l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 20 Mai - 14:03 | | | Je préparais le repas alors que Lewis et Lucas parlaient ensemble : je me suis mise à les regarder, jetant un oeil de temps à autre sur mon plat. Je me suis mise à regretter de ne rien avoir dit à Lucas, et surtout à Lewis : j'ai compris que mon petit garçon devait souffrir de cette situation. Je me suis promis de le révéler bientôt à Lewis, pour le peu qu'il ait le courage de l'entendre. J'ai souris, tendrement, et j'ai fini par terminer le repas tranquillement. [...] Une dizaine de minutes plus tard, le repas était servi, et nous étions tout les trois à table alors que Lucas parlait fort, et faisait de grands gestes. Je souriais de cette situation, et je me tournais vers Lewis, le regardant un peu trop tendrement que prévus. Avalant une gorgée d'eau, mon corps se tendit lorsque Lucas demanda pour sa course de ce week-end : j'avais complètement oublié. Fixant un coin de la table, puis mon petit garçon, un sourire coincé se glissa sur mon visage et je posais mon verre alors que Lewis en rajouta une couche. Je secouais la tête, et ris jaune de la situation. Vous voyez l'ironie ou je la soulève ? Saperlipopette nom d'une moustache : comment j'allais m'en sortir maintenant ? J'ai haussé les épaules en prenant un morceau d'escalope et en finissant de mâcher ma viande, j'ai enfin pris la parole. "Oui, pourquoi pas ?" J'ai ris, légèrement, et j'ai laissé les garçons parlés entre eux : oh mon dieu, s'ils savaient tout les deux ... La culpabilité m'envahit d'un coup, et je ne me sentis pas super bien. "Je vais prendre l'air : Lucas, tu termines vite et tu vas te brosser les dents hein ? Je viendrais te faire un bisou après." Je me suis excusée auprès de Lewis avant de sortir de la maison : sur le palier m'attendait une étrange lettre anonyme. Je l'ai ramassé, et j'ai regardé autour de moi pour voir si je détectais une personne : et une ombre attira mon attention, je me suis approchée, et j'ai cru remarqué mon ex en train de me viser avec un révolver ; et j'en ai déduis qu'il ne le faisait qu'avec sa main. Prise d'effroie, je me suis reculée, l'enveloppe entre les mains, et mon dos a frappé contre la porte. J'ai baissé la tête vers le plie entre mes mains et j'ai serré les dents en l'ouvrant : dedans, un mot bien plus qu'explicite. OUBLIE MOI ET JE TE FLINGUE AVEC TON BATARD.
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| mot doux de Invité ► un Ven 5 Juin - 14:26 | | | Pendant le repas, le petit Lucas me demande si je peux venir avec lui pour un truc entre père-fils Je ne refuse pas mais, je demande l’avis de Dahlia. Finalement, celle-ci à une réaction assez bizarre. Je la regard quelques instants puis termine mon assiette. Je dois surement me faire des idées. Je n’avais rien rajouté, j’en reparlerais avec elle plus tard. Puis celle-ci, s’excuse pour sortir de table et donne quelques instructions à son fils. Une fois que celle-ci est dehors, je termine mon verre et discute encore un peu avec Lucas. J’adore ce petit garçon ! Puis il finit par me dire : « Bon, je vais me brosser les dents et je vais me coucher. Bonne nuit. » « Bonne nuit bonhomme ! » Dis je en riant. J’imagine déjà ma petite rose à cet âge. Je suis sûre qu’elle sera aussi belle que sa mère à pu l’être. Je me leve pour prendre mon téléphone et appeler rapidement ma fille chez Dean. Et bien entendue, Dean ne répond pas. Je débarrasse avec un peu de mal la table de Dahlia, avoir un seul bras de valide, ce n’est pas spécialement évident tout les jours. Surtout que c’est encore très récent. Mais, les minutes passe et Dahlia n’est toujours pas revenue. Je trouve cela un peu bizarre, ce n’est pas sans genre à rester trop longtemps dehors. Et j’entends un bruit sourd contre la porte. Je me dirige vers celle-ci et l’ouvre sans plus attendre et Dahlia qui était derrière cette porte par en arrière. J’ai juste le temps de la rattrapée par le bras et je la fais ce remettre bien. Je pose doucement ma main sur son visage et la regarde avec un léger sourire : « Tu vas bien ? Qu’est ce qui t’es arrivée ? » Et lorsque je baisse mon regard, je remarque une feuille sur le sol, je