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Colivia + Oops, I spoke that strong?


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mot doux de Invité ► un Mer 31 Déc - 13:03

Olivia & Nicola
Oops, I spoke that strong?

   


   
J'avais décidé d'aller me promener en centre-ville ! J'avais besoin d'une pause ! J'étais seule à la maison, San était avec Lika et Maddox, j'avais travaillé toute la journée en tant que Caleen.  Alors autant dire que j'étais fatiguée et que je ne voulais plus entendre aucun homme me demander ce que je préférais dans le sexe ! Non, je n'allais pas non plus me plaindre, vu que  l'argent gagné m'aidait totalement  à mettre du beurre dans mes épinards ! Ça serait mal venu de râler ou autre, mais une bonne pause ne pouvait pas me faire de mal, pas vrai ?  Du moins, je l'espérais !  Je ne voulais pas me retrouver  surchargé par ce travail, pourtant j'avais pris avec moi mon téléphone rose ! Oui, il était rose, car justement je ne voulais pas le confondre à mon autre téléphone !  Si je disais : hey mon beau, que dirais tu de jouir...  quand je répondais à mon autre travail ou encore à une personne comme la directrice de la créche de San, je serais dans une jolie merde pour le coup.  Enfin !  J'avais le temps de décompresser un peu, je pensais aller acheter des petites choses pour la fille de ma meilleure amie, qui était née.  Elle n'avait pas beaucoup de jour et j'étais là lors de l'accouchement ! J'avais été heureuse, cette petite était mignonne à souhait.  Je venais d'entrer dans l'une des boutiques avant de regarder un peu partout et d'aller voir les petites choses  pour les nourrissons ! Comment dire que là, c'était qu'une seule envie qui rongeait mon esprit : tout acheter ! Les vêtements pour bébé c'était tellement mignon, puis il faut dire que chez les filles on avait bien plus de choix qu'autre chose, fallait  l'avouer que nos petits garçons étaient peu gâter, un peu comme les hommes.  Je ne comprenais pas, car les mamans c'étaient du style à tout acheter, alors pour les petits garçons ils devraient faire largement plus de choix que des choses pour la plupart du temps peu joli comparé aux affaires des petites filles ! Enfin, je n’étais pas créatrice de mode ou dicteuse de mode, mais peu importe c'était mon avis de maman qui avait un petit garçon !  Enfin, je regardais l'une de ses petites robes mignonnette et je finissais par en prendre une   puis des petits chaussons chou.  J'allais et j'étais capable de dévaliser cette boutique !  Les soldes étaient présentes en même temps ! Enfin, on n’allait pas chercher plus longtemps, je n'allais pas réfléchir à combien ma carte bleue allait chauffer pour le coup. Je voyais un haut sympa pour moi, je le regardais jusqu'à entendre mon téléphone sonner, le téléphone rose, je mordais un peu ma lèvre allant dans les cabines d'essayage.  Je répondais  en souriant, mais presque mal à l'aise !  " Han... toi tu m'as l'air d'être trés sexy avec une grosse queue... alors que puis je faire pour toi ?"  J'avais pris une petite voix de femme dévergondée et surtout une voix qui simulait presque un orgasme ! Mon mal aise était parti, en vrai j'emmerdais les gens, même si pour le coup, c'était assez risqué que tous découvre ce que je pouvais faire de ma vie en dehors de bosser pour la police en tant que dessinatrice ! Enfin, je n’allais pas chercher plus loin et j'écoutais mon client qui me disait un tas de chose, les mêmes que les autres... un jour je tomberais sur mon grey à moi !  Enfin, pour le moment, je devais m'occuper de lui " Oh oui, je te sens bien en moi, hum... je suis en train de me caresser ..."  Je me stoppais quand j'entendis du bruit dans la cabine d'à côté avec un petit  bruit sourd ! Je finissais par raccrocher, tant pis !  Je sortais de la cabine, soufflant un peu en me retrouvant devant une jeune femme métisse ! Je me sentais un peu conne, mais je n’allais pas rester immobile et silencieuse longtemps après tout !  "  Désolée..." Je ne savais pas si c'était vraiment ça que je devais dire pour le coup. Enfin, m’excuser n’était peut-être pas la chose à faire, enfin je ne savais pas vraiment, si dans le fond elle avait entendu quoi que ce soit ! Je m’étais peut être fait une idée... enfin, on verra bien pour le moment, j’attendais sa réponse voir exactement ce qu’elle avait à dire.
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mot doux de Invité ► un Dim 18 Jan - 18:38
nicola & olivia
Oops, I spoke that strong?
Shopping, oh oui, du shopping. Bon d’accord, j’avais accouchée la semaine dernière mais j’étais comme une pile électrique. J’étais fatiguée tout de même mais être active était simplement la chose la plus existentielle de ma vie. Je n’aimais pas rester sans rien faire à regarder les mouches voler et depuis mon accouchement ? J’avais l’impression que tout le monde me mettait un paquet de mouches devant les yeux. Non mais vraiment entre maman qui me force à me coucher et la femme du cousin de mon copain qui me dit : reposes-toi, profites pour prendre des vacances. Je vais leur en donner du repos. Ils vont voir. Dans ma tête, je m’imaginais réellement que je les attachais à leur lit ou un truc du genre avant de m’échapper d’une prison. Avais-je l’air de Raiponce ? J’allais dérouler mes longs cheveux blonds ? En tout cas, Aaron n’avait pas l’air d’un prince et encore moins de Flynn le voleur même s’il a volé mon cœur. Oh que c’est mignon. J’inspirais doucement, Liam dormait dans mes bras et je le berçais avec une main sous ses fesses et l’autre le long de son dos. Il était si petit, si mignon. Sa petite main serrée contre lui, il avait son doudou posé entre mes seins. Ils ont choisis la place VIP au balcon des petits cons. Enfin, pervers le doudou et oui, des doudous peuvent être pervers. J’inspirais doucement, shoppppping. Le mot frappait dans ma tête et sûrement par ce que je ne me sentais pas bien dans mes vêtements de début de grossesse mais encore moins dans les anciens. J’étais dans une sorte de transition entre ce ventre de pré grossesse et ce corps que je voulais récupérer mais surtout par ce que j’ai une émission à préparer. Je soupirais doucement en posant alors le bébé dans sa poussette, je le couvrais d’un plaid bien