Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie ◮ Melvin - Page 2
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Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie ◮ Melvin


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Alvin R. Prescott
Alvin R. Prescott
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❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi
❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody
❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !

anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 1:59
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Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie
Venant de perdre le nord complètement, je poussais un soupire alors que j’étais appuyé sur cette table. Je ne savais plus quoi penser ou même quoi faire. C’était mon instinct qui avait agit à ma place prenant possession de mes mots et mes gestes. J’étais sortis de cette idée noir en l’embrassant. Un choc, un vulgaire courant électrique qui m’avait fait ouvrir les yeux. Je devais être passer pour un fou devant elle en agissant ainsi. Mes émotions se chamboulaient en moi comme un torrent de sentiment. Des sentiments que je n’arrivais pas contrôler, comprendre, sentir... J’avais les deux jambes coulés dans du béton. J’aurais préféré que cela ne se passe jamais, je voulais oublier. Je n’avais plus de larme qui coulaient et pourtant je sentais encore une sensation étrange en moi. Elle déposait sa main sur mon épaule, mais je gardais mon regard posé sur la bouteille de whisky toujours ouverte. Je n’avais bu qu’un verre, enfin la moitié d’un verre qui était sur le point de déborder quand je l’avais remplis. Je l’écoutais ne trouvant pas une partielle de courage pour la regarder. Je me trouvais idiot d’avoir agit ainsi, pourquoi cette alliance avait eu cet effet sur moi ? Je l’ignorais, mais ça me chamboulait. Fermant les yeux, je me laissais abattre, abaissant mes épaules qui semblaient peser une tonne. Je tournais la tête pour la regarder, elle me parlait d’elle et en d’autre temps ça m’aurait fait plaisir, là, je ne savais pas quoi penser. « Katrina n’est pas la première personne que je perds ainsi, mais j’étais trop jeune pour me souvenir du meurtre de ma mère. » J’avais parler sans réfléchir, me mordant la lèvre avec l’aide de ma canine. Je remarquais finalement sa main, oui elle avait dit aie, oui elle m’avait parler pour me dire que ce n’était pas grave, hélas je n’avais pas porté plus attention que cela à elle. J’étais un pure idiot. Oui, un idiot. Je devrais commencer à penser à un synonyme, mais peu importe. Je prenais sa main, hésitant au premier abord, mais pilant sur mes émotions je glissais ma main sous la sienne avant de l’approcher de moi. Je regardais le verre déchirant sa peau. « Y faut soigner cela. » Gardant sa main dans la mienne, je la conduisais dans la salle de bain prenant soin de ne pas marcher sur le verre brisé. Deux blessés seraient stupides. Je la faisais s’asseoir sur la cuvette de la toilette dont j’avais abaissé le siège. Je la regardais. « Je suis désolé pour mon attitude, je n’aurais pas du agir ainsi. », disais-je en allant chercher la trousse de premier soin dans mon sac. Avec une ouate et de l’alcool, je désinfectais sa main. « Ça va faire mal. », précisais-je avant de déposer le tout sur ses coupures. Je fronçais les sourcils, concentré comme un gamin pour la soigner. J’allais même jusqu’à sortir ma langue. Puis, je prenais une pince pour en retirer les verres incrustés. Je n’avais pas de mal à tout nettoyer, c’était bénin comme plaie que j’avais déjà par le passé. « Demain, on a une grosse journée qui nous attend. Et il faudra partir tôt donc, après que j’aie mis ce pansement nous irons nous coucher. », je relevais mon regard vers elle, affichant un petit sourire discret. Déposant de l’onguent sur un pansement qui couvrait ses plaies entière, je le déposais sur sa peau. Mes doigts la caressaient tendrement, avant que je ne réalise mes gestes et me retire. Je me relevais. « Tu peux prendre une douche, je prendrai la mienne à mon réveil. » J’étais sale, après tout je sentais encore les mains de ces femmes sur mon corps, mais c’était inutile de le préciser. Seulement, j’étais épuisé et je n’avais pas le courage d’attendre après elle pour en prendre une. Je me dirigeais vers la pièce où se trouvait les lits. « Bonne nuit Melody. »
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 1:59
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Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie
