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colalika { I'm sorry .. but you love me


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mot doux de Invité ► un Dim 24 Aoû - 0:56

I'm sorry .. but you love me
With this heart i have the power to blame youre eyes, I sing till the day wakes up a bright shine at the heavens sky, my heart burns. They come to you at night, deamons, ghosts and black elves. They crawl up from the cellar rows and will take a lok under your bed. They come to you at night, like ghosts.
[i]
Une journée normale,  agréable et paisible.  Je la voyais ainsi ma journée, je venais de me réveiller, j’étais encore dans mon lit, alors que j’entendais les pas de mouche de San dans le couloir séparant nos deux chambres. Je fermais les yeux pour lui laisser ce petit plaisir qu’il avait de venir sauter sur moi pour me réveiller et recouvrir de baiser !  San venait de me sauter dessus alors que j’éclatais de rire en l’allongeant sur mon lit et pour le dévorer de baiser ! «  Non, maman, noon ! »  Je rigolais en me redressant alors que je venais embrasser à nouveau sa joue alors qu’il avait une mine boudeuse ! Il n’aimait pas que je l’embrasse autant, surtout le matin, car il voulait le faire, me réveiller ainsi, sauf que pour une fois le soleil avait eu de l’avance sur lui. Je me levais en prenant dans mes bras mon petit singe ! Je devais me presser et le préparer, malgré qu’il soit en vacance scolaire, je n’avais pas pu avoir beaucoup de jour  pour m’occuper de lui et partir en vacance d’autant plus que ces journées n’étaient pas encore arrivées !  Je préparais son petit déjeuner le temps qu’il était dans son bain, tout en buvant mon chocolat chaud.  Je venais d’allumer la télévision pour écouter un peu les informations,  rien de très réjouissant comme toujours  après tout.  J’allais sortir  San du bain l’emmitouflant dans son peignoir pour qu’il mange sans se salir, une fois le petit déjeune dégusté, je l’habillais alors qu’on frappait à la porte.  Je soufflais, car le début de journée était toujours très mouvementé.  San allait ouvrir la porte à sa tante, la plus petite d’entre elles.  J’allais prendre ma sœur dans mes bras tout en lui tendant comme toujours les affaires du petit ! Je les laissais filer après avoir serré mon fils longuement dans mes bras.
Enfin seule ! Pourtant, ce n’était pas pour ça que j’allais pouvoir me reposer sur mon canapé à regarder la télé ou écouter de la musique avant d’aller au travail. Non, il fallait que je range le petit déjeuner, que je m’habille et que je range un peu l’appartement. Une longue journée à vrai dire, je me sentais fatiguée et  nauséeuse, comme toujours, mais j’allais faire avec !  J’étais pressée, car au final, même réveillé à l’heure je finissais par être en retard et c’était assez angoissant à mon goût ! J’avais horreur d’être en retard.  Je m’allongeais sur mon lit une fois tout fini, il ne me manquerait que le noir complet et je finirais par m’endormir comme une larve sur ce dernier.  Mes yeux se fermaient alors que je continuais de lutter pour ne pas m’endormir, mon dieu que cela m’énervait énormément ! Je me relevais et secouais la tête, j’étais comme vide d’énergie, c’était étrange tout ça c’était depuis que je savais que j’étais malade, mais avant j’allais bien, j’étais fatiguée, mais pas autant que ça ! Peut-être que le savoir jouait un peu plus sur notre subconscient qui rendait la chose plus prononcé ? Je n’en savais rien, puis je n’avais pas le temps de répondre à cette question.

J’étais enfin dans la voiture, oublié la fatigue, de toute façon j’avais nullement pour ça ! Je devais aller au poste de  police pour bosser et ce soir pendant deux heures répondre au téléphone rose ! Alors, j’avais de quoi faire tout en préparant à manger  pour mon fils et moi !   J’étais en plein centre-ville, je roulais doucement, histoire de ne pas être arrêté par la police, quoi qu’au moins il m’emmène directement au travail.  Alors que mes paupières se faisaient de plus en plus lourdes, mes mains ne tenaient plus fortement le volant qui glissa vers la gauche emmenant la voiture directement sur une poubelle !  Ma tête cogna doucement  le volant alors que je restais dans les vapes ne comprenant pas tout ce qui était en train d’arriver.

