l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Holden J. Jones et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: parce que papajones elle n'a pas encore son rang ♥
| mot doux de Holden J. Jones ► un Sam 11 Avr - 13:15 | | | On ne pourrait accuser la famille Jones d’être barbante et prévisible. Si Holden avait subi les premiers drames avec choc, le pasteur en était désormais réduit à accepter son sort avec dépit et résignation. Convaincu que rien ne pourrait être plus douloureux que la mort de son fils, plus humiliant que la tromperie de sa femme ou plus loufoque que le mariage surprise de Ken, Holden estimait qu’il n’avait plus l’âge de se surmener et qu’il valait mieux qu’il se détende un peu plus face à chaque nouvelle. Tout cela pour dire que la fuite soudaine de Kennedy ne l’avait pas retranché au bord de la crise cardiaque comme d’autres événements précédents avaient pu le faire. C’était tout de même mal connaître Holden de penser qu’il avait pris la nouvelle avec un sourire et un haussement d’épaule. Aux yeux du père, ce que venais de faire son fils était bien pire que son union à Vegas. Holden lui-même n’aurait jamais été capable d’une telle chose. Fuir devant la naissance de ses enfants était pour lui incompréhensible ! C’était d’ailleurs une des raisons qui avait alimenté son animosité envers Aiden, quand il avait cru que ce dernier avait volontairement laissé sa femme enceinte pour aller se battre à l’autre bout du monde. En même temps, la paternité n’avait jamais effrayé Holden. Même lorsque Lulla avait été conçue et qu’il était à peine majeur, Holden n’avait jamais eu l’idée de se débarrasser de cette responsabilité. Sans doute était-ce son pragmatisme et sa certitude qu’avoir un enfant était la plus belle chose au monde…et aussi le fait que ses parents étaient là pour l’aider et qu’il avait pu tranquillement continuer d’aller à l’université alors que Joan était coincée chez lui avec le bébé. Bref. Le fait est qu’Holden avait été franchement abasourdi d’apprendre la nouvelle. Kenny était censé être le génie de la famille et voila qu’une nouvelle fois il réagissait bêtement. Mieux vaut qu’il fasse ses bêtises là à son âge que plus tard, cependant. Le principal c’était que son fiston était rentré. C’est Jane qui l’avait trouvé à la porte, soudainement, et Holden estimait que ce n’était pas plus mal. Pris sur le fait, Holden n’aurait su comment réagir. Le pauvre gamin avait beau avoir fait une belle boulette, il en payait désormais le prix. Un divorce n’était pas chose facile, et s’il allait tout de même avoir l’opportunité de voir ses enfants, ce n’était pas la même chose. Encore une fois, mieux vaut maintenant que plus tard. Holden ne connaissait que trop bien les conséquences d’un divorce sur des enfants assez grand pour comprendre ce qui se passe. Les jumeaux au moins n’auront jamais connu leurs parents autrement que séparés. Et ces jumeaux, parlons-en ! Holden était en extase d’avoir enfin des petits-fils ! Il était aussi assez confiant dans sa masculinité pour avouer qu’il avait versé sa petite larme à la maternité en entendant le prénom d’un des deux bambins. Il n’y avait pas plus bel hommage à Luke. Si Kennedy était venu vivre de nouveau à la maison, Holden ne le voyait pas souvent. Père et fils n’avaient pas vraiment au l’occasion de se croiser et donc de discuter, si bien qu’Holden fut presque surpris de le trouver un jour dans la cuisine, se retrouvant ainsi seul avec son fils. « Hey Ken » amorça-t-il en se dirigeant vers le frigo, presque prudemment, ne sachant pas si son fils était d’humeur à converser avec son vieux père.