Un jour, nous sautons à pieds joints dans le danger, l’autre jour dans la tristesse par exemple ? Le deuil était une chose que je connaissais mais le contrôlais-je ? Pas du tout. J’étais encore cette petite fille qui avait perdu sa maman et la pleurait par moment. J’étais encore cette petite fille triste ou cette jeune femme qui avait découvert le corps mort de son grand-frère. Je n’avais fait qu’avoir l’impression d’avancer et me rebeller contre le système depuis la mort de Cameron. Je n’étais pas totalement cette femme rebelle. J’avais cet instinct oui, je ne me laissais pas faire mais dans le fond, j’en voulais rapidement à la terre entière même si j’adorais la terre entière. J’en voulais à la police qui n’avait jamais coincée le meurtrier et s’en foutait presque. Dans ma tête depuis que j’avais trouvé ce portefeuille, je me disais que l’affaire avait même était étouffée. Peut-être avait-il été payé ? Je vivais sans cesse avec ce besoin de les avoir encore dans ma vie ou à me demander : maman sentait quel parfum ? Je cherchais toujours le moindre souvenir d’elle. Et alors que cet homme m’avait prise pour sa femme, j’étais paumée même si je tentais tant bien que mal de trouver les bons mots. Parfois, j’avais souvent vu Cameron de lui, l’impression qu’il était là à m’observer dans les marchés ou d’autres endroits ce qui reflétait mon envie de le voir. Arrivais-je à le comprendre ? Bien entendu. Je baissais les yeux en l’entendant. Nous n’étions pas si différents. Nous avions perdus tellement de gens. Étions-nous à plaindre ? Je savais que certaines vivaient pires. Je ne savais pas vraiment quoi dire. J’inspirais doucement. « Les victimes sont toujours celles qui ne le méritent pas ! », soufflais-je alors simplement en le regardant prendre attention sur ma main. Je me laissais faire telle une poupée de chiffon car il avait raison, il fallait soigner ma main. Il le fallait et ça, ce n’était pas à mettre de côté. J’haussais tout simplement les épaules quand il s’excusait. Je comprenais et je me demandais comment ne pas le pardonner d’avoir simplement perdu la tête. Je pouvais le comprendre et certaines personnes pourraient aussi mais là, nous n’étions que deux à avoir perdus. « Ca fait déjà mal… », disais-je en murmurant alors qu’il me prévenait que ça allait faire mal. Dans le fond, je m’en doutais. Je le laissais faire et grimaçant par moment mais retenant les petits mots de 3 lettres ou les ouilles. Je soufflais une fois qu’il avait terminé et l’écoutant alors qu’il relevait son regard vers moi, ses yeux. Non mais punaise. Comment pouvait-il avoir des yeux ainsi ? Tellement… shit, il était une tentation sur deux pattes mais il était inaccessible. J’hochais la tête, acquiesçant mais je me sentais étrange. Sa caresse et ses mots. Je ne savais pas quoi faire et penser. Devais-je être celle qui l’aidait à aller de l’avant ? Non, je ne pouvais pas faire ça. Alors qu’il allait vers la sortie et me disait bonne nuit, je me levais et laissant ma main glisser le long de son bras en allant chercher sa main et tentant de récupérer son attention et le tourner vers moi. « On est tous les deux là-dedans, je ne compte pas m’en aller.  », disais-je en haussant les épaules. J’inspirais doucement. « C’est con mais je tiens plus à toi qu’à ma vie, ma maison, mon laboratoire, mon père, ce crétin… pourtant on se connait depuis… 2 semaines ! On a plus à être des victimes... », rajoutais-je en inspirant et approchant doucement. « Ça peut sembler dingue… mais je suis fiancée à un crétin et pourtant je pense à un autre… en fait… », je m’approchais alors pour me mettre un peu sur la pointe des pieds en déposant un baiser sur ses lèvres. Pas comme si j’étais sa femme, pas comme si je me vengeais et pas comme si je tentais de nous cacher mais avec une certaine tendresse, une douceur lascive et les yeux grand ouvert. Je me reposais aussitôt sur mes pieds. J’ignorais si j’avais bien fais ou même si je ne devais pas me cacher par honte. Je me sentais mal en quelques sortes de faire ça mais punaise, je le voulais. Je voulais me sentir proche de lui, je voulais me sentir encore plus proche de lui. Et là, je restais stupidement devant lui comme un piquet. Je lui souriais doucement, ne lâchant pas sa main. « Bonne nuit, Alvin ! », disais-je en lâchant sa main au final et me tournant tout en retirant mon haut à nouveau.
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Alvin R. Prescott
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 2:01
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Lui tournant le dos, j’allais sortir de la pièce pour aller me coucher. J’étais épuisé, fatigué de tout cela, de tout ce qui nous entourait cette menace qui planait sur nous, mes sentiments qui dérapait de plus en plus... Je sentais alors sa main glisser dans la mienne, me retenant ainsi contre mon gré. J’arrêtais donc mes pas, me retournant vers elle. Je ne savais pas à quoi m’attendre, je croyais que le sujet était clos, mais il semblait que non. Je la regardais incertain alors qu’elle m’affirmait qu’elle ne partirait pas. Je me devais de la croire et pourtant à cet instant, je ne savais tellement pas quoi penser de toute cette soirée. La voir partir me rendrait-il plus heureux ? Non sûrement pas, bien au contraire. En étais-je conscient ? Encore moins. Je me rapprochais tout de même d’elle alors qu’elle disait tenir à moi plus qu’à son entourage. Je laissais mes instinct prendre le dessus, ma main se déposait naturellement sur sa taille alors qu’elle finissait de parler. Sans montrer de résistance, je la laissais m’embrasser. J’étais franc avec moi-même sans en prendre conscience tout du moins. Mes lèvres gouttaient les siennes sans retenu. Balayant mes idées noirs d’un simple baiser. Peut-être tout cela était dût au fait que ses paroles me touchait. Je devais faire un pas en avant, je le voulais pour oublier, vivre de nouveau. Et puis, si j’étais un moyennement franc avec moi-même cette fille me faisait tourner la tête. Notre baiser prit