Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Jeu 23 Avr - 22:29
Il est 14h lorsque je prends mon service : déposant au vestiaire ma vie de maman, je suis désormais une infirmière pour les 8h qui vont suivre. Souriante, je ne tarde donc pas à rejoindre le troisième étage, étage des post-urgences. J’aimais énormément ce nouveau travail qui me permettait de travailler en toute sérénité : nous accueillions les personnes issues des urgences qui devaient rester en observation. C’était un boulot à la fois calme et speed quand les urgences se voyaient remplis. Et aujourd’hui, c’était juste une journée calme. Ce fut donc très vite que je fis le tour du service, et que je me retrouvais en salle avec mes collègues. « Oui Lucas va bien. C’est un amour : encore ce matin, on a regardé les dessins animés, et il m’a fait des câlins. » Mes amies aimaient mes histoires de mère au foyer : la plupart n’étaient même pas casées c’est pour vous dire. Les rares fois où Lucas était venu, il avait été tellement chouchouté que parfois, il quémandait de revenir. A ce souvenir, je levais les yeux au ciel, et bu une gorgée de mon thé à la menthe. Observant par la fenêtre, je laissais mes collègues papoter entre elles tandis que mon esprit vagabonda ailleurs. […] 10 minutes plus tard, je me fis secouer par Lana, qui m’annonça qu’on montait un patient. Me redressant sur mes jambes et finissant mon thé, j’annonçais que j’allais m’en occuper. Je n’ai pas eu le temps de voir qui était-ce : juste le dossier me parvint alors que je me dirigeais vers la chambre 111. En observant le nom, un sourire en coin naquit sur mon visage alors qu’une expression de surprise se dessina : tiens donc, monsieur Philips, que vous-êtes-il arrivés ? Un bref regard sur le dossier répondit à ma question, alors que je frappais brièvement à la porte. La poussant, j’ai refermé le dossier, et j’ai relevé mes yeux émeraudes sur lui : les posant sur lui, j’ai refermé la porte, et un sourire en coin, ma voix a transpercé le silence de la pièce. « Tiens donc, je te manquais tant que ça ? » J’ai ris, légèrement, et je me suis approchée de lui pour lui embrasser la joue. Me redressant, j’ai observé son bras entouré d’une bande qui commençait déjà à saigner : j’ai alors posé le dossier au pied de son lit, et je me suis lavée les mains avec le sérum présent dans la chambre. « On est maladroit ? Je vais regarder ça d’accord ? Ils ont l’air d’avoir fait un travail de cochon en bas. » Relevant mes yeux vers lui, je pris une chaise, et m’assis près de lui en prenant délicatement son bras entre mes mains. « Qu’est-ce qu’il t’est arrivé Lewis ? »
Dernière édition par Dahlia Knowles le Lun 4 Mai - 19:01, édité 1 fois
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mot doux de Invité ► un Ven 24 Avr - 14:57
Dahlia & Lewis.
Après avoir déposé ma petite Rose à l’école maternelle, je suis rentré chez moi avec l’idée de faire quelques petites bricoles. Autant que je termine ce qui doit être fait avant de partir pour le grand tour de F1 au Brésil la semaine prochaine. Un café, j’attrape ce qui me faut pour faire les petites réparations que j’ai à faire à l’étage. La matinée avance bien et je vois presque le bout de mon occupation. Mais, je ne sais pas vraiment comment je me débrouille mais en essayer d’attraper un cadre qui tombe, c’est moi qui me retrouve à sol. Je viens de chuter de mon escarbot et j’atterrir très mal sur le sol. Je fus un petit moment avant de reprendre mes esprits et quelques instants après je sens une affreuse douleur au niveau du bras. Lorsque j’essaye de le bouger, je me stoppe très rapidement, la douleur est très intense et lorsque je passe ma main sur celui-ci. Du sang l’imprègne aussitôt. J’ai surement dû retomber sur du verre cassé ou alors un outil… Heureusement pour moi que ma meilleure amie était encore à la maison lors de cet accident. Elle avait appelé les urgences qui sont venu aussitôt et mon replacer directement l’épaule vu que visiblement j’avais atterri d’une façon où l’on peut se faire une luxation d’épaule...
