MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you
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MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you


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Bennett K. Morrigan
Bennett K. Morrigan
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
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❝ Métier : Ancien militaire, maintenant à la recherche d'un emploi.
❝ cupidon : Qui ?
❝ post-it : Né à Inglewood, il est venu s'installer à Pasadena à 15 ans quand son oncle et sa tante l'ont pris sous leur aile. - A rejoint l'armée dès qu'il a terminé le lycée. - En mars 2016, il fut coincé dans une explosion, ce qui lui a coûté son métier et la moitié de sa jambe droite. - En convalescence, il tente de se reconstruire une vie sans savoir que faire, où aller, parce que tout ce qui lui a donné une vie, c'est l'armée.
❝ Age : 33
❝ pseudo : Mayiie
❝ crédits : (c) Shiya & Tumblr
❝ avatar : Julian Morris.
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Roses
❝ disponibilité : Disponible pour peut-être un RP ♥
❝ autres comptes : Lenaëlle G. Martins (feat. Julianne Hough)
Kylian J. Hemsworth (feat. Jamie Dornan)
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mot doux de Bennett K. Morrigan un Lun 23 Mai - 16:27
Bennett K. Morrigan
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   featuring julian morris, je suis un inventé
Prénom ► Bennett Knight. Je n'ai jamais cherché à savoir où mes parents avaient péché ce prénom. En fait, je crois qu'eux-mêmes ne le savent pas, parce que si j'ai bien compris le peu qu'on m'a dit, ils ne savaient même pas s'ils attendaient un garçon ou une fille lorsque j'étais dans le ventre de ma mère. si ça se trouve, ils ont choisi ces prénoms en s'inspirant de l'instant présent. Age ► Trente-trois ans. Date de naissance ► 18.08.1982. lieu de naissance ► Inglewood, Californie, USA. métier ► Il y a quelques mois de cela, j'aurais dit fièrement que j'étais militaire et que l'armée était toute ma vie. J'avais été promu premier lieutenant de mon régiment, je ne vivais que pour mon métier. Mais tout a changé au mois de mars dernier. Maintenant, je suis au chômage, je vais bientôt terminer ma rémission et il me faudra me trouver un autre emploi. Lequel ? Je n'en ai aucune idée. Outre l'académie militaire, je n'ai aucune qualification. origines ► Américain. love ► Je ne crois pas mentir si je dis que je suis un célibataire endurci. Je sais que je ne suis pas si vieux que cela, mais je veux dire par là que je n'ai jamais eu de relation sérieuse. Il faut dire que mes nombreux voyages ne m'ont pas vraiment aidé à établir une relation stable, à longue distance ou pas. hobby ► Jusqu'à maintenant, je n'ai jamais eu le temps d'avoir des hobby à proprement parler. Mais maintenant que je peux m'y mettre, je dois admettre que je ne déteste pas les jeux vidéos, fort probablement parce que c'était la seule chose que je pouvais faire pendant les premières semaines suivant ma sortie de l'hôpital, et même encore aujourd'hui, il m'arrive de jouer de temps à autre. Peut-être aussi que c'est la seule chose qui me permet d'avoir un lien avec ma vie précédente, quand je joue à des jeux de guerre, évidemment... Sinon, je n'ai jamais détesté le football américain. Il m'arrivait de jouer avec mes amis, puis mes collègues pendant mes temps libres, même si évidemment, je n'ai jamais eu un grand talent. Maintenant, je me contente de simplement le regarder. Sinon, je commence à me découvrir un certain intérêt pour la cuisine. Je me suis toujours débrouillé, mais avec du temps devant moi, je peux expérimenter un peu plus, et cela ne me déplait pas. vos enfants ► Je n'en ai pas dont je connais l'existence. Après, le cliché de l'enfant conçu pendant une soirée quelconque avec une femme que je n'ai jamais revue après pourrait bien arriver, mais il me semble avoir pris toutes mes précautions, et je n'en ai eu jamais vent, donc je ne vois pas comment cela pourrait arriver. le plus beau souvenir ► Le jour où j'ai gradué de l'académie militaire. Peut-être que pour certains, ce n'est pas grand-chose, un passage banal dans