prénom Caleb est mon prénom officiel. Je me demande si ma mère a réfléchie aux surnoms ridicules que l’on peut me donner comme Caca ou Câlin ou j’en passe mais heureusement je n’ai pas un égo démesuré et j’accepte les surnoms sans broncher. nom Hemingway, compliqué à écrire mais facile à dire et parait que c’est un nom célèbre en plus. Dans le fond, c’est mieux qu’une sauce. surnom J’en ai plein de surnoms en fait. âge 25 ans. date de naissance 18 aout 1988. lieu de naissance Je suis née à Pasadena.  statut matrimonial en couple avec une jolie corde mêlée à un cordichon depuis une année à peu près mais je lui cache que je suis papa en fait depuis le début. orientation sexuel hétérosexuel et pas intéressé par une relation avec un homme surtout ceux qui ont des prénoms de vampires, merci de ne pas me sauter dessus –siffle-. Puis de toute manière, je suis Cordysexuel donc voilà, c’est grandement plus compliqué et vachement plus intéressant que d’être hétéro. En gros, je suis son objet, elle peut faire tout de moi ! Et voilà. Je suis à elle, pas toucher et bas les pattes. budget je ne suis pas riche, je ne suis pas pauvre, je suis normal enfin aisé. J’ai de quoi nourrir mon fils et d’autres enfants même si je n’en veux pas d’autres. métier je suis journaliste en évènement et musique. J’ai travaillée pour le rollingstone avant de déménager à Pasadena. Je suis aussi musicien et chanteur par moment. hobby Je suis un auteur-compositeur pour le plaisir que cela soit des bandes sons ou des textes mais je suis trouillard et je le cache aux autres. qualités Que ne pouvons-nous pas obtenir d’un sourire ? Charmeur, je fais toujours tout pour arriver à mes fins, déterminé à souhait. Je sais ce que je veux et je ferais tout pour l’obtenir mais rien de méchant en soit disons que je suis juste joueur. Sportif, je peux passer des heures à m’occuper de moi, je courre, je rampe, je saute et je fais même mes abdos mais pas sans cesse et pas seulement pour montrer mes muscles comme les petits cons qui les sortent de leur débardeur en disant : oh ouais, je suis beau et canon, regardez-moi. Je suis assez créatif, je peux passer une soirée à écrire des textes ou composer quand Reed est au lit. Parfois même, je me fais peur. Je suis rêveur car oui, j’ai des rêves plein la tête mais pas toujours le courage de les accomplir par peur de tomber. Je suis attentif, je peux vous dire si une femme a changée de coiffure ou a achetée de nouveaux vêtements et toutes ses choses que certains hommes ne remarqueront pas car je m’intéresse aux détails parfois sans intérêt. Je suis aussi attentif aux besoins de mon fils et surtout à ce qu’il ressent. Je suis aussi raisonnable, généreux, chaleureux, intelligente, dévoué, loyale, comique et ouvert aux autres. défauts Je suis du genre manipulable enfin le genre de gars qui croit tout ce qu’une femme ou son fils peut lui dire et qui le boit par ce qu’il a une confiance aveugle envers ses proches mais attention je ne suis pas stupide. Vous ne me ferez pas croire que le facteur ne travaille pas à la poste par exemple. J’ai des tendances d’insolences, je fais ce que je dis et pas ce qu’on me demande de faire mais quand on s’en prend à moi ou une personne que j’aime, je peux devenir parfois présomptueux. Je suis curieux de nature, j’aime découvrir le monde et ses secrets mais aussi ceux des autres dans le sens où l’on me titille rapidement. Je ne pardonne jamais un acte ou une chose dite. Je suis rancunier. Je manque parfois cruellement de tact car je ne tourne pas la langue dans ma bouche avant de parler. autres J’ai toujours rêvé d’être musicien professionnel mais je n’ai a jamais vu la chance en se motivant surtout dans ses études avant tout le reste puis à force que mon beau-père ne me dise que je n’en serais pas capable, j’ai pris peur et a arrêté. Je suis somnambule par moment et peut me lever la nuit pour faire des trucs parfois loufoques quand je suis plus stressé ou plus tendu la journée ou avant de dormir. Quand j’étais petit, on m’a dit que j’avais une jambe plus longue que l’autre et que du coup, voilà, j’allais être handicapé. Enfin ça ne change rien à ma vie, j’ai en résumé juste une jambe plus longue que l’autre de 5 millimètres. Et c’est tout. C’était le détail du savoir inutile.

