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mot doux de Invité ► un Dim 24 Avr - 12:48
Les journées se suivent et se ressemblent, je n’arrivais pas vraiment à changer mes pensées ou même mon quotidien en ce moment. Je me levais, j’allais en cours et pendant tout ce temps je ne pensais qu’à cet homme élu maire enfin non cela ne marche pas comme ça quand il n’y a pas d’élection mais normalement il devrait et je savais que je n’aurais jamais votée pour lui. Etre un bon père et être à la tête d’une banque multinationale ne faisait pas de lui un bon maire. Pas du tout. Je ne savais pas comment oublier mes pensées parfois sombres. Mon père. Lui. Non. Je n’osais même pas aller l’affronter et repartant toujours comme une poule mouillée une fois que j’étais aux portes de la mairie. Je voulais arrêter de me faire une obsession autour de ça pourtant je voulais être libre et il était là, encore. A vouloir se rapprocher de moi, me protéger. Pourtant j’étais en cours de médecine, le professeur était en train de nous parler de plusieurs choses sur les maladies infantiles et moi ? Je dormais dans l’amphithéâtre, beaucoup trop fatiguée après ma troisième nuit courte à tourner dans mon lit encore et encore en train de penser à mon père. Pourtant cette après-midi, j’avais arrêtée d’y penser enfin pendant un court moment après avoir reçu le message de Nathanael qui me proposait des jeux vidéo, bien sûr, j’avais acceptée même si c’était étrange car on s’était revu depuis Halloween mais de là à jouer aux jeux vidéo avec un type qui a regardé mes fesses pendant de longues et longues minutes ? Cela sonne assez étrange tout de même… Pourtant c’était vraiment simple à la fois. Mais je le tardais à rêver de lui, rêver de cette soirée même si j’ignorais encore s’il avait un pénis ou pas d’ailleurs mais je rêvais. Je ne vous en dirais pas plus car punaise, c’est mon rêve et arrêter de vouloir tout savoir, coquin. Mais je rêvais d’une alternative bien différente même si je savais qu’il avait une copine, un truc m’intriguait et m’électrifiait chez lui. Peut-être notre rencontrer peu commune ou m’avait-il lié à son destin à cause d’un peu de javel sur mes dessous en dentelle ? Je l’ignorais. Mais je me réveillais avec un léger sourire sur mes lèvres qui intriguait le professeur. « On vous dérange mademoiselle ? », demandait-il alors que tous les regards se tournaient vers moi avant que l’heure ne soit terminée. J’en devenais rouge comme une tomate. Mon ventre se mettant même à grogne sous les oreilles de plusieurs étudiants m’entourant. J’avais honte de me faire remarquer. « Non, désolée ! », disais-je avant de me lever comme tout le monde et me dirigeant vers la sortie mais il m’interpellait avant même que je ne m’échappe. « Mademoiselle Flores ou Davidson, si je ne m’abuse… c’est le nom du maire ? », me demandait-il tandis que mon air sur le visage devenir un peu plus froid soudainement. Je le regardais comme si j’étais prête à le tuer pour me mettre dans cette situation. « Je ne connais pas cet homme ! », lui disais-je d’un bon mensonge tandis que mon menton lui faisait front. « Excusez-moi, je ne veux pas paraitre impolie… », bien que menteuse. « Mais je suis pressée ! », lui disais-je avant de quitter la classe. Je n’aimais pas mentir mais je ne voulais plus être liée au nom de mon père. Cela m’avait attirée bien trop de peines. Je courrais presque vers la sortie, ralentissant mes pas au fur et à mesure. Je soupirais, étant sur le retour de l’université. Mon sac à main sur l’épaule et une faim de loup mais je n’avais cruellement plus rien dans mon