chaud et je lui posais son doudou sur la tête. Il était dans une grenouille aussi chaude que le plaid, il n’allait pas avoir de soucis à être bien. Je lui mettais alors un petit bonnet sur la tête et il était prêt pour aller draguer au rayon des bébés. Je caressais doucement sa joue en quittant aussitôt mon petit appartement du centre. Je me rendais donc aussitôt vers les boutiques. Oui, je ne voulais pas vraiment chipoter. Plus vite j’arriverais là-bas et mieux ça serait. Après une balade, j’y arrivais. Un tas de boutiques face à moi et ce jeans qui me serrait à la taille et me coupait la peau du ventre. Ce haut qui flottait bien trop car il était le seul que j’arrivais à porter sans complexer pour rien. J’entrais dans une boutique. Il y avait de tout et pas seulement pour les adultes. Je naviguais dans les rayons en attrapant plusieurs choses et plusieurs tailles sans vraiment savoir laquelle m’irait. Mon petit 36 voir mon 34 me manquait réellement. Oui, vraiment. Je ne savais plus du tout ce que je pouvais porter. Mon corps avait changé un peu mais positivement. Il était devenu celui d’une mère et plus d’une jeune femme. Je m’étais mise au sport et je n’avais pas vraiment arrêtée quand j’étais enceinte. J’avais fait mon yoga et mon fitness de grossesse ainsi que les cours dans la piscine. Je ne m’étais pas laissée allée même si j’avais été le faire à L.A. pour cacher mon bidon. Mais soit, le bébé dans la poussette et les articles un peu partout dans mes bras, j’avançais vers les cabines. J’ouvrais un rideau et j’entrais dedans en prenant le landau avec moi. Bon les cabines n’étant pas trop petite, ça marchait d’enfer. Je mettais les fringues un à un sur une accroche et je me regardais ensuite dans la glace. J’inspirais. Le visage semblait bien même si on voyait que je n’avais dormi que pendant deux petites heures et encore. J’inspirais doucement en retirant mon pull. Mon ventre allait bien, il était juste encore un peu bombé. Le soutien à gorge spécial allaitement lui ? Il était moche enfin il n’était pas comme ceux que j’aimais porter. Ce n’était pas Victoria Secret qui allait se décider à faire des produits pour la grossesse. Autant rêver debout avec un biscuit dans la bouche. Et je me changeais pour enfiler quelques vêtements et j’en essayais d’autres. Je me sentais… mal dans certains. Je savais que c’était peut-être dans ma tête mais bon. C’est alors que je portais un pantalon moulant mais taille hauteur avec mon soutif d’allaitement que je tentais d’essayer un haut avec un joli décolleté en satin mais big soucis… ma poitrine ayant grossie ne rentrait pas dedans. Cela coinçait. Je me sentais tellement nulle mais cela débordait de partout dans le décolleté. Je soupirais doucement en regardant alors Liam qui ne dormait plus mais qui restait sagement dans le landau en regardant ce qui se passait autour d’une manière émerveillée. Il ne pleurait jamais ce bébé. J’entendais en même temps les sons de la cabine d’à côté. Choquée enfin surtout qu’on parle de ça dans une cabine. Je m’attendais simplement à ce qu’il y a un couple à côté. Je n’étais pas curieuse enfin… je n’entendais en gros qu’il n’y avait que des trucs cochons à côté. J’inspirais doucement. « Les gens n’ont plus aucune hontes ! », murmurais-je à ce bébé en me penchant pour déposer un baiser sur sa joue. « Attends-moi, là ! », lui disais-je alors en souriant doucement tandis que je sortais de la cabine d’essayage après voir retirer le haut, je le mettais juste devant ma poitrine pour cacher mon soutiens à gorge et je cherchais alors une vendeuse. N’importe laquelle mais juste une vendeuse. Oui, je voulais quelqu’un pour me venir au secours mais j’étais trop apeurée de m’éloigner trop longtemps de Liam. C’est à ce moment-là que la jeune femme coquine sortait de sa cabine. Je me retrouvais nez à nez avec une jolie blonde. Nerveuse, je ne savais pas trop quoi penser d’elle mais impulsive, je devais aussi me retenir de faire tous commentaires. « Hummmmmm… », disais-je après qu’elle ne dise être désolée. Je regardais dans la cabine rapidement et je ne voyais personne. Pas une mouche, pas une abeille. Elle était seule ? « C’est assez choquant de faire ça en public ! », disais-je en arquant un sourcil mais je me demandais quand même ce qui lui avait pris. Je penchais doucement la tête. « Et une femme vaut mieux que ça ! », bah oui. J’avais beau avoir eue un petit ami à l’armée, je m’étais réservée à ses jeux coquins seulement en public. Un homme ne devait pas arriver à avoir sa petite amie aussi facilement à sa botte. N’avait-elle pas d’amour propre ? Je me sentais un peu féministe d’un coup et je riais nerveusement en secouant la tête. « Tellement mieux, votre petit copain devrait avoir honte de vous téléphoner en public pour se rouler la bosse ! », disais-je en riant doucement, cette fois un peu amusée par mon propos. « Mais ça ne me regarde pas. », murmurais-je aussitôt en détournant les talons pour croiser le regard d’une vendeuse. Je lui souriais doucement. « Bonjour, j’aimerais bien ce haut avec une taille au-dessus… si possible… il est parfait mais… », je souriais doucement. « L’allaitement grossi les seins et les décolletés paraissaient un peu trop vulgaire du coup… », je soupirais doucement, attristée par l’allure que ça faisait dans beaucoup de haut ou même dans des bustiers ce qui n’était pas pour déplaire aux hommes mais j’étais de ces femmes qui voulaient se plaire avant de plaire aux autres. La vendeuse me souriait. « Bien sûr, je comprends ! Je suis passée par là ! », elle allait lors dans les rayons et je me retournais à nouveau vers la jolie blonde tandis que Liam commençait à râler dans la cabine. Je grimaçais doucement en baissant mon regard à ma montre. Il serait bientôt l’heure de l’allaiter et je ne savais pas si j’étais assez peu pudique pour le faire dans une cabine d’essayage. « Vous avez de la chance qu’aucuns enfants capables de comprendre aient entendus ! », disais-je en souriant doucement même si j’étais choquée… j’étais une adulte et mon fils bien trop petit pour entendre ou comprendre tout ça.
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mot doux de Invité ► un Sam 24 Jan - 18:12

Olivia & Nicola
Oops, I spoke that strong?