Et si vous répondiez à des questions ?
Te considères-tu proche de ta famille ? Oui et non enfin proche de mon fils, oui. Réellement. J’en suis proche car il est un peu tout ce que j’ai depuis 6 ans à peu prés. Je suis proche de ma petite sœur mais seulement par contact Skype sauf quand elle prend sa voiture pour venir me voir à New-York mais maintenant que je reviens à Pasadena, je compte bien remettre de l’ordre dans sa vie car elle est douée pour faire du chiqué. Je suis presque proche de ma mère qui m’en veut assez bien de l’avoir abandonnée car bon, elle voudrait me voir aux fêtes de noël par exemple enfin nous voir mais je ne peux la voir que quand elle vient. Et donc son mari mais lui, il ne faut pas chercher midi à quatorze heures, je le déteste, je ne peux pas le voir en peinture. La personne qui m’a le plus dégouté dans la vie ? C’est lui. Autant être direct. On ne peut pas faire pire ennemi pour moi que mon beau-père et Nikki. Es-tu heureux d'avoir fondé une famille ?  Je ne suis pas vraiment sûr d’avoir fondé une famille en fait. Disons qu’à 19 ans, je ne rêvais pas de devenir papa aussi tôt mais de musique. J’étais gravé par la musique et encore la musique du coup, cela m’est tombé dessus. Parfois quand je ne m’en sortais pas du tout après sa naissance, je l’ai regretté mais c’était par ce que je perdais le contrôle de la situation. Je finissais toujours par m’en vouloir mais maintenant ? Oui, je suis heureux. Je ne regrette plus du tout d’avoir suivi cette voie et j’ai parfois le bonheur de penser que je ne me vois pas dans une autre vie que celle-ci. Parfois oui, je me dis que ça aurait pu être mieux mais avec ma famille, avec lui. Je suis heureux d’avoir notre cocoon. Notre garçonnière. Bon d’accord parfois, c’est réellement chaud avec les filles et je l’assume même s’il est mignon et que c’est facile pour draguer, cela ne sera jamais pendant longtemps.  Vis-tu toujours chez tes parents ou as-tu ton indépendance ? Je ne vis plus chez eux depuis que j’ai en fait 19 ans. J’ai déménagé de la maison de famille quand Nikki est tombée enceinte. Cette fille qui avait détruit ma vie. La pauvre petite vie. Enfin soit… je vis seul avec Reed depuis et je m’en sors bien même si j’ai eu du mal à gérer pendant les premières années entre les études et un petit boulot mais heureusement les aides sont là et j’ai de bons amis. Je suis très satisfait de mon indépendance. As-tu toujours vécu à Pasadena ? Oui, j’y ai vécu de mes 0 à 22 ans à peu prés. Il faut avouer que je connais la ville comme ma poche et c’est peut-être pour cela que j’ai du mal à y revenir mais merde, j’ai envie d’y revenir pour elle. Où est le mal ? Puis je suis sûr que maman et ma sœur seraient heureuses. D’ailleurs Cordélia ne sait même pas que je vivais à Pasadena. Il faut dire que je suis mystérieux avec elle.  Comment définirais-tu le mot "famille" ? De plusieurs façons pour tout vous avouer car bien que je sois proche de ma mère et de ma sœur, je dois vous avouer que je ne m’entends pas du tout avec mon beau-père ce qui m’en éloigne. Il m’a beaucoup jugé quand je suis devenu père trop tôt. Je ne suis pas fan de lui du tout. Je dois avouer aussi que je pense que la famille s’est un ensemble… deux parents pour commencer. Je ne sais pas si nous pouvons considérer ma famille comme une famille normale car je suis seul avec mon fils et parfois je me dis réellement que ce n’est pas une famille stable. Je veux lui offrir mieux mais comment lui offrir alors que je ne suis même pas capable de dire à la femme que je suis jusqu’à Pasadena alors que je me suis promis de ne jamais y retourner que j’ai un fils ? Ça craint. Oui, je définirais donc famille en ça craint parfois mais c’est génial.  