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Invité
mot doux de Invité ► un Dim 8 Juin - 17:34
Mauvaise journée. Je n’avais pas pu quitter le bureau du chef aujourd’hui, je devais préparer les entretiens d’embauche pour les secrétaires … l’envie d’être dans un bureau n’était point-là. J’avais envie d’être en mission, mais voilà je devais aider le chef vu que j’étais le capitaine. J’avais envie d’être avec les autres à sauver des vies même si là ils étaient simplement partis pour aider une grand-mère voulant faire descendre son chat d’un arbre centenaire. Me concentrer était impossible, depuis quelques jours j’avais appris que Théa était morte et que sa sœur s’occupait des jumelles. Elle était venue me voir pour me demander de sauver Kaela qui était malade, je devais lui passer un rein, enfin si j’étais compatible, il fallait que je fasse les tests. J’avais aussi appris que ma sœur était de retour dans notre petite ville, j’avais peur des retrouvailles, mais j’allais devoir un jour la voir et lui parler. Pour le moment je n’étais pas prêt. Je ne pouvais pas penser à autre chose que sa présence dans ma résidence à présent, ma sœur me manquait, mais j’avais fait tellement d’erreur dans ma vie, comme lui cacher que notre père était en prison et non mort avec les autres membres de notre famille. Elle ignorait beaucoup de chose et c’était mieux ainsi, même si savoir qu’elle m’en voulait me faisait mal, je n’étais pas prêt de lui dire toute les raisons de mon départ … qu’elle me haïsse. Savoir qu’elle continuait d’aimer sa vie d’enfance qui était en réalité qu’un gros mensonge de a à z me convenait totalement, car je pouvais voir son sourire quand je la regardais au loin sans qu’elle ne s’en aperçoive. Je me laissais divaguer dans mes souvenirs et dans tous ces si qui me trottait dans ma tête sans me laisser l’esprit tranquille, je dû m’en remettre assez vite en entendant une voix demander si quelqu’un occupait les lieux. Je me levais rejoignant la porte.
Je cherchais après la personne, mais rien. La jeune femme était sans doute repartie sans même que je n’eus le temps de la voir. Elle devait être là pour l’entretien d’embauche pour le poste de secrétaire. Ce poste allait être beaucoup courtisés de toute façon vu les horaires sympathique de neuf heure à cinq heures. Je retournais au bureau déposer mon stylo qui était resté dans ma main pour prendre mon téléphone de service au cas où si on m’appelait. J’allais dans la grande salle de pause où quand les interventions étaient rares nous étions, sinon la salle de sport était présente aussi. Je finis par me rendre au hangar où se tenait le véhicule pour les feux, c’est là que je vus une jeune femme de dos avec de long cheveux blond et la peau légèrement métissé. Je souris doucement en voyant la jeune femme admirer le camion comme si elle le connaissait. Je m’approchais doucement « Heu bonjour ? » Lâchais pour la prévenir de ma présence. Je la fixais attendant qu’elle ne se retourne pour me faire face.