l’attrape et lis ce qui est écrit dessus : « OUBLIE MOI ET JE TE FLINGUE AVEC TON BATARD. » Je sens l’énervement venir doucement, je ne comprends pas.. Est-ce qu’elle a des soucis dont elle ne m’aurait pas parlé ? Aucune idée. « Dahlia.. Qui t’as envoie ce mot ? Dis le moi ! » Menacé mon ex petite amie, surtout mon premier amour, n’est pas une chose à faire ! Je ne sais pas tout du passé de Dahlia et croyez moi que celui qui osera lui faire du mal regrettera d’être née ! Je ferme la porte à clé derrière nous et je reviens vers elle. Je vois bien qu’elle est traumatisée. Je la prend contre moi et passe doucement ma main dans son dos. « Calme toi, je suis là… » |
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| mot doux de Invité ► un Sam 6 Juin - 0:09 | | | Je n'ai plus pensé à Lewis, et son bras complètement mort : je ne me suis pas inquiétée pour lui, pour la table à débarrasser, ou pour tout autre chose non. Au moment où mes yeux se sont posés sur cette lettre, sur ce mot, j'ai tout de suite penser à Lucas, mon petit garçon : il fallait que je le protège, il n'était plus en sécurité avec moi. Il n'était plus en sécurité dans cette maison, dans cette ville. Et le sentiment que je ressentais depuis quelques temps maintenant s'avérait vrai : il nous avait retrouvé, et je ne donnais pas cher de nos peaux s'il mettait la main sur nous. Il allait me tuer moi, et mon petit garçon : il allait tuer Lucas, et cette idée me fut tellement insupportable que ma respiration fut couper et le mot tomba à terre. Je devais partir, loin : partir définitivement, quitter le pays et ne jamais revenir. Je devais aller chercher Lucas, maintenant, et je devais partir. Le temps de réagir, la porte s'était ouverte, et mon corps a basculé en arrière : j'ai étouffé un cri de surprise, et quand j'ai croisé le regard de Lewis, je n'ai pu m'empêcher de penser à lui, à nous. Devais-je partir pour ne pas qu'il soit en danger, lui aussi ? Ou devais-je … Il m'avait redressé, mais je n'arrivais plus à penser, ni même à l'écouter. Mes yeux se noyait dans les larmes qui n'allaient pas tarder à couler : c'était trop. Pour tout avouer, ça me rappelait le passé. Le passé que j'avais essayé de fuir toute ma vie. Mais il était bien là, et il me rattrapait plus vite que prévus. J'ai laissé ma main tombée, et quand il m'a posé la question, je n'ai pas su quoi répondre : devais-je lui dire ? Non, il courrait un plus grand danger en le sachant. Il fallait que je rentre, que je vérifie si Lucas allait bien, qu'il ne l'avait pas prit. Son visage hanta mon esprit alors que je rentrais dans la maison : l'arme au bout de ses doigts, son regard, son sourire morbide … J'ai fermé les yeux et j'ai laissé les larmes coulées, explosant en sanglot au milieu de la pièce. Je sens la présence de Lewis près de moi, mais rien y fait : ni les caresses dans mon dos, ni son odeur, ni même ses paroles rassurantes. Je laisse les larmes coulées et ce, pendant de longues minutes. (…) Il s'est passé dix minutes depuis le début de mes pleurs, et maintenant, je n'ai plus assez de larmes pour continuer. Je chasse l'eau de mon visage, je m'écarte de Lewis, et je murmure. « Il... Je vais voir Lucas, je... Reviens. » Pourvus qu'il n'ait rien eu. Je cours presque dans les escaliers, et j'entre à la dérobée dans la chambre de mon petit garçon endormis. Je soupire de soulagement, je courbe le dos, et je me laisse aller contre le mur : il est en vie, et ça fait du bien de le voir aussi paisible. Je m'approche de lui, je l'embrasse sur le front, je reste quelques instants, et je finis par m'avancer vers une des peluches de mon petit homme : celle-ci contient une caméra que j'allume, et je vérifie la fenêtre pour qu'elle soit bien fermée. Une fois ça fait, j'entrouvre la porte, et je redescends pour retrouver Lewis. Je lève une main, et je secoue la tête. « Pas maintenant. » Mais je sais qu'il va insister, et je sais que je ne pourrais pas éternellement repoussée cette discussion. « Tu veux un coup de main pour la douche ? Enfin... Pour retirer ton tee-shirt du moins. » Je me met à rougir, et je ris, un peu gênée, et encore un peu sonnée de la découverte sur mon palier.