Dernière édition par Holden J. Jones le Sam 16 Mai - 12:45, édité 1 fois |
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| mot doux de Invité ► un Dim 19 Avr - 18:45 | | | Moi qui avais toujours été l'un des enfants les plus raisonnable durant mon enfance et une bonne partie de mon adolescence, j'avais vraiment enchainé les conneries en l'espace de quelques années. J'avais fait en quelques sortes fait tout ce qu'il ne fallait pas faire en agissant plus ou moins égoïstement en passant d'un mariage à Vegas à une grossesse de ma femme d'un an pour finir par une désertion de ma part. Je ne saurais dire ce qui m'avais mené à le faire mais j'avais sans doute franchi des limites que personne n'aurait soupçonné. Laissé tomber sa femme enceinte était un acte totalement puéril mais j'avais eu si peur, peur de toute ces responsabilités mais surtout de ce changement d'enfant à parent. C'était idiot au final car je me retrouvais en plein divorce, Zeppelin ne me pardonnant pas mon erreur et je ne pouvais l'en blâmer. Tous ce temps, je n'avais pas non plus pensé à ma famille préférant tous laisser derrière moi. Seul Lullaby avait su rester en contact avec moi et encore nos rapports restaient bref mais finalement cet isolement ma fait prendre conscience de l'importance que la famille Jones avaient pour moi que ce soit mes parents ou ma fratrie. J'étais revenu aussi, d'une manière assez brusque mais surtout imprévu car je ne pensais pas tombé sur ma mère mais je ne le regrettais pas au final car nous avions su nous retrouvé et j'avais par la suite repris contact avec les autres un à un. J'avais eu pour ainsi dire beaucoup de mal à revenir vers eux mais surtout du mal à pouvoir affronté leur regard et leur jugement pour le moins justifié même si le plus dur restait d'obtenir mon propre pardon. Lorsque j'ai vu Luke et Mike, je m'en suis atrocement voulu de les avoir privé de père même si ce n'était qu'un mois. Le mois de trop et seulement maintenant j'arrivais à envisagé l'avenir sans peur. J'avais avancé et je tentais de me comporté en père exemplaire du mieux que je pouvais d'autant plus que Zepp me permettait de prendre de plus en plus les petits. Ma situation avançait donc même si actuellement je vivais chez mes parents, je savais que cela ne durerait pas et que je retrouverais je l'espère assez rapidement mon indépendance. Ce n'était maintenant plus pour me comporter comme un ado et échappé à la surveillance de mes parents mais vraiment pour reprendre totalement ma vie en main. Mais pour l'instant je me contentais du logement de mes parents dans lequel j'avais grandi. Je m'estimais vraiment heureux d'être ici et je ne m'en plaignais pas au contraire. J'étais actuellement dans la cuisine, assis à table un bouquin sous les yeux et un verre de coca dans la main pour patienté jusqu'à l'heure de mon départ. Je devais aller récupérer mes fils un peu plus tard dans la journée et passé la journée avec eux et pour le moment je m'étais dit que quitter ma chambre ne serait pas une si mauvaise idée. Je fus tout de même assez surpris de voir mon père pénétré dans la pièce pour se dirigé vers le frigo. Il n'y avait pour la plupart des personnes rien de surprenant à ce qu'un père et son fils se croisent mais en réalité nous ne nous étions que très peu vu, d'une part car je passais mes journées dehors à chercher un emploi, renoué avec mes amis et profité de mes fils tandis que lui avait des obligations et d'une autre car cela était déjà le cas avant. "Oh, salut papa" Salut papa... C'était les seuls mots que j'avais été capable de dire mais je ne savais pas trop où en était notre relation. Je pense que s'il ne m'avait pas encore attrapé pour me faire part de sa déception c'est que ça allait mais encore une fois je ne savais pas où en être. Où était le