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mot doux de Invité ► un Dim 8 Juin - 17:37
Retrouvailles inattendue
Addon & Lika
Se retrouver dans une caserne de pompier lui fait extrêmement bizarre. Il faut dire qu’elle a l’impression d’avoir grandi la dedans. Avec son père adoptif pompier puis un frère qui les a rejoints, autant dire qu’elle a énormément de respect pour eux, surtout que sans les pompiers de Pasadena, elle ne serait plus de ce monde. En tout cas, n’ayant pas mis un seul pied ici, ça faisait bizarre de revenir, surtout qu’elle est ici pour passer un entretien d’embauche en tant que secrétaire ici-même. Alors que c’est bientôt l’heure de son rendez-vous, son regard fut attiré vers un camion de pompier, c’était comme un aimant, alors elle était allé observer. Elle a l’impression de n’avoir jamais quitté cet endroit, c’est assez bizarre. Malika oublie presque les raisons de sa venue ici, trop occupée à observer. Elle failli sursauter en entendant quelqu’un lui parler, la sortant de ses pensées. C’est ainsi qu’elle se retourna en prononçant un : « Bonjour, je viens pour le poste de… » Et c’est alors qu’elle le vit… Addon… Addon son grand frère qu’elle n’a pas vu depuis bien trop longtemps se trouve face à elle, dans cette caserne, dans leur ville, en uniforme. Alors il est rentré, il est rentré et à trouver le temps de revenir travailler à la caserne mais même pas elle a le droit de le savoir ? Est-ce que Théo est au courant ? Est-ce qu’elle est la seule à ne pas avoir le droit à la moindre nouvelle. Ok lors de sa dernière lettre elle lui a fait comprendre qu’en rentrant c’était surement trop tard pour venir frapper à sa porte mais quand même. Elle est sa sœur, elle a le droit à savoir qu’il est de retour à leur ville natale comme elle puisqu’elle vient tout juste de revenir de New York où elle faisait ses études de photographie. Autant dire qu’elle était énervée contre son frère à cet instant précis. Il n’y a personne à part eux deux mais elle ne veut pas risquer de louper sa chance de trouver un emploi stable en s’énervant. Elle allait donc se retenir de crier même si c’est dur. « Je suis ici pour l’entretien concernant votre recherche de secrétaire pour la caserne. » Dit-elle en essayant de prendre une voix assurée. C’était complètement idiot de parler de la sorte devant son grand frère mais elle ne veut pas que son lien avec l’homme en face d’elle ruine ses chances d’obtenir le job. A la fois Malika ne veut pas être prise parce qu’elle est la sœur de celui qui fait passer les entretiens, dans un autre côté, elle ne veut pas, ne pas être prise pour cela. C’est un cercle vicieux. C’est pourquoi, elle préfère jouer à l’inconnue. De toute façon, elle ne veut pas lui adresser la parole en dehors de cet entrevu donc elle ne va tout de même pas commencer à parler comme si de rien n’étant en plein rendez-vous professionnel. « Je suis Malika Delgado-Lewis ! » Ajouta-t-elle en lui serrant la main, comme elle aurait pu le faire avec un parfait inconnu dans ce genre de situation. Lika essaye de rester neutre même si intérieurement, elle boue complètement.
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mot doux de Invité ► un Dim 8 Juin - 17:38
Je me retrouvais à faire le pied de grue pour attendre des femmes qui se présenteraient peut-être pas à notre caserne, cela avait le don de m’énerver pour le coup. J’aurais préféré être dans le feu de l’action et faire mon métier. Enfin, c’était sans doute ma malchance qui me jouait encore un mauvais tour. J’aurais tant voulu faire partie de l’action, mais pour dix minutes de retard tous les jours au travail à cause de ma colocataire, je me retrouvais coincé à attendre sagement et ennuyeusement des personnes dont je ne connaissais rien. J’étais franchement blasé pour le coup, mais j’allais devoir faire avec. J’étais un soldat comme tous les autres et mon chef était au-dessus de moi malgré que je sois capitaine. Enfin, je regardais autour de moi installé dans le bureau attendant que l’une des personnes ayant l’audace de se présenter dans notre caserne pour en être la secrétaire n’arrive. J’avais l’impression d’être là à attendre pendant des heures. Au final, je m’étais levé suite à du bruit et j’allais rejoindre les camions où de dos je vis une jeune femme admirant sans doute les camions n’étant pas encore sorties. Une voix douce et annonçant une personne plus ou moins sûre d’elle se fit entendre avant de se taire totalement au cours d’une phrase. Elle fût choquée ? Moi aussi, je fixais cette personne face à moi, un sourire s’effaçant au fil que les secondes s’écoulaient. Donc rapidement je laissais place à un minois dépourvu de sentiment. Impossible de faire autrement. Je me retrouvais face à cette femme, une femme alors qu’elle n’était qu’un bébé pour moi au fond. Mon cœur qui lui s’était emballé fini par se calmer, me laissant un petit moment de répit pour reprendre mes esprits alors qu’elle reprenait son discourt comme si de rien n’était. Exactement ce que j’avais prévu de faire quelques secondes auparavant dans mon esprit. On n’était pas de la même famille pour rien. Je rigolais intérieurement laissant gentiment mon visage inerte. Malika. Lika. Ma petite , non mon petit bébé , se trouvait la face à moi et la tâche allait être compliqué. Alors que faire ? Simplement dire que le poste était pris ? C’était simple de faire ainsi non ? Je secouais la tête. « Je vois ! Suivez-moi jusqu’au bureau ! Je veux vos papiers et surtout vos compétences pour ce travail » Lâchais –je avec le ton le plus neutre possible. Ce n’était pas compliqué de recevoir sa sœur à un entretien d’embauche, alors qu’on avait eu la même idée tous les deux d’ignorer que l’on connaissait l’autre. Je finissais par la laisser entrer dans le bureau. Je m’installais face à elle et la regardais donc se présenter en secouant la tête mon regard tenta d’éviter le sien quand ma main venait à rencontrer la sienne pour la saluer. « Je suis le Co-capitaine de la maison, je suis Addon ! » C’était rare que l’on donne nos noms de famille et compagnie pour se présenter à des personnes risquant de faire partie de notre petite famille. Elle faisait déjà partie de ma famille, mais c’était comme cassé. Je la regardais avant de sortir quelques documents qu’elle allait devoir remplir. Je la regardais alors avant de lui tendre les documents avant de pincer mes lèvres entres elle. « Mademoiselle pouvait vous remplir ça ? Je vais aller chercher d’autre document. » Je lui laissais et partais, j’avais besoin de souffler loin d’elle pour le coup.
