l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Jonas L. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3560 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014 ❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana bros b4 hoes
| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Lun 7 Mar - 21:38 | | | Jezabel & JonasPayer en nature peut parfois être acceptable
Quittant mon dernier et unique cours de la journée, je me dirigeais vers la bibliothèque. J’avais besoin de prendre un livre sur l’architecture sur le siècle dernier. Mon professeur m’avait certifié qu’il se trouverait sans doute là et ainsi je pourrais perfectionner mon plan en comprenant mieux l’ingénierie d’il y a quelques années. Comme toujours les lieux étaient bondés d’étudiants, mais accompagné d’un silence lourd. Poussant un soupir après avoir franchi la porte, je me dirigeais vers l’allée consacré au monument et autre chose pouvant se relier à l’architecture. C’est à pas de loup que j’arpentais le rayon à la recherche du livre en question. Les minutes s’écoulèrent et je sentais ma patience me quitter, lorsque mon regard se posa sur ledit livre. Prenant pas de chance, je regardais le titre que j’avais inscrit sur le dos de ma main pour ne pas avoir à chercher parmi mes papiers. C’était bien lui, enfin ! M’empressant, je le prenais pour quitter ensuite la bibliothèque et pouvoir retourner chez moi. Mais à peine avais-je prit le livre que mon portable se mettait à sonner. Cette sonnerie bien attitré pour ma tante, Barracuda de Heart. Ce qui collait bien à ma tante, soit terriblement sexy. Mais bon si un jour elle découvrait ça, j’étais mort. Mais pour l’heure, ce n’était pas elle qui me regardait avec des yeux immenses, mais plutôt les élèves que j’avais déranger en recevant cet appel. Je m’excusais d’un signe de la main, décrochant pour entendre la voix de ma tante. « Salut. » J’avais essayé de ne pas parler trop fort, mais prenant pas de chance je m’éloignais du petit groupe qui continuait de me dévisager. « Euh... Ouais, j’ai fini pour aujourd’hui. Texte-moi l’adresse et j’y serai dans une dizaine de minutes. » Fermant mon portable, je me dirigeais vers le comptoir pour emprunter le livre, avant de rejoindre ma tante qui avait besoin de moi pour une maison. Je n’avais pas eu tous les détails, mais je n’étais pas du genre à refuser que ce soit pour la famille ou pour la possibilité de me faire un peu d’argent de poche. Remerciant la fille chargée de la bibliothèque, je me dirigeais vers l’endroit où j’avais garé mon 4x4, programmant déjà mon portable en mode gps pour trouver l’adresse qu’elle m’avait fait parvenir. Ouvrant le coffre arrière je balançais mon sac et prenais mes bottes de chantier. Je changeais donc de chaussure, puis montait dans ma voiture pour me diriger vers la maison. Ce n’était pas la première fois que j’aidais ma tante ou que je travaillais sur des petits chantiers. Est-ce que j’avais pris cette voie à cause de la femme qui avait pris ma tutelle suite à la mort de Mama ? Je ne pouvais pas dire, j’avais toujours été intéresser par les bâtiments, mais au fond elle y était peut-être pour quelque chose. Près de vingt minutes plus tard, je stationnais mon Range Rover devant la maison de l’adresse, descendant pour contourner mon véhicule et trouver ma tante sur le perron qui me regardait. « Y’avait du trafic. C’est à se demander ce que les gens fond sur la route le lundi à onze heures ! » Je gravissais les marches en deux pas, sautant ainsi quelques-unes au passage. M’approchant de ma tante, je lui faisais la bise. « Salut. Ça va ? » Bon je la voyais pratiquement tous les dimanches, donc hier elle avait subi mon agréable compagnie ! Mais bon peut-être qu’il s’était passé quelque chose de merveilleux entre le moment où j’avais quitté sa maison à maintenant. Posant mon regard sur elle, je lui adressais un sourire large, avant de porter mon regard vers l’entrée où ses employés étaient déjà à l’œuvre. « Tu avais besoin de moi pour quoi ? » Après tout, je n’étais pas là pour ses beaux yeux, et puis le temps où elle me plaisait était révolu. Elle restait à mes yeux une belle femme, séduisante, mais je m’intéressais davantage à des filles de mon âge. Bien que celle qui occupait un peu plus mes pensées, était légèrement plus vieille que moi. Mais bon ça n’avait rien de comparable avec l’écart entre ma tante et moi !
