Tout allait de bon train, enfin c’est ce que je croyais. Je ne m’étais pas préparer à ce qui allait suivre, bien trop concentré à freiner ce torrent d’artifice. Je ne voulais pas la brusquer ni même agir comme le mec qui n’espérait qu’une seule et unique chose, la mettre dans son lit. Bien sûr que j’avais déjà eu ce sentiment envers des filles, mais j’étais toujours trop saoul à ce moment-là. En plus, ce n’était pas mes copines celles qui avaient eu droit à ce traitement. Mais je n’aimais pas particulièrement ces séances de culbutages, si le mot peut convenir. Je n’avais jamais été ce genre de mec, mais avec un verre dans le nez, je devenais macho ou le pire des crétins. L’alcool peut créer de véritable troll. Je n’allais néanmoins pas user de rodomontades devant elle, je voulais simplement qu’elle me dise ce qui n’allait pas. Je savais mettre un haut-là à tout ceci, mais sans raison je savais que je pourrais m’en faire. Me faire le pire des scénarios de science-fiction. Rien ne pouvait être classique comme situation et j’estimais que je devais savoir. Après tout pour qu’un couple fonctionne, on doit parler. On ne devait pas garder enfoui en nous tout cela. Car tôt ou tard, on allait en subir le déchaînement. Je la regardais, restant aussi taciturne qu’on le serait pendant des obsèques. Dans ce moment de silence, l’eau créait une ambiance que je commençais à ne pas tant apprécier. Mes sourcils se fronçaient alors qu’elle m’avouait n’avoir jamais été plus loin. Je devais bien admettre que je ne comprenais pas tout à fait ce qu’elle tentait de me faire comprendre. J’allais lui demander moult détail, quand elle disait finalement être vierge. Être un connard, j’aurais ouvert la bouche d’étonnement, mais je restais plutôt silencieux. Comment devais-je réagir à cela ? Cette éventualité n’avait jamais fait partie de mes scénarios. J’ouvrais finalement la bouche, mais la refermait aussitôt. Je devais bien dire quelque chose, n’importe quoi… Seulement, elle m’avait toujours semblé être le genre de fille qui… Enfin, qui prend un certain plaisir avec les mecs. Mon cerveau fonctionnait tout à coup à plein régime et plus tout se clarifiait, je laissais un rire s’échapper de mes lèvres. Je ravalais néanmoins bien vite cette attitude plus que déplacé. « Pardon. », disais-je en détournant le regard, plaçant mes mains sur ma nuque. « Sérieusement, je croyais que j’avais fait quelque chose qui ne fallait pas… J'ai eu peur que tu me repousse. », continuais-je avant de reporter mon regard sur elle. « Je ne changerai pas mes paroles. Je suis prêt à attendre le temps qu’il faut. Après tout, on est tous passé par là. » Je laissais un sourire apparaître sur mes lèvres, alors que je faisais un pas pour me rapprocher d’elle. J’appuyais mon front contre le sien, la regardant dans les yeux. « Merci. Merci, d’avoir assez confiance en moi pour me le dire. » Je déposais mes mains sur sa taille, avant de fermer un œil tel un gamin qui n’osait pas demander quelque chose. « Mais dit moi, on peut quand même explorer les préliminaires ? Je suis prêt à attendre, mais je n’ai jamais resté aussi longtemps sans rien faire et je dois dire que j’ai envie de ma copine. Tu n’as qu’à me dire tes limites… » C’était con, mais je savais que si je n’avais pas le droit de faire un minimum, j’allais perdre la tête. Je finissais par l’embrasser. « Et puis, y’a bien d’autre moyen pour donner du plaisir sans pénétration. », continuais-je avec une voix espiègle. Non, je ne pouvais définitivement pas changé après tant d’année à m’amuser avec le corps féminin.

