reed&caleb - j'aimerais bien t'acheter des capotes mais t'as pas l'âge légal...
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reed&caleb - j'aimerais bien t'acheter des capotes mais t'as pas l'âge légal...


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mot doux de Invité ► un Mar 2 Déc - 2:08
REED & CALEB
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Oh mon dieu, je commençais à me faire vieux et Cordélia était enceinte du deuxième de ses enfants. Un petit garçon et pourtant je me contentais de faire les courses avec un adolescent mais est-ce que vous savez ce que désire préparer ma femme pour noël ? Déjà les ingrédients étaient un peu bizarres et je regrettais presque de ne pas avoir sorti mon biscuit du four avant la cargaison de petits têtards. Tellement. J’étais épuisé car elle était pire que pour sa grossesse de Dakota. Pauvre Ryan, il n’était même pas né qu’il rendait déjà chèvre sa mère. Il allait l’entendre bêler partout. Pauvre petit, sérieusement. J’étais mal pour lui. Pour vous dire… Dakota venait parfois se cacher dans mes jambes en suçant mon pouce pour me demander si maman était folle. Bien sûr avec le soutient donc je peux faire preuve, je disais que oui. Elle ne semblait pas vraiment surprise après tout, sa mamie et sa tante n’étaient pas très bien réglées de la caboche donc bon. Comment être surpris ? Peut-être que Dakota était prédestinée à avoir le caractère dérangé des O’brady ? Je priais tellement pour que ma petite fille, mon petit ange, mon amour, ma petite princesse ne soit pas ainsi. Elle avait 2 ans et demi alors qu’elle suçait son pouce à l’arrière de la charrette tandis que je me baladais suivi de Reed dans le supermarché. Des cornichons, hop dans le panier et tous les autres ingrédients qui ne devraient pas faire une bonne soupe si on osait les mélanger tous ensemble. Je riais doucement en voyant même qu’elle me demandait de la levure de bière mais pourquoi ? Mais pourquoi ? Cela sent tellement mauvais ce truc. Je grimaçais alors que l’odeur émanait de la boite en métal et je secouais doucement la tête. Horrible mais horrible mais horrible. Je riais un peu nerveusement alors que je portais une main à mon menton. Dakota me regardait en souriant doucement et sautillant sur ses petites fesses du fauteuil peut confortable. « Papa, papa… papa… c’est Papa noël ! », disait-elle en pointant alors un homme du doigt mais en fait, ce n’était pas du tout le père noël. C’était un clochard du quartier qui se baladait dans une chemise bucheron et un pantalon noir de poussières. J’arquais un sourcil en tournant mon attention sur Dakota. « Non, ce n’est pas le père noël… c’est papy Truc quand il sort du lit ! », disais-je alors d’un ton moqueur. Comment osais-je rentrer des imbécilités dans la tête de ma fille ? Elle riait en secouant énergiquement sa tête et me regardant. « Tu dis que des bêtises, papa ! », disait-elle avec son air enfantin et je souriais. Je l’adorais tellement cette petite. En fait j’étais heureux d’avoir une petite fille à gâter. Tellement. « Il est ou Hagrid ? », demandait-elle tandis qu’elle appelait toujours son frère ainsi depuis qu’elle avait vu Hagrid dans Harry Potter avec Cordélia. Elle le voyait comme le géant car il était plus grand qu’elle mais était son frère. « Pas loin ! », lui répondis-je avant qu’elle ne regarde tout autour d’elle en criant Hagrid à tue-tête et moi ? J’avais juste envie de me cacher. Elle appelait quand même un ogre de film des années 2000 partout dans un supermarché.
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mot doux de Invité ► un Mar 2 Déc - 2:49
Je me demandais comment j'avais fait pour me retrouver dans ce supermarché avec mon père et mon insupportable, adorable petite soeur à faire les courses pour le repas de ce soir et les envies folles de Cordélia. Mon Dieu, elle avait de la chance que je sois content d'avoir un petit frère car sa grossesse la rendait totalement insupportable. Je n'étais pas non plus un grand fan des courses, on va dire que plus je les évitais, mieux je me portais et pourtant je ne pouvais m'empêcher de soutenir mon père dans cette dure épreuve. Nous nous entendions toujours aussi bien malgré mes seize ans, je n'avais pas fait une très grosse crise d'adolescent si ce n'est quelque conflit sur le plan scolaire l'an dernier, car je préférais sécher avec ma petite amie ou aller faire du skate avec mes amis plutôt que d'aller suivre mes cours de mathématiques. Mais tout c'était arrangé, j'étais encore à un an et demi de devenir diplômé et d'aller à l'université et je comprenais bien que ce n'était pas le moment de flancher. Je suis mon père sans trop rien dire, farfouillant par moments les rayons qui m'intéressaient à la recherche d'un but précis. En plus du soutien masculin, ma venue n'était pas si innocente que cela et je comptais demander à mon père de m'acheter quelque chose mais il faudrait que ça reste entre lui et moi, entre hommes. Je m'arrêtais soudainement face à un rayon de produit cosmétique et personnel et je passais en revue les différents choix qui s'offraient à moi tandis que papa continuait son chemin sans moi. À vrai dire, pour Noël ma petite amie -toujours la même depuis une bonne année- et moi souhaitions-nous offrir un cadeau mutuel assez spécial, nous offrir l'un à l'autre mais il faudrait des protections pour ne pas prendre de risque. Je continuais de farfouiller le rayon du regard en étant tout de même très étonné du nombre de choix différent qu'il y avait, des simples, des larges, des fruités et même des phospho-récente, je me sentais assez perdu dans ma réflexion quand j'entendis une voix de petite fille appeler Hagrid à tout bout de champ. Je comprenais que c'est ma soeur qui m'appelait, elle m'appelait ainsi car j'étais avec elle lorsque l'on s'est fait une journée Harry Potter avec Cordélia et c'était resté. Un peu comme Tonton Zazou que l'on appelait tous comme ça sans trop qu'il comprenne, ni moi d'ailleurs. Je me sentais alors gêné qu'elle m'appelle en hurlant, comme si tous les clients du magasin savaient que c'était moi et m'observais devant mon rayon de préservatifs. J'attrapais alors une boîte simple que je cachais d'abord dans mon dos tout en rejoignant les deux autres Hemingway. "Je suis là" dis-je en souriant à Dakota avant de lever le regard vers mon père et rougissant avant même de lui demander quoi que ce soit, j'étais devenu bien timide et pudique avec l'âge. "Euh papa... J'ai un truc à te demander" disais-je en sortant le petit paquet de mon dos pour qu'il comprenne sans que je lui expliquais.