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| | | Jezabel M. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administratrice d'amour
| mot doux de Jezabel M. Sanchez ► un Lun 14 Mar - 14:06 | | | Jonas & Jezabel Payer en nature peut parfois être acceptable
Qu’avais-je fait au bon Dieu pour qu’il me mette dans une situation problématique pareille ? Était-ce parce que j’avais fait demi-tour au moment d’aller au confessionnal parce que je savais que je n’aurais pas le temps d’avoir mon petit moment en tête-à-tête avec le pasteur avant que la messe commence ? J’étais persuadée que c’était ça… Je m’en étais voulu et maintenant, j’en payais le prix. Mais étais-je vraiment obligée de payer de la sorte ? Alors que j’étais sur le point de conclure un contrat plutôt important ? Si ce n’était pas aussi grossier de le faire, je dirais très certainement que j’étais maudite. À la place par contre, je faisais les cent pas dans cette maison maintenant prête à accueillir les meubles qui allaient s’agencer parfaitement avec la peinture, la composition de la maison. Bref, cette demeure serait tout simplement impeccable, exactement comme les propriétaires la souhaitaient. D’ailleurs, ceux-ci devaient arriver le lendemain matin pour voir le résultat final après avoir passé un mois à l’extérieur de la demeure, histoire que tous les travaux soient faits. Pendant ce temps, la maison avait été carrément remise à neuve, le mobilier et les accessoires étaient la touche finale, et je n’avais pas le choix de tout installer aujourd’hui. Le problème dans tout ça ? Pas le fait que rien n’était prêt, que je ne sois pas sur place. Le souci était que j’avais prévu deux employés pour m’aider avec tout ça, parce que je ne pouvais pas déplacer les meubles du camion de livraison jusqu’à la maison. Cependant, un d’entre eux ne pouvait pas venir, puisqu’il était tombé en trébuchant dans un jouet de sa fille… Sa raison, je pouvais la comprendre, mais le souci était que je n’avais personne d’autre qui était disponible, et j’avais besoin de quelqu’un maintenant, il était impossible de reporter. Désespérée, j’avais cherché une solution sans trouver pendant plusieurs minutes. Évidemment, j’avais songé à appeler mon fils, mais étant à l’université, il était trop loin. Dans un ultime geste de panique, je parcourus mon téléphone, et je vis apparaître, tel le Sauveur, le nom de Jonas. Sachant que c’était à peu près ma dernière chance, je tentai de l’appeler, lui expliquant la situation, le suppliant limite de venir m’aider. À mon grand soulagement, il accepta sans trop de problème et sans trop retarder mes plans. Mon neveu pouvait-il être plus parfait ? À ce moment, j’étais persuadée que ce n’était juste pas possible. Maintenant plus qu’heureuse, je ne me sentis même pas gênée de mettre les travaux en suspens un bref moment, juste le temps qu’il arrive. Une fois que je le vis monter les marches, je me précipitai à sa rencontre pour lui faire la bise et m’exclamer à son adresse: « Dieu merci tu es là ! Ça ne pourrait pas aller mieux ! » Le pire dans tout ça ? C’était que dans ma tête, dans l’immédiat, je n’exagérais même pas. Malgré tout, cela ne m’empêcha pas de retrouver mon sérieux pour répondre à la question de mon neveu en lui répondant, toujours aussi excitée comme une puce de voir mes plans finalement prendre une tournure plus que convenable: « En fait, j’ai surtout besoin de tes jolis bras musclés ! » Non, je n’étais pas en train de commencer à le draguer ou quoi que ce soit. Un compliment, ça ne faisait jamais de mal à personne, non ? Et puis, c’était surtout une façon de parler plus qu’autre chose, j’étais persuadée que Jonas s’en doutait déjà. Puis, après avoir marqué une pause, je repris mon explication