fin, mais je restais adossé sur le cadre de la porte. Son bonne nuit, me faisait battre des cils me ramenant dans cette chambre. Un haut en moins et je me surprenais à sourire bêtement. Deux semaines, voilà depuis combien de temps je la connaissais. Pourtant, j’avais ce sentiment que ça faisait plus longtemps. J’avais tant voulu la toucher ces derniers jours, caresser sa peau, sentir ses lèvres et non pas pour une quelconque excuse bidon. Elle venait de m’embrasser et ses paroles résonnaient en moi comme une mélodie agréable à entendre. Non, ceci n’est pas un mauvais jeu de mots ! C’est là devant moi qu’elle se tenait le dos dévêtu, je m’approchais d’elle glissant mes doigts sur son poignet. Emprisonnant celui-ci délicatement de mes doigts, je l’arrêtais dans ses mouvements. D’un geste fluide je dégageais son cou de ses cheveux les plaçant sur son épaule gauche. Je devais être fou, mes lèvres allèrent embrasser le creux de son cou remontant ma main sur son bras. Ma seconde main allait caresser son flan pour se diriger vers l’avant sur son ventre. J’avais tant voulu faire ces gestes depuis quelques jours et cette fois je me laissais complètement allé. Je répondais à mes envies, les laissant accomplir leur désir les plus primitif. Je ne savais peut-être pas quoi penser, mais l’homme que j’étais lui savait pertinemment quoi faire. Un plaisir charnel à assouvir ? Ma main sur son ventre prenait l’initiative d’aller se glisser dans son pantalon. Je caressais le tissus de sa culotte alors que sa jumelle s’était logé sous son cou. J’avais tout du démon qui cherche à pervertir une jeune vierge. Peu m’importait. Je laissais mes lèvres l’embrasser furtivement alors que d’autre baiser était plus coquin ou animal. Enlacé l’un contre l’autre, nos deux corps emboîtés je me laissais emporter par ces désirs cachés. Alors que j’allais aller plus loin, la réalité revenait à moi. Je retirais rapidement mes mains de sur elle, reculant de quelque pas. Entre elle et moi je devais être sans doute le plus frustré sexuellement dans cette situation, mais il valait peut-être mieux que tout ce finisse ainsi avant d’aller trop loin. Je ne pouvais pas faire cela. Malgré ses paroles, ce n’était pas plus correcte envers elle. Je ne voulais pas qu’elle se sente comme une remplaçante et je ne le voulais pas plus. Je préférais avoir la tête reposer et penser à tout cela une fois que Malibu serait terminé. Sans la regarder, je quittais la pièce et fermait la porte. Je me dirigeais vers le lit et gardant pour une fois mes vêtements, je me couchais dans le lit par dessus les couvertures. Je me laissais endormir en un instant, j’étais effectivement fatigué et j’avais besoin de dormir ne serais-ce que quelques heures avant notre départ.
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 2:02
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Avais-je envie qu’il ne cède alors que je m’étais apprêtée à ma douche ? Je n’en savais rien, en fait, je ne savais pas grand-chose. Dans mon esprit, c’était flou. Que voulais-je et pourquoi je me sentais si à l’aise avec lui ? Je n’en savais rien. C’était tout un océan de questions dans ma tête et pourtant je m’efforçais de les faire taire à tous les moments. Retournée et sans t-shirt, je n’avais pas idée d’avoir changée la conversation. Bon, j’étais positive en général mais bon, pas toujours. Etais-je surprise en sentant sa main ? Un peu. Je m’étais déjà attendue à ce qu’il sorte pour retrouver la chambre et peut-être aurait-il dû ? Une petite voix en moi me disait que oui et une autre que non. D’autres voix bien plus enfuie me disaient que j’aurais peut-être dû aller me doucher sans broncher mais pourtant je ne le regrettais pas vraiment. Arrêtée dans mes mouvements, je redevenais une poupée de chiffons entre ses mains. C’était pourtant bien plus plaisant que d’être soignée à la main. Oui, tellement. C’était comme des petits frissons, des petites électricités à ma peau à chaque caresse et à chaque baiser. Le petit ange et le petit démon qui devraient se disputer paradoxalement sur mes épaules le faisaient dans mon esprit. Un me disait de le laisser continuer et m’encourageait à me retourner pour capturer ses lèvres mais aussi de le laisser continuer pour n’être qu’une proie. C’est fou un peu mais je m’en fichais. Le petit ange me disait de retrouver les pieds sur terre pour éviter qu’il ne pense faire une erreur et éviter surtout de n’être qu’un numéro sur la liste des filles utilisées et peut-être qu’il en oubliait que j’étais déjà sur cette liste grâce à Edward… mon quoi ? Mon ex ? Mon fiancé ? Quelle importance. Ses baisers changeant au fil des secondes et devenant différents, je le laissais m’emporter dans des sensations que je m’étais refusé de désirer jusque-là. Le petit démon et le petit ange continuaient à se bagarrer mais je n’écoutais aucuns des deux. Et c’était peu dire alors que sa main n’était même plus sur les parcelles de peau sans tissus mais dessous. Oui, le petit démon avait raison de moi. Je l’écoutais tout en ignorant leur bagarre dans ma tête. Et… Bing. Bah il écoutait apparemment son petit ange. Sans dire un peu, il avait arrêté et je restais comme une quiche dans la salle de bain. Autant dire que j’étais un peu… comment ? Embarrassée ? Un peu honteuse aussi et déconcertée. Pauvre