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mot doux de Invité ► un Sam 22 Aoû - 0:28
Je ne pus m’empêcher de montrer un air faussement indigné face à Surie lorsqu’elle pouffa de rire quand je lui dis que les garçons pouvaient se montrer responsables. Franchement, je ne voyais pas ce qu’il y avait de si drôle dans un tel aveu. Certes, c’était vrai que Surie était quinze fois plus responsable que moi, mais je m’en sortais bien aussi, non ? J’entendais l'adolescente me dire qu’elle ne me mettrait pas dans la catégorie des garçons s’ils étaient responsables. Je grimaçais, interrogeant : « Alors tu me mets dans quelle catégorie ? » Je l’observais, curieux d’entendre ce qu’elle allait me sortir. Puis, nous allions chercher des hot dogs aux sauces plutôt étranges dont nous avions le secret. Je proposais à Surie de goûter au mien et une fois qu’elle en prit un morceau, je l’entendais me féliciter sur le mélange, assurant que personne de normal aurait pu avoir une telle idée. Je ris doucement, avant de rétorquer : « Oui, parce que c’est vrai que je ne suis pas vraiment normal. » Je souris, avant d’ajouter : « A la tête du vendeur, je crois que t’as bien raison ! » Je proposais ensuite d’aller chercher des boissons et revenais une dizaine de minutes plus tard avec deux rafraîchissements. J’en tendais un à Surie qui finissait tranquillement son hot dog. Je l’interrogeais sur l’éventualité qu’elle ait déjà fait des châteaux de sable et si elle avait une idée de ce qu’elle voulait en faire, ou si elle jugeait qu’il valait mieux qu’on y aille simplement sans trop réfléchir. Elle m’annonça qu’il était mieux d’y aller franco et de laisser court à son imagination, ce à quoi je répondis avec bonne humeur : « C’est parti alors. »
Je commençais à creuser afin de faire quelques ravins entre les futures tours. Quelques minutes de silence s’écoulèrent durant lesquelles Surie ouvrait sa canette de jus. Sereinement, je lui racontais mes propres souvenirs d’enfants concernant ma sœur et ses châteaux de sable, le genre de souvenirs que je ne partageais à personne d'autres mis à part l'adolescente. J’avais sept ans la dernière fois que je l’avais vue, mais c’était fou comment j’avais encore des souvenirs d’elle, comment je pouvais me rappeler des petits détails. Nombreuses choses devenaient de plus en plus floues, comme le son de sa voix, certains traits de son visage. Mais ces moments passés ensemble demeuraient encore présents. J’espérais que je n’allais pas les oublier en vieillissant, comme je me surprenais à oublier certaines choses que je souhaitais garder dans ma mémoire. J’entendis Surie annoncer qu’elle pensait que ma sœur devait s’inventer des histoires de princesses, ce qui me semblait bien plausible. Un fin sourire étirant mes lippes, je m’entendais prononcer : « Tu as sans doute raison. Elle adorait les princesses et compagnie. » Je levais les yeux et remarquais au loin les filles de Peyton. Du haut de leur cinq ans, elles étaient accompagnées de Louisa, la belle-fille du policier. J’en faisais part à Surie qui me demandait où elles se trouvaient. « Mh, à côté du stand où ils vendent des ballons. Avec une jeune femme rousse. Les petites filles avec les cheveux blonds. » Une fois que Surie me disait les avoir repérées, j’attirais à nouveau mon attention sur notre création ensablée. J’observais la petite colline de sable qu’elle venait de faire, et je lui demandais, curieux : « Tu penses que tu voudrais changer de nom de famille si t’en avais l’occasion ? » Je me rappelais comment elle m’avait appelé Monsieur Delgado plus tôt pour évoquer ma recette étrange d’assaisonnement de hot dog. Mais en vérité, Delgado n’avait pas toujours été mon nom de famille, je le portais depuis quelques années seulement. Avant ça, j’étais Levi Rivers. D’ailleurs, j’avais toujours gardé mon premier nom de famille, il apparaissait encore sur mes documents officiels, avant Delgado. Mais plus personne ne l’utilisait vraiment. Il était simplement là, dormant en silence.
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mot doux de Invité ► un Sam 22 Aoû - 1:14
Il n'y a pas à dire, me moquer de Levi était sûrement l'activité que je préférais en ce monde surtout quand je voyais cette petite tête mignonne qui ne pouvait m'empêcher de le voir vraiment comme un homme et non comme un ami proche. Je fis semblant de réfléchir quelques secondes quand il me demande dans quelle catégorie je le mettrais puisqu'il n'était pas dans celle d'un garçon... Sûrement dans les cas à part, difficile à classer car trop compliqué. dis-je avec un sourire rayonnant, penchant ma tête légèrement sur le côté. Je pouvais être une vrai garce quand je m'y mettais, mais cela faisait d'une mois, une vrai fille n'est ce pas? Après avoir goûté au hot dog de Levi fraîchement acheté, je pus tout de suite comprendre qu'il était un mec pas normal rien qu'à la sauce qu'il a mis sur son hot dog. Je ne pus m'empêcher de lui trouver un certain charme de ce côté là, mais Levi en a toujours eu ... Une fois que Levi fut revenu du stand de boisson et mon hot dog terminé, il était temps pour nous de se mettre au travail en réalisant mon premier château de sable en sa compagnie, quoi demander de mieux à part de l'amusement? Pendant ce moment de partage, je compris rapidement le besoin de Levi de confier ses souvenirs avec sa petite soeur. Cela me touchait qu'il m'en parle et je savais également que cela lui faisait le plus grand bien. Je lui expliquait mon point de vue sur l'imagination d'un enfant et sur les histoires que la petite devait s'imaginer dans sa tête. Elle a vécu de bon moment avec toi tu sais, j'en suis persuadée. lui dis-je avec un sourire aux lèvres, le regardant avec des yeux tendres. Il n'était pas difficile d'avoir de bon souvenir avec Levi, il suffisait juste de vivre au jour le jour en sa compagnie sans vraiment réfléchir.