de façon un peu plus sérieuse en ajoutant: « Il faut installer les meubles et tout dans la maison pour que ce soit parfait et ça doit être fait aujourd’hui ! Les propriétaires reprennent les clés demain matin ! » Évidemment, mon but n’était pas de lui mettre un paquet de pression, déjà que je lui étais éternellement reconnaissante d’avoir volé à mon secours aussi vite. Comment allais-je le remercier d’ailleurs ? Je trouverais bien quelque chose, je n’en doutais pas un instant. Un cadeau, un chèque, un dîner supplémentaire… Il y avait certainement un truc qui lui ferait plaisir, non ? Enfin, j’y réfléchirais plus tard, parce que mine de rien, le temps tournait, et je jugeai donc préférable de confirmer le tout avec mon neveu en posant mes mains sur mes hanches et en lui demandant: « Alors, tu te sens d’attaque mon chéri ? » |
| | | Jonas L. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
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| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Ven 22 Avr - 22:31 | | | Jezabel & JonasPayer en nature peut parfois être acceptable
La réaction de ma tante en me voyant arriver sur le perron, me fit d’avantage sourire. Je ne pensais pas être un tel sauveur pour elle, c’était qu’une jobine rien de plus à mes yeux, mais ça semblait beaucoup plus aux siens. « Eh bien si je te rends heureuse… » Je laissais un sourire prendre place sur mes lèvres, alors que je glissais mes mains dans les poches de mon jeans. Je ne savais toujours pas ce qui m’amenais, mais après si elle avait eu recours à moi c’était sans doute qu’elle était en pénurie d’homme. Étonnant dans un sens. Elle n’avait qu’à se pencher pour que n’importe quel homme lui offre mont et merveille, mais restait à savoir si ça elle le savait ! Bref. J’haussais les sourcils, elle en voulait à mon corps ? En voilà une tournure inattendue ! Bon, la réalité était autre et ça je le savais, mais je pouvais bien me passer cette remarque, l’espace d’un instant. « Mes jolis bras musclés… Y’a pas que ça de musclé. » Je pouvais bien flatter mon égo, même si c’était devant ma tante, en plus elle m’avait tendu la perche que j’avais simplement pris. Et dans un sens c’était vrai, je ne faisais pas que muscler mes bras, tout le reste y passait. Certain aimait livre ou regarder des séries, moi j’aimais passer mon temps libre à me muscler. Mais n’allez pas croire que je n’ai rien dans la caboche ! Je n’ai jamais été le genre sportif stupide, par chance ! Je laissais un sourire planer sur mes lèvres, affichant très bien mon amusement vis-à-vis de la situation. Hochant la tête à la fin de son explication, je posais mon regard une nouvelle fois à l’intérieur. Je revenais vers ma tante, je posais mon regard sur elle. « Ça faisait longtemps que tu m’avais pas appeler ainsi… Essai d’éviter si je viens avec des amis une prochaine fois. » Je laissais un petit rire se perdre et sortant ma main de ma poche, je la déposais sur le bras de ma tante. « Compte sur moi, de toute tu sais que je peux pas te dire non. » Je lui adressais un sourire, avant de me diriger vers l’entrée de la maison, passant ma tête dans l’embrasure. Connaissant certain des employés de ma tante, j’appelais celui que je voyais. En fait, j’ignorais si on serait deux ou plus, mais comme c’était lui que je voyais. Je le saluais d’une pogne de main forte et me dirigeant vers le camion de fourniture au nom de ma tante, je grimpais sans passer par la passerelle. Je posais mon regard sur les meubles, autant commencer par les plus gros, le hic, ceux qui avait organiser le camion les avait mis tout au fond. Posant mes mains sur mes hanches, je me mordais la lèvre. Je n’avais rien contre ce genre de boulot, franchement ça faisait partie du métier, même