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Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 25 Juil - 1:34 | | | JensenaëlleYou make loving you easy
Quand il était question d’enfants dont je m’occupais, bien rapidement, je n’avais aucun mal à l’idée de leur donner des surnoms un peu mignons, en gardant quand même une certaine retenue, consciente que ce n’était pas mes enfants et que je me devais de ne pas exagérer. Heureusement que pour ça, je n’avais pas d’enfant justement, parce que le pauvre, il aurait une tonne de noms. Mais bien sûr, cela ne m’empêcherait jamais d’en avoir un jour, si jamais cela était possible. Pendant longtemps, j’avais cru que ce n’était qu’un rêve brisé, mais maintenant, en cette journée spéciale, j’avais envie de croire que cela pourrait être une possibilité avec Jensen. Pas ici et maintenant, puisque notre relation était encore toute récente, mais si c’était un désir que nous partagions, pourquoi pas, un jour ou l’autre ? Pour le moment, je me disais que profiter du moment présent, me détendre en sa compagnie, était ma priorité et clairement, c’était un véritable succès, vu comment je me laissais aller, ce qui ne lui déplaisait pas, visiblement et ce, sans même que je me rende compte que cela pouvait lui faire plaisir. Je m’en rendis compte seulement lorsqu’il me mentionna qu’il aimait que je l’appelle « mon chéri ». Sitôt, ce propos m’arracha un sourire et tout de suite après, je décidai de garder cette idée en tête, et pour sûr, j’allais l’appeler ainsi autant que possible. Enfin, peut-être pas autant que je pouvais le faire avec des enfants, parce que je ne voulais pas lui taper sur les nerfs non plus au bout du compte, mais si ça le rendait heureux, je serais stupide de m’en passer. Et puis, à la base, ce n’était pas vraiment compliqué en ce qui concernait Jensen, comme je l’avais vu plus tôt, lorsque j’avais préparé cette journée pour lui chez moi, et en ce moment, d’abord avec ce « mon chéri » qui avait eu plus d’impact que je l’avais cru, puis finalement cette petite visite dans la confiserie, ma proposition qui venait avec, qui me donnait maintenant le titre de « meilleure copine du monde » qui, clairement, n’aurait pas pu me faire plus plaisir. Je savais bien que ce n’était peut-être pas totalement véridique aux yeux de tout le monde, mais tant et aussi longtemps que ce l’était aux yeux de mon homme, c’était tout ce qui comptait. Parce que oui, je voulais être la meilleure copine qui soit, pour lui, et personne d’autre. De plus, il fallait admettre que me concernant, cela me faisait plus que du bien de l’entendre dire, me prouver que j’assurais, d’une certaine façon. Je n’étais pas sans savoir que ma relation avec Jensen n’avait rien à voir avec ce que j’avais connu précédemment, mais parfois, il m’arrivait encore de temps à autre d’avoir ce besoin qu’on m’assure que tout convenait, parce que maintes fois, trop souvent même, on m’avait fait croire que si les choses se passaient mal, c’était ma faute, même quand ce n’était pas le cas. Au début, je pouvais me convaincre que ce n’était pas le cas, mais à force de répétitions, j’avais fini par croire le contraire. Je recommençais tout juste à reprendre confiance en moi, et ça, c’était essentiellement grâce à Jensen. Éternellement reconnaissante, profondément amoureuse, si le rendre heureux était aussi simple, alors je serais stupide de ne pas le faire. Et là, son bonheur, c’était d’être dans cette confiserie et choisir un paquet de bonbons pour le trajet en avion, pour nos vacances, pour n’importe quel moment, tant et aussi longtemps que nous n’aurions pas fini d’en manger. Pour moi, ça pourrait prendre un bon moment, mais en ce qui concernait Jensen, je me doutais que le paquet n’allait pas durer des masses. Évidemment, je ne m’en faisais pas, je n’étais pas du genre à compter le nombre de bonbons mangés pour voir si