Je finis par repérer les deux petites filles dont me parlait Levi et je ne pus m'empêcher de les trouver adorables malgré mon côté jalouse qui est ressorti pour seulement deux gamines de cinq ans environ. Je finis par reposer mon regard sur notre oeuvre alors que Levi me posait une question des plus intéressante... Est-ce que je pouvais changer de nom de famille et prendre celui de Lullaby et Aiden? Je n'en avais aucune idée, je n'y avais même pas pensé d'ailleurs... Ils ne m'ont pas adopté, ils m'accueillent juste dans l'inégalité. J'allais être majeure alors pourquoi voudraient-ils m'adopter? J'allais leur couter plus d'argent avec mes études et tout ce qui va avec... Je n'ai pas supposé cette option donc je n'y ai pas vraiment réfléchi. dis-je en osant les épaules. Même si mon nom de famille ne voulait plus vraiment dire quelque chose puisqu'il ne me reliait pas vraiment à une famille au sens pure comme il devrait l'être... Je me dis que je finirai par changer de nom en me mariant plus tard avec l'homme que j'aime. J'avais dans l'optique de changer de nom de famille quand j'épouserai mon futur mari, je n'ai jamais pensé à être adopté un jour. dis-je en souriant légèrement. Venant m'occuper du château maintenant, essayant de m'appliquer comme je le pouvais.
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mot doux de Invité ► un Sam 22 Aoû - 1:46
Se taquiner l’un l’autre composait un certain passe-temps entre nous. C’était plutôt étrange, comment on n’hésitait pas à se charrier mais d’un autre côté, on ne voulait pas vraiment non plus que l’autre personne soit blessée. Une relation une peu particulière nous unissait, sans doute. J’entendais Surie me dire qu’elle me classerait dans les cas à part, parce que j’étais trop compliqué à mettre dans une boîte. Je souris doucement, ignorant comment vraiment le prendre. Je savais que je pouvais être étrange, mais tout de même. J’observais mon interlocutrice, lui demandant : « Et est-ce que y’a d’autres personnes difficiles à classer avec moi ou je suis le seul ? » Car après tout, si je partageais la catégorie des cas particuliers avec quelqu’un d’autre, ça me rendrait moins étrange en quelque sorte.
Puis, une fois que nous nous étions posés et que nous avions hot dogs et rafraîchissements à disposition, j’évoquais ma petite sœur à Surie. Ce qui était bien avec la jeune femme, c’est qu’elle ne creusait pas non plus, elle ne cherchait pas spécialement à m’en faire dire plus, ou à comprendre plus que ce que j’avais dit. Ça allait simplement, presque banalement, et je m’efforçais de faire de même de mon côté. C’était vraiment quelque chose d’horrible quand on est obligé de parler de ce genre de choses à quelqu’un. Tout comme ces souvenirs doivent malgré tout être partagés un jour ou l’autre, par besoin. Mais je savais qu’avec Surie, je pouvais le faire sans crainte. Je la percevais m’avouer que ma sœur avait dû passer de bons moments en ma compagnie. Je croisais son regard tendre, avant d’attirer mon attention sur le sable. Parfois, je me risquais un peu à m’imaginer ce que serait ma famille aujourd’hui. Je me demandais à quoi ressemblerait ma sœur, ses hobbies, ses passions, ce qu’elle détesterait. Si elle serait plutôt première de la classe ou s’en ficherait un peu de l’école. Mais sans doute n’était-il pas bon de s’imaginer ce genre de choses, puisqu’elles ne se passeraient jamais, tristement. Je tentais de chasser ces idées de ma tête, tout en apercevant les jumelles de Peyton au loin. J’expliquais à Surie où elles se localisaient, vu qu’elle ne les avait jamais vues auparavant. Puis, repensant à nos derniers échanges, je demandais à la texane si elle avait déjà pensé à changer de nom de famille. Elle m’avouait n’y avoir jamais réellement songé, pour me confier quelques secondes plus tard qu’elle avait dans l’optique de changer de nom de famille lorsqu’elle se marierait. Je souris doucement, avant de me redresser : « Donc tu veux te marier un jour ? » C’était plutôt intéressant à entendre, quand aujourd’hui beaucoup de gens disaient qu’ils ne désiraient pas se marier, qu’ils ne croyaient pas au mariage. Je trouvais ça un peu bizarre, vu que bon, qu’on soit marié ou pas, si on s’aime on reste ensemble. Mais bon, je n’avais pas trop l’expérience non plus des relations amoureuses. « Moi non plus je pensais pas être un jour adopté. » annonçais-je, me remémorant ce moment où mes pères adoptifs me l’avaient proposé. C’était un peu étrange, parce que je me sentais plus lié aux Delgado. Mais porter le nom Rivers m’apportait un peu de réconfort aussi, comme si ça me rappelait d’où je venais à la base. Bien que je ne connaissais pas grand-chose de ma famille biologique à part des souvenirs d’enfants que j’avais encore.