si je n’étudiais pas en décoration. Je posais mon regard sur mon acolyte, et sans perdre de temps on se mettait à deux pour vider le camion. Écoutant les directives de ma tante quant à l’endroit où on devait amener les meubles ou fournitures. Une fois le réfrigérateur amené dans la cuisine et mit dans son trou, je tirais sur le rebord de mon t-shirt pour essuyer les perles de sueur sur mon front. Posant mon regard sur ma tante. « Là tu me devras vraiment quelque chose ! Tu pouvais pas prendre encore plus gros comme frigo ? » Je reprenais mon souffle, chose qui me semblait difficile autant pour moi que pour son employé. Je retirais mon t-shirt, ayant beaucoup trop chaud pour le garder un instant de plus. Sans le plier soigneusement, je le fourrais dans la poche arrière de mon jeans. On pouvait dire ce qu’on voulait ma la température était véritablement étouffante. La Californie n’avait on dirait jamais de brin de fraîcheur comme on en avait parfois en Louisiane. Je poussais un soupire, tournant mon regard vers ma tante. « Tu nous accordes une pause ? » Après tout à deux, on allait mourir à la tâche si on ne prenait pas de pause et je serais très certainement pas contre un breuvage par la même occasion.
Dernière édition par Jonas L. Sanchez le Ven 3 Juin - 8:35, édité 1 fois |
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| mot doux de Jezabel M. Sanchez ► un Mar 3 Mai - 13:49 | | | Jonas & Jezabel Payer en nature peut parfois être acceptable
Si Jonas avait eu quelques années de moins, fort probablement que je lui aurais rappelé que la vanité n’avait pas sa place dans notre vie et nos coutumes familiales. Mais puisque je le connaissais et que je le savais bien élevé - parce que c’était moi qui m’en occupais depuis un bon moment maintenant - j’avais compris et pris pour acquis que ces propos relevaient de la blague, faisant en sorte que je ne me voyais clairement pas lui faire des remontrances inutiles en ces lieux, d’autant plus que je ne saurais pas me permettre de faire une chose pareille alors qu’il était en train de me rendre un énorme service. Peut-être que pour lui, ce n’était pas grand-chose, je ne savais pas trop en fait, mais pour moi… Jonas devenait mon sauveur, mon messie en cette journée particulièrement stressante. Enfin, ce moment stressant surtout, parce qu’une fois que tout serait en place dans la maison et que les propriétaires seraient de retour, et satisfaits de tout le travail accompli, là, je pourrais me détendre, et surtout remercier mon neveu comme il se le devait. Par contre, pour arriver à ce moment de quiétude, il fallait se mettre au boulot, faisant en sorte que je jugeai que ce n’était pas le temps de trainer et de bavasser. Nous aurions tout le temps de le faire plus tard, quand le tout serait bien avancé, à mon avis. Juste avant de mettre le tout en marche, je décidai de taquiner mon neveu une dernière fois, au moment où il me demanda de ne pas l’appeler « mon chéri » devant ses amis. D’abord, je le considérai avec un sourire amusé, parce que même si je l’aimais beaucoup, je ne ferais certainement pas exprès de le mettre dans l’embarras et ainsi ruiner son amour-propre. Mais là, puisque nous étions que tous les deux, et que j’étais plus qu’heureuse de le voir, je me permis de l’embêter encore un petit moment en m’approchant pour lui pincer la joue de façon bien cliché en lui disant: « Pourquoi donc ? Tu aurais honte de ta tantine ? » Un doux rire fut suffisant pour signifier que c’était là une blague, et je me doutais bien que le sérieux que je pris pour dire: « Bon allez, c’est parti ! » Sur ces mots, je me dirigeai vers le camion de livraison des nouveaux meubles à l’effigie de l’entreprise en compagnie de Jonas et de mon employé qui, lui, avait