Une fois arrivée aux urgences, je passe aussitôt à la radiologie et le verdict tombe rapidement : Luxation de l’épaule qui visiblement a été prit à temps et une entorse au poignet du même bras. Je dois aussi rester à l’hôpital pour quelques jours. Ils me placent dans une des nombreuses chambres de l’hôpital, Inaya étant venue avec moi a fait en sorte que je puisse avoir la télévision. Avec tous les médicaments que j’ai pu prendre, je m’endors rapidement. Je fais un rêve un peu bizarre, d’une période passé à Deadwood, à Dahlia à l’époque où nous étions encore ensemble et dans ce même rêve, je ne fais pas les mêmes choix que par le passé. Mais, je ne sais pas l’ambiance est vraiment bizarre et à un moment je vois Rose qui pleure dans un coin… Et à ce moment je me réveille en sursaut et quelques secondes après le visage de Dahlia passent la porte. Malgré ce rêve, je lui adresse un léger sourire. Je lui réponds avec un petit rire : « Je ne peux pas me passer de mon infirmière préféré ! » Je lui fais la bise en retour puis lorsqu’elle me parle de mon accident, je ris légèrement. Je me rappelle même plus que je me suis ouvert aussi e bras. Enfin je me suis bien amoché pour la peine. « Dirons-nous que par moments nous ferions mieux de rester à rien faire. Je te laisse faire Madame l’infirmière ! » Dahlia s’installe à mes côtés, je la laisse faire sans rien dire. « Je suis tombé en font quelques travaux à la maison. Luxation de l’épaule entorse au poignet et j’ai un bout de verre qui m’a ouvert les bras par la même occasion. Ça m’apprendra à vouloir sauver un cadre. »
Mon regard posé sur Dahlia, je la regarde faire, j’eus un petit sourire car cela me rappelle bien des souvenirs. Mais, je vais peut-être éviter de reparler de certains… Je n’ai pas envie de lui faire remonter les souvenirs qu’elle a avec son père. « Tu travailles jusqu’à quelle heure ? Je suis dans l’obligation de rester pendant quelques jours en observation. » Et adieux le grand prix ! Enfin bref, ce sera pour une prochaine fois après tout. « Sinon, tu vas bien . Ça me fait plaisir de te voir. Je préfère que ce soit toi qui t’occupes de moi qu’une vieille infirmière bizarre que j’ai vue en arrivant dans le service tout à l’heure. » Dis je en riant.
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mot doux de Invité ► un Mer 29 Avr - 8:35
C’était agréable de le revoir, mais j’aurais aimé dans d’autres circonstances : quoi qu’il en soit, j’ai pris place à côté de lui, et je ne le lâchais pas du regard. C’était normal d’être aussi beau, même malade ? J’ai secoué la tête à mes pensées, rougissant légèrement, et détournant la tête pour ne plus devoir affrontée son regard. Je me suis donc concentrée sur son bras alors qu’il commença à m’expliquer le pourquoi du comment : et je ne pus m’empêcher de grimacer en relevant la tête. « Ah ces cadres : tous des enfoirés ! » J’ai explosé de rire avant de retirer entièrement son bandage et de regarder la plaie : je me suis offusquée, et j’ai commencé à grommeler. « Non mais c’est vraiment des pecnos en bas : regarde-moi ça, ils n’ont même pas nettoyés la plaie. Cela commence vraiment à me gonfler, je vais y descendre tu vas voir ! » Tout en faisant mon spitch, j’ai fait un aller-retour dans le couloir pour prendre un chariot de soin, j’ai fermé la porte, et j’ai mis la lumière pour prévenir qu’il y avait quelqu’un dans la chambre. Je me suis rassise dans ma chaise, en baissant le lit pour être au-dessus. J’ai levé les yeux vers Lewis qui me regardait, et j’ai commencé à rire. « Excuse-moi pour ce petit égarement. » J’ai haussé les épaules, un sourire aux lèvres, et je me suis concentrée sur sa plaie : j’ai sorti des compresses, de l’alcool dilué pour ne pas que ça fasse mal, et j’ai entrepris de commencer le nettoyage. « Quelques jours ? Ils y vont fort là. » J’ai levé les yeux au ciel : quelle bande de pecnos. « Il n’y a pas un grand prix d’ailleurs ? » J’ai froncé les sourcils en me disant qu’il allait le louper : oui, il adorait ça. J’ai réfléchi à une solution, et moins de cinq secondes après, j’ai eu la solution. « Je peux te prendre sous mon toit jusque demain si tu veux ? Comme ça je peux prendre ta tension, ta température et te changer ton pansement ? Tu peux emmener Rose si tu veux ? » J’ai levé les yeux vers lui, un sourire aux lèvres, avant de me remettre à la plaie désormais propre. A sa remarque sur les infirmières, je n’ai pu m’empêcher de pouffer de rire et je suis passée au bandage. « La vieille infirmière bizarre s’appelle Olivia : elle est très gentille. Vieille, mais très gentille. Je n’ai jamais rien eu à lui reprocher : à part peut-être son manque de communication avant les patients. » J’ai légèrement ris avant de terminer son bandage. « Et voilà ! » Fière de moi, je me suis levée pour nettoyer autour de moi : les compresses à la poubelle, et le chariot dans le couloir. J’ai appuyé sur le bouton de la lumière pour l’éteindre, et en croisant Anaïs, je lui ai demandé si nous avions du monde : réponse négative. Je suis alors restée avec Lewis : me rasseyant, je me suis rappelée une de ces questions à laquelle je n’avais pas répondu. « Au fait, je termine dans 2h environ. » J’ai secoué la tête et je lui ai souris.
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mot doux de Invité ► un Ven 1 Mai - 14:52
Dahlia & Lewis.