une vie, quelque chose qui leur était dû, mais c'était pour moi le moment où j'ai compris que je pouvais faire quelque chose de ma vie. De plus, j'avais l'impression d'y avoir trouvé une nouvelle famille, sans parler du fait que mon oncle et ma tante étaient présent ce fameux jour pour célébrer avec moi. J'ai senti que c'était le début d'une nouvelle vie, une nouvelle vie qui allait très certainement me plaire, malgré tous les dangers qu'elle pouvait comporter. le souvenir que vous voulez effacer ► Le plus logique serait que je dise que c'est le jour de l'explosion dans laquelle j'ai été gravement blessé, mais puisque je ne m'en souviens pas, c'est un peu difficile de dire que c'est un mauvais souvenir. Ce que je préférerais effacer, c'est le jour où je me suis finalement réveillé dans cet hôpital militaire, en Allemagne, au début du mois de mars, et que je me suis rendu compte qu'il me manquait un membre. Puis, vint encore plus douloureux quand le médecin m'expliqua qu'il faudrait que j'apprenne de nouveau à marcher, puis finalement que je ne pourrais plus jamais envisager une quelconque carrière militaire, même en arrière-plan. Alors que je n'ai pas l'habitude de me montrer sensible, je me suis surpris à verser quelques larmes quand on m'a fait cette annonce. Je n'ai pas su faire autrement, pour être honnête. Je me retrouvais dans une situation où j'étais perdu, amoché, et que je ne savais plus qui j'étais, comment me définir. Et ce mauvais souvenir, il me suit encore, parce que je ne sais toujours pas encore comment me définir aujourd'hui, maintenant que je n'ai plus mon uniforme pour le faire. qualités ► Professionnel, dévoué, simple, humble, fiable, gentil, serviable, altruiste. défauts ►  Colérique, solitaire, impulsif (même si je me contrôle mieux depuis que j'ai rejoint l'armée), rancunier, sentimentalement dépendant (je ne sais pas ce que je suis si jamais les autres ne me définissent pas, ou bien que je n'ai rien pour me définir), orgueilleux. autres petites choses ► Depuis mars 2016, je suis partiellement amputé au niveau de la jambe droite. La coupure est en-dessous du genou. Je porte une prothèse qui fait en sorte que ça ne se voit pas, sauf peut-être par ma démarche ou bien quand je porte un short, ce que je n'arrive pas encore à faire, temps chaud ou pas. - En toute subtilité, je porte encore mon dog tag. Je n'arrive tout simplement pas à m'en séparer, comme si une partie de moi était encore dans l'armée. En fait, je suis persuadé que ce sera toujours ainsi. groupe ► White Barrier.
Est-ce que je suis proche de ma famille ? Ça dépend de quelle famille on parle. Si on parle de la famille proche, à savoir mes parents, alors la réponse est non et ce, sans aucune hésitation. En réalité, je ne les considère même pas comme ma famille depuis un moment maintenant. Par contre, je crois que je suis plutôt proche de mon oncle et ma tante, que je considère comme ma véritable famille. Finalement, je pense avoir une famille au sein de l’armée, vu tout ce temps que j’ai passé avec mes frères d’armes, même si pour le coup, je ne sais pas vraiment ce que ça va donner maintenant. Est-ce que je veux fonder une famille ? Pour être franc, je n’y ai jamais vraiment pensé. J’ai toujours été confortable en solitaire, alors me marier, avoir des enfants, ce genre de chose, n’a jamais vraiment fait partie de mes plans. Je ne ferme pas totalement la porte à cette éventualité, mais disons que je n’y suis pas nécessairement prêt maintenant. Déjà, il faudrait que je trouve quelqu’un avec qui fonder une famille, quelqu’un qui saura m’accepter comme je suis d’abord et avant tout.
Une fois, alors que j’attendais pour un autre rendez-vous et que je m’ennuyais grandement, au point que j’étais limite en train de m’endormir, j’ai entendu une blague à la radio. Je ne sais pas pourquoi j’ai décidé d’y prêter attention, peut-être que je ne le saurai même jamais, mais je sais que ce qui a été dit m’a fait rire et a soudainement éclairé un peu ma journée. C’est ridicule, j’en ai conscience, mais disons que compte tenu que je suis maussade la plupart du temps, ça a fait du bien d’être ne serait-ce qu’un peu amusé. Et cette blague, elle avait été faite par Sexy McNews. Après, je n’ai pas eu l’occasion d’entendre à nouveau, donc je ne peux pas dire que j’adore ou quoi que ce soit du genre, mais bon, c’est au moins un bon souvenir et donc rien de bien négatif.
