Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Mar 14 Juil - 4:17
Je levais doucement les yeux au Ciel lorsque Surie annonçait qu’elle n’était pas du genre à embêter les autres. S’agissait-il d’un traitement de faveur pour ma propre petite personne, alors ? Non, j’en doutais fortement. Je savais que Surie pouvait être plutôt taquine et joueuse quand elle s’y mettait. Même si parfois, c’était légèrement embêtant. Mais bon, ce n’était pas comme si on pouvait lui en vouloir plus de deux minutes. Et entre nous, on vivait parfois un peu de l’adage « qui aime bien châtie bien », moi même l'agaçant assez souvent. Je la rassurais ensuite sur la nature de ma blessure à l’œil, affirmant que c’était déjà soigné et qu’il n’y avait aucun besoin de s’en préoccuper. Je l’entendais me confier qu’elle préférait s’en assurer tout de même, les garçons ayant une tendance à prendre les choses à la légère. Je souris doucement, articulant : « Je ne vois pas de quoi tu parles. On est très responsable. » Un sourire en coin, je plaisantais en lui demandant si elle voulait toujours de moi, malgré ma blessure à l’œil. Celle-ci sortit son petit côté taquin en déclarant que c’était à voir, avant de me bousculer légèrement, ne pouvant garder son sérieux très longtemps.
Nous allions chercher des hot dogs après avoir décidé de s’attaquer aux châteaux de sable. La nourriture rapide en main, nous nous orientâmes vers le stand de châteaux de sable et nous nous installâmes sur la plage improvisée. J’observais les alentours, commençant déjà à dévorer mon hot dog, tout en demandant à mon interlocutrice quelle sauce elle avait choisi. Sauce barbecue avec moutarde à l’oignon, je n’avais pas eu tort, Surie était aussi dingue que moi pour faire des mélanges complètement loufoques. Je ris doucement alors qu’elle m’assurait qu’elle avait un chewing-gum et je lui répondais lorsqu’elle me demandait à quoi était mon propre hot dog : « Sauce tomate et vinaigre. Tu veux goûter ? » Je lui tendais mon encas, puis l'interroger sur son souhait d'avoir quelque chose à boire. Par la suite, j'allais nous chercher deux rafraîchissements avant de me laisser à nouveau tomber sur le sable à ses côtés. Mon attention se porta alors à nouveau sur les différents châteaux qui se construisaient autour de nous. Certains mettaient vraiment le paquet, promettant de créer des phénomènes plutôt impressionnants, alors que d’autres prenaient surtout plaisir à faire de simples tas et distraire leurs enfants excités par la fête de l’indépendance. J’interrogeais Surie sur le fait qu’elle ait des talents en architecture ou pas, sachant pertinemment que je ne devais sûrement pas en avoir moi-même. Celle-ci me confia qu’elle n’avait jamais fait de châteaux de sable auparavant, tout en annonçant que ça nous permettrait de découvrir si elle avait un talent dans cette matière ou pas. Je ne pus m’empêcher de rire doucement, avant de commenter : « Ce serait un drôle de talent caché, mais pourquoi pas. Ça te permettrait de gagner un prix, en plus. » J’allais chercher quelques outils mis à disposition des participants à un stand à proximité et revenais avec quelques pelles, sceaux, râteaux. « Une idée de plan ou on y va free style ? » demandais-je, commençant à remplir un sceau de sable. Je laissais filer quelques secondes de silence, avant de raconter à Surie : « Je me rappelle, ma sœur adorait les châteaux de sable. Elle mettait toujours des trucs bizarres dans les tours, je crois qu’elle s’imaginait déjà qu’il y avait des personnages qui vivaient dedans ou un truc du style. » Un fin sourire étira mes lèvres. Je parlais jamais de ma famille biologique avec les autres, et rarement en compagnie de Surie, à qui je faisais vraiment confiance avec cela et que je savais qu’elle respecterait d’une certaine manière ce que je pouvais lui dire. Non pas que c’était des histoires secrètes, mais juste que de parler de cette partie de mon passé s'avère quelque chose d’assez sensible.
Après avoir rempli mon sceau, je reconnus une petite voix familières pas si loin de où nous étions installés. En levant les yeux, j'aperçus à plusieurs mètres les deux filles de Peyton, puis chercha automatiquement des yeux le policier. « Les filles de Peyton sont là » informais-je Surie. J'avais parlé de l'homme à Surie à quelques reprises, et puis elle savait que je l'avais connu lorsque j'étais moi aussi dans la rue et qu'il avait décidé de ne pas m'arrêter, tout en ayant quand même voulu m'aider. Mais quoi qu'il en soit, j'étais bien décidé à passer toute la journée avec Surie.
IN Position → Au stand des châteaux de sable. Détails → Une chemise aux couleurs des USA et un short. J'ai parlée à → Surie Je suis avec → Surie
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mot doux de Invité ► un Ven 17 Juil - 17:13
4TH of July
ft. Les Pasadéniens
Barbecue des pompiers, plage artificiels et festivités
Le quatre juillet était un jour sacré que l’Amérique prenait plaisir à célébrer chaque année. C’était le moment de retrouver les personnes qu’on aimait mais surtout de laisser de côté les tensions pour s’autoriser à passer un bon moment. Bien sûr, avec la fusillade qui n’était pas encore sortie des esprits, l’événement prenait une tournure très différente des années précédentes mais Leighton était bien décidée à s’amuser. Elle n’avait pas été traumatisée par ce qu’elle avait vécu, bien sûr, c’était choquant, troublant, désagréable et elle avait fait des cauchemars pendant de longues nuits, revivant les faits avec un réalisme déstabilisant, mais à côté de ça, elle n’avait pas eu de mal à reprendre sa vie de tous les jours. Elle repensait sans cesse à ce qui aurait pu lui arriver si ce jeune homme ne l’avait pas secouru et aurait aimé pouvoir reprendre contact avec lui, mais malheureusement, elle n’osait pas pour le moment et craignait de ne jamais réussir à prendre son courage à deux mains pour tenter de savoir ce qu’il devenait. Peut-être se trouvait-il encore à l’hôpital ? Elle avait envoyé des chocolats et des fleurs presque tous les jours pour le remercier mais n’avait jamais signé aucune carte. Ce n’était pas sa réaction qu’elle craignait particulièrement mais surtout celle de ses proches qui devaient avoir eu très peur de le perdre et lui en voulaient peut-être de l’avoir mis en danger. Ce qu’il s’était passé ce jour-là l’avait marqué à vie, Leighton savait qu’elle ne pourrait pas oublier, mais la vie reprenait son cours et elle continuait à avancer, allant au boulot tous les jours, reprenant le jogging le weekend et ainsi de suite, la même routine rassurante qui semblait lui convenir à peu près depuis qu’elle était revenue à Pasadena. Mais ce n’était pas pour autant qu’elle s’interdisait des sorties, au contraire, elle trouvait également plaisant de se retrouver de nouveau proche de sa famille et pouvoir partager de bon moment avec elle. Bien sûr, Leighton s’était jurée de ne pas se lier d’amitié avec qui que ce soit, de peur de faire encore du mal autour d’elle, mais au fur et à mesure que le temps passait, elle réalisait qu’elle avait envie de rencontrer du monde, de se lier avec les gens et de renouer davantage avec sa ville natale. Son envie de repartir était bien présente, mais puisqu’elle était coincée ici, autant en profiter à fond.