Melody tellement pitoyable. J’avais une forte image de moi en ce moment-même. Etais-je devenue folle ? Certainement. Complétement même. J’inspirais doucement en posant les mains sur les rebords de l’évier et utilisant même la douleur de ma blessure comme rappel sur terre. Un rappel à l’ordre. Je me redressais alors, finissant par me déshabiller pour profiter d’une bonne et longue douche. Oui, c’était tout mais j’étais un peu trop paumée. Beaucoup trop. Comment dire ? Je ne saurais même pas expliquer comment je me sentais. C’était étrange comme sensation. Oui, j’étais frustrée mais c’était bien différent. C’était une palette d’émotions et des idées que c’était peut-être mieux ainsi. J’avais sûrement dû devenir complétement folle. J’étais sortie au final de la douche, ayant enfilée un des pyjamas que j’avais rapportée de la maison. Un truc tout simple, bas et débardeur. Sans chichi et pas anti-romantisme tout en étant loin d’être sexy, juste un short en coton qui était bon d’accord mini mais chut. J’avais donc entrepris de ramasser les dégâts, la bague aussi que je mettais sur la table de nuit et diverses choses. Et bing, j’avais regardé le lit sans savoir si c’était une bonne idée de trouvée le sommeil. Je commençais à comprendre pourquoi j’avais dormi seule les nuits précédentes. J’attrapais alors un oreiller en allant m’allonger dans le fauteuil. Je tentais alors un peu en vain de trouver le sommeil avant d’abandonner assez tôt à 4 heures du matin. Je savais que nous devions rentrer les clés et quitter l’hôtel avant les 8 heures ou 9 heures. Et aussi passer laver le linge. Donc je me redressais, bien motivée à m’éloigner de lui pendant quelques heures car mon regard se hâtait à le contempler dormir et ça… j’étais un peu chamboulée. Le pire était que je ne lui en voulais pas même si j’avais une pointe de bouderie féminine mais je savais qu’il était perdu. Comment lui en vouloir ? En fait, je serais ignoble même. J’avais donc attrapée un gros sac et tout mis devant à la vitesse de l’éclair. J’étais aussitôt allée prendre un stylo et un papier pour lui laisser un mot. D’abord, je mettais des choses comme un smiley et non, je changeais d’avis et les mots utilisés me semblaient parfois étranges pourtant j’écrivais simplement que j’étais à la buanderie. Il n’y avait pas 50 façons de l’écrire mais pour moi, j’avais peur que ça soit trop… chaud ou trop froid… enfin c’était l’univers de la lanterne des 4 fantastiques dans mes doigts. Bon, je me décidais à aller droit au but avec un bonhomme smiley qui sourit. Ca donnait un petit ton sympathique. Non ? Je voulais m’en persuader. Je posais le mot sur une table avec le stylo contre pour éviter qu’il ne s’envole et j’avais fait les autres sacs rapidement pour les déposer dans un coin discret de la chambre afin qu’ils ne gênent pas. En fait, je voulais le laisser dormir. Au moins l’un de nous qui trouve le sommeil. Et j’étais donc partie sans bruits à la laverie pour faire les quelques machines que nous avions à faire. Une vraie femme de foyer ! Je suis bonne à marier.
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 2:05
melody & alvin

Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie
Aucune réflexion, aussitôt que j’avais poser ma tête sur mon oreiller, j’étais tombé dans les bras de Morphée. Six jours que je ne dormais pas, quelque micro sommeil, quelques secondes, minutes voir même par chance une demi heure. Ce n’était pourtant, pas assez je le savais, mais je ne trouvais pas le courage de dormir prêt d’elle. Je ne croyais pas en moi, sachant très bien que j’aurais pu avoir facilement les mains baladeuses. Je la laissais donc prendre sa douche, alors que je m’endormais. Mes songes n’avaient rien de particulier, des rêves banales sans but réel. Je ne pensais plus à ses moments de la soirée où j’avais été touché par des inconnues, cette alliance, le verre que j’avais brisé et ce moment dans la salle de bain. Non, je ne pensais plus à cela. Je ressentais toujours mes mains contre son corps, ça je ne pouvais pas le renier et pourtant, je faisais tout pour oublier ce moment. Je tentais de ne pas plus penser à Katrina, je voulais simplement une nuit simple dormant ainsi sur mes deux oreilles. Chose que je ne suis jamais arriver à faire, c’est impossible de dormir sur nos deux oreilles ? C’est ridicule ! Ce souhait ne fut néanmoins pas exaucé et je me réveillais près de deux heures plus tard dans ce lit miteux. Je me tournais sur le dos, regardant un instant le plafond, puis me retournais. J’étais étonné de ne pas la voir à mes côté, je me redressais donc rapidement. Un balayage de la pièce m’apprit qu’elle n’était pas dans la chambre. Je me levais du lit me prenant les pieds ensemble, m’étalant ainsi par terre. Je roulais les yeux devant tant de maladresse de ma part. Je n’allais pas rester étalé sur le sol, je me redressais donc sans plus attendre. Un bref tour de toute la chambre et je confirmais qu’elle ne se trouvait pas là. L’inquiétude me prenait à la gorge. Où ce trouvait-elle ? Puis mon regard se portait sur un bout de papier, je lisais celui-ci attentivement soupirant de soulagement. Oui, je l’étais. Avec toute cette histoire, je commençais à craindre qu’elle ne soit partie définitivement. Je ne le souhaitais pas, même si je ne trouvais