Puisque je suis revenu en ville que tout récemment et que je passais que trop peu de temps chez moi avant cela, je n’ai jamais vraiment eu vent des dernières tendances à la radio. Par conséquent, le nom « Dear Mom » ne me dit pas grand-chose. Je ne peux pas dire rien du tout, parce qu’il m’est arrivé à quelques reprises de l’entendre à la radio dans une salle d’attente quelconque, bien souvent à l’hôpital, mais autrement, je n’y ai jamais vraiment prêté attention et je ne crois pas que je vais le faire. Parce que je n’écoute pas la radio chez moi, et ce n’est clairement pas au volant de ma voiture inexistante et impossible à conduire de toute façon que je vais le faire.
Ce que j'aime
Les États-Unis ► Quand j’ai rejoint les rangs militaires, je le faisais parce que je voulais me trouver une appartenance quelconque et parce qu’on m’avait dit que c’était là que je serais le mieux, compte tenu de mes capacités et de mes ambitions qui, je dois l’avouer, n’étaient pas très brillantes, voire même peu existantes. Mais progressivement, j’ai commencé à développer ce sentiment patriotique que j’ai partagé pendant longtemps avec mes frères d’armes. Enfin, je ne dis pas que je suis totalement patriotique et de façon complètement cinglée, mais disons que j’aime bien mon pays, et je ne me verrais pas vivre ailleurs.
Call of Duty ►Au cours des dernières semaines, j’ai appris à développer un intérêt pour les jeux vidéos probablement plus grand que jamais. Précédemment, je jouais, mais sans vraiment être accro ou quoi que ce soit du genre, essentiellement parce que le temps me manquait. Parmi les quelques jeux que je possède, Call of Duty est mon préféré. Je sais bien que ce n’est pas la réalité, bien loin de là, mais c’est celui qui me rappelle le plus ce pour quoi j’ai vécu pendant dix ans. C’est ma façon de rester en contact avec ce que j’ai fait, même si évidemment, cela ne le remplacera jamais.
Le boeuf séché ► J’ai découvert cette nourriture qui bouche rapidement un coin quand on a un petit creux à l’époque où j’étais encore au lycée et depuis, je n’ai jamais su m’en passer. Ma tante n’a jamais compris pourquoi j’aimais ce genre de chose, mon oncle partageait une fois de temps en temps. En mission, j’apportais toujours un sac avec moi que je gardais bien précieusement dans mes affaires, toujours à un endroit différent pour ne pas prendre le risque qu’on me le vole. Maintenant, il me tarde d’avoir la forme de trouver une recette pour pouvoir en faire chez moi, parce que parait-il que c’est encore meilleur que celui acheté au supermarché, et je n’ai pas de raisons d’en douter.
Les motos ►Mon père en possédait une et m’emmenait souvent faire des virées dessus. C’est probablement un des seuls bons souvenirs que j’ai de mon paternel, en toute honnêteté. Jamais je n’ai pris le temps d’en acheter une avant aujourd’hui, parce que je restais si peu au pays que je ne ressentais même pas le besoin d’avoir un moyen de locomotion pour moi. Aujourd’hui, pourquoi pas ? Évidemment, il en faudrait une qui me permettrait de me tenir dessus malgré ma jambe en moins, et ça, ce n’est pas gagné… Encore faudrait-il que je sois capable de me tenir debout avant de songer à enfourcher une moto aussi.
Le tir au pistolet ►Peut-être que je fais un peu gamin, mais j’ai toujours aimé le moment de tenir une arme dans mes mains et me pratiquer à tirer sur une cible quelconque. Évidemment, je suis conscient que ce n’était pas un jeu quand venait le temps d'être sur le terrain, mais disons que je n’ai jamais nié le plaisir que je prenais à tirer sur une cible quelconque sans faire de mal à personne. Voilà maintenant un bon moment que je ne me suis pas rendu dans un stand de tir, mais je me doute bien que c'est une activité à laquelle je vais m’adonner sous peu si c'est possible, parce que cela m’a toujours défoulé, et je ne pense pas que cela ait changé au fil des années.