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mot doux de Invité ► un Jeu 4 Déc - 2:03
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« Hagrid… », s’écriait plusieurs fois cette enfant. Bien sûr, je préférais sûrement qu’elle ne s’amuse à crier : Joyeux noel mais non. Malheureusement. Elle se contentait de crier le prénom d’un géant qui n’était pas du tout un petit lutin mais alors pas du tout. Je riais nerveusement aux regards qui se tournaient vers moi. Non mais vraiment. Je vous jure. Je regardais cet enfant et priant pour qu’elle ne se calme et arrête de me mettre dans un moment de gêne. Nous avions perdus son frère. J’avais peur qu’elle ne prenne froid à force de se prendre un vent. C’était bien pire, c’était presque une tombée de grêlons au nombre de fois où elle répétait son petit nom bien démodé. « Calmes-toi sinon je te mange ta petite truffe… », disais-je en parlant bien entendu de son nez et la chatouillant légèrement en bas des côtes alors qu’elle riait en criant encore le surnom de son grand-frère qui arrivait presque quelques secondes plus tard. Les vœux de Dakota maintenant excusés, elle se taisait en regardant Reed attentivement tout comme l’on pouvait se planter devant un paquet de cadeau en se demandant si nos yeux vont ouvrir les cadeaux par magie et qu’on pourrait dire : pas ma faute. C’est le sapin qui les a ouverts. L’excuse bien typique des enfants qui s’en foutent bien souvent de la tradition. Combien de fois je ratissais la maison quand j’étais petit pour trouver les cadeaux avant. Bien sûr c’était après… que je n’avais plus crue au père noël. Je le regardais tandis qu’il semblait tellement gêné. Un truc à me demander ? Devais-je avoir peur ? J’arquais un sourcil en me demandant s’il allait m’annoncer vouloir partir au pôle nord pour coucher avec maman noël. Je préférais même savoir qu’il voulait faire le vœu de rencontrer un berger que de savoir qu’il voulait bien plus qu’un baiser sous le gui. Et c’est là qu’il sorti cette boite de son dos que je voulais simplement trouver une guirlande pour m’y pendre. Non mais ça serait un drôle d’idée de célébrer tous les ans le premier jour où mon fils m’a demandé comment choisir sa capote. J’inspirais doucement en mettant une main sur les yeux de Dakota. « Regardes pas ça ! », elle tentait de la retirer avec ses petites mains toute douce et riant. « Papa, je veux voir… c’est des ballons ? J'en veux aussi... », demandait-elle en sautillant doucement. « Allez... papa... », j’arquais un sourcil en l’entendant et laissant un sourire sarcastique vers Reed du genre : tu vois ce que t’as fait ? Bien sûr, oui, il n’aurait pas dû montrer une boite de capote devant sa petite sœur mais vraiment. Non mais oh… et elle allait vite finir dans le couvant quand elle apprendrait que ce n’est pas un paquet de ballons. J’inspirais doucement. JE refusais tellement que mon fils de seize ans offre sa petite fleur à sa petite amie. Je ne l’aimais pas. D’abord car ses parents se prenaient pour des santons vivants dans la crèche de noël… tellement ils étaient croyants et j’avais peur de me faire tuer par le père s’il apprenait que mon fils avait volé la virginité à sa fille… je baissais le regard vers la charrette et regardant la boite de chocolat. Il ne pouvait pas juste me demander un avis entre les noisettes ou les chocolats pralinés ? Non, il fallait qu’on parle de capotes. Elle était ou l’époque où il hésitait entre deux jouets ? Dakota se débattant encore pour retirer sa main commençait un peu trop à se débattre de ses jambes aussi… c’est alors que son soulier… fila à l’endroit ou aucuns hommes n’aiment recevoir un coup. ET SHIT. « Oh… mince, pu… pupille… papillon… C… Christmas… ! », disais-je en tentant de me rattraper de cette envie de lâcher de vilains mots. Je me pliais un peu en deux en grimaçant. En voilà une cerise sur le gâteau au moment où il me montre des capotes, j’aurais bien besoin d’aide à cet endroit de prédilection. Je retirais ma main des yeux de ma fille pour la placer en bas de ma ceinture. « C’est encore plus douloureux que les aigus du chante de noël de la chorale… », disais-je en grimaçant avant de tenter de reprendre mes esprits et regardant Reed. « Je t’aiderais à une seule conditions… », disais-je en grimaçant encore de douloureux sous les yeux de Dakota qui commençaient à s’humidifier… « Papa, t’as bobo ? Pourquoi ? J’ai fait mal à papa ? », disait-elle en regardant Reed tandis que je me grattais un peu ma barbe pas très blanche. « Tu vas trouver le père noël à l’entrée, tu t’assoies sur ses genoux. Tu lui parles de ta famille, du festin de noël… des flocons de neiges même si tu veux et de tout ce que tu veux même du nouvel an… et on verra si je me décide à te laisser devenir un homme cet hiver ou dans 56 hivers… », disais-je d’un ton sérieux en ayant repris un peu mes aises. Non mais je n’allais pas laisser mon fils approfondir les limites de l’amitié aussi facilement car un baiser ça va mais après l’amitié devant carotte.