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mot doux de Invité ► un Dim 8 Juin - 17:39
Retrouvailles inattendue
Addon & Lika
Malika a absolument besoin de ce boulot. Non pas que ce soit sa dernière chance de trouver un boulot mais disons que lorsqu’elle a vu l’annonce comme quoi la caserne de pompier recherchait une secrétaire, elle a vu ceci comme un signe. Ayant quasiment grandi entourée de pompier, elle trouvait la coïncidence juste parfaite. En plus, ce n’est pas n’importe quelle caserne, c’est celle de Pasadena, celle qu’elle connaissait comme sa poche. Bon elles a de mauvais souvenirs mais ils sont compensés par les bons. Alors, même si elle se retrouvait avec son frère qu’elle ne souhaite pas adresser la parole, ce n’est surement pas cela qui va la faire partir et renoncer au travail dont elle a absolument besoin. Du moins ce fut sa pensée principale. Tant qu’ils ne parlent pas de sujet personnel et tant qu’ils ne parlent pas de choses qui fâchent, il n’y a aucune raison pour que ça ne se passe pas bien. Malika est du genre à ne pas être stressée dans ce genre de situation, bien au contraire mais là, le fait de se retrouver face à son frère la mettait mal à l’aise et ce, même si elle ne souhaite pas le montrer. La jeune mère ne va tout de même pas gâcher sa chance de trouver un travail à cause de l’homme qui l’a énormément déçue par le passé. « D’accord, enchantée Addon. » Dit-elle comme elle l’aurait dit à quiconque lui faisant passer un entretien. Son sourire affichait sur ses lèvres était faux mais il est quand même semblable à celui qu’elle aurait fasse à un inconnu dans cette même situation. Devant son frère, elle devrait être plus à l’aise, sachant qu’il la connaissait autrefois par cœur et qu’elle ne doit pas autant se vendre qu’avec un inconnu qui ne sait absolument rien d’elle mais justement, elle l’était encore moins qu’avec des directeurs qu’elle a rencontré lors de ses anciens entretiens d’embauches. Arrivant finalement sans aucune paroles de plus échangés, elle s’installa alors qu’il semblait vouloir partir de la pièce et vite. Alors qu’il la laissa avec des documents, Malika prit du temps pour souffler avant de remplir les documents qui n’avaient rien de biens compliquées, seulement quelques informations personnelles que de toute manière Addon connait, mis à part les dernières années de sa vie. Au moins, ça lui laisse le temps de souffler un coup, chose qu’elle n’a pas pu faire depuis qu’elle a vu que son frère est de retour et que si elle travaille ici, elle va devoir le voir avec sa rancœur tous les jours. Après quelques minutes, elle le vit revenir. « Alors voilà mon cv, ma lettre de motivation que je vous ai déjà fait parvenir ainsi que des lettres de recommandation de mes anciens employeurs. » Dit-elle en lui tendant les divers documents qu’elle avait emmené avec elle. D’ordinaire elle aurait pris l’initiative de parler de montrer ses motivations et ses qualifications mais là, elle attendait qu’il ouvre la bouche. Malika a beau faire celle qui n’en a rien faire, la réalité est tout autre. Elle est blessée de le revoir et surtout, de ne pas avoir été prévenu. Alors qu’n blanc s’installa, comme si aucun des deux n’osaient dire quoi que ce soit, elle n’en pouvait plus. « Je peux pas, j’y arrive pas. Tant pis pour le job ! » Elle passe à côté d’une bonne opportunité, elle en a conscience mais c’est plus fort qu’elle, c’est pourquoi elle se leva, prête à partir, partir du job qu’elle voulait et surtout, loin d’Addon.