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mot doux de Invité ► un Sam 22 Aoû - 10:55
Il n'y a pas à dire, le "qui aime bien châtie bien" nous convenait parfaitement à tous les deux. Le sourire affiché sur mes lèvres voulaient bien dire que ce que je ressentais en ce moment même, était du pure bonheur. Je classais Levi dans une catégorie à part simplement pour l'embêter mais aussi parce qu'il était clairement dans une case à part dans mon coeur. Difficile à dire, je te le dirais quand je le saurais. dis-je en penchant légèrement la tête sur le côté. Il est vrai que je ne savais pas spécialement s'il était le seul dans la catégorie difficile à classer. On finit tous les deux par commencer à mettre en place le château de sable, on savait très bien qu'on allait pas gagner le concours mais on pouvait très bien s'amuser tout de même, surtout que c'était mon tout premier. Je penchais la tête sur le côté réfléchissant à comment on pouvait faire pour monter le château de nos rêves. J'écoutais bien entendu chaque parole de mon ami qui n'a pas hésité une seconde à s'ouvrir à moi au sujet de sa petite soeur. Je n'ai pas cherché à en savoir plus, il me dira sûrement tout une fois qu'il en aura le besoin, je n'ai pas à le pousser à le faire. Des réponses simples et claires étaient ce qu'il y avait de mieux dans ce genre de situation, je savais que Levi n'en demandait pas plus. Il finit par me poser une question des plus intéressantes que je n'avais pas osé pensé. Changer de nom ? Me faire adopter? J'avoue ne jamais avoir eu le moindre espoir que cela arrive. Je suis clairement bien trop vieille pour que cela arrive et dans ma tête, c'était une fois marié que je pourrais porter un nom de famille et l'honoré convenablement. J'eus un léger rire quand Levi me demande si je comptais me marier, bien sûr, cela allait de soit nan? Je compte formé une famille heureuse avec des enfants que j'aimerai et que je chérirai, le mariage va donc de soit. Former ma propre famille et vivre heureuse, c'était ce qui m'importait le plus dans ma vie. Si j'avais cela, je pouvais alors me dire que j'avais réussi ma vie. Je tourne la tête vers Levi souriant doucement en l'entendant dire qu'il ne pensait pas qu'il pourrait être adopté un jour et pourtant, c'était le cas... Par un couple homosexuel qui prenait soin de lui et je ne peux qu'en être heureuse pour lui. La vie fait des miracles, j'aurais cru rester dans la rue pendant encore longtemps et me voilà dans une maison avec deux adultes qui prennent soin de moi... qui l'aurait cru en me voyant squatter une maison à vendre? Personne. dis-je en haussant les épaules, attrapant ma canette pour en reboire quelques gorgées. Je souriais doucement avant de me remettre au travail, le château n'allait pas avancer tout seul. Disons qu'on verra ce que le temps nous dira, si je change de nom de famille ou pas. dis-je en haussant les épaules légèrement avant de former le premier tas pour la première tour.
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mot doux de Invité ► un Dim 23 Aoû - 17:58
4TH of July
ft. Les Pasadéniens
Barbecue des pompiers, plage artificiels et festivités
Une fois sa réaction allergique passée, Leighton se sentait tout à fait bien et prête à engager la conversation avec cette sympathique inconnue. Certes, elle était censée retrouver sa famille et elle avait hâte de passer le reste de cette journée avec eux, mais elle était très douée pour se perdre, ils pourraient comprendre qu’elle ait quelques longues minutes de retard ce n’était pas impossible et puis, dans le pire des cas, ils se moqueraient d’elle et ça donnerait à la conversation une tournure légère dès le début, ce qui n’était évidemment pas pour lui déplaire, bien au contraire. Leighton détestait lorsqu’ils abordaient trop souvent leurs souvenirs ensemble puisqu’elle était exclue de bon nombre d’entre eux, les plus récents en tout cas, et que ça ne pouvait que lui rappeler qu’elle avait été si longtemps absente dans la vie de sa famille. Ils ne lui en voulaient peut-être plus désormais, elle n’en savait pas grand-chose puisqu’ils n’en avaient pas vraiment reparlé, mais elle se sentait toujours aussi coupable et ne pouvait que tenter d’éviter tout ce qui lui rappelait ce qu’elle avait osé faire. Alors profiter d’un échange avec quelqu’un qu’elle n’avait jamais vu de sa vie et qui ne pouvait pas la juger ne pouvait que lui faire excessivement plaisir, elle avait besoin de ces moments et elle était reconnaissante envers cette fameuse Louisa de les lui offrir. « Vous êtes allergique à quoi au juste par pure curiosité bien sur vous n'êtes pas obligé de répondre. » Oh, pour le coup, elle n’avait vraiment rien à cacher mis-à-part peut-être, une véritable honte de ne pas avoir sur reconnaitre ce qui se cachait dans ce bout de gâteau avant de mordre dedans. Elle aurait dû le savoir, Leighton en avait bien conscience, ce n’était pas comme si elle était allergique à quelque chose de tellement invisible qu’on pouvait tomber dessus sans prévenir. Elle afficha un sourire embarrassé, consciente qu’elle allait