pas les mots pour lui dire. En fait, en dormant j’avais réaliser des choses. Je ne pouvais pas mettre le doigts sur chacune d’elle, mais je comprenais mieux. Du bout des doigts, je caressais son écriture. J’avais été idiot et ça je le savais pertinemment. Me dirigeant vers la salle de bain, je prenais un douche vite faite, j’en profitais même pour raser ma barbe. Propre comme un sous neuf, je me vêtis de mes vêtements et je sortais les cheveux encore mouillé. La buanderie n’était qu’à quelque pas. Glissant la clé de la chambre dans ma poche de pantalon je me dirigeais vers cet endroit. En vue de l’heure, il ne devait pas y avoir grand monde. Était-ce même ouvert ? J’arrivais devant la vitrine, celle-ci était éclairé. La main sur la poignée de la porte, je regardais à l’intérieur et la voyant je laissais un sourire attendrissant se former sur mes lèvres. Elle semblait concentrée. J’ouvrais finalement, la porte après quelques instant passé à la regarder. « Tu aurais pu me réveiller, je t’aurais donner mes vêtements à laver. » Contrairement, à elle je n’avais que très peu de vêtement à me mettre sur le dos. Je n’étais pas passé chez moi depuis un bon moment et m’acheter des vêtements ne servaient à rien. De toute façon, je n’avais tout simplement pas le temps d’en acheter. J’avais donc mon t-shirt, mon blouson de cuir, une paire de jeans et mes vêtements de chauffeur. Sans oublier les vêtements que j’avais acheter pour jouer Ken. Je retirais donc mon t-shirt, ainsi que mon jeans que je lui tendais. Il n’y avait personne et puis après cette soirée mouvementée, elle en avait vu bien plus. « Tu n’arrivais pas à dormir ? »
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 2:06
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Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie
La vie n’est pas une mode, une chose que l’on veut avoir comme tout le monde. Un jour une moitié de population trouve que la mode est d’être gay, d’avoir des enfants, d’avoir un mari ou d’aimer les Bad boys. La mode de notre choix de vie diffère d’après les époques. Avant c’était d’être vierge après le mariage, maintenant il faut l’être avant sinon t’es has been. C’était marrant, vraiment. Les gens me faisaient rire. Je pensais à toutes ses choses. Mon mode de vie précédent. Etre fiancée, casé, avoir une vie rangée et me poser surtout une question existentielle. J’achète un chat, un chien ou un rongeur ? Etais-ce une de ses vies à la mode ? Je n’en savais rien mais je m’en fichais bien avant. Maintenant ? Perdue dans mes pensées dans une laverie, je me demandais : est-ce que je m’ennuyais dans mon ancienne vie ? Celle-ci me semblait tellement plus attrayante mais pourtant plus dangereuse. Il n’en était pas moins que mon labo me manquait depuis quelques jours mais aussi mes clients réguliers. Je devenais folle. Tellement. Seule à m’occuper du linge, j’avais l’impression que rien ne bougeait autour de moi et pourtant il était tôt et c’était le cas. Dans ma petite maison, j’avais déjà tous l’équipement nécessaire. Etre ici à faire mon linge me faisait un peu bizarre. J’étais stressée à l’idée que l’on rentre et que des hommes ou même des femmes ne me voient trier mes dessous par couleur. Étrange ? Un peu. Il en faut peut pour être dérangée. Par moment, je pensais à lui et puis aussi à l’autre même si mes pensées étaient bien différentes de l’un à l’autre. Cet homme sûrement encore endormi et l’autre aussi. En fait, il n’y avait que moi pour faire ma lessive dans la nuit. Forte heureusement, c’était ouvert 24 heures sur 24. Il y avait juste des risques qu’un sans-abri y dorme la nuit mais ça allait. J’étais assez dans ma bulle et sursautant discrètement quand il me parlait. Je n’avais même pas remarquée qu’il était là. J’inspirais doucement en fermant la porte du hublot et le regardant alors mais je ne m’attendais pas à ce qu’il se déshabille. Un peu déconcertée. Je ne savais pas quoi dire. J’ouvrais alors à nouveau le hublot. Et le dessous, il allait le retirer ? Cette idée me donnait les joues rouges mais je prenais ce qu’il me tendait pour les mettre dans la machine avant que je ne sois grillée comme au barbecue. J’entendais sa question et de dos, j’arquais un sourcil. Quelle question étrange, j’hésitais à me retourner vers lui ou même mais quoi répondre ? Je finissais par faire volte-face en me concentrant sur son visage. « Question existentielle ? », demandais-je en le regardant attentivement et retournant alors vers le panier à linge ou se trouvait essentiellement tout ce qui était blanc et qui était déjà passé à la machine. Je la prenais en allant vers le séchoir et haussant les épaules. « Tu as bien dormi ? Tu semblais bien dormir. », lui demandais-je alors non sans curiosité et tournant mon regard vers lui tandis que je mettais le linge dans le séchoir. Je refermais alors celui-ci une fois que le programme fut choisi, je retournais près des tables ou j’avais un bouquin posé. Je m’asseyais à même la table en attrapant mon bouquin à la page gardée et je me remettais… un peu en faisant comme si à ma lecture. En fait, j’étais bien trop crevée pour arriver à lire une phrase mais surtout à en comprendre le sens. J’avais conscience de ne pas être bavarde mais j’avais cette petite idée que je devais prendre mes distances.