c’était égal ou pas, c’était même ridicule en mon sens dans une situation pareille. Plus encore, avant de songer à manger ces fameux bonbons, il fallait les choisir, puis éventuellement les payer. Nous ne pouvions clairement pas faire ça en les prenant tout simplement dans nos mains, alors une fois à l’intérieur, j'attrapai un des sacs aux couleurs vives, parfaitement assorti à la confiserie, destiné à être rempli de friandises qui nous plaisaient. Puis, lorsque les nombreux baisers - qui me plaisaient plus l’un que l’autre - que nous échangeâmes prirent fin - parce qu’après ses propos, je n’avais pas pu m’empêcher de lui en voler à mon tour - je portai mon attention sur l’intérieur, les friandises proposées, parce que vu les dires de Jensen, il me fallait bien voir ce qui pourrait me plaire un peu plus. Rapidement, je me rendis compte que clairement, ce ne serait pas chose simple. Me mordillant la lèvre inférieure, clairement indécise sur ce qui pourrait me plaire, sans parler du fait que je n’étais pas vraiment difficile quand venait le temps de manger sucré, je finis par dire: « Hum… C’est grave si je te dis que je… les aime tous ? » J’exagérais un peu pour le coup, j’en étais consciente, mais je m’en moquais, j’avais envie de blaguer, et pour un truc aussi mignon et simple, je ne me faisais pas prier pour le faire. Par contre, parce que je ne voulais pas laisser non plus mon amoureux avec quelque chose de trop vague, je choisis de reprendre mon sérieux puis préciser: « J'aime bien tout ce qu’il y a un goût de fruit ! Quand ce n’est pas trop acidulé, c'est parfait pour moi. » Sur ces mots, je lui tendis le petit sac, en lui disant dans un petit rire: « À toi l’honneur alors, je te fais confiance, mon chéri ! » Évidemment, j’avais fait exprès de l’appeler « mon chéri », mais je ne pouvais pas nier maintenant que cela me faisait plaisir de l’appeler ainsi. Qui sait, peut-être que j’allais prendre l’habitude sous peu ? |
| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Jeu 11 Aoû - 21:48 | | | La petite famille de mon frère avait vraiment de la chance d'avoir Lenaëlle. Et je savais très bien qu'ils n'auraient pas pu trouver quelqu'un de plus adorable. J'aurais mis ma vie entre ses mains en toute confiance, et elle aimait tellement les enfants! Elle ne les aurait surement pas plus aimé si ils avaient été les siens directement. C'était du moins ce que je pensais, en tout cas elle s'occupait aussi bien d'eux que s'ils étaient à elle. Aucun risque qu'ils manquent de quoi que ce soit. Je souriais en passant ma main sur son dos, c'est tout juste si je n'avais pas un peu de jalousie. Moi aussi j'aurais voulu qu'elle s'occupe de moi toute la journée, à veiller à mon bonheur, à me donner de la tendresse. Mais je la retrouvais le soir assez souvent pour des sorties tous les deux ou juste des moments en amoureux, donc c'était déjà pas trop mal je suppose je ne pouvais pas me montrer trop exigeant je suppose. En tout cas, cette sortie tous les deux allait nous faire le plus grand bien, de premières vacances dont ils devaient se souvenir d'ici quelques années. Lui en tout cas ne doutait pas du fait qu'il s'en souviendrait éternellement, c'était important et c'était bien pour ça qu'il avait voulu faire les choses correctement, en ne laissant rien au hasard pour qu'elle soit heureuse. Un jour cette femme serait ma femme, je le savais, je le sentais. Ca ne pouvait pas se passer autrement, nous étions faits pour être ensembles. Cela me paraissait évident, chaque fois que je posais les yeux sur elle. C'était un tel bonheur nous deux, ça ne pouvait pas ne pas durer. Dans mon coeur c'était comme une explosion de sentiments. Elle serait la mère de mes enfants, de nos enfants. Et j'étais persuadé qu'elle serait absolument merveilleuse dans ce rôle la. Elle me redonnait envie d'avoir foi dans l'amour, même si j'avais été tellement déçu