passer pour une véritable cruche, mais après tout, quelle importance ? Elle pourrait toujours se rattraper ultérieurement et il y avait fort à parier qu’elle ne lui en tiendrait pas rigueur. Quoi qu’il en soit, elle n’avait rien à lui prouver, de toute façon. « Oh, ça n’a rien d’un secret, ne vous en faites pas ! » Répondit-elle sans se départir de son sourire, heureuse de pouvoir discuter avec une telle légèreté sans craindre les potentielles conséquences. « En réalité, je suis allergique aux fraises… J’aurais dû m’en rendre compte, j’ai été vraiment imprudente, heureusement que vous étiez là. » Devait-elle vouvoyer ou tutoyer cette jeune femme qui, de toute évidence, devait avoir plusieurs années de moins qu’elle. Enfin, elle se souvenait très bien que passé les vingt ans, elle avait apprécié que les adultes plus âgés lui montrent un minimum de respect, ce à quoi elle n’avait pas eu vraiment le droit en tant que jeunette encore toute innocente qui ne connaissait rien aux choses de la vie. Faire sa place avait été difficile et maintenant qu’elle avait réussi, elle tâchait de ne plus reproduire les mêmes erreurs que celles qu’elle avait pu subir par le passé. Bon, évidemment, elle en faisait d’autres à la place, l’erreur était humaine et elle n’y échappait malheureusement pas, mais Leighton faisait de son mieux pour être irréprochable. Pour le coup, elle se comportait un peu comme une garce superficielle mais même si sa peau n’était pas sa préoccupation première, elle n’était forcément pas ravie de la voir rouge et toute craquelée, il fallait bien qu’elle en parle, c’était une véritable nécessité. « Ne vous en faites pas comme je vous ai dit ou pas encore je ne sais plus. C'est normal quant à votre état physique... Je pense que vous aurez le droit à quelques regards vous aurez qu'à leur proposer d'avoir une allergie pour voir si c'est rigolo. » La jeune femme n’avait pas tort, c’était assez facile de se moquer des gens lorsqu’on ne savait pas vraiment ce qui était arrivé, en sachant qu’elle avait fait une violente réaction allergique à un produit affectionné de tous, peut-être ne se seraient-ils pas autant marrés… Quoi que, il y avait fort à parier que ses frères ne se seraient pas gênés, ils s’étaient déjà bien amusés durant toute son enfance. Ce n’était pas comme si elle avait un cancer non plus, elle devait simplement éviter un aliment, ce n’était pas la mer à boire. A croire qu’elle n’en était même pas capable. Franchement, c’était un peu la honte. « C’est un bon conseil, je penserais à l’utiliser en temps utile. Mais j’espère qu’avec un peu de crème, ça partira… Et puis, ce n’est pas si grave, ce ne sont que quelques traces, je ne vais pas en mourir. » Leighton tenait vraiment à dédramatiser la situation, elle devait déjà avoir l’air tellement gourde. Changer de sujet de conversation était également une bonne idée, elle avait remarqué que cette très jeune femme était toute seule et il était donc parfaitement normal de lui demander si elle était accompagnée aujourd’hui. La journaliste ne voulait surtout pas la retenir si elle attendait quelqu’un, ça n’aurait pas été correct de sa part et puis, c’était une évidence, elle avait déjà clairement abusé de son temps, elle n’avait pas le droit de la retenir même de manière totalement involontaire. « Non. Je surveille mes deux petites sœurs qui sont en train de jouer un peu plus loin. Pour être honnête je m'ennuyais. Votre crise d'allergie tombait à pic. Vous êtes sure que ça va aller maintenant que vous avez pris votre médicament ? » Super, au moins, elle avait fait une heureuse cette fameuse crise. Leighton ne put que sourire, amusée par la sincérité de cette jeune femme, c’était plutôt cool de rencontrer quelqu’un comme ça, qui ne se prenait pas la tête et parlait assez simplement, ça la changeait de toutes les explications qu’elle avait dû donner depuis qu’elle était de retour à Pasadena suite aux rencontres d’anciennes connaissances ou d’anciens amis qu’elle avait pu faire de temps à autre. « Vos sœurs sont en train de jouer… ? Enfin, je veux dire, non pas que ça soit surprenant mais… Vous avez une grande différence d’âge, non ? » Elle avait bien essayé de suivre des yeux le regard de la jeune femme, mais elle était bien incapable de voir où se trouvaient les gamines en question dans la foule qui se trouvait là, et puis elle se mêlait de ce qui ne la regardait pas, il fallait bien le reconnaitre. « Mais ce n’est pas vraiment mes affaires, excusez-moi, je suis bien trop curieuse. » C’était le cas de le dire mais c’était quand même vraiment chouette de pouvoir parler d’autre chose que d’elle et de son allergie, même si évidemment la jeune femme était revenue à la charge, pas étonnant avec ce qu’il venait de se passer, elle devait avoir un peu peur que ça se produise de nouveau. Qui pouvait l’en blâmer ? Pas Leighton en tout cas. « Je vais vraiment mieux, ces comprimés font des miracles. » En même temps, ils étaient préconisés pour son allergie en particulier, encore heureux qu’ils soient efficaces, le contraire aurait été bien inquiétant.