frigo. Je n’avais même pas le temps d’aller faire les courses entre mon boulot à la morgue et mes études mais aussi ma pensée parfois trop oppressante pour une pauvre jeune femme que je peux être. Je m’arrêtais sur le chemin au supermarché, prenant un peu tout ce que je pouvais porter en étant à pieds donc pas grand-chose. J’avais une voiture, oui mais je ne la sortais que pour aller à la morgue ou enfin… pas à l’université du moins. Partout sauf là. Je ne pourrais même pas vous dire pourquoi, j’avais toujours cette habitude. Une fois sortie du supermarché avec une petite tonne de provision, je retournais à l’appartement, étant accostée à l’entrée au rez-de-chaussée par Luna, ma voisine du dessous qui me demandait si je pouvais garder son bébé pendant quelques heures. Dans un sens, cela m’arrangeait vraiment car je n’avais pas envie d’être la fille que j’étais dans mes rêves. Non. Il est en couple premièrement et c’était enfin un ami. Je crois. Cela dépend de comment l’on conçoit l’amitié qui commence autour d’un cadavre en érection. J’acceptais le baby-sitting, la voisine amenant alors le bébé et tous les affaires qui faut avec comme le lit qu’elle mettait dans la chambre pour ma future coloc que j’étais encore en train de choisir, incapable de savoir sur quel candidature me fixer. C’est dur à vrai dire. C’est un choix plus compliqué qu’il n’y parait. Tandis que la voisine finissait de tout installer et laissant le bébé sur un plaid au centre du salon, je rangeais mes commissions dans mes placards et dans le frigo en attendant que Nathanael n’arrive. Mon ventre criant famine, je réfléchissais à quoi cuisine. Spaghettis ? Pourquoi pas. Je ne savais juste pas si j’avais le temps de les préparer. Chinois ? Ah oui mais à domicile alors. Et merde, j’étais perdue rien que pour savoir ce que je voulais manger alors comment savoir même ce que je veux. Je n’en savais rien. Je soupirais, plaçant mes mains à plat sur le plan de travail. La voisine sortait en me remerciant et je lui souriais. « De rien ! », disais-je avec politesse en regardant le bout de chou tandis que la porte claquait. J’en sursautais presque.
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Nathanael I. Pilliwickle
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mot doux de Nathanael I. Pilliwickle un Sam 30 Avr - 16:49
L'effervescence du campus était contagieux. Même si les étudiants apparaissaient généralement paisible voire indolent, on pouvait presque palper l'activité cérébrale qui donnait un parfum plus que plaisant à l'air. C'est mon jour de repos et cela tombait bien car aujourd'hui c'était journée portes ouvertes dans les universités. Après tout je n'allais pas rester agent d'entretien à l'hôpital toute ma vie. Hors de question ! Mais je savais que Harvard était désormais hors de ma portée, d'une part parce que j'avais refusé ma première admission, d'autre part parce que la même décision m'empêchait encore cette année de quitter Pasadena : Maïwenn. Les enjeux étaient restés les mêmes en un an : je ne pouvais pas m'éloigner d'un bouleversement aussi important dans ma vie. Bouleversement, c'était le moins que l'on puisse dire. Elle était de ma famille que je le veuille ou non et décider de passer à côté de ce fait était à la fois ridicule et insensé. Il y avait foule cette après-midi à Caltech, l'une des universités les plus renommés du pays et surtout de Californie. J'avais passé ma matinée à l'université de Pasadena à feuilleter les options et filières qui s'offraient à moi mais au fond j'avais très vite compris que ma place n'était pas là. Si Pasadena pouvait