Mon regard guettait une réaction du jeune homme, tous mon être était en souffrance, mon esprit était assaillit par des bourrasques de doute et de question. J’avais l’impression de perdre pied, que je n’aurais jamais dû dire quoi que ce soit. Pourtant, je ne pouvais pas me pavaner encore devant lui, sans lui dire que sa copine n’était pas dévergondé, enfin dans la limite du raisonnable, elle savait mettre des ola là où on devait en mettre pour se respecter. Je me sentais mal. Pas de réaction, il se faisait taiseux. Les souvenirs d’un de mes ex repassait dans mon esprit, me blessant amèrement alors que j’entendais l’acouphène de ma salive que je venais de déglutinais. Je devais avoir créé pour Jonas un moment tohu-bohu, je ne voulais pas qu’il pense que je venais de l’allumer et que j’avais juste l’instant de le laisser seul. Je ne savais même plus quoi penser de moi-même. Il avait réussi sans rien faire à me mettre des doutes, des envies, il avait su faire naître en moi bien des choses, il n’en avait pas conscience, mais il était l’auteur de ces déchainements de bonheur qui jonchait ma vie depuis que je le connaissais. Il avait su me rendre heureuse avant même qu’il ne soit mon petit copain, peu importe les moments de réchauffement entre nous ou encore ces moments où on s’était senti puissant ensemble, même les moments qui nous laissait mal à cause de dispute, je ne pouvais nier que je ne serais pas capable d’effacer l’un de ces moments. Je ne serais pas capable de me parjurer comme j’avais su le faire auparavant pour ne pas dévoiler à moi-même ces sentiments qui avait naquit dans mon être. C’était radical de se mentir à soi-même, mais c’était des séances entière pour pleurer dans sa chambre en caressant le chien. Enfin tous ces torrents de pleurs n’avaient plus lieu d’être, car quoi qu’il puisse dire, je serais prête à me battre pour ne pas devoir accepter un deuil de notre toute jeune relation. Nos corps n’étaient plus vraiment prêt de se joindre, surtout qu’il venait de virer ses mains de mon corps, qui pourtant le réclamait encore, la boule venait de se créer dans mon bidon, j’étais à deux doigt d’apporter la compassion sur moi, mais je retenais mes larmes. Je n’étais plus sûre de vouloir rester là devant lui, alors que j’étais nue et du coup vulnérable. En attente de trouver mes mots, j’étais venue couvrir ma poitrine, de jolie petite clémentine de mes mains en pinçant mes lèvres, alors qu’il ajouter des choses à ses dires. Le soulagement finissait par arriver, je relâchais mes mains pour les glisser sur sa nuque, alors que nos fronts étaient collés entres eux. « Désolée d’avoir tant tardé à te le dire … » Je mordais un peu ma lèvre poussant à la force de mon front sa tête, laissant mon nez toucher le sien en laissant un petit baiser esquimaux se faire entre nous, autant dire qu’avec les Celsius qu’il y avait eu peu de temps avant, ce n’était pas ce genre de baiser qui allait faire grimper à nouveau la température. « Je tiens vraiment à toi Jonas … j’ai même hésité à rien dire par peur … de te perdre, mais je t’ai fait confiance et je sais que tu n’es pas le style de mec que j’aurais pensé avant.. » Il savait exactement comment je le considérais c’était souvent pour ça les disputes avant, car on n’était pas d’accord. Enfin, c’était du passé qui n’amènerait plus aucune nuit blanche à aucun de nous deux. « Jonas je suis vierge, mais pas une nonne … » disais-je amusée alors que mes mains glissaient le long de son échine pour terminer sur le dessus de la naissance de ses fesses, l’une de mes mains jouaient avec son élastique, souriant un peu avant de venir mordiller sa lèvre finissant par glisser mon regard dans le sien. « Ah oui, apprend moi alors … dis-toi que je suis ton élève ! » murmurais-je à son oreille d’une voix suaves et douce. La fête nationale et le feu d’artifice allaient sans doute se passer ici ? Ça promettait sans doute quelques heures animées.

Qui aurait pu deviner que ma nana était vierge ? Il n’y avait pas de mal à cela, mais j’en restais tout de même étonné. Après elle avait ses raisons et je me devais de les respecter. Ce n’était pas parce que je ne l’étais plus depuis mes seize ans que tout le monde était ainsi. Et puis, je ne pouvais m’empêcher d’être soulagé de voir qu’elle n’avait pas quelque chose contre moi. Car même si je ne le disais pas, je savais qu’être repoussé m’aurait blessé. Même si je n’étais pas un ange, il y avait des moments, des gestes ou bien des attitudes qui pouvaient blesser. Me faire rejeter par ma copine en faisait bien entendu parti. Puisque même si j’avais de l’expérience, passer certains caps demande confiance en soi. Je lui souriais, alors que nos fronts