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mot doux de Invité ► un Jeu 4 Déc - 14:39
Pourquoi j'avais choisi pile le jour de Noël pour demander à mon père de m'acheter ce genre de chose, je ne sais pas, je m'étais dit que ça passerait mieux ou tout simplement c'était un pur hasard. Nous allions passer les courses et passer ensuite une super soirée à manger de bons plats puis nous verrons Dakota ouvrir ses cadeaux avec émerveillement, ce serait parfait ou du moins dans ma tête. Seulement dans ma tête ma petite soeur n'attirerait pas l'attention sur nous en m'appelant à travers tout le magasin me forçant à quitter mes pensées pour les rejoindre en vitesse. C'était ironique, en soi mon père savait que je n'étais pas perdu et n'y avait même pas prêté attention mais c'est un petit gnome qui exigeait que je reste près d'eux. Sale gosse. Je préférais encore quand elle s'amusait à crier joyeux Noël dans toute la maison chaque jour depuis le début du mois de décembre. Un véritable calendrier de l'avent cette enfant. J'arrivais alors et presque immédiatement elle se taisait, si je ne pouvais même plus m'éloigner cinq minutes, ou allait le monde, mais je ne pouvais pas lui en vouloir avec une bouille pareil. J'étais vers mon père et je voulais lui demander quelque chose, la boîte toujours cachée dans mon dos et un air gêné et il savait sans doute déjà que j'avais quelque chose à lui dire. Mais je vous assure que demander à son père de vous acheter ce genre de chose, ce n'est vraiment pas simple, au contraire en plus d'être gênant, c'est assez compliqué. Je préférais donc lui fare comprendre en lui sortant directement la boîte pour qu'il comprenne tout seul comme un grand garçon. C'est vrai qu'en y réfléchissant c'était totalement idiot, il allait sans doute associer toute sa vie la célébration de sa vie avec mon premier achat de capote mais il le fallait bien un jour, non . Je ne comprenais pas vraiment pourquoi il mettait la main sur les yeux de Dakota, après tout ce n'est pas comme si on voyait un pénis sur la boîte. Il y avait simplement le nom de la marque avec des sortes de dessins coloré. Bon ok j'ai montré l'arrière où on voyait un préservatif dans les conseils d'utilisation mais elle ne comprendrait surement pas, il en faisait bien trop mais même avec moi, il était hyper protecteur sur le sujet. Le pire c'est que mon père ne semblait pas content de l'enthousiasme de ma soeur ni vraiment que je lui demande ça. Il est bien gentil mais il n'avait qu'à pas l'emmener. Je sentais que finalement ça allait être toute une affaire d'obtenir cette boîte et ça me gênait encore plus que je ne voulais pas débattre dessus. C'était mon père quand même et même s'il m'avait changé les couches, il n'avait pas forcément un droit de décision sur mon robinet. Pourtant il fallait bien que je lui demande son avis, j'aurais pu en acheté en cachette mais c'était moins gênant que ce soi lui qui les paye à ma place, et les parents de ma petite amie n'auraient jamais accepté, bien au contraire ils étaient encore plus religieux que papy Jones qui pourtant était Pasteur. Enfin bref, revenons en à nos moutons puisque le petit monstre continuait de se débattre et envoya son soulier dans l'endroit où ça fait mal. Apparemment mademoiselle ne voulait plus de frère ni de soeur, ni de père d'ailleurs et je me retenais de rire en le voyant retenir ses mots pour ne pas dire de gros mots. Je ne tenais pas à aggraver mon cas mais c'était hilarant. Il souffrait et apparemment il divaguait puisqu'il comparait cette douleur aux aigus des chants de Noël de la chorale. Bon ok c'est douloureux pour les oreilles mais je ne voyais pas pourquoi. Enfin il revenait sur le sujet en disant qu'il m'aiderait à une seule condition. Et là c'est le drame, je craignais le pire. Pour être franc en cet instant précis j'ignorais totalement Dakota en écoutant les conditions de mon père. J'allais devoir m'asseoir sur les genoux de ce charlatan qui se fait passer pour le Père Noël avec son petit lutin qui rêverait d'être autre part qu'ici et lui raconter ma vie sur nos festins de Noël, l'hiver, la neige et plein d'autres connerie et je n'étais pas pour. "Mais papa..." me plaignait en tirant un peu la tête.Il voulait totalement me taper la honte et je n'aimais pas ça surtout que j'étais assez timide et que je supporterais assez mal de me retrouver ridicule devant tout le monde et il le savait, il espérait me dissuader de cette façon. "Tant pis, je le ferais sans protection alors et tu auras ça sur la conscience!" prétextais-je en boudant. Mais rien n'y faisait, il ne changeait pas d'avis. Il devait trop bien me connaitre pour savoir que je ne ferais jamais quelque chose d'aussi irresponsable et il ne comptait pas céder. "papa... " tentais-je une dernière fois, il n'était pas cool sur le coup là. Je soupirais en acceptant ma défaite. "Bon d'accord..." J'avançais alors vers l'entrée du magasin sans doute suivi pas lui et je me mettais dans la file d'attente en restant tout rouge. Je me tapais la honte de ma vie et il y avait pas mal de gamins avant moi qui attendait de passer sur ses genoux pour lui rappeler de ne pas les oublier ce soir. J'attendais une vingtaine de minutes de totale torture et j'en voulais à mon père. Mon tour arriva finalement et je me plaçais alors sur ses genoux tout en restant rouge alors qu'il me regardait étrangement. "Désolé, je voulais pas venir mais c'est mon père qui m'a forcé" débutais-je en boudant un peu. "Il veut me taper la honte donc je dois vous parler. Oui parlons ça sera moins difficile" J'avais envie d'étrangler cet homme. "Bon bah moi c'est Reed et je vis depuis seize ans avec ce monstre qui me sert de paternel. Ce n'est pas trop dur de jouer les papas Noël ? " Je parlais ainsi pendant environ deux minutes ou trois peut-être puis je me relevais et je rejoignais mon père que je toisais du regard. "Je te hais" disais-je totalement vexé.