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mot doux de Invité ► un Dim 8 Juin - 17:40
Déjà que j’étais malheureux d’être puni dans ma propre caserne, alors vu la personne venant de m’arriver pour ce poste de secrétaire, je commençais à me demander si quelqu’un ne m’avait pas refilé à nouveau le mauvais œil. Je la regardais, je jouais à un jeu idiot, mais ma petite sœur était entrée dans ce dernier donc , je me disais qu’au final je n’avais pas forcément tort de le faire ? Enfin, j’espérais. Me retrouvais devant elle était comme une punition, car j’attendais ce moment exact où Lika finirait par craquer en m’envoyant promener ou me hurlant dessus. Je le savais qu’à un moment ou à un autre elle allait se mettre à râler, me dire mes quatre vérités, certes, je les mérites, mais sincèrement, j’étais encore sur le coup de la revoir alors, ça allait être compliqué de ne pas craquer en hurlant à mon tour. J’avais besoin de souffler, certes , je n’avais pas fait les choses correctement, mais tout de même. J’étais donc mal à l’aise et j’allais devoir supporter la jeune femme le long de ce maudit rendez-vous, peut-être que je devrais tout arrêter, lui dire qu’elle n’avait pas sa place par ici ? Mais, serais-je capable de faire cela ? J’en doutais fortement. Je l’aimais ma sœur et l’aimerais longtemps. Enfin, j’allais arrêter de me plaindre et prendre sur moi, on m’avait confié une mission et il fallait que je la réalise qu’importe le reste. Je la regardais et souriais faussement, je connaissais son sourire et celui-là sonnait aussi vrai que le mien. « De même ! Enfin passons. » Oui, il fallait le dire j’étais sec de peur d’être trop mal , je me blottissais sur le côté froid de mon être, je ne voulais pas craquer. Je voulais que cela se passe bien tant pis si je devais continuer de parler avec ma sœur si elle travaillait là, elle en avait peut-être besoin et je n’allais pas lui gâcher ses chances. Je n’arrivais pas à rester plus longtemps dans cette pièce que j’avais pris pour faire les rendez-vous avec les futurs secrétaires enfin la future, bref. Je la laissais là, toute seule. Après tout elle n’allait pas être perdue ?
J’avais fini par me retrouver dans le bureau du chef pour prendre des documents, même si ce n’était qu’une excuse, il serait tout de même bien de revenir avec des feuilles pour ne pas paraître con. Puis, j’allais encore plus prendre le risque de me prendre des réflexions de la jeune femme si elle pétait un câble. Je m’installais sur le coin du bureau pour souffler essayant réellement de faire le vide dans mon esprit ce coup-ci, mais c’était compliqué voire impossible de le faire. Je finissais par me bouger et non pas en direction de la salle où se tenait la jeune femme, mais bel et bien au toilette pour me passer un coup d’eau sur la figure. Allez , il fallait que j’aille l’affronter. Je me dirigeais et rentrais dans la salle où était encore installée la jeune femme, peut être que j’aurais espéré qu’elle disparaisse le temps de ma fuite ? Mais non. « D’accord, merci, mais je les ai ici » Je souriais , la regardant avant de me concentrer dans mes notes que j’avais prise en lisant quelques heures avant son cv, enfin je l’avais lu en diagonale la preuve je n’avais pas capté son prénom. Je la vois sauter d’un coup , dire qu’elle s’en va et tout. Je finissais par souffler et attraper son bras. « Malika ! Reste ! Pour le job :! » Mon regard s’encra dans le sien attendant sa réponse.