Ce que je n'aime pas
Mon corps ► Ce n’est pas nouveau que je suis complexé par celui-ci. Je ne sais pas pourquoi, et probablement que je ne le saurai jamais. Mes cheveux ont toujours été un gros souci pour moi, j’avais de gros soucis de transpiration et d’acné quand j’étais adolescent et maintenant, je n’accepte pas encore mon amputation. Que pourrait-il arriver de plus ? Franchement, j’espère qu’il n’y aura pas autre chose dans les prochains mois, parce que j’aimerais bien accepter une chose à la fois, et ce qui m’est arrivé plus récemment risque de prendre du temps à admettre.
Les hôpitaux ► Ces endroits froids, avec ces gens distants, ce lieu où on se rend seulement quand il s’agit d’une maladie ou d’une blessure grave, ce n’est clairement pas fait pour moi. Enfin, je sais bien que parfois, certaines femmes s’y rendent pour donner la vie, mais moi, je n’ai jamais pu voir cela comme un endroit où de bonnes choses peuvent se passer. Peut-être est-ce parce que j’y ai passé beaucoup trop de temps ces derniers mois, mais bon, je n’aime jamais l’éventualité d’y avoir un rendez-vous, même si je sais bien que je ne peux pas m’y dérober.
Le poisson ► Il s’agit d’un aliment que je n’ai jamais vraiment aimé et ce, peu importe le type de poisson. Cru, cuit, rempli d’épices pour en masquer le goût, je n’y arrive juste pas. Peut-être que le temps me rendra un peu moins difficile pour le coup, mais en ce moment, j’ai beaucoup de mal à en manger. D’ailleurs, c’est peut-être la seule nourriture que je n’arrive pas à manger parce que normalement, je ne suis pas vraiment difficile.
Le mensonge ► Mes parents ont vécu dans le mensonge et l’hypocrisie pendant maintes années, mentant à leur entourage en prétendant que tout allait bien alors que c’était le bordel dans leur ménage. C’est ce qui a conduit à leur perte à mon avis, et qui m’a fait particulièrement souffrir quand j’étais adolescent. Puis, j’ai vu maintes personnes mentir aux autres, se mentir à eux-mêmes, et cela m’a toujours dégoûté. Je sais bien que la vérité peut blesser parfois, mais le mensonge, à mon avis, peut être pire. Pour moi, il n’y a rien de plus insultant que de se faire mentir en plein visage.
Le surnom "Benny" ► Je ne sais pas d’où il vient dans un premier temps. Il me semble qu’il vient d’une de mes tantes particulièrement désagréable qui aimait bien l’accompagner d’un « Mon petit poulet » très mal placé. Cela m’a toujours horripilé, et ça continue encore aujourd’hui. Lorsque quelqu’un se risque à m’appeler ainsi, que ce soit gentiment ou pour me provoquer, je me fâche automatiquement. De plus, je l’associe à un souvenir particulièrement désagréable, celui où j’ai eu des ennuis au lycée, alors cela ne m’aide certainement pas à l’accepter.
Pseudo ► Mayiie. Prénom ► Marilyne. Age ► Vingt-cinq ans. Pays ► Canada. fréquence de connexion ► 7/7 comment as-tu trouvé le forum ? ► Facebook, il y a bien longtemps de ça maintenant. Trois choses à savoir sur toi ► J'adore écouter les Backstreet Boys en voiture, j'adore les hiboux et je chante très mal. veux-tu un parrain ? ► Est-ce nécessaire ? Une dose d’amour ► MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238 MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2883564238!