su se présenter à temps et en pleine forme. De mon côté, j’attrapai à chaque fois des tabourets, une table bistro, des cartons avec les accessoires décoratifs. Bref, rien de trop lourd, faisant en sorte que non seulement, j’évitais des allers-retours inutiles aux deux hommes qui étaient aux prises avec des meubles qui pesaient probablement une tonne, sans parler du fait que cela me donnait l’occasion d’être dans la maison la première, pouvant ainsi diriger les opérations comme j’avais l’habitude de le faire. Par contre, au bout d’un moment, je dus admettre que marcher ainsi commençait à me donner chaud, même si je ne m’en plaignais pas et que je me sentais d’attaque à continuer. Malgré tout, je crus bon d’arrêter quand je me rendis compte que Jonas transpirait à grosses gouttes et commençait à se plaindre, surtout quand vint le temps de rentrer le frigo dans la maison. Me permettant un dernier commentaire par rapport à cela, à savoir: « C’est pas moi qui l’a choisi ! », histoire que Jonas comprenne que ça, je n’y étais pour rien. J’avais beau m’imposer quand venait le temps de tout agencer dans une pièce, mais la taille du frigo, ce n’était pas moi qui l’avais choisie. Vue la maison, j’aurais pris quelque chose de plus simple, plus délicat, mais bon… Le couple qui emménageait mangeait comme des ogres, alors il fallait bien adapter… Malgré tout, je pensais que le résultat allait être convenable, je l’espérais en tout cas. Une fois ce propos à part dit, je décidai d’exaucer la demande de mon neveu et je lâchai: « Ça marche, on prend vingt minutes ! » Cinq, ce n’était pas suffisant et une demi-heure, peut-être un peu trop, alors pour moi, vingt, c’était juste parfait. Au pire, si jamais la chaleur devenait trop accablante, nous pourrions en prendre une autre, surtout que pour le moment, tout semblait bien se passer. Suite à cela, je retournai dans la maison, simplement histoire de me rendre jusqu’à la glacière que j’avais prévue, comme à chaque fois, pour y prendre trois bouteilles d’eau. Une pour moi, une pour mon employé, et une pour Jonas. Je revins ensuite vers ce dernier en lui tendant la boisson rafraichissante, tout en lui disant: « Tiens, tu l’as méritée, et il y en a d’autres si tu en as besoin. » Doucement, je lui souris, puis je décidai de lui proposer: « On va s’asseoir à l’ombre ? À moins que tu n’aies pas envie de profiter de ce moment pour bavarder un peu ? »
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| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Ven 3 Juin - 21:17 | | | Jezabel & JonasPayer en nature peut parfois être acceptable
Grimaçant alors qu’elle me pinçait la joue, frottant vigoureusement celle-ci après qu’elle ait lâché prise. Soulagé qu’elle ne m’ait pas détruit la mâchoire ! « J’ai surtout plus dix ans. » Bin non, j’étais majeur depuis plus d’une année. Le chéri me faisait penser plus à un gamin qu’à un adulte, même si au fond ça ne me dérangeait pas tant que cela. Après tout, ma tante était la personne se rapprochant le plus d’une mère ou une figure parentale. Même si au fond, je ne l’écoutais que très rarement depuis qu’on était arrivé en Californie et que j’étais devenu populaire. J’avais pris des mauvais plis que je lui cachais bien volontiers. Inutile de l’alarmer ou de lui faire croire qu’elle n’avait pas pu récupérer l’enfant que j’étais avant ce changement de vie. Au moins je me tenais loin de mon cousin et ma cousine, ainsi aucune chance que je leur apporte une mauvaise influence et je n’aurais pas à subir le courroux de ma tante. Et pour l’heure j’évitais celui-ci en me mettant au boulot. Le travail était plus ardu que je l’aurais cru. Même si on utilisait les straps de déménagement, le poids et la chaleur devenait