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mot doux de Invité ► un Dim 8 Juin - 17:40
Retrouvailles inattendue
Addon & Lika
Malika était partie pour passer l’entretien comme si l’homme qui lui fait passer est un homme comme un autre, pourtant, ce n’est pas possible. Si elle a essayé pendant un temps, le voir ne pas réagir, faire comme elle et faire semblant qu’ils sont de parfaits inconnus. Pire, on aurait dit que ça le saoulait totalement de le voir. Du coup, l’entretien ne se passe pas comme d’habitude. C’est ainsi qu’elle prit la décision d’y couper court et de partir, c’est au-dessus de ses forces. Pourtant, Addon ne semble pas vouloir qu’elle parte parce qu’il vient de la retenir en lui disant de rester pour le boulot. Oui le boulot, c’est le dernier de ses soucis à cet instant. « Ah quoi bon ? Hein ? A quoi ça sert que je reste si c’est pour qu’on finisse par travailler au même endroit ? » Si c’est pour que rien ne s’arrange et qu’ils continuent de faire semblant, ce n’est franchement pas la peine, ça ne l’intéresse pas, mais alors pas du tout. Le voir là sans même savoir qu’il était de retour sur le continent la met tellement en colère. Si ça se trouve ça fait plus d’un an maintenant qu’il est de retour sur le continent mais bien sûr, personne n’a pris la peine de la prévenir. Ok elle n’était pas sur Pasadena ses dernières années mais elle aurait aimé être au courant. Est-ce qu’elle serait revenue pour le voir ? Elle ne sait pas, il faut dire qu’elle lui en voudrait quand même, il est parti sans garder contact et tout ça loin d’elle. Pourtant, elle lui en aurait sans doute moins voulu qu’à cet instant. « Si tu me prends on devra se voir tous les jours, tous les jours je devrais voir ta sale tronche et me rappeler que tu m’as laissé tomber ! » Sale tronche… Elle y va fort, elle sait elle-même que c’est frère est beau, il a du sang Lewis dans les veines après tout mais elle lui en veut tellement, encore aujourd’hui. Quand il est parti, elle lui en a terriblement voulu mais elle pensait que ça finirait par passer. C’était faux, ça ne passe pas et tant qu’il n’y a pas de réelles conversations, tant qu’il n’y a pas eu de pardon de la part Malika, ils ne pourront faire semblant bien longtemps. En tout cas c’est le cas pour Malika. Si elle a essayé et essaye encore de le faire, ce n’est pas si facile que ça. « Tu te rend compte ? Malgré le fait que le marché du travail soit en baisse, je prefere passer à côté d’une opportunité de job et tout ça à cause de toi ! » Dit-elle pour bien enfoncer le coté dans la plaie. Bon elle a failli rajouter qu’elle a vraiment besoin d’un travail pourtant vu qu’elle est maman et qu’elle a son fils à nourrir mais bon, elle ne voulait pas partir trop loin. Tout ce qu’elle veut c’est partir, pourtant là debout, face à son frère prête à partir malgré le fait qu’il lui tienne le poignet, elle ne pouvait pas. Non pas parce qu’Addon la tient comme prisonnière puisqu’elle pourrait facilement partir. Malgré sa force il ne la tient pas vraiment fort. Pourtant elle est incapable de partir, sa tête lui dit de partir mais ses jambes refusent de bouger et de s’enfuir le plus vite et le plus loin possible. Pourquoi ? Elle ne sait pas mais être là alors qu’Addon la regarde lui fait mal. Avant elle lui aurait sauté dans les bras une fois sure que ses responsables ne soient pas là mais il lui a trop blessé pour qu’elle le fasse. Le regardant alors dans le blanc dans yeux, se retenant de craquer devant lui, elle attend qu’il lui dise quelque chose. N’importe quoi tant qu’il ne laisse pas un blanc s’installer entre eux deux.