Je me réveillais alors que j’entendais  Kamil au téléphone avec la personne à prévenir en qu’à que je me retrouvais dans cette situation.  Malika. Elle allait me tuer !  Je soufflais finissant par refermer les yeux pour ne pas que Kamil comprenne que j’étais enfin éveillé. Je regardais discrètement l’heure et fût choquée, il était presque trois heures de l’après-midi ! Comment j’avais fait pour passer de huit à quinze heures ?






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mot doux de Invité ► un Ven 5 Sep - 3:00
Actuellement Malika n’a rien à faire et pour cause, son fils se trouve à la crèche et elle ne travaille que l’après-midi. Depuis quelques temps maintenant elle travaille dans la caserne des pompiers en tant que secrétaire. Autant dire que c’est beaucoup de boulot d’un coup entre les papiers et les coups de fils mais bon, il faut bien avouer qu’elle se débrouille comme un chef. Non seulement, Malika a déjà fait du secrétariat dans les nombreux postes qu’elle a occupé ses dernières années mais en prime parce qu’elle a toujours baigné dans un environnement de pompier, entre son père adoptif et son grand frère, autant dire que la blonde y est habituée. Pourtant, malgré qu’elle s’y débrouille bien, elle est bien heureuse d’avoir sa matinée. Malika n’est pas vraiment du genre à faire la grasse matinée, à aimer dormir puisqu’elle a plus l’impression de perdre son temps qu’autre chose, ce n’est donc pas pour cette raison qu’elle est heureuse de fuir le boulot au moins quelques heures. C’est sans doute parce qu’elle a du mal avec le fait de côtoyer tous les jours ou presque Addon, son grand frère même si elle n’est pas vraiment certaine de le considérer comme tel aujourd’hui. Autant dire que de vivre dans la même ville n’est pas la chose la plus simple alors travailler dans le même endroit même si Addon est souvent en action. Enfin bref, elle profite bien de sa matinée parce qu’elle ne voit pas alors ce n’est tout de même pas pour penser à lui.

Malika aurait pu profiter de sa matinée pour la passer avec son fils et non pas la laisser à la crèche mais elle va plutôt profiter de sa matinée pour sortir un peu. Elle ne sait exactement ce qu’elle va faire mais elle sait qu’elle a besoin de bouger et non plus être dans la spiral du quotidien. Maintenant qu’elle a retrouvé du boulot elle a vraiment l’impression que sa vie c’est métro boulot dodo même si il faut rajouter dans l’équation Maddox son fils bien sûr mais aussi Leamon avec qui elle entretient une relation dont elle ne serait pas capable de donner un nom pour désigner leur relation exacte. Enfin bref, elle a besoin de prendre l’air, de changer ses habitudes alors elle sort sans savoir où aller, chose qu’elle ne pourrait pas faire avec Maddox puisqu’elle est plutôt dans le genre à tout contrôler quand elle est avec son fils pour que rien ne puisse l’attendre. Pourtant, alors qu’elle était tranquillement en train de marcher, un café venant tout droit du Starbuck Coffee dans les mains, elle sentit sa poche arrière où logeait son téléphone vibrer. Les mains prises, elle mit un temps fou à pouvoir y répondre mais heureusement la personne fut encore l’autre bout du fil. C’est avec un sourire qu’elle a répondu, sans doute son âme de secrétaire qui doit être impeccable au téléphone qui prend le dessus mais ce sourire disparu à la seconde même où la personne se présenta : un médecin. Si un médecin des secours l’appelle ce n’est pas une bonne chose et elle le sait alors elle se mit immédiatement à flipper. Cola… C’est d’elle dont il s’agit… Elle se trouve donc à l’hôpital il n’y a pas de toute la dessus c’est sur et Malika sentit son cœur faire de nombreux boum dans sa poitrine. Savoir sa que meilleure amie se trouve à l’hôpital alors qu’elle est malade lui fait un mal de chien tellement elle a la trouille. C’est donc en taxi qu’elle prit la route vers l’hôpital puisqu’elle ne voulait pas prendre le temps de rentrer chez elle pour prendre sa voiture. De toute façon elle n’est pas en état de conduire vu à quel point elle tremble.