temps où nous pouvions passé des heures à discuté sur tous et rien que ce soit d'une question sur la religion à l'astronomie ou tout simplement sur la vie de tous les jours. J'espérais que tout ne soit pas cassé par mon départ et que je saurais retrouvé cette relation avec lui. "Comment ça va?" J'essayais de paraitre naturel mais pour quiconque me connaissant bien, mon mal être était visible. J'étais quelqu'un qui se posait beaucoup de question et qui doutait de tout et c'est exactement ce qui se passait en ce moment. "Qu'est ce que tu fais ici à cette heure ci?" Je n'étais pas habitué à le voir à la maison en journée mais c'est aussi ça j'y étais peu moi aussi, quoi qu'il en soit, le fait que nous nous trouvions tous deux dans cette pièce semblait être une bonne chose. |
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| mot doux de Holden J. Jones ► un Sam 16 Mai - 12:43 | | | Holden détestait ça. Ce sentiment d’être presque un étranger avec son fils et ce besoin d’avancer prudemment pour éviter que la chose ne lui échappe et dérape. Quelques mois plus tôt Holden aurait sans doute explosé face à son fils, clamant haut et fort un énième sermon comme il l’avait fait au moment de son mariage irréfléchi. Là, il n’avait pas eu peur d’hausser la voix et de donner son opinion sur les agissements de son fils. La situation actuelle en revanche, était plus personnelle. Holden réalisait que ce n’était pas tant ses affaires que ça et qu’il serait mal placé de juger. Oh bien sûr il avait son avis sur la chose et Holden ne pouvait admettre approuver la décision de Kennedy, mais le pasteur se doutait qu’il ne pourrait rien dire à son fils que ce dernier ne savait déjà. Kenny avait compris son erreur et en payait le prix. Il n’avait décemment pas besoin que chaque membre de sa famille y mette son grain de sel. Jane avait déjà faire sa part de la réprimande parentale et Holden se sentait juste las. Il voulait renouer avec son plus jeune fils, retrouver cette aisance dans leur discussion qu’ils avaient à l’époque. Avant que le destin ne s’acharne un peu trop sur eux. Mais c’était délicat. Délicat car malgré tout Holden avait eu du mal à accepter la transition d’enfant à adulte. Ken, son petit génie innocent et calme avait bien changé. Son statut d’homme n’aurait pu être plus clair maintenant qu’il avait deux enfants et un divorce au compteur. Tous ses enfants étaient grands maintenant. Indépendants. Presque tous ayant quitté le nid familial, et certains y faisant un bref retour pour se ressourcer avant de s’envoler à nouveau de leurs propres ailes. Holden avait beau avoir été légèrement traumatisé par l’annonce de la grossesse de Jane, une part égoïste de lui était aux anges de recommencer de nouveau ce petit manège qu’il connaissait par cœur. De savoir que l’intérieur de sa grande maison n’allait pas être vide et silencieuse avec Jane et lui pour seul occupant. Mais évidemment, cela n’enlevait pas les nombreux soucis qui allaient avec un nouveau bébé à leurs âges. Ken releva les yeux de son bouquin lorsque son père s’adressa à lui, et sa réponse fut prudente. Holden ne pouvait le blâmer. Son fils devait s’attendre à une conversation loin d’être agréable. Le jeune homme lui demanda ensuite comment ça allait et Holden dissimula une grimace en repêchant un soda des entrailles du frigo. Ca semblait plat, presque comme s’il lisait un script. « Bien et toi ? » répondit-il tout de même, un léger sourire au visage qui semblait tendu même pour lui. Et franchement c’était ridicule. Holden savait qu’il devrait s’engager dans le cœur du sujet directement et dire à son fils qu’il n’allait pas lui passer un savon pour son attitude même s’il désapprouvait. En attendant, il jouait le jeu. Maladroitement. Stupidement. « J’ai ramené de la paperasse du boulot hier. J’y retourne un peu plus tard dans la journée » répondit-il dans un haussement d’épaule. Il avait dû quitter le boulot plus tôt la veille pour pouvoir accompagner Jane à son échographie. « Tu vois les jumeaux aujourd’hui ? » |