insupportable. J’avais beau être en forme, faire autant de voyagement ça devenait de plus en plus épuisant. Je m’arrêtais après avoir amené le fridge dans la cuisine. J’étais à bout de souffle, dévêtu et ruisselant de sueur. Mon regard se posait sur l’ouvrier de ma tante qui semblait dans un état pire que le mien. J’en venais à croire qu’il allait nous faire une attaque si on continuait ainsi. Je passais ma main dans mes cheveux proposant de faire une pause. Chose que j’estimais qu’on avait tous bien mérité et je n’étais pas certain qu’on pourrait continuer de bon train si on ne s’arrêtait pas pour souffler un peu. Elle acceptait. « Ça me va. » disais-je en me dirigeant vers le camion pour voir ce qu’on aurait encore à amener dans la maison. Je regardais le contenu tout en me massant l’épaule dans une rotation lente. C’est alors que j’entendais des gloussements, posant mon regard sur deux filles qui ne devait pas avoir plus de seize ou dix-sept ans. À croire qu’elles n’avaient jamais vu un mec torse nu et en sueur. Je leur adressais un sourire amusé, avant de me retourner pour voir Jezabel arriver avec une bouteille d’eau que je prenais la posant avant tout dans mon cou. La fraîcheur de celle-ci était agréable. « Merci. Si tu veux. » disais-je en sachant très bien que de toute manière je n’avais pas grand-chose à faire d’autre. Non pas que je ne voulais pas discuter avec ma tante, mais je n’avais pas mieux à faire que de texter des bêtises à Noah ou encore me faire reluquer par les filles qui passaient sur le trottoir. Je descendais les quelques marches pour me diriger à l’ombre, prenant place j’ouvrais la bouteille qu’elle m’avait amené pour en boire une gorgée. Je la regardais prendre place près de moi. En fait, si on pensait je lui parlais beaucoup moins depuis que j’avais quitté le domicile familial pour aller sur le campus. Enfin si, je lui parlais chaque dimanche ou quand je la voyais, mais jamais vraiment en profondeur. Appuyant mes bras sur mes cuisses, je posais mon regard sur le camion devant moi. « Tu sais, je ne sais pas trop ce que je vais faire une fois mes études finis. » Je tournais mon regard vers elle. C’était la première fois que je parlais de mes craintes à propos de mes études, mais les mois s’écoulaient à vitesse grand V et c’est cette année que j’allais réellement finir mes études. « J’aimerais bien faire un stage dans une boîte d’architecture, mais je ne suis pas certain que je me vois faire des plans derrière un bureau… Je suis manuelle. » confiais-je en me passant une main sur la nuque. J’en revenais presque à me questionner sur mon choix de carrière, pourtant j’adorais ce que je faisais en classe et mes projets, seulement en faire un métier je ne savais pas trop. « C’est en te voyant faire que j’ai eu envie de devenir ingénieur en bâtiment, mais je ne sais plus trop. J’adore ce que je fais, mais est-ce que ça me plaira une fois mes études finis ? » Je posais à nouveau mon regard sur ma tante, affichant un air sérieux, mais surtout incertain. |
| | | Jezabel M. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administratrice d'amour
| mot doux de Jezabel M. Sanchez ► un Ven 1 Juil - 3:18 | | | Jezabel & JonasPayer en nature peut parfois être acceptable