étaient appuyés l’un contre l’autre. « Ne t’en fais pas. », soufflais-je suite à ses excuses. Je laissais nos nez se frotter ensemble me décrochant un rire amusé. Ses paroles agissaient finalement comme une sorte de délivrance. « Si j’étais parti pour cela, dit-toi que j’en valais pas le coup ! Et puis, y’a quelque chose d’excitant à la virginité. », disais-je en réponse à ses paroles. Pour le coup, je souriais, mais ce n’était pas un mal. Je le pensais réellement, même si je ne pouvais pas d’écrire ce qu’était ce ressentit. La dernière fois que j’avais couché avec une fille vierge et dont je savais qu’elle était vierge, j’étais encore puceau. Il n’y avait pas eu de grand lit baldaquin ni de drap de satin. On était simplement deux ados désirant découvrir ce plaisir que temps de personnes proclamaient comme étant quelque chose de puissant. Mes souvenirs de cette fameuse nuit me restaient en mémoire, même s’ils n’avaient pas tant d’importance désormais. Au mot nonne, je ne pouvais pas m’empêcher de me demander jusqu’où elle avait pu aller jusqu’à présent. Après tout, il a tellement de chose qu’on peut faire ou était-ce simplement les pornos qui donnait une éducation différente de la vision d’une femme ? On pouvait voir cela comme une documentation qu’on pouvait mettre ensuite par pratique, mais la plus part des filles se limitaient à des baisers, quelques caresses, laissant bien souvent l’homme en attente de plus. Et une nana aussi canon qu’elle avait dut allumer plus d’un mec, j’en savais tout de même quelque chose. Mais ça ne me dérangeait pas loin de là. « Tu n’es pas une nonne, c’est intéressant. », finissais-je par dire tandis que je sentais ses mains baladeuses glisser jusqu’à la naissance de mes fesses. Je riais amuser par ses paroles. Doucement, j’allais chercher ses mains, avant de la faire tourner sur elle-même. Je la ramenais jusqu’à moi, collant mon torse dans son dos dans une accolade qui n’avait rien d’enfantin. J’enfouissais mon visage dans le creux de son cou, laissant mes mains glisser le long de ses bras. « J’ai pas envie de jouer le professeur, j’ai simplement envie de te donner du plaisir. », disais-je en mordillant sa chair. Une de mes mains remontait jusqu’à l’un de ses seins, alors que je laissais l’autre descendre comme je l’avais fait un peu plus tôt. « Laisse-toi faire et ait confiance. », disais-je en embrassant la ligne de sa mâchoire. Je pouvais affirmer que je n’avais pas été dévasté par la nouvelle et j'avais toujours autant envie d’elle. L’eau coulait toujours sur nous, mais je n’y portais plus d’attention. Ma main glissait habilement entre ses jambes, allant taquiner cette petite bille. Je laissais ma main se trouvant sur sa poitrine remonter jusqu’à son menton, tournant son visage vers moi je plongeais mon regard dans le sien avant de l’embrasser avec passion.

Je n’avais pas besoin de conter mon histoire à Jonas pour lui expliquer pourquoi j’étais encore vierge, après tout le faite serait sans doute futile. Je joignais mes doigts dans sa nuque, un sourire affectueux aux lèvres, qui l’écoutait doucement alors que mon nez était venu caresser le sien avec tendresse. Je me sentais bien, rien ne pourrait sans doute briser ce moment que je vivais actuellement. Même un convoi de wagon remplie d’Amber Heard n’irait pas mettre le doute à Jonas, pourquoi j’avais autant confiance ? Aucune idée, j’aurais pu me préparer à une autre réponse, malgré le petit doute qui avait tenté de détruire la confiance que j’éprouvais pour le jeune homme. Enfin. Je caressais sa joue de l’une de mes mains souriant à ses mots, excitant ? C’était le premier à me le dire ? Non, c’était assez classique, mais cela l’était moins quand je disais que je ne voulais pas sauter le pas comme une vulgaire fille qui se nommerait clémentine et qui aurait tendance à porte des dessous en cuire pour attirer les mecs dans des draps plus rugueux que les miens qui étaient en satin. « Alors tu en vaux le coup ! » Je venais imposer mes lèvres sur les siennes, caressant son torse du bout des doigts. « Excitant ? J’aimerais bien voir cela ! » Disais-je en fermant mes paupières qui m’imposaient un noir complet durant quelques secondes avant de laisser mes yeux azur se perdre dans les noisettes de Jonas. « Quoi tu pensais que j’étais une nonne alors que tu pensais aussi que j’avais allumé plus d’un feu de joie dans le caleçon d’un gars ? » Je mordais ma lèvre avec sensualité, la gêne que j’avais pu avoir au début était tout bonnement partie comme le ferait un acteur caméo. Mes mains avaient pris possession de ses fesses, elles s’étaient encore laissée glisser le long du rebondit de ses fesses les pinçant légèrement en poussant un peu le