l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Ven 1 Avr - 21:50 | | | Oh non, je ne savais pas quoi faire de ma journée. Levée aux aurores par des pleurs cristallins qui me donnait la banane. Je m’étais habillée pour une sortie au parc pendant la sieste d’un trésor malheureusement un peu trop perturbé par les derniers mois qu’elle avait passée. Ma vie n’était pas claire. Moi-même je ne savais pas à quel point elle était brisée mais je vivais dans un déni digne d’un film romantique. Oui, tout allait bien, tout allait bien aller. Je m’occupais juste de ma fille. Une robe cache cœur blanche avec des petits points bleus ciel me donnait une douce allure de pin up sage. Un noeud en satin bleu clair dans les cheveux tandis que mes petits souliers laissaient mes chaussettes blanches à l’air libre. Il fallait avouer que je n’étais pas une pro de la mode mais j’aimais bien copier sur ma voisine qui portait toujours des tenues magnifiques. Je me sentais presque comme une petite ménagère mais je m’en fichais. Alors que j’avais prise des semaines de congé au travail, je sirotais mon milkshake avant de mettre le bébé dans un landau à la dernière mode faire de fer forgé. Un baiser sur son front et j’éteignais la radio turquoise posée sur mon évier. Je devais avouer que j’aimais bien écouter la radio dès que j’en avais le temps surtout pour Elvis. Il avait un de ses charmes et pourtant je n’y succombais qu’à moitié. Ces amies que j’entends souvent prête à baver devant lui m’amuse. Certes il chante bien et il a du style mais Elvis reste juste un homme comme les autres. Je partais rapidement prendre un cardigan sur le bord du canapé que j’enfilais comme si j’allais avoir froid avec le doux rayon de soleil que j’apercevais. Rêveuse tandis qu’en tant que femme de foyer, je sortais de la maison. Je n’avais plus vraiment peur et après tout le pouvoir des fleurs étaient avec moi. Je m’offrais rarement la chance d’aller au parc enfin disons que je n’avais pas eue le temps en ce moment tout simplement. Entre passer la serpillière et changer les couches… ? Une femme n’a le temps que d’être une femme mariée ou non et une maman ? N’a le temps que d’être une maman… surdouée ou non. Enfin bref. En tout cas, j’étais un peu ronchon. Mettons ça sur le dos des règles menstruelles qui m’avaient attaquée comme des anglais en foire. Enfin c’est peut-être mieux de ne pas en parler. Un peu de tenue mademoiselle. Mes talons martelaient le sol tandis que je marchais en direction du parc qui n’était pas très loin. De jolis fleurs bordaient les allées ainsi que des graviers qui allaient bien m’ennuyer mais qu’importe. On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a. Je lisais un article de presse à propos de Kennedy et de son épouse. Ce couple mondain me faisait assez rire surtout par ce qu’ils avaient un mariage à couper le souffle que je n’avais pas eu avec Edward. Après tout moi aussi j’aimerais que Truman vienne à la cérémonie. Non d’un chien et de toute façon ? Je m’en fichais de la politique. Si la politique n’était pas les choses seraient plus vivables pour moi-même. Passant devant une dame noire semblant assez discrète, je lui offrais un sourire. Je m’en fichais que l’on nous sépare comme si la couleur de peau changeait le monde. Elle me rendait mon sourire sous le regard presque meurtrier d’un type qui passait et je lui souriais à mon tour tandis que la jeune dame à la couleur brune perdait son chapeau. Je lâchais le landau deux secondes pour l’aider à le ramasser tandis qu’il s’envolait. Je me rapprochais pour lui donner. Elle me remerciait et je continuais ma route, passant par une entrée victorienne d’un parc que j’affectionnais assez. Je me baladais le long du lac. Certaines personnes avaient le panier du pic nic tandis que la petite gazouillait entre deux draps. Je lui souriais en relevant ce duvet léger qui la couvrait. « Prends l’air frais ne peut que te faire du bien ! », lui disais-je en ignorant même si elle avait vue l’extérieur durant les deux mois passés en captivité d’un homme très vilain. Enfin oui, on peut dire ça ainsi. Vilain. Mesurons nos paroles tout de même. J’avançais un peu plus, perdant mon attention et dérivant sur l’herbe tandis que je me laissais aller dans mes pensées à propos de ce bébé. Et paf… je cognais je ne sais qui ou je ne sais quoi. Mes joues devenant subitement rouge tandis que je relevais mon regard vers ce je ne sais quoi ou je ne sais qui. Je me sentais mal. « Désolée ! Je suis tellement maladroite ! », lui disais-je alors que je fronçais le nez. |
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| mot doux de Declan O. Gardner ► un Sam 2 Avr - 12:46 | | | Declan & Melody Please let's forget the past