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| mot doux de Invité ► un Sam 6 Juin - 13:49 | | | Cette lettre que j’avais entre mes mains, était une preuve que Dahlia n’était pas autant en sécurité que je pouvais le pensé. Je ne sais rien sur la personne qui a ramener cette fameuse lettre et vu l’état de la jeune femme, je sais très bien qu’il était là. J’essaie de savoir de qui vient cette lettre en la questionnant mais, rien n’y fait. Dahlia est en larmes et je la console du mieux que je peux. Lorsqu’elle reprend le dessus sur les larmes, celle-ci me dit qu’elle va voir son fils. Je la laisse partir et m’assoie sur l’une des chaises. Je regarde une nouvelle fois cette fameuse lettre, je n’aime vraiment pas cela.. Faut que j’en parle avec Dean. Mais est ce que Dahlia vas me dire qui lui as envoyé cette lettre ? Dahlia voudra sans aucun doute me protéger mais, pas de cette personne, plutôt de moi-même. Elle sait très bien que j’ai toujours cet instinct de protection qui peut me faire commettre des choses vraiment moche. Je n’ai pas fais de la prison pour un rien, enfin peut être pas pour meurtre mais, elle se rappelle très bien lorsque je rentrais le soir avec du sang sur moi. C’est aussi ce qui a été la cause de notre rupture. Mais, avec Dean nous allons protéger Dahlia et Lucas. Je n’ai qu’un seul mot à dire et tout vas se mettre en place. Lorsqu’elle revient dans la pièce elle me fit un signe de main pour me dire pas maintenant. Je la regard sans rien dire, un air plus que sérieux sur mon visage. Je ne réponds pas aussitôt à ce qu’elle me dit, je repose mon regard sur cette fameuse lettre qu’elle a reçu. Et je termine par lui dire doucement : « Plus tard, la douche peut attendre. Assoie toi si te plait. » Je lui fais un signe pour qu’elle prenne place. Je ne pourrais pas supporter qu’une personne fasse du mal à Lucas ou même à Dahlia. C’est tout justement inconcevable. Peut être que cette personne trouve sa normale de menacer une femme, c’est bien pour lui. Mais, fera-t-il le malin devant moi ? « Tu vas me dire qui est cette personne Dahlia ! » Je la regarde et pose cette lettre devant elle. Je sors mon téléphone est le pose sur la table et je repose une nouvelle fois mon regard sur la jeune femme. « Écoute-moi bien Dahlia. Je te l’accord nous ne sommes pu ensemble depuis longtemps maintenant. Mais, cela ne veut pas dire que je compte te laissé affronter cela seule. Tu connais mon passé, tu sais tout de moi. Je peux comprendre que tu ne veuille pas que je m’occupe de cette histoire mais, la… » Je me coupe quelques secondes, regard ses mains posés sur la table. « Tu est toujours importante pour moi. Tu es la première femme que j’ai véritablement aimée et je ne supporterais pas l’idée de te savoir en danger. Donc dit moi qui a écrit cette fichue lettre. » |
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| mot doux de Invité ► un Sam 13 Juin - 18:59 | | | - J'étais complètement perdue : depuis l'intervention de cet homme qui fut autrefois petit ami, je ne savais même plus comment je m'appelais. Mais une chose était certaine : je me devais de protéger Lucas, et Lewis, quoi qu'il m'en coûte. Quand j'ai proposé de changer de sujet à mon premier amour, je n'ai pu m'empêcher d'y repenser, et de repenser à cette caméra : il fallait que je surveille mon petit homme. J'ai alors foncé vers le pc, les bras croisés, les jambes tremblantes, et alors que l'écran s'allumait j'ai mis le système de surveillance vidéo sur l'écran : quand le visage de mon petit garçon endormis apparut sur l'écran, je n'ai pu m'empêcher de lâcher une larme. Il ne devait pas savoir, il ne devrait pas être en danger : je devais le protéger, il était tout ce qu'il me restait. Derrière moi, la voix de Lewis trahit le silence, et je me retournais pour l'observer : il n'allait pas lâcher comme ça, et je le savais. A quoi est-ce que je m'attendais en changeant de sujet ? J'ai lâché l'écran des yeux, à contre cœur, et je