   
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mot doux de Bennett K. Morrigan un Lun 23 Mai - 16:27
« Monsieur Morrigan… Mon… BENNETT ! » Affalé sur mon bureau, mais étant persuadé que j’étais encore chez moi et que cette bonne femme qui me hurlait dessus était ma mère, puisqu’après tout, c’était tout ce qu’elle savait faire, je ne pris même pas la peine de lever la tête, et je dis : « Nah mais merde, fiche-moi la paix, à la fin ! » La vieille harpie ne hurla pas de nouveau. Ce qui arriva plutôt, ce fut des exclamations de surprise et d’amusement autour de moi qui me firent comprendre que non, je n’étais pas chez moi. Je relevai la tête au moment où j’entendis « Je te demande pardon ? » et sans même un regard de stupeur, je marmonnai un « Désolé… » « Tu ne crois pas que je mérite des excuses ? Je sais que tu n’as pas la vie facile, mais là… » Ce fut plus fort que moi, mon ton de voix haussa d’un cran, et je dis : « J’ai dit que j’étais désolé ! Vous voulez quoi de plus, que je me foute à genoux et que je vous baise les pieds !? » « Oulà ! L’est fâché, le petit Benny ! » « Toi, ta gueule, c’est clair !? » Et c’est comme cela que tout commença. Celui qui avait osé s’en prendre à moi bondit de sa chaise, et je fis de même, faisant en sorte qu’en moins de deux, nous étions en train de nous bagarrer en plein milieu de la classe, entre les chaises, les bureaux et les élèves à la fois affolés et surexcités de voir une telle chose se produire dans un cours de littérature. Ça n’arrivait pas tous les jours, après tout. En fait, moi, ça ne m’était jamais arrivé. Ce n’était même pas mon genre, à la base. Cependant, avec les évènements récents; le divorce de mes parents, le fait que ma mère devenait encore plus impotente que jamais, c’était devenu trop. Je dormais en classe, et j’étais de mauvaise humeur, ce qui avait conduit à cela. Je n’étais plus dans le même monde, je ne savais même pas pourquoi j’agissais ainsi. Tout ce que je sus par contre, c’était que soudainement, un surveillant accompagné du professeur de sport de l’école entrèrent en trombe dans la classe, le pion attrapant mon camarade de le professeur de sport, probablement mon préféré dans toute l’école, me sortait de la classe en me retenant par l’épaule. Je ne cherchai même pas à me débattre. J’avais vu pendant un bref instant dans son regard que je l’avais déçu et je me sentais coupable. Depuis quelques semaines, il était probablement le seul qui prenait du temps avec moi pour comprendre ce que je traversais. Pas comme cette vieille chipie qui se contentait de le mentionner froidement, comme pour me faire culpabiliser d’avoir un tel comportement, comme si elle s’en moquait. Lui, i l ne s’en était pas moqué, mais pourtant, je trouvais quand même le moyen de le décevoir malgré tout, ou du moins, c’était l’impression que j’avais. Me disant que la moindre des choses serait de le suivre jusqu’au bureau du principal sans rien dire, sans argumenter, je gardai le silence, bien surpris de voir qu’au bout d’un moment, nous bifurquâmes non pas vers le bureau du principal, mais plutôt vers un des vestiaires du gymnase, apparemment libre à cette heure-ci. Dans un grand silence, mon enseignant me demanda de m’assoir sur un banc, tandis qu’il faisait la même chose de son côté. À ce point, je dus admettre que je ne savais que penser. J’étais nerveux, je tremblais, si bien que je me dus d’agripper le banc de mes mains pour tenter de me calmer. Calmement, le professeur me demanda: « Qu’est-ce qui s'est passé, Ben ? » Sitôt, je baissai la tête, ayant voulu dire qu’on m’avait provoqué, mais je savais bien que le fait d’être réveillé en plein cours n’était pas une raison valide. Honteusement, tel un enfant pris en faute, je baissai la tête et je haussai les épaules. Cela me valut un soupir de la part de mon enseignant qui prit un petit moment, fort probablement pour réfléchir, puis il réitéra sa question, mais d’une différence façon, soit: « Qu’est-ce qui s’est passé hier soir ? » Malheureusement pour moi, d’une certaine façon, il avait compris sans que je dise quoi que ce soit ce qui se passait avec moi. Mais là, c’était comme la fois de trop, celle que je n’aurais pas voulu voir arriver. Parce que là, je ne sus pas vraiment comment composer avec mes émotions. J’étais perdu, décontenancé, si bien que dans cet isolement, je sentis les larmes me monter aux yeux, et je commençai à sangloter, comme ça, sans même tenir compte du fait que je me tenais devant un enseignant que je voulais rendre fier et que finalement, je gâchais tout. Perturbé par mes émotions, je ne sus que lui dire et même si j’avais voulu tenter quoi que ce soit, je n’aurais pas pu le faire, parce que les mots étaient coincés dans ma gorge. Jamais je n’arriverais à avouer ce qui s’était passé la veille, quand ma mère s’était mise à hurler une tonne d’insanités à mon égard. Je savais qu’elle en avait fort probablement contre mon père, compte tenu qu’elle venait d’apprendre qu’il avait déjà demandé en mariage sa nouvelle copine - de longue date, je soupçonnais en vérité - mais elle avait fait ça tant de fois que je n’en pouvais plus. Et mon père, pour lui, je n’existais pas. En gros, je me retrouvais seul, comme jamais je ne l’avais été précédemment. Je sentais que je n’avais plus de famille, même si j’étais coincé dans celle-ci. Voilà pourquoi, au final, je réussis quand même à lâcher entre deux pleurs: « J’en ai marre… » Et puis, la bagarre ne viendrait certainement pas améliorer ma situation. Je serais sûrement renvoyé du lycée, obligé d’aller ailleurs, avec un dossier scolaire particulièrement médiocre si jamais cet incident venait faire tache dans celui-ci. Est-ce que j’allais avoir un avenir après ça ? Je n’en savais trop rien, j’étais désespéré à ce point. Puis, au moment où je n’attendais plus rien, une main amicale vint se poser sur mon épaule, puis la voix bienveillant de l’enseignant vint demander: « Tu n’en peux vraiment plus hein ? » Pour la première fois depuis le début de cette conversation, je relevai la tête, et je fis signe « non » de la tête. Non, je n’en pouvais plus. Il me fallait partir de chez moi, mais pour aller où ? Je n’en savais trop rien. « Écoute… Ma femme travaille pour les services sociaux, donc je vais lui parler de toi si tu veux… Je ne sais pas ce que ça va donner, mais je peux au moins tenter le coup… » Sans hésiter un instant, je hochai positivement la tête pour lui signifier qu’il avait mon accord de faire quoi que ce soit me concernant. Maladroitement, j'essuyai mes larmes, et je finis par lui balbutier un « Merci… » que je trouvais particulièrement maigre compte tenu de la bonté qu’il avait eue à mon égard. Saurais-je lui rendre la pareille un jour ? J’espérais bien, en tout cas, surtout si ses démarches venaient à fonctionner.