   


   
Ma mission du jour ? Faire les boutiques, trouver des vêtements canon pour la petite Bay. J'étais heureuse que cette petite que la petite Bay soit parmi nous, elle avait le bonheur de ses parents, bon le père n'avait pas l'air très rassuré, mais au pire ça ce n'était pas mon problème.  Je venais d'entre dans un magasin dans lequel je m'étais munie d'un panier.  J'allais acheter  des pulls et des pantalons pour San il avait encore grandit.  J'avais envie de faire plaisir à tous, j'allais faire des petits cadeaux à mes proches, les offres proposés par certains vendeurs étaient tout bonnement des bonnes affaires.  Les promotions et les remises  seront un régal pour mon budget. Avec ma maladie et l'argent que je devais avancer pour les soins que pour le moment je ne suivais pas exemplairement j'allais perdre pas mal de finance  et pour moi le plus important était surtout  de gâter mon fils, le plus que je le pouvais. C'était bel et bien pour ça que j'avais  créé Caleen après tout m'aider à joindre les deux bouts en fin de mois.  C'était peut-être le travail le plus noble au monde, mais il était assez bénéfique pour renflouer mon compte en banque et ne pas laisser ma carte de crédit à sec. Je pourrais aussi compter sur mes parents, vu que pour le coup, j'en avais quatre, mais non, puis aucun d'eux n'étaient au courant de ma maladie des reins, alors je ne pouvais rien dire pour le coup.  Je remplissais le petit caddie où j'avais placé le panier pour ne pas avoir à le porter, je mettais quelques articles pour les enfants puis je trouvais une robe jolie pour moi, alors que je regardais la taille, mais forcément, il n'y avait plus la taille trente-huit. J'allais bien regarder  dans toute les robe, mais au final, non ils n'avaient plus ma taille enfin heureusement au vu du coût de cette dernière. Je n’avais aucune chance pour le coup.  Je regardais un peu partout dans ce rayon finissant par trouver une jolie robe pour la petite Bay ainsi que des chaussons. J'étais bien contente pour le coup, il y avait sa taille, il était difficile quelques  fois de trouver sur les étiquettes la taille désirée.  Les chaussons avaient un prix  exorbitant, mais il y avait  sans doute moyen de négocier un peu avant de conclure la vente.  J'adorais tellement faire du shopping le seul petit problème ? C'était sans doute que mon téléphone pour Caleen était tout bonnement branché et que je devrais y répondre. Pour le moment, j'avais de la chance il ne sonnait pas. Alors, je pouvais continuer  de me faufiler dans cette foule  qui créait des bousculades de toutes parts.  J’aurais peut-être dû aller dans un centre commercial cela aurait été plus pratique, si je devais me prendre pour Caleen. Enfin. Maintenant que j'étais ici avec des produits qui n'étaient pas bas de gamme, je n'allais pas faire demi-tour maintenant.  Mon téléphone se mit à sonner, bien sûr il fallait que ce soit celui de Caleen. Je soufflais un peu avant de mordre un peu ma lèvre et de prendre le téléphone. J'avais hésité à le prendre et  à répondre. J'avais fini par rejoindre une cabine d'essayage. J'allais devoir faire le moins de bruit possible, pour le coup pour ne pas être entendu. La merde, sincèrement, j'avais peur de me faire chopper et pourtant j'en rigolais presque. Je me retrouvais au téléphone avec l'un de mes clients  qui me payait assez cher pour le coup, il me donnait même un petit bonus à chaque fois, ce qui m'arrangeait bien. M'enfin, la situation me laissait presque perplexe pour le coup. Je commençais à parler  avec lui laissant mon esprit tordu qui généralement était bel et bien caché au plus profond de mon esprit, mais là il se devait d'être présent.  Je parlais avec mon client !  Notre discussion était digne des plus grands films de cul passant sur les chaînes spécialisées en  ce genre de court métrage.  J'avais la garantie pour le coup que tout cela plaisait entièrement à ce dernier, rien qu'à entendre les râles de plaisir de ce dernier ! Moi, je n'éprouvais aucun plaisir, même à faire ça par téléphone avec un homme que j’aimais, chacun son truc, je ne faisais que mon métier après tout ! Je n'étais qu'une femme qui tentait de gagner un peu plus de sous.  Enfin, lui ne faisais jamais d'économie avec moi pour le coup.   Heureusement que c'était rare que cela dure longtemps avec ce dernier, car pour le coup, je pouvais enfin raccrocher.  Je sortais de la cabine espérant que je n'avais pas été repéré pour le coup, sinon il me restait qu'à partir avec les vêtements sans les essayer et au pire je reviendrais si ces derniers n'étaient pas à la bonne taille pour les faire rembourser.  Je ne m'attendais pas à me retrouver devant cette jeune femme. Je m'étais excusée, chose conne, car au final, je ne savais pas si elle avait capté quoi que ce soit de l'affaire s'étant déroulé juste derrière moi à l’abri de ce rideau qui malheureusement n'empêchait pas qu'on entende, alors j’aie plus qu'à espérer. Après tout, je pouvais dire pardon, car je lui aurais presque rentré dedans étant toutes deux sortie même temps pratiquement.  J'écoutais les dires de cette femme, je devrais me sentir coupable, mais au final non. Je ne faisais que mon travail, enfin j'avais plus qu'à écouter la fille et lui répondre après. Elle avait l'air d'avoir des choses à dire.  Je ne devrais pas commencer à m'énerver, pourtant c'était le cas, mes mains devenaient de plus en plus tremblante.  " Oui ça ne vous regarde pas ! " elle pensait vraiment que j'avais fait ça avec  mon copain ? J'aurais été directement le rejoindre c'était vachement mieux en vrai que par téléphone... autant ne rien faire. Enfin, mon regard avait fini par s'ancrer dans le sien, alors qu'un petit sourire, venait prendre place sur mon visage. " D'accord ce n'était pas le lieu, désolée pour votre fils !" Après tout, j'avais un fils je pouvais comprendre, mais mademoiselle jugeait sans savoir ! Elle avait l'air d'avoir assez d'argent pour faire ce qu'elle désirait elle, moi je le pourrais aussi, mais en appelant papa et maman et ce n'était pas dans mes projets. "  Mais vous ne savez rien de ce qui vient de se passer dans cette cabine, vous tirez juste des conclusions à la hâte.  "  Disais je m'énervant un peu pour le coup, j'avais la tête qui commençait à me tourner un peu avec tout ce brouilla autour de nous pourtant les cabines n'étaient occupés que par nous deux, mais le reste du magasin était bombé.