Jonas avait beau être un adulte maintenant, un adulte qui avait des projets, des ambitions, pour moi, il resterait toujours mon neveu que je considérais comme mon fils à présent, vu les années qui étaient passées pendant lesquelles je l’avais eu sous mon toit et que je m’étais occupé de lui. Alors que ça lui plaise ou pas, j’allais très certainement continuer à l’appeler mon chéri si ça me plaisait. Après, pour le pinçage de joue, on repasserait, mon but étant surtout de le taquiner. J’avais beau être maternelle et montrer que j’aimais ma famille, je savais quand même m’arrêter quand venait le temps, parce que mon but était que ces enfants m’aimaient encore et n’aient pas honte de moi. Et puis, à son âge, il était pas mal plus intéressant de s’asseoir et discuter en sa compagnie, parler de lui, de ce qu’il voulait faire et tout, même si évidemment, je ne pourrais le forcer en quoi que ce soit. Tout ce que je fis dans le cas présent, ce fut de lui proposer d’aller s’installer à l’extérieur avec une bouteille d’eau et profiter de cette petite pause ensemble. Heureusement, celui-ci ne s’y opposa pas, faisant en sorte que nous allâmes nous poser à l’ombre, bouteille d’eau en main. Une fois que nous fûmes assis, je ne forçai pas quelconque conversation, attendant encore même un peu avant de me décider sur ce que je pourrais lui dire. Au bout du compte, je n’eus pas à lui dire quoi que ce soit, raison étant que ce fut mon neveu qui prit la parole dans un premier temps, ne se faisant clairement pas prier pour aborder un sujet relativement sérieux. Était-ce le fait qu’il venait me filer un coup de main qui lui faisait penser à cela ? Je ne savais pas trop, mais une chose était certaine, c’était que j’allais l’écouter jusqu’au bout, parce que je jugeais que c’était ça, mon devoir; l’écouter et l’aider dans le mesure que je pouvais le faire. Histoire de l’encourager, je lui demandai tout simplement: « Ah bon ? », l’écoutant ensuite m’expliquer quel était son dilemme. Pinçant les lèvres en comprenant ce qui le tracassait tant, je ne pus toutefois m’empêcher d’esquisser un sourire au moment où il me dit que c’était grâce à moi - ou à cause de moi, qu’importe - me disant que je ne saurais faire autrement que de montrer fière pour le coup, qui ne le serait pas, en fait ? Évidemment, cela ne voulait pas dire que je voulais le forcer, bien loin de là mon intention, mais bon, c’était bien de savoir que nous avions ce point en commun, cette envie de travailler dans le même domaine, de façon plus ou moins directe. Enfin, était-ce cela que Jonas voulait ? Vu comment il me semblait incertain, je n’étais pas vraiment certaine que le pousser un peu plus était vraiment une bonne idée. Par contre, il allait bientôt finir ses études, encore faudrait-il qu’il fasse un choix. Qu’importe ce que serait ce dernier, pour sûr je serais là pour l’encourager, mais après, je ne voulais pas l’obliger à quoi que ce soit non plus. Voilà pourquoi, au bout du compte, après un bref moment de réflexion, je lui dis: « Eh bien… Est-ce que le domaine du bâtiment t’intéresse dans l’ensemble, ou bien c’est seulement le fait d’être enfermé dans un bureau qui t’embête ? » Parce que si c’était le domaine en entier qui lui déplaisait pas, il était certain que c’était un peu plus compliqué, mais si c’était une simple question de bureau, pour moi, la question ne se posait pas bien longtemps, comme je le prouvait en ajoutant: « Parce que si c’est une question de bureau, ça peut s’arranger. J’ai accepté de participer à des projets de rénovation de maisons en partenariat avec un de mes amis qui est en construction, et je ne crois pas qu’il refuserait de te prendre dans son groupe. » Je savais bien que ce n’était pas pile poil la même chose, mais dans ma tête, cela lui donnerait l’occasion de savoir si travailler de ses mains était vraiment ce qui lui plaisait, si le bâtiment était vraiment l’objet de ses ambitions, bref, se faire une meilleure idée. Et puis, même si je ne le présentais pas tout de suite comme un avantage pour lui, même si ça en était un pour moi, cela nous permettrait de travailler ensemble de temps à autre et ça, je ne pouvais clairement pas m’en plaindre pour le coup. |
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