l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
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Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Ven 29 Mai - 0:41 | | | Kennedy & Lenaëlle It's where my demons hide Kennedy ne me donna pas le temps de mariner bien longtemps et de ce fait, réfléchir à ce que je pourrais lui dire par la suite. D’une certaine façon, ce n’était pas plus mal, puisque me connaissant, il était possible que j’aie recommencé à paniquer et me perdre dans mes propos, mais d’un autre côté, ce n’était pas l’idéal pour entretenir la discussion. En effet, lorsqu’il me demanda de préciser ce que je voulais dire, encore confuse, je ne sus lui répondre verbalement, me contentant de hocher la tête positivement quand il me demanda si c’était peur que j’avais, ne trouvant pas de terme plus approprié que celui-ci. Je n’allais quand même pas commencer à dire que j’étais en train de paniquer, que j’étais morte de trouille et qu’en plus, si mes pires cauchemars se réalisaient, je ne savais pas ce que je ferais. Peur était un terme suffisant pour le moment. Puis, je hochai la tête négativement quand il me demanda si c’était une peur due à un harceleur. Ça, par contre, ce n’était pas un mot que je jugeais juste pour décrire la situation. D’accord, Parker ne faisait réellement peur, mais il n’en était pas encore au point de guetter ma porte à chaque jour. Tant mieux d’ailleurs, parce que là, il était certain que je serais allée me planquer autre part, probablement hors de la ville tant je le craignais, tant je ne voulais pas le voir. J’avais cru qu’en venant à Pasadena, je n’aurais pas à le recroiser à nouveau, mais le hasard avait mal, très mal fait les choses dans mon cas, et il me fallait maintenant gérer cette situation et je ne savais pas comment, mais pas du tout. Plus encore, je ne savais même pas comment expliquer mon souci à Kennedy, de crainte qu’il ne sache quoi me dire, ou bien qu’il me rit au nez en me disant que ma crainte ne faisait pas de sens. Il serait parfaitement en droit de le faire après tout; il ne connaissait pas mon histoire, ou il pourrait l’interpréter de sorte à me donner tort, même si je ne le pensais pas méchant à ce point. Finalement, je soupirai au moment où il se proposa pour m’aider, faisant fi volontairement de sa première question pour seulement lui dire : « C’est gentil, mais je ne crois pas… », lui faisant un sourire triste en étant toujours aussi torturée de me montrer aussi peu bavarde, alors que c’était moi qui avait fait les premiers pas pour aborder le sujet. J’étais pathétique, vraiment. La tête baissée en raison de ma honte, serrai les poings pour tenter de me donner un peu de courage, tentant de me dire que cela ne changerait rien et que plus encore, cela pourrait peut-être me faire du bien. Reprenant le dessus sur mes craintes peut-être quelque peu exagérées, je répondis finalement à Kennedy : « Oui, c’est pour ça… » avant de marquer une pause pour finir de me donner du courage en disant : « En fait… C’est mon ex-mari… Ça fait six ans que je ne l’ai pas vu, et je ne voulais pas le revoir, sauf qu’il est ici… », n’arrivant pas à aller plus loin pour le moment, m’obligeant même à m’asseoir un instant, puisqu’après tout, c’était une des premières fois que je parlais de cette époque de ma vie, époque particulièrement troublant qui, malheureusement, me marquait toujours encore et aujourd’hui, encore plus que je ne l’aurais cru et surtout, à mon plus grand désespoir. |
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| mot doux de Invité ► un Ven 5 Juin - 11:19 | | | La question que me posait Lenaelle n'allait pas en me rassurant bien au contraire, au rythme où ça allait j'allais paniqué pour elle. Honnêtement si elle avait besoin de mon aide, je la lui donnerais sans hésité mais dans un premier temps sa nervosité me faisait pensé qu'elle était peut-être victime d'harcèlement. Une vague de soulagement me parcourut lorsqu'elle m'affirma que non, elle n'était pas harcelée. C'était au moins une note positive même si je ne pourrais retrouver toute mon assurance que lorsque je serais totalement rassurée. Mais alors... Qu'est ce qui pouvait bien autant l'apeuré ? J'attendais alors la suite des explications mais cela semblait faire ressortir tellement d'émotions en elle que j'en aurais presque frissonner. On aurait pu presque ressentir cette sorte de peine qui émanait d'elle. Quoi qu'il en soit, peut importe le problème, je me proposais de l'aider comme je me pouvais mais celle-ci déclina ma proposition alors que son