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mot doux de Invité ► un Lun 24 Aoû - 0:35
Installé sur le sable, je m’appliquais à former un château de sable aussi beau que possible. Il faut dire que je n’avais pas énormément de talent là-dedans, mais j’y mettais toute ma bonne volonté. Nous n’allions certainement pas gagner le concours, mais nous faisions ça surtout pour nous amuser et passer du bon temps en l'honneur de cette célébration d’indépendance. J’interrogeais Surie sur son souhait de changer de nom, et j’appris rapidement qu’elle pensait obtenir un nouveau nom de famille que lorsqu’elle épouserait son futur mari. Je trouvais ça cool que ma meilleure amie pense au mariage comme ça, alors que beaucoup de jeunes aujourd’hui pensent que le mariage ne sert à rien, est limite ringard. Personnellement, j’aimais bien cette notion. Pas forcément pour le côté religieux, mais juste un peu pour la tradition et ce que ça invoquait. Si j’avais le choix, j’aimerais bien épouser quelqu’un, un jour. Je perçus Surie me dire qu’elle comptait se marier puis fonder une famille et curieux, je poursuivis sur ma lancée de questions : « Et tu veux combien d’enfants ? » Je me demandais si Surie était plutôt du genre à vouloir beaucoup d’enfants, une grande famille avec des membres bien différents mais soudée, ou si elle préférait avoir un petit nombre de progénitures qu’elle serait sûre de pouvoir suivre totalement. Et puis bon, j’imagine que tout le chemin de tomber enceinte et d’accoucher était à prendre en considération aussi dans cette prise de décision. J’avouais ensuite à Surie que je n’avais jamais pensé être un jour adopté, ce à quoi elle me répondit que la vie faisait des miracles de temps à autres. Tout comme moi, elle n’avait jamais imaginé être un jour accueilli par Aiden et Lullaby et maintenant avoir un toit, des adultes qui prennent soin d’elle et veillent à ce qu’elle ne manque de rien. Je souris doucement, l’entendant dire que la vie nous apprendra le reste concernant son nom de famille. Je conservais le silence quelques instants, posant toute ma concentration sur mon château de sable. Une fois ma construction terminée, j’attrapais l’embout de ma cannette de jus pour tenter de dessiner quelques fenêtres ou autres. Alors que j’essayais de former une porte, je questionnais à nouveau Surie sur sa nouvelle vie avec Lullaby et Aiden. « Est-ce que tu as des règles à suivre chez Lullaby et Aiden ? » Parce qu’après tout, si ça se trouvait, elle avait même un couvre-feu à respecter. Avant, Surie pouvait faire un peu tout ce qu’elle désirait, personne ne l’attendait ou autre. Mais maintenant, est-ce qu’elle avait des règles à suivre ? Une heure à respecter pour rentrer chez elle ? Des invités permis ou pas chez elle ? Est-ce que ces adultes étaient un peu du genre parents poules avec elle, autoritaires, ou lui laissaient pas mal le champ libre, vu qu’elle avait quand-même dix-sept ans ? Ce genre d’informations serait plutôt bon à connaître, surtout si j’étais amené à passer parfois chez le couple d’adultes pour voir Surie. Je levais les yeux vers mon interlocutrice, avant d’observer autour de moi, puis décider de creuser un ravin autour du petit château que je venais d’achever.
IN Position → Au stand des châteaux de sable. Détails → Une chemise aux couleurs des USA et un short. J'ai parlée à → Surie Je suis avec → Surie
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mot doux de Invité ► un Lun 24 Aoû - 12:55
Je n'aurais sans doute jamais imaginer pouvoir changer de nom, à l'époque je me disais que j'étais simplement condamné à finir ma vie avec mes parents... a travailler d'arrache pied pour pouvoir manger quelque chose en imaginant que mes parents ne me prennent pas l'argent pour s'acheter de l'alcool. Au fond, je me doutais que mes parents avaient quand même un semblant d'amour pour moi, il ne savait juste pas le montrer comme il le fallait... J'essayais de me réconforter quelque peu en pensant à cela, mais c'était mieux que rien. Maintenant que j'étais maintenant "libre" et loin de mon passé, je pouvais m'imaginer un avenir meilleur avec une famille heureuse, un mari aimant, un belle maison et des enfants. Levi semblait être intéressé sur mon envie de créer une famille et de me marier, ce qui me permettrait de changer de nom de famille. Le nombre d'enfant? Je ne sais pas mais je n'en voulais pas qu'un dans tous les cas, j'en voulais plus que deux même mais cela dépendrait simplement de mon mari aussi. J'aimerai une grande famille, mais il faut que mon futur mari soit d'accord, je ne peux pas les faire toute seule après tout. dis-je en haussant les épaules. Je n'avais que dix-sept ans, je n'étais pas dans une situation stable et pourtant, je me voyais déjà maman et femme. Tu te vois comment plus tard? Combien d'enfant? Mariage? Métier? dis-je en ajoutant des coquillages sur la grande façade que je venais de construire. Je ne savais pas trop dans quoi me lancer plus tard, j'aimais beaucoup la littérature, mais également la cuisine ... J'aimais aussi les langues, les enfants ... tellement de chose que cela me semblait difficile d'avoir qu'un seul métier.