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mot doux de Invité ► un Mar 10 Juin - 12:20
J’étais mal. Je me retrouvais devant ma sœur, alors que je n’avais pas prévu cela. J’aurais voulu aller la voir pour avoir de ses nouvelles, pour être présent, mais cette dernière m’en voulait, puis j’avais eu tellement de remarque de la part de mes proches pour être parti ainsi. Seul Théo avait été assez sympathique en appréciant simplement le fait que je sois là pour lui par lettre, pas coup de téléphone. Je savais que lui ne serait pas présent pour me foutre des reproches en pleine figure à l’opposé total de Malika, qui aurait folle de rage en me lançant un tas de reproche et de mot ! Je n’avais pas besoin de ça, mais d’être entouré à distance, sauf que je n’allais pas dans le sens des autres. Ils croyaient que c’était simple d’être l’ainé de cette famille ? Alors que j’étais censé être l’un des gosses du milieu ? Au contraire ce n’était pas simple et j’avais beau essayer de supporter les reproches que j’allais sans doute finir par voir gicler sur moi dans peu de temps à force d’être face à elle. « C’est bon arrête de gindre ! Tu fais ce que tu veux, mais ça serait con de louper une occasion de bosser ! Tu fais ce que tu veux ! » J’avoue que pour le coup je n’avais pas cherché à mâcher mes mots, j’en avais marre après tout d’être gentil. Elle pensait à elle, mais moi non ? Quoi j’avais toujours été là pour elle, mais là j’avais eu besoin d’être seul d’oublier tout ce mal qui me rongeait depuis des années. Je ne voulais pas être plains, non je voulais simplement avoir le droit de m’éloigner de mes proches : Lika et Théa. Voilà celles qui pensaient que j’étais en tort, qu’elles le pensent. Je m’en étais longtemps voulu durant mon petit séjour pour aider les autres, mais il était hors de question de le faire encore à présent. J’avais dépassé mes regrets ou encore leurs mots. Je la regardais en me levant dans un mouvement de rage. « Ouai ma sale tronche te conseille de te caser, tu es une idiote, point barre ! Je t’ai laissé tomber ? C’est qui qui t’as bordé ? Qui ? Le pape ? Dis-moi, je dois rêver de mes nuits à te surveiller dans tes cauchemars ! Merde, j’ai eu besoin de temps pour moi, c’était soit ça, soit faire de la merde est tombé un peu plus dans l’alcool. Je ne regrette pas mes choix, mais simplement d’avoir une sœur si égoïste ! » Je la regardais dans les yeux, elle n’avait jamais été au courant de mon problème d’alcool, mais venait d’être mise au courant pour le coup. Je n’allais pas la laisser continuer à tenter de me faire culpabiliser, je l’avais laissé ? Alors qu’elle fasse avec, je supportais bien plus pour pas qu’elle ne se retrouve à savoir la vérité sur notre père, mais au final je regrettais ce simple choix de la protéger. J’étais dégoutté par ma sœur, pour le coup, je n’allais pas rebaisser la tête une nouvelle fois face à elle. J’avais mal, mon cœur était en train de se déchirer, mais impossible pour moi de me rendre coupable encore une fois. Je pensais sincèrement que pour le coup j’en avais fini, et je n’avais pas envie d’échanger plus avec elle, par peur de craquer sans doute. Craquer, je ne savais même pas comment j’allais le faire, mais j’espérais que je tiendrais le coup. « Je prends seulement conscience que ma sœur se plains et qu’elle ne fait que ça. Malgré le fait que le travail soit compliqué à trouver, je préfère refuser ! Tu te penses mieux que moi ? J’ai fuis tu dis ? Tu fais quoi ? Tu joues la petite fille ! Bref, Je n’ai plus de temps à perdre avec toi ! Tu ne veux pas de ce travail ? Pas de problème, passe ton chemin ! » J’étais en colère et je pensais que là rien ne pourrais faire pire que ça. Je me dirigeais vers la porte ouvrant la porte. Dieu, j’avais mal à mon cœur qui ne faisait que battre de façon irrégulière comme si j’allais finir par m’écrouler au sol sans même pouvoir revenir à moi. Mais, hors de question. J’allais être fort c’était bien pour ça que mon regard noir était présent envers la jolie blonde qui était supposée être ma petite sœur.