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Dernière édition par Nicola M. Cahill le Sam 14 Mar - 11:02, édité 1 fois
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mot doux de Invité ► un Sam 7 Fév - 8:22
nicola & olivia
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L’inconvénient dans la période des soldes et que nous avions sûrement plus de plaisir à écouter les Ola des danseurs de polka dans des bals que d’entendre le brouhaha qui se trouve dans les boutiques. En général, j’avais horreur des périodes de soldes mais elles tombaient à pic après mon accouchement surtout au niveau du temps. Il n’y avait rien de contemporain dans les soldes, l’on trouvait en général des articles que l’on a l’impression de revoir toutes les années sauf les trucs qui manquent réellement de gouts dans lesquels on se sent comme des hippopotames mais ça, c’est sûrement une autre histoire sinon on a aussi les robes ou les blouses ou l’on se sent comme des femmes prêtes à faire une danse lascive contre un homme avant une fellation bien placée mais ça, ce n’était sûrement pas ce qu’on voulait acheter devant autant de monde dans une période de solde. Bien sûr, je ne m’attendais sûrement pas à entendre une jeune femme faire une gâterie téléphonique à un homme. Une part de moi se rebellait en son nom mais ça ne me regardait pas, je me rétractais d’une simple remarque mais surtout… par ce que cela me semblait assez dérangeant dans un lieu public d’entendre ceci. Alors que j’avais trouvé un article à mon désir mais que la taille ne semblait pas correct, j’étais seule avec cette jolie blonde enfin presque si l’on compte les 2 pommes enfin la taille de deux pommes dans le couffin à la cabine d’où je venais qui roupillait. Elle s’excusait et j’haussais simplement les épaules en laissant un fin sourire en coin. « Ce n’est rien ! », après tout même si c’était loin d’être cool de la part d’un homme… il n’en était pas moins que je connaissais l’amour, le manque et toutes ses choses comme la passion et le feu ardent qui nous conduit à cette envie. Le sentiment de vide qu’une personne peut laisser de son absence. Elle nous manque et nous donnes parfois des frissons, des envies ou même des besoins de se frôler à des draps de satins mais bon, c’était plus compliqué pour moi. Cet homme était loin de moi quand son boulot lui permettait ou quand je bossais trop ou quand j’étais enceinte aussi. Dure la vie surtout quand nous sommes en plus en zone rouge. Je n’étais pas pressée de les revoir. 9 mois sans elles. Elles ne me manquaient pas du tout. Je préférais les migraines aux crampes en pleine réunion marketing à la radio. Loin de toutes ses idées, apparemment je me trompais d’après les dire de la jeune femme mais cela ne me regardait toujours pas. Je n’étais pas du tout curieuse enfin pas avec les inconnus. J’étais plus privée, plus mystérieuse et je ne voulais pas chercher la vérité mais pourtant ? Elle attisait une douce curiosité malgré moi. Pour le moment encore en aphasie, je regardais ce mur blanc à côté d’elle et je tournais aussi mon regard vers le couffin ou dormait encore le nourrisson. Une légère et rapide admiration sur ses joues bombées et je remettais mon attention sur la jeune blonde. « Ah bon ? », demandais-je alors en secouant aussitôt la tête avant d’inspirer. Une part de moi n’était pas sûre enfin toujours pas sûre de vouloir en savoir plus. « Enfin… dans un sens, je n’ai pas à en savoir plus ou même à savoir le vrai… de cette conclusion. Vous faites ce que vous voulez. », disais-je en laissant un fin sourire. « Evitez juste de le faire en public… », disais-je en riant légèrement. « Beaucoup sont des peaux de vaches qui vous scruterait comme une bête tout droit sortie de la savane. Vous n’avez rien d’un léopard… si vous voyez ce que je veux dire… à la métaphore ! », disais-je en souriant. Je disais simplement qu’elle n’avait rien d’une femme petite vertu ou d’une catin. J’haussais les épaules. « Parfois même un décolleté les font pouffer dans notre dos ! », je riais doucement tandis que les cacophonies des talons de cette vendeuse arrivait au loin. Bien loin d’avoir des chaussures timides. Je me retournais en lui souriant. « Voici ! », me disait-elle tandis qu’elle me tendait un cintre. Elle regardait alors Nicola en lui souriant. « Je peux vous aider ? », demandait-elle alors que je me retournais vers la jeune femme qui ne semblait pas être en plein essayage. « Ne vous en faites pas, elle est avec moi ! », je me retournais aussitôt vers la jeune blonde quand la vendeuse repartait à ses fonctions. « Ils n’aiment pas trop qu’on utilise les cabines sans essayages. », disais-je alors en haussant une épaule. Je retournais alors vers ma cabine pour poser le citre sur l’accroche et je regardais ce tissu qui pendait. Cette blouse maintenant une taille au-dessus. Je ne savais pas trop quoi penser. J’avais peur de cette optique de ne plus rentrer dans mes petits 36 et parfois 34. J’arquais alors soudainement sans vraiment de raisons un sourcil et passant la tête hors de la cabine. « D’ailleurs je me présente, Olivia Bradford ! », disais-je en me demandant si elle allumait parfois la radio et prions la télévision. J’avais besoin d’audimat pour l’un ou l’autre. Ma carrière était toujours bien plus dans mes pensées qu’on pourrait le croire même si Liam les accaparaient par moment mais mon boulot y restait encore. « Et vous ? », lui demandais-je alors par courtoisie alors que je ne me rendais même pas compte qu’elle était surement plus jeune donc je pouvais la tutoyer mais ainsi les choses sont fesses. J’étais une personne assez polie, trop peut-être ? Je vouvoyais facilement. Je n’étais pas une nouille éduquée dans un plat de poulet mal cuit avec des épices prête à faire couler un Titanic car on ne les a pas faites assez mijoter. A côté de cette filmographie incertaine, j’attendais simplement la réponse à cette question bien futile posée à une personne anonyme parmi d’autres inconnus de cette planète et même si j’ignorais connaitre quelques personnes de son entourage enfin une seule.
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mot doux de Invité ► un Mar 10 Fév - 13:03

Olivia & Nicola
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Pourquoi j'avais décidé de venir faire les soldes en cette période surchargée des soldes ? Question d'habitude, quoi que ça en devenait presqu'une coutume pour toutes les femmes de venir courir les boutiques faisant du marketing pour les attirer à longueur d'année qu'elle soit bissextiles ou non d'ailleurs.  Ce maudit téléphone avait sonné, je n'aurais pas dû appuyer sur le bouton vert pour y répondre, ce n'était pas un anonyme qui m'avait appelé, mais un bon client.  Ce client, je commençais à me demander s'il n'avait pas eu la visite de Cupidon vu le feu ardent qu'il pouvait avoir dans ses couplets qu'il me servait  le temps des appels. Cela pouvait  être drôle, il pouvait paraître  attiré que par les gâteries ou encore les fellations que je lui susurrais à l'oreille, et quelques fois, devenir un grand romantique envers ma personne. Il attendait peut être une union ? Certains pensaient que téléphoner à une fille de téléphone rose les aideront à trouver une femme, malchance pour eux.  Certaines acceptaient de les voir, mais pour le coup, il en était hors de question pour moi, pas en dehors de mon boulot donc jamais, vu qu'on ne se voyait pas.  C'étaient des clowns ces mecs en fin de compte. Certains pouvaient être sympathiques, en même temps la courtoisie était primée malgré ce qu'on pouvait penser.   J'étais un peu une danseuse, qui apprenait une chorégraphie pour chaque danse que je pouvais croiser : jazz, contemporain,  tango même avouons-le la danse lascive serait sans doute la plus quémandé.   Charlie Chaplin aussi aurait pu être comparé à nous mise à part pour le mutisme nous avions besoin de notre langue et de notre parole pour le coup. Et faire du mime par téléphone cela risquait d'être  un peu compliqué pour réussir à tout faire comprendre au parasite qui nous appelait. Oui, d'accord au pire on n’était pas obligé, mais en fait si, je l'étais pour le coup, j'avais besoin d'argent, je disais merci à la réforme sur la santé et à nos hippopotames qui nous servaient de politicien, quoi que de base il faudrait le comparer à des léopards, mais vu la compétence dingue de ces derniers autant ne pas le faire.  