sourire triste me serrait le coeur. C'est dur de se sentir impuissant dans ce genre de situation mais que pouvais je faire de plus? Je n'étais pas de sa famille ni l'un de ses meilleurs amis, j'étais juste un ami un peu trop curieux qui s'inquiète. Je lui demandais si c'était pour cela qu'elle semblait toujours sur ses gardes et elle confirmait mes dires. Ce silence en devenait presque gênant mais je me disais que cette peur devait être fondée sur quelque chose de terrible. Mais cette fois-ci elle parlait, apparemment c'était à cause de son ex mari qu'elle n'avait pas vu depuis six ans. Un ex-mari? Je me rendais bien compte que je savais peu de chose sur elle puisque je venais d'apprendre qu'elle avait été mariée. Je ne cachais pas mon étonnement mais je ne disais rien pour le moment la laissant reprendre ses esprits alors qu'elle s'asseyait. D'un autre côté, ce n'avait pas l'air d'être son sujet favori donc ce n'était pas étonnant qu'elle ne m'en ai jamais parlé. Qu'avait donc bien pu faire son mari pour qu'elle en ai aussi peur. " Ne te force pas à m'en parler mais..." Je me demandais comment elle prendrait le fait que je m'aventure sur un terrain qui ne me regardait sans doute pas. " Il t'a déjà... Fais... Du mal ?" Je me sentais mal à l'aise pour elle, notamment car elle semblait en avoir aussi peur que s'il s'agissait de sa phobie. " Et tu l'évite du coup..? Je l'observais toujours avec inquiétude. " Tu en as déjà parlé à quelqu'un?" |
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| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 15 Juin - 14:06 | | | Kennedy & Lenaëlle It's where my demons hide Ce fut avec difficulté que je déglutis au moment où Kennedy me demanda si mon ex-mari, en l’occurrence Parker, m’avait fait du mal. C’était la première fois depuis ce temps que je l’admettais à quelqu’un, quelqu’un qui n’était pas de mon passé et qui ne connaissait par Parker, ou du moins, que j’étais sur le point de l’avouer à quelqu’un, puisqu’en ce moment, j’étais incapable de dire quoi que ce soit. Les bras croisés sur ma poitrine, je resserrais mon emprise sur mes propres bras avec mes mains pour éviter de trembler, de perdre la face. Non pas parce que j’avais tellement d’orgueil que je ne voulais pas l’admettre, mais plutôt parce que j’avais l’impression, dans ma simili-paranoïa, que si jamais je disais la vérité à qui que ce soit, alors cette personne allait subir des représailles, quelque chose dans le genre, ou bien que c’était moi qui serait punie, que Parker allait débarquer chez moi et m’en coller une, comme il avait l’habitude de le faire chaque fois que je disais un mot de travers, que j’exprimais ma pensée, que je faisais quelque chose qui ne lui plaisait pas. Toutes les raisons étaient bonnes, à la fin, pour qu’il s’emporte et s’en prenne à moi, alors même si je ne voulais pas exagérer, il n’en demeurait pas moins que je croyais avoir un passé assez lourd pour justifier mes craintes. Par contre, il n’était pas là, j’étais avec Kennedy, et ce dernier attendait ma réponse qui, au final, ne fut qu’un timide hochement de tête positif, à peine perceptible. Ensuite, je baissai la tête, ne sachant que dire, que faire de plus. Ce fut à un tel point que je ne répondis pas à sa seconde question, même si je l’avais clairement entendue. Je la gardai en tête au moment où il formula la troisième, et après un petit soupir signifiant que je n’avais pas le choix, que je devais réellement me jeter à l’eau, je choisis de répondre aux deux en même temps, lui disant dans un premier temps : « Je ne pensais pas devoir faire ça un jour, en fait… » Bien que je savais que ma réponse était plutôt floue, je m’accordai une petite pause, avant de poursuivre et affirmer : « La dernière fois que je l’ai vu, c’était très loin d’ici. Je ne pensais pas le revoir, jamais, et surtout pas ici… Et quand je l’ai vu, j’ai paniqué… Donc au final, oui, je l’évite, je sais pas quoi faire d’autre. Je n’en ai jamais vraiment parlé à qui que ce soit. » Finalement, après avoir passé mes mains sur ma tête, dans mes cheveux pour les repousser, je conclus en lâchant : « En fait, je sais pas quoi faire, point barre… Je suis un peu perdue, beaucoup même… » |