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mot doux de Invité ► un Mar 9 Déc - 1:15
REED & CALEB
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J’étais totalement dingue, oui ? Le pire papa du siècle qui promet des capotes contre des trucs bizarres. Mais quand même, mon bébé qui voulait acheter des capotes ? Mais il était si petit. Je me souvenais tellement encore de l’époque où je lui changeais des couches et qu’il tendait son zizi pour me faire pipi dessus. La belle époque, tellement belle. Il grandissait si vite, tellement vite et je ne voulais pas du tout venir à lui acheter des cagoules. Je soupirais doucement quand il se plaignait. Il n’allait pas le faire, non ? Je priais pour qu’il ne le fasse pas tout simplement comme ça nous pourrions finir nos courses sans parler de protection pour le sexe. J’inspirais doucement, il tirait la tête mais je m’en fichais réellement. Un brin d’autorité quand même. Je suis le père ici et si je dis qu’il aura des capotes que s’il va parler au papa noël, je dis ça et point c’est tout. Bon d’accord, c’est un peu tordu mais j’ai toujours eu des idées tordues. Je voulais tellement qu’il retourne au passé, oui, ce moment magique où il pensait encore qu’on fourrait les tampons dans notre pif. Oh oui, j’aimais tellement cette époque d’insouciance. Tellement. J’inspirais doucement en le regardant me dire qu’il le ferait sans protection. « Cool et après, tu t’arrangeras avec le père de ta copine ? », disais-je en souriant, un sourire un peu espiègle alors que même si j’en prenais aussi pour mon grade pour laisser mon fils sortir son tuyau d’arrosage bien trop tôt. Je ne cédais pas du tout pourtant et je le laissais aller faire en le regardant. En fait, j’arquais un sourcil en me demandant surtout comment j’allais faire ensuite quand je devrais faire ce que je lui ai promis donc répondre à sa question. Mais quoi, j’allais faire quoi ? Lui dire quelle taille prendre ? Mais je n’avais plus vu son zizi depuis des années. Je ne voulais pas non plus le voir plus. Je regardais alors Dakota qui était triste en pensant que j’avais mal. Elle me regardait avec une moue et frottant ses yeux tandis qu’elle commençait un peu à fatiguer. Je souriais en lui caressant doucement la joue et souriant. « On va rentrer à la maison et tu pourras aller faire la sieste ! », lui disais-je alors. « Mais jamais je n’achèterais des bonbons d’adultes pour toi ! », disais-je alors qu’elle souriait. « Je préfère ceux des enfants, ils sont sucrés et roses ! », disait-elle. « J’aime bien les bleus aussi ! », j’arquais un sourcil sur ce coup car le viagra ? Ce ne sont pas des pilules bleues ? Je secouais doucement la tête. « Je n’aime pas trop les bleus… », disais-je alors avec mon égo qui était fière de ne pas avoir besoin des pilules de viagra pour son bien. Le père noël quant à lui semblait surpris de voir un grand gamin sur ses genoux et il semblait surtout d’avoir mal aux cuisses. Elles allaient se casser surtout qu’il ne semblait pas vraiment bien enrobé. Je riais doucement alors que Dakota regardait la scène. « Reed, il sait qu’il est trop grand ? Il va casser le père noël et on aura tous du charbon ! », disait-elle avec une moue trop mignonne qui me faisait craquer. Elle ressemblait tellement à sa maman. Elle était adorable et avait ses petites joues rondouillette. « Bah mon gamin, ton papa, il t’aime… ce n’est pas un monstre mais si tu veux, je demande aux rois mages et ses anges de venir lui régler son compte pendant leur apparition à l’épiphanie ? », demandait alors le père noël assez sérieux mais avec un air de tueur dans les yeux alors qu’il regardait Reed attentivement. « Tu sais que tu es aussi lourd qu’un cachalot ? Tu ne peux pas aller t’assoir sur les genoux de mère noël plus vite ? », disait-il aussi à nouveau alors que Reed finissait par me rejoindre en me disant qu’il me haïssait. Je souriais doucement en penchant la tête. « J’en suis bien heureux mon grand garçon. », disais-je en lui offrant un grand sourire. Pour une fois que j’avais bien l’impression d’avoir un peu d’autorité. Après tous les enfants détestent toujours les parents à un moment donné et surtout à l’adolescence. Je souriais doucement en penchant la tête et le regardant toujours mon fils. « Moi aussi d’ailleurs car tu l’as fait et maintenant je vais devoir parler de ça devant ta petite sœur… », disais-je en murmurant doucement. « Penses tout d’abord à ton allergie au latex… Je ne voudrais pas que tu m’appelles en galère car de l’herbe pousse sur ton tuyau de jardinage… si tu vois ce que je veux dire ! », disais-je en tentant un petit sourire sous cette métaphore et allant vers le bon rayon tandis que je me sentais vraiment bizarre. J’inspirais doucement en arquant un sourcil. « Bon pour la taille… tu te débrouilles, j’ai