dans le passé. Elle ne me briserait pas le coeur, elle ne me trahirait pas. Lena était différente en tout points.Du coup oui, cette journée pour le moment suffisait à me combler. Comme une étape du long chemin qu'était notre histoire amoureuse. Un desnombreux bons moments dont nous nous souviendrions lorsque nous serions vieux, un soir d'hiver au chaud près du feu dans notre cheminée. Un sourire niais étirait mes lèvres chaque fois que je posais sur elle mes grands yeux clairs, passant mon bras tout autour d'elle pour venir lui faire de doux petits bisous, remettant derrière son oreille une mèche de ses cheveux blonds. Je marchais à ses côtés tranquillement, fier de pouvoir être vu au bras d'une si belle jeune femme. Je ne me privais pas de montrer qu'elle était à moi afin que ne subsiste aucune ambiguïté, ma main caressant sa taille du bout des doigts alors que je déposais de tendres petits baisers sur son front, sa joue, le coin de ses lèvres. J'en étais dingue, et je ne voulais pas imaginer une seule seconde de ma vie sans elle à mes côtés désormais. C'était à me demander comment était ma vie avant. Sans doute sacrément vide. Disons que je n'avais pas vraiment de raison de vouloir m'en souvenir maintenant que tout allait pour le mieux. C'était une évidence.J'osais éspérer en tout cas que je la comblais autant qu'elle me comblais, autrement je me serais senti incroyablement égoïste, voir même injuste. Elle faisait de moi le plus heureux des hommes, alors je voulais que chaque jour soit pour elle meilleur que le précédent. Je voulais la voir sourire à chacun de nos moments. Pour le moment nous n'avions connu aucune dispute, nous nous entendions merveilleusement bien c'était une évidence. Bon, j'avais déjà été un peu jaloux biensur mais en meme temps je n'aimais pas qu'un homme la regarde je n'y pouvais rien. Elle trouvait ça mignon, mais j'essayais de faire de mon mieux pour que la jalousie ne soit pas excessive. Je voyais dans chaque homme un concurrent potentiel qui pouvait me la prendre en me disant que je n'avais pas tant de qualités que ça. J'étais loin de la perfection.Même dans le magasin de bonbons je la gardais tout près de moi, marchant à ses côtés en jetant un regard gourmand à tout ce qui nous entourait. Ce magasin était le paradis, clairement. Un paradis, et j'étais aux côtés d'un ange. Que demander de plus, vraiment? Je me mordillais la lèvre, mon ventre gargouillant de gourmandise plus que de faim réelle c'était certain. Je venais de me régaler. C'était juste l'appel du sucre la tout de suite. Je faisais de mon mieux pour ne pas y penser, sous peine que la jeune femme finisse vraiment par prendre peur face à mon appétit d'ogre. La pauvre, heureusement qu'elle savait cuisiner sinon on ne s'en sortirais pas! « Oh non je peux parfaitement comprendre crois moi! Je trouve que c'est une torture de devoir choisir! C'est vraiment dur!» Soupirais-je avec une moue en prenant un sachet pour commencer qu je lui tendais avant d'en prendre un moi aussi. Deux ne seraient surement pas de trop pour tout le voyage, puis bon les bonbons ce n'était pas quelque chose qui pouvait périmer. Ca n'aurait surement pas le temps de toute façon, je les mangerais bien trop vite. En partageant tout de même avec la jolie jeune femme qui faisait partie désormais de ma vie de manière intégrante depuis plusieurs mois. Chanceux que j'étais! « Aaah c'est bien pour les filles qu'ont été inventés les préservatifs aux gouts fruités. Des fruits, des fruits. 5 fruits et légumes par jour, mon amour! Je te taquine va. J'ai bien les ficelles à la cerise, et les bleus aussi. Pas d'acidulé du coup, pas de problèmes. » Je la taquinais simplement, je n'étais pas du genre à balancer des remarques coquines à tout va, j'aimais juste la déstabiliser un peu par moments. En l'entendant je riais, venant l'embrasser avant de commencer à remplir les sachets.