C'était une belle journée, et c'était déjà ça. Il fallait savoir apprécier la chose la plus minime lorsque le reste faisait de son mieux pour vous mettre à terre. Declan venait juste de finir son service au diner, et ces quelques heures avaient suffit à le lessiver complétement. Débarrassé de son uniforme, il pouvait encore sentir la friture sur sa peau, et il prenait soin de n'entrer en contact avec personne sur le trottoir bondé, le regard baissé vers le sol et la démarche vive. Il faisait chaud, et courir de table en table pour servir des clients désagréables n'avait pas été la chose. La transpiration s'était accumulée dans le creux de son dos, et même à l'air libre, il avait encore l'impression que sa chemise lui collait à la peau dans les pires endroits. Ce n'était pas exactement vrai. Tous les clients ne s'étaient pas donné pour mission de ruiner sa vie. Certains lui avaient même laissés un généreux pourboires. Declan se lassait cependant des groupes de filles, leurs robes cintrées sur le dos et leurs souliers bien vernis, à glousser et murmurer dans leur milkshake lorsqu'il s'approchait de leur table. A croire que l'alliance à son annulaire gauche était invisible. Declan reconnaissait qu'il s'agissait juste de plaisanterie entre filles, des petits commérages autour d'audace et de tentations qu'elles n'oseront jamais saisir. Declan savait que la vie d'une femme n'était pas de plus excitante dans cette société. S'il reconnaissait le plaisir qu'avait sa femme Carter à s'occuper de leur bébé, il savait aussi qu'elle avait plus d'ambition dans la vie que de finir serveuse ou secrétaire. Hélas, le monde était fait ainsi. Declan lui-même n'était pas un bon exemple de réussite. A son âge, à toujours faire le même boulot médiocre. Il pouvait sentir le jugement silencieux de ses parents, d'autant plus en comparaison de son grand frère, le docteur en pleine réussite. Peut être devait-il céder à la pression sociale et accepter le boulot à la banque que son oncle n'arrêtait pas de lui proposer. Ce serait plus sage, plus respectable et plus bénéfique pour sa famille. Mais cela sentait étrangement comme une défaite. Declan n'était pas étranger à la pression de ses pairs. Là où la moyenne d'âge du mariage est aux alentours de 22 ans, lui n'avait pas montré la moindre inclinaison vers la chose. Tomber sur Carter avait été un miracle tombé du ciel, même si les circonstances du début n'avaient rien eu d'un conte de fée. Tout était allé très vite, l'un comme l'autre incapable d'assumer la honte d'avoir couché ensemble par mégarde et enfanter de cette union. Le mariage n'avait pu être évité. Mais ils étaient tombés amoureux. Tout avait bien fini. Declan décida de faire un petit détour avant de rentrer chez lui, histoire de se vider l'esprit et faire baisser la tension. Il s'aventura donc vers le parc, sirotant le soda qu'il avait en main et essayant d'aplatir sur son crâne les mèches rebelles que même une bonne couche de gominer n'avait réussis à dompter après tout un service. Bien évidemment, puisqu'il s'agit de Declan et que la malchance semble être son deuxième prénom, il n'eu le temps que de faire quelques pas dans le parc avant que quelqu'un ne le percute de plein fouet, envoyant valser sa boisson contre son torse. Super. Declan leva un regard irrité sur son assaillant et ravala sa hargne en observant une jeune femme et son bébé. « Y'a pas de mal » articula-t-il, les dents serrées. Il n'en pensait pas moins, mais il n'allait pas hurler sur une femme voyons! L'un dans l'autre, voilà qui n'arrangeait pas son état. Maintenant il voulait juste un bain et se morfondre dans les jupes de sa femme.
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| mot doux de Invité ► un Sam 2 Avr - 13:52 | | | Je me sentais mal, je me sentais désolée. Après tout j’étais une femme ainsi. J’étais généreuse et prête à tout pour les autres. Bien loin d’une certaine société que je voulais penser inexistante. Avais-je des rêves utopiques ? Parfois oui mais après tout ? Ou était el mal d’imaginer que les derniers mois sombres que j’avais vécus voir même une année ne soit pas possible dans une autre vie ? Juste dans la mienne. Je voulais éviter ce mal aux autres. Pour certains ce n’était qu’un coup avec un landau et pour d’autres cela n’était rien du tout. Alors qu’il me disait qu’il n’y avait pas de mal, je le regardais avec un peu plus d’attention. Mon regard fébrile sous la culpabilité se plongeant sur les traits de son visage. Le bébé gazouillant dans son coin du landau comme s’il s’en fichait simplement mais après, il s’en fiche. Il ne pense même plus à la petite secousse. J’inspirais doucement en le regardant. « Vous ! », disais-je en fronçant les sourcils. Oui, lui. Cet homme avec lequel j’étais restée enfermée pendant une nuit dans une salle de cinéma avec une autre femme. Cette nuit était à mettre dans les souvenirs enfin presque. J’avais juste eue une envie subite au milieu de la grossesse mais encore trop bouillonne, j’étais armée. Bien sûr ils ne savent pas les vrais raisons de mes peurs mais qui s’en soucie ? Alors qu’il se trouvait face à moi, cet homme étrange qui semblait aussi froid que de