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Alvin R. Prescott
Alvin R. Prescott
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❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 2:17
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Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie
Une fois entré dans la buanderie, j’avais tout retiré hésitant un instant à retirer mon boxer, mais soyons réaliste je n’allais pas aller plus loin. Elle prenait mes vêtements, sans pour autant me regarder comme si je la dérangeais. Avec ce qui s’était passé avant d’aller dormir, c’était tout à fait normal qu’elle ne porte pas un regard sur moi. Je ne faisais pas cela pour la chambouler, je désirais simplement des vêtements propres. C’était peu demandé en fait. Je la regardais un instant avant d’aller adossé mon dos contre le mur. « Je ne dormais pas mieux que d’autre fois, je ne dors jamais vraiment... », disais-je sans la regarder alors qu’elle s’installait sur la table avec son livre. Je répétais ce même tic, passant lentement ma main dans mes cheveux encore un peu humide. C’était un mouvement naturel que ma main avait tendance a répéter systématiquement sans que je me pose la moindre question. Un silence lourd, mais pourtant bien mérité, alors que je l’avais embrassé, touché et puis repoussé. Je ne savais plus quoi penser à ce moment précis, mais je l’ignorais toujours encore à cet instant. J’aurais pu tout faire pour garder le sourire et pourtant voilà, je en savais pas quoi penser ni même quoi dire. Si je n’étais pas aussi perturbé par tout ce qui se tramait dans ma tête, je lui aurais prit son fichu bouquin des mains et j’aurais très certainement capturé ses lèvres. Pourtant, je ne faisais rien restant silencieux alors que la rotation dans le séchoir se faisait entendre dans un bruit sourd et mécanique. Seulement, il fallait bien ce parler, après tout nous allions aller à Malibu ensemble. J’aurais pu la ramener chez elle, mais je savais qu’elle n’y serait plus en sécurité. Appeler Robin pour lui demander un service. Très certainement pas ! Non, je ne pouvais pas lui demander cette aide. L’envie de glisser mes mains dans mon pantalon fut vite oublié, car me glisser les mains dans mon boxer n’a rien de bien séduisant et surtout ça faisait pervers. Je poussais donc un soupire, m’approchant d’elle, allant même jusqu’à lui voler son bouquin en prenant soin de glisser mon doigt entre ses pages. « Tu ne vas tout de même pas lire ainsi devant moi ? C’est impoli. », que je disais en prenant place à ses côtés. « Tu ne vas pas m’éviter à cause de ce qui s’est passé dans la salle de bain. Je sais j’ai dépasser les bornes, mais je ne veux pas non plus créer de faux espoirs, alors que je ne sais même pas où j’en suis moi-même. », je la regardais avec un petit sourire en coin, quelque chose de taquin. J’entendais alors une vibration près d’elle et sans gêne je prenais son portable. Oui j’étais curieux, mais aussi méfiant. Je regardais l’écran tout en fronçant mes sourcils. Un mec. Je ne lisais que quelque mots, rien de bien important puisqu’il semblait déjà assez paniquer. Inutile de savoir qu’elle avait dut parler de tout ceci. J’en soupirais de lassitude, avant de lui rendre son téléphone. « Tu ne devrais pas en parler à tout va. Tu dois te méfier de tout le monde, je sais ce n’est pas facile. Seulement, c’est avant tout pour te protéger que je te dis cela. » Je replaçais une mèche de ses longs cheveux blonds derrière son oreille, essayant de croiser ainsi son regard. « Tu sembles fatigué, tu devrais essayer de dormir, je me charge du reste. » Mon sourire s’étirait essayant d’être charmant et amicale. Je devais être distant entre elle et moi, mais ce n’était pas si facile que cela. Je ne pouvais pas faire autrement, c’était moi et je n’y pouvais tout simplement rien.
