l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 25 Mai - 22:39 | | | Ma vie devenait-elle rose ? Je ne sais pas. Oui dans un sens. Tout allait bien mieux. J’avais retrouvé la chaire et mon sang. Ce bébé aux roses joufflues que j’arrivais durement à laisser s’en aller loin de moi. Je n’y arrivais pas comme si j’avais peur d’encore une fois faire mal mon job de maman. Je ne paniquais rien qu’à l’idée. J’avais repris le boulot depuis seulement une semaine que je devenais déjà dingue tous les jours. J’avais tentée d’envisager une nounou mais non. J’étais perdue. Totalement perdue. Aujourd’hui, j’avais réussie à avoir l’aide de Junie. J’espérais vraiment arriver à laisser ma fille quitter le bâtiment sans vérifier même par la fenêtre qu’elle soit en sécurité. J’en tremblais presque de peur en posant mon portable qui m’annonçait que la jeune femme arrivait bientôt. Je tournais mon regard vers Oscar qui était penché sur le couffin. Il regardait le bébé tout en tenant une banane encore fermée dans sa main. Je souriais, laissant glisser les roues de mon tabouret sur le sol. Les journées au boulot étaient différentes depuis que la petite était de retour. Tellement différente. Je devais avouer avoir bossée pour m’échapper ou me sentir utile pendant qu’elle avait disparue et ça aidait mais dans le fond : je n’avançais pas. En une semaine, je sentais enfin que je travaillais. Des vaccins trouvés pour deux petits éléphanteaux du zoo étaient enfin presque résolu. Enfin j’avais encore du travail à faire pour éviter quelques possibles effets secondaires mais ça ce n’était qu’une broutille. Revenant un peu vers mon calepin, je lisais quelques notes que j’avais faites le jour avant. Il ne devait être que 10 heure du matin ou presque. Rosie à l’école et tout le petit monde qui restait avec moi. Je parle bien du petit monde pas du grand dadet aux yeux bleus qui… me rendait dingue à être aussi sexy mais non… je devais être forte. Pourquoi les hommes qu’on aime sont aussi sexy quand même… Comment résister à l’envie d’être là pour lui ? C’était difficile. Tellement difficile mais une part de moi lui en voulait tellement. J’avais la sensation qu’il n’était plus le même depuis. Après je ne pouvais pas lui jeter la pierre. On avait traversés tellement de choses. Lui compris et peut-être plus. Je n’étais pas là pour compter les points après tout. On avait un enfant, tout était différent sur la chaine « alimentaire » car oui, faut le consommer quand on est en couple. (bon d’accord, je sors xD). Je me levais de bonne heure pour les biberons donc bon. J’étais bien réveillée. Je mettais un peu de sang de l’animal dans un contenant tandis que je prenais quelques gouttes de la solution. Je le posais alors sous le microscope (merci xD) en attendant de savoir les effets du mélange entre les particules. Je regardais, notant alors du vert qui apparaissait. Je sentais une grimace chatouiller le métal froid de l’appareil. Je soupirais doucement en reculant alors d’un coup sec avec la tension d’un bras le tabouret qui roulait d’une bonne cinquantaine de centimètres. « J’en ai marre… », maugréais-je alors que je me relevais, mes talons frappant sur le sol et un petit gémissement de bébé se fit entendre. L’avais-je réveillée ? Je me rapprochais doucement. Je n’en savais rien après tout. C’était comme un réflexe de me dire que mes talons la réveillaient. Je me rapprochais, caressant sa joue du bout des doigts. « Chuuuuut, tout va bien ! », soufflais-je alors que Oscar posait sa banane dans le couffin juste à côté du bébé. Comme si ça allait la soulager d’avoir une banane à côté d’elle. C’était mignon mais fallait bien être un singe pour avoir cette idée. Je souriais doucement en roulant des yeux. « Merci Oscar ! », disais-je alors en le remerciant d’un sourire tandis que je relevais la tête vers l’interphone quand ma secrétaire annonçait que j’avais de la visite qui arrivait. Je prenais la télécommande à distance pour ouvrir la porte. Oui, c’était un bâtiment sécurisé ce qui était parfait dans le passé. Bizarrement ça tombe bien quand t’as un copain qui doit se planquer de la mafia et du fbi. Mais pas toujours fiable. Je tentais donc de calmer les pleurs du bébé, finissant par la prendre dans mes bras pour la bercer avec délicatesse pendant que… oui Oscar allait s’allonger dans le couffin pour y laisser des poils noirs quand j’avais le dos tourné. Je vous jure, ce gros bébé. |
| | | Junie A. Hillsdone et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Kinésithérapeute ❝ cupidon : Mmh ? J'ai du mal comprendre ❝ post-it : Hobby : Je suis un vrai rat de bibliothèque, donc si je ne suis pas chez moi, je suis à la bibliothèque du coin en train de lire un bon roman. J'aime cuisiner aussi et préparer le repas quand la famille vient manger. Je passe mon temps à regarder des séries aussi, je ne sors pas vraiment beaucoup et je ne fréquente pas de boîte de nuit. J'aime bien me promener dans le parc ou aller à la plage, sentir le sable chaud sous mes pieds, même quand c'est l'hiver. Le sport, je cours si nécessaire, sinon, non.
