l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Aiden N. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné. ❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥ ❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava Tik Tok @gif tumblr ❝ avatar : Adam Levine ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : toujours dispo ♥ ❝ autres comptes : GRANT ▬ (g.gustin) le prodige de la musique, mais l’incompétent en relation. CARTER ▬ (a.kendrick) la jeune maladroite qui s'est retrouvée les deux pieds dans le plat à Vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du FBI accro à la caféine et une certaine chanson ! JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui aime trop la vie en arc-en-ciel. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté. JAMIE ▬ (d.gillies) le canadien qui cherche à garder son visa. GWEN ▬ (s.johansson) la philanthrope qui pense aux autres avant de penser à elle, jusqu'à aujourd'hui.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 3943 ❝ depuis : 22/07/2014 ❝ mes sujets : kylian ◮ jensen ◮ shana ◮ lullaby ◮ lullaby ◮ jones We loved with a love that was more than love – ✻ –
| mot doux de Aiden N. MacCallister ► un Mer 20 Jan - 0:26 | | | lullaby & aiden escapade amoureuse qui fini en boule de neige [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Parfois un couple a besoin de temps pour lui, un petit week-end en amoureux ça ne pouvait que nous faire du bien. Ouvrant la porte du chalet que j’avais préalablement loué pour le week-end, je déposais nos valises à l’entrer. Me tournant pour sourire à la brunette. Même si ce n’était pas le soleil Californien, le paysage enneigé avait quelque chose d’exotique. Certes on avait l’air de deux idiots vêtus comme des étoiles avec toutes ces couches de vêtement chaud. Au moins, je pouvais me dire que les nuits seraient chaudes si on utilisait nos corps pour se réchauffer. Je retirais ma tuque, remontant mes lunettes de soleil. Je ne savais pas ce qui m’avait pris de réservé un chalet dans le Vermont, c’était loin de chez nous. Peut-être que c’était ça qui m’avait poussé à le faire. Prendre des vacances, on en avait besoin tous les deux. Que ce sentiment soit horrible, nous avions besoin de passer du temps seuls sans nos enfants. Je n’aimais pas me dire cela, mais si on ne voulait pas perdre la flamme on en était un peu réduit à cela. Avec mes cours, nos boulots, le café, les enfants, on allait finir comme des poules pas de tête à courir dans tous les sens, sans se poser la moindre question. Je passais ma main dans mes cheveux leur donnant cette apparence rebelle, avant de glisser ma main sur la taille de ma femme. Je n’avais pas envie de me poser les questions existentielles, je voulais profiter de ce week-end sans me soucier de ce qui nous attendait à Pasadena. Et puis, il n’y avait pas non plus notre vie dont on avait besoin de recule. Les dernières semaines étaient toutes autant difficiles, à croire qu’on n’avait jamais un moment de répit. Le décès de Jane affectait tout le monde et même si Lullaby n’en parlait peu, je savais qu’elle s’inquiétait pour le reste de sa famille. Je laissais un sourire planer sur mes lèvres avant de fermer la porte du chalet coupant l’air froid qui y entrait. « Enfin seul. » On aurait pu être seul aussi dans l’une des toilettes de l’avion, mais je m’étais retenu de l’y amener. Je ne savais pas trop si cette idée pouvait lui plaire, même si personnellement j’étais prêt à tout tester avec elle. Je me tournais complètement vers elle, tirant sur la tirette de son manteau. On venait tout de même de passer huit heures dans un avion, je ne me sentais pas le moins du monde fatigué et encore moins enclin à aller me coucher. Mais au vu de l’heure, les pistes ou toutes attractions devaient être fermées. « Et si on se faisait ce repas qu’on s’est acheté. » Bin oui, y fallait bien faire l’épicerie avant d’arriver ici. On aurait l’air con deux jours sans manger. Je lui retirais son manteau, allant le déposer sur l’une des valises. J’embrassais ses lèvres, avant de tourner la tête regardant notre demeure pour la fin de semaine. C’était chaleureux et très, très, très rustique. « Euh… Tu sais comment ça fonctionne ? » demandais-je en lui pointant du doigt le pôle à bois. Les cuisinières ils ne savaient pas ce que c’était. Je retirais à mon tour mon manteau, puis mes bottes avant de me diriger vers cette antiquité. En fait, tout était d’époque ma parole. Ça avait un certain charme, mais pas très pratique même le frigo semblait plus vieux que moi. Je poussais un soupir. « Le site ne montrait pas ce genre de chalet ! » disais-je en me dirigeant vers la salle de bain, ouvrant la lumière. Au moins, il y avait une toilette « moderne ». J’avais tout de même un peu peur d’aller voir la chambre. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Jeu 18 Fév - 20:40 | | | Une tuque, bon dieu. J’avais fait tout pour tenter de l’empêcher de porter ça. Tout. Mais cela n’avait pas vraiment été efficace. Après tout, je n’avais sûrement pas assez essayée ? C’était ce que je voulais me dire pourtant bon. C’était joli mais non pas sur lui. J’avais été gênée par moment mais mon manteau d’étoile de mer bien chaud avec une capuche en fourrure par-dessus mon bonnet en laine me rendait bien heureuse. Pourquoi une tuque ? Mon mari était cinglé mais je l’aimais, c’était déjà bien. Je riais doucement, assez nerveusement à cause du froid. J’ignorais dans quoi je m’étais embarquée. A quelques jours, presque quelques semaines et qu’importe le temps de la mort de Jane, j’étais assez confuse. Perdue. Je ne m’en rendais pas compte mais nos relations des mois derniers avec la rousse jouaient totalement dans ma façon de vivre après sa mort. Je ne voulais pas m’y faire et je refusais de laisser les gens penser que je m’y faisais. Tandis qu’il ouvrait la porte, je rentrais. Je le laissais fermer la porte, riant à ce qu’il disait. Enfin seul ? Voyons mais il était fou, je ne voulais pas être seule avec lui. Ahah la blague si vous croyez à un mensonge, vous êtes définitivement totalement mais totalement fou. C’est le cas de le dire. Fous. Mais vous êtes fous voyez-vous. Et on s’en fout. Trop de « Ou » enfin soit. J’étais ainsi depuis quelques mois. Pas à l’aise avec moi-même mais à l’aise avec mes proches. Je regardais mon mari, lui semblait bien heureux quand il se tournait vers moi. Je pouvais presque lire dans ses yeux ce qu’il pensait. Oui, enfin avec Aiden ce n’était pas toujours difficile de savoir le fin-fond de ses pensées. Il retirait mon manteau, et je souriais doucement mais il gâchait tout. Je faisais une petite moue. « Je croyais que c’était moi le repas ! », lui disais-je avant de rire aussitôt. Je retirais à mon tour ma veste et en dessous, j’avais simplement une seconde veste. C’était la veste de la veste voyez-vous. Frileuse ? Mais pas du tout. Un pull assez chaud se trouvait en dessous avec un jeans tout simple et un slim pour tenir la chaleur en dessous du jeans. Trop de couches. L’idée même d’un côté sexy dans cette tenue était carrément inimaginable pour moi. Rien n’était sexy dans cette tenue, rien. J’allais sûrement m’y faire. Je devais m’y faire. Mais je me contentais de rire en l’écoutant. « Euh… », Aucunes idées en fait. « Faut pas mettre du bois dedans ? », disais-je alors sans vraiment savoir. Je retirais mes gants et mon bonnet pour les poser sur le porte-manteau à l’entrée. « Sous prétexte que je suis une femme, je devrais savoir comment ça marche ? », disais-je faussement vexée tandis que j’allais vers la chambre car c’était l’endroit que j’avais envie de voir depuis l’aéroport et je parle même depuis le départ pas l’arrivé dans l’Utah. Cela peut sembler clairement stupide mais c’était le cas. J’ouvrais la porte, restant alors coincée devant le visage d’un cerf qui me regardait. Empaillé ou pas, il m’effrayait un peu. Je fronçais les sourcils, le regardant avec attention tandis que je tournais mon regard vers Aiden. « Euh… on n’est pas seul ! », annonçais-je alors que je regardais à nouveau le cerf. Je grimaçais doucement. C’était tellement de mauvais gout mais tellement. « Ils t’ont annoncés ça dans l’annonce ! », je pointais alors du doigt la tête de l’animal sur le mur. Je n’étais pas prête à m’en remettre ça c’était sûr. Je ne voulais même pas m’en remettre. J’en avais des frissons partout mais pas ceux qui espérerait. Je tournais le regard vers lui à nouveau. « Fais attention à ce qu’ils veulent t’empailler aussi… », disais-je en tournant mon regard vers lui. Cette fois bien taquine mais pourtant sans oublier l’animal car obsédée par cette frayeur, je tournais à nouveau mon regard vers lui. « Erk… », soufflais-je alors que mes yeux se plantaient dans les prunelles de ce qui était pour moi une pauvre bête. « Tu crois qu’il est vivant ? Enfin non je veux dire… vrai pas vivant bien sûr qu’il n’est pas vivant mais je veux dire… on dirait que ses yeux me suivent partout… », j’en avais la chair de poule en fait. C’était vraiment trop flippant pour moi. |
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