Je reste tranquillement assis sur ma chaise en écoutant Matthew parler. Je me mis à rire lorsqu’il me parle de Dean et sa sœur. C’est vrai que résumé comme cela, ce n’est pas évident de se retenir à rire. Enfin, j’aime bien Matthew, c’est un bon gars et sa me change de mes fréquentation habituelle. Dans le sens où lui n’as pas un passer de hors-la-loi derrière lui. Mais dans un sens, Matthew à raison si nous suivons la logique de Sarah et de Dean, nous sommes frères aussi. Mais lorsqu’on passe au sujet de Dahlia, j’avoue que j’ai encore la haine envers ce type. Peut être que le faire plonger été une bonne idée mais, je ne suis pas sûre que je puisse accepter le fais qu’il puisse un jour faire du mal à Dahlia ou même à Lucas. Ce type est vraiment une pourriture ! De la vermine !

« C’est sûre ! Mais, faut vraiment les suivent ma parole. Mais, ca m’étonnerais qu’elle essaie de m’oublie avec ce type vu qu’elle m’a dit qu’elle n’aime encore. » D’ailleurs peut être avec un peu de trop de fierté, je n’avais même pas pris la peine de lui répondre. En même temps, vu la dispute que nous avons eus, je n’étais surement pas prêt à lui dire que je l’aime aussi. Enfin bref. « J’ai été un abruti en la laissons partir il y a plusieurs années maintenant. Ca marcher bien entre nous et je l’ai toujours protégé. Dahlia était ma petite femme. » Dis je avec une pointe d’amertume.

Lorsque je repense à tout cela, c’est vraie que j’aurais peut être pas fait le même parcours. Mais, dans le fond, je n’aurais pas ma petite Rose. J’eus un sourire en pensant à Rose puis Matt me parle d’une solution un peu plus sûre. Je termine mon café et m’allume une nouvelle clope. C’est une bonne idée après tout et je dois apprendre à faire confiance en la justice.

« Ce n’est pas une mauvaise idée. Écoute, lorsque je la vois, j’essaye de la faire venir te voir. Peut être qu’elle t’écoutera. » Dis je avec un léger sourire. « Puis, j’ai une petite fille qui attends son papa à la maison tous les soirs. Et pour en revenir à Dahlia, ca lui fera peut être dû bien d’en parler à un homme qui n’est pas un hors la loi. »

La serveuse arrive avec l’addition qu’à la base je n’ai pas demandé mais, tant pis. Je lui donne un billet et elle me rends de la monnaie. Finalement je me lève :

« Bon mon pote ! Ca te dérange de m’emmené au chenil pour adopter un chien pour Rose ? Comme ca elle aura la surprise en rentrant ce soir. »