Mon accident domestique est vraiment mal tombé mais, dans un sens je suis bien content de voir Dahlia. Et surtout que ce soit elle qui prenne soin de moi. Ce n’est pas parce que je n’ai pas confiance dans les autres soignants mais, je préfère une personne en qui j’ai confiance. Je ne peux pas m’empêcher de rire en entend ceux de Dahlia, la jeune femme avait toujours eu cet effet sur moi. Puis lorsqu’elle commence à regarder la plaie et visiblement ce qu’elle voit ne lui plaît pas. J’eus un léger sourire et lui répond tranquillement : « ne te prend pas la tête pour cela Dahlia, cela ne sert à rien. » Après c’est vrai que si c’est souvent qu’elle reçoit des patients dans son service mal soigné aux urgences cela doit être chiant à force. Elle fit un aller-retour en revenant avec ce dont elle avait besoin. J’eus un léger sourire et lui dit doucement : « ce n’est pas grave. Regarde-tu vas pouvoir me soigner toi-même. Puis tu connais ma confiance dans les hôpitaux. Je préfère de loin que ce soit toi mon infirmière personnelle. » Dahlia commence à nettoyer la plaie causée par mon accident. Je suis bien d’accord avec elle, surtout que je n’aime pas tellement être enfermé sans rien faire. « Je suis d’accord avec toi mais, je sais put trop, je crois qu’ils veulent que je reste en observation au cas où il y est un souci. » Puis je soupire lorsqu’elle me parle du grand prix. Je suis dégouté, je ne pourrais pas partir avec mon écurie mais, tant pis. « Normalement il y en avait un mais, ce sera pour une prochaine fois. Dommage pour le Brésil ! » Dis-je en riant légèrement. Je la regarde soigner mon bras avec un léger sourire. Cela me rappelle des souvenirs mais, c’était plus souvent l’inverse… Enfin je ne vais pas lui parler de ce passé. Puis celle-ci me propose de m’héberger cette nuit chez elle. Pourquoi pas après tout ? Je ne sais pas vraiment ce que comptent faire mes deux colocataires et je n'ai vraiment aucune envie de rester dans cette pièce. « Tu penses que l’hôpital va me laisser sortir, alors qu’il voulait me garder pour quelques jours ? » Puis je rajoute avec un léger sourire : « Bon après j’aurais mon infirmière personnelle pour prendre soin de moi. Rose vas surement passer la soirée avec Dean. Son amoureux ! » Dis-je en roulant des yeux avec un léger sourire.
Dean le tonton poule ! Puis elle termine par me mettre une bande autour de mon bras, lorsqu’elle se met à rire quand le parle de la vieille infirmière qui ne me rassure absolument pas. « Après tout je ne la connais pas mais, elle n'est vraiment pas très accueillante. Limite-j’ai eu l’impression de tomber sur l’une des nones dans american horror story ! » Je ris de mes conneries, j’exagère, je suis au courant mais, bon. « Bon, je lui laisserais une chance dans ce cas. » Terminai-je par lui dire. Je la laisse finir ce qu’elle doit faire et me repositionne bien dans le lit. Je réfléchis un peu en me disant que je ne suis surtout pas loupé pour le coup… L’épaule, le poignet et une blessure au bras. Enfin j’ai vu pire mais, l’épaule ça fait mal tout de même. Dahlia revient finalement dans la chambre, me donnant l’heure à laquelle la jeune femme termine. Je réfléchis pendant quelques secondes posant doucement ma main sur son épaule. « Donc, je rentre avec toi alors . » Je rajoute en prenons un air grave : « Tu es vraiment sûr que tu vas pouvoir supporter un Lewis baissait et qui pourra surement ne pas faire grand-chose tout seul ? » Demandai-je avec au final un léger sourire qui s’affiche sur mes lèvres : « car oui, je viens d’y penser mais, je vais avoir un peu de mal à remontre mon tee-shirt. » Je grimace puis je finis par me redresser. « Et Lucas, ça ne va pas le dérange que je vienne chez vous . » Après tout, je ne connais pas tellement ce petit. D’ailleurs, je n’ai jamais posé une question à Dahlia. « Et d’ailleurs... C’est peut-être déplacer de te poser cette question... Le père de ton fils, je n’en ai jamais entendu parler... Il t’a abandonné ou alors il n’est pu de ce monde . »
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mot doux de Invité ► un Sam 2 Mai - 18:53
Le bandage finis, je ne pus m’empêcher d’être fière de moi, comme à chaque fois que je faisais quelque chose de bien : après tout, les gens trouvaient ça normal. Moi je trouvais ça magique : nettoyer, soigner, faire du bien. C’était tout ce que j’avais toujours aimé. Et le fait de le soigner lui avait quelque chose d’encore plus magique : parce que les souvenirs revenaient, et parfois c’était bon aussi. Je lui souris, presque durant tout le nettoiement. Et je sens son regard sur moi qui est plutôt doux : je me sens bien avec lui, près de lui, même s’il est blessé. C’est pour ça que je lui avais proposé de venir chez moi : je voulais être bien, tout le temps. Rangeant mon bazar, je me suis assise près de lui une fois finis : et je l’ai regardé. J’ai passé une main dans mes cheveux blonds et je l’ai regardé. « Il y aura juste un