Patchwork : Elle commence toujours sa journée en vérifiant ses yeux et prend ensuite son traitement Prend seulement trois cafés dans la journée sinon c'est une pile énergétique Elle n'aime pas le chocolat amer ni le chocolat blanc Allume toujours la télévision quand elle met un pied dans son salon Ne passe pas une journée sans appeler son frère, Jack A un chat qui s'appelle Rouky, car il est roux Elle va sur la tombe de sa mère tous les ans Elle a perdu sa mère lorsqu'elle avait 7 ans, depuis c'est un cauchemar pour elle Junie déteste les roses Quand elle travaille, elle ne pense à rien d'autre que ses patients Sa plus grande fierté est d'avoir obtenu son diplôme en étant major de sa promo A une peur bleue de tous les insectes Ne peut s'empêcher à ce que tout soit bien rangé à sa place, maniacattitude ! Déteste la couleur blanche enfin de se retrouver dans une pièce entièrement blanche qui sent l'hôpital Est une fan des Disney et elle a du mal à le cacher En se couchant, elle refait les mêmes gestes que le matin en se levant, c'est devenu obsessionnel Au travail, ses cheveux sont toujours attachés, sinon une fois en dehors, ils sont libres comme l'air Elle a trop peur de l'amour, le vrai Son péché mignon sont les framboises ❝ pseudo : Trucpau ❝ crédits : Avatar : country girl.
Signature : Endless
Gifs : Moi/tumblr ❝ avatar : Keira Knightley ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Closed ❝ autres comptes : Oliver, le photographe qui court après une nana trop hot Avery, jeune maman et trop amoureuse de son bf ❝ Points : 3336 ❝ Messages : 77 ❝ depuis : 23/05/2016 ❝ mes sujets : Bennett ▬ Melody ▬ Jared ▬ Mirana Modératrice en chocolat
| mot doux de Junie A. Hillsdone ► un Mar 31 Mai - 16:48 | | | Melody & Juniecomme une sensation que mon bureau va être dévasté
Mon jour de repos sonnait comme un jour où j’allais… faire du babysitting. Bon, je ne gardais pas n’importe quel bébé, j’allais garder le bébé de Melody, je savais que ce n’était pas facile de me le laisser. D’ailleurs je me mordis l’intérieur de la lèvre, peut être que je devrais appeler du renfort pour qu’on m’escorte jusqu’à la maison pour qu’on arrive sain et sauf ? Non, je secouais la tête, c’était absurde. Je me mettrais en travers de quiconque allait approcher cet enfant. En tout cas, il était temps pour moi de me préparer pour me rendre aux laboratoires de la meilleure amie de ma sœur. Je sautais sous la douche et me préparais en dix minutes top chrono, je ne voulais pas être en retard et que Melo s’inquiète de quoi que ce soit. Enfin, qu’elle ne me pense pas capable d’être à l’heure et de m’occuper de son bébé. Je mis mes chaussures et regardais la météo avant d’attraper mes lunettes de soleil au passage, voilà qui allait être mieux. Mais je fis demi-tour, j’avais oublié une chose essentielle, mes yeux. Je retournais dans la salle de bain et effectuai mon traitement pour mes yeux. Je détestais cette routine comme je l’admirais, je savais que si je faisais ça tous les jours, c’était grâce à ma mère et que je me devais de lui rendre cet hommage, d’une quelconque manière. Et je savais qu’elle était avec moi, même si elle vivait dans son monde abiotique… Je soupirais et me tins l’estomac en repensant à elle. Je n’avais plus tellement de souvenir d’elle… Mais pour moi, elle ressemblait à un ange quand j’osais y penser. En tout cas j’essayais à ce que ce soit partiel et que sa présence dans mon esprit ne nuise pas à mon boulot. Je secouai la tête pour m’éclaircir les idées et pour enfin partir. Non car sinon, le fantôme de ma mère allait venir me hanter pour me dire que j’étais en retard et que Melody m’attendait et que je faisais une horrible nounou. Tout ce que je ne souhaitais pas. Une fois ma vision vérifiée et traitée, je pris mes clés et ouvris la porte pour découvrir un ciel bleu d’un côté et un ciel noir de l’autre. Chouette, il allait sûrement y avoir du tonnerre dans peu de