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« Embarquement dans 5 minutes ! Soldats, saluez vos proches ! » Ça y est, le moment était enfin arrivé. Ce moment, je l’attendais depuis deux ans maintenant, si ce n’était pas plus, ce moment où j’allais finalement partir pour ma première mission. Peut-être était-ce exagéré de le dire ainsi sans explications supplémentaires, mais franchement, je ne pensais pas que ce jour allait arriver. Si je revenais environ quatre ans auparavant, je ne pensais pas avoir un avenir quelconque, une famille quelconque, d’où le fait que j’avais pété les plombs en classe. Par contre, grâce à mon professeur de sport, plutôt que d’être renvoyé du lycée sans nulle part où aller, je n’ai été que suspendu, le temps que les services sociaux interviennent pour en venir à la conclusion que pour mon développement, il faudrait que j’aille vivre ailleurs, même si ce n’était que temporairement. Heureusement, mon oncle et ma tante, vivant à Pasadena, avaient accepté de me prendre sous leur aile, malgré le fait qu’ils avaient déjà une jeune fille, la leur. Par conséquent, j’avais fait mon possible pour ne pas prendre trop de place, tenter de me ranger, ne pas demander quoi que ce soit excédant le minimum dont j’avais besoin pour vivre. Mais finalement, j’avais développé une relation avec lui encore plus précieuse en un an que celle que j’avais eue avec mes parents pendant quinze ans. Ce sont eux qui m’avaient poussé et aidé à joindre l’académie militaire. Je leur était énormément redevable, d’où le fait que j’avais ressenti le besoin de les inviter lorsque j’avais terminé l’académie et qu’aujourd’hui, je leur avais mentionné que je partais. Cependant, je ne leur avais pas dit qu’ils devaient être là, mais ils avaient insisté. Alors, au moment où notre chef annonça ce fameux départ imminent, je ne restai pas seul à attendre l’embarquement. Je me retournai vers mon oncle, ma tante et ma cousine une dernière fois. Puisque nous avions déjà passé la soirée de la veille ensemble, que même ma tante avait insisté pour m’aider à préparer mon bagage, même si celui-ci était bien minimal, peu de choses restaient à dire. Mon oncle, vers qui je me tournai en premier, me demanda d’être prudent, et de revenir les voir dans six mois, quand ma mission serait terminée. Ma tante me dit que j’étais toujours le bienvenu dans leur demeure. Je me doutais bien que cela avait un lien avec le fait que j’avais parlé de me trouver une petite maison pour moi-même lorsque j’aurais reçu un assez gros cachet. Je ne prévoyais pas passer beaucoup de temps dans les environs de Pasadena dans les prochaines années, dans l’espoir que j’allais me rendre en mission et gagner ma vie plus souvent qu’autrement, mais je voulais quand même avoir un lieu d’indépendance et qui ne m’obligerait pas à être dépendant d’un propriétaire qui aurait tôt fait de râler par mes nombreuses absences. Enfin, je n’en étais pas là, mais j’envisageais l’éventualité, même si bien sûr, jamais je ne pourrais passer à côté de l’idée d’aller chez mon oncle et ma tante. S’ils voulaient me voir, c’était la moindre des choses à faire, après tout. Sur ce, je serrai la main de mon oncle, fit la bise à ma tante, puis je me tirai vers ma cousine, Mirana. Âgée de presque quatorze ans, elle eut une réaction un peu plus démonstrative, c’est-à-dire qu’elle se jeta à mon cou pour me serrer contre elle. Je ne lui en voulus pas, bien au contraire; je l’entourai de mes bras et je lui rendis son étreinte, bien content, au bout du compte, de ce moment que je considérais comme fraternel. Je savais bien que Mirana n’était pas ma soeur, mais pour moi, c’était devenu tout comme ces dernières années, et pour sûr, elle allait me manquer.  D’ailleurs, pour cette raison, quand elle me demanda « Tu vas m’écrire hein ? Souvent ? », je n’hésitai pas un instant à lui répondre « C’est promis. » Puis, je me défis de son étreinte, l’embrassai sur le front, balançai mon sac sur mon épaule, et j’allai rejoindre mes frères d’arme en direction de l’avion, rempli de fierté d’aller servir mon pays et aussi pour moi-même, parce que j’étais finalement en train de devenir quelqu’un d’honorable, avec un but précis dans la vie.