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Dormir ou ne pas dormir, telle est la question. Pourquoi les grands écrivains n’avaient jamais plus parlés du fait de dormir comme Shakespeare aurait pu le faire ainsi ? Lui dormait mal ou pas et moi ? Je n’en étais pas loin non plus. Cette situation était comment dire ? Totalement dingue. C’était dingue. Ma vie était dingue. J’étais assez perdue dans ma tête car même si j’avais ma tête proposée à prix. J’imaginais déjà Edward dansé dans un champ avec ma tête au bout d’un piquet. Charmant l’image ? Je vous jure, elle serait tellement adorable cette vue bien maline et bien rêveuse. Ce n’était que dans Kirikou que l’on pouvait vivre ce genre de scène. Bien sûr, nous n’étions pas des sauvages mais ma vie était un vrai champ d’indiens. Je devais me trouver une maman feuillage et c’était un ami ma maman feuillage. Je lui avais envoyé des sms avant l’arrivée d’Alvin. Bien sûr, j’avais juste eue besoin de me confier. J’inspirais doucement, perdue dans ma lecture. Je ne savais pas quoi faire ou quoi dire. J’étais perdue en fait. Totalement perdue. Quand il me prenait mon livre, je relevais tout simplement le regard vers lui. Que me voulait-il ? Je n’en savais rien.  C’était ça oui, je l’ignorais tout simplement. Je l’écoutais alors parler et même s’assoir à côté mais que dire ? Que faire. Je l’écoutais toujours sans même broncher. Je le regardais oui, je voyais même son sourire. Pourquoi parlait-il de ma honte ? Ma honte, oui. J’avais la sensation d’avoir honte. J’étais la seule à m’être totalement laissée prête à lui. Je me sentais tellement… Il me piquait mon portable à la vibration et j’avais peur qu’il ne lise les messages puis surtout le premier. Celui ou je disais que je m’étais désintéressée du reste pour juste me demander pourquoi Alvin ne voulait pas de moi. Bon peut-être pas de cette façon car je savais que c’était faux mais… je savais aussi le pourquoi. J’étais juste perdue, paniquée et j’avais paniquée aussi Tobias. « Je n’en parle pas à tout ça ! », disais-je en reprenant mon téléphone et le laissant chipoter dans mes cheveux, tentant de rester distant et faire comme si j’étais indifférente mais ce n’était pas le cas. Nous ne pouvons pas mentir à la réalité. Un regard du coin de l’œil à son sourire et bing… je sentais ces sensations étranges dans ma cage-thoracique. C’était bizarre, nouveau et… enfin voilà. Je me sentais par contre un peu faiblarde, l’insuline n’aidait pas réellement. Je lui souriais doucement. « Arrêtes de me paterner… », disais-je d’un ton moqueur en tournant le regard vers lui. « Personne sauf nous deux ne connaissent l’existence de Tobias dans ma vie ! », disais-je en haussant les épaules. « Pour toi, c’est loin d’être nouveau ces dangers mais moi, c’est nouveau… et je suis perdue. J’ai besoin d’un contact avec ce monde qui est normal… même si tu me donnes envie d’être dans le tiens ! », disais-je en le regard dans les yeux. « J’ai besoin de garder pieds avec ma vie… tu me protèges bien assez et même de toi ! », disais-je en haussant les épaules. « Tu n’as pas dépassé les bornes, c’est juste que… non rien ! », je riais nerveusement en dépliant mes jambes et me glissant vers mon sac pour attrapant mon stylo d’insuline et mettant une recherche avant de prendre mon bras et piquer à même une veine. C’était plus facile sur ma cuisse mais bon ? En pantalon. C’était difficile tout de même. Je grimaçais doucement en soupirant doucement en attrapant mon livre pour le ranger dans mon sac ainsi qu’y mettant un peu d’ordre avant de me glisser pour quitter cette table et retrouver mes pieds. Je relevais le regard vers lui, le regardant attentivement et hésitante. Je déposais mon sac en me mettant à face de lui, posant mes mains sur ses épaules et ne laissant cris égards, je l’embrassais alors rapidement, un baiser furtif de ceux qui sont juste une envie soudaine… avant de reculer. « Si je ne t’évite pas, je pourrais recommencer ! », disais-je alors en reculant tout en attrapant un linge propre et sec dans la corbeille à côté pour lui balancer sur la tête d’une façon plus douce qu’on pourrait le penser. J’haussais les épaules et allant vers la machine alors qu’il restait encore du temps mais c’était surtout pour l’éviter. Oui, voilà. L’éviter dans une pièce ou nous sommes seuls sauf peut-être avec des mouches et des moustiques et même des fourmis… vu l’état, peut-être des souris mais bon.