suis allée m'asseoir autour de la table, face à lui, les mains sur la table, jouant avec mes doigts : mes yeux n'ont pas quittés ce manège incessant, et ce, même quand il a commencé à hausser le ton. Oh non, Lewis … J'ai passé une main dans mes cheveux, et j'ai relevé la tête pour que mes yeux se plongent dans les siens. Son regard fuyait le mien, et je savais qu'il allait m'avouer quelque chose : et quelques secondes plus tard, il était clair que mon cœur aurait explosé de joie s'il avait pu. Et moi avec : des milliards de fragments de moi, ensevelis dans la joie. Mais il y a juste des larmes qui ont perlées, un sourire naissant légèrement au coin de mes lèvres. J'ai levé une main vers son visage, et j'ai caressé sa joue jusqu'à croiser son regard, un sourire clairement affiché sur les lèvres. « Tu sais que je ne le peux pas. Que vas-tu risquer de faire si tu le sais ? Tu vas … Aller le tabasser, le tuer ? L'enterrer vivant ? Tu reviendras, les mains en sang, pour que ça se termine comme ça s'est terminé la dernière fois ? » A ce souvenir, mon ventre se tordit, et j'ai baissé les yeux alors que ma main tomba sur la table. « Je dois te protéger de toi-même. Comme je dois protéger mon fils. » J'ai fermé les yeux, et à la minute où les mots m'ont échappés, j'ai regretté. « C'est mon ancien compagnon. Je ne sais pas pourquoi je l'ai quitté comme ça : il n'y avait, ni amour, ni sentiment : que de la haine et de la violence. » J'ai levé une main en l'air pour l'interrompre avant qu'il ne parle. « Je sais, avec mon enfance, j'aurais dû savoir qu'une gifle n'était pas qu'une simple gifle : mais je ne sais pas. Je n'avais pu d'attache et ... » J'ai passé mes mains sur mon visage avant de me tourner vers l'écran de l'ordinateur. « Je ne savais pas si j'allais garder Lucas. Alors ... » J'ai posé une main sur mes lèvres avant de soupirer et de me laisser aller sur mon siège. « Tu es le seul que j'aime. Voilà la vérité : et à partir du moment où tu es parti, où je suis partie, il n'y a plus rien eu d'autre que le chagrin. Alors je l'ai laissé me détruire. » Jusqu'à découvrir que c'était toi le père. Toi, et personne d'autre. Jusqu'à m'en rendre compte. Je n'ai rien dis, j'ai inspiré et j'ai levé mes yeux vers lui. « Ce n'est pas aussi simple qu'un bonjour -ou plutôt qu'un au revoir. Il me traque, il me pourchasse, il me surveille : et maintenant qu'il sait où j'habite, je dois partir, loin. Pour qu'il ne fasse pas ce qu'il m'a fait à Lucas. » J'ai croisé mes bras sur ma poitrine, me rappelant sa violence. « Pour te protéger. Protéger l'amour que j'ai envers toi. Pour protéger ce qu'il me reste. »
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| mot doux de Invité ► un Lun 15 Juin - 9:38 | | | Dahlia doit impérativement me parler de cette personne qui lui a envoyé cette lettre. Je sais bien qu’elle n’a qu’une idée en tête, celle de me protéger mais, ce n’est pas moi qui ai besoin d’être protégé ! Mais c’est elle tout simplement. Rien qu’à la voir, je sais très bien qu’elle ne va pas bien et qu’elle se sent vraiment mal a cause de cette lettre. Dahlia pourra faire ce qu’elle veut pour essayer de me faire croire que ce n’est pas vrai mais, je la connais par cœur. Donc je ne lui laisse pas d’autre choix que de s’assoir à mes côtés et de m’expliquer de qui viennent cette fameuse lettre et le pourquoi de cette lettre. Donc je joue cartes sur table envers Dahlia mais sa réponse ne m’étonne pas géré. Je savais bien qu’elle désire me protéger de moi-même et elle veut aussi protéger son fils. Ce qui est parfaitement normal. « Tu ne pourras pas m’empêcher de te protéger Dahlia comme tu ne peux pas me protéger de moi-même. Je serais toujours le biker avec qui tu es sorti par le passé même si maintenant j’ai une vie paisible. » Nous avons toujours nos démons du passé en nous. J’ai quitté mon club a cause de certaines choses qui ont fait que je ne pouvais put continuer ainsi. Dahlia continue à me donner des