△△△△△△

« Bennett… Reste avec moi, reste avec moi, hein Ben » ? Tu ne partiras pas comme ça ?!  Tu vas te battre, promis !?! » La voix qui me parlait, je ne savais même pas si elle me parlait vraiment. Elle me venait de loin, et je ne distinguais aucun visage. J’étais aveuglé par la douleur, mes yeux étaient remplis de larmes et je sentais que j’allais finir par fermer les yeux afin de me laisser emporter par le sommeil, ou pire encore, par un coma qui me conduirait à la mort. Était-ce comme ça que je voulais passer mes derniers instants ? Pas vraiment. Toutefois, est-ce que j’avais le choix ? Pas vraiment. « Les gars, faites quelque chose, on va le perdre ! »  J’aurais envie de dire quelque chose, n’importe quoi, mais je n’y arrive pas. Sous le masque à oxygène, je peine à ouvrir les lèvres, je peine à faire quoi que ce soit. La douleur est si forte, si omniprésente, que je ne sais même pas d’où j’ai mal, je ne connais pas mes blessures, parce que j’ai l’impression que l’explosion m’a atteinte partout. Étais-je mort ? Ce ne serait même pas une surprise… « Oh putain ! » « Quoi !? » « Sa jambe… Bordel… » Quoi ? Elle avait quoi, ma jambe ? Je tente de l’agiter pour savoir ce qui se passait, mais rien ne répondit. Encore une fois, j’essaie de parler, mais rien ne sort de ma bouche. Des bruits de pas se font entendre, et je perçois dans la brume un « On a pas le choix, faut l’endormir, il ne fera pas le trajet comme ça », et finalement, ce fut le noir. Je ne sens même pas la piqure qu’on m’avait injectée, la sensation étant limite un réconfort par rapport à tout ce que je pouvais ressentir. Cependant, je ne sens plus rien, je ne sais pas ce qui se passe, où tout cela me menait. Était-ce cela, ma mort ?


La lumière évidente qui traversait mes paupières m’empêcha d’ouvrir les yeux immédiatement, mais j’étais réveillé, tentant tant bien que mal de comprendre ce qui se passait. Où étais-je ? Comment étais-je arrivé ici ? Pourquoi j’étais ici ? En ce qui concernait la première question, le « bip » régulier d’un moniteur me fit comprendre que je ne pouvais pas être sur le champ de bataille ou même au campement, probablement les deux derniers souvenirs que j’avais et encore là, ceux-ci demeuraient flous. Je me souvenais surtout de la douleur, des cris de mon partenaire, de son ton paniqué, puis d’un autre homme, un médecin militaire probablement, plus calme, mais qui signifiait quand même l’urgence. L’urgence parce que j’avais mal ? Parce que j’avais été blessé ? Parce que je ne pouvais pas être soigné par des méthodes plus simples ? Me décidant finalement à ouvrir les yeux, je reconnus les murs blancs et l’ambiance austère d’une chambre d’hôpital. Où ? Dans quelle partie du monde ? Les conversations que je pensais entendre au loin me laissaient deviner que ce n’était certainement pas aux États-Unis. En Allemagne, peut-être ? Là où on va passer nos permissions quand celles-ci sont trop courtes pour rentrer au pays ? C’était une solution plausible. Mais pourquoi n’avais-je pas été ramené au pays ? Si j’en revenais à mes souvenirs encore une fois, je me disais que c’était fort probablement parce que mes blessures étaient trop graves pour que je sois transporté où que ce soit. Mais quelles étaient ces blessures ? Ne supportant plus la lumière plus longtemps et désireux de faire un examen consciencieux de mon corps, qu’avec mon esprit, sans instrument quelconque, je fermai les yeux encore une fois. Je me rendis compte plutôt rapidement que j’étais amoché de partout, fort probablement des courbatures, ecchymoses et autres trucs du genre qui ne faisaient pas peur, qui ne pouvaient clairement pas justifier ma présence en ces lieux. Puis, soudainement, une douleur perçante sembla surgir sur ma jambe droite, au niveau de mon genou. Je ne savais pas à quoi elle était due, mais elle était suffisante pour que je me redresse d’un coup et que je lâche un cri sourd de douleur. Ma première intention était de me relever suffisamment pour agripper mon mollet, voir ce qui s’y passait, tenter de calmer cette souffrance horrible pendant un instant. Non seulement, le geste me fit encore plus souffrir mais de plus, je n’attrapai rien du tout, rien du tout sauf un bout de drap que je ne parvins pas à garder entre mes mains. Interloqué, j’ouvris encore une fois les yeux, pensant que je ne savais pas viser, que ce n’était pas ma jambe, mais je me rendis compte qu’en fait, la jambe, le mollet, le pied, plus rien n’y était. Tout ce qui restait, ce n’était qu’un moignon, juste dessous le genou. C’est là que je me rappelai mon collègue qui avait parlé de ma jambe, d’un ton dramatique que je ne l'avais jamais entendu utiliser précédemment. Mon état était-il si grave qu’ils avaient dû l’amputer ? À quoi ressemblait-elle ? Je me mis soudainement à trembler, les larmes me montèrent aux yeux, puis je me laissai tomber sur l’oreiller, contemplant le plafond avec ce regard embué, comprenant à ce moment qu’ici et maintenant, ma vie ne serait plus la même, que tout venait de s’écrouler d’un seul coup, un coup similaire à celui d’un poignard en plein coeur.