Le silence s'installa pendant quelques minutes, étant tous les deux beaucoup trop occupé avec ce château qui avançait petit à petit. Je souriais doucement en pensant que j'étais en train de faire quelque chose que j'ai toujours voulu faire étant enfant, comme quoi l'avenir peut nous donner certaine chose. Je penchais la tête en fronçant légèrement le nez quand la voix de Levi raisonna à mes oreilles. Je tourne la tête vers lui déposant la pelle à côté de moi. Je ne sais pas vraiment, je ne sors pas le soir donc je ne peux pas dire que j'ai un couvre feu ... Je participe aux tâches de ménage, je garde des fois les enfants... Il n'y a pas vraiment de règle imposé mais cela risque de changer quand je vais rentrer au lycée, quand je me ferai des amis. dis-je avec un sourire aux lèvres. Dans mon ancienne vie, je n'avais aucune règle, j'étais un électron libre qui avait pour simple chaîne mes parents, maintenant je ne les ai plus et je me sens toujours aussi libre malgré la présence de deux adultes qui prenaient soin de moi, sans pour autant me garder enfermé... Je ne pouvais pas demander mieux, mais les choses peuvent toujours évoluer.
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mot doux de Invité ► un Lun 24 Aoû - 16:55
Curieux, je ne pouvais m’empêcher d’interroger de plus en plus Surie sur ses plans d’avenir. Et puis, je savais que c’était le genre de sujet inoffensif, qui ne nous rend pas spécialement malheureux ou fait remonter des souvenirs désagréables. C’était bien, parfois, de s’autoriser à se projeter dans l’avenir, rêver un peu. Après avoir appris que ma meilleure amie désirait se marier afin de fonder une famille, je lui demandais combien d’enfants souhaitait-elle avoir. Bien vite, elle m’avoua vouloir une grande famille, mais qu’il lui faudrait également l’accord de son époux pour cela, qu’elle ne comptait pas élever une tribu toute seule. Je ris doucement, m’imaginant rapidement Surie mère de famille avec plein de petites têtes blondes la suivant. J’étais sûr que la jeune femme serait une très bonne mère, sans doute mère poule. Je la percevais me retourner la question, à savoir si je comptais me marier, avoir des enfants, quel métier j’aimerais faire. Beaucoup de nuances auxquelles je n’avais jamais beaucoup pensé. Mon futur proche m’occupait assez comme ça pour que je puisse parvenir à songer à comment je serais dans une dizaine d’années par exemple. Bien que ça m’arrivait de faire quelques plans, d’avoir quelques ambitions. Je jetais un coup d’œil à la façade que décorait mon interlocutrice, avant de lui répliquer franchement : « Je sais pas trop… » Je changeais de position, m’installant plus confortablement sur le sable chaud. « J’aimerai bien me marier un jour, mais avec quelqu’un que je sais ne partira pas. » Je prenais le mariage vraiment au sérieux, et même les relations amoureuses quand on y pensait. Ca expliquait sans doute pourquoi je n’avais jamais eu de copines. Je ne voulais pas d’amourettes qui durent une semaine, je ne voulais pas m’attacher à quelqu’un émotionnellement autant pour être ensuite jeté comme une vieille chaussette. Contrairement à la majorité des garçons, je voulais quelque chose de sérieux et durable, quelqu’un sur qui je pouvais toujours compter. Sans doute parce qu’une telle personne n’avait jamais été présente dans ma vie jusqu’à ce que j’arrive chez les Delgado. « Et j’aimerai bien avoir des enfants aussi. Au moins deux, pour qu’ils savent ce que c’est d’avoir un frère et une sœur. Je trouve ça triste d’être enfant unique. » Pour avoir plus ou moins connu les deux, je parlais en connaissance de cause. « Mais après c’est pas moi qui les porte et les mettra au monde non plus donc bon. » J’eus un léger rire, avant de penser au métier que je désirais. Depuis quelques années, je rêvais discrètement de devenir ambulancier. Ça me paraissait juste comme étant le travail parfait pour moi. Mais je craignais ne pas être capable de décrocher les qualifications pour le devenir un jour. « J’ai toujours voulu faire ambulancier. Mais je sais pas si j’arriverais un jour à le devenir, vu comment je suis nul en maths. Enfin, je sais pas trop si faut être assez bon en maths pour le devenir, mais j'imagine qu'il faut s'y connaître au moins un minimum, pour les dosages d'urgence et tout. » Les mathématiques étaient vraiment ma bête noire, et cela depuis toujours. J’étais incapable de jongler avec les chiffres, c’est comme s’ils ne faisaient aucun sens dans mon esprit. « Et toi, tu veux faire quoi comme métier ? » demandais-je, en terminant mon château et le décorant à l’aide d’un bout de métal de ma canette de jus.
Puis, je lui demandais si elle avait des règles à respecter au niveau de sa nouvelle « famille ». C’était toujours quelque chose de bon à savoir, afin de ne pas s’attirer d’ennuis avec les deux adultes. Surie m’annonçait qu’elle ne savait pas trop et que pour le moment elle aidait surtout à l’entretien de la maison et veillait de temps à autres les enfants du couple. Elle confia par la suite qu’il risquerait d’avoir de nouvelles règles lorsqu’elle débuterait le lycée et se ferait de nouveaux amis là-bas. Je souris doucement, avant de taquiner : « Oui, tu vas devenir tellement populaire que tu auras du mal à me caser dans ton emploi du temps. » Je jetais un coup d’œil à Surie, avant d’attirer mon attention sur le ravin que je creusais. Je n’en doutais pas que mon amie allait se faire de nouvelles relations, le lycée aidait grandement en ça. De plus, on s'attachait vite à la texane.
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mot doux de Invité ► un Lun 24 Aoû - 20:43
4th July barbecue des pompiers, plages artificiels et festivités.