envie de dire. Prends plusieurs tailles aussi pourquoi pas et tu verras par après celle qui correspond. C’était comme ça que je faisais mais après, t’es né donc j’ai dû changer de taille… », disais-je avec un sourire un peu sarcastique. Bien sûr, c’était clairement faux mais la taquinerie était sympathique. Je ne voulais cependant pas penser la taille qu’il voulait. « Mais attends patiemment, ne fais pas mon erreur d’accueillir toutes les filles dans ta chambre… prends la bonne. Ca fait vieux jeu mais un jour, tu diras la même chose à des gens mais attends 20 ans avant de faire un enfant. Promis ? », demandais-je en lui souriant. « Car à 6 ans, tu voulais déjà en faire, je n’aimerais pas que l’envie te reprenne… si tôt ! », disais-je en fronçant les sourcils. Même si j’étais heureux qu’il soit là, je me disais que j’aurais eu une vie différente tout de même. Une jeunesse différente, tellement différente pourtant j’aime mon fils.
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mot doux de Invité ► un Ven 12 Déc - 2:43
Mon père avait réellement un problème psychologique ce n'était pas possible autrement, il avait dû être atteint d'une engelure cérébrale avec l'hiver en approche, je suis sûr qu'il en était capable. Son chantage était simple, user de ma timidité contre moi pour me dissuader de mes achats et donc d'un quelconque passage à l'acte. C'était malsain et cruel, mon père n'était plus l'ange à mes yeux qu'il l'était autrefois c'est sur. On avait beau être resté proche, des conflits pointaient parfois le bout de leur nez et je me contentais de bouder quelques heures puis l'un ou l'autre finira par retourner vers l'autre puis on finira la soirée autour d'un chocolat chaud ou encore mieux: d'un bol de miel pops. En fait, je n'arrivais pas à lui faire la tête même si je pouvais le maudire par moments, comme en ce moment même! Je donnais l'illusion d'être calme mais dans ma tête, il était déjà mort trois fois. Toutefois, j'étais aussi légèrement têtu et même si j'allais devoir me livrer bataille pour oser le faire. Je ne voulais pas qu'il gagne la guerre puisqu'aucun de mes arguments n'avait fonctionné ni le fait que je le boude et bien soit. J'allais aller sur les genoux de ce père Noël confortablement installé sur son fauteuil juste devant un faux traineau qui émerveille les enfants alors que les rennes ne sont même pas vivants. Un Rudolphe en plastique vous y croyez? La magie de Noël disparaît vraiment peu à peu lorsque l'on grandit. Je faisais donc la queue derrière tous ses enfants hyperexcité qui craignait que le père Noël ne passe pas. C'était mignon mais moi à l'heure âge, je savais qu'il passerait comme j'étais plutôt sage et je préférais donc lui faire des jolis dessins. Je me rappelais alors avec nostalgie toutes ses lettres de listes de jouets que je lui avais envoyées dans les boîtes aux lettres prévues à cet effet en croyant qu'elles étaient envoyés au Pole Nord alors qu'en fait... je n'étais même plus sûr à présent qu'une personne dans cette ville ait eu la bonté d'âme de les ouvrir. Il devait s'amuser chaque année avec la broyeuse à papier. Alors que j'avançais, je sentais quelque regard se poser sur moi et je baissais les yeux en resserrant par réflexe mon écharpe en laine et en replaçant mon bonnet à pompon ... La mode n'avait pas tellement changé de ce côté-là si ce n'est quelque amélioration mais enfin, j'avais la salle manie de toujours bien remettre mes vêtements et/ou mes cheveux et mon amie Lily avait tendance à me dire que je les comptais. Faut être idiot pour compter ses cheveux, j'ai déjà essayé yen à trop j'ai abandonné au bout de cent cinquante trois et je suis sur que j'en avais compté plein en double. Et me voilà devenant papa Noël, bon sur ses genoux mais pour mon amour-propre, on va dire que j'étais resté devant lui. Je me demandais ce que j'avais bien pu faire au bon Dieu pour mériter un père pareil. Il était tellement cool et tellement con à la fois... Je pouvais pas avoir un père normal comme celui des jumeaux? Non le mien il était arrangé. Je me promettais intérieurement de plus aller à la messe le dimanche matin pour écouter les discours du pasteur et cette maudite chorale douloureuse pour mes oreilles, si on ne me l'aggravait pas lors de sa crise de la quarantaine. Car dans ce cas, je plaignais vraiment Dakota et le futur gremlins en construction. Je parlais alors avec ce pauvre monsieur à qui je devais ruiner les genoux, j'aurais dû lui donner quelque dollar qu'il aille se payer du vin chaud pour me faire pardonner. Mais je changeais finalement d'avis, lorsqu'il défendait mon père pff. J'aurais dû lui demander le jour de la Saint-Nicolas, j'aurais été parler au mec déguisé à l'entrée et je lui aurais donné une carotte pour son âne, car on serait devenu pote