temps. Je n’étais pas très friande de cela mais je n’avais pas le choix, la jolie blonde avait besoin de mes services. En tout cas, ça faisait une jolie transition dans le ciel, j’en pris même une photo pour montrer que même le ciel a deux facettes parfois et qu’il ne peut choisir. Je sortis et fermai derrière moi avant de me rendre aux bureaux de madame Dashwood. J’étais toujours impressionnée par l’immensité de cet immeuble et de ce qu’il pouvait bien y recéler. J’étais curieuse et admirative de Melody qui y travaillait à l’intérieur. Une fois sur place, je descendis et me présentai à l’accueil, prouvant avec exactitude qui j’étais en montrant mon affreuse pièce d’identité. Je remerciai la dame gentiment et me dirigeai vers l’ascenseur sachant qu’elle allait m’annoncer à mon amie. En tout cas, ce n’est pas avec ces cages d’ascenseur qu’on pouvait avoir de l’intimité, tout le monde pouvoir vous voir et impossible de faire des choses déplacées pour le coup. Pas forcément pour faire des cochonneries hein ! Mais pourquoi je pensais à cela ? Je sentis mes joues rougir et essayai de paraître naturelle lorsque quelqu’un se joignit à moi dans le petit carré. Je pouvais sentir sa transpiration et ça ne me mettait pas tellement à l’aise. Lorsque ce fut mon étage, je sortis avant l’homme et lui adressai un sourire, il faisait un parfait galantin celui-là malgré son odeur corporelle peut désirante. Je me dirigeais vers le bureau de Melody et ouvris la porte en voyant Oscar en premier lieu me menaçant de sa banane en mode pistolet. Je me reculai, tapant contre la vitre et annonçai en mettant une main sur mon front. « Oh, non ! Tu m’as touchée… Arg… Aie ! » Et je m’étais vraiment fait mal ! J’en avais les larmes aux yeux, ça m’apprendra à tirer la langue en même temps que de parler. Super… Je regardai ma langue en louchant et jetai un regard à Melody en haussant les épaules. « Désolée pour cette entrée, j’aurais pu faire mieux ! » Je m’avançais vers elle en souriant et la serrai doucement dans mes bras. « Comment tu vas ? » Question de routine mais c’était important de savoir, pour moi. Puis je m’accroupis à hauteur du bébé et lui fis un grand sourire. « Qui est-ce qui va passer sa journée avec tata Junie ? » Elle me souriait à son tour et ça me fit chaud au cœur. Je me sentais déjà à l’aise avec cette petite. Je regardais autour de moi et sifflais doucement. « Hé bah, à chaque fois que je viens ici, je suis admirative. Tu faisais quoi au juste ? » Je m’avance vers le microscope et gonfle mes joues en essayant de comprendre ce que ça pouvait être. Bien que j’ai fait des études en médecine, je n’étais pas une professionnelle des analyses dans ce genre. Je regardais un bocal à côté et grimaçai. « Tu pratiques la zymotique ou quoi ? Tu n’as pas un stipendié pour t’occuper de ça ? Je t’admire, tu le sais.» Je me reculais et rigolais légèrement avant de m’asseoir sur son siège, comme une enfant, lui offrant au passage le plus beau de mes sourires. La pauvre, un singe et deux gamines avec elle… Elle n’allait pas survivre longtemps ! |
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| mot doux de Invité ► un Ven 8 Juil - 21:16 | | | Melody & Juniecomme une sensation que mon bureau va être dévasté
Être au bureau pour au final vouloir en repartir alors que la petite pleurait de chaudes larmes ? Je me sentais tellement mal quand ça arrivait. Au début après qu’on l’a retrouvé, je pensais que c’était par ce qu’elle ne me connaissait pas. M’avait-elle oubliée et voulait-elle les bras de son ravisseur ? Oh non, elle n’est pas comme Belle dans ce dessin animé. Même si elle porterait bien son nom alors que je fixe ces doux yeux bleus qu’elle avait volée à ses parents. Je lui offrais un sourire, ignorant tout ce qui m’entourait alors que ses pleures s’éteignaient au fil des secondes. Je souriais doucement comme une idiote tandis qu’un singe s’amusait dans mon dos et se prenait