Qu'aimes-tu en particulier ? J’aime surtout la lecture, je lis depuis que je suis gosse et même si je n’ai jamais voulu l’assumer au début. Je suis un fan des vieux livres qui sentent le papy. J’aime beaucoup danser enfin disons que ma mère me donnait des cours depuis que j’étais petit même si je n’étais pas vraiment doué, j’aime bien la danse des salons. J’aime les pommes et tous les fruits en fait, j’en raffole et même si je sais que Cordélia les déteste. J’aime les mielpops. J’ai tendance à avoir une fascination pour les trucs qui volent. Pas les avions mais les fourmis, les papillons et tout ça même si je trouve les libellules un peu peste car dans le noir, elles ne peuvent pas se montrer plus en journée ? On les verrait mieux car des petites lumières qui volent, ça fait peur. J’aime beaucoup les émissions de télé-réalité ridicule mais j’en ai honte en fait. Je n’y peux rien, c’est drôle de se marrer devant les casos. Je raffole du chocolat. Parfois je me demande si je ne vais pas devenir un lapin de pâque comme ceux que m’offre souvent ma pote de longue date… Rhiannon ! J’aime beaucoup passer du temps à la fenêtre avec ma guitare. Par-dessus tout, j’aime mon fils et Cordélia. J’aime beaucoup les câlins et oui, j’en veux tout plein car je suis un bisounours refoulé sous mes airs d’homme viril. Que voulez-vous et j’assume. Que détestes-tu en particulier ? J’ai horreur que l’on parle de sexe devant Reed mais je vous jure. J’ai horreur des super héros en fait même si j’ai adorée ça quand j’étais gosse mais à force de voir superman et batman… j’ai l’impression d’être médiocre et j’aimerais être le super héros de mon fils. Je suis con mais c’est un complexe d’infériorité, ils sont tellement cool comparés à moi. Je n’aime pas les pigeons autant l’animal que l’homme. Je n’aime pas les femmes qui ne tiennent pas des promesses tout comme les hommes. Je n’aime pas mon beau-père. Au moins, ça s’est fait. Je n’aime pas la musique à fond en fait, J’aime quand c’est plus doux et plus calme sinon je chope rapidement la migraine. C’est d’ailleurs pour ça que je n’ai jamais été un adepte des nightclubs. Je n’aime pas les vieux films enfin ça me stresse que l’on regarde des films avec des fringues qui datent. Je n’aime pas les gens qui boivent du café ou le café tout court car ça excite et je trouve ça fou que l’on en boive surtout en soirée alors que l’on doit aller dormir enfin j’ai surtout trouvé ça dingue de voir sa mère en boire de trop. Je n’aime pas les petits animaux d’aquarium comme les crabes, les tortues, les écrevisses. Je fais une sorte de phobie des araignées qui me rend tellement virile. Je n’aime pas les plats ou il y a trop de crème mais pas le choix d’en faire parfois pour Reed.


Qui se cache derrière l'écran ?
Alors là, je voulais dormir et j’étais à moitié endormie quand mon frère s’est pointé à ma porte pour faire bouh… le con. Heureusement que je l’aime.