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| mot doux de Invité ► un Jeu 16 Juil - 12:39 | | | Le sujet n'était plus du tout à la rigolade même si depuis mon arrivée il ne l'était pas. Mais je ne pouvais pas imposer à Lenaelle de sourire et de rire si elle n'était pas d'humeur. Mais c'était encore différent, elle avait l'air tellement inquiète comme-ci une épée de Damoclès pouvait s'abattre sur elle d'un instant à l'autre. J'avais appris que cette fameuse épée n'était autre que son ex mari dont j'apprenais l'existence au passage. Je réalisais que je ne savais que peu de chose sur la vie de mon amie. J'avais en plus appris que mes craintes étaient fondées et que cet homme lui avait déjà fait du mal. Honnêtement il n'y avait rien de tel pour me mettre hors de moi, sans doute car j'avais grandi auprès de bien des femmes c'est pourquoi je savais que je ne supporterai pas qu'on leur fasse du mal. En fait je détestais la simple idée qu'un homme frappe une femme. Le pire c'était de voir à quel point Lenaelle en avait peur, de me demander à quel point on peut détruire une personne pour la terrifier à ce point. Honnêtement je n'étais pas violent mais si j'avais ce mec en face de moi je lui collerais volontiers mon poing dans la figure. C'était surtout de voir cette femme que j'appréciais tant dans un tel état de frayeur qui me faisait mal, mal pour elle. Peut-être que de lui poser tant de question sur ce sujet qui lui semblait tant pénible n'aidait pas mais si clairement elle était en danger je voulais le savoir. Je comprenais que son ex mari était un lourd secret pour elle dont elle n'avait jamais parlé à personne. Mais bon sang les États-Unis sont si grands pourquoi donc venir ici à Pasadena. Il devait y avoir un peu de fait exprès je pense. Finalement la blonde m'annonça simplement être perdue et ne pas savoir quoi faire. Que ferais-je à sa place? Je n'en avais pas la moindre idée ... Vraiment pas du tout même... Je n'avais jamais vécu la moindre situation semblable mais je me disais qu'elle devait s'éloigner de lui au maximum mais sans s'empêcher de vivre. " La meilleure chose à faire serait de demander une mesure d'éloignement ou quelque chose comme ça... Ainsi il n'aurait plus le droit de t'approcher sous peine d'arrestation." Je ne savais pas quoi lui dire d'autre. Il ne devait pas y avoir trente six solutions à moins qu'elle engage un tueur à gages mais ce n'est pas très légale et je suppose que ça coute cher. Et puis ne lui donnons pas de mauvaise idée. " Si je peux faire quoi que ce soit n'hésite pas... Mais c'est quoi son nom ?" Ça ne m'avancerait à rien mais je voulais lui trouver une solution miracle mais là mon cerveau ne me permettrait pas de l'aider. Pourquoi ne prévenait elle pas ma soeur et Aiden? C'était évident dans un sens elle ne pouvait pas car peut-être craindraient ils que Nora soit en danger. " Je voudrais tant t'aider mais je ne sais pas quoi faire..." |
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| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Sam 25 Juil - 13:29 | | | Kennedy & Lenaëlle It's where my demons hide Kennedy me fit part d’une solution qui faisait quand même du sens, je ne pouvais pas le nier, mais qui, malheureusement, m’était déjà passée par l’esprit sans que j’y tienne vraiment compte. Telle une idiote, j’avais cru que le fait qu’il soit en prison soit suffisant pour les années à venir, et au final, j’avais fini par me dire qu’en changeant complètement de ville, j’allais m’éloigner de lui une bonne fois pour toutes, et que je pourrais reprendre une nouvelle vie dans laquelle je ne me tracasserais plus pour les erreurs que j’avais faites précédemment. Gênée de ma propre insouciance pour le coup, et surtout incapable d’expliquer la situation à Kennedy pour le moment : « Ouais… » Et puis, pour tout dire, je ne savais même pas si cela fonctionnerait dans le cas présent. Je me doutais bien qu’il fallait des raisons plus que valables pour demander une mesure d’éloignement, et lors de notre dernière rencontre, Parker n’avait jamais eu un geste agressif envers moi. Était-ce parce qu’il avait vraiment changé ou plutôt parce qu’il attendait le meilleur moment pour frapper ? Paranoïaque comme j’étais devenue ces derniers jours, je choisirais la seconde option sans hésiter, mais je ne voulais pas embêter Kennedy encore plus qu’en ce moment avec mes histoires, déjà que celui-ci était déjà suffisamment adorable pour me venir en aide aussi bien que possible. Le mieux à faire dans le cas présent, c’était de collaborer aussi bien que possible, à commencer par répondre à ses questions, bien que dans certains cas, je ne comprenais pas trop leur raison d’être, principalement celle dans laquelle il me demandait le nom de mon ex-mari. Dans une grimace qui signifiait à quel point le simple fait de prononcer son nom m’exécrait : « Parker… Fernandez. » Ensuite, je me mordillai la lèvre