bassin de mon chéri à rencontrer le mien, mon regard restant calqué dans le sien avec douceur, aucun émoticône ne serait capable de faire deviner les Celsius présent dans cette salle de bain et bien plus sous cette douche d’eau froide où l’on était censé se laver. Je me laissais amplement faire, de toute façon ce n’était pas ce soir qu’il allait marquer une base comme au baseball, car je n’allais pas le laisser faire n’importe quoi et pourtant, je pourrais garder les yeux fermés en me laissant faire que je savais qu’il ne ferait rien qu’il pourrait me rendre mal .C’était dingue à quel point j’avais confiance. « Et de t’en donner … » Je glissais ma main entre mes fesses et son bijou, je ne dirais pas son troll car il n’avait pas l’air d’un farfadet bien plus musclé qu’une jambette. Je fermais les yeux laissant une douce mélodie ravager l’acouphène que j’entendais de mon cœur battant la chamade. Je sentais un millier de papillon s’envoler dans mon bas ventre, chacun de ses gestes, de ses baisers seraient capable de me faire atteindre une certaine délivrance. Je caressais doucement son entrejambes, alors que je sentais ses mains sur mon corps, l’une de ses mains étaient à l’endroit le plus craintif de mon être, je me sentais déjà cambrer sous cette main qui n’était pas saoul de désir, mais bel et bien de me rendre dévasté par la chaleur et ce réchauffement qui se produisait entre nous deux. Ma langue trouvait la sienne, elles s’amusaient dans un tango digne des plus grands danseurs, alors que je me cambrais laissant mon souffle se saccader petit à petit. Je continuais de mon mieux à tenter de lui faire plaisir, je n’étais pas un mollusque ou une étoile de mer.

Bien que cette nouvelle mettait fin à mes plans de passer un certain cap avec ma copine, je n’en éprouvais pas moins un plaisir à faire durer les sensations. Caressant ce bonbon doucereux entre ses jambes, je me concentrais sur ses lèvres. Bien entendu, je sentais aussi ses mains sur mon engin, mais si je ne voulais pas perdre le contrôle, je ne devais pas lui porter d’attention. Par chance, avec l’eau froide, il avait peu de chance de lever. Même si on créait une certaine chaleur, je savais que ce contact froid sur ma peau saurait gérer mon self-control. Toutefois, je sentais son expérience, c’est avec certitude que je pouvais me dire que je n’étais pas le premier à avoir ce genre de traitement de sa part. Laissant nos langues valsées ensembles, je continuais à me concentrer sur son entrejambe, laissant mes doigts pratiquement ce mouvement qu’ils connaissaient bien. Nos corps tout deux livrés dans une batail de pulsion, je laissais ma main libre redescendre sur son sein. Doucement, je commençais à le caresser avec délicatesse. Libérant ses lèvres, j’embrassais sa joue, puis je me dirigeais vers son oreille. « Ne pense à rien, laisse-toi aller. Il n’y a pas de mal si ce n’est que toi qui éprouve du plaisir. » Mordillant son lobe d’oreille, tirant légèrement dessus tout en taquinant son mamelon de mes doigts. Sachant que de toute manière ce n’était pas une bonne chose de m’allumer, je préférais me concentrer sur elle. Disons que j’étais plus difficile à arrêter qu’elle si on en arrivait là et je venais de lui promettre de ne rien tenter. Je la sentais venir, ce qui me faisait sourire, mais ce à quoi je ne m’étais pas attendu c’était qu’on sonnait à notre porte. Passant ma langue sur ma lèche, je faisais mouche de ne pas avoir entendu, cachant aussi mon exaspération d’être dérangé. La personne continuait tout de même, insistant en appuyant de plus en plus fort sur la sonnette. Relâchant Jazz, je poussais un soupir. Un baiser sur sa joue, je sortais de la douche, en roulant une serviette autour de ma taille. « Je reviens. » Même si je disais cela, je savais pertinemment que c’était fini pour aujourd’hui. Arrivé à l’intercom, je décrochais parlant avec une voix froide. À l’autre bout, j’entendais Noah me dire qu’il était arrivé et que je devais me dépêcher si je ne voulais pas manquer mon anniversaire. Raccrochant, je le laissais monter, allant voir Jazz. Je m’appuyais sur le rebord de la porte, poussant un soupire. « Noah vient d’arriver, je vais devoir filer. » disais-je avec une légère moue. J’allais tout de même lui voler un baiser, avant d’aller dans ma chambre pour me changer. Je fus plus rapide que Noah, il avait à peine le temps de toqué à la porte, que j’ouvrais celle-ci. Saluant Jazz, je suivais mon meilleur jusqu’à cette fête qu’il avait sans doute organisée. En tout cas, même si je ne m’étais pas attendu à ce que Jazz soit vierge, j’avais tout de même eu un beau cadeau. Ça me donnait un bel avant-goût de ce qu’on pourrait vivre en allant plus loin…