Pseudo strawberry insane. Prénom Lily . Pays et ville Ce n’est pas un jeu ? Le baccalauréat version belge, ahah. Sinon Liège en Belgique. Age 25 bougies. Comment tu es arrivé ? j’ai créé le forum. Fréquence de connexion tous les jours. Dose d'amour jusqu’à l’infini. Groupe apple tree. Avatar Nate Buzolic. veux-tu un parrain Je veux Aiden en parrain car c’est l’homme de ma vie en fait !

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L’univers est rempli de surprise, une échéance d’évènement. Ils vont et ils viennent tels des souvenirs d’une vie que l’on ne se dit parfois n’avoir jamais vécu. On se voit tellement dans nos rêves ou dans nos espoirs que l’on espère qu’un autre était dans notre corps. Ma vie était étrange pour moi mais simple pour d’autres. Dans le fond, je ne savais pas réellement comment j’en étais arrivée là. Quel miracle ? Quel malheur ? Le karma avait-il voulu continuellement se jouer de moi ? Je n’en avais aucunes idées et alors que j’étais en ce moment-même assis sur le tabouret de la table de mixage, je contemplant mon salon. Ces bandes dessinées de super héros qui siégeaient sur le canapé alors que Reed venait de les lire. Je ne pouvais pas m’empêcher de penser à ceux-ci. Etais-je comme Bruce Wayne ? Non, pas vraiment. J’étais bien loin d’être le fils d’un milliardaire et de posséder une entreprise dès la mort de mes parents dans une ruelle. Je n’avais pas vraiment connue mon père enfin si mais disons que la seule image que j’avais de lui était son dernier regard alors qu’il partait de la maison. J’avais à peine 5 ans alors qu’il avait préparé sa valise. Je pensais qu’il partait en voyage enfin disons que du haut de mon imagination débordant, je me disais que l’on partait pour l’espace. Nous étions proches et nous parlions souvent des astronautes et j’en passe. Il aimait tout ça. Il était même très intelligent. J’ignorais son métier car j’étais trop petit pour le savoir mais je savais une chose : mon papa était grande et intelligent. Alors que j’avais préparée aussi ma petite valise pour aller dans l’espace avec lui. Ce n’était pas un homme qui le tuait dans la rue devant moi mais un taxi qui l’emportait à moi. Il montait dedans après un dernier regard à son fils qui avait sa valise à la main sur le seuil de la porte. Pourquoi ne voulait-il pas que j’aille dans l’espace avec lui ? Mais pourquoi ? Je n’avais jamais pu avoir la réponse à cette question car je ne l’ai plus vu depuis 20 ans maintenant. Mon papa était parti tel un voleur. Il nous laissait moi, maman et Terry, ma petite sœur qui se contentait de jouer à la poupée. Je n’étais donc en rien Bruce Wayne. Je n’étais pas le futur Batman qui avait peur des chauves-souris car j’avais juste peur que ceux que j’aime prenne des taxis pour aller loin. De mon plus jeune âge, je développais une sorte d’hantise des voitures jaunes. Chacun son soucis comme dirait l’autre. Maman ? Je savais qu’elle était professeur de danse même si je n’avais jamais sue le travail de mon papa. Je savais ça car ma mère m’apprenait les rudiments. Bien sûr, elle m’apprenait les danses de salons et comment ne pas marcher sur les pieds des petites filles car apparemment, j’avais un souci avec ça. Quand j’étais petit, j’étais maladroit. Il parait que c’était à cause de mes soucis d’avoir une jambe plus longue que l’autre.  