explications, il s’agit de son ex-copain. Je ne parle pu, je préfére lui laisser la parole, j’apprends pas mal de chose au sujet de ce type et du couple qu’ils ont formé autrefois. Je dois dire que j’ai vraiment du mal à la comprendre, elle a eu une enfance malheureuse à cause d’un père violent et elle sait pourtant laisser faire avec ce type. Alors qu’elle disait que j’étais trop violent avec les autres personnes. Personnellement, je n’ai jamais levé la main sur elle. Bien au contraire, je l’ai toujours protégé du mieux que je le pouvais. Dahlia avait toujours été très importante pour moi et encore maintenant, les encore. Elle finit par m’avouer qu’elle m’aime encore et qu’après notre séparation, elle n’était pue la même.
Cela me touche vraiment, pourtant je ne sais pas vraiment bien où j’en suis avec elle. Certes Dahlia est encore très importante, je l’aime encore mais, je ne sais pas à quel point, si ce n’est qu’en tant qu’amie ou plus. Puis elle finit par m’avouer qu’il l’a traqué, pourchasse et tout. Elle me dit qu’elle compte partir pour sauver ce qui lui rester. À ce moment, je dois avouer que j’ai une réaction assez violente contre la table de Dahlia, je tape du poing dessus. La colère me prend vraiment mais, elle est aussi couverte par la culpabilité et la tristesse de ce qu’elle vient de me raconter. Je la regarde et lui parle d’un ton assez sec : « Il est hors de question que tu pars ! Tu restes ici ! Je te protégerais toi et ton fils. Je ne vais pas laisser ce type te gâcher la vie encore plus longtemps ! » Je me lève pour aller me prendre une cigarette j’en ai besoin. « Je ne te comprends pas Dahlia ! Nous avons mis un terme à notre relation car tu ne supportais la violence qu’il y avait dans ma vie et toi tu vas te mettre et tu restes avec un type qui est complètement dérangé ? Tu es vraiment sérieuse là . Et d’ailleurs c’est lui le père de Lucas. » Je n’arrive pas à sortir la clope de mon paquet, je finis par le jeter parterre. Je la regarde à nouveau et je finis par lui dire : « Tu méritais tellement mieux que tout cela Dahlia. En te laissant partir je pensais que tu trouverais un homme bien et sans histoire pour bâtir ta vie. Tu aurais pu avoir beaucoup d'enfants, te marier et être vraiment heureuse. J’aurais aimé te voir ainsi que mal à cause d’un pauvre type qui se sent fort en frappant une femme et on la terrorisant avec des menaces ! » Je finis par m’approcher d’elle passant ma seule main valide sur sa joue qui termine derrière sa nuque. « Je rêvais mieux que tout cela pour toi. La Dahlia que j’ai connue par le passé avait du caractère et ne s’était jamais laissé marcher sur les pieds. Du moins une fois que tu as été débarrasser de ton père. » Je la regarde toujours : « ce type, je le tuerais. »
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| mot doux de Invité ► un Lun 15 Juin - 11:08 | | | Un sursaut. Le bruit sourd du poing qui s'abat sur la table me fait peur: les souvenirs m'envahissent, et je suis incapable d'aller contre eux. Je me rappelle du soir où il était un peu trop alcoolisé pour comprendre ce que je disais: Nathan a frappé du poing et m'a envoyé la plus grosse gifle que je n'ai jamais reçu. Je suis tombée par terre, il m'a achevé à coup de pieds. Je me rappelle de ses excuses, après, puis moi essayant de protéger Lucas: j'avais décidé de le garder, à ce moment-là, et ce qu'il m'a fait après m'a un peu trop brisé pour que je ne réagisse. J'ai fermé les yeux, mes épaules se sont courbées, ma tête s'est baissée, et j'ai ravalé les larmes par fierté: j'avais bien trop pleuré ce soir pour continuer. J'ai soupiré, simplement, et j'ai détourné le visage alors que Lewis reprenait la parole: je le connaissais par cœur, et je savais qu'il ne comprendrait pas. Et BINGO. Il s'est levé, énervé, et moi j'ai laissé le silence s'installer entre nous: la colère m'envahissait face à l'injustice de ses paroles: j'avoue l'avoir détester pendant une seconde avant de me rappeler