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| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 15 Aoû - 23:59 | | | JensenaëlleYou make loving you easy
Même si je sentais que si ça n’avait été que moi, j’aurais très certainement rempli plus qu’un sac de bonbons et que j’aurais eu des provisions, j’avais quand même tenté d’arrêter mon choix à ce qui était susceptible de me plaire le plus. Après, si jamais mon petit-ami souhaitait prendre autre chose, de plus acidulé ou qu’importe, je n’allais pas l’en empêcher. Pour être franche, je serais complètement idiote de le priver de quoi que ce soit, venir interférer à son bonheur alors que d’une certaine façon, je l’avais provoqué en lui proposant de venir en ces lieux. Ça n’avait jamais été mon genre, et je ne voulais pas que cela le devienne non plus. Évidemment, si jamais je voyais quelque chose susceptible de blesser Jensen de quelconque façon, j’allais lui en parler, mais là, intervenir en disant que les bonbons, ce n’était pas bon pour la santé, les caries et tout ça, ce n’était pas approprié, pas du tout en ce moment. De plus, je ne ferais que jouer les envahissantes, et clairement, je n’en avais pas envie, parce que ce n’était pas mon genre dans un premier temps. En réalité, ce ne l’était tellement pas que sans dire moi, je le laissais me taquiner avec une blague un peu plus salace qu’à la normale. Rien de méchant, mais suffisante pour que soudainement, mes joues commencent à devenir rouge et que je veuille soudainement prendre un sachet opaque et le mettre sur ma tête, le temps que la rougeur disparaisse. Toutefois, je n’allais pas le faire, parce que c’était ridicule et de plus, ce n’était pas la première fois que mon petit-ami me voyait rougir de la sorte. C’était quelque chose de bien involontaire qui survenait souvent en ce qui me concernait, surtout quand j’étais avec lui, qu’il me portait une attention particulière, avait un petit mot doux, ou juste un propos qui me donnait l’impression d’être une jeune vierge chaste. Clairement, ce n’était pas le cas, même si parfois, j’avais le sentiment que c’était le contraire. J’étais adulte, je n’étais pas complètement ignorante en ce qui concernait les préservatifs et la façon de les utiliser, mais disons que cela faisait un bail que l’occasion ne s’était pas présentée, alors je supposais que ma réaction était un simple réflexe plus qu’autre chose, parce qu’autrement, ce n’était pas quelque chose qui me dérangeait, pas avec Jensen. Bien longtemps, j’étais restée craintive, méfiante, mais là, je n’avais plus envie de l’être. Jensen avait ma pleine confiance et surtout, il avait mon coeur. Bien souvent, je m’étais promise de ne jamais me projeter dans l’avenir, parce qu’il n’y avait pas moyen de savoir ce que celui-ci pourrait nous réserver, mais là, j’avais vraiment envie de croire que je pourrais aller loin avec Jensen, fonder une famille, être heureuse comme jamais je ne l’avais été, comme je l’étais en ce moment en fait. J’avais envie de croire en l’avenir, un bel avenir avec lui. Bien sûr, je ne voulais pas me presser, je ne voulais pas faire la même erreur qu’il y a dix ans. Je souhaitais faire comme bon nous le semblait, comme le temps semblait nous porter. Le temps nous portait maintenant vers ce week-end en amoureux, et je savais que celui-ci ne saurait que bien se passer. Déjà à l’aéroport, je me sentais sur un petit nuage, alors qu’en serait-il une fois que nous serions sur place, dans ce lieu que j’estimais déjà paradisiaque ? Ça ne pourrait être qu’exceptionnel, j’en étais persuadée. Et surtout, ce qui serait encore mieux, ce serait qu’une fois sur place, je ne serais pas gênée, mais pour ça, je ne m’en faisais pas trop, parce que déjà, je n’avais pas envie d’être timide, bien loin de là, donc c’était déjà ce que j’estimais être un excellent signe. Mais là, puisque le temps était plutôt aux plaisanteries dans cette confiserie, je me contentai, en guise de réaction par la suite, de tirer la langue à mon cher et tendre pour lui montrer que je ne lui en voulais pas, de sa petite taquinerie. Après tout, ça n’avait rien de méchant, alors pourquoi je râlerais ou un truc du genre ? Plus encore, je ne me gênai même pas pour lui rendre son baiser par la suite, avant de finalement prendre la route vers les divers bonbons afin de remplir le sachet que Jensen m’avait remis. Tel que je l’avais prévu, je m’en tins à ce qui était susceptible de me plaire, en y glissant quelques ficelles, parce que mon petit-ami me l’avait mentionné, alors je me disais que c’était la moindre des choses d’en mettre un peu. Et puis, ce n’était pas comme si c’était quelque chose que je détestais, alors ce n’était qu’une bonne chose, au final. Lorsque je jugeai le sachet bien rempli de mon côté, je retournai vers mon homme, l’embrassant sur la joue pour lui faire savoir ma présence - me moquant bien qu’il m’avait vue au préalable - puis en attendant qu’il ait terminé de faire ses propres provisions, j’en profitai pour regarder discrètement l’heure sur l’horloge en forme de sucette géante qui se trouvait dans le magasin en disant: « Oh bébé… Tu ne crois pas qu’on devrait aller à la porte d’embarquement après avoir payé nos emplettes ? » en désignant la dite horloge du doigt, histoire de lui montrer que le temps qui nous était précédemment imparti commençait vraiment à filer pour le coup. Clairement, ce n’était pas la fin du monde, nous avions quand même un peu de temps qui nous permettait de ne pas devoir courir dans le terminal, mais disons que ce serait moche de rater notre vol en direction du paradis, de notre petit paradis à tous les deux pour les prochains jours à venir. |
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