Batman sait-il danser ? Enfin l’autre Bruce Wayne, là. Je n’en étais pas certaine. Dans le fond, ces souvenirs d’enfance n’étaient pas réellement des plus joyeux sauf quand nous venions à rencontrer cet homme. Je ne vais pas vous donner son prénom pour la simple et bonne raison que je le surnom TRUC car je ne veux simplement plus dire son prénom. Cet homme qui devenait assez rapidement mon beau-père. Dans le fond, il était loin d’être mon Alfred mais alors pas du tout. Il n’était pas grand-chose si ce n’est un beau père. Mon enfance a été ainsi. Dans l’absence de mon père, je ne me rapprochais pas vraiment de mon beau-père. J’espérais encore que papa revienne du jour au lendemain pour sauter dans ses bras. En attendant, je m’occupais de Terry. Elle n’avait qu’un an de moins que moi mais un sourire aux lèvres. J’étais un grand-frère assez attentif, je passais beaucoup de temps avec elle. Je pouvais reconnaitre ses sourires. J’étais de ce genre de personnes qui savaient ce que voulaient réellement les fesses car j’avais été très proche de maman et Terry mais surtout de Nikki, une amie qui était ma voisine. Elle était chou, elle avait une année de moins que moi et nous passions nos journées ensembles. C’était un peu comme ma brune qui est l’amie d’enfance de Bruce mais comment elle s’appelle encore ? Je n’en savais rien. On dira qu’elle était brune tout simplement. Je ne voulais pas réellement me casser la tête à deviner tout. Mais je pensais tout simplement à Batman, oui. Je pensais à ce héros qui était dans ma tête. Pourquoi lui et pas un autre ? Je n’en avais aucunes idées.

Je pourrais tellement m’identifier à d’autres super héros mais tout en étant carrément un autre. Moi-même. Je ne voulais parfois être comme eux que pour être le super héros de mon fils mais je n’étais qu’un musicien qui travaillait comme journaliste. Autant cacher ses rêves. Ce n’était pas ce que j’avais prévu de faire. Avant d’embrasser la jolie Nikkie qui était ma voisine. J’ignorais que je n’étais que Daredevil et aveugle. Oui, j’étais aveugle. J’étais tombé amoureux d’elle alors qu’elle avait depuis des années commencée à avoir ses formes féminines. Sa poitrine par exemple. Cela m’obnubilait. Je n’étais pas vraiment un type sérieux avec les femmes. Elles venaient et partaient mais pourtant je ne les cherchais pas réellement mais le côté de la guitare était un peu comme le handicap et la canne du bel aveugle. Je ne me souviens plus de son nom en vrai donc on dira : le bel aveugle. Et c’était ainsi que tout commençais dans ma relation avec les femmes, ça avançait tout doucement au fil des années. D’abord, elles me courraient après sans que je ne les cherche et ensuite elles me séduisaient mais le pire c’est qu’elles y arrivaient avec les beaux sourires. J’étais faible, tellement. Elles arrivaient à moi comme des fourmis à la nourriture sans la file indienne enfin quoique. C’était horrible mais dans le fond, j’aimais bien ça. Rapidement les sourires se transformaient en baiser au fil des années mais je ne voyais pas vraiment que ce n’était que la guitare et tout ça. J’étais stupide et aveugle. Dans le fond, j’adorais ça au point de ne pas vouloir comprendre. Les bisous se transformaient rapidement en coucherie d’un soir parfois et des trucs plus ou moins régulier. Je n’étais pas amoureux car à mes yeux, elles étaient souvent trop superficielles. C’était mignon car j’étais le genre de garçon qui trouvait tout simplement