que je l'aimais beaucoup trop pour lui en vouloir. Me rappelant mes paroles passées, je fus heureuse de constater qu'il ne les avait pas relevé. Le silence est revenu entre nous, et j'ai fini par souffler, me rendant compte que j'étais à deux doigts d'exploser d'un manque d'oxygène. Quand j'ai senti sa main sur ma joue, j'ai tourné la tête vers lui, mon regard dans le sien: j'étais au bord des larmes, et ce qu'il continuait de dire ne changea rien à la situation. J'ai laissé sa main déviée dans ma nuque, comme autrefois, et je me suis surprise à vouloir plus: je n'ai rien dis, je suis restée là, indécise. J'ai repensé à nos souvenirs, à nos rires, nos sourires: j'ai repensé à nous, et un déchirement un peu plus douloureux que d'autres s'est produit dans ma poitrine. A sa dernière phrase, la colère est remontée et j'ai bondis sur mes pieds en repoussant sa main. « TU NE FERAS RIEN DU TOUT. » Un doigt levé vers lui, je l'ai légèrement poussé pour qu'il recule, la colère se lisant sur mon visage: il était carrément cinglé de vouloir le tuer, et encore plus de vouloir me protéger. Qu'il se protège lui-même déjà, et ce sera bien. « Tu ne comprends pas, et tu ne comprendras jamais pour la simple et bonne raison que la vérité ne te plaît pas. » J'ai levé les bras au ciel, la mâchoire serrée et j'ai fais volte face pour marcher en opposé de lui. « Tu crois quoi? Que je me suis mise avec lui pour le plaisir? Que de me faire violer tout les soirs c'était génial, que de me faire frapper tout les matins c'est super? Qu'après lui avoir annoncé qu'il n'était pas le père de Lucas, me faire tabasser et laisser pour morte sur le sol du salon c'était une partie de plaisir? » Oups. La haine remplie mon corps, et je n'ai pas relevé mes paroles: j'ai fais volte face en le fixant, mes yeux lançant des éclairs dans sa direction. « Et bien non, non ce n'était pas un grand jeu qui m'a bien plu, que j'ai arrêté quand j'ai voulus. Non, je dois t'annoncer que quand tu m'as forcé à te quitter, ou quand on s'est séparé, qu'importe, j'étais tellement dévastée que je voulais crever. Alors ouais, quoi de mieux que de se flinguer à coups de pieds, à coups de poing. Je me suis demandée pendant des mois pourquoi on avait fait ce choix parce que … » La vérité allait sortir de mes lèvres: j'allais lui cracher mon venin à la gueule comme un serpent. Parce que c'était trop: lui me dire tout ça? Non, ce n'était pas possible. Trop blessée, trop anéantis, j'ai continué. « Tu es juste le seul qui compte. Tu es juste le seul avec qui j'ai envie d'avoir une vie de famille, une belle maison. Qu'importe ton passé, qu'importe la violence au final. Parce que t'as toujours été le premier, dans tout, dans mon cœur, et dans tout le reste. » J'ai passé une main dans mes cheveux, et j'ai secoué la tête en la baissant. « Cette discussion ne sert à rien. Je partirai avec Lucas, loin. Point final. » J'ai levé une main alors qu'une petite voix interrompit le silence. « Maman, j'ai fait un cauchemar. » J'ai baissé la tête et j'ai vu Lucas se frotter les yeux en tendant les bras vers moi: je me suis avancée vers lui et je l'ai pris contre moi. Le portant, je n'ai pas regardé Lewis, et je suis remontée dans la chambre de mon fils: je l'ai posé dans son lit, je l'ai bordé, et j'ai caressé ses cheveux. « Tu te rappelles la chanson que tu dois chanter dans ta tête avant d'aller dormir? » Il hoche la tête, et je souris en embrassant son front. « Chantes-la. Tu sais que je veillerai toujours sur toi hein? » Il hoche de nouveau la tête, il ferme les yeux, serre sa peluche, et quelques minutes après s'endort. Je me relève, sors de la chambre, et soupire, le front contre sa porte. Enfin, je me décide à descendre, et je croise mes bras en contournant Lewis. « Il s'est rendormit. » Je l'ai contourné, et je me suis dirigée vers la cuisine où j'ai commencé à ouvrir le frigo: j'ai attrapé une canette de Coca-light, et j'ai commencé à la boire, appuyé sur le frigo.