et l'amitié s'est carotte. Surtout que le père Noël là il faisait peur, je suis sur que c'était un psychopathe comme dans hostel et qu'il rêvait de me kidnapper et de me torturer en me coupant les tendons des chevilles et en m'arrachant mes beaux yeux bleus de leurs orbites... Je ne verrais plus le père Noël de la même façon. Je préférais donc m'éloigner et retourné vers mon père en lui disant que je le haïssais. C'était faux mais c'était pour donner plus d'impact à la scène, plus de... Bah pour me convaincre que j'étais un rebelle avec mon père. Non mais je vous assure, les disputes elles sont courantes chez nous... Le pire c'était que voir mon père perdre sa serviette (car en dix ans s'est arrivé tellement de fois que... S'en devient étrange) était plus courant que de nous entendre nous faire la guerre. De toute façon avec Cordélia c'était simple, un regard de la mort qui tue à chacun et tout le monde au lit, surtout depuis qu'elle est fourrée comme un ravioli. Je relevais alors le regard droit dans ses yeux alors qu'il en venait au sujet qui se voulait intéressant quoi que je me sentais finalement honteux d'en parler avec lui... J'aurais dû aller voir papy Jones pour lui poser des questions les jours des confessions. Non, j'aurais senti le regard de notre pauvre crucifié Jésus-Christ trop-plein de jugement pour l'assumer. C'est un regard qui ne vous quitte jamais. Je l'écoutais alors me parler de mon allergie au latex, je l'avais oublié et heureusement qu'il y avait pensé car je m'imaginais assez mal l'appelé juste après avoir interrompu un acte pour lui demander de m'aider car j'aurai le pistolet qui serait devenu un véritable bazooka sur le point d'exploser. Mais vraiment exploser, sans autre sous-entendu... Je notais donc ce léger détail pourtant important pour la survie de ce qui faisait de moi un homme. Je le suivais alors jusque dans ce rayon en me sentant de plus en plus mal à l'aise. Mais quelle idée j'avais eue... On se retrouvait plus ou moins à parler de chaussette ensemble... C'était gênant surtout lorsqu'il en venait à la taille. Hm... Hm... Je ne comptais pas vraiment lui dévoiler la taille approximative de ma tuyauterie car... ça ne le regardait tout simplement pas. Ce n'est pas vraiment le genre d'information que tous les pères savent à propos de leur gamin. J'écoutais alors son conseil d'en prendre plusieurs et de faire une séance essayage pour trouver le bon... Il faisait ça pour lui ? Enfin quand il était encore jeune et séduisant ? Bah cela n'avait pas vraiment marché puisque j'étais là. Je lui souriais alors timidement en tentant de cacher mon malaise tout en écoutant ses conseils... J'étais en couple avec un peu plus d'un an alors la bonne je ne savais pas mais notre relation était sérieuse. Je riais lorsqu'il me rappelait qu'à six ans je voulais déjà faire des enfants. J'étais jeune et innocent, la preuve j'avais eu peur la première fois que j'avais vraiment remarqué que Pépé change de taille par moments. "Promis, pas d'enfant avant vingt ans minimum !" On était d'accord là-dessus, personnellement, je n'en voulais vraiment pas. Si j'avais de l'affection à donner et bien je la reporterais sur ma soeur et mon futur frère. J'observais alors le rayon en observant qu'elle boite allait me convenir et acheter, autant faire d'une pierre deux coups et laisser mon père les payé... Car je me disais que les caissières qui encaissaient ce genre de chose devaient s'imaginer des choses. Je préférais qu'on imagine mon père tout nu que moi, c'était plus facile à vivre mais une nouvelle question venait alors dans mon esprit alors que je posais discrètement ma boîte dans le caddie pour ne pas que Dakota qui dormait à moitié ne pose trop de questions. "Euh... Faudra que tu m'expliques... Comment on les met ..." Je me sentais idiot mais j'avais souvent entendu que si tu l'ouvrais ou la mettais mal, il y avait plus de risques pour la percer et cela serait idiot... Évitons un accident pour ma première fois. Bon sang c'est bien le vingt-quatre décembre le plus fou que je n'ai jamais vécus. "Désolé" m'excusais-je en baissant la tête. "Je dois surement te mettre mal à l'aise mais..." Même si je faisais la tête de mule et d'autre bêtises, j'étais conscient que cela devait être aussi simple pour lui que pour moi, c'est-à-dire pas du tout. "Mais j'ai vraiment personne d'autre à qui en parler..." Mes amis n'étaient pas beaucoup plus avancé que moi... Le reste de mon entourage était essentiellement des femmes et il y avait papy Truc . C'était sans doute encore pire mon père était donc mon dernier recours si je ne voulais pas faire d'erreur.
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mot doux de Invité ► un Sam 20 Déc - 15:02
REED & CALEB
j'aimerais bien t'acheter des capotes mais t'as pas l'âge légal...