Pour le coup, je me sentais un peu mal d'avoir été grillé avec mes mots par une cliente de l'endroit, mais que pouvais-je faire ? Laisser passer de l'argent comme ça ? Je préférais encore me taper une petite honte et passer pour une nouille avec peu d'élégance que devoir vendre mon corps pour gagner de quoi manger du guacamole, enfin toute chose que j'aurais besoin pour manger.  La prochaine fois, je resterais dans mon lit à m'imaginer avec un étalon, mon téléphone éteint avec des pétales de rose noir sur les draps de satin avec de la lingerie en dentelle  que j'attendrais que mon retire  pour enfin me faire passer un bon moment qui pourrait qui sait peut être me faire naitre des papillons dans le ventre. Enfin, voilà, ma réputation, au pire je m'en lavais totalement les mains, mais moins pour mon fils, il ne méritait déjà pas ce qu'il vivait actuellement une maman qui devenait de plus en plus chêmé, j'allais finir aussi plate qu'un serpentin que l'on pouvait trouver dans les mains des carnavaliers en Frebruarius durant les festivals ou la fiesta organisés.  Si seulement je pouvais me cacher dans un wagon, je n'aurais point dit non, mais que voulez-vous mon karma était mauvais ... ne parlons pas de la destinée pour le coup ça reviendrait à demander à un pantomime de nous mimer notre propre suicide.  J'aurais pu me montrer taciturne pour le coup, laisser cette femme sans réponse, car après tout on s'en fichait un peu, ce n'était pas un endroit pour faire ma pub ou faire un peu marketing ?  Donc, j'aurais pu juste filer avec mes articles et la laisser à ses soldes ? Mais, j'avais le besoin de me justifier, ce qui était assez bizarre pour le coup, m'enfin, je n'allais pas réfléchir de trop à moins que je désirais m'attirer une migraine digne de celle qui avait tendance à arriver avec une ceinture de chasteté dans un couple.   " Si j'avais le choix de le faire  ou non en public, je le ferais... mais quand on n’a pas le choix, on fait avec. " J'avouais que pour le coup mon ton avait pris un ton moins  doux que je ne l'aurais voulu. Mais, j'étais usée, j'étais comme Molière  avant sa mort, je n'en pouvais plus et cela était encore pire quand je voyais que j'avais besoin de m'expliquer auprès d'une inconnue. Je ne la connaissais ni d’Eve, ni d’Adam, alors pourquoi j'ouvrais ma bouche au final ?  Enfin, pour le coup ce n'était pas  blanc ou noir, non c'était comme un arc en ciel de couleur tout comme le costume d'arlequin.  Je ne savais pas trop quoi dire, mais je continuais malgré tout...  "  Oui, on sera toujours jugé, même si je ne faisais pas ça... puis aprés tout, si je devais vivre pour les autres, je ne serais pas en train de vivre ... " Les sorcières ça n'était pas que dansun monde de prince-princesse, mais aussi dans la réalité, elles n'avaient pas de grimoire, elle possédait plutôt des langues de vipère qui n'éxistait pas à mettre à terre une personne qui ne le méritait pas forcément.  Mon cœur battait rapidement, mais pas au point de le voir louper un escalier entier de marche. "  Oui, je bloque la place à une future acheteuse, mais j'ai toujours ça pour dire que j'ai une raison d'être là !"  Je souriais en montrant un string qui traînait par-là, je n'osais même pas y toucher pour le coup, enfin, je regardais la jeune femme qui venait de se présenter. Pour qu'elle raison le faisait elle ? Aucune idée, mais cela laissa un sourire s'installer sur mes lèvres.  " Enchantée. " Lâchais je rapidement avant de sourire un peu plus et de me présenter à mon tour. " Je sus Nicola Cahill."  Mon nom de famille était connu à Pasadena, mais pas forcément de tous et cela était mieux à mon humble avis. Être connu pour mon histoire d'enlèvement ce n'était pas forcément ce qui avait de mieux.  Enfin, je  prenais le pull que j’avais prit pour mon fils où un Winnie l'ourson trônait fièrement.  "  Je suis encore désolée.. " Je me répétais, je me trouvais un peu bête face à la situation comme abalourdi, mais après tout c’était ainsi.

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Dernière édition par Nicola M. Cahill le Sam 14 Mar - 11:03, édité 1 fois
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mot doux de Invité ► un Ven 27 Fév - 4:21
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Intriguée ? Oui, sûrement mais pourtant pas réellement curieuse ou du moins pas de la vie d’une personne qui m’est inconnue. Je n’étais encore qu’anonyme pour cette jeune femme et pourtant je me demandais pourquoi elle n’avait pas le choix de faire réveiller la passion d’un homme par téléphone ? Quelle femme se doit de charmer et réchauffer un feu ardent masculin. Pourquoi ? Comment ? Comment un être humain pouvait ne pas avoir le choix de décrire ses lingeries en dentelles au milieu de pétales et dans des draps de satins ? Quoique c’est sûrement trop romantique pour la moitié des fêlés qui veulent nous savoir à poil. Non mais vraiment, je ne voyais pas la raison qui pourtant étant facilement… enfin normalement on pourrait vite découvrir sans même trop réfléchir du pourquoi ou simplement avoir le petit déclic qui me dit : c’était un téléphone rose mais non. Etais-je stupide ? Je n’arrivais pas à directement comprendre. Ce n’était peut-être pas par ce que j’étais brune que j’en étais plus futée mais même si cela m’intriguait… je ne voulais pas trop tenter de le savoir pourtant… c’était complexe dans ma tête, vraiment et je m’occupais pourtant simplement de parler de ce que disent les gens. Par chance, je n’étais point une sorcière avec un grimoire qui va parler autour d’un café ou d’une potion bien infusée de ce qui se passe autour de nous. Je n’étais pas ainsi. Je souriais doucement en l’entendant. Elle n’avait pas tort. Si on passait toujours notre temps à écouter les autres… on n’aurait plus vraiment de vies. Les gens ont tous des convictions différentes, des préférences, des façons de vivre et moi ? Je ne savais pas vraiment si elle méritait d’être sur le bucher. Je ne le pensais pas et en fait, je m’en fichais car c’était sa vie, son choix tout autant possible que des enfants l’entende… je ne voulais pas en faire un fromage. Je trouvais ça juste triste de s’abaisser ainsi aux envies de gâteries d’un homme bien que je savais tout autant que l’amour menait à faire des choses étranges quand on se trouve loin de l’être aimé. L’amour nous mène à faire des concessions quand cupidon nous éloignes de la personne qu’on aime. J’avais vécue ça, je le vivais même encore un peu. J’hochais doucement la tête. « De toutes manières ceux qui parlent sont souvent ceux qui veulent éviter de parler de leurs problèmes parfois plus honteux ! », disais-je alors en haussant les épaules tandis que la vendeuse arrivait et que je sauvais la jeune femme sans articles à essayer enfin si apparemment, elle trouvait un truc. Je regardais le string en riant doucement avant d’aller dans ma cabine. « Joli ! », avais-je dis en penchant la tête. Bien sûr, je me doutais un peu à sa façon de tenir la lingerie qu’il ne lui appartenait pas enfin disons qu’elle ne l’avait pas dans ses articles. Je m’étais donc présentée pour ne plus être une inconnue d’une cabine d’essayage. C’était simplement par courtoisie et dans le fond, j’étais une personne qui aimait savoir à qui elle parlait mais inversement. C’est quand elle fut enchantée que je souriais aussi, voyant son sourire s’agrandir avant qu’elle ne se présente. Bien sûr, il fallait quelques secondes pour que son nom m’intrigue et ensuite son prénom. Oui, Cahill… Je ne connaissais pas ce nom pour les histoires de familles enfin j’en savais un tout petit peu mais pas tout. Je connaissais ce nom pour Elsa, cette jeune femme qui était l’ainée et donc j’avais pu avoir la chance d’intégrer sa vie depuis plusieurs mois, presque des années. Le temps passait vite et je ne comptais pas réellement ce laps. Je souriais