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| mot doux de Invité ► un Jeu 21 Mai - 20:48 | | | Je détestais cette situation, celle de ne pas savoir sur quel pied danser avec mon père er surtout d'avoir la sensation d'être étranger avec lui. Le pire c'est que c'est moi qui ait crée ai cours de cette année cette situation et maintenant je voudrais tellement que tout redevienne comme avant. Le problème reste sans doute lon caractère, j'ai la sale réputation d'être trop impulsif mais surtout semblable à un champ de mine lorsque quelqu'un tentait de me faire une réflexion mais je faisais réellement des efforts et j'étais prêt à en faire. Aujourd'hui je n'étais définitivement plus le même qu'autrefois, avoir été si longtemps loin et seul m'avait fait réfléchir et je m'étais rendu compte de l'importance qu'ils avaient pour moi mais surtout être père m'avait énormément assagie je devais l'admettre. Je ne pouvais pas me permettre d'être un adolescent irresponsable pour ces deux petits êtres sans défense. J'étais jusqu'à maintenant parvenu à renouer avec la plupart des membres de la famille qu'il s'agisse de ma mère, Kate ou encore Lullaby mais je devais aussi admettre que j'avais un peu repoussé l'affrontement avec mon père. Je voulais sincèrement retrouvé cette complicité que nous avions autrefois tout en me disant qu'il faudrait peut-être simplement partir sur de nouvelle base avec quelque chose de nouveau simplement en laissant le temps. J'étais donc finalement content de le voir ici, on pourrais peut-être crever l'abcès qui sait. Je n'étais maintenant plus du tout concentré sur mon bouquin mais bien sur lui, j'avançais tout de même prudemment en lui répondant mais je lui demandais quand même comment il allait tandis que celui-ci semblait farfouillé dans le frigo. Sa réponse fut comme je m'y attendais simple mais prévisible il allait bien et me retournait la question. "Bah bien... Merci" Je m'étonnais aussi de le voir ici en pleine journée, c'était un homme très influent à Pasadena qui avait toujours quelque chose à faire, à moins qu'il ai vraiment changé ses habitudes. J'écoutais sa réponse qui semblait assez logique. Pour un génie je ne semblais pas très perspicace pour le coup mais bon. Un léger sourire apparut sur min visage à l'évocation des jumeaux. " Oui, en plus comme Zeppelin à un rendez-vous je vais être seul avec " S'il y a bien un sujet qui me donnait le sourire c'était mes fils, les rendre heureux était devenu mon nouvel objectif de vie. J'avais alors une idée qui allait soit me propulser sur un fil tendu soit nous permettre de briser la glace. "Hm si... Si ça te dit et que... Tu as le temps tu peux venir avec moi toute à l'heure" Venant de moi c'était véritablement une preuve de bonne foi mais au fond j'en avais vraiment envie. Je me disais que passer ce moment tous les deux avec Luke et Mike. Enfin je ne devais pas non plus partir maintenant donc il fallait encore tenir la conversation. Et j'en avais assez de devoir bafouiller à chaque phrase que je lui dis, ce n'était pas dans ma nature de tourner autour du pot donc je me lançais pour y aller franchement posant les yeux clairs sur lui." Papa?" J'attendais d'avoir sa pleine attention avant d'inspirer un grand coup avant de me lancer. " Désolé! Désolé d'avoir fait totalement n'importe quoi durant l'année dernière, vraiment... Avant de m'arrêter en si bon chemin je jugeais donc utile d'ajouter. " Mais ça y est , comme je l'ai déjà dit à maman j'ai compris la leçon et je vais me reprendre en main tout en prenant mes responsabilités."