ça normal mais attirant tout en se disant qu’il cherche mieux, plus. Nikki ne trouvait pas ça réellement bien, elle me le montrait bien et était jalouse. C’était pour cela sûrement qu’elle tentait toujours de me séduire. Je le voyais mais je n’étais pas vraiment partant pour l’idée avec elle. Pourquoi ? Je n’identifiais pas les relations stables comme parfaite pour moi et je savais que c’était ce qu’il faudrait avec elle. Elle était cependant trop proche de moi. Trop proche au point d’avoir peur de souffrir. Elle n’était pas du genre stable du tout. Je ne l’étais pas mais elle alors. Je n’arrivais pas à qualifier ce qu’elle voulait de moi. Autant vous dire que la situation était plus que cocasse avec elle. J’étais réellement un aveugle trouillard. J’étais un adolescent tout simplement. Je m’étais rapidement laissé avoir. Faible, trop faible. Elle avait tout fait pour m’attirer comme une Elektra mais en vilaine. Il n’y avait dans le fond pas de méchante dans le film mais je n’avais jamais réellement lu les bandes dessinées. Non, Reed était fan de tout ça mais je n’avais jamais osé me pencher plus sur Daredevil. Alors que nous arrivions au moment fatidique du métier, je ne voulais pas être avocat comme Daredevil, pas du tout. Je ne savais pas ce que je voulais faire. Je l’ignorais tout simplement. Je voulais bêtement être un homme comme les autres qui profite de sa musique mais à force d’entendre que ce n’était pas un métier, je me disais qu’une autre voie devait être empruntée. Je choisissais rapidement la voie du journalisme. J’étais déjà dans le club du journal de mon lycée en partie musique et parfois photographie donc j’avais touché à ça, j’aimais ça. C’est rapidement qu’elle tomba enceinte. Une guerre à affronter. Cette grossesse était comparable à une armée de vilain ou l’homme avec sa cible sur le crâne. Oui, c’était ça. C’était le vilain qu’on devait combattre mais je voulais le combattre sans devoir l’anéantir mais affronter la bagarre à la loyale. TRUC n’était pas réellement d’accord avec mon choix. Il n’était déjà pas d’accord avec le fait que je veuille devenir musicien. Me démotivant presque en me disant que cela ne servait à rien. Bon. Soit. Mais ce bébé arrivait rapidement alors que j’avais 19 ans. Je devenais papa. Un beau bébé même si j’étais trop jeune pour le vouloir. En fait, je ne le voulais pas mais qu’importe. J’étais avec Nikkie et tout allait bien, nous étions à trois. Je courrais de Los Angeles pour l’université à Pasadena afin de m’occuper de mon fils avec quelques boulots pour payer le loyer. Et elle aussi, nous formions une bonne équipe… pendant 2 mois même pas. Je rentrais un soir, Reed était tout seul et elle n’était plus là. Laissant une stupide lettre. Elle ne se sentait pas capable d’être mère. J’étais anéanti. Dire que ça me brisait le cœur ? Je ne saurais pas le dire à cette époque. Ce n’était pas comme quand ils ont tués le papa de Daredevil, je ne me suis pas rebellé contre les femmes. Je ne me sentais dans le fond pas… enfin je n’avais jamais eu l’impression que ça serait elle pour toute ma vie, c’était bizarre. Je ne me sentais pas vraiment bien, je me sentais tout simplement seul. J'éduquais alors comme je le pouvais notre fils tout seul avec l'aide de mes amis et de ma mère ce qui n'était pas tous les jours faciles. Terry était souvent là mais bon, elle devait s'occuper de sa vie aussi.