Alors quand son frère lui avait proposé de venir avec lui à l’événement organisé par les pompiers de Pasadena, Leighton avait dit oui sans aucune hésitation. Elle allait rencontrer des amis de son frangin, partager un super pique-nique au bord du lac avec tout le monde et surtout prendre quelques couleurs ce qui n’était pas évident lorsqu’on travaillait dans un bureau toute la journée. Leighton était donc vraiment enthousiaste et elle s’était préparée pour cette splendide journée avec une attention toute particulière. Elle avait attrapé le premier maillot de bain qui lui était tombé sous la main, ne sachant pas si des jeux d’eaux avaient été prévus pour l’occasion mais avait tout de même mis une jupe assez courte, un débardeur aux couleurs des Etats-Unis et des spartiates pour compléter sa tenue. Il lui avait ensuite suffit d’attraper un sac de plage bien trop grand dans lequel elle avait glissé un bon bouquin, de la crème solaire, des lunettes et un chapeau pour éviter de rentrer avec une grosse insolation. Une fois le sac placé sur la banquette arrière, Leighton s’était mise en route, la musique à fond dans sa petite voiture histoire de se mettre dans l’ambiance avant même d’arriver sur les lieux. Le trajet n’était pas long et elle arriva très rapidement sur le parking totalement bondé qui bordait le lac. Géniale, elle allait galérer. Trouver une place libre et assez large pour contenir sa voiture qui pourrait n’était pas bien grande, ne fut pas une mince affaire mais après de longues minutes à tourner au hasard, elle finit tout de même par y parvenir, remerciant sa bonne étoile d’être présente en cette belle journée d’été. Maintenant, le plus difficile allait être de retrouver son frère et pour le coup, ce n’était pas sa bonne étoile qui l’aiderait mais bien la technologie moderne qui, heureusement, venait à son secours assez facilement dans ce genre de situation. Elle n’eut pas à farfouiller bien longtemps dans son sac avant de sortir son téléphone portable et composa rapidement le numéro de son ainé pour pouvoir lui demander de plus amples informations sur son emplacement. Le sens de l’orientation de la jeune femme avait toujours laissé à désirer et elle ne voulait pas se perdre dans toute cette foule. Elle était d’ailleurs assez étonnée de voir combien de personnes avaient fait le déplacement pour l’événement, mais après tout, tant mieux, plus il y avait de monde et plus ils s’amuseraient.
Sauf que malheureusement pour Leighton, la technologie ne lui fut pas d’un grand secours en ce fameux quatre juillet puisqu’après quelques sonneries, elle bascula sur le répondeur de son frère. Soupirant à l’idée de galérer pour retrouver son frangin, elle laissa tout de même un message. "Salut, c’est moi." Très belle entrée en matière. "Je suis arrivée au lac, je ne sais pas où tu es, rappelle moi. Bisous." Bref, mais compréhensible, en espérant qu’il ne mette pas trop de temps à la recontacter, Leighton n’avait pas prévu d’attendre pendant vingt minutes sur le parking. D’ailleurs, elle n’allait pas le faire du tout puisqu’elle allait de ce pas découvrir de plus près les festivités. C’est donc le sac sur l’épaule et le portable dans une main pour attendre son appel que la jeune femme se lança à l’assaut de la foule. Elle fut tout de suite ravie de constater que tout ce qui avait été mis en place correspondait à peu près à ce qu’elle avait pu imaginer, il y avait des pompiers torses nus qui préparaient des hotdogs, elle ne savait d’ailleurs pas comment les gens savaient pour manger ça, des gamins qui courraient partout et un superbe stand de glace. Alors qu’elle s’approchait de ce dernier, un jeune homme l’approcha pour savoir si elle voulait goûter un bout de gâteau. D’abord surprise par cette approche peu banale, Leighton accepta tout de même. "C’est quoi ?" Demanda-t-elle tout de même avant de croquer dans la part qu’il lui tendait. « Roulé à la confiture. » Entendit-elle vaguement alors qu’il était déjà parti, probablement à la recherche du prochain gourmand qui lui prendrait une part. Leighton n’hésita pas une seule seconde, croquant à pleines dents dans le morceau de gâteau, avant de réaliser son erreur… Confiture de fraise. Elle n’avait mâché que pendant quelques secondes mais elle savait qu’il était déjà trop tard, son allergie à la fraise était assez forte pour que même une confiture industrielle lui provoque une réaction. Elle regarda ses bras se couvrir de petites plaques rouges pendant seulement un dixième de seconde avant de réagir, fouillant dans son sac pour trouver le médicament censé stopper cette réaction. Les secondes paraissaient passer à une vitesse folle et c’est les mains tremblantes qu’elle parvint enfin à trouver la petite boite de comprimés. Sauf qu’avec tout ce stress, elle était incapable de l’ouvrir. Par chance, à même pas trois mètres d’elle se trouvait une jeune femme seule, elle la rejoignit en deux enjambées. Excusez-moi. Dit-elle tout de même avant de reprendre la parole à toute vitesse sans lui laisser le temps d’en placer une. "Vous pouvez m’ouvrir ça ? J’ai les mains qui tremblent, c’est très important." Joignant le geste à la parole, elle lui tendit la boite, se rendant bien compte qu’elle devait avoir l’air au mieux d’une folle, au pire d’une droguée en manque. "Allergie." Précisa-t-elle donc. De toute façon, elle n’avait pas trop le choix, si elle ne prenait pas son médicament dans les dix minutes suivant l’ingurgitation de cette fameuse fraise, elle serait vraiment dans une situation peu enviable.
code by ORICYA.
IN Position → A côté du stand de glace Détails → En train d’avoir une allergie à cause d’un gâteau à la fraise, porte une jupe, un débardeur et des spartiates plus un gros sac de plage. J'ai parlé à → Louisa A. Larson mais sans savoir qui elle est. Je suis avec → Louisa A. Larson (si tu veux bien de moi)
Alvin R. Prescottet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement :baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015❝ mes sujets : melody ▬ commémoration
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mot doux de Alvin R. Prescott ► un Sam 18 Juil - 23:57
4th julyc'est la chaleur ou c'est moi ?