papier à remplir, pour toi et moi, pour qu’il s’assure que tu as une infirmière à domicile. J’ai ma journée de repos demain, et une pause après-demain, alors il n’y aura pas de problème. Ils n’ont juste pas pensé à te le proposer. » Je lui souris, me lève, et me penche au pied de son lit pour extirper son dossier médical : si tout a bien été fait, la feuille devrait être là. Et c’est le cas. Je la sors, prend mon stylo de ma poche et pose le tout sur la table roulante, face à lui. « Et voilà. » Je lui souris, baille un instant en mettant ma main devant ma bouche, et secoue la tête pour chasser la fatigue. Je ris, légèrement, et me stoppe à sa question. Eh merde … Il fallait bien que ça arrive hein. La catastrophe. Je n’étais pas prête. Pas maintenant. Devrais-je faire diversion ? Le silence s’installa, et je me mis à mordre ma lèvre inférieure avant de regarder en direction de la fenêtre. « Tu ne le connais pas. » Mensonge. Et je savais pertinemment que j’étais une mauvaise menteuse. C’est pour ça que j’ai tout de suite rajoutée quelque chose. « Lucas sera content de te voir. Et puis, il va sûrement être heureux de voir un homme à la maison : il en a marre des Disney je crois. » Je me mets à rire, à me détendre, et je secoue légèrement la tête. « Non, il n’y aura aucun problème. Ni pour lui, ni pour moi. » Je le regarde, lui souris, et finis par me pencher vers lui. « Bon, regardons un peu cette feuille. » Je me penche sur la feuille en rapprochant la chaise, jusqu’à ce qu’une de mes collègues arrivent. « Dahlia euh … On t’appelle à l’accueil. » Je fronce les sourcils, et prends un air perplexe. « Pourquoi ? Il y a un problème Claire ? »« Euh, non. C’est juste que … Bah … Tu es censée bosser et … Et ça ne plait pas là-bas que tu restes avec un patient. » Furibonde, je me lève d’un coup, et me tourne vers Lewis. « J’en ai pour deux secondes Soleil. » Sans m’en rendre compte, je lui avais donné le surnom qu’il avait lorsque nous étions encore un couple. Mais je suis partie avant qu’il ne réponde. Poussant la porte du SAS, j’ai regardé les filles qui se stoppaient de parler d’un coup. Amélie s’apprêta à parler, mais je lui coupais la parole. « Il y a un problème ? Vous avez flashé sur lui alors je ne dois pas vous le voler c’est ça ? C’est quoi votre problème ? » Claire recula en dehors de la pièce jusqu’à disparaître et Amélie s’avança vers moi. « Tu comptes avoir un gosse avec lui aussi ? » La gifle partie. Et je compris alors qu’elles n’étaient que des hypocrites. « Je prends ma pause, et je vous emmerde toutes. » Faisant demi-tour, j’ai avancé jusqu’à la chambre de Lewis où j’ai fermé la porte. Bouillonnante de colère, j’ai repris ma place à ses côtés, et je me suis calmée instantanément dès que mon regard a croisé le sien.
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mot doux de Invité ► un Lun 4 Mai - 10:31
Dahlia & Lewis.
L’idée de sortir de cette chambre d’hôpital me fait vraiment plaisir ! Je n’ai pas spécialement envie de rester ici à ne rien faire. Surtout que je ne suis pas vraiment le type de personne à rester chez moi sans rien faire. Donc, je vous laisse m’imaginer dans une chambre d’hôpital. Dahlia me parle d’une feuille à signer pour les deux partir puis elle finit par se pencher au pied du lit pour attraper le dossier. « D’accord, je vais signer le papier et voilà. Après je serais vraiment libre ! » Elle regarde à l’intérieur puis sors l’une des feuilles. Je la regarde avec un léger sourire lorsqu’elle se met à bailler et secouer la tête. Elle le faisait déjà lorsque nous étions ensemble et cela m’avait toujours fait sourire. En même temps Dahlia fut peut-être la seule de mes petites amies à me donner aussi facilement le sourire. Lorsque je viens à poser la question sur le père de son fils, je compris rapidement que c’était une mauvaise idée. Juste par sa réponse et son comportement, je comprends qu’elle est mal à l’aise. Je ne compte pas insister pour autant de toute manière après tout si Dahlia veut m’en parler, elle le fera d’elle-même. Puis je ris légèrement lorsqu’elle me parle des Disney car je suis un adapte des Disney donc voilà ! « Tu sais si tu as besoin d’aide avec ton garçon, je peux t’aider. Et le pauvre… Je suis aussi un adapte des Disney. » Dis je en riant. Puis elle m’assure qu’il n’y a vraiment aucun problème de toute manière. « Dans ce cas, c'est parfait ma belle. » Dahlia termine par se pencher un peu vers moi pour regarder la feuille mais, quelques instants après une charmante infirmière entre dans la chambre. Je la regarde sans rien dire, fronce un peu les sourcils car même si on ne parle pas mal Dahlia travaille vu qu’elle m’aide pour les papiers. Bon ça ne paraît pas comme ça mais, vu la proximité de ma petite infirmière mais, en même temps… Notre passé est là et être proche l’un de l’autre à toujours était très naturel entre nous deux. Dahlia part de la chambre sans que je n’aie le temps de dire quelque chose.