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La curiosité disait-on était un mauvais défaut, une tare même pour certains. A mes yeux il était aussi pour beaucoup également, une marque d'intérêt pour la vie et de ce qui se passait autour de nous. Même s'il était parfois déplacé de poser des questions qui pouvaient sembler déplacée, plutôt que dire dans le dos au moins nous avions une véritable discussion. Et puis ça pouvait créer des liens. Il n'était pas étonnant d'avoir des allergies dans ce monde complètement aseptisée pour le monde. Je le savais bien. En étant devenue asthmatique à l'âge de 16 ans alors qu'il n'y avait eu aucun souci particulier d'asthme dans ma famille. Souvent on mettait le coup sur de l'hérédité les problèmes de santé alors quand il n'avait pas de coupable héréditaire, ils étaient particulièrement embêté. D'un coup nous avions un nouveau facteur, celui de pas de chance. Celui qui avait fait que le jour où vous étiez nés une bonne fée stupide était venue dire au dessus des berceaux. Toi, chance, toi pas chance, toi chance, toi PAS CHANCE DU TOUT. MOUHAHAHAHA. Le rire diabolique était particulièrement important dans cette allocution techniquement. L'image était un peu grossière je vous l'avouais. D'un petit ours dans son berceau, on ajoutait une fée. Et paf ça faisait quasiment un conte de fée. Peut être bien. Mais la vie n'était pas un conte de fée. Non sinon, j'aurai encore maman avec moi et papa. Ou alors je suis une princesse qu'on a abandonné et qui n'a pas trouvé le bonheur c'était possible aussi. Mais cessons de rêver, les rêves c'est pour les enfants. C'est ce que l'on raconte aussi pour les enfants pour qu'ils s'endorment paisiblement la nuit sans qu'il n'ait de souci et sans qu'il ne leur arrive de malheur. C'était en tout cas comme cela que je relativisais. Plus ou moins on va dire c'était mieux que rien n'est ce pas ? Oh, ça n’a rien d’un secret, ne vous en faites pas ! Rassurée qu'elle n'était pas du genre à se braquer sur une question et même prête pour me le dire sans en faire tout un plat. Nombreux étaient ces gens qui étaient toujours en train d'avoir des grands principes.En réalité, je suis allergique aux fraises… J’aurais dû m’en rendre compte, j’ai été vraiment imprudente, heureusement que vous étiez là. me dit-elle. Cela était entièrement normal je ne pouvais pas la laisser comme ça à galérer pour ouvrir sa pommade et pour qu'elle puisse l'appliquer et éviter que l'allergie ne se propage comme une grande épidémie. Je le savais pour cela. Sans la ventoline quand je ne pouvais pas m'en servir toute seule, c'était un enfer et au moins je savais que certaines personnes étaient toujours prêtes à nous aider sans nous demander le bras qui allait avec. Les fraises ? Ce n'est pas courant. Mais après tout on trouve beaucoup d'allergie maintenant. Ce n'était pas faux. Après tout, la liste des allergènes n'étaient pas exhaustives. Bien au contraire. Entre les arachides, le lactose, le gluten aussi, sans oublier tous les intolérances et tout ce qui en retournait. Les complications alimentaires étaient horribles, au moins pour les fraises il n'y avait qu'à faire un petit peu attention et la conséquence était encore à peu près potable même si désagréable.
C’est un bon conseil, je penserais à l’utiliser en temps utile. Mais j’espère qu’avec un peu de crème, ça partira… Et puis, ce n’est pas si grave, ce ne sont que quelques traces, je ne vais pas en mourir. me répondit-elle. Il était vrai que ce n'était pas non plus la première chose que l'on voyait en la regardant. Cela était plutôt un bon point ? Elle n'avait pas une marque indélibibile et les urgences ne serait pas nécessaire pour éviter qu'elle n'en meure. Ce qui pour nous tous ici présent et surtout pour Leighton et moi même assez rassurant en fait. Vos sœurs sont en train de jouer… ? Enfin, je veux dire, non pas que ça soit surprenant mais… Vous avez une grande différence d’âge, non ? me demanda-t-elle un peu surprise par la différence d'âge surement que je pouvais avoir avec mes petites soeurs. Pour ensuite enchainer quasiment aussitôt Mais ce n’est pas vraiment mes affaires, excusez-moi, je suis bien trop curieuse. Finit-elle par dire un peu gênée comme si elle venait de dire une énorme bêtise pas plus que la question que j'avais posé quelques instants plus tôt sur son allergie pour être honnête. Oh ne vous inquiétez pas un pour un en termes de curiosité balle au centre dis-je avec un sourire comme pour détendre un instant l'atmosphère. Je ne voulais pas qu'elle se sente gênée. Après tout avoir des petites soeur de 17 ans d'écart ce n'était pas un problème quand on connaissait l'histoire entière de ma famille. Elles ont cinq and et demi bientôt six. En fait ma mère s'est remarié avec quelqu'un de vingt cinq ans plus jeune qu'elle. Le plus étrange c'est encore d'avoir un beau-père qui n'a que trois ans de plus que moi je crois. Avoir des soeurs de 5 ans me semble quasiment normale. dis-je sur le ton de la plaisanterie. Je vous le dis mon but était de détendre un petit peu l'atmosphère je ne voulais pas non plus qu'elle ne se sente gênée au sujet de mes deux petites soeurs. Vous voyez les deux petites en train de jouer dans le bac à sable, ce sont elles. Elles sont jumelles et je souhaite un bon courage à leur père à l'adolescence. Je pense qu'elles feront des ravages. Le sourire et le rire était une des meilleures façons pour prendre les choses de façon plus légères. A quoi bon toujours se prendre au sérieux ça ne servait à rien. Je vais vraiment mieux, ces comprimés font des miracles fit-elle pour terminer la discussion au sujet de l'allergie dont elle avait été victime. Je changeais de sujet maintenant que j'avais trouvé une victime avec qui discuter et me sentir un peu moins seule dans mon rôle de babysitter. Et donc vous êtes venue seule vous ? Pour voir un peu comment se passer un 4 juillet à Pasadena ? A moins que vous soyez d'ici ?