Arrivant à l’hôpital, elle se dirigea immédiatement à l’accueil, dépassa deux personnes à la file d’attente puis pu enfin avoir des nouvelles de Cola, enfin elle sait qu’elle est en vie, c’est déjà bien et elle sait aussi où elle se trouve. Une nouvelle fois elle se précipita à l’endroit où se trouve la blonde, sa moitié puisqu’elles se ressemblent plus qu’on ne puisse l’imaginer. « Colaaa » Cria-t-elle limite dans tout le couloir en la voyant de loin. Bon elle risque de se faire jeter par les autres vu l’endroit où elle se trouve mais quand même, elle s’en fiche. « Est-ce que ça va ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ton médecin a été assez vague en m’appelant » Lika sait qu’elle est la personne à appeler en cas d’urgence mais elle préfèrerait qu’on ne l’appelle pas, ça voudrait au moins dire que tout va bien pour sa meilleure amie.

La présentation arrive demain, je m'endors :p
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mot doux de Invité ► un Sam 6 Sep - 19:02

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Etre maman demandait d’être très organisée, chose que je n’étais pas réellement pourtant il fallait bien que je parvienne de temps à autre à l’être.   J’adorais être une maman, je n’aurais jamais imaginé ça avec San, c’était impossible à vrai dire.  J’étais la jeune femme  qui était prête à s’amuser, j’étais surtout très jeune durant ma grossesse, retomber sur mon premier amour avait tout fait ! Je n’aurais pas imaginé être maman avant trente ans, il faut dire que j’avais encore beaucoup de chose à voir , à faire, mais  ce qui était bien c’était que San n’était pas un frein à mes rêves et même si il l’aurait été je n’aurais jamais pu lui en vouloir ! Qui pourrait avec ce sourire dont il pouvait habiller son petit minois ? Personne.  J’adorais ça passer mon temps avec lui,  je pouvais cesser de travailler, avec mes parents adoptifs qui voulaient m’aider avec le petit, mais je voulais le faire par moi-même ! Quand j’y pensais , je me disais que j’avais une chance implacable pour le coup d’avoir deux familles, même si les circonstances étaient assez étranges.  Etre kidnappé , adopté contre de l’argent et au final tomber de haut pendant une arrestation, enfin c’était une longue histoire qui n’était pas déprimante, je l’avais raconté au monde entier, enfin à l’Amérique, sauf si certain internaute était de France ou autre pays s’en rapprochant.  Je n’avais pas honte de mon histoire, ce que j’espérais c’était un jour retrouver cette femme qui avait été capable de m’enlever à ma famille ! Oui, ils avaient une famille nombreuse, mais ce n’était pas une raison.

Enfin , je n’allais pas penser des heures à toute ma vie sinon je ne serais jamais à l’heure au travail.  J’avais six heures à donner au commissariat pour prendre les détails des visages des futurs criminels recherchés.  Je n’étais pas en superbe forme, mais je n’avais pas le temps de prendre quelques minutes pour moi ! Si j’aurais su ce que ces quelques minutes de repos m’aurait évité de subir, j’aurais forcément sauté sur mon lit ou encore mon canapé pour prendre le temps !  La maladie était une garce !  À croire, qu’elle voulait que tout le monde soit au courant que je n’étais plus en bonne santé.  Je l’avais caché, supposant juste à mes proches que j’étais fatiguée et lessivée, mais  j’avais juste une insuffisance rénale qui avait commencé depuis un petit moment, mais que j’avais refusé de faire soigner ! Je n’aimais pas aller au médecin sauf pour San, c’était mon exception !  Je n’avais pas eu le choix à Big Brother d’accepter les secours après mon évanouissement en plein prime ! Mon secret venait d’être découvert, je n’avais pas fait grand-chose pour le cacher, à vrai dire, je voulais qu’on le connaisse, alors tant pis pour l’argent, au fond j’en n’avais pas besoin !

C’était comme ça que je me retrouvais à l’hôpital. Un malaise en pleine route, j’avais planté ma voiture dans une poubelle dans ma propre rue  ce n’était pas ce qu’on pouvait appeler de très discret.  J’étais malgré tout heureuse que mon fils ne fût pas avec moi, j’aurais eu peur de le blesser.  Je me retrouvais dans ce lit à attendre ce que Kamil allait encore me dire ou m’engueuler à nouveau ,car je ne me soignais pas ? Hum sans doute ! Enfin, j’étais heureuse de le revoir, même si les circonstances étaient plus que pourries.   Ma porte de chambre était ouverte et je pouvais entendre  le surnom cola  écrié dans les couloirs, un sourire venait s’éprendre de mes lèvres alors que je me mettais à répondre ! « Likaaa » Je ne criais pas très fort vu que j’étais assez fatiguée pour le coup, mais assez pour qu’elle puisse se guider à ma voie, le même étage, l’étage fait pour les malades des riens.  Je soupirais en la voyant passé la porte , laissant un sourire  se placer à nouveau sur mon visage.  «   Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai fait un malaise … je suis désolée de te faire appeler à chaque fois . »  Lika espérait que je finisse par prévenir mes familles même si au fond, elle m’en voudrait que je ne la prévienne plus de mes petits problèmes de santé. «   Où est Maddox ? »  Je souriais me redressant un peu sur mon lit en observant ma meilleure amie .