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| mot doux de Invité ► un Mar 23 Juin - 9:03 | | | La colère avait prit le contrôle sur moi ! Non pas envers Dahlia, enfin si dans un sens car elle veut partir avec Lucas et me laissé derrière alors que je ferais tout pour la protégée. Mais là à l’heure actuelle, celle-ci veut me protégée et ca me rends fou ! A ce moment même, je n’ai qu’une seule envie, celle de tuer ce pauvre type qui n’as aucun scrupule à frapper une femme, la menacer elle et son fils. N’importe quel homme aurait des envies de meurtre. Mais, Dahlia connait mon passé de criminel à cause des Brothers. Je n’aurais peut-être pas dû dire à haute voix ce que je pense silencieusement. Mais, elle me connait, elle sait très bien que pour moi un homme n’as pas à violenté une femme. J’ai tué des personnes pour moins bien que cela donc bon. Après Dahlia n’est pas au courant de tout ce qui a bien pu ce passé. Enfin bref, Dahlia commence à s’énervé toute seule, me foutant en pleine figure tout ce qui a bien pu ce passer avec cet homme après notre séparation. IL l’as violée, tabasser et j’en passe.. Honnêtement, comment voulez vous que je n’ai pas des envies de meurtres après ce qu’elle est en train de me dire en ce moment même ? Mais, lorsqu’elle me parle de son état après notre rupture, je me sens mal vis-à-vis d’elle. A cette époque mon mode de vie n’avais surement rien n’as voir avec celle que j’ai à présent. Dahlia ne supporter pas la violence qui m’entouré mais, jamais je n’ai levé la main sur elle. Puis elle commence à me parler de ce que je représente pour elle, je ne suis pas sûre que ce soit encore d’actualité mais, ca me touche. Dahlia a toujours était très importe pour moi et elle l’est encore maintenant. Je ne sais pas où en sont mes sentiments envers elle mais, je ne supporterais pas de la voir partir du jour au lendemain à cause d’un type. Surtout que je peux très bien la protégée. Je regarde Dahlia sans rien dire, je ne sais pas quoi lui dire sans qu’elle ne m’engueule ou que je l’énerve encore plus. Mais lorsqu’elle m’annonce que ca ne changera rien et qu’elle est décidé à partir avec Lucas. Je la regarde dans les yeux et j’entends la voix de Lucas ce mettre entre nous deux. Je la laisse partir avec le petit et sans rien dire, je pars en direction de l’entrée pour enfiler mes chaussures. Il est surement préférable que je rentre chez moi pour ce soir. Surtout que vu dans l’état d’esprit que je suis actuellement je risque de dire des choses que je ne pense pas. Donc la mieux c’est que j’aille retrouver ma petite fille avec ma meilleure amie. Lorsque Dahlia revient dans la pièce celle-ci croise les bras et part directement dans la cuisine pour se prendre une cannette. Je la rejoins et je lui dis calmement : « Je rentre chez moi. Je pense que c’est préférable. » Je ne préfère rien rajouter sur tout ce qu’elle m’a dit. Je la regarde encore un petit moment et prends la direction de la porte de sa maison. J’ai besoin de mettre tout cela au plat. J’ai besoin de réfléchir et de trouver une solution. Avant de sortir, je dis : « Fait attention à toi et à Lucas surtout. A bientôt. » |
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