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Invité
mot doux de Invité ► un Ven 4 Juil - 18:28
Retrouvailles inattendue
Addon & Lika
Malika est là pour avoir un boulot, pour payer ses factures et pour remplir le frigo, pourtant là, au lieu de se battre pour obtenir le poste de secrétaire dans la caserne, elle est en train de se prendre la tête avec la personne qui lui fait passer l’entretien. De toute manière cela n’aurait pas pu se passer normalement, on a beau croire le contraire, ce n’était pas possible. Il y a trop de colère, de rancune pour que ça se passe totalement bien. Pourtant, elle voulait poser ses rancunes à l’entrée et agir normalement durant l’entretien mais non, ce n’est pas possible. « Rappelles moi ce que tu m’as dit quand on est entré chez les Delgado la première fois ! Hein, rappelles toi, tu m’as dit qu’on irait bien tant qu’on était tous les trois les uns avec les autres. Résultat, à part Théo, je ne vois pas qui a été là. T’étais où quand ta sœur s’est retrouvé à la rue quand elle est tombée enceinte hein ? » Bon ok elle n’a pas été totalement à la rue puisque des copines l’ont hébergé avant de trouver une bonne situation mais tout de même, elle a eu l’impression que son monde s’écroulait une nouvelle fois. D’ailleurs, le fait qu’elle ait été mis à la porte à l’annonce de sa grosse à son ex petit ami, personne ne le sait, elle se contente de dire simplement que le père n’est pas là et c’est tout. Même son jeune frère ne le sait pas et ce pour la bonne raison qu’elle ne voulait pas qu’il se fasse du souci pour elle. En entendant Addon parler du fait de retomber dans l’alcool, Malika fut coupée net. Ca, elle ne s’y attendait vraiment pas, il n’y a pas à dire. L’observant sans rien dire un instant, elle détourna le regard, encore une fois sans ouvrir la bouche pour lui dire « Pourquoi tu ne m’as rien dit ? Hein pourquoi tu n’as pas parlé de ton problème au lieu de partir ? » Elle aurait aimé le savoir pour pouvoir l’aider, pour pouvoir le comprendre et pas seulement. « Je t’ai détesté de partir, je t’ai véritablement hait parce que je pensais que tu étais un lâche… je t’ai détesté de tout mon être ! » Et pourtant en l’apprenant, elle aurait pu le comprendre et toute sa vision de son départ aurait été différente. C’est sûr que là, sur le coup elle se sentait mal, mal pour lui mai aussi pour mal. Elle lui fait des reproches mais aussi peut lui en faire de le faire puisqu’elle ne pense qu’à sa petite personne. Pourtant, elle ne va pas s’excuser, ce n’est pas sa faute s’il ne l’a pas mise au courant de la situation après tout et même si après coup elle comprend qu’il avait peut-être de bonne raison, ça n’efface pas tout ce temps à le détester et à souffrir de la présence de son grand frère. « Tu crois que je vais vouloir passer un entretien devant un homme qui en a apparemment rien à foutre de moi ? J’vais pas me plier pour avoir le job alors tu risques de pas m’accorder le poste. » Elle aurait pu se battre pour avoir le travail si une autre personne se trouvait à la place d’Addon parce qu’elle a absolument besoin de ce travail, surtout par rapport à Maddox mais là, se battre alors que finalement il ne veut pas d’elle quoi qu’elle dise. Après elle se fait finalement des films mais là, elle n’arrive même plus à réfléchir, elle est folle de rage de son retour et surtout du fait qu’elle n’ait pas été mis au courant. Ella a sincèrement l’impression qu’on se fiche totalement d’elle là. Toutefois avec son esprit de contradiction surtout face à son cher grand frère, elle changea de nouveau d’envie de partir et ne pas passer l’entretien lorsqu’il l’invita à prendre la porte. Croisant les bras contre sa poitrine elle dit finalement : « Non, ce poste est fait pour moi. Je suis la plus apte à avoir le poste, pas beaucoup de femme pourrait supporter autant de pompiers. » Enfin surtout lui parce que les autres, ceux qu’elle connait, ils sont vraiment top. Malika a l’impression d’avoir grandi dans cette caserne. Elle passait du temps quand son père adoptif y travaillait puis venait souvent quand Addon y est entré. En tout cas, s’il accepte de continuer l’entretien comme si de rien n’était et si elle a le job, les mois prochains, ça va être compliqué ou du moins jusqu’à ce que les choses se tassent entre les deux Delgado-Lewis.