Des capotes… dans le fond ce n’est qu’un cache-oreille pour la flûte mais ça ne tient pas vraiment chaud sauf s’ils en font en peau d’ours et encore mieux s’il est polaire mais bon. Il faudrait aussi une doudoune pour la lune ce qui éviterait le rhume pour un bon nombre d’enfoiré… pour ne pas dire enculé… Oui non en fait, je ne suis pas mal luné. Et si nous arrêtions de parler de bijoux de familles ? Je devais me concentrer dans cette quête. Me concentrer, oui. Je m’y attelais aussitôt en l’entendant me dire qu’il ne ferait pas d’enfants avant 25 ans minimum… non en fait… 55 ans ? C’était négociable ? Cela lui permettrait de réaliser tous ses rêves et penser à lui. Puis après il serait juste trop vieux et cela serait parfait pour moi. L’espoir me fait vivre autant que le miracle n’est qu’une stupidité qui nous laisse penser qu’on peut réellement gravir des montagnes. Mais non enfin disons que dans la logique, je devrais surtout le dire que 25 ans, c’était déjà ça, non ? Il aura sûrement fini ses études ou presque finis. Tout dépend de ce qu’il voulait devenir. A cet âge, ça change beaucoup. Trop souvent. Je me demandais à l’époque si je ne faisais pas une résolution de changer d’idées pour mon futur. Un jour guitariste, l’autre futur dieu du piano ou futur dieu de l’harmonica. Je voulais chaque année un nouvel instrument de musique. Oui, bah je ne me rendais pas compte qu’en fin de compte… je voulais tout de même devenir un musicien. Qu’il pleuve ou qu’il neige ou qu’il… enfin soit. Je voulais bosser dans la musique mais ça c’était avant et puis bon, il avait le temps donc je pourrais même d’un coup en y pensant lui offrir des capotes pour 10 ans enfin plus vite des bons… ou des boites tous les mois pour 31 jours de l’année et plusieurs par jour. On ne sait jamais. Je voulais éviter qu’il fasse les mêmes erreurs que moi. Tellement. Je me contentais de regarder Dakota alors qu’il posait la boite dans le caddy. J’inspirais doucement en posant les mains sur la barre de la charrette. L’endroit où on pouvait la pousser. C’est quand cette question pointait en quelques sortes le bout de son nez que je tournais le regard vers lui. Non, il n’avait pas demandé ça ? Je restais genre… comme une merde qui fait juste sa petite mèche par-dessus mais ne bouge pas et se fige. Je me sentais comme un caca, bien sûr. Mon souhait était tout simplement de ne rien avoir entendu mais je pouvais bien rêver avec cet enfant. Non mais vraiment. L’espoir me fait vivre. Non mais donnez-moi un pont que je saute. Je ne demanderais même pas de cordes sauf peut-être des paillettes et un feu d’artifice pour que ça soit majestueux. Cela serait tellement mieux. J’inspirais, il disait être désolé mais je priais tellement pour qu’il demande ça à quelqu’un d’autres. Enfin depuis qu’il était gosse, je priais pour qu’il pose ce genre de questions à quelqu’un d’autres. Et puis, je n’étais pas vraiment des plus doués avec les capotes non plus. J’inspirais doucement, je voulais tellement qu’un mistral nous frappes et que je m’en vole tel un Caleb Poppins avec mon parapluie retro. Je serais tellement sexy mais vraiment. Enfin soit… je le laissais continuer en restant face à lui, sûrement pas plus flexible qu’un cookie de noël en forme de petit biscuit mais bon. Il me parlait quand même de son petit biscuit et même si j’étais sûrement celui qui l’avait le plus vu depuis sa naissance… je ne voulais pas vraiment imaginer le moment où il faille l’aider à l’emballer. Je me sentais clairement comme un âne ou un animal avec le cerveau aussi gros qu’un confetti. Un cerf pourquoi pas ? Oui, tous les animaux des fermes et même des sangliers. Je voulais encore une fois dans ma vie me jeter sur la prochaine bougie que je croisais. Peut-être allais-je finir en flamme une bonne fois pour toute ? Oui, peut-être ou peut-être pas. Je le regardais alors qu’il me disait n’avoir personne à qui en parler sauf moi. Je le comprenais dans un sens. Je n’avais pas eu mon père à qui en parler. Je soupirais doucement, posant ma main sur mon front que je massais doucement en haussant les sourcils pour avoir les plis au front. Je penchais doucement la tête. « Par ce que tu crois que je peux aider ? », disais-je alors en gloussant doucement. « Punaise, j’ai mis une fille enceinte à peine sorti du lycée… », disais-je en riant nerveusement. « Et encore, j’y étais encore… », soufflais-je en penchant doucement la tête et regardant cette femme qui venait de nous écouter et me regardait avec ce regard rempli de jugement que j’avais souvent vu dans le passé. Ce jugement qui au départ m’avais blessé et après m’avait rendu plus fort. J’avais encore eu en plus l’envie de lui prouver que je pouvais y arriver mais surtout que j’allais y arriver. « Tout le monde me regardait comme cette vieille pie ! », soufflais-je tout bas mais en même temps pas assez pour qu’elle ne l’entende pas. J’entendais un petit « humm ». Elle ne semblait pas offusquée mais ce petit son accusateur et sarcastique alors qu’elle prenait son article et changeait de rayons. Je soupirais doucement en poussant le caddy et tournant mon regard vers Reed. « Qu’est-ce que tu veux que je t’explique ? C’est comme les bas collants d’une femme, faut faire ça tout simplement avec délicatesse… et puis… », j’inspirais doucement. « T’étais ou pendant les cours au lycée ? Ils font toujours cette formation pour vous apprendre comment en mettre et j’en avais une sauf que j’embrassais la voisine au lieu d’écouter… », parlais-je de Nikki ou alors d’une autre ? Une autre fille bien sûr. Je parlais de ma voisine de classe. Stacy Ribler. Elle était toujours à côté de moi avec ses longs cheveux blonds et ses yeux bleus. Elle était tellement belle. Elle faisait tourner la tête de tous les mecs. « Tu peux t’entrainer sur une banane ou deux à la maison… enfin dans ta chambre, je préfère que tu évites de le faire devant ta sœur… », disais-je en soupirant doucement et détournant mon regard. Je me grattais alors le menton en regardant le rayon dans lequel nous étions. J’attrapais plusieurs aliments de la liste et dont une boite de céréales. Les seuls au monde qui pourraient me redonner le sourire tous les matins. « Ensuite tu vérifies que tu n’as rien percé en allant les remplir d’eau ! », disais-je aussitôt en haussant les épaules.