La chaleur de l’été se faisait bien ressentir, mais qu’importe on se trouve en Californie et la chaleur est toujours présente. Ça me change tout de même de New York, en six années j’ai réussi à m’habituer à cette éternelle température. L’hiver ne me manquait pas et ne me manquerait surement plus jamais. Devant le miroir de la salle de bain, je baissais mon regard sur mon portable. Celui-ci brillait comme un sou neuf, après tout je n’avais pas pu reprendre celui qui se trouvait toujours à la prison. Je m’étais échappé, je n’avais donc pas pu partir avec tous mes effets. Ce n’était pas vraiment une grosse perte, mais je me sentais tout de même mal habile. J’avais pu m’acheter un portable jetable, mais j’avais l’impression d’avoir tout perdu depuis. Je savais que je n’allais pas les retrouver non plus, c’était qu’un bien matériel, mais rendu dans cette époque autant dire que personne ne pouvait vivre sans technologie. J’avais tout de même pu retrouver le numéro de portable de Melody et j’avais relu son invitation. Je ne savais pas trop quoi en penser ou plutôt quoi faire. Me mordant la lèvre inférieure, je regardais mon reflet dans la glace. Mes prunelles glacières affichaient un air nostalgique, mais aussi dévasté. Je ne pouvais pas expliquer ce petit détail dans mon regard qui régnait dans mes yeux. C’était apparu depuis mon évasion, en fait, depuis que j’étais monté dans l’ambulance avec elle. J’avais cru la perdre, mais je savais aussi qu’on ne pouvait pas rester ensemble. J’en avais pris pleinement conscience, même si je le savais depuis un moment déjà. Depuis l’instant où je l’avais quitté à la fête foraine dans cette intention de ne pas revenir. Pourtant, j’étais revenu, j’avais du mal à m’éloigner d’elle. J’avais beau tout faire pour prendre une certaine distance, ce n’était finalement pas si simple que cela. Je revenais vers elle comme si j’étais naturellement attiré par son énergie. J’aurais voulu que tout soit simple, mais en restant près d’elle je créais encore plus de complication. Je soupirais d’un soupire lasse. J’étais lâche de penser ainsi, mais autant dire que j’avais rendu sa vie infernal. Je ne savais plus comment me sortir de toute cette histoire. Pendant ces semaines où Edward avait été dans le coma j’avais été heureux comme jamais, désormais ce n’était plus pareil. Elle avait acceptée de se marier avec cet homme que je détestais plus que tout. J’avais plutôt mal prit la nouvelle, non pas que je désirais prendre sa place, après tout j’avais été marié une fois et ça me suffisait amplement. On avait un peu plus de liberté, enfin si on peut parler de liberté… J’étais retourné chez moi après qu’Edward m’ait fait « libérer » de cette prison avec légalité. Je prenais une profonde respiration, boutonnant la chemise ivoire que je portais. Je ne pouvais pas nier qu’être de retour chez moi me faisait un bien fou même si j’étais toujours autant accablé par la nostalgie qui régnait dans cette demeure empli de divers souvenirs. Je n’avais néanmoins plus besoin de courir, je ne savais juste pas ce qui allait m’arriver. Je glissais le portable jetable dans la poche de mon pantalon de lin, avant de prendre mon veston disposé sur le dossier de la chaise servant à la maquilleuse de Katherina. J’enfilais celui-ci, tirant sur les poignets de mes manches de ma chemise couvrant ainsi mes propres poignets. Je quittais la pièce faisant claquer doucement les semelles de mes souliers vernis sur les lames du plancher en bois verni. J’attrapais un borsalino tressé en paille, le déposant sur mes cheveux lissés soigneusement vers l’arrière. Ma main allait doucement chercher la paire de lunette fumé qui pendait à la poche de poitrine de mon veston. Je mettais celle-ci sur l’arrête de mon nez, tandis que je sortais dehors sous ce soleil de plombs. Nous étions le jour de la fête nationale, mais je ne ressentais pas les festivités. C’était pour moi une autre journée, simple ou compliqué, je ne pouvais encore le savoir. Je verrouillais la porte, avant de me diriger vers ma voiture, enfin celle de Katherina, qui traînait toujours devant l’entrée de garage de notre petit cottage. J’ouvrais le climatiseur, laissant une brise fraîche venir taquiner mon visage que je tentais de garder impassible. Je ne me voulais pas avoir l’air morose devant elle, mais je ne savais plus trop quoi faire. Regardant ma montre plaquer or à mon poignet, je savais que j’allais arriver un peu en avance, mais qu’importe. Je me stationnais dans le parking qui avait été créé à l’orée de cette plage improvisée. Je sortais de la voiture, me faisant bousculer par une bande de gamin un peu trop pressé de plonger dans cette eau. Je n’avais pas pris la peine de prendre un maillot, je pouvais être quelqu’un débordant de plaisir, mais me baigner… Ce n’était pas trop moi. Je ne pourrais dire, mais voilà. J’avais passé l’âge de m’amuser ainsi, l’avais-je néanmoins déjà fait ? Je ne m’en souvenais même plus. Il y avait longtemps que je n’étais plus un enfant et à part les baignades improvisés dans les baignoires, je ne pouvais dire à quand remontait ma dernière trempette dans l’eau pour le plaisir et non le travail. Je glissais mes mains dans les poches de mon pantalon en lin du même tissu que mon veston. À l’entrée de la plage, j’adossais mon fessier contre un muret, plongeant mon regard dans le vide. Je ne regardais rien de particulier, tout du moins jusqu’à ce qu’une blondinette arrive près de moi. Un sourire apparut sur mes lèvres. Je ne pouvais m’empêcher de lui sourire, celui-ci apparaissait aussi facilement qu’un bouton d’acné sur le visage d’un adolescent en pleine croissance. « Bonjour. », disais-je en sentant tout de même ma gorge se nouer. Je ne l’avais pas revu depuis ce jour et je me sentais étrange. Je ne savais pas trop quoi dire, sauf peut-être qu’on devrait arrêter cela maintenant. J’entrouvrais la bouche, mais elle me complimenta me fermant aussitôt le taquet. Je pouvais sentir une faible embrasions au niveau de mes joues. Secouant la tête, je la regardais, fronçant finalement les sourcils en remarquant son ventre rond. Ma bouche s’ouvrait, mais elle s’adressait à quelqu’un qui arrivait vers nous. Je me taisais donc, gardant mes questions qui naissaient dans mon esprit pour moi. La jeune femme me regardait avec un petit sourire et je lui rendais par politesse. On nous présentait et je répétais son prénom dans ma tête cherchant qui elle pouvait être jusqu’à ce que Melody éclaire ma lanterne. Je tendais la main vers la jeune femme qui était étroitement liée à la blondinette. « Enchanté, je suis un ami de Melody. », disais-je sans prendre le temps de réfléchir. C’était venu naturellement même si j’ignorais toujours ce qu’on était. Mais bon, c’était plus simple de se présenter ainsi. Pas d’anicroche et ainsi on évitait des milliers de question. Je reportais mon regard clair vers Melody et alors qu’un homme écrasait sa boule sur la meilleure amie de Melody. J’en profitais pour glisser quelques mots à Melody. « Tu n’aurais pas pris du poids ? » Était-ce le cancer qui faisait cela ? Je passais ma main sur ma nuque, souriant à l’homme avant de prendre le mouchoir de tissu de ma poche de poitrine pour le tendre à Sarah-Jane.