Dernière édition par Bennett K. Morrigan le Mar 21 Juin - 15:38, édité 2 fois
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Pepper N. O'Malley
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et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Pepper N. O'Malley un Lun 23 Mai - 17:18
MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 2453653116 A la rescousse !

welcome to Pasadena, tu es validé
      et maintenant que tu es parmi les fous, visites la ville
Tu as peut-être peur, c’est normal mais je suis là pour te guider. Notamment pour te montrer ou aller. Oh oui, toi petit membre qui vient juste d’arriver dans notre ville de fous. Tout d’abord, il ne faut pas avoir peur sur ce forum. Nous voulons te rassurer. Tu peux rapidement rejoindre notre grande famille en faisant des pas vers nous ou vers les membres dans les différentes sections prévues pour. Nous offrons une grande importance à ton intégration mais il faudra donner du tiens. Par exemple, nous t'invitons à te rendre sur la chatbox, discuter des questions du moment, flooder et autres !

   Il y a d’autres endroits prévus pour que tu découvres si tu cliques sur le petit lien en dessous de mes pieds. C’est magique, c’est Nesquick. Bien entendu, tu pourras suivre les étapes qui te guideront sur le forum. Tu verras tous les recoins ou tu pourras poster et ceux que tu devras lire au moins une fois. Tu découvriras tous les endroits que certains membres ne connaissent peut-être pas. Une chasse aux trésors débute pour toi ! J’espère que tu es prêt.

   En attendant, il y a des petites choses pratiques à savoir sur le forum car par exemple, presque tous les weekends… nous organisons des petites animations sympathique comme des quizz et des concours. Parfois ils sont pour le personnage et parfois pour t’amuser tout simplement. Tu pourras découvrir des choses sans pour autant chercher à gagner mais juste à participer. La fête est plus folle sans la pression de la médaille. Je te l’assure. Tous les premiers du mois, tu découvriras un nouveau design tout beau tout propre car on ne te laissera jamais trop longtemps avec la même tête. Nous  prendrons soin de toi si tu nous en laisses l’occasion. Et si normalement tout va bien, tu feras rapidement partie de notre petite famille. Certains ont réussis à devenir nos potos en même pas deux jours, feras-tu mieux ? Ne sois pas timide en tout cas.

   Et comme je veux te voir partout, je t’invite à nous rejoindre sur la chatbox ou nous sommes bien souvent. Pasadena et la chatbox ? C’est une grande histoire d’amour. Si tu t’ennuies, tu peux aussi venir nous câliner dans le flood et dans les jeux. On s’y amuse, on rit et même qu’on y pleure (mais de rire si possible). N’oublies pas de regarder le post-it globale du forum, tu y trouveras tous les liens à voir régulièrement qui sont pratique pour découvrir la vie active du forum. S’il y a quoique ce soit n’hésites pas à mpotter un membre du staff qui répondra à ton message dans les plus brefs délais et même si c’est pour lui demander un cookie ou la couleur de son slip !

   Avertissement : Si tu aimes les câlins, vas voir à tout prix Sarah-Jane ou bisoutes les fesses de Cameron. Il aime ça. Si tu te sens en feu, Simon peut t'éteindre à tout moment tout comme Mégara qui t'invitera avec des cookies. Si tu as le cœur à rire, va voir Jared. Elle est toujours tout sourire et en plus très jolie. Si tu regardes trop la télévision, Pearl ne te semblera pas méconnu. Si tu aimes les filles violente, Lenaëlle peut te guérir de ton mal à coup de marteaux mais attention... nous sommes dans un monde de bisounours. Sois aussi adorable à ton tour pour finir dans les avertissements le mois prochain ?

   Personnellement, je t’aime déjà à la folie. MORRIGAN, Bennett ▬ I would catch a grenade for you 327658377
   Tu veux un bonbon ? J’en ai pleins dans ma camionnette et des chatons aussi. Bienvenue à toi, petit membre vient dans le four que je fasse une brioche !
   Milles et un câlins pour toi !
   
suis-moi (+) et bien mon petit lapin, passes partout pour commencer correctement l'aventure et tu verras que tout ira tout seul. Suis ces pistes pour savoir là ou tu devras créer un sujet (✂️), répondre (✏️), lire (✮) à l'aide des symboles !
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