Je me relève un peu puis je lis rapidement le papier qui m’autorise à sortir. Je le signe sans même avoir pris le temps de tout lire, façon Dahlia connaît son travail et je n’ai pas vraiment de soucis à me faire à ce niveau-là. J’attrape la bouteille d’eau sur la tablette à côté de moi mais pour l’ouvrir c’est plutôt un calvaire. Après quelques secondes, j’arrive enfin à l’ouvrir mais je m’en renverse sur moi. « Et merde ! » dis-je doucement. Tant pis ce n’est pas grave. Je bois un coup et repose la bouteille sans même la referme sur la tablette. Et à ce moment, Dahlia entre dans ma chambre en colère et revient vers moi. Je la regarde sans rien dire puis lorsque son regard rencontre le mien, je lui adresse un léger sourire. « J’ai comme l’impression que tu es en train de perdre ton sang-froid. » Je me pousse un peu pour qu’elle vienne se poser sur le lit. Je lui fis comprendre en tapotant sur le matelas. « Qu’est-ce qui sa passe ? » Je pose ma main valide sur la sienne. Puis quelques instants après, une infirmière entre dans la chambre et sans que je ne comprenne quelques choses, celle-ci s’approche de nous : « Dahlia écoute-moi bien ! Tu n’as en aucun droit de me gifler et même de m’insulter. Surtout que je ne fais que dire la vérité. Puis si cela te plaît de te faire engrosser par n’importe qui, c’est ton problème. Tu es une trai… » Là je dois bien avouer que je n’apprécie pas spécialement le comportement de cette personne. En plus il me semble que les embrouillent interne au service n’as pas à être étalé devant les patients, donc je la coupe aussitôt en me redressant dans mon lit : « Alors, déjà bonjour ! Il me semble que nous n’avons pas eu l’occasion de se rencontrer avant ce règlement de comptes. » Je prends le temps de lire le nom sur sa blouse : « Amélie ! Vous pouvez m’appeler Lewis. Donc maintenant, ce que je vais faire c’est que je vais signaler votre comportement à votre supérieur, car avouer le.. Mais, agresser un collège dans une chambre d’un patient ce n’est pas vraiment très cool. D’autant plus, que vous l’humiliez devant un patient. » « Non mais, de toute façon je sais très bien quelles sont des intentions de cette garce ! Elle veut juste vous mettre dans son lit ! » Je lui adresse un léger sourire et lui dit : « et elle aurait raison vu qu’elle est ma petite amie. Et pour info notre relation ne date pas d’aujourd’hui mais, depuis bien plus longtemps. Donc ma petite dame, je suis désolé mais, je pense être assez grand et assez sain mentalement pour savoir ce que je fais. Maintenant dégager de ma chambre, je n’ai plus envie de vous voir ici. Et si j’ai vent d’un autre incident avec Dahlia, je me ferais un véritable plaisir à faire un petit rapport à votre supérieur. Histoire de vous mettre aussi dans la merde. » Terminai-je sur un ton vraiment très dur. « Donc maintenant aller faire vos petits commérages ! » La fille ne cherche pas à comprendre et sort aussitôt de la chambre. Étant encore très calme, je pose mon regard sur Dahlia. Je l’avais protégé et en même temps je n’avais pas spécialement envié que... Enfin voilà quoi.
« Je suis désolé mais, je ne supporte pas ce genre de femme et je ne supporte pas qu’on te fasse passer pour une personne que tu n’espas. » Lui dis-je doucement. Puis je finis par rajouter en souriant : « Maintenant, tu es pour elle officiellement la petite amie du beau goss du service ! » Dis-je en riant.