Alvin R. Prescottet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement :baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015❝ mes sujets : melody ▬ commémoration
love it's some shit but it's the life
mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mar 25 Aoû - 22:27
4th julyc'est la chaleur ou c'est moi ?
Autant dire que je ne savais pas ce qui m’avait pris de venir la rejoindre, mais j’étais bel et bien là. Je ne pouvais plus partir, je lui souriais naturellement. Pour cela je ne pouvais pas être faux. Du moins, je l’espérais. J’étais perdu, je ne savais plus quoi penser. Je tentais donc de sembler le plus normal possible, si on peut dire que je pouvais avoir l’air normal. Je ne montrais pas de signe de nervosité même si je la sentais monter en moi comme la lave d’un volcan. Elle n’avait rien de paisible, mais je faisais tout pour la garder en moi. Après tout, je venais de manquer de tact. Je ne peux malheureusement pas être parfait. J’étais même loin de l’être en ce moment, mais bon là n’est pas le sujet. Je fronçais les sourcils devant son ton sarcastique. Qu’est-ce que je devais comprendre ? Parfois, je ne suis pas fufute, mais bon. Je n’ai jamais réellement comprit le fonctionnement de la femme, après tout j’étais nul en biologie et anatomie. C’est quoi un clito ? Non je plaisante, mais tout de même, je cherchais encore le point G. Enfin, ce n’est pas le sujet. Elle me révélait que ce n’était pas un cancer, j’aurais peut-être été plus apte à savoir si j’étais resté pour savoir ce fameux jour. Mais non, j’avais pris la fuite comme le lâche que j’étais. Bon. Peut-être que si j’avais écouté mes cours de biologie j’aurais aussi compris qu’un cancer ne pouvait pas grossir ainsi. Après tout quel genre de cancer de l’estomac elle aurait si c’était possible ! Je me sentais con tout à coup, mais je restais muet comme un carpe. Je tendais mon mouchoir en tissu à la meilleure amie de Melody. « Ce n’est rien. » affirmais-je sans prendre conscience de ce qui nous entourait. Je souriais à l’homme qui nous souhaitait un bon quatre juillet. Sarah-Jane eu le coup de grâce de me rendre encore plus con que je ne croyais l’être. Je me mordais l’intérieur de la joue, préférant ne rien dire. Regardant finalement les deux jeunes femmes qui semblaient comprendre quelque chose que j’avais peine à faire. Je glissais mes mains dans mes poches de mon pantalon de lin, les regardant m’attendant à voir leur peau devenir verte et de minuscule antenne ou moustache de chat, leur pousser. Au moins, ainsi je savais bien qu’elle parlait une autre langue. Je ne serais peut-être pas si fou, mais j’en restais toujours autant béat. Je prenais le breuvage que Melody me tendait, je devais bien admettre que je n’avais jamais pris quelque chose de tel. Je me contentais de café ou de quelque chose de plus soutenu comme de l’alcool, même si avait un effet triste sur moi. J’allais goûter, lorsque les mots de Melody arrivèrent jusqu’à mes oreilles, je pressais la granité me renversant une bonne parti sur mes vêtements. Puis, je la laissais tombé sur le sol en accompagnant le mot « Surprise ». Ma bouche s’entrouvrit laissant un silence s’en échapper, une expression rare pour moi, mais j’étais sans voix. « Pardon ? » soufflais-je lorsqu’elle disait cinq mois. Cinq mois. Comme un enfant, je me mettais à calculer sur mes doigts couvert de glace et de jus. Cinq mois. J’avais bugger sur ce refrain. « Tu dis cinq mois ? » Je me passais la main sur mon visage, étalant la granité sur mes traits ébahis. Je ne trouvais plus mes mots, je devais réfléchir. Les pièces du puzzle commençaient à prendre place dans mon esprit. « Minute. Ça veut dire… Qu’il y a des chances que cette nuit-là soit ? » Je pouvais devenir père en un instant, je n’y étais pas préparé. Je ne savais même pas ce qu’étais ma relation avec la blondinette. C’était irréaliste. Je n’avais plus de mot pour dire que je me sentais de plus en plus faiblir et sans que je m’y attende, je perdais connaissance. Papa. Étais-je en train de rêver ? Un Cauchemar tout simplement. Oui, voilà. Et pourtant, j’aurais tout donné pour voir une petite Melody aux boucles blondes rire. Maintenant ? Peut-être pas. Je ne sais plus, je ne sais pas quoi penser, autant oublié. En ouvrant les yeux tout se sera envoler, n’est-ce pas ?
IN Position → À l'entré de la plage Détails → Porte un veston en lin ivoire, ainsi qu'une chemise de la même couleur avec des souliers vernis. Un borsalino de paille et des lunettes fumées. En fait, rien de très convenable pour une plage J'ai parlée à → Sarah-Jane et Melody Je suis avec → Sarah-Jane et Melody
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