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| mot doux de Holden J. Jones ► un Jeu 18 Juin - 21:22 | | | Holden n’avait jamais été de ses pères qui semblent incapables de communiqué avec leurs enfants. Il en connaissait de la sorte qui en étaient réduits à partager une conversation autour de la météo, comme si toute autre alternative était trop personnelle ou embarrassante. Les différences intergénérationnelles n’avaient jamais trop dérangé Holden. Alors bien sur qu’il n’était pas toujours à jour et avait souvent rencontré un mur en essayant de parler avec ses enfants, mais ils ne les considéraient pas non plus comme des aliens ! Cette conversation, en cet instant ? Holden aurait pu l’avoir avec un étranger. Un simple échange de banalité et politesse, tandis que l’on pense à tout sauf à l’instant présent. Holden s’autorisa un instant pour prendre une gorgée de sa boisson, étudiant son fils du regard tout en essayant d’anticiper ses prochaines paroles. Holden avait eu une bonne idée en mettant sur le tapis le sujet des jumeaux. La simple question avait illuminé le visage de Kennedy et Holden ne pu retenir le sourire attendri qui se dessinait sur ses lèvres. Son fils était un père. Malgré l’inévitabilité de la chose, c’était une notion particulière à intégrer. Chaque parent en parle avec légèreté, rassuré dans le fait que tout n’est qu’hypothèse ou du moins réservé pour un futur lointain. Mais ce moment arrive, et Holden l’avait accueilli avec joie. Ses filles les premières l’avaient honoré du statut de grand-père, et les observer dans leur statut de mère avait semblé naturel. C’est qu’il les revoyait encore s’occuper de leurs frères et sœurs lorsqu’ils étaient tout petit. Une vision tendre qui l’avait préparé à les voir prendre soin de leurs propres enfants. Kennedy était son premier garçon à avoir un bébé. Chronologiquement, Luke aurait dû avoir les honneurs, mais le destin en avait décidé autrement. Mais comme tout, Holden s’était habitué à ce nouveau statut et il observait avec fierté son fils se glisser dans ce rôle, malgré quelques erreurs de parcours. Ken aimait ses fils, c’était évident, et c’est tout ce qui comptait au final. « Encore mieux » répondit-il. « Il faut en profiter ». C’était bon de savoir que Ken pouvait profiter de ses fils en tête à tête, sans le rappel constant de la famille qui s’était brisée sous leurs yeux. Holden avait pensé que la conversation s’arrêterait là. Kennedy aurait achevé le sujet et son père lui aurait souhaité une bonne journée, et voilà. Mais non, Kennedy avait autre chose en tête, au plus grand soulagement du pasteur. Holden laissa un battement avant de répondre, soucieux de ne pas paraître trop enthousiaste. Il craignait que Ken ne se sente obligé de faire une telle proposition, peut être dans l’espoir que cela lui fasse gagner des points auprès de son père. Seulement, Kennedy n’avait pas de raison de se racheter et surtout pas en essayant de l’amadouer avec ses petits-fils. Holden balaya quelques instants son regard sur le visage de son fils puis, quand il estima n’y déceler aucune trace de résignation, il accepta. « Bien sur, ça me ferait plaisir ». Holden lui renvoya un sourire radieux et estimant qu’ils avaient tous les deux fait assez d’efforts, il s’apprêta à laisser son fils respirer un peu avant de lui imposer de nouveau sa présence plus tard. Mais Kennedy l’interpella. Ses excuses le prirent un peu à dépourvu. D’un côté parce qu’il ne s’y attendait pas, et de l’autre parce qu’il réalisait qu’une partie de lui était avide de les entendre. Ce n’était pas tant une réflexion égoïste, non. Holden était juste content d’entendre que Kennedy reconnaissait ses erreurs. Ainsi, il pouvait apprendre d’elles et ne plus les refaire. Holden le laissa finir avant de s’approcher de lui. « On fait tous des erreurs Ken, et on apprend d’elles. Je sais que ta mère et moi avons été assez sévères