inférieure, sentant un court silence s’installer, silence que je ne sus pas briser, laissant ainsi la tâche à Kennedy au moment où il me dit qu’il ne savait pas quoi faire, même s’il était désireux de m’aider. J’eus alors un petit sourire discret, mais sincère, puis je dis, sans aucune hésitation : « Juste le fait que tu me laisses t’embêter avec mes histoire, c’est beaucoup, tu sais ? » Un nouveau silence, très court et volontaire cette fois-ci, s’installa pendant un bref instant, puis finalement, je dis à l’adresse de mon ami : « Je n’en ai jamais vraiment parlé à qui que ce soit auparavant… » Comme si c’était là un effort surhumain que je venais de faire en prononçant deux phrases sans hésitation ridicule et maladroite, et que maintenant, je devais prendre une pause parce que j’allais éclater, je baissai la tête, et là, je ne sus placer quoi d’autre. Cela me faisait tellement étrange de tout déballer cela, surtout que Kennedy n’avait pas demandé quoi que ce soit, ce qui me poussa alors à lui demander : « Tu n’es sûrement pas venu pour m’entendre parler de mes problèmes, hein ? » dans un rire nerveux, comme si je voulais dire cela à la blague, même si au fond, j’étais sérieuse. Je n’avais jamais vraiment aimé déranger les gens, et là, je faisais exactement le contraire de d’habitude. Si cela gênait Kennedy, c’était le maintenant pour celui-ci de le dire, et j’allais me taire, sans aucun problème, parce que perdre l’estime d’un ami à cause de cet homme qui m’avait tant souffrir, je ne pouvais pas me le permettre encore une fois, pas ici et pas maintenant. |
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| mot doux de Invité ► un Ven 30 Oct - 20:07 | | | Selon moi, dans le cas de Lenaelle, la meilleure chose à faire pour ne plus craindre de tomber sur son ex à n’importe quel moment, c’était de demander une mesure d’éloignement contre celui-ci. Ainsi il n’aurait plus la permission de l’approcher à moins de je ne sais combien de mètres sous peine de passer par la case prison. Au moins elle n’aura pas à se mettre dans des états pareil et à craindre le moindre bruit suspect, la moindre personne l’approchant et à avoir peur. Elle ne semblait cependant pas emballer par l’idée, il est vrai qu’elle venait d’avoir du mal à me l’avouer ici alors le faire devant la police et des inconnus, ça ne serait pas simple pour elle. Mais j’étais sûr qu’elle pourrait l’obtenir, mais je ne m’y connaissais pas particulièrement, le droit et la justice n’étaient pas du tout mes domaines de prédilection. Quoi qu’il en soit j’étais vraiment inquiet pour Lenaelle qui avait plus l’air de se morfondre sur elle-même qu’autre chose. Je lui disais d’ailleurs que si je pouvais faire quoi que ce soit pour elle, elle ne devait pas hésité tout en lui demandant son nom. Parker Fernandez, cela ne me disait rien et je ne devais pas le connaitre, mais je me débrouillais assez bien sur un ordinateur et mes compétences plus que nécessaire en informatique me serviraient facilement à en apprendre plus sur lui. J’étais assez curieux mais c’était surtout pour savoir face à quel genre de spécimen Lena’ devait faire face et surtout pour savoir si elle était véritablement en danger ou non. Un long silence s’installa alors que je réfléchissais à plusieurs chose pour aider mon amie, mais rien ne me venait, je n’étais ni avocat ni flic donc tout ce qui touchait la justice, on oubliait quant au fait de le rencontrer, c’était une mauvaise idée tant pour moi que pour Lenaelle, car je ne voulais pas forcément de problème même si je n’étais pas forcément impressionné mais je ne voulais surtout pas qu’il aille s’en prendre à mon amie apeurée un peu plus par ma faute. Je lui disais ne pas savoir quoi faire d’un air dépité car je voulais clairement l’aider mais j’étais impuissant. Je souriais lorsqu’elle me disait que rien que le fait de l’écouter l’aidait beaucoup. « Tu ne m’embête pas.. » Je fus touché comme elle m’avoua que j’étais le premier à être au courant même si ce n’était au fond pas bon qu’elle n’en parle à personne ? C’était tout de même touchant de savoir que je comptais suffisamment pour qu’elle me fasse confiance. « En réalité je suis venu pour te voir toi, donc pour entendre aussi parler de tes problème si tu en as » Nous n’allions sans doute pas parler de cela toute l’aprem, je me disais même qu’elle devait penser à autre chose c’est pourquoi je tentais peu à peu de changer de sujet pour elle, pour lui changer les idées et pour qu’elle ne se tracasse plus…
Fin |
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