pour un bébé. Bien qu’elle frappe à la vitre, j’entendais surtout la voix de Junie pour me sortir de mes rêves enfin si on veut. J’étais un peu perdue dans mes pensées, c’était le moins que l’on puisse dire. Je me retournais en souriant doucement quand elle semblait être désolée pour son entrée. « C’est Oscar qui semble le plus déçu ! », disais-je en voyant la moue de gros bébé que faisait Oscar dans le couffin. Je m’approchais doucement aux mêmes mouvements que les siens tandis qu’elle me serrait dans ses bras et me demandait comment j’allais. J’haussais doucement les épaules. J’allais bien mais je savais que je pourrais aller mieux si mes histoires de couples s’arrangeaient un tout petit peu. Ou même si Alvin daignait toucher sa fille sans avoir peur qu’elle ne s’évanouisse en fumée. Ou même… arrêter d’avoir envie de le manger quand il passe à moitié nu devant moi alors que je suis censée lui en vouloir. Ma tête faisait chicon… con. Oui, c’était ça. Pirouette, girouette. Mais je m’en sortais bien malgré tout. Depuis qu’elle était de retour dans ma vie, je me sentais à nouveau complète. Regarder mes amis être gaga avec elle me rendait autant heureuse que de pouvoir l’être. Pouvoir la tenir dans mes bras. Oh non, pas d’émotions ou de larmes. Je riais doucement, un rire assez léger pour ne laisser qu’entrevoir qu’une seule petite dose d’émotions. Un bonheur. « Je crois qu’Oscar est prêt pour partir avec toi ! », disais-je en regardant le couffin tandis qu’elle regardait autour d’elle. En l’entendant je fronçais du petit nez et je secouais la tête avant de changer le bébé de bras tandis qu’elle se faisait quand même un peu lourde mine de rien mais après tout, je prenais l’habitude. Je m’installais contre une des tables de travail et caressant le petit dos du bambin. Je regardais la jeune femme reprendre la parole et je riais doucement. « T’as cherchée les mots les plus chelous de ton vocabulaire pour m’impression ? », lui demandais-je alors que j’haussais les épaules à nouveau. La reine des haussements après les sourires et les rires. Oh non, faisons même les trois en même temps trois souvent. Quoique non. Je la regardais attentivement, gardant une sorte de sévérité dans mon regard comme si je devenais sérieuse et prête à entamer une conversation secrète. « Tu ne dois en parler à personne… », lui disais-je alors d’un ton presque… plein de danger que j’avais déjà eu mais là, c’était pour rire. « Je cherche le nouveau virus que va répandre James Bond sur les vilains anglais. », soufflais-je avec toujours ce sérieux avant de rire doucement. « Non en fait, deux petits éléphanteaux tout droit arrivé du Sénégal sont malades depuis la naissance et ils ont été envoyés ici car le labo est celui qui fait toujours des miracles enfin non… je suis celle mais je suis un peu cassée. Les seuls miracles que je veux faire en ce moment c’est calmé des larmes et changer des couches ! », je roulais des yeux doucement avant d’aller vers le couffin, regardant alors Oscar en souriant. « Allez Oust, petit clown ! », disais-je avant qu’il ne sorte du couffin. Je chassais un peu ses poils en secouant d’une main libre le drap. « Pire qu’un chat ou qu’un homme dans la salle de bain ! », râlais-je dans ma barbe que je n’avais pas réellement. Je posais alors le bébé dans le couffin en tournant mon regard vers Junie. « Je vais bien sinon enfin le quotidien, rien de nouveau et pas de progression mais je ne vais pas me plaindre, le vœu que j’ai fait en soufflant mes bougies s’est réalisé… j’attendrais l’an prochain pour souhaiter le reste ! », je riais doucement. Un peu d’ironie dans ce monde de fou n’allait faire du mal à personne après tout. « Et toi ? », demandais-je alors à la jeune femme en lui offrant l’un de mes plus beaux sourires et même… mieux que ça, il était enchanteur. Non mais la magie. Oui, non mais je déraille, roh. |
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