doucement alors que je voyais le pull dans ses mains, je situais un peu plus laquelle de ses sœurs… elle était et je souriais doucement tandis qu’elle disait être désolée. « Ce n’est rien, vous savez… », j’inspirais doucement. « Cahill comme Elsa Cahill ? », disais-je en fronçant le nez. « On n’a pas encore eue la chance d’être présentées, je pense… malgré moi, je bosse énormément quand j’aurais pu avoir l’occasion… j’étais sûrement ailleurs ! », je riais nerveusement car dans le fond, je me sentais parfois comme une amie indigne. Quelle meilleure amie n’a même pas le temps pour rencontrer les proches et familles de son amie ? Je n’en savais rien mais sûrement moi. Ce n’est pas étonnant que je me dispute parfois avec Aaron par ce que je pense trop à mon boulot. Même mon petit ami se retrouvait sur le côté du carreau et mon fils ? Allais-je faire pareil ? Je n’avais pas encore eue la malchance de le découvrir. Je ne le voulais pas mais c’était vraiment compliqué. Je prenais alors Liam dans mes bras en me berçant doucement tandis que la vendeuse prenait du temps à revenir avec l’article à la bonne taille. Le bébé semblait perdre patiente en gigotant mais il se calmait une fois dans mes bras tandis que je lui donnais mon pouce à sucer. Je remontais mon regard vers cette jeune blonde. Je ne savais pas vraiment pourquoi j’allais oser… pourquoi j’allais faire ça et quelle idée avais-je de le faire ? Je ressentais seulement que j’avais besoin de le savoir. « Je ne suis pas curieuse en général et je ne sais même pas pourquoi cela m’intrigue autant alors que cela ne sont même pas mes affaires et croyez-moi, je sais que cela ne me regarde pas du tout mais… pourquoi ? Enfin pourquoi cet appel et pourquoi ne pas avoir le choix ? », demandais-je alors timidement à cette jeune femme dont je connaissais brièvement le parcours maintenant que je savais à peu près qui elle était et cela ne me donnait à mes yeux pas plus le droit de lui demander car dans le fond, elle n’en restait pas moins une inconnue alors que nous n’avions jamais été présentée en bonne et due forme.
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mot doux de Invité ► un Ven 13 Mar - 10:31

Olivia & Nicola
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Je me sentais comme le lièvre de mars, je me sentais mal, je ne savais pas comment expliquer ce que je venais de dire à ce téléphone. Je n'avais pas vraiment de raison de m'expliquer sur mes faits et mes gestes, mais c'était assez assourdissant d'être surprise à parler ainsi ! J'avais déjà assez de notoriété avec le jeu que j'avais fait puis mon histoire en elle-même. En clair, j'avais de quoi faire parler de moi, que je sois habillée comme une pin-up ou une Audrey Hepburn, qu'importe, on parlera toujours de moi et c'est pour ça que j'évitais de parler  de ma vie à mes proches ! Comme le fait de parler de ma maladie.  Enfin, je comprenais cette jeune femme qui avait mal vécu mes propos  surtout avec son fils juste à côté, enfin lui était loin de comprendre ce qu'on disait, il devait plus avoir l'impression d'être en Corée. Enfin, je regardais la jeune femme, elle m'avait un peu donné le tournis pour le coup, mais bon, je n’allais pas lui en tenir rigueur, elle avait de bonnes raisons d'agir ainsi.  J'avais mes explications pour avoir parlé de la sorte ! Mais, je n’allais pas balancer à une parfaite inconnue mon second boulot ? Je n’avais pas honte, quoi que si un peu dans le fond.  Enfin, pour le coup je pouvais toujours essayer, mais l'envie n'y était pas ! Je n'allais pas nous faire perdre du temps à toutes les deux sur mes raisons d'agir ainsi ! Je faisais ce boulot pour payer, mes médicaments et sans doute aussi un peu pour tenter de ne pas compter sur mes deux familles!  C'était compliqué d'être adopté alors qu'on avait été enlevé, enfin pour le coup, j'avais deux familles qui s'entendaient à merveille et cela m'arrangeait un peu pour le coup, de ne pas avoir à me prendre la tête. Les réunir ? Ce n’était pas compliqué pour le coup.   " Oui, c'est un peu ça ! " J'étais vaguement d'accord avec ses dires et puis au pire, je faisais actuellement la même chose ! Je refusais de m'épancher sur mes problèmes  et même d'y faire face moi même !  Je n’avais jamais été ainsi jusqu'à découvrir ma maladie, une insuffisance rénale, elle me mettait à mal, mais ce n'était pas pour autant que j'allais baisser les bras, même si je refusais pour le moment le traitement.  Peut-être qu'en Mars j'y penserais.  Pour le moment, il avait fallu me la jouer cliente modèle en prenant en main un string peut être déjà utilisé de couleur rose bonbon dans mes mains ! Histoire de faire croire à la vendeuse présente à côté  de moi qui était venue pour aider la jeune femme avec qui je venais de parler et surtout de m'excuser de mes mots ! Je lâchais un petit rire à la jeune femme qui était  devenue un peu plus complice avec moi à la vue de  ce string ! " Merci !" Je lui faisais un petit clin d'œil.  Enfin.  Je mordais un peu ma lèvre refermant ma cabine !  Je voulais encore m'excuser avant de pouvoir partir avec mes articles, même si j'aurais pu partir sans rien histoire d'être économe. Mais ce n'était pas du tout mon style de faire des économies.  Surtout quand il s'agissait de faire plaisir  à mes proches ! Durant leur anniversaire avec les gâteaux à la crème fouettée ou encore dans les cadeaux. J'étais ainsi, la main sur le cœur et assez généreuse.  Pour le coup, une fois la vendeuse repartie chercher quelque chose où elle avait  fini de s'occuper de la jeune femme qui était revenue vers moi ! Nous avions fini par se présenter. Je mordais un peu ma lèvre avant de passer ma main dans mes cheveux ! Je me retrouvais surtout un peu con pour le coup. Et oui,  c'était assourdissant,  je ne m'attendais pas à entendre le prénom de ma grande sœur : Elsa.  J'avais senti mon cœur louper un battement ! Comme si je venais de me jeter  de la grande roue sans parachute espérant qu'une barbe à papa pourrait me rattraper pour ne pas m'écraser au sol comme un bébé girafe. Bref, j'étais mal.  Je  déglutinais un peu avant de souffler.  " Oui, comme Elsa.. Je suis sa petite sœur !" Enfin l'une de ses petites sœur pour le coup.   Vu que nous étions trois et que j'avais un frère ! On était des quadruplés et ce n’était pas ça qui avait rendu célèbre notre famille, non c'était bel et bien le fait de perdre l'un de leur môme.  Sa meilleure amie ? Celle dont on avait droit d'entendre parler ?  Je ne l'avais jamais rencontré, je ne savais pas si les autres l'avaient déjà croisé ! Enfin, bref, je me sentais encore plus mal, comme si c'était possible ! Bin pour le coup, oui cela l'était , la preuve à l'instant même. " Nous le sommes maintenant malheureusement ..." Je soufflais, je me sentais si mal que j'en laissais échapper certains mots.  " Je suis désolée .. Ce n’est pas que je ne sois pas contente ! Mais vu ce que vous venez d'entendre, je suis un peu .. Comment dire, je suis  mal. Enfin, désolée. " Je secouais la tête, j'en pouvais plus pour le coup, j'avais l'impression de me creuser un  trou moi-même et que je n’allais pas m'en remettre.   Je passais ma main dans mes cheveux, et je voyais la jeune maman avec son fils , ça me faisait penser à mon fils.  Je serais prête à tout pour lui, comme beaucoup de maman, mais quelques fois les mères pouvaient être de véritable garce et n'être que des méchantes avec leur enfant.  Je ne pourrais jamais faire ça à San.  Je  regardais la femme qui finissait par me poser la question, je secouais un peu la tête.  Elle voulait une explication ? Mais comment je pourrais lui dire ça ? Après tout elle était la meilleure amie de ma sœur ? Enfin, j'aurais pu si c'était qu'une simple inconnue parmi tant d'autre ,mais là j'avais un blocage et autant être honnête non ? Je glissais donc mon regard dans le sien . "  Je ne peux  pas ! Vous connaissez ma famille ou du moins ma sœur .. Et une explication mènerais à une grosse révélation que même ma famille n'est pas au courant !" Je commençais à avoir la tête un peu lourde avec le temps. Je souriais un peu  espérant qu'elle comprenait.