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Invité
mot doux de Invité ► un Sam 19 Juil - 22:34
J’avais qu’une envie m’en aller ! Comment ne pas fuir cette femme ? Impossible ! Il aurait fallu être sacrément maso pour rester face à elle ! Malika lançait des choses qui n’avaient aucun sens et cela m’énervait au plus haut point. Elle finissait toujours par se faire passer pour la petite fille qui avait dépérit sans moi ! Mais, elle ne pensait qu’à elle comme fort souvent et ce manque de compassion à mon égard commençait à me donner envie d’attraper son bras pour la foutre à la porte ! J’étais révolté, mais je ne le montrais pas à quoi bon ? Rien. De toute façon elle trouverait encore quelque chose à me reprocher, mais tant pis ! J’avais même plus envie de me battre pour elle. Enfin, ça faisait bien longtemps que j’avais arrêté d’attendre ! Je levais les yeux au ciel avant de les déposer dans les siens. Sérieux, elle me fatiguait à un point horrible. « Tu sais quoi ? Ferme là ! Et toi tu étais où ? Tu étais là quand j’avais besoin ? Non, quoi il fallait t’envoyer un e-mail pour te dire que j’allais mal ? Hein ? Non, mais dis-moi ! Car moi j’étais toujours là avant d’avoir besoin d’être seul sans que tu me le demande ! Alors oui j’ai pensé à ma gueule, mais comme toi tu l’as toujours fait dans le fond !! Tu veux dire les choses ? D’accord, mais balaie devant ta porte avant, ma petite ! » Je la regardais, mes poings venaient de se serrer violemment laissant presque mes ongles pourtant coupé à ras pénétrer légèrement dans ma peau. Mon regard se voulait de plus en plus noir, elle était en train de me mettre à mal ? Elle voulait quoi ? Que je m’excuse ? Jamais. Je n’avais rien fait que promettre des choses du haut de mes quatorze ans, chose que j’avais respecté depuis fort longtemps, mais j’en pouvais plus ! J’aurais espéré qu’elle m’aurait compris tout comme l’avait fait Théo. J’avais supporté énormément de chose, mais je devais encore me taper la mauvaise humeur et les remontrances de ma petite sœur, dans quel monde je vivais pour que ce soit elle qui me fasse des remarques ? Je levais les yeux au ciel à ses mots, laissant éclater un rire moqueur s’emparer de la pièce. « Putain, je ne suis pas comme toi à vouloir de l’aide, je n’avais pas besoin de toi, mais juste de me reconcentrer un peu sur moi, mais même ça tu me le fous dans la gueule ! Alors continue, change pas juste car tu sais ça ! Soit pas faux cul ! » Je la regarde posant mes bras sur mes hanches avant de passer ma main dans mes cheveux. « Ouai, tu peux continuer à me haïr ! Je n’ai pas changé ! Je suis le même alors pourquoi changer cela ? Je me le demande ! » Je rigole un peu continuant à soutenir son regard avec un petit clin d’œil qui finit par me faire lâcher prise. Je n’avais jamais compris ce style de personne qui trouvait que les choses changeaient devant de bonnes excuses, non mais non, pour moi cela ne fonctionnait pas ainsi. Je soufflais un peu avant de passer ma main dans mes cheveux avant d’aller me poser contre le seul camion d’intervention encore garé dans la caserne. Je regardais mes pieds, la laissant parler, ses mots m’énervaient, à croire qu’elle n’était capable que de se plaindre, de jouer à la petite victime. A croire qu’elle était le nombril du monde, qu’elle était la seule à pouvoir souffrir, mais il ne faudrait pas qu’elle oublie qu’on avait tous vécu la même chose et qu’elle n’était pas la seule à être malheureuse, sauf que certain devait protéger les autres.. Forcément le plus grand. Je pouffais un peu plus de rire en l’entendant finir. « Mais casse-toi alors ? Tu crois quoi que je vais me mettre à genoux pour que tu me croies que je vais te juger comme n’importe qui ? Hein ? Je ne suis pas menteur ! » Je la regardais et mordais ma lèvre en rigolant un peu. Elle me tapait sur le système sincèrement, si je pouvais échanger ma place avec quelqu’un d’autre j’en serais heureux, m’enfin. Je la regardais changer d’avis. « Tu n’es pas schizophrène ou folle par hasard à changer d’avis comme de culotte ? Je voudrais le savoir avant de t’embaucher ! » Je me foutais d’elle histoire que faire redescendre la tension.
Contenu sponsoriséet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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