Daredevil n’avait au final aucun rapport avec moi, je m’en rendais compte. C’était difficile à part le coté aveugle mais bon, non ce n’était pas possible. Mais je ne me sentais pas sur ma planéte, tel que pourrait le penser Clark Kent alors que j’étais cet homme, papa et au milieu d’une ville dont il trouvait que l’air était trop étouffant pour lui et TRUC. Oui, j’appelle toujours mon beau-père truc et alors ? Je m’en fichais car je ne voulais pas l’appeler autrement. Truc ou même Muche. Enfin soit, c’était comme ça. Je voulais quitter mon Pasadena. Partant alors pour New-York à l’obtention de mon diplôme. Je devenais ce petit journaliste qui se contentait de donner le courrier dans la rédaction du RollingStones. J’étais le larbin quoi mais je faisais tout pour me faire remarquer en allant même draguer la rédactrice en chef mais forte heureusement, j’avais rapidement été journaliste même si je ne faisais pas non plus fureur mais j’écrivais quelques articles puis le salaire n’était pas mauvais et me permettait de bien faire vivre mon fils. Je pouvais ainsi lui offrir ce dont il avait besoin sans avoir peur qu’il ne manque d’un truc et sans lui en donner trop. Je ne voudrais pas d’un gamin pourri gâté comme j’en croisais dans ses copains. D’ailleurs je me calmais avec les filles et je n’avais pas le choix. Quand elles découvraient que j’étais papa, elles partaient en courant et finissaient par se demander… comment elles allaient gérer. Avant les filles adoraient ça mais ça c’était avant. Genre… très avant. Quand être un papa ou une maman était cool mais maintenant elles ne veulent plus d’enfants car ça nous à la jeunesse. Je comprenais ça mais j’avais besoin d’amour comme tous les hommes. J’étais un superman enfin en toc et sans le pouvoir de voler, le côté indescriptible et le rayon X bien entendu. Ma cryptonnite devenait rapidement  mon besoin d’amour. C’est dit tellement pathétiquement mais dites-moi que vous n’avez jamais eus de longues périodes sans une compagnie féminine… sans avoir ce besoin ne serait-ce que d’un peu d’affection ? Un câlin ? Une attirance. Pas besoin de parler de coucheries mais l’on peut être contente de peu. Il en faut peu pour être heureux, non ? Superman se contentait d’être bien vu par Lois, son héros et la sauver mais j’avais aussi besoin de ma Lois. C’est un jour… comme ça alors que je ne cherchais pas que je vis cette jeune fille qui paraissait oui, plus jeune que moi mais mince, elle était tellement jolie. Je l’avais regardé, elle m’avait regardée. C’était tellement étrange pour moi. J’avais l’impression d’être un superman rouillé. Oui enfin rouillé, pas vraiment mais je survivais comme je pouvais en allant vers elle. Cette relation n’avançant pas trop vite tout de même. Cependant, un point important. J’avais peur. Elle était tellement… formidable sans s’en rendre compte que je n’avais jamais osé lui dire que j’étais père. Allais-je la faire fuir ? Je ne disais pas grand-chose à celle-ci et cela me bouffait. Je savais qu’il faudrait le dire à un moment ou un autre mais comment ? Ah oui, comme ça… dis, je suis papa. C’était comme annoncer que j’étais superman à Lois et que je venais de crypton. Normal, quoi. Mais je venais de Pasadena. Je savais qu’elle était reliée à cette ville mais j’avais enfin cette crainte que cela soit un frein entre nous. Je ne disais rien à Reed non plus même si c’était bien visible qu’il y avait une femme dans ma vie. Cela se voyait dans ma façon de changer ou les soirées avec une baby sitter donc la voisine de New-York enfin j’étais différent depuis plusieurs mois entre le boulot et l’amour. Je semblais moins renfrogné, plus heureux. Une bonne chose même si j’étais heureux d’être papa. J’étais juste un superhéros qui avait trouvé une Lois. Je l’étais sauf quand Lois devait retrouver Pasadena suite à la mort de son frère. Je ne savais pas ce qui allait se passer mais je voulais la suivre. Je voulais être avec elle. Elle était devenue ma cryptonnite et me rendait faible. J’étais un superman prêt à faire le tour du monde pour elle. Et papa en plus, cela rendait la chose plus compliquée mais qu’importe, il serait avec Terry et je savais que ça lui ferait plaisir. Donc il y a 3 semaines que nous sommes à Pasadena, j’ai trouvé un loft assez grand pour ranger tous nos affaires et je me suis bien installé. Je regarde donc ces bandes dessinées en me disant que je suis merdique. Je soupirais doucement. Je me sentais nul et je n’arrivais pas à composer. Elle me manquait mais j’avais peur d’aller vers elle. Je maintenais les contacts à distances mais comment me lancer dans le bain ? J’étais perdu.