de tous les noms. J’y étais prêt. « Je suis le père, Caitlyn ! », lui disais-je en attendant juste sa réaction avant de donner plus d’informations sur ce sujet. Je ne savais pas s’il était judicieux de se défendre face à ma sœur. Je savais qu’elle me connaissait mieux que personne et qu’elle devait savoir que je n’avais pas fais ça… pour faire souffrir ma femme ou même pour faire souffrir Sedna ou des enfants. C’était une erreur arrivée autour d’une erreur. Tout était une erreur et je posais mes coudes sur mon bureau en joignant mes mains. « Je n’avais pas prévu de te le dire comme ça, maintenant mais je ne peux plus garder ça pour moi ! », disais-je simplement. Je rajoutais cette information pour lui faire comprendre que ça me rendait dingue de garder ce secret depuis des mois. |
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