une bonne université, j'avais besoin de plus et ce plus je crois bien que je venais de le trouver à l'université californienne de technologie. De nombreux pris avaient été remportés autant par des élèves que des professeurs, c'était pour dire le niveau. Je m'y sentis comme un poisson dans l'eau. Je savais où j'irais pour la rentrée prochaine. Un dossier bien rempli callé sous le bras, je me promenais sans réel but à part découvrir l'endroit et voir ce qui pourrait m'intéresser. Le souvenir de la lettre d'admission d'Harvard et la tête de mon père – et la mienne aussi d'ailleurs – lorsque je lui avait annoncé que je n'irai pas. Harvard avait été l'un de même rêve depuis que j'étais gamin, malheureusement le retour de ma mère dans nos vies m'avait quelque peu chamboulé. Pour cette année, cependant, je pense que mon père serait ravie. Je savais qu'il voulait que je réussisse, bien qu'il ait été compréhensif, être agent de nettoyage n'était pas vraiment ce qu'il attendait de moi. Il sera content d'apprendre que j'avais l'intention de vider son compte en banque. Je sortis les fiches de présentation et de description de la faculté de biologie et d'ingénierie biologique et les lisaient encore et encore. Je n'étais finalement pas si mécontent de mon année sabbatique, lorsque j'avais fait ma demande pour Harvard, je n'avais en réalité pas de plan de carrière ou de simple idée de où je voulais aller. Aujourd'hui, tout était différent. J'avais pris le temps de réfléchir et j'étais plus que ravie de voir qu'il pouvait avoir une possibilité d'évolution ici-même à Pasadena. Cela fera plaisir à mes parents aussi, j'imagine. Il pouvait bien dire tout ce qu'il voulait, mon père n'était pas prêt à me laisser quitter le nid et ma mère, ben disons qu'elle avait fait le déplacement après dix-sept ans je pouvais bien lui accorder du temps. Les groupes d'étudiants défilaient les uns après les autres, certains le sourire aux lèvres, d'autres le visage beaucoup plus sérieux. Je jettais un coup d'oeil à ma montre et un pique d'adrénaline me fit réagir. J'allais être en retard. Allez savoir pourquoi, j'avais proposé une soirée jeux vidéos à Pearl. Après une rencontre que l'on pourrait qualifier d'épique, nous avions eu l'occasion de nous revoir. C'était sûrement étrange puisque j'étais avec Summer mais je me sentais bien avec Pearl. On s'entendait bien. Elle était bizarre. J'attrapais mon sac, y fourrais toute ma paperasse et commençais à quitter le campus. Sur mon vélo, je fis un crochet par la maison pour y déposer mes affaires et prendre une douche. Je n'oubliais évidemment pas ma console et mes jeux. Je pris une pause : j'ignorais à quels jeux elle jouait où ceux qui pourraient lui plaire. Décidant qu'il fallait bien trancher, j'en pris une dizaine de style différent mais surtout multijoueurs. Voilà, prêt. Je repris mon vélo et me dirigeais vers le domicile de Pearl. Soudain, un grognement venant de mon ventre se fit entendre alors que je m'approchais de la porte. J'aurais dû prendre un en-cas ou carrément apporter le dîner. Quelque chose me disait que j'aurais dû apporter le dîner. Je sonnais. “Bien le bonsoir ! Vous avez commandé un divertissement ? A votre service !” dis-je d'un ton joyeux alors que la porte s'ouvrait. Elle me laissa entrer. “Je ne sais pas si tu as super faim ou si tu as déjà mangé mais je pensais qu'on pourrait commander quelque chose. Si ça te dis ?” Je vis alors les courses dans la cuisine. “A moins que t'as prévu de préparer quelque chose. Tu veux un coup de main. Je ne veux pas me vanter mais je me débrouille assez bien en cuisine.”