IN Position → À l'entré de la plage Détails → Porte un veston en lin ivoire, ainsi qu'une chemise de la même couleur avec des souliers vernis. Un borsalino de paille et des lunettes fumées. En fait, rien de très convenable pour une plage J'ai parlée à → Melody et Sarah-Jane Je suis avec → Sarah-Jane, Melody et Henry
Dernière édition par Alvin R. Prescott le Mar 25 Aoû - 19:33, édité 1 fois
Jack C. Hillsdoneet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Jack C. Hillsdone ► un Jeu 6 Aoû - 18:09
Lorsque je me decide à rejoindre le stand de glace, je prends mes chaussures en mains et je jète au passage la bouteille d’eau vide dans une poubelle. Melody est déjà présente avec un jeune homme assez mignon, une fois à leur hauteur. Lorsque je la salue, je ne peux m’empêche de sourire en la voyant rougir, je comprends rapidement que cet homme qui l’accompagne, doit être le fameux Alvin dont j’ai entendue parler la dernière fois. « Je vais bien et toi ? » Puis la jeune femme finit par faire les présentations. Donc je ne me suis vraiment pas trompé, c’est bien Alvin. Je suis vraiment contente qu’elle soit venue avec lui, je peux enfin mettre un visage sur ce prénom. Avant que je ne puisse dire quelque chose, Melody lui précise que je suis sa meilleure amie. En même temps, c’est tout à fait normal, il ne me connaît pas vraiment mais, ça me fait plaisir de le rencontrer aujourd’hui. Il ne manque plus que Yann est cela aurait vraiment été parfait. Mon intention se repose une nouvelle fois sur Alvin, je lui adresse un léger sourire et je lui réponds : « Je suis ravie de te rencontrer. Melody m’a déjà parlé de toi mais, je ne savais pas qu’elle venait accompagner aujourd’hui. » Je fis un clin d’œil à ma meilleure amie. « Cachotière ! » Je finis par remarquer le regard de Melody sur l’enfant à la glace... Je me mis à rire lorsque je commence à dire : « bon, je vous offre une là… » Et sans rien comprendre BAM ! Je sentis quelques choses de froid venir s’écraser sur ma poitrine... Mon regard se pose sur mon décolleté puis, un peu plus loin. Je vis un type qui s’était ramassé sur un château de sable. Il se remit debout et j’avoue que je me sens un peu con pour le coup. Et lorsque je pose mon regard sur lui, je ne peux m’empêcher de rire. Le pauvre il rougit comme une tomate « Je crois que votre glace a préféré être dans mon décolleté que finir écraser sur un pauvre château de sable. Ce n’est pas grave, ne vous en faites surtout pas.» Dis-je en riant. Alvin finit par me tendre un mouchoir en tissu pour que je puisse m’essuyer la poitrine. Tandis que l’autre jeune homme chercher à mon avis la même chose. « Merci Alvin. » Donc j’entrepris de retirer la glace à ce niveau, puis une fois que tout est bon, je garde le mouchoir en main et je me tourne vers Henry : « Honnêtement… Je vous aurai bien proposé de m’offrir une glace ou un truc à boire mais, pour le moment je suis avec des amis. » Dis-je doucement en souriant. Puis je regard Alvin et Melody. J’avais rapidement entendu ce qu’Alvin avait dit à ma meilleure amie. Car oui, j’ai bien entendu le mot : Cancer et grossis. Je regarde un peu plus en détaille ma belle Melody et je compris rapidement et je me mis à rire. Si être enceint été un cancer… Je ne peux m’empêche de dire en rigolant : « C’est un sacré cancer qu’elle a dans ce cas ! » Je m’approche d’elle, pose l’une de mes mains sur son ventre et je regard Melody avec un léger sourire. « Tu n’aurais pas oublié de me dire quelque chose par hasard, ma puce . » Dis dans un léger murmure.
IN Position → au stand de glace près de la plage artificielle. Détails → short rouge, débardeur bleu à point blanc et chaussure à talon. J'ai parlée à → Melody, Henry & Alvin Je suis avec → Melody, Henry & Alvin
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mot doux de Invité ► un Jeu 6 Aoû - 22:28
4th july, confettis et sable chaud !je veux juste manger sa petite glace... sorry
Un bonjour suffisait à me rendre le sourire. C’était le simple sourire qu’il me donnait aussi. J’avais l’impression qu’il était heureux de me voir et cela me suffisait. Cela peut paraitre stupide. Réellement mais c’était tout ce dont j’avais besoin pour un bon de bonheur. Mais nous n’étions rapidement plus seuls après un élan de tendresse à sa joue. Non. Je ne pouvais pas après tout car nous étions dans un lieu public mais j’en avais marre de me cacher. Réellement. J’étais fatiguée de toutes ces pressions qui m’entouraient. La grossesse n’aidait clairement pas. Oh non. Elle allait bien mais comment allais-je ? Quand elle me le demandait, je me contentais d’oser les épaules avec un léger sourire. Je ne savais pas si j’allais oser dire que oui devant Alvin car nos vies n’étaient pas simple et une part de moi voulait dire non à la fois. Trop de choses. Trop de choses. Ma vie était devenue un cauchemar et je voulais tellement respirer. Je voulais tout lui dire. Je voulais simplement m’extirper de toutes ces pressions qui allaient sûrement pourrir les 4 prochains mois de ma grossesse. Je me laissais aller à oser faire les présentations. Qui était-il à mes yeux ? Je les présentais de toute façon. Oui. Une journée comme les autres loin de toutes les négativités. J’en avais tellement envie, j’en avais tellement besoin. Cachotière ? Je riais doucement en l’entendant. « Désolée… », Après tout, je n’étais pas sûre non plus qu’il allait venir. Nous venions tous les deux de coins différents. C’était une chance ou peut-être pas. Non. Je n’en savais rien. J’inspirais doucement en plongeant mes yeux bleus dans ceux d’Alvin pendant un instant