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mot doux de Invité ► un Lun 4 Mai - 19:00
Aujourd’hui, j’étais tout sauf patiente : déjà qu’en temps normal je ne l’étais pas, mais alors là… Avec Lewis dans cet état, j’avais de moins en moins de patience. Alors oui, certes, j’avais giflé une de mes collègues : mais elle l’avait bien mérité. Et c’était avec une incroyable colère en moi que je suis rentrée dans la chambre de Lewis où j’ai fini par poser mes fesses. Je soupirais, je fulminais, et pourtant quand mes yeux trouvèrent les siens, mon corps se détendit automatiquement : il avait toujours eu ce pouvoir sur moi. Quand il prononça sa phrase, je ne pus m’empêcher de pouffer de rire en levant les yeux au ciel : et j’ai fini par soupirer quand il tapota près de lui pour que je m’asseye à ses côtés. Je me suis levée et j’ai posé mon derrière sur le bord du lit, alors que sa main se posa sur la mienne : son contact me fit frissonner, mes yeux cherchèrent les siens, et je me suis sentie incroyablement bien. Baissant la tête, mes lèvres s’entrouvrirent pour lui expliquer, mais la porte claquant contre le mur m’interrompit. Je tournais la tête vers Amélie qui, furibonde et la joue rouge, me fusillait du regard. Mon corps tout entier se tendit, et une électricité me chargea à bloc : j’étais prête à lui refaire le portrait à cette mégère. Autant vous dire que quand j’ai entendu ses paroles, mon corps a fait un bond en avant, et je me suis retrouvée debout à côté du lit, la mâchoire et les poings serrés. Mais Lewis a pris la parole, et j’ai jeté un œil en arrière : je m’en voulais de le faire participer à ça, surtout qu’il était là pour se reposer … J’ai froncé les sourcils, et en croisant le regard d’Amélie, ma mâchoire s’est de nouveau crispée : mais s’il n’y avait pas Lewis comment je t’aurais refait le portrait pauvre cruche ! Ma conscience faisait des bonds de Quinze mètres, à en gagner les Jeux Olympiques. Et petit à petit, sans m’en rendre compte, je me rapprochais dangereusement d’Amélie : j’allais la frapper si elle continuait. De quel droit se permettait-elle de juger ? Si elle connaissait un dixième de ma vie elle changerait de ton, et de paroles. Alors qu’elle continuait à balancer des horreurs sur mon compte –je crois que c’est à ce moment-là où j’ai faillis lui en coller une autre- Lewis répliqua. Et ce qu’il dit m’interpella : sa petite amie ? J’avais loupé un épisode ? Perplexe, j’ai tourné la tête vers lui, l’interrogeant du regard avant de me reporter sur Amélie qui, maintenant, fermait sa petite gueule de cruche. Je reculais d’un pas. Puis de deux, jusqu’à me rasseoir auprès de Lewis. Je regardais Amélie faire demi-tour et partir, l’air indignée sur le visage. Je me suis automatiquement détendue, et mon corps entier s’est affaissé sur lui-même. J’ai fermé les yeux et j’ai passé mes mains sur mon visage : mais quel monde de merde ! Lewis reprit la parole, et je tournais la tête vers lui : je souris à ses paroles, et soupirais. « Pardon de t’avoir mêlé à ces histoires… Je ne pensais pas qu’elle viendrait jusqu’ici. » Je secouais la tête et finis par poser ma tête sur son torse, doucement. « Merci. » J’ai fermé les yeux un instant, j’ai savouré l’instant. J’ai souris, légèrement, en humant cette odeur tant apprécié depuis des années maintenant. J’ai posé une main sur son ventre, et j’ai regardé ce dernier se lever, puis s’abaisser au rythme de sa respiration. Et j’ai fini par me redresser et poser mes lèvres sur son front. « Merci. » Je me suis redressée et j’ai jeté un œil au papier sur la table. « Signons-le et allons-nous en. » J’avais bien le droit de partir en avance pour une fois.
[…] 30 minutes plus tard, nous étions dans ma voiture : les papiers en règles, j’ai pu enfin quitter cet enfer. Au volant de ma Twingo rouge, j’ai tourné la tête vers Lewis qui galérait à attacher sa ceinture. « Laisse, je vais t’aider. » Je me suis penchée vers lui et j’ai attrapé sa ceinture. « Et ne pense pas de manière perverse ! » J’ai ris et j’ai attaché sa ceinture avant de faire de même. J’ai démarré la voiture, et je suis sortie habilement du parking. « Lucas nous attend à la maison, donc on va rentrer directement d’accord ? Il faudra juste revenir demain à l’hôpital pour que tu aies un contrôle et ça devrait le faire. » Je l’ai regardé furtivement et j’ai continué sur mon chemin. Oui, nous devrions revenir : mais en attendant, nous avions toute la soirée devant nous.
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mot doux de Invité ► un Mer 6 Mai - 10:38
Dahlia & Lewis.