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Alvin R. Prescott
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Il existait tant de question sans forcément de réponse, ce n’était pas facile et pourtant je désirais savoir. J’allais me prendre la tête pour une chose de plus encore une fois. Assis sur la table, je la regardais, oui je me faisais du soucis pour elle. Je ne pouvais éviter les soucis, c’était naturel et puis c’est dernier jour me laissait voir que je ne pouvais pas faire autrement. Si je la laissais seule, elle ne pourrait pas tenir plus de vingt-quatre heure voir tout au plus quarante-huit. Elle pourrait se jeter dans la gueule du loup en un claquement de doigts. Et puis si je devais la savoir ailleurs, je savais que j’allais me faire du soucis, qu’elle hanterait mes pensées et au final on serait tout les deux dans le pétrin. Je la regardais d’un air faussement outré lorsqu’elle me disait que je la paternais. C’était pas tout à fait faux, mais je n’allais pas lui donner raison. Je pouvais la comprendre, mais si je ne faisais pas cela qui sait ce qui pouvait nous arriver et on pouvait dire qu’il nous en était déjà arrivé beaucoup. « Tu crois que ça ne me ferais pas plaisir que tu puisse vivre ta vie comme avant. », disais-je en la regardant faire sa piqûre. « Avoir sut que tout cela aurait été si loin, je me dis que j’aurais mieux fait de réfléchir à plus d’une fois avant de vouloir te mêler à tout cela. » C’était rendu un discours normal que je lui disais, répétant en boucle la même chose. Mais, oui je commençais à le regretter, surtout parce que je commençais à sentir des sentiments pour elle, même si je laissais rien paraître ni me convaincre. Elle descendait de la table et même si j’avais essayer de faire comme si je n’avais pas comprit tout les allusions qu’elle faisait pour nous deux. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle me vole un autre baiser. Je n’avais pas bougé et pourtant je la suivais du regard. Sautant en bas de la table, je me dirigeais vers elle. Pendant un instant, l’envie de la serrer contre moi. Je restais donc derrière elle, hésitant une fois de plus. Avais-je les couilles pour aller plus loin ? Accepter ce que mon coeur et mon ventre ne disait ? Je ne savais pas et puis on était peut-être filmé ! La vue n’était pas horrible, assume depuis toujours mon corps. Je finissais par passer ma main prêt d’elle allant chercher un de ses t-shirt que j’entreprenais de plier. « Et tu compte m’éviter pendant longtemps ? Parce que notre séjour à Malibu risque de paraître terriblement long. » Je déposais le t-shirt pilé sur la table devant elle. « Et puis, désolé d’être qui je suis... Enfin... Je veux dire... Oubli... », je tournais de l’oeil, alors que le séchoir s’arrêtait. Je me dirigeais vers lui, prenant un panier au passage que je glissais sous la porte et l’ouvrant je vidais le tout dans le panier. « Aussitôt qu’on aura fini on pourra partir pour Malibu si tu le désirs. » Je trouvais mon débardeur et je l’enfilais aussitôt. Je devais seulement attendre que mon jeans arrête son cycle de de lavage et hop dans le séchoir, ce qui nous laissais une bonne dizaine de minutes encore.
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Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie
Ou allais-je ? Comment pouvais-je laisser mes émotions changer aussi rapidement. Je n’étais pas spécialement une femme qui a une vie compliquée en tant normale. J’étais juste fiancée, je vivais seule loin de la mondanité dont mon père avait l’habitude. J’allais au supermarché, je faisais mon ménage… je pensais m’acheter un chaton ou un petit chiot. Tout ce qu’il y a de plus normal mais tout avait changé et je sentais quand il parlait qu’il s’en voulait. Etais-ce de sa faute ? Pas totalement. Dans le fond, les mensonges étaient là et ils planaient. Je ne lui en voulais pas vraiment. Je relevais le regard vers lui à ce moment précis quand il disait qu’il n’aurait pas dû mais aucuns mots ne sortirent. J’inspirais doucement avant… de oui descendre et même déposer mes lèvres sur les siennes et je fuyais comme une abrutie en laissant mon regard perdu vers les machines. Je pouvais l’entendre descendre et se rapprocher. Une partie de moi se disait : mais punaise, agies… fais un truc mais non. Il n’en fit rien. Je l’écoutais simplement parler. Tout simplement. Je ne pouvais pas lui en vouloir d’avoir du mal. Je ne lui en voulais pas du tout. J’inspirais doucement à ses mots et l’écoutant attentivement. Mais que pouvait-il y faire d’être qui il était ? Punaise, c’était fou mais même là, je n’arrivais même pas à me dire qu’il fallait que je m’éloigne. J’avais cette envie d’aller vers lui et lui faire comprendre qu’une grosse partie de moi s’éloignait pour lui, pour son deuil… mais aussi pour éviter à moi-même de souffrir. Je ne voulais pas souffrir. Je ne voulais pas trop m’en rapprocher. Je souriais doucement en me retournant vers lui. « Non, je ne vais pas t’éviter tout le long… », soufflais-je alors en haussant les épaules doucement. « Je suis juste un peu épuisée, ça ira mieux ! », annonçais-je alors que j’hochais la tête pour partir à Malibu plus tôt. « On a juste besoin d’une voiture. », disais-je tout de même. Oui, c’était ce que je disais alors que nous continuions à patienter près des machines dans cette laverie ou j’avais l’impression que le temps s’était arrêté mais je me sentais trop fatiguée, trop… ailleurs sur une autre planète. Je terminais le linge en le pliant avec lui mais mes pensées naviguaient. Comment j’allais faire ? Allais-je simplement ignorée mes désirs ou allais-je en jouer pour le titiller ? Un débat dans ma tête, un vrai débat et je n’arrivais pas à le faire taire.
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et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !


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mot doux de Contenu sponsorisé ► un
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Oui Ken n'a pas qu'une bosse en plastique dans son faux caleçon au grand plaisir de Barbie ◮ Melvin


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