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mot doux de Invité ► un Lun 23 Mar - 1:37
nicola & olivia
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Elsa, une personne assez proche de moi au point où elle connaissait parfois la couleur de mes sous-vêtements grâce à un sms du matin. C’est fou mais l’amitié est un cadeau. Parfois je ne m’en rendais tellement pas compte. Autant ma famille enfin ma maman était tout ce qui comptait pour moi mais autant je comptais des amis sur les doigts d’une main. J’étais assez spéciale dans mon genre. Certains diront que je suis peu sociable ou que je bosse trop pour voir les gens autour de moi. Je n’en sais rien en fait. Pourtant j’étais facile d’approche et sympathique enfin… Ce n’était pas ça même si j’étais assez timide aux premiers abords mine de rien. Je n’étais pas de celles qui racontaient sa vie facilement autour d’un café. J’étais plus vite discrète mais attentive ! Avoir une amie pour moi était une réelle preuve de confiance. Une confiance que j’offrais pourtant très rarement et pas rapidement. J’étais ainsi et je ne voulais pas vraiment changer. Je ne me voyais pas avec 56 amis mais avec 56 choses à faire. J’avais déjà du mal à gérer quelques amis que j’ignorais si je pourrais en gérer 10 sans péter un plomb. J’aimais bien mon petit cercle et je ne voulais pas en changer. C’était tout ce qui comptait non ? C’est ce que je pensais. Je l’entendais alors me dire qu’elle était sa petite sœur. J’étais rassurée de ne pas me tromper. Tellement rassurée. Imaginez que je confonde ? J’aurais l’air de quoi encore ? Je sentais le malheureusement sortir et je riais nerveusement en ne sachant pas vraiment ou elle voulait en venir. Je sentais bien qu’elle se sentait un peu mal d’être face à moi et encore plus suite à cette nouvelle ou cette révélation devrais-je dire. J’inspirais, je ne savais pas quoi dire mais je laissais échapper tout naturellement une curiosité dont je n’avais pas l’habitude. Etais-ce l’envie d’en savoir plus sur la famille d’Elsa ? Une envie de m’en rapprocher. Je me disais que oui mais c’était assez flou dans mon esprit. Je l’entendais s’excuser et je m’en sentais tout de même rassurée mais je ne savais pas vraiment quoi penser. Je ne savais toujours pas quoi penser. J’entendais alors sa réponse à ma curiosité. Je ne savais pas vraiment enfin encore moins en penser. Je ne faisais pas la relation avec le téléphone rose. Pourquoi étais-ce la dernière chose à laquelle je pensais ? Voyons, je ne suis pas prête. Vous voyez le père de mon fils… canon et moi et puis nous avions un bébé non désiré au départ alors appelez-moi tout ce que vous voulez sauf prude mais en fait… Je voyais le côté prude chez les autres. Le côté saint même si ce n’était pas loin d’être le pire crime du monde. Tout l’inverse en fait. Elle ne faisait que répondre à un téléphone mais bon. Je suis stupide, cela ne fait pas tilte à mon esprit. Je regardais cette jeune femme avant blonde et maintenant brune car pouf ça avait changé en quelques secondes comme par magie. Je souriais doucement. « J’avouerais que je suis confuse. », disais-je alors en lui souriant toujours. « Je me demande ce qui peut être aussi grave que pour vouloir le cacher et je ne vois qu’une jeune femme au téléphone… un peu coquine et je… », je riais nerveusement en secouant la tête. « Je t’assure que je ne dirais rien à Elsa… quel que soit cet appel même si je sais que si elle me le demande, je ne pourrais pas lui mentir mais il y a une chance sur mille qu’elle me demande ce que vous disiez au téléphone enfin… », je riais, assez amusée sur le coup. « Je crois car parfois elle a des idées assez étranges ! », je souriais aussitôt à nouveau en caressant alors la joue de Liam que je remettais confortablement dans sa poussette. Il semblait un peu se plaindre et je sentais aussi le regard d’une des vendeuses pointés sur les deux jeunes femmes en pose café dans les cabines qui ne faisaient rien que parler. J’attendais d’ailleurs toujours mon haut. Il arrivait à la bonne taille. Je souriais en regardant Nicola. « Je vais l’essayer et si tu veux, je peux… t’offrir un café ? », proposais-je alors à mes risques et périls et tant pis si elle refusait mais comme l’on dit souvent : qui ne tente rien, n’a rien.  Je prenais le risque et je retournais alors dans la cabine pour tenter ce haut. Liam grinchait un peu dans la poussette juste devant la cabine que j’avais un peu retirée pour avoir plus de place entre deux mouvements.