la glace, je savais en le connaissant bien que peu mais assez bien du fait de notre première rencontre qu’il y avait mal. « Vous vous êtes mis à la diète ? », lui demandais-je alors que ma culpabilisé s’estompait au fil des secondes mais j’avais aussi cet envie de l’émoustiller et pas dans un sens cochon. Oh non. Au diable les sens cochons. C’était d’un bien différent sens. Je lui souriais en penchant la tête tandis que je regardais sa chemise qui ne semblait pas des plus propres. Les chips enfin les frites ou qu’importe qu’il mangeait dans la salle de cinéma devait être sur sa chemise au nombre de petites tâches que j’apercevais mais chacun son métier après tout. Le bébé se mettait à râler au surplace mais il n’avait qu’à apprendre à marcher après tout. Je laissais un vas et vient du landau pour la distraire alors qu’à chaque fois que je me rapprochais de lui, j’étais encore à deux doigts de le bousculer. Je le faisais exprès. Cela m’amusait presque. Je ne savais pas s’il me reconnaissait directement enfin non s’il m’avait reconnu. Il le devait maintenant ? Au diable, je n’en avais aucunes idées. J’attrapais alors le plaid posé sur un panier dessous le landau que je déposais sur l’herbe qu’il utilisait comme banc. Je m’installais en aplatissant ma robe avant d’arriver au sol. Un geste tellement habituel avant de s’assoir que cela en était un réflexe. Je posais mes yeux sur lui, déplaçant le landau pour qu’il me fasse face, c’était plus simple dans cette position. Je devais avouer ne plus savoir quoi faire maintenant que j’étais là, assise à côté d’un glaçon mais pas vraiment un iceberg, il n’était si trop petit, trop grand. Enfin soit, je me comprends. J’inspirais doucement. « Bon… », lâchais-je alors subitement en tournant mon regard et je lui souriais. « Qu’est-ce qu’un homme fait assis dans l’herbe comme un malheur ? », lui demandais-je en trémoussant le petit bout de mon nez. Cette question était assez moqueuse mais il n’en restait pas moins que je me posais la question. Il avait l’air… je ne sais pas. D’un mendiant presque mais un peu plus propre tout de même. Je n’allais pourtant pas lui dire ou lui donner une pièce. Je ne voulais pas l’offenser. « Etais-vous toujours partant pour manger une salade avec moi ? », lui proposais-je mais cette fois, je plaisantais à nouveau. Je devais avouer que j’avais trouvée dans le passé un malin plaisir à le taquiner et à chercher les puces qu’il n’avait pas réellement. Pouvoir en rajouter était comme une partie de plaisir que je ne m’offrais pas vraiment en général. J’étais comme une petite fille devant une princesse. C’était un jour parfait à mes yeux. |
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| mot doux de Declan O. Gardner ► un Sam 2 Avr - 21:42 | | | Declan & Melody Please let's forget the past
Eh, le point positif c'est que le soda avait momentanément rafraîchi son corps lorsque le liquide s'était imprégné dans le tissu de sa chemise. Cela n'avait duré que quelques secondes. Maintenant, le matériel lui collait désagréablement à la peau et il se sentait profondément mal à l'aise dans ses vêtements que l'incident récent et ses heures de travail avaient souillés. Declan espérait que Carter n'avait aucun invité à la maison, car à peine passé le pas de la porte, il allait enlever tous ses vêtements à la volée. Declan leva le regard brusquement lorsque son assaillante s'écria une simple syllabe. Vous! Lui? Les sourcils froncés, Declan balaya son visage du regard avant de réaliser qui elle était. Oh non. Cette journée ne faisait que s'améliorer. De toute les personnes de Pasadena, il avait fallu qu'il tombe sur elle. Declan n'était pas du genre à critiquer les femmes, encore moins en leur présence, mais celle-ci en tenait quand même une couche. Declan l'avait rencontré lors d'une situation tout à faire singulière. Et pas spécialement agréable. Lui et deux autres femmes – dont son interlocutrice – avaient été coincés dans un cinéma. Carter avait été visiter de la famille hors de la ville et Declan, seul, avait décidé d'aller voir le dernier film de James Dean à la séance du soir. Il avait mis du temps à se diriger vers la sortie une fois le film fini. Trop apparemment, car on l'avait enfermé à l'intérieur. Declan s'était résigné, retournant s'affaler dans un siège et grignotant des restes de pop-corn, lorsqu'il réalisa qu'il n'était pas seul dans cette galère. Il aurait pu tomber sur des gens normaux, mais noooon. Pas avec sa chance. L'une l'avait accusé d'être un malfrat, serrant son sac contre sa poitrine, persuadé qu'il était un voleur. Declan n'avait eu aucune patiente pour elle, décidé à faire de son mieux pour se tenir le plus éloigné d'elle dans cette salle. Puis une autre était arrivée. Encore plus dérangée. Celle-ci avait carrément braqué une arme sur eux et la vision d'une femme avec un pistolet, les menaçant, l'avait abasourdi. Mais menaçante n'était pas vraiment le mot. Elle n'allait