mais cela suffit à réveiller une catastrophe tandis qu’une glace venait s’écraser dans le décolleté de ma meilleure amie. J’en riais et reconnaissant la personne en question. Oh oui. Je le reconnaissais. J’avais passé les 3 dernières semaines à regarder des épisodes de sa série en boucle juste par ce qu’elle me paraissait bien joyeuse comparée à mon quotidien. Je laissais un doux sourire sur mes lèvres. Alvin tendais un mouchoir à ma meilleure amie avant de me parler à nouveau à cet homme ! Je souriais. Ami. Acceptait-elle Alvin ? Mince et comment ? C’était compliqué. On n’était ensemble ? Je n’en savais rien. Je ne savais rien. Alvin me demandait si j’avais pris du poids. Je me mordais la lèvre du bas en me demandant ce que je pouvais bien répondre. Sa question était délicate. Je riais nerveusement. « C’est le cancer qui a grandi ! », soufflais-je d’un ton sarcastique, un peu piquant alors qu’il n’avait pas compris. Comment aurait-il compris ? Je n’en savais rien. Je soupirais aussitôt et je laissais un sourire assez fin se dessiner sur mes lèvres alors que Sarah-Jane laissant sous-entendre que mon cancer était sacrement grand enfin un truc du genre mais c’était ce que j’en comprenais. Je me pinçais les lèvres et je la regardais avec attention. Je regardais ma meilleure amie qui me demandait si je n’avais pas oubliée de lui dire un truc. Avais-je oubliée de lui dire ? Je riais nerveusement alors que l’étau autour de moi se refermait doucement. Mon regard jouait au ping pong en les regardant tour à tour. J’inspirais doucement en haussant les épaules. Je tournais mon regard vers lui. « Cette grosseur n’était pas un cancer… », disais-je alors que je marchais quelques pas vers le kiosque à glace mais aussi à boisson. Je prenais trois granités pour chacun. Les gouts favoris de Sarah-Jane et aussi celui d’Alvin enfin j’avais essayée de deviner son gout favori plus vite par le peu que j’avais remarquée de ces gouts. Dans le fond, on ne se connaissait pas encore sur le bout des doigts. J’aimais ça. J’avais pris un mélange de saveur. Tropical, bubblegum et fruit rouge avec un spécial agrume. J’adorais les mélanges et j’étais surtout emballée à l’idée de les boire à la paille. Mon bras serrait un peu plus mon sac contenant enveloppe pour la savoir en sécurité. « Je suis enceinte ! », disais-je alors que je leur tendais. « Surprise ! », rajoutais-je aussitôt avec un petit sourire. Oh oui, surprise. Je riais nerveusement mais je n’étais pas amusée. Je baissais le regard vers ma granité pour tirer sur la paille. Je me sentais assez mal. Oui, réellement mal. Je ne savais pas quoi dire de plus. Je devais m’expliquer ? C’était quand même une grossesse bien avancée. Oui, 6 mois. « D’après les docteurs, je suis enceinte de 5 mois et une semaine… ne me regardez pas comme ça, c’est juste une grossesse. Je ne vais pas mourir d’un cancer et merci de souligner que j’ai grossi ! », disais-je en regardant alors Alvin et je faisais une moue. C’était peut-être sa faute après tout. Et ouais. C’était plus que peut-être à mes yeux même si j’étais encore incapable de m’y faire. J’inspirais. Je savais que le doute allait entrer en lui et je ne savais même pas ce qu’il en penserait. J’étais perdue. J’appelais un peu ma meilleure amie du regard au secours. Oui. Je l’appelais du regard et non. Je ne l’avais pas giflé. Non mais mon regard montrait bien que j’étais contrariée. Après tout ? Mes hormones font la fête.
IN Position → Au début de la plage, à l'entrée des festivités. Détails → Robe rouge assez évasée avec des bouts de peaux visibles sous la poitrine. Un ventre de 5 mois assez soudain qui est là depuis 5 jours même pas. Des talons aiguilles blancs et un sac bleu marine. Les cheveux lâchés et ondulés, lentilles et maquillage léger. J'ai parlée à → Sarah-Jane et Alvin Je suis avec → Pareil, Sarah-Jane et Alvin ![/quote]
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mot doux de Invité ► un Ven 7 Aoû - 13:19
4th july, confettis et sable chaudOups... j'ai faite une bêtise xO !
Et merde. C’est bien ma veine. Tellement bien ma veine. Je ne savais pas vraiment quoi faire. Pas du tout. Je prenais une profonde inspiration en penchant la tête. La jeune femme avait de la glace dans le décolleté et je me sentais idiot mais j’étais rassurée que personne ne me reconnaisse enfin je crois que la jeune blonde à côté me regardait bizarrement alors que j’étais début. Je regardais cet homme qui passait un mouchoir à la jeune femme qui semblait avoir de l’humour et ne pas m’en vouloir. Tant qu’elle ne me giflait pas tout allait bien. J’étais rouge comme une tomate et je n’y pouvais rien. Je ne savais tellement pas quoi lui dire. Je ne savais pas quoi dire sans paraitre réellement cinglé ou bon pour les fous. Je voulais dire avec humour que ma glace avait bon gout dans tous les sens du terme mais c’était peut-être déplacé alors qu’elle était dans son décolleté ? Pas seulement peut-être à vrai dire. Je lui souriais. Elle ne pouvait pas me tenir compagnie ce que je pouvais bien comprendre. « Je suis désolé dans tous les cas ! », disais-je alors que j’aurais pu sortir une photo et la dédicacé mais pour quelle diva paraitrais-je ? Celui prêt à se faire pardonner avec une photo du style : regardez-moi, je suis célèbre. Non. Je me contentais de lui sourire. « Et je vous souhaite une bonne journée… », je reculais doucement en jetant le cornet qui était encore dans ma main dans la poubelle juste à côté. Je souriais à ses amis et je penchais la tête avant d’aller un peu plus loin. Je me retournais alors. « Et bon 4 juillet ! », leur souhaitais-je alors que j’allais de mon côté. Je retournais même me chercher une glace et profitant de l’occasion pour offrir une autre à chacune des 5 petites filles de 10 ans qui semblaient m’avoir reconnues. Elles étaient mignonne et tellement adorable que je n’avais pas pu m’empêcher de le faire. J’avançais un peu plus avec ma glace dont je léchais une petite partie. Je marchais sagement. Mes pieds nus dans le sable. J’allais simplement m’installer sur un banc ou je laissais mes pieds caresser le sable chaud sous le bruit du son patriotique qui me faisait rire doucement. Il semblait un peu défaillir. C’était à se demander si le disque n’était pas rayé. Peut-être. Je souriais comme un con et j’attrapais mon téléphone dans ma poche… mais merde. Je l’avais oublié. Je n’étais pas allé le rechercher ? Abruti. « Je suis con ! », disais-je alors que j’avais carrément oublié. Je me relevais et je me dirigeais à nouveau vers l’entrée. Une des petites filles me suivant alors en gambadant avec ses petites jambes frêles. Je ne la remarquais pas faire ni même lécher sa glace bruyamment. J’allais vers ma voiture à des pas normaux. Je me mettais devant la portière que j’ouvrais et je me penchais pour attraper mon téléphone sur le fauteuil passager. Je me relevais et je fermais la portière avant de verrouiller. C’est au moment où je me tournais que je sursautais à cette gamine qui me regardait. « Oh… », disais-je alors surpris. C’était sûrement la plus jeune de mes fans traqueurs. « Tu es perdue ? », lui demandais-je alors qu’elle se contentait de me sourire. Elle ne disait rien. J’attendais juste une réponse à ma question mais rien. Non. Rien. Elle avait perdu sa langue ? J’attendais simplement une longue minute en la regardant mais pas un mot. « Ok… », disais-je alors que je n’étais franchement pas à l’aise même si j’adorais les enfants pourtant. J’avais éduqué Lizzie et Aspen avait été assez jeune aussi quand mon père est mort. « Ou sont tes parents ? », demandais-je aussitôt mais toujours pas de réponses. Je ne savais pas quoi faire. Je regardais autour de moi et j’allais lui tendre la main. « Viens, je vais te ramener vers tes amies. », disais-je alors qu’elle prenait ma main et au moins, elle acceptait. Elle n’était donc pas sourde ? Elle rougissait doucement et à côté de son mutisme, cela me faisait sourire. Je trouvais ça plutôt adorable à vrai dire. Je retournais alors vers le glacier ou ses amies avaient disparue mais bon. Je cherchais autour de moi. « Elles sont ou ? », elle me regardait soudainement et elle haussait les épaules avant de tirer sur ma manche. Elle semblait vouloir que je me baisse alors qu’elle tirait un peu plus quand je la regardais. J’obéissais et elle venait à mon oreille. « Ma maman, elle est amoureuse de toi ! », disait-elle ce qui me fit rire doucement. « Ah bon ? », demandais-je en penchant la tête. Rien que ça ? Pourquoi pas. Je cherchais tout de même sa maman du regard. Peut-être cette belle brune aux yeux bleus océan que je voyais à côté d’une femme plus jeune ? Peut-être mais non. « Elle est ou ta maman ? », demandais-je alors mais pas de réponses. Pourquoi ? Elle était en fait partie je ne sais ou. Elle avait simplement disparue. Je restais penaud sans savoir ce qu’elle avait fait pour passer loin de mon radar mais je reprenais ma glace en portant mon téléphone à mes yeux.
IN Position → Au début de la plage, à l'entrée des festivités. Détails → Jeans noir, tongs sous le bras, cornet de glace en main, couvert de sable et un t-shirt coloré ! J'ai parlée à → Sarah-Jane Je suis avec → Sarah-Jane, Melody et Alvin ![/quote]
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mot doux de Invité ► un Lun 10 Aoû - 17:32
Je surveillais de loin les filles pendant un instant. J'étais dans mon monde, je ne voulais pas les perdre de vue. J'avais déjà perdu leur père c'était déjà trop pour moi. Beaucoup trop de pertes autour de moi. Cette cérémonie et festivités surtout concernant le 4 juillet me permettaient surtout de penser à autre chose. Et puis on se reprenait rapidement. Les filles jouaient et couraient de partout pour penser à autre chose aussi je pense. Elles en avaient besoin, je ne savais pas vraiment ce qu'elle vivait avec leur père chez cette Joan O'Brady. Mais ça ne me rassurait absolument pas cette affaire. Je n'aimais pas non plus l'emprise qu'elle avait pris sur mon beau-père. Elle profitait de sa situation de faiblesse et je savais que ce n'était pas bon ni pour lui ni pour nous. Ni pour les filles. Il pourrait prendre sur lui. Et assumer un minimum. Il faisait du n'importe quoi ce n'était pas une solution.
Je soupirais un bon coup quand une jeune fille vint m'interpeller ce qui me fit sortir de mes pensées en sursautant. Oh oui. Oui bien évidemment. Désolée j'étais ailleurs Et quand elle me confirmait le doute sur le fait qu'elle devait être allergique à ce qu'elle venait d'ingurgiter. Je lui ouvrais la petite boite non sans mal. Apparemment lors de la dernière crise elle l'avait bien fermé. Une fois ouverte je lui tendis pour qu'elle puisse prendre son médicament au plus vite. Vous souhaitez vous asseoir peut-être ? Je me levais pour lui laisser la place. Les allergies n'étaient pas les meilleurs moments, même si je n'en avais pas, le simple fait d'être asthmatique me faisait comprendre la nécessité d'avoir besoin d'un médicament pour se sentir mieux. Même si c'était juste quelques instants c'était véritablement nécessaire. Au fait je suis Louisa Larson. Vous allez mieux ? demandai-je au sujet de sa crise d'allergie et de tremblement.