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mot doux de Invité ► un Ven 17 Oct - 0:13
A chaque coup de téléphone, Malika flippe, encore plus lorsque son interlocuteur lui annonce être un médecin. Elle redoute tellement le jour où on lui annoncera une mauvaise nouvelle. La blondinette espère que ce jour n’arrivera pas, c’est clair mais à chaque fois qu’un numéro inconnu l’appel, elle ne peut s’empêcher de se faire des tas de films et à chaque fois c’est loin d’être les meilleurs. Vu la tête qu’elle fait aujourd’hui en arrivait à l’hôpital, c’est sûr que là encore une fois elle est inquiète. De toute manière elle le sera toujours, c’est un fait. Alors qu’elle demanda l’étage sans vraiment que ce soit utile puisque c’est quasiment au même endroit à chaque fois, c’est-à-dire dans le couloir spécialisé pour les patients étant malades des reins, elle ne prend pas son temps avant de venir la voir. Cola l’appelle, malgré que ce ne soit pas vraiment dit d’une voix très forte, ça l’est assez pour qu’elle reconnaisse sa voix et soit guidée par celle-ci pour la trouver sans même regarder le numéro de la chambre. De toute façon la porte est ouverte alors il n’y a aucun risque qu’elle tombe sur quelqu’un dans une situation compromettante. C’est totalement hors sujet mais Malika vient de se faire cette réflexion-là, faut pas trop chercher à comprendre. En tout cas apparemment elle va bien, du moins en apparence et elle n’a pas morte alors Malika peut souffler un bon coup. Son sourire sur son visage montre qu’elle a moins la trouille en tout cas. « T’inquiètes pas, ça ne me dérange pas ! » A chaque appel pour quelque chose comme ça, elle préfère être mise au courant. « Au moins je peux venir voir de mes propres yeux que tu vas bien ! » Nicola serait capable de lui dire au téléphone que ça va bien alors que c’est le contraire ou même lui cacher ceci pour ne pas l’inquiéter. Au moins avec les médecins, elle peut savoir comment va sa meilleure amie puisqu’ils sont de très mauvais menteurs. Elle l’a déjà remarqué une fois ou Cola a dû demander de le faire pour ne pas qu’elle s’inquiète. De toute façon maintenant qu’elles sont toutes les deux à Pasadena en même temps, à part si elle ne peut vraiment pas, elle fait le déplacement pour le voir d’elle-même. Plusieurs fois, elle a essayé de la convaincre de mettre au courant sa famille mais elle ne lui force pas la main non plus. C’est son choix à elle et à elle seule. Sa famille aimerait, du moins Malika le pense en tout cas, être au courant de ce qu’il lui arrive mais Cola est majeure est vaccinée, elle fait absolument ce qu’elle veut. Du moins, elle ne cesse de lui dire de temps en temps parce qu’elle sait qu’à la place de sa famille, si c’était Théo par exemple, elle aimerait absolument le savoir. « Je l’ai déposé à la crèche ce matin » Et vu la situation, elle a bien fait parce qu’elle aurait dû trouver quelqu’un pour la garder à la dernière minute pour venir ici. En même temps même si Cola est la marraine de son fils, elle ne l’aurait pas emmené ici. Malika ne l’emmène jamais avec elle lorsqu’elle vient. Elle a dû l’emmener une seule fois parce qu’on l’avait appelé en urgence et qu’elle n’avait pas le temps de trouver quelqu’un pour le garder. « Kamil était avec toi ? » C’est sûr que ça, c’est une question assez importante. En même temps c’est la crainte de toutes les mamans, avoir un problème alors que notre enfant est là. Malika étant maman elle-même, elle sait comment ça se passe. Espérons donc qu’il n’était pas avec Nicola lors des faits. Quoi que, elle le saurait surement si les secours l’avaient pris avec eux en emmenant Cola ici puisqu’elle a eu son médecin l’a eu au téléphone. Dans le cas contraire s’il avait été là, il aurait eu l’intelligence de la prévenir, ‘fin normalement. S’asseyant sur le fauteuil situé à côté du lit, en regardant sa meilleure amie allongé sur ce lit d’hôpital, les questions étaient de sorties « Ils t’ont fait des examens ? » Bah oui, elle a fait un malaise, maintenant elle a l’air d’aller bien mais on ne sait jamais n’est-ce pas. En tout cas qu’importe ce qu’il se passe, qu’importe les résultats elle sera là pour elle et aussi là pour essayer de la convaincre d’accepter les traitements. Elle est là pour ça non ?
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mot doux de Invité ► un Sam 18 Oct - 23:08