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mot doux de Invité ► un Dim 15 Mai - 23:07
Il n’y avait qu’une seule façon pour savoir ce que je voulais manger ou lui proposer de manger… Lui demander pourtant je réfléchissais un peu trop. Je laissais la voisine partir tandis que je me relaxais de mes pensées. Ou pas. J’inspirais doucement, regardant le bambin qui tentait d’attraper ses pieds dans les airs tandis qu’il était sur le dos. Ça me fit rire avant que la porte ne sonne. Bien sûr ce n’était pas la porte qui sonnait pour dire qu’elle était là. Quoique je veux bien inviter la porte mais pas sûre qu’elle soit de bonne compagnie. Bien qu’elle ne me laisse jamais vraiment seule. Une porte qui s’en va ? Une porte qui prend la porte, c’est encore mieux. J’inspirais doucement en contournant l’îlot de ma cuisine et allant en direction de la porte. J’aimais tellement ce petit studio, je me sentais comme dans Friends. Une grande pièce et trois chambres avec la salle de bain et un placard. C’était parfait. Avec le balcon en plus enfin je n’avais juste pas Joey en voisin. Bullshit, mon voisin était encore plus sexy pourtant en l’entendant me dire qu’il avait un divertissement spécial, cela me ramenait un peu dans mon rêve ou le divertissement était ses lèvres et ses mains chaudes contre ma peau. J’en fermais les yeux en me pinçant les lèvres tandis qu’une couleur rouge montait à mes joues avant d’ouvrir la porte, lui souriant doucement en penchant la tête. « Je t’en prie ! », disais-je pour l’inviter à entrer. En l’entendant me parler de nutrition, je tournais mon regard vers lui en fronçant les sourcils. Punaise, on était vraiment connecté après tout. Je me sentais presque comme aussi légère qu’une plume à cette idée mais non. Roh, il a une copine cet andouille et je ne voulais pas être comme ma mère. La seconde place. Je prenais le bébé tout en l’écoutant. Qu’il n’avait sûrement pas encore vu, trop attiré par la bouffe. Je posais mon regard sur lui avec un bambin dans les bras. « J’ai prévu de cuisiner cet enfant dans une soupe ! », disais-je alors que je posais celui-ci sur l’îlot. Il restait assis et regardait Nathanael comme s’il était un… alien mais il ne bougeait pas. « Tu peux surveiller qu’il ne tombe pas ? Je fais du baby sitting imprévu pour la voisine ! », lui demandais-je en souriant tandis que je retournais m’occuper de ranger les courses assez rapidement. Je savais qu’il fallait que je me décide quant à savoir ce que nous allions manger et l’envie ou l’idée de manger du chocolat fondu sur lui entre deux fruits me donnait des idées. Pourquoi ? Je ne vous ai donc pas encore parlée de mon rêve. Oui, j’étais d’humeur sucrée et chocolatée mais je suis toujours d’humeur chocolat après tout. Je fermais doucement les yeux en secouant la tête comme une imbécile. J’espérais clairement ne pas avoir ces images pendant toute la soirée sinon ça n’allait sûrement pas le faire mais pourquoi ça me hantait l’esprit comme… un fantôme enfin non mais je ne suis pas une maison hantée. Quoique je ne suis pas une maison tout court mais vous comprenez l’idée. Ou pas mais on s’en fout. « C’est comme tu préfères, j’ai de quoi préparer des spaghettis, pourquoi pas des pizzas aussi ou bien on peut commander sinon je peux préparer des trucs… », je regardais autour de moi ce qu’il restait à ranger. « Au chili ! », je riais doucement en sachant bien qu’il était rare qu’une personne survive aux plats trop épicés que je pouvais préparer. Je devais avoir la langue d’une mexicaine pour les supporter. Enfin que je suis bête, je suis mexicaine. Je souriais, relevant mon attention vers lui mais c’est à ce moment-là que le bébé se penchait un peu, avançant en rampant sur l’îlot, un peu trop près de Nathanael. Il vomissait avec gentillesse tout son repas sur le pantalon et un peu sur son haut en passant. « Oh… Oups ! », disais-je de mon côté alors que le bébé pas très en forme se redressait pour pleurer à cette douleur acide qu’il avait dans la gorge. Il ne semblait pas se sentir très bien. Je courrais vers lui et le prenant dans les bras, allant chercher un tissus pour lui essuyer la bouche. Je prenais son biberon d’eau pour le désaltérer et tournant mon attention vers Nathanael. « Désolée… », disais-je avec une moue ! « Tu peux utiliser tout ce que tu veux, la salle de bain, la machine à laver… », disais-je en évitant de penser qu’il pouvait utiliser mon corps aussi. On ne va pas aller aussi loin. Quoique trop tard. Merde, il fallait vraiment que je me ressaisisse. Je reportais mon attention vers le bébé et allant le remettre sur le sol.