J’ai beaucoup changé depuis mon séjour en taule, je suis plus calme mais, je dois bien avouer que maintenant je sais réagir plus dans la finesse. Après je n’apprécie pas tellement le genre de fille comme la collègue de Dahlia. Maintenant voilà, celle-ci n’a pas vraiment volé ce que je viens de lui dire. Mais, je pense que Dahlia aurait vraiment pu lui sauter dessus mais, elle se retient et je lui évite bien d’autres soucis avec son lieu de travail. Lorsque Dahlia s’assoie près de moi, je pose instinctivement ma main sur sa cuisse. Puis l’autre jeune femme s’en va sans put rien dire. Lorsque la porte se ferme, je me mets à rire lorsque je repense à la tête de celle-ci. Dahlia vient se blottir contre moi, je la laisse faire et pose ma main encore valide dans ses cheveux, les caressants doucement. « Ne tu’en fais pas, ce n’est pas grave et au moins elle ne t’emmerdera put désormais. Et de rien. » Dahlia reste contre moi, ma main descend doucement dans son dos. Je profite un peu de ce petit moment de tendresse. Nous ne sommes peut-être pus ensemble depuis longtemps mais, j’aime toujours autant l’avoir contre moi. Dahlia est la première femme que j’ai aimée et elle est encore très importante pour moi. Et je ne peux pas faire comme si de rien n’était à présent. Puis elle finit par se redresser pour m’embrasser sur le front, j’eus un léger sourire. « C’est déjà signé ! Même si c’est un genre de gribouillis... Je suis droitier à la base donc écrire de la main gauche ce n’est pas évidente. » Dis-je avec un léger sourire. Dahlia signe donc le document puis elle part pour faire les démarches et je remets avec un peu de mal le tee-shirt qu’Inaya avait préparé avant que je ne parte aux urgences.
Trente minutes plus tard, je me retrouve dans la voiture de la jeune femme. J’ai un peu de mal avec la ceinture mais Dahlia vient à mon aide puis ce qu’elle dit me fait rire, je la regard avec un air innocent et je lui dis doucement : « cela ne me viendrait jamais à l’esprit ! » Je pris un faux air choqué. Puis je ris légèrement dans mon coin. « Pas de soucis, façon je n'ai rien à récupérer donc voilà. Et je n’étais pas censé sortir maintenant. D’accord, on verra cela demain. » Façon je ne vais rien pouvoir faire seul pendant un moment. Après quelques minutes de routes on arrive devant chez elle, je défais ma ceinture puis je regarde la jeune femme : « bon, allons faire la surprise à ton fils ! » On sortit de la voiture. J’adore le petit Lucas, c’est un bon gamin et un petit passionné comme j’ai pu l’être à son âge. Je suis Dahlia jusque chez elle puis, on rentre à l’intérieur. Je retire mes baskets rapidement pour les mettre dans un coin à l’entrée. Et là j’entends la voix du petit garçon dire : « Maman ! » Il vient vers elle pour lui faire un bisou. Puis il se tourne vers moi et on se serre la main comme d’habitude : « Salut Lewis, tu t’es fait quoi au bras . » Je le regard avec un léger sourire : « alors là ! C’est trop secret bon homme ! » Puis je le laisse partir vers sa mère, je ne sais pas trop quoi faire mise à part suivre la jeune femme. Je ne suis pas vraiment chez moi ici donc bon, je ne vais pas prendre mes aises non plus. Pendant que le petit parle avec sa mère, je prends mon téléphone pour envoyer un message à Inaya pour la prévenir que je suis chez Dahlia est que j’y reste la nuit par message.
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mot doux de Invité ► un Jeu 7 Mai - 13:06
Le voyage en voiture fut court. Très court : il faut dire que mon appartement était proche de l’hôpital, justement au cas où. Alors aucune surprise quant au bout de 5 minutes, on était déjà sur le porche. J’avais souris à Lewis avant d’entrer, et j’ai ouvert la porte : deux secondes après, mon petit homme apparaissait au coin de la pièce. « Hey, mon ange. » Je me suis baissée pour être à sa hauteur et le réceptionner. J’ai posé mes lèvres sur sa joue, et il en a fait de même avant d’apercevoir Lewis. Je l’ai alors lâché et j’ai observé la scène entre Lewis et Lucas d’un œil attentif : ils se ressemblaient tellement que ça m’étonnait qu’il n’ait encore rien remarqué… J’ai haussé les épaules, et je me suis débarrassée de mon manteau et de mon écharpe. Lucas s’est approché de moi et a commencé à me parler. « Tu sais, aujourd’hui, j’ai eu dessin, et j’ai fait un truc qui a bien plu à la maitresse : j’ai eu 18. » J’ai souris et j’ai caressé sa joue. « Mon petit cœur, tu es formidable ! » J’ai embrassé son front et j’ai tourné la tête vers Lewis qui écrivait un message : il était en couple, c’est sûr. Et cette perspective me fit un mal de chien. Je baissais la tête et je regardais Lucas. « Tu veux bien aller mettre un film ? Celui que tu veux d’accord, je vais faire à manger moi, avec Lewis. » Il hocha la tête et disparu de la pièce. J’ai raclé ma gorge et quand il a levé les yeux de son téléphone, j’ai pu parler. « Je te file un coup de main pour ton manteau ? » Quand j’ai eu son approbation, je me suis approchée de lui et j’ai retiré délicatement son manteau : j’étais tellement proche de lui que je pouvais sentir son souffle sur mon visage, et mes yeux se mirent à papillonner. Tout comme mon ventre d’ailleurs, mais ça c’est une autre histoire. J’ai pris son manteau et je l’ai accroché tout en lui parlant. « On va prendre ta température, ta tension : j’ai encore des affaires à toi dans ma chambre, donc tu auras de quoi te changer demain, et un pyjama aussi. » Je me suis retournée, et je lui ai souris avant de hausser les épaules. « Si tu veux prendre une douche, tu me le dis et je te montrerai d’accord ? En attendant, tu viens avec moi. » Je l’ai pris par la main et j’ai souris avant de m’empourprée et de le tirer vers le salon où Lucas, scotché sur la télé, ne nous avait même pas vu venir. J’ai pris les instruments nécessaires dans le tiroir du meuble, et je l’ai fait asseoir sur une chaise. J’ai d’abord pris sa température : 37.5, et puis sa tension : 12.3. Parfait. J’ai rangé les accessoires. « Tout est parfait. » Je lui ai fait un joli sourire avant de m’appuyer contre le meuble en regardant l’heure. « Mon petit homme ne va pas tarder à se coucher, je dois faire à manger. » Je lui ai souris avant de m’accroupir à côté de Lewis. « Tu devrais aller parler avec lui : il doit être en manque de présence masculine. » J’ai ris, légèrement, avant de me redresser et de partir vers la cuisine ouverte sur le salon. « Au fait, Lewis ? » J’ai attendu qu’il se retourne et j’ai continué. « Je suis contente que tu sois là. » J’ai haussé une épaule et j’ai commencé à faire cuire l’eau pour les pâtes. S’en est suivis des escalopes de poulet à la crème et aux champignons, et j’ai continué sur ma lancée en mettant la table, vraiment heureuse qu’il soit là.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Jeu 14 Mai - 14:05
Dahlia & Lewis.
Dahlia est vraiment une bonne mère avec son petit garçon, ce qui me donne facilement le sourire. Malgré ce qu’a pu dire cette fameuse infirmière à Dahlia tout à l’heure, une fois avec son petit garçon celle-ci oublie rapidement ce qu’elle a bien pu vivre au boulot. Pendant que Dahlia s’occupe de son fils, j’envoie un SMS à Inaya pour la prévenir que je suis en ce moment même chez mon ex pour surement la nuit et demain. Puis je lui explique rapidement ce que j’ai comme blessure pour éviter qu’elle ne s’inquiète de trop. Ma meilleure amie est assez très protectrice et s’inquiète très rapidement si je ne donne pas de nouvelle. Puis j’entends Dahlia se racler la gorge. Je relève mon regard vers la demoiselle. Puis je lui fais un signe positif de la tête pour qu’elle m’aide à retirer ma veste. « Tu es conservatrice ! Et ne t’en fais pas pour le reste, ça va aller parfaitement. » Puis je rajoute en lui adressant un souris : « d’accord pas de soucis, j’en prendrais une peut-être avant d’aller me coucher. Enfin je verrais bien tout à l’heure. » Lorsqu’elle me prit la main, je resserre la main contre sienne et je la suis dans le salon. Lucas était en train de regarder un dessin animé à la télévision. Il m’a toute l’air vachement calme comme garçon. Dahlia prit quelques instruments médicaux, elle me fait m’assoir sur une chaise et prend mes paramètres vitaux qui visiblement sont bons. Puis Dahlia m’avertis que Lucas va devoir bientôt aller au lit et qu’elle va aller faire le repas. Elle me demande de rester avec son fils, j’approuve d’un signe de tête puis, je me lève pour aller rejoindre le petit garçon sur le canapé, lorsqu’elle m’appelle. Je me tourne vers elle en affichant et ce qu’elle me dit me fais sourire : « Je suis aussi heureux d’être ici. » Pendant que mon ex est occupée à faire la cuisine, je m’installe avec son fils qui regarde un dessin animé que je regardais lorsque j’étais plus jeune et que je regarde de temps en temps avec Rose. Les Simpson. Avec Lucas on parle un peu de ses copains, de l’école et surtout de la fille dont le petit mec est amoureux. C’est mignon à cet âge et ce n’est pas comme avec nous les adultes, nous il y a toujours un truc qui fait que tout devient compliqué. Puis le petit garçon me confie qu’il aimerait bien venir faire du sport avec moi et aussi de la moto. Lucas a toujours été fan de ma moto, puis faut bien dire qu’à son âge j’adorais les motos et les courses de F1. J’en parlerais un peu avec Dahlia, il me faut son avis après tout avant de faire tout cela. Dahlia nous appellent pour passer à table. Pendant le repas Lucas s’adresse à moi pour me demander un truc pour son école : « Lewis, tu sais à mon école, il va avoir une soirée dans le bois père-fils. Et vu que je n’ai pas de papa, j’aimerais que tu viennes avec moi. Tu peux. » Je regarde Lucas, puis je regarde Dahlia. Bien entendue ça me fait plaisir que Lucas me le propose. Et je sais très bien que ce n’est pas évident pour lui de ne pas avoir de père à ses côtés. « Je veux bien mais, faut que ta mère soit d’accord aussi. Dahlia, tu en pense quoi. » Je prends mon verre pour boire un coup en attendant la réponse de la jeune femme.
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