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mot doux de Invité ► un Lun 12 Jan - 8:11
Cette journée shopping au magasin du centre commercial entre père et fils (et petite soeur un peu trop bruyante installée dans le caddie s'était montrée assez surprenante... surtout pour mon père. Le pauvre avait subi de véritables bousculades spirituelles avec mes différentes questions, pire que le jour où j'ai compris qu'un mec avait des érections le matin. Je reconnaissais avoir été sans doute un peu violent de lui avoir montré si subitement l'article que je convoitais mais j'aurais pu tenter une meilleure approche si Dakota avait fait moins de bruit. J'étais donc innocent mais actuellement j'avais besoin de conseil car s'il n'avait s'agit que de prix, j'aurais pu me le payer moi-même car cela ne ruine pas le budget. Pas besoin d'un portefeuille bien rempli d'argent ou d'une carte de crédit pour se payer une boîte de capote, cela ne coute pas bien cher, c'est de l'avis de mon papa dont j'avais besoin oh et qu'il passe mes achats à la caisse pour moi car cela me gênait. Lorsque le caissier passe des articles gênants, j'ai l'impression d'avoir une étiquette collée sur le front qui dit ce que je vais faire et après je reste stressé jusqu'à ce que je quitte la boutique. Pire que mon stress dans la foule. Mais revenons en ont nos moutons qui étaient de trouver quelle capote je devais acheter. Des enfants ? Surement pas tout de suite vraiment, je n'en avais absolument pas envie. Je n'avais que seize ans et encore tellement de rêves d'avenir pour tout gâcher avec un enfant. Mon père avait dû renoncer à certains de ces rêves pour moi et égoïstement je ne voulais pas faire pareil. Mes rêves à moi étaient simplement différents, je ne rêvais pas d'être musicien malgré le fait que je tienne de mon père sur ce point et que j'ai appris à jouer de plusieurs instruments, je me voyais plus dans la médecine... J'avais mes ambitions sans me mettre la charge d'un enfant sur les bras et puis... Si je voulais un enfant je ne tiendrais pas cette discussion avec mon père ! Mais le pire du pire fut la toute dernière question je lui posais, qui lui tombait dessus comme un poids de plusieurs tonnes, mais je ne savais vraiment pas à qui demander. Il ne bougeait plus, ne bronchait plus... Respirait-il encore ? Oh et merde, je lui demandais pas une démonstration mais des conseils ! Moi si j'ai un fils qui me demande ce genre de questions, je lui répondrais clairement, mais ... on a le temps. Je hochais bêtement la tête quand il me demandait si je croyais qu'il puisse m'aider avant qu'il n'ajoute qu'il a mis une fille enceinte à peine sortit du lycée. "Oui mais... J'ose espéré que depuis, tu as su comment faire..." Bah oui, je veux pas dire mais seize ans se sont écoulés depuis cette erreur et je pense bien que lui et Cordy ne l'ont pas fait que pour la conception de... Bref je viens de me mettre une image horrible en tête. Je jetais un regard à la vieille qui nous espionne avant de revenir sur lui. Les conflits n'étaient pas vraiment ce que j'aimais le plus dans la vie. Je riais légèrement quand il me parlait des cours aux lycées. "Bah si tu avais suivi le cours, qui est essentiellement de la théorie et des mises en garde... Ah  et la petite démonstration du prof sur son index et son majeur, tu saurais que ça n'aide pas." Je haussais les épaules écoutant finalement son conseil qui est... De s'entrainer sur une banane mais dans ma chambre pour préserver Dakota... M'ouai préserver Dakota ou le préserver lui? Il y a un peu des deux je pense. Je souriais en l'observant prendre des miel pops que j'aimais toujours autant. Je trouvais ça dommage que Dakota, elle n'aime pas... Mais elle est comme la plupart des gamins à dire que tout ce qui est au chocolat est forcément meilleur. Revenons en une dernière fois à nos moutons avec son dernier conseil. "D'accord, je note !" Je souriais en venant près du caddie qui avait un peu avancé sans moi, enfin pas tout seul, papa avait avancé. "Oh et... Tu pourrais oublier cette conversation ?" Oh oui je savais qu'il allait tout essayer pour en tout cas. Finalement une fois ce sujet assez douteux passer la fin des courses se déroula presque bien.

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