avec toi l’année dernière, mais c’était juste de l’inquiétude. » dit-il. Holden ne souhaitait pas juger ses enfants. C’était hypocrite après tout. Lui aussi avait fait son lot de mauvais jugements pendant sa jeunesse, et ses propres parents n’avaient également trouvé que colère et punition pour éliminer leurs craintes et angoisses. « Tu es assez grand pour faire tes propres choix et je ne doute pas que tu prendras les bons ». Le Kennedy qui était revenu de sa petite fuite semblait changé, Holden pouvait le voir. Il restait jeune, et enclin à fauter de nouveau, mais Kennedy avait toujours été un bon garçon et il n’y avait pas de raison que ça change. Au contraire, avec désormais deux fils dans ce monde, Kennedy allait réfléchir à deux fois avant d’agir puisque ce sont ces deux petits garçons qui allaient en subir chaque conséquences. |
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| mot doux de Invité ► un Ven 24 Juil - 8:52 | | | Mon père et moi n'avions jamais vraiment eu du mal à communiqué et pourtant les choses semblaient avoir changer. Peut-être cet éloignement était de ma faute sans doute car j'avais du mal à assumer mes erreurs face à mon père. Je savais qu'il serait toujours là pour moi mais je savais qu'il avait sans doute été déçu même s'il ne m'avait jamais rien dit. C'est peut-être cela que j'attendais au fond, une bonne réprimande pour aller de l'avant mais rien. J'étais adulte maintenant et on ne règle plus nos conneries simplement en se faisant engueuler non, on en assume les conséquences. Mais je détestais avoir la sensation de parler à un étranger. Heureusement mon père avait su touché juste en me parlant de mes fils. Ils étaient ma fierté et je ne pouvais pas resté insensible en parlant d'eux. Je me disais alors qu'être grand-père devait aussi être étrange pour lui, certes il l'était déjà depuis la naissance de Leah puis de Nora mais c'était deux nouveaux petits-enfants qui arrivaient. Enfin... J'ai bien le temps avant de savoir quelle sensation cela fait d'être grand-père, laissons déjà mes deux petits bout de chou grandir. Déjà qu'ils poussent trop vite à mon gout. J'étais content de pouvoir avoir des moments exclusifs avec eux. " C'est vrai, surtout que ces moment passe bien vite" C'était vraiment mon plus grand regret avec mon divorce c'était de ne pas les voir tous les jours. Mais je me dis que cela aurait fini par arrivé à un moment ou à un autre.. J'avais cependant senti que la conversation touchait à sa fin et étonnamment je n'en avais pas envie c'est pourquoi je lui avais proposé de venir avec moi voir les petits. Je savais que ça lui ferait plaisir de voir ses petits-enfants et cela me ferait plaisir à moi aussi. Un nouveau sourire plus discret apparut sur mon visage lorsque celui-ci accepta. " C'est cool!" Je sentais cependant qu'il me restait quelque chose à faire pour moi, pour me libérer d'un certain poids qui m'envahissait et pour repartir sur de bonnes bases. Je m'excusais sincèrement, j'avais compris mes erreurs et je voulais qu'il le sache. J'écoutais alors mon père m'expliquer qu'on faisait tous des erreurs et que si ma mère et lui avaient été si sévères c'était avant tout par inquiétude. Mais je ne leur en voulait pas au final, je me contentais de hocher la tête en attendant la suite. Celui-ci me disait que dorénavant j'étais assez grand pour faire mes propres choix mais qu'il ne doutait pas que je ferais les bons. " J'essayerai en tout cas. " Je ne pouvais pas affirmé que je ne ferais plus d'erreur mais maintenant je m'assumais dans ce rôle d'adulte ce qui était un bon début. " On doit partir dans une petite demie-heure" Je lui souriais avant de le voir quitter la pièce. Je ne doutais pas que cette après-midi allait être excellente du moins je l'espérais mais surtout que ces deux anges parviennent à nous rapproché à nouveau. Qui sait. |
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