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mot doux de Nathanael I. Pilliwickle un Mer 8 Juin - 11:46
C'était la première fois que je venais chez Pearl. Quand on y pense cela ne faisait pas bien longtemps que l'on se connaissait. Avec une première rencontre comme la leur c'était soit ça passe soit ça casse et heureusement c'était passé. Allez savoir comment, ils en étaient venus à vouloir lancer les compétitions sur les jeux vidéos. Je posais mon sac avec les jeux vidéos sur le sol près de la cuisine et observais les paquets de courses posés presque en équilibre. Au vu de la situation, je supposais que Pearl voudrait cuisiner et à vrai dire cela ne me dérangeait absolument pas, j'aimais bien cuisiner. Avec un père célibataire, savoir cuisiner était une question de survie et puis comme il tenait un hôtel, il m'arrivait de me faufiler et de donner un coup de main à la cuisine. J'y avais appris deux ou trois astuces. Mais mon enthousiasme fut arrosé d'eau froide lorsqu'elle me mit le mioche sous le nez. Un bébé ? Hum...son bébé ? Devais-je le lui demander ? Je m'étais figé et je crois qu'il était aussi mal à l'aise face à moi que moi face à lui. Elle posa le bébé sur comptoir et me demanda de garder un oeil dessus tout en m'expliquant qu'elle s'était retrouvée à faire du baby-sitting à l'improviste. “Je crois que je vais faire une indigestion. Oh pas de soucis, je suis en hypervigilance près de mini alien à l'apparence humaine. Tu sais que si jamais des extra-terrestres décidaient d'envahir la planète et de détruire l'espèce humaine : les bébés sont les meilleurs moyens.” J'étais dans l'incapacité de détourner les yeux. Une peur presque primal m'empêcher de regarder ailleurs comme si la moindre erreur pouvait me transformer en un liquide verdâtre étalé sur le sol. Je n'avais aucune envie d'être du liquide verdâtre. Elle me lança qu'elle pouvait faire des spaghettis ou une pizza. “Oh t'inquiète, ce qui t'arrange...” Je me retournais confus. “Au chili ? Tu veux ma mort ? Le chili n'est pas une bonne idée, je vais devenir tout rouge et je crois bien que de la fumée sortira de mes oreilles et mes narines. Franchement pas joli à voir. Si tu mets de l'eau dans ma bouche, il bouillira. C'est plus sûr de commander.” J'avais détourné le regard. Oh c'est pas vrai ! Je sentis l'humidité et la chaleur sur mon haut et mon pantalon. Je fis face au bébé avec une expression d'horreur et de dégoût. Une vague de nausée me retourna l'estomac alors que je m'éloignais du jet. Les lèvres pinçaient et les mains levées comme pour une interpellation, je m'étais transformé en statue. “Heu... Pearl.” Elle me dit que je pouvais utiliser sa salle de bain, ce que j'avais bien l'intention de faire. “C'est où ?” D'une démarche de robot, je me dirigeais vers la salle de bain où je me dépêchais d'enlever mes vêtements plein de vomi en les plaçant dans le lavabo pour un pré-lavage. La douche me fit un bien fou, l'intense dégoût s'écoulait au fil de l'eau. Je me sentais bien mieux. J'attrapais une grande serviette mais me rendis soudain compte que je n'avais rien à me mettre sur le dos. J'enroulais la serviette à ma taille et sortis, gêné. “Merci pour ta salle de bain, je vais mettre mes vêtement dans la machine à laver. Par contre...Hum...T'aurais des trucs à me passer ? Un T-shirt ?”
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