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Je me sentais faible, mais pas au point de m’écrouler dans ma voiture en plein milieu d’une rue familiale où j’aurais pu blesser quelqu’un.  Je m’en voulais d’avoir fait mon malaise dans la voiture, pourquoi j’avais fait ça, il était impossible de le prévoir, je le savais bien, mais j’avais de la rancœur contre moi-même pour le coup.  J’aurais pu faire du mal à un enfant et tout ça en cachant ma maladie ? Je ne voulais pas être maternée ou encore protégée, pourquoi je devrais avoir une quelconque attention sur moi ?  Je ne voulais pas de ça.  J’étais malade, pas encore mourante et j’allais me soigner, même si je laissais un peu le temps couler depuis la découverte de cette chose qui était en train de ruiner toute ma vie. Enfin. Il fallait réellement que je me bouge et que je cesse de me prendre la tête pour le coup,  j’allais me soigner, mais pour le moment il fallait que je me repose. Du moins, j’allais le faire jusqu’à entendre la voix de Malika venir taquiner mon ouïe. Je mordais un peu ma lèvre.  Je me préparais  activement à son entrée immédiate et fracassante dans ma chambre,  je souriais, même si l’envie de dormir était présente, mais dans le fond sourire alors que Lika était présente c’était comme habituelle, il m’était impossible de ne pas sourire avec elle dans les parages.  «  Non, je te l’aurais dit si j’allais mal voyons que ! »  Bon, elle avait surtout raison, j’aimais bien ne pas inquiéter mes proches, surtout que ma meilleure amie était la seule à savoir exactement ce que j’avais, pourquoi j’étais si fatiguée et lui mentir ne pouvait que la soulager  ce qui était parfait pour moi, je ne voulais pas qu’elle aille mal par ma faute, mais  je ne pouvais pas faire grand-chose que j’étais évanouie et que des personnes venaient lui téléphoner pour lui donner des infos sur moi, je l’avais mis elle en cas de problème. Je  me demandais dans le fond comment elle faisait pour me supporter ? Je lui apportais que des complications à Lika et elle avait beaucoup de chose à ne pas penser.  J’oubliais tout ça, faisant comme si être ici étai habituelle et que ce n’était pas si difficile ma vie actuellement. Je souriais un peu en l’entendant parler de la crèche. «    Il doit être bien là-bas non ? » demandais je en passant ma main dans mes cheveux tout en soufflant un peu en voyant l’une des infirmières entrer dans la pièce pour me dire que mes résultats étaient arrivés sur le bureau du médecin. Forcément mon ex, forcément vu qu’il était mon médecin dans le fond.  Je secouais la tête à la question de Lika, non mon fils n’était pas là heureusement, je m’en serais littéralement voulu encore plus ! Blesser mon fils ? Je n’aurais pas pu me le pardonner.  Cela aurait été difficile.  «  Oui, il est avec ma petite sœur, elle voulait le garder... heureusement. » Je mordais doucement ma lèvre en imaginant dans ma tête c drame si il était avec moi dans cette voiture, mais heureusement ce n’était que l’un de mes films que je venais de me faire.  «  Oui et il a les résultats... il va sans doute me dire que je suis fatiguée … rien que je ne sache déjà.. » Je souriais alors qu’à mes mots il entra dans la chambre, je le regardais et mon cœur s’emballa en un instant. Je regardais Lika en le voyant hésiter face à moi, alors qu’il avait l’air de se demander s’il pouvait parler avec ma meilleure amie dans les parages. «  Tu peux tout me dire devant elle. »  Elle le saurait forcément par moi la seconde qui suivait, du moins je ne m’attendais pas à son annonce, surtout qu’il avait l’air d’hésiter.