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Mar - 22:15

Olivia & Nicola
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Le prénom de ma sœur prononçait. Cette rencontre fortuite plus rien n'allait dans ma tête. J'étais censée faire quoi maintenant ? Prendre mes jambes à mon cou pour m'enfuir le plus vite possible ? Cela serait sans doute sympathique pour moi, mais beaucoup pour cette Olivia qui était la meilleure amie de ma sœur Elsa. Décidément, j'amenais la poisse sur moi à tel point que la situation me donnait le tournis, j'aurais pu en avoir le vertige si j'étais sur la grande roue. Je ne me sentais pas très bien et pour une fois rien à voir avec la maladie, du moins c'était ce que je pensais. Je l'écoutais. Elle se sentait confuse ? Nous étions deux pour le coup, moi aussi pour le coup, je ne savais sur quel pied danser. J'avais l'impression d'être le boulet de service dans ma famille. Rien n'avait été très facile à mon retour après la découverte sur moi, tout avait été hors de contrôle, je l'avais été, ne voulant pas me laisser aller à aimer cette nouvelle famille. J'avais été chamboulé, j'avais modifié leur vie, en bien, en mal qu'en savais-je ? J’étais heureuse maintenant d'avoir cette famille, j'en avais deux et je les protégeais de cette maladie qui pourrait me terrasser ou à laquelle je pouvais survivre. Si j'écoutais les médecins, j'avais des chances de survies, si je me bougeais pour me soigner, pour le coup, je ne le voulais pas. Je l'écoutais, j'entendais son explication, qui se tenait du pourquoi et du comment c'était ridicule de vouloir cacher ce qu'elle venait d'entendre. Mais, c'était tellement plus compliqué. Ce n'était pas moi au téléphone avec mon amoureux ayant envie de rendre notre vie bien plus palpitante en ajoutant du piment à cette dernière. Non, ce n'était pas du tout le cas, en rien même. Cet homme comme tous les autres, je ne les avais jamais vu et j'espérais ne jamais les voir ou encore moins reconnaître leur voix, je flipperais bien trop pour le coup. Je ne saurais pas comment réagir face à l'un d'eux, j'essaierais peut être de l'assommer comme si l'homme face à moi pouvait être ça ? Peut-être. Enfin, tout cela était compliqué. Je la regardais soufflant un peu avant de pincer ma lèvre entre mes dents et de me poser des questions. Je glissais mon regard petit à petit dans le sien, laissant un léger sourire capturer mes lèvres. Qu'étais-je censée faire ? "C'est bien plus compliqué que de simple mot dit au téléphone .. Qui ne sont en rien anodin. " Je posais ma main sur mon ventre, me sentant mal, espérant que je n'allais pas me sentir plus mal cette fois. Je soupirais un peu avant de reposer mon regard sur Olivia. Je rigolais au fait que ma sœur avait des idées étranges, pour le coup j'étais d'accord. Rire détende l'atmosphère et ça faisait un réel bien. " Ça toucherait toute ma famille, si ça venait à se savoir... ce n'était pas mon copain au téléphone. " Je grimaçais un peu avant de me dire que je n'allais rien dire de plus ? Enfin, étais-je censée en dire plus ? Je n'en savais rien, j'hésitais horriblement. " Je vous laisse l'essayer et je vais payer cet article, puis d'accord pour ce café. " Je souriais la laissant aller dans la cabine d'essayage pendant que moi j'allais payer mon article en repensant à toute cette histoire. Je ne savais pas si j'allais forcément trouver une solution, qu'allais-je faire ? Aucune idée. Je ne savais pas du tout comment gérer tout cela. Je me retrouvais devant la caissière avec la petite robe rose bonbon que j'avais prise pour la petite de Lika, Bay. J'étais heureuse de lui faire plaisir. Une fois l'article payé, je retournais pour retrouver la jeune femme. Je n'avais aucune idée de ce qui découlerait du fait de prendre ce café avec elle, mais au moins, je pourrais tenter de lui expliquer les choses et la connaitre ? En fin de compte, j'avais jamais trop demandé à ma sœur comment était ses amies, on était peu proche, mais pourtant présente l'une pour l'autre. Elle s'en voulait de mon kidnapping, mais c'était la faute à pas de chance ça pouvait être une autre personne, enfin. Il fallait arrêter de ressasser ce bordel qu'était notre vie dans ma jeunesse. Nous avions évolué, l'évolution était la meilleure façon de ne pas laisser les mauvaises choses de notre vie nous pourrir l'existence. La jeune femme ressortit, on allait sans doute pouvoir partir, je la laissais d’abord voir ce qu’elle prenait ou non par ici.
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mot doux de Invité ► un Ven 10 Avr - 19:39
nicola & olivia
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Cette situation était assez étrange. Je ne devais pas vraiment souvent prendre des soirées de repos car je n’avais jamais rencontrée la jeune femme mais je la rencontrais tout de même dans des circonstances assez étranges. C’était le cas de le dire. Réellement le cas de le dire. Je ne savais pas vraiment comment réagir. Alors que je reposais le vêtement que je n’allais pas prendre sur un cintre, je l’écoutais me dire que c’était plus compliqué que des simples mots et je pouvais comprendre. Alors que je me demandais réellement ce qu’elle faisait, crédule, je ne comprenais rien. Peut-être que c’était un canular ? Mais pourquoi ne pas vouloir que ces proches soient au courant ? Et puis qu’importe dans le fond, je m’en fichais. Ce n’était pas vraiment mes oignons même si cela m’intriguait réellement mais qui ne serait pas intrigué ? Un clown ? Et encore. Je crois que lui aussi se mettrait à se poser des questions. Je me contentais de l’inviter à prendre un café avant que ces harpies de vendeuses ne nous rôtissent. Je me berçais d’illusion comme une chimère que je ne voulais pas vraiment voir. Je ne comprenais rien mais je proposais un café en allant vers la cabine d’essayage. Je me regardais rapidement. Mon reflet, mon physique. Je l’aimais mais pourtant j’avais eue tellement peur de ne plus me sentir bien dans ma peau mais il était vrai que mon corps avant changé. Je n’étais pourtant pas partie avec un triangle au buste. Un peu comme les femmes que l’on dit comme des bouteilles. J’essayais alors mes articles en mettant ceux-ci et les retirant avant de me rhabiller. J’allais aussitôt aux caisses avec Liam. Bien sûr, je ne précisais pas que je donnais le sein au bébé dans la cabine avant d’y aller car sinon c’était directement plus étrange mais chut. J’allais alors donc en caisse avant de rejoindre la jeune femme. Je trouvais que passer du temps avec la sœur de ma meilleure était sans nul doute une bonne chose. Je pourrais ouvrir le contact et me rendre un peu plus sociable. Je n’avais pas vraiment de mal à me rapprocher de la jeune femme. Je la trouvais sympathique bien que mystérieuse et que devait-elle penser de moi qui n’était pas réellement vraiment perspicace ? Mais pas du tout curieuse. J’allais la rejoindre pour prendre un café avec elle. Par gourmandise, je m’offrais même des petites truffes au chocolat que je partageais volontiers avec la jeune femme. Je ne posais plus une seule question sur cet appel et j’arrêtais même d’y penser petit à petit. Oui, j’arrêtais tout simplement d’y penser. Je me laissais aller aussitôt à faire connaissance avec la jeune femme. Une conversation que je n’étais pas prête d’oublier car j’avais enfin pu parler avec un adulte et plus passer mes journées avec un grand bébé. Nous passions une petite heure tout simplement et les serveurs devaient sûrement aussi se demander quand nous arrêterions de squatter mais je m’en fichais. Nous étions dans un café et tout était différent. Une fois cette heure terminée, nous nous séparions tandis que Liam avait reçu la visite du marchand de sable. Je rentrais tout naturellement chez moi pour une fin de journée facile bien que risible. Faut avouer qu’avoir 5 chatons qui envahissent un salon… après s’être échappés de chez le voisin et voir son chien courir après… ça fait rire !
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