IN Position → au stand. Détails → Elle porte un short en jeans, avec un teeshirt avec un gros ananas au centre. Elle surveille les jumelles. J'ai parlée à → Leighton Je suis avec → Leighton
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mot doux de Invité ► un Ven 14 Aoû - 10:08
4TH of July
ft. Les Pasadéniens
Barbecue des pompiers, plage artificiels et festivités
Avoir une crise d’allergie à cause d’un stupide gâteau alors qu’elle devait aller rejoindre sa famille pour fêter le quatre juillet avec eux ? Fait. Leighton avait toujours été très douée pour se mettre dans de mauvaise situations au mauvais moment et elle faisait encore ça très bien aujourd’hui. Pourtant, elle avait toujours l’impression de se montrer prudente mais par maladresse ou simplement parce qu’elle n’avait pas de chance, elle finissait toujours par foirer quelque chose que ce soit parce qu’il lui arrivait un truc qui la conduisait tout droit à l’hôpital le plus proche ou parce qu’elle faisait une connerie qui lui attirait de nombreux ennuis au boulot ou dans sa vie privée. Tout était tellement plus simple avant, quand elle avait son avenir tout tracé et qu’elle se trouvait encore à la fac de New-York où elle tâchait d’apprendre commet devenir une journaliste hors pair. Cette époque semblait bien loin derrière elle à présent et maintenant elle se battait quotidiennement pour tenter de récupérer sa famille dont elle n’avait plus vraiment l’impression de faire partie tout en essayant de maintenir à flot son avenir professionnel qui était en train de couler à pic. Comme quoi, il n’était pas forcément possible de tout combiner finalement, en tout cas, pas pour elle manifestement. Soit elle s’entendait bien avec sa famille, ses amis et réussissait à s’en sortir à peu près correctement socialement parlant mais dans ce cas, au boulot ce n’était pas le top du top puisqu’à Pasadena, elle s’était vue obligée d’accepter un petit boulot chiant avec un patron pas forcément adorable, soit au contraire, elle se détachait de toutes les personnes qu’elle appréciait et parvenait à devenir une journaliste reconnue dans son milieu ce qui avait été le cas ces dernières années. Leighton avait clairement l’impression d’avoir beaucoup régressé en venant s’installer ici et c’était sans doute le cas d’ailleurs, elle ne pouvait pas franchement le nier. Mais en dehors du fait que les choses semblaient très compliquées, elle avait aussi conscience qu’elle avait de la chance d’avoir réussi à obtenir plus ou moins le pardon de ses proches et ce quatre juillet constituait un vrai pas en avant dans sa tentative de réconciliation, il était donc hors de question qu’elle passe à côté d’une pareille opportunité. Etre auprès de sa famille, ça n’avait pas de prix et elle l’avait appris à ses dépens en prenant bêtement la fuite lorsqu’elle avait eu un énorme problème avec son ex compagnon. Elle s’était détachée de toutes les personnes qui auraient pu la soutenir dans ce moment vraiment très dur à surmonter. D’ailleurs, elle n’avait jamais réussi à le faire, se contentant d’occulter totalement cette période de sa vie. Faire comme si elle n’avait jamais existée était plus simple que d’apprendre à l’accepter. Jamais elle n’y parviendrait. Mais pour le moment, le plus important était encore et toujours d’aller retrouver sa famille et de passer un bon moment avec eux.
Sauf que c’était bien mal parti puisqu’à peine arrivée sur les lieux de la fête, elle avait accepté de goûter un gâteau qui contenait manifestement de la fraise, problème qu’elle n’avait pas vu venir avant qu’il se présente. Elle aurait sûrement dû demander à la personne qui le lui avait proposé de quoi il était fait, mais elle n’y avait pas franchement songé bien que la fraise soit tout de même un élément constituant beaucoup de friandises. Elle s’était mis toute seule dans la merde, félicitations Leighton et alors qu’elle se débattait comme un diable avec la boite contenant ses médicaments, elle dut s’arrêter pour demander de l’aide à la première inconnue venue. Chanceuse, elle réussit à obtenir rapidement son attention et elle avait eu la bonne idée de tomber sur une jeune femme qui avait l’air vraiment adorable. « Oh oui. Oui bien évidemment. Désolée j'étais ailleurs. » Avant même de lui répondre, Leighton avala le cachet qu’elle devait prendre et s’octroya quelques secondes pour reprendre son souffle, regardant d’un air désolé l’état de ses bras aux plaques rouges qui ne disparaitraient probablement pas avant un bon moment. C’était comme ça à chacune de ses réactions allergiques, elle parvenait assez facilement à l’enrayer, mais sa peau en gardait un souvenir cuisant pendant un bon moment. « Ne vous excusez surtout pas, je suis un peu arrivée comme une furie, c’est surtout à moi de vous remercier pour votre aide précieuse, j’ai vraiment été stupide de manger ce truc sans demander ce qu’il y avait dedans. » Elle grimaça légèrement, un peu honteuse de ne pas être capable, alors qu’elle était âgée de trente-trois ans, de se prendre en main toute seule comme une grande. « Vous souhaitez vous asseoir peut-être ? » Toujours aussi gentille, l’inconnue lui proposa de s’assoir à sa place et même si par fierté, la jeune femme aurait aimé refuser, elle avait bien conscience qu’elle en avait un peu besoin pour reprendre ses esprits, elle accepta donc volontiers et s’assit sur la place désormais laissé libre. « Encore merci, vous m’avez vraiment été d’une grande aide, j’étais sacrément dans la merde. Et je suis sûre que je vais avoir droit à des regards curieux vu l’état dans lequel je suis maintenant. » Bon, d’accord, se préoccuper de son apparence physique dans des circonstances pareilles montrait qu’elle pouvait parfois être un peu superficielle, mais elle n’avait pas du tout envie de renvoyer cette imagine, elle trouvait surtout normal de se préoccuper de ça maintenant après ce qu’elle venait de vivre. « Au fait je suis Louisa Larson. Vous allez mieux ? » A défaut d’avoir su s’occuper d’elle-même, elle avait au moins réussi à faire une rencontre extrêmement sympathique c’était déjà une bonne chose, cette Louisa était vraiment adorable. Se sentant un peu mieux déjà, Leighton se tourna vers son interlocutrice pour se présenter à son tour. « Enchanté Louisa, je m’appelle Leighton Cunnighan. » C’était normalement par-là que commençaient une conversation digne de ce nom mais les deux jeunes femmes avaient dû un peu brûler les étapes, pour la bonne cause… « Je vais beaucoup mieux, je suis désolée de vous avoir dérangée vous deviez être occupée. » Quoi que… Ce n’était pas certain, la jeune femme n’avait pas franchement l’impression de voir quelqu’un qui l’accompagnait mais peut-être attendait-elle des gens ou était-elle partie chercher quelque chose à ramener à sa famille ou à ses amis. Elle n’allait pas pouvoir la déranger beaucoup plus longtemps.
code by ORICYA.
IN Position → A côté du stand de glace Détails → En train d’avoir une allergie à cause d’un gâteau à la fraise, porte une jupe, un débardeur et des spartiates plus un gros sac de plage. J'ai parlé à → Louisa A. Larson Je suis avec → Louisa A. Larson
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mot doux de Invité ► un Ven 14 Aoû - 20:50
4th July barbecue des pompiers, plages artificiels et festivités.