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mot doux de Invité ► un Mar 11 Nov - 19:55
Savoir que sa meilleure amie va mal, va peut-être même pas s’en sortir si ça ne se passe pas bien fait tellement du mal au cœur de Malika. Bien sûr, elle ne le montre pas à la principale intéressée. En même temps, elle ne veut pas l’inquiéter, ce n’est point à elle de le faire. De plus, Lika ne souhaite pas que Cola se sente mal à l’idée de faire peur à tout le monde. C’est pour ça que l’une des deux blondes, la plus jeune préfère flipper en silence afin que sa meilleure amie n’ait pas plus de soucis qu’elle n’en a déjà. Il faut croire que les deux blondes sont pareils parce que Nicola non plus ne veut pas lui faire trop de soucis alors que Lika n’est pas vraiment celle à ménager. « Mon œil, tu serais capable de me le cacher vilaine » Dit-elle en lui tirant la langue. En effet, elle la connait assez bien pour savoir qu’elle pourrait lui cacher son état pour la simple et bonne raison qu’elle ne voudrait pas qu’elle se fasse trop de soucis. Tout de même, elle reste l’une des seules à savoir pour son état. Même sa famille l’ignore. Ce n’est pas faute d’avoir essayé qu’elle leur annonce mais bon, elle n’insiste pas. C’est son choix et chacune ses problèmes de famille après tout. « Ouais il doit être bien. Tant mieux, tant que l’une des employées ne me remplace pas dans son cœur, c’est tant mieux hein ! » Elle aimerait pouvoir passer plus de temps avec son fils mais le boulot oblige. Faut bien qu’elle ait de l’argent pour payer toute les charges qu’elle a payé seule. « Ouf, tu dois être soulagée ! » Elle ne sait pas exactement ce qu’il s’est passé mais c’est vrai que ça aurait pu lui arriver n’importe quand et donc en compagnie de son fils. Heureusement, ce n’était pas le cas. Malika n’ose même pas imaginer l’état de Cola si jamais il lui serait arrivé quelque chose mais c’est le genre de chose qu’il ne vaut mieux pas imaginer. Finalement, au moment même où sa meilleure amie lui affirma que le médecin a les résultats, celui-ci fit interruption dans la chambre. Eh beh on pourrait presque croire que c’est un signe. Hum pas mal son médecin, il n’y a pas à dire. Malika aurait pu lui dire qu’elle était veinarde mais ce n’est pas vraiment le bon mot à employer dans la mesure où si elle l’a comme médecin c’est bel et bien parce qu’elle est malade et dans son cas, c’est assez grave. Tout de même, il reste carrément canon. Elle ne sait même pas qu’il s’agit de l’ex de sa meilleure amie. Comme quoi, chacune ses secrets puisqu’elle-même ne lui a pas encore parlé de Leamon son petit ami enfin si on peut l’appeler ainsi. Se rapprocha de sa meilleure amie en voyant la tête du médecin qui allait lui donner les résultats des différents examens qu’elle a fait avant que Malika arrive. Elle se mit même sur le lit juste à côté d’elle pour lui prendre la main et être son soutien si jamais il y a de mauvaises nouvelles. « Je viens de recevoir tes résultats Nicola, ce n’est pas bon, pas bon du tout. L’un de tes reins a lâché et si tu aurais pu vivre exclusivement avec le second, celui-ci ne pourra pas fonctionner tout seul… » C’est en quelque sorte ce que le médecin lui a annoncé, Malika ne se souviens pas exactement de ses mots. Cette dernière eu du mal à prononcer quoi que ce soit, choquée de cette nouvelle, que l’état de son amie soit encore pire qu’elle ne le croyait. Regardant sa meilleure amie, elle lui serra la main pour lui montrer encore une fois qu’elle était là pour elle. « Mais… il y a de fortes chances pour qu’elle s’en sorte hein ? Doit y avoir des solutions… » Malika a toujours été nul en ce qui concernait les maladies et les hôpitaux. Tout ce qu’elle sait c’est ce qu’elle a vu dans Grey’s Anatomy donc autant dire que c’est assez limité et pas assez scientifique. « Ça va aller, il y a forcément un moyen ! » Dit-elle pour essayer qu’elle ne s’inquiète pas trop tout en le disant pour elle-même également. A cet instant précis, elle flippe, elle flippe totalement. Elle ne pourrait pas supporter de perdre son amie.
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