pas leur tirer dessus. Mais tout de même. Declan l'a considérait tout simplement folle. Loin d'éprouver du remord face à son geste, elle était partie sur une tangente complètement absurde et que Declan avait eu du mal à suivre. S'était-elle échappée d'un asile? Declan n'en avait aucune idée. La revoir ici dans ce parc, au milieu de tous les autres passants, et avec un bébé? Voilà qui était surprenant. Declan n'était même pas encore remis de sa surprise que la jeune femme lui demander s'il s'était mi à al diète. « Je vous demande pardon?» grinça-t-il, baissant les yeux sur son ventre. Non. Non, il avait u bon physique, il le savait, elle cherchait juste à l'énerver, comme elle avait essayait de le faire la dernière fois. Il fit un pas en arrière, la foudroyant du regard lorsqu'elle s'amusa à faire des va et vient avec la poussette qui manquait à peine de le percuter. Declan posa un regard sur le landau. « C'est le votre ou vous l'avez kidnappé? » railla-t-il, et il ne plaisantait pas forcément. Il l'estimait capable d'une telle chose. Elle s’enquérait ensuite de sa présence dans le par cet cela lui fit se demander ce qu'il faisait encore ici. « Je voulais un moment de calme, mais ça ne va pas se produit apparemment, vu que je suis tombée sur vous» répondit-il, un faux sourire mielleux aux lèvres. « Ca dépend, vous allez encore me menacer avec une arme ?» rétorqua-t-il à sa demande absurde. Oui il l'avait encore en travers de la gorge. Il n'en revenait pas qu'ils étaient là en train de reprendre la conversation improbable qu'ils avaient eu lors de leur première rencontre.
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| mot doux de Invité ► un Dim 3 Avr - 12:17 | | | Je ne savais pas pourquoi je me rapprochais de lui comme d’une personne que je connaitrais depuis toujours. Je m’installais à ses côtés comme si nous allions commencer des conversations profondes entre deux pâquerettes offertes. Non, peut-être pas mais alors que ces femmes et ces hommes se baladaient dans le parc avec les robes bouffies et les jeans délavés, s’évertuant à tout faire pour montrer le nombril sans être jugée. Des adolescentes sûrement. Je ne cherchais pas à comprendre, non, je m’amusais en l’entendant me demander pardon quand je lui demandais s’il était à la diète mais je ne répondais pas à la question tout de même. J’étais une de ces personnes à manger sain et m’estimer heureuse à la fois de ne pas grossir trop rapidement même après une grossesse. Je m’amusais tout de même à le chercher avec le landau avant de changer de place sur l’herbe pour m’assoir à côté de lui. Il me demandait si je l’avais kidnappé mais c’est un rire jaune qu’il obtenait alors qu’elle avait été kidnappée à la naissance après mon accouchement par des mafieux. Dans les années 50, on peut être cruel aussi après tout. Il n’y a pas que la bonté jurée dans nos yeux. Ou des chansons sur les bancs du lycée. Non pas seulement. Je ne répondais pas à cette question surtout que j’étais enceinte jusqu’au bout du nez quand je l’avais rencontré, c’était visible à mon ventre assez énorme pour laisser entrevoir le nombril à travers le pyjama que je portais ce soir-là. J’inspirais doucement et lui demandant comment il allait, j’attendais simplement la réponse à ma question et même si des mots échappèrent encore de mes lèvres pour un dialogue qui ne m’était pas spécialement familier. Alors qu’il disait que je nuisais à son calme, je baissais le regard en tournant mon visage vers lui. Mes pupilles bleues le toisant pendant quelques secondes tandis qu’il rajoutait une question. Une bonne question mais je secouais la tête. « J’ai trop peur pour votre petit cœur ! », disais-je alors que je savais aussi que je ne voulais plus jamais avoir une arme dans ma main à part les couteaux mais je ne voulais plus rien avoir qui sois meurtrier. J’avais mes raisons. Oh oui, je les avais et je voulais cette vie derrière moi pour voir les choses autrement mais aussi plus joyeusement. Je voulais éviter cet enfer qui régnait dans mon quotidien depuis une année. Eviter mon père et ses magouilles de bandits… de pacotilles. Ces questions me taquinaient mais dans le fond, elle me frappait là où ça faisait mal et je ne pouvais pas le montrer car je ne voulais simplement pas laisser cet homme entrer dans mon enfer. Pas contre lui mais justement, personne ne mérite d’ouvrir ces portes qui m’avaient été ouvertes avec le tapis rouge. Cela peut sembler glamour comme ça mais pas quand le tapis est rouge de sang. Et je ne parle pas des ragniagnias. « Désolée de nuire à votre tranquillité, mon cher ! », lui susurrais-je alors en me rapprochant de lui. J’haussais une épaule pour la redescendre aussitôt. « Je n’ai pas compris qu’il fallait une invitation pour vous aborder ! », lui rajoutais-je tandis que je me reculais de l’approche. Je tournais mon regard à nouveau vers lui, la tête vers l’épaule droite donc et j’inspirais doucement. « Blague à