Everyone
Les crises d'allergie n'avaient absolument rien de sympathique. Se retrouver à se gonfler comme un balon de baudruche ou à vomir pendant six heures d'affilé franchement trouvez moi quelqu'un qui aimerait ce genre de situation. Si vous me le trouvez je vous offre une nuit à Disneyland en Floride parce que vous serez allés me le chercher particulièrement loin. Non, ce n'était absolument pas une situation enviable. En comparant dans ma tête à mes crises d'asthme quand je suffoquais comme une débile pendant des heures parce que j'avais eu le malheur d'oublier ma ventoline ce matin là et que ça se finissait aux urgences cette bêtises : Premièrement une fois que ma mère s'était assurée que j'allais bien je passais un sale quart d'heure et deuxièmement, je dormais pendant quelques heures après ce genre de crise. Non je vous le dis absolument rien d'enviable alors quand la jeune femme avait prononcé le mot allergie forcément je m'étais sentie obliger de l'aider et puis bon finir par s'engueler pour non assistance à personne en danger ce n'est pas non plus ce qu'il y a de mieux. La jeune brunette avait quelques années de plus que moi je pense, sans trop me tromper elle devait être dans la trentaine peut-être ou alors à l'aube de ses trente ans. Elle avait l'air plutôt sympathique et une fois q'elle ait accepté ma place pour reprendre son souffle suite à la crise d'allergie. Ne vous excusez surtout pas, je suis un peu arrivée comme une furie, c’est surtout à moi de vous remercier pour votre aide précieuse, j’ai vraiment été stupide de manger ce truc sans demander ce qu’il y avait dedans. me dit-elle. Il était vrai que j'avais été clairement ailleurs en même temps avec les deux mistinguettes que je ne quittais pas des yeux il était difficile pour moi de faire attention au monde qui m'entourait. Avec ce que faisait Peyton de ses journées, j'avais un peu de mal à faire confiance que Lindsey et Maeva étaient réellement en sécurité et si je pouvais trouver une solution pour les retirer de cet endroit je le ferai de suite. Mais à ce jour, la seule solution que j'avais trouvé c'était de les enlever, les prendre avec moi. Et que l'on partent toutes les trois élever des pingouins sur la banquise et que l'on nous retrouver jamais. JAMAIS. Bien évidemment se prendre un mandat d'arrêt d'ordre international est loin d'être une ambition pour moi donc je me comptais de les gardais une fois de temps en temps. Au moins pendant une après-midi j'étais certaine qu'elles allaient bien. Vous êtes allergique à quoi au juste par pure curiosité bien sur vous n'êtes pas obligé de répondre. Oui, parce qu'aussi étonnant que cela puisse paraitre. Non, ce truc, je ne connaissais pas et j'avais du mal à savoir ce que c'était et puis il y avait pleins de choses à quoi on peut être allergique.
Je la laissais donc prendre ma place sans grogner comment aurais-je pu, elle osa même me remercier. Encore merci, vous m’avez vraiment été d’une grande aide, j’étais sacrément dans la merde. Et je suis sûre que je vais avoir droit à des regards curieux vu l’état dans lequel je suis maintenant. Elle s'inquiétait soudain de son état physique. En effet, les réactions allergiques qui avaient des réactions directement sur la peau ce n'était pas le plus simple à porter.Ne vous en faites pas comme je vous ai dit ou pas encore je ne sais plus. C'est normal quant à votre état physique... Je pense que vous aurez le droit à quelques regards vous aurez qu'à leur proposer d'avoir une allergie pour voir si c'est rigolo. dis-je comme pour dédramatiser la situation. Ce n'était pas si évident que cela je me doutais. Mais bon si je pouvais au moins lui tirer un sourire avec cette phrase ça me donnera un peu de joie à mon coeur. Enchanté Louisa, je m’appelle Leighton Cunnighan. Je souriais comme pour lui retourner le fait d'être enchantée également. Leighton ce n'était pas un prénom que j'entendais régulièrement mais qui passait plutôt bien.
Je vais beaucoup mieux, je suis désolée de vous avoir dérangée vous deviez être occupée. Je niais de la tête sur le fait d'être occupée. Non. Je surveille mes deux petites soeurs qui sont en train de jouer un peu plus loin. Pour être honnête je m'ennuyais. Votre crise d'allergie tombait à pic. Vous êtes sure que ça va aller maintenant que vous avez pris votre médicament ? m'inquiétais-je aussi au niveau de ses allergies.
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Invité
mot doux de Invité ► un Ven 21 Aoû - 23:30
Autant le dire clairement, je m'inquiétais sûrement un peu trop pour lui, il faut dire que sa passion pour la lutte n'était pas non plus quelque chose à prendre à la légère. Il pouvait facilement se blesser et cela pour mon plus grand malheur. Je ne pus m'empêcher de pouffer de rire quand il me dit que les garçons étaient responsables alors que je venais d'affirmer qu'ils me prenaient toujours tout à la légère et c'était le cas, même si je n'avais pas beaucoup d'expérience dans ce domaine. On ne va pas te mettre dans la catégorie des garçons dans ce cas dis-je en me mordant la lèvre pour éviter de me mettre à rire. On finit par décider de manger quelque chose avant de commencer les activités, ou j'ai plutôt décidé de manger quelque chose mais mon ventre m'a repris à l'ordre. Une fois les hot dogs en main, on partit s'asseoir sur le sable mangeant tranquillement avant de commencer à construire le château de nos rêves. Lui et moi avions des goûts assez bizarre, qui aurait pensé mettre de la sauce tomate et du vinaigre sur un hot dog... Personne sauf Levi bien sûr. Mais cela m'intéressait et je répondis positivement à sa proposition d'y goûter. Je pris une petite bouché ne voulant pas tout de même tout lui manger et c'était clairement appétissant. Très bon mélange bizarre monsieur Delgado, toute personne normale n'aurait jamais pensé à mettre cela sur un hot dog. dis-je en lui tendant finalement le mien pour qu'il l'essaye à son tour. Il partit chercher des boissons, une fois que son hot dog fut finis, j'en profitais alors pour finir le mien me préparant à commencer la construction de notre château. Je n'avais pas spécialement d'image en tête, mais notre imagination va sûrement nous permettre de faire quelque chose de bien qui nous représente tous les deux. La liberté peut donné souvent les plus belles choses, amusons nous simplement à faire ce que je n'ai jamais pu faire étant enfant. dis-je en commençant à faire un tas de sable à l'aide de mes mains. Tout enfant à sûrement déjà eu la sensation de bonheur en construisant un château, moi je n'ai pu que le ressentir à l'âge de dix-sept ans ... Vaux mieux tard que jamais comme on dit.
J'étais en pleine occupation à ouvrir ma boisson quand j'entendis les paroles de Levi, je savais que cela lui coutais un peu de parler de son passé malgré le fait qu'il arrivait tout de même à m'en parler de temps en temps. Il savait que j'étais une oreille attentive pour lui, ce qu'il était aussi pour moi au final. L'imagination est la plus belle chose qu'un enfant peut vivre, je pense qu'elle devait sûrement s'inventer de très belle histoire de princesse. dis-je en posant mon regard sur lui, affichant un sourire sur mes lèvres. Je déposais ensuite ma canette pour continuer à monter une petite coline de sable qui permettra de protéger le château des vilains briguant. J'arque un sourcil redressant la tête en entendant les paroles de Levi sur les filles de Peyton... Il m'en a déjà parlé mais je ne les connaissais pas pour autant. Où sont-elles? dis-je en regardant autour de moi, les sourcils légèrement froncé... Oui, j'ai tendance à être possessive avec lui, autant dire que j'aime pas vraiment l'entendre parler de fille.
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