part, non en fait, vous ne vous souvenez pas de mon gros ventre le jour de notre rencontre… celui d’une femme enceinte ? Mais vous n’êtes pas loin de la vérité ! », je riais doucement, avec amertume mais je riais doucement tout de même. « Elle a été kidnappée… pendant que vous broyez du noir à votre propre solitude en haïssant les gens… d’autres souffrent ! Peut-être pas à cause de vous enfin pas du tout dans ce cas-là mais bon… un sourire ne fait jamais de mal dans ce genre de confidence ! », lui soufflais-je tandis que cette porte pouvait être ouverte alors que j’avais fait la pendant quelques semaines après l’enlèvement. La presse adorait les faits divers qui changent parfois d’Elvis et ses concerts ou même de la guerre raciale. Je soupirais doucement avant de regarder dans le landau avec tendresse ce bébé qui dort. « Vous avez un enfant ? », lui demandais-je alors avec curiosité mais je tentais de faire la conversation tout de même. Il n’avait rien d’un père mais il n’avait rien non plus d’un homme célibataire à la bague que j’avais déjà remarquée à son doigt. Après tout, elle sert aussi à ça cette bague. Je devais être la seule qui après un accouchement n’avait pas épousée le père mais je ne voulais pas faire comme les autres juste par ce que cela parait normal surtout pas dans ses conditions. Quelles conditions après tout ? Je n’en savais rien et je préférais ne pas y penser. C’est meilleur pour les neurones. |
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| mot doux de Declan O. Gardner ► un Ven 22 Avr - 20:59 | | | Declan & Melody Please let's forget the past
Il y avait quelque chose de tenace dans la société dans laquelle ils vivaient. Une constance, une convention qui laissait peu de place à l'improvisation. Chacun avait sa place bien définie, s'ils consentaient seulement à s'en satisfaire. La grande majorité des gens préférait ne pas faire de vague, vivre son petit train-train sans bouleverser les mœurs et les attentes. Comme Declan. Ni révolutionnaire ni outrageusement intéressant. Il savait l'attitude qu'on attendait de lui et réciproquement. Loin d'être particulièrement doué pour lire les gens, Declan était néanmoins rarement surpris par eux. Sans doute était son cynisme qui parlait, mais c'était la vérité. Sauf pour la jeune femme face à lui. Declan était incapable d'anticiper le moindre mot qui allait sortir de sa bouche, ou le moindre geste qu'elle allait faire. Décalée tout en étant à l'image parfaite de ses pairs. S'ils n'avaient jamais eu cette rencontre fortuite dans le cinéma, Declan n'aurait jamais découvert la singularité de sa personne. C'était sans doute pourquoi il était automatiquement sur la défensive face à elle. Declan haussa un sourcil moqueur. Son pauvre petit cœur, en effet. Devait-il lui rappeler qu'elle avait pointé une arme sur ce particulier organe il n'y a pas si longtemps que ça? Il glissa un regard sur elle, assise à ses côtés, lorsqu'elle souleva son apparente antipathie. Il fit la moue un instant, appréciant guère de voir le sarcasme – son arme de prédilection - retournée vers lui. « Je ne vous retient pas » railla-t-il en retour. C'est vrai après tout. Elle pouvait très bien continuer son chemin. Mais non, elle était toujours là. Et elle continuait de parler. Declan fronça les sourcils un instant. Oh oui, c'est vrai. « Si je me souviens » maugréa-t-il. Ça avait été une blague de toute façon. Il savait bien qu'elle ne l'avait pas kidnappé. Son expression sombre s'accentua en l'entendant continuer. Il tourna la tête vers elle, son visage prenant une tournure embarrassé pendant un instant sous l'aveu de la jeune femme. « Je...oh mon dieu, je suis désolé » bafouilla-t-il. Il ne savait pas! Comment l'aurait-il su? Ugh. Tu parles d'une maladresse! Elle n'avait que faire de ses excuses cependant. Elle continua sur sa lancée, transformant la chose en un bref sermon. Si Declan n'avait pas été aussi gêné par son erreur, il aurait sans doute été bien plus agacé par ses mots. « Je ne suis pas seul » releva-t-il, piqué au vif, frottant inconsciemment son alliance du bout de son pouce. « Vous ne me connaissez pas » ajouta-t-il plus bas. Était-ce comme ça que les gens le voyaient avant Carter? Un inepte social, jaloux et aigri, exerçant sa vengeance à coup de paroles acides et regards noirs? Et égoïste de plus! Bien sur qu'il sait que d'autres souffrent, traversent des épreuves et des douleurs insoutenables! Elle ne le connaissait pas. Peut être avait-il lui aussi eu un destin tragique, qu'en savait-elle???? Ça n'était pas le cas, mais c'était une question de principe. Et il ne lui avait rien demandé, ok? C'est elle qui avait avoué son histoire tragique histoire de le faire se sentir coupable. Ce n'est pas mesquin ça peut être? Il fut tenté un instant de ne pas répondre à sa question, mais manquer une occasion de mentionner son fils n'était pas son genre. « Oui. Un fils » répondit-il, peu enclin à en offrir davantage.
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| mot doux de Invité ► un Ven 22 Avr - 23:31 | | | Cet homme était une sorte de mystère résolu mais qui me donnait encore envie de le résoudre. Je ne savais pas trop pourquoi d’ailleurs car à part cynique, il était comme le commun des mortels mais peut-être était-ce car il me semblait bien qu’appart inoffensif à mes yeux ? J’avais un côté assez proche des hommes inoffensifs en ce moment. Ceux qui même désagréable pour un sous me donnait l’impression d’être en sécurité même si je ne le connaissais pas vraiment enfin je connaissais ses mauvais côtés mais en avait-il des bons ? Je voulais le découvrir. Déjà il avait une mémoire mais un peu à retardement tout de même car il semblait avoir oublié que j’étais maman et soudainement s’en souvenir. Non je ne l’avais pas kidnappé mais son humour ne me plaisait pas du tout mais pas du tout. Il n’était pas bon humoristique tout comme certains ne sont pas bonne queux. J’inspirais doucement. Lâchant la bombe comme si c’était une chose évidente à dire mais c’était une part de sarcasme de ma part. Son jeu qu’il jouait, je pouvais aussi le jouer mais étais-je une aussi bonne joueuse que lui ? Dans le fond, il ne pouvait pas le savoir sans le voir enfin dans ce cas, c’était plus sans l’entendre mais qu’importe. L’avantage, je l’avais en le sentant réellement désolé sous le ton de sa voix. Enfin il bafouillait comme un enfant qui voulait se faire pardonner. J’en souriais doucement mais un sourire tellement léger sous ces aveux sombres. Dans le fond, nous étions liés à jamais pour devenir de bons amis et meilleurs copains. On allait pouvoir tisser des bracelets d’amitiés maintenant. Ou peut-être pas. Je baissais rapidement le regard mais non. Rapidement, je le relevais, lui posant cette question. Je regardais son alliance, ce qui était une évidence bien entendu mais je ne le connaissais pas et je ne pourrais pas le contredire. Mais j’avais pourtant l’impression de mieux le connaitre qu’il ne le pensait. J’haussais les épaules. « On ne peut pas connaitre une personne aussi facilement ! », disais-je alors. Je lui demandais alors s’il avait des enfants et un fils, c’était sa réponse mais oui, j’avais été mesquine d’abord et puis j’ai le droit de l’être, na. Je souriais doucement. « C’est dingue d’être parent alors qu’on a l’impression qu’on était des enfants… il n’y a pas tellement longtemps ! », disais-je comme d’une conversation assez commune comme si nous nous connaissions depuis des années. « Je ne suis pourtant pas le genre de dames à devenir maman et femme de foyer… j’ai suivi mes études et je travailles enfin je ne sers pas des milk-shake non pas que je dénigre les serveurs, attention… Je les adore même mais je veux dire, je ne suis pas dans la norme pour des hommes comme vous peut-être ou peut-être pas… Mais c’est dingue de se dire qu’un enfant peut nous donner envie de tout changer quand il sourit ! », disais-je en relevant le regard vers le landau quelques instants et le reposant aussitôt vers cet homme donc j’avais un peu ruinée la tranquillité et puis je m’en fichais bien. Je lui souriais. « Vous savez on a beau dire qu’on n’est pas seul… marié ou pas, je ne suis pas mariée et je ne suis pas seule pourtant en ce moment… je me sens seule au monde, vous n’avez pas ce problème avec votre femme ? », demandais-je alors en haussant les épaules. « Parfois… cette sensation que même à deux, vous êtes seuls ! », rajoutais-je tandis que je lui confiais des choses dans même savoir pourquoi mais j’étais une femme sociable et parfois bavarde. Je n’aimais pas rester dans mon coin. J’étais la bonne camarade qui allait toujours vers les autres même si un peu geek et intello. Un peu à part, j’étais comme les autres. Je n’allais pas lui foutre la paix même si j’étais persuadée qu’il le désirait encore mais qu’allait-il me faire ? M’ordonner de dégager avec un coup de pieds au cul ? Non, je ne pouvais pas l’imaginer faire ça ou même lui obéir. Je n’étais pas créer pour obéir aux hommes. Je ne l’avais jamais été. Je me pinçais les lèvres tout de même. « Désolée, je m’importe un peu dans la philosophie mais maintenant je pense que nous nous connaissons un peu plus même si nous ne nous connaissons pas pour aborder ce genre de sujet philosophique, je crois ! », lui disais-je en riant doucement. C’était vrai, nous ne nous connaissions pas mais peut-être assez pour ça ? Et dans le fond, qui s’en souciait. Il pouvait me répondre s’il le désirait ou juste hausser les épaules comme un asociale. Je m’en fichais après tout. J’en souriais. Je posais mes yeux bleus sur les gens autour de nous, je me disais simplement qu’ils paraissaient tous heureux et tristes à la fois. C’était affolant d’être devenue une de ses personnes. J’avais avant une vie paisible et tranquille et maintenant… Je me sentais seule. |
| | | Declan O. Gardner et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: don't judge me. i was born to be awesome not perfect !
| mot doux de Declan O. Gardner ► un Sam 28 Mai - 11:53 | | | Declan & Melody Please let's forget the past
Si Declan n'avait pas un minimum de self control, il aurait encore libérer une parole acide sous la remarque de son interlocutrice. Declan n'avait déjà pas doué en général pour apprendre à connaître quelqu'un, principalement parce qu'il n'estimait pas toujours que le jeu en valait la chandelle. Perdre de longues minutes, voire des heures à rassembler des informations sur un inconnu dans le simple but de changer le statut de leur relation. Passé ce point, rien n'assurait une amitié sincère et durable. Declan avait coutume de ces sortes de connaissance qui disparaissait petit à petit dans la nature, à coup de message laissés sans réponse et du cours cruel de la vie. Alors non, ce n'était pas facile d'apprendre à connaître quelqu'un. Et encore moins dans le cas présent. La jeune femme et lui ne s'étaient vu que deux fois dans leur vie, la première ayant laissé une désagréable impression chez Declan, ce qui avait tout de suite amputé quelconque envie d'en connaître plus sur elle. Mais la blondinette semblait bien déterminée à changer cela. Declan n'y voyait pas de mal à offrir une petite pièce d'information, comme l'existence de son fils. Ca n'allait pas la mener bien loin de toute manière. Tel un déclic, ce sujet la fit se lancer sur une tangente à propos du rôle de parent, et Declan la dévisagea, presque amusé. Presque. Il partageait le sentiment néanmoins, celui d'être un enfant lancé un peu trop tôt dans le monde d'un adulte. La naissance de son fils n'avait pas vraiment été prévue, et si Declan n'avait jamais appréhendé cet évènement avec effroi, il s'était quand même posé de nombreuses questions. Lui qui était à peine mature, à peine foutu de s'occuper de lui-même, sans situation financière stable, il devait s'occuper d'un bébé? Cela semblait trop gros pour lui. Mais il n'était plus un enfant. Il avait 30 ans, bon sang. Il hocha légèrement la tête, traduisant son accord tout en la laissant continuer. On avait beau le peindre comme un méchant, il était quand même en train de la laisser lui raconter sa vie alors qu'il en avait honnêtement pas grand-chose à faire. Si ça c'est pas de la politesse! Il regretta un instant son altruisme lorsqu'elle fit un commentaire sur les serveurs. Il serra la mâchoire sous ce point sensible. Lui était serveur. Sans doute pas à la hauteur des inspirations que l'on a d'un père de famille. Declan aurait aimé dire qu'il assumait, mais pas vraiment. Il était plutôt embarrassé à vrai dire. Il fallait qu'il trouve un autre boulot. La honte le tuerait s'il devait laisser son fils dire à ses futurs camarades d'école que son père était un serveur, tout juste bon à se faire renverser des milkshakes dessus et à ramasser la merde des autres. Il eut un rictus lorsqu'elle précisa "adorer" les serveurs. Bah voyons. Faut pas pousser non plus. Qui prête attention aux serveurs, à part délivrer leurs commandes et grommeler avant de laisser un pourboire. Mon Dieu, Declan détestait chaque minute de son boulot. « Je suis loin d'être dans la norme » glissa-t-il entre deux paroles. « Pour qui le faire sinon pour eux...» souffla-t-il, s'étonnant presque de contribuer à la conversation. Bien sur que son fils lui donnait envie de tout changer. Pour lui donner le meilleur. Pour éviter qu'il est un jour honte de son père. Declan ne pensait qu'à ça, tandis que la raison bataillait avec son envie égoïste de vivre sa vie comme il l'entendait et non dicté par la société. La jeune femme décida de replongez sur le sujet de la solitude et Declan secoua la tête. « Non» répondit-il simplement, peu envlin de toute manière à parler de sa relation de couple avec cette presque inconnue. « Pas avec elle ». Il ne connaissait que trop bien le sentiment que décrivait la jeune femme. Celui de se sentir seul au monde dans une pièce pleine de monde. Il avait senti la solitude lui ronger l'estomac lors des repas de famille, entouré par une dizaine de personne. Il s'était senti profondément seul lorsqu'il avait quitté le domicile familial pour un appartement partagé avec des colocataires. Il se sentait encore terriblement solitaire lorsqu'il enfilait un tablier pour servir un diner plein à craquer. Chaque instant passé loin de Carter et Steve le laissait vulnérable à cette spirale sombre. Mais en leur présence? En leur présence, il était heureux, bercé dans la certitude que ces deux personnes aller rester à ses côtés jusqu'à la fin des temps. Declan posa un regard sur son interlocutrice et laissa se dessiner un maigre sourire sur ses lèvres. « Je ne sais même pas comment vous vous appelez » railla-t-il, amusé, lorsqu'elle déclara que oui, maintenant ils se connaissaient suffisamment.
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| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 8 Aoû - 20:12 | | | Declan n’était pas le plus des loquaces. C’était le cas de le dire. Je parlais pour deux et bien plus que lui. Ce qui était logique dans une logique mais dans le fond ? On s’en fiche de la logique. Je me laissais égarer dans une philosophie. Presque seule alors qu’il suivait mais sans suivre. Je me doutais bien qu’il n’était pas le genre de personne que l’on croise et qui veut tout savoir sur notre vie. Non. Sûrement pas. C’était peut-être pour ça que ça me plaisait de lui parler ainsi ? Je savais qu’une part de lui n’en avait rien à foutre. Je le cernais assez vite lui et sa tête de pois chiche. Oui, il s’en fichait simplement et ça, je pouvais le comprendre. Mais les curiosités malsaines de certaines personnes ? C’était tellement différent. Je fronçais les sourcils alors qu’il avait dit être loin de la norme. Je pensais le contraire. Papa, travaillant… et à notre époque, c’est l’âge pour être parent. On commence tout plus tôt que dans le futur à mon avis. Quoique. Je souriais doucement en l’entendant dire qu’il n’avait personne d’autres pour qui le faire. Je penchais la tête, continuant à parler telle un moulant à paroles. Des choses à dire ? J’en avais tant mais pas assez en même temps. Non. Il ne pensait pas être seul. Dans le fond, je n’étais pas seule avec Alvin avant. Mais les choses changeaient entre nous. Je voulais les réparer. Je le désirais plus que tout au monde mais comment ? Je savais que mon malaise devait prendre sur lui. Le temps. C’est ce dont il avait peut-être besoin pour aller mieux. Je laissais se dessiner un sourire triste. Mais bon, je remontais aussitôt au galop en disant presque que nous avions passés un stade de notre amitié. Je le voyais tourner son regard vers lui avec un sourire. « Si, vous le savez mais vous avez sûrement oublié… Je peux comprendre je vous ai menacés avec une arme ce soir-là ! », disais-je en riant doucement. « Je m’appelle Melody ! », rajoutais-je en me disant que ce prénom pourrait simplement lui donner envie de chanter pour se foutre de ma poire mais je m’en fichais. Oui, je m’en fichais tellement. Je me contentais de tourner le regard vers mon landau et regardant le bébé qui s’endormait à nouveau. Je reposais mon attention sur Declan, plongeant mon regard azur vers lui. « Pour mon excuse, j’étais espionnée… et menacée par un ex-psychopathe qui n’a pas compris que quand c’est fini, c’est fini… ou même que ce bébé n’était pas le sien et que l’entreprise de mon père n’était pas la sienne. Psychopathe qui a assassiné mon frère… il y a 6 ans le jour où il s’est fiancé avec moi ! Il m’a trompé pendant des années avec la femme de son coéquipier avant de la tuer… femme qu’il aimait bien entendu… Oui, tuer une femme qu’on aime… alors toutes mes excuses pour cette première impression mais les hormones en plus… pas bon ménage ! », je riais doucement. Disant ça avec tellement de simplicité comme si c’était normal et que cela arrivait à tout le monde. Peut-être pas à tout le monde pourtant cela m’était arrivé et cela m’étonnerait que cela m’arrive deux fois. Après faudrait vraiment pas avoir de chances pour que cela recommence. Fallait mieux en rire qu’en pleurer après tout. Je me trompe ? J’haussais les épaules en reposant mon attention sur le bébé quelques instants. « Je pense que j’avais une bonne excuse… bon d’accord me balader avec une arme n’était pas l’idée grandiose que j’avais eue mais je sors avec un ex… enfin un ex monsieur qui a une arme légalement… », disais-je en fronçant les sourcils. « Secret d’état ! », lui murmurais-je en regardant autour de nous comme si nous étions écoutés mais plus rien ne m’étonnerait personnellement. Pourquoi ne pas me mettre sur écoute ? Après tout, je cache tellement de choses dans mes souvenirs. Je tenais tellement de secrets entre mes mains et j’en avais vus tant. Je ne savais pas de quoi serait fait mon futur et dans un sens, je ne voulais pas vraiment le savoir car cela me pétrifiait mais à cette seconde même assise au parc avec un « inconnu », je me sentais en sécurité. Libre et amusée. Je ne saurais dire pourquoi car il n’était pas le type qui mettait à l’aise mais c’était un fait. Je fronçais délicatement mon petit nez, lui offrant un léger sourire avant de soupirer doucement. Un soupir las. « Et nous voilà… des mois après… dans un par cet promis, je n’ai pas d’armes avec moi… juste une bombe prête à exploser mais j’attendrais que vous soyez de retour chez